J'aime me sentir à ma juste place dans l'univers, petite goutte de rien dans un grand tout.
- Tiens, revoilà Célestine, la fille qui parle comme une revue ésotérique...
- Ah ! mais tu ne sais pas...tu ne sais pas ressentir combien l'air devient transparent quand on éprouve de la joie, cette joie profonde et indéfectible de faire partie du cosmos...
Chaque bruit de cuiller fait un son de grelot dans les bols et dans l'air du matin. Partager un petit déjeuner entre amis, par exemple...C'est comme si tout conspirait soudain à rendre certains moments uniques.
Marinello m'a dit que j'avais beaucoup de fluide. Marinello s'y connaît, en magnétisme. Il a senti tout ça en posant sa main au-dessus de la mienne. Sans même la toucher je sentais des picotements. Je n'avais jamais réalisé que je pouvais faire du bien aux gens seulement en posant mes mains sur eux. Je vais peut-être envisager un stage cet été, du coup...
En sortant de chez le coiffeur, j'étais heureuse de la couleur de mes cheveux. C'est idiot comme c'est bon de se contenter de choses simples, finalement. Vous allez trouver ça futile, peut-être...
Mais c'était très réussi, exactement ce que je voulais. J'avais demandais l'Irlande de mes ancêtres. La tourbe, la bruyère. La bière et la musique des « Uilleann pipes » . Un roux cuivré, lumineux. Je l'ai félicité, il était ravi de me voir satisfaite. C'est très difficile à obtenir le roux, il m'a dit. Ça vous va bien, ça met un coup de soleil dans la tête, il a rajouté.
Il a le goût de la chose bien faite, mon coiffeur.
Il a le goût des gens, surtout, je crois. Et c'est dans mon coeur qu'il m'a mis un gros coup de soleil.
Et puis j'ai repensé au château que je dois toujours aller voir, tu sais, celui avec le fantôme.
Je me suis dit que je devrais avoir le temps, quand même, avant que le fantôme ne casse sa uilleann pipe. Ou toi. Ou moi. Ou n'importe lequel d'entre nous. Ou vous, lecteurs adorés...Parce que mourir fait partie de vivre. Et quand on a enfin compris ça, on éprouve un sentiment d'éternité.
Musique : celtic irish folk
Oh, le château de la photo, c'est à côté de chez moi !
RépondreSupprimerC'est celui-là que tu aimerais visiter ?
Se sentir exactement à sa place, dans le grand tout, quel sentiment merveilleux.
Oui, c'est le château de Valangin, en Suisse...
SupprimerC'est un sentiment qui se cultive comme une fleur rare au parfum enivrant.
¸¸.•*¨*• ☆
Oui je l'ai reconnu. J'y ai déjà fait plusieurs visites mais sans jamais y rencontrer son fantôme !
SupprimerIl faut sans doute y être accompagnée d'un véritable chasseur de fantômes...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'est drôle. Réveillé au milieu de la nuit par une prise de conscience soudaine, j'ai découvert que ma vie avait été marquée par le syndrome de la personnalité évitante. En fait, je suis tout le contraire de vous. C'est peut-être pour cela que j'aime tant votre blog.
RépondreSupprimerJe ne sais si "en vrai' vous etes la jolie femme rousse de la photo, si le château est authentique, si le fantôme va se manifester....mais finalement peu importe.
Je ne connaissais pas ce syndrome. C'est intéressant à découvrir, même si l'on sait qu'il y a des gens qui se sentent mal en société et ne se pensent pas à la hauteur des autres.
SupprimerChacun souffre en secret de quelque chose d'indicible et d'invalidant, les êtres humains sont ainsi faits que bien peu y échappent.
Vous aimez mon blog ? c'est gentil, mais je ne crois pas vous avoir déjà vu par ici. Vous y êtes bienvenu.
J'espère simplement qu'un Mister Hyde mouvant ne se cache pas derrière ce pseudo un peu inquiétant de Jekyll. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Sentiment d'éternité ? Que nenni ! A choisir je préfère l'éphémère. l'éternité est une malédiction : ne jamais terminer...
RépondreSupprimerAh non alors, non !
Ce château là ne m'accroche pas, je ne m'en approcherai pas : il est "vide", "sans âme"... J'ai trouvé Versailles à vomir, jusque la galerie des glaces : faste, arrogant, méprisant...
Nous sommes tous énergétiques... Nous vibrons... Beaucoup de gens ont du fluide mais l'ignore... Moi je m'en fous, j'ai renoncé.
Vis, vibre sur ta fréquence...
D'autres s'éteignent.
Bon week-end (je vais e coucher)
J'espère que ta nuit aura été réparatrice car tu étais dans de bien sombres dispositions ce matin...
SupprimerLe château en question n'a une âme pour moi que par sa charge affective. les vieilles pierres recèlent beaucoup de fantômes...
Pour Versailles, je suis d'accord avec toi, le symbole est à vomir. Nous sommes dans une monarchie présidentielle : le Louvre pour le premier discours, Versailles pour la première rencontre internationale.
Moi, je n'ai pas renoncé à te tendre la main. Je sais, je suis un peu bête et surtout très obstiné...
Bises d'espoir.
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Oui Célestine des petits riens qui se mêlent sans ancolie si bien au grand tout... dans la juste mesure qui tient l'équilibre de nos vies. Je suis comme toi, TOTALEMENT du bout de mon chemin, toi par ta branche irlandaise, lumineuse à souhait, si joliment roussie par le soleil, de là-bas, moi d'ici, du temps sans ennuie, moi la provençale en quête de ses origines qui remontent par mon père jusqu'en 1640... et ça c'est superbe.... j'ai retrouvé mon cousin germain et sa famille devenue grande, et nous juxtaposons nos retrouvailles, nos ressentis du début qui ne peuvent en réalité se dissocier des joies, des fêtes, mais aussi des cris des larmes, de nos morts enterrés, qui se partagent, comme les anniversaires - hier soir - de ma soeur et de mon ex - avec nos petits et tous-petits, qui nous poussent, prennent la suite dans la longue file parfois des bizarres - et je réalise que tout est dans l'acceptation de ce qui nous arrive, le bon et le moins beau - ce qui lie, se lie, se délie, et peut se diviser en parts... afin de réaliser la belle oeuvre la perfection dans chaque instant, chaque geste, chaque souffle, chaque émotion "parce que mourir fait partie de vivre" et nous permet ainsi d'accéder à l'éternité.
RépondreSupprimerMes nuits sont courtes, Âmie Célestine, mais je goûte avec gourmandise à chaque lapée de vie qui m'est permis d'apprécier.
Douce journée à toi.
Je t'embrasse.
Den
J'aime tes leçons de vie, Den. je les écoute avec tendresse et respect, parce que tu es une grande soeur, parce que tu me montres à ta façon un chemin que j'aime emprunter: celui de l'amour des siens, celui de la joie de les voir grandir, celui de la poésie des petites choses, et de tous ces petits riens du grand Tout qui forment le bonheur, au final.
SupprimerC'est beau à lire, à dire, à chanter, et tant pis si on vieillit chaque jour un peu, on se rapproche de la sagesse, celle d'accepter encore et toujours l'inéluctable, et de la force que donne cette sagesse de se battre contre ce qui ne l'est pas.
Gros baisers chère Den, belle et brune Provençale.
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tous les roux (et rousses) que je connais déplorent leur couleur de cheveux (parfois même leurs géniteurs s'en lamentent, comme ma mère ;-)) et tant d'autres vont chez le coiffeur pour se faire mettre de l'auburn, de l'acajou ou du blond vénitien, ce monde est vraiment mal fait ;-)
RépondreSupprimerIl est une chose de choisir, il en est une autre de subir.
SupprimerBleck
Absolument, Adrienne !
SupprimerLes roux qui déplorent leur couleur de cheveux peuvent aussi se faire teindre en blonds et en brun...
Rien n'est impossible aux mains expertes d'un coiffeur. Surtout quand il est philosophe, comme le tien.
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@Bleck
SupprimerSubir n'est pas trop dans mon tempérament, mais je suis sûre que tu l'auras remarqué !
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Où il est question de fantôme, de château et de dame rousse. Et d'une lointaine Irlande avec des cornemuses qui résonnent dans les lochs. Et puis de fluides magnétiques et de coiffeur.
RépondreSupprimerTranches de vie. Bonheurs de vivre. Ces petits riens forment un grand tout:le cosmos. Heureuse es-tu Célestine de ressentir tout cela et bien d'autres choses encore. Merci et bises alpines.
C'est vrai que résumé comme ça, il fait un peu hétéroclite mon billet... hihi !
SupprimerJ'avoue que ce bonheur-là est subtil et difficile à mettre en mots...
Mais tu en as saisi tout l'enjeu, toi, la fille aux antennes.
Bisous célestes
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Après la douceur angevine j'aime tout autant la rousseur des choses. Et aussi la vertitude d'Erin. Je ne t'apprends rien si e n'est que j'aime tant passer par ici. Kisses de moi à toi. ATTB Miss W.
RépondreSupprimer"Marinello, reste encore dans mes bras" Ca rime pas terrible.
La vertitude entre en nous un jour comme un entêtant refrain et ne nous lâche plus.
SupprimerIl me suffit de fermer les yeux et j'y suis. la musique, les films, la littérature, le vent marin, tout me parle de la belle Erin aux yeux d'opale.
Attb my friend
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J'avais déjà trouvé que la japonaise avait une bien jolie couleur de cheveux.
RépondreSupprimerCoup de soleil dans la tête qui irradie ensuite, vive les coiffeurs. :)
Oui le premier coup de flash (celui que je raconte dans mon billet) a eu lieu il y a quelque temps déjà.
SupprimerEnsuite il faut entretenir cette flamme, c'est cela le plus difficile, tu sais bien... :-)
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Ah oui ces petits riens qui ressemblent à des bulles, de savon, de champagne, d'eau pétillante sans lesquelles la vie est nulle mais qui, à l'inverse , peuvent illuminer la journée et gonfler le cœur de gratitude. Un merci, un sourire, une couleur ou une coupe réussie, un compliment, un baiser furtif, un billet qui enchante l'esprit .....
RépondreSupprimerPar contre, l'acceptation de la finitude, ca j'y suis pas encore ��
J'aime ta liste de petits bonheurs. On ne les égrènera jamais assez.
SupprimerJ'en cueille le nectar chaque jour avec délices. Toutes ces bulles de champagne oui, qui enjolive d'un rien un quotidien un peu banal.
Pour le reste, la vie se charge peu à peu de nous faire admettre ce que l'on n'admet pas...
N'aie aucune crainte.
Bisous ma belle Myo
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Oui, scintillement, douceur. Je vais dessiner dans le jardin ce matin. Mais d'abord un petite tasse de thé vert. IL reste quelques gâteaux d'hier soir. La cloche de l'église sonne bruyamment...Un chant d'oiseau. Tiens, il y un autre qui répond...Qu'est ce qu'elle raconte, Célestine ...
RépondreSupprimerTu décris exactement le genre de petits bonheurs qu'aime Célestine
SupprimerLa cloche qui tinte, le thé, les gâteaux.
Et puis nous. Elle nous observe silencieusement, elle guette nos envols et nos chants mélodieux, elle se penche sur la fontaine pour nous apercevoir. Nous faisons partie de sa vie.
Voilà ce qu'elle raconte, Célestine, cher Binh An.
C'est joli et plein d'entrain, tout ce roux et cette musique.
RépondreSupprimerC'est vrai que, dans les moments de grand bonheur, on accepte, avec joie, que tout soit partie d'un grand tout et que la disparition ne soit qu'une autre forme de l'être. Et puis à d'autres moments, on l'oublie.
Merci, Célestine, pour ce fluide énergétique !
Chaque fois que les hommes oublient qu'ils font partie de ce grand tout, il arrive des catastrophes.
SupprimerL'ego les entraîne dans des folies destructrices...
Peut-être qu'un jour, le fluide énergétique sera assez fort pour lui clouer le bec, à cet ego de malheur...
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Jolie couleur de violon, de thé, d'automne lumineux... et puis des projets de jeux de mains. Te revoici un peu parmi nous on dirait, avec quelque chose de neuf, quelque chose de bleu et quelque chose de vieux...
RépondreSupprimerTu oublies quelque chose d'emprunté...
SupprimerAlors je t'emprunte un peu de ton optimisme et de ta joie de vivre, sorella.
Grazie bella ragazza
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Autrefois en argot ancien "La rousse" c'était les cognes, les condés, les bourres, les lardus... ETC.
RépondreSupprimerLe roux te va si bien, j'ai vu je sais ];-D
Quand l'soleil se couche dans tes cheveux roux
L'génie d'la Bastille te fait les yeux doux...
https://youtu.be/EZAWuCpo0wI
Une petite java avec toi, à l'ombre des arbres de la guinguette...
SupprimerVoilà un p'tit bonheur tournant la tête comme un petit rosé bien frais...
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On se rappellera le mariage d'Angèle
SupprimerLe bistrot de" banlieue fleuri de mimosas
Que le vin était bon tiré sur la margelle
Que le vin était bon on se rappellera
Très joli, et très chou.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
J'aime beaucoup ta description de petit déjeuner. C'est mon repas préféré. Ensemble, c'est encore mieux. J'aime aussi beaucoup la description de ta couleur de cheveux. J'ai pensé au Coiffeur philosophe de notre Adrienne o;))) J'ai même un jour pensé mettre du rouge ou du rose dans mes cheveux (j'ai renoncé, je reste châtain clair...) Mais j'aime bien aussi sortir de chez le coiffeur (surtout qu'en général, j'oublie mon parapluie o;) je me sens chaque fois rajeunie de dix ans. Donc, faut que j'y retourne o:)))
RépondreSupprimerChez nous le châtain, c'est la couleur des troncs d'arbres, de la forêt de Soignes, des villages hennuyers, des cités endormies le week-end et des marches Adeps o:)
Bon week-end mélodieux Célestine o:)
Les cuillères qui tintent dans les bols me rappelleront à jamais mon père.
SupprimerLes matins d'été, il avait à coeur d'être le premier levé, il installéait les bols, le café fumant, le lait chaud, le pain grillé, et quand tout était prêt, il lançait chaque cuillère dans chaque bol. Cette petite musique aux notes différentes me réveillaient avec un bruit de caresse.
C'était bon...
S'offrir aux mains d'un coiffeur expert et philosophe, c'est à coup sûr un bon coup de boost au moral.
Changer de tête pour changer de focale et regarder la vie à travers des regards neufs. Ça fait un bien fou.
Bisous ma belle Pivoine
¸¸.•*¨*• ☆
C'est fascinant le roux, peut-être parce que c'est lié dans notre mémoire collective à la sorcellerie !!! Hi ! Moi j'adore mais je suis trop brune pour être autre chose que brune, j'ai bien essayé du temps de ma période "hénné" mais il ne faut pas que ça dépasse le roux foncé sinon je ressemble à une vieille cagole de la rue Saint-Denis ! Tout le monde n'a pas la chance d'avoir des gènes irlandais et des yeux d'azur qui vont bien avec cette couleur... Sinon, pour l'instant je ne me sens pas vraiment "à la bonne place", quand on perd un membre, une partie de soi, il faut un certain temps je pense pour retrouver sa "juste place" dans cet univers où tout équilibre reste fragile alors quand on en touche un du bout des doigts, il faut le chérir et le suivre pour retrouver sa verticalité, celle qui permet d'avancer... Je t'embrasse belle rousse aux yeux de lac étoilé ! ♥
RépondreSupprimerOMG ce que tu m'as fait rire avec ta cagole ! Réconciliant en une phrase l'OM et le PSG...Muahaha !
SupprimerJe comprends que tu aies besoin de temps, regarde, moi, tout le temps qu'il m'a fallu depuis le neuf septembre, pour digérer l'événement et progresser sur le chemin de l'acceptation...
Merci pour tes beaux compliments, chère belle copine et merci d'être revenue.
Bisous étoilés
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Il est assez étonnant de constater à quel point les extrémités sont sensibles... le sortir du coiffeur et du magasin de souliers, la réussite d'une journée (semaine, vie chez certains) dépend souvent de ce genre d'évènement.
RépondreSupprimerEt dans ce (superbe) commentaire il n'y a pas l'ombre d'une lettre d'ironie, simplement le recul dû à quelques années d'expérience personnelle et d'aimant.
Bleck
Oui, un homme aimant comprend ces choses-là. On pourrait rajouter la paire gants (ou de mitaines pour moi) indispensable accessoire, si je puis me permettre cet oxymore.
SupprimerMais évidemment que ce superbe commentaire ne peut venir que d'un homme non moins superbe ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Voilà peut de temps à Saint-Nazaire j'ai croisé une Dame "chaussée" de très jolie guêtres c'était... érectant.
SupprimerBleck
Eh oui, car en parlant d'extrémités sensibles, il ne faudrait pas en oublier... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
JOlie couleur !
RépondreSupprimerLe flamboyant te va bien, je n'en doute pas.
Ça, c'est un superbe compliment, ma Berthoise.
SupprimerEn tous cas, je me sens bien en rousse.
Je n'y avais pas encore goûté, c'est sympa.
¸¸.•*¨*• ☆
Wééé, encore un billet bourré d'optimisme !Tu n'imagines pas à quel point c'est ta dernière phrase qui me fait plaisir, alors que je t'ai connue naguère effrayée à l'idée de la fin qui nous attend tous.
RépondreSupprimerOn a fait un sacré foutu bout de chemin quand on en arrive à ressentir ainsi les choses ! De même quand à la notion d'appartenance. Distanciation et appartenance, sont-ce des pas en direction de la sagesse, au moins d'une plénitude ?
Bientôt moine zen ? ;o))
Mais parfois, il est des jours de coeur en chaussettes ou malgré toutes les techniques de communications, seul le chaud câlin de bras aimants peut conjurer les peurs. J'ai pas ça en magasin, j'exhorterai ma peau orpheline à patienter encore un peu. Ou un peu plus...
Météociel dit qu'il fera beau demain dans mon coin...
Il m'a dit « Mets tes hauts ciel » alors j'ai mis un caraco bleu et un petit foulard azuré.
Supprimer« Mais moine zen, faut pas déconner », je lui ai dit... « J'en suis loin... »
« Le coeur en chaussette c'est moins bon que la pizza en chausson » je lui ai dit.
» t'es bête » il m'a répondu...
¸¸.•*¨*• ☆
Ouais... C'est atterrant ! 8o0
SupprimerT'aurais pas un peu goûté du saint-Joseph par hasard ?
La dernière réplique me semble d'une étonnante clairvoyance, tu m'étonneras toujours !
;oP
Quoi, je fais de la poésie transcendantale et c'est tout ce que tu trouves à dire ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Il faut pardonner à un ilien d'être terre-à-terre car il s'accroche à ce qu'il peut :-)
SupprimerUn sens poétique trop fluide se diluerait dans la flotte qui le cerne...
Une poésie transcendantale est bien plus chaleureuse que si elle était trans-sibérienne.
Accolade au barbu et molto baci per te
Je pardonne tout ce qu'il veut à notre ilien de mon coeur...
SupprimerMais quand même, plussoyer quand je dis que je suis bête, faut avouer que c'est pas cool.
Molto baci a tutti due
¸¸.•*¨*• ☆
Bah! faut pas lui en vouloir, dans des contrées aussi inhospitalières que les Îles de la Désolation, l'humain doit être rustique pour y survivre...
SupprimerPreuve de rusticité s'il t'en faut une, le bonhomme est barbu! :-D
Ti bacio et amitiés à l'Homme de Trop Mignon.
Eh bien ! il doit y avoir un grand nombre de rustiques alors, car les barbus pullulent ! Même le premier sinistre est barbu, c'est dire...
SupprimerBaci caro
¸¸.•*¨*• ☆
Awéééh... ? ! Poésie transcendentale, tu dis ? Awéééééééééé ???????????? 8o0
Supprimer(Insondable silence teinté de rustique incompréhension....)
Ben, euuuuuh... Ch'ais pô kwa dire ? . ? . ? .
Par ailleurs si les barbus pullulent, ce qui d'ailleurs me gonfle menu car du coup me voilà conforme à une mode aussi idiote que peut l'être tout mouvement stupidement ovin, tâche d'en trouver qui n'ont pas touché de rasoir depuis plus de quarante ans et on en reparlera !
"Rustique" en revanche, j'adopte !
;oP
Il est vrai que cette mode commence à me courir sur le haricot, si je puis me permettre.
SupprimerTrop de barbus tue les barbus...Enfin cela a au moins le mérite de déboulonner une idée reçue: non, il n'y a pas que les femmes qui cèdent aux sirènes de la mode... ;-)
Mais je ne doute pas que tu sois un authentique barbu de la première heure.
¸¸.•*¨*• ☆
J'annonce 53 ans sans imberbité de la face... ;-)
SupprimerA l'époque il n'y avait guère plus de 4 barbus, et ils chantaient...
Les Quatre Barbus étaient donc cinq, comme les Trois Mousquetaires étaient quatre ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Mon Blutchy, j'aurais dû expliciter (j'adore ce mot ,si quelqu'un peut me dire ce qu'il apporte de plus qu' "expliquer" je suis preneur !) que je ne te mettais pas dans le même panier que les moutons. Tu me sembles avoir suffisamment de caractère pour ne pas te laisser embarquer dans les futilités de la mode et je crois ne pas sombrer dans la flagornerie si je dis que j'étais caïman certain que ta barbe puisait ses racines dans des temps immémoriaux (ou presque) ! ;o)))
SupprimerOuafouafouaffff, je viens de taper "barbe" chez gogol: c'est ébouriffant !
SupprimerOutre que j'adore la barbe longue sur des morveux de 25 ans, je viens d'apprendre qu'il y avait douze étapes pour faire pousser une barbe et qu'il fallait utiliser de l'huile à barbe pour éviter les démangeaisons. De même faut-il la laver tous les deux jours: couillon que je suis, moi je profitais de ma toilette quotidienne pour la laver dans la foulée. Quelle erreur, tous les deux jours, est-il écrit sur "http://unrasageparfait.fr/faire-pousser-la-barbe/" ! Saurai-je jamais quels risques j'ai pu encourir à n'en faire qu'à ma tête !
De même ai-je appris que les marchands sont pleins d'attentions pour moi, qui me proposent tondeuses électriques, tondeuses à barbes, tondeuses à cheveux, tondeuses corps pour homme, tondeuses nez-oreilles, baumes et huiles à barbes, rasoirs coupe-choux, rasoirs de sureté, peigne et brosse à barbes !
Le difficile dans l'affaire c'est que je vais devoir changer mon sac à dos que j'aimais pourtant bien vu tous les crapahuts qu'on a fait ensemble, mais qui est totalement incapable d'emporter tout ce matériel ! A moins qu'en retirant la radio, la couverture de survie, les gants, le sifflet, les rations et la lampe de secours qui, il faut bien l'avouer, ne servent absolument jamais ?
Mon pôv' Blutch, si tu ne savais pas, je te conjure de t'en aller céans prendre renseignements sur la toile afin de ne plus vivre dans l'ignorance !
Quelle chance nous avons là, on a frisé la catastrophe !
Expliciter c'est plus mystérieux, ça te pose là, ça fait le type qui parle achté bien.
Supprimerc'est un peu comme "problématique" à la place de "problème"...
Ou "Au jour d'aujourd'hui " plutôt que "à l'heure actuelle"...
Quant à l'instant T...alors ça c'est un mystère absolu pour moi...
Et plein d'autres qui ne me reviennent plus pour l'heure...
Ça me rappelle Jargonos et son sabir ampoulé.
Molière aurait encore des pièces à écrire sur ces pédants ridicules...
¸¸.•*¨*• ☆
Voilà ce que c'est que de connaître des gens qu'y z'ont de la culture: je te remercie pour cette explicitation des plus claires !
Supprimer...et molto baci per te !
Et cette formule, inventée par un journaliste radio qui voulait faire plus classe que classe en disant, pour parler d'une évidence: "Vous n'êtes pas sans ignorer...." .
SupprimerIl y a aussi cette merveilleuse preuve d'érudition de cet autre folliculaire qui lit à l'antenne une dépêche AFP:
"La réunion du conseil de sécurité de l'ONU a été ajournée "Saïne-Daïe" "
Ben oui, ça se passait à NY et il parait que là-bas le latin se conjugue à la Mc Donald...
@ Jdissa
En lavant la barbe que tous les deux jours, tu gardes une chance supplémentaire de pouvoir récupérer le lendemain la bouffe qui est restée accrochée.
CQFD (Qui ne veut pas dire c'est cul France Dimanche.... quoique, ça se justifierait aussi)
Ma principale interrogation existentielle reste toujours de savoir s'il faut dormir avec la barbe dessus ou dessous la couette...
Accolade et Baci
Remarque tu as une autre solution: tu rases ta barbe... Même pas cap ... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pas de temps à perdre...
SupprimerImagine un peu le nombre de commentaires que je devrais te sucrer pour trouver le temps de me raser, sans compter l'aspect papier d'émeri de mes joues, maintenant finement duvetée. :-D
C'est sûr qu'envisagé sous cet angle...je préfère que tu gardes ta barbe et mes commentaires...
SupprimerMais je parlais à Jdissa, en fait.
Rapporte au fait qu'il disait qu'il lui faudrait changer de sac à dos et tutti quanti...
¸¸.•*¨*• ☆
Et personne pour relever mon cas lembourg de samedi...
SupprimerL'homme de Trop Mignon ?
SupprimerOh oui, c'est trop mignon...
¸¸.•*¨*• ☆
@ Blutch: dessus/dessous est un problème que je n'ai jamais rencontré. J'en conclue que ma barbe doit être tous-terrains...
Supprimer@ Cel : je vois pas bien pourquoi, par rapport à l'ensemble de la conversation, tu voudrais que je rase ma barbe. C'est en tous cas une envie récurrente d'un de mes moufflets qui depuis le collège demande régulièrement à me voir sans, menaçant de profiter de mon sommeil pour la raser à l'insu de mon plein gré.
J'avoue que depuis le temps, et si au tout début je vivais trois mois avec/trois mois sans, je ne sais plus aujourd'hui à quoi je ressemblerais sans. Pire encore pour ma moustache qui n'a jamais rencontré l'ombre d'un rasoir: celle d'aujourd'hui est une descendante directe de mon duvet d'adolescent.
C'est fou à quoi ça mène de commenter ici: je viens d'aller dans la salle de bain pour essayer d'imaginer à quoi je ressemblerais sans. Bofff !
Alors non, même avec les pires chantages (imagine !), même pas cap' !
C'était juste parce que tu avais dit qu'il te faudrait changer de sac pour emporter tout le matos..
SupprimerMais c'est vrai que j'aime bien savoir à quoi ressemblent les gens sans leur barbe...
Je suis curieuse...
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Le plus simple et le moins encombrant est de ne rien emporter du tout, et la conserver...
SupprimerEt je suis profondément désolé de devoir te contrarier, mais même sous les pires chantages, tu ne sauras pas...
Cela ne me contrarie absolument pas, je te rassure.
SupprimerJ'ai juste poussé à l'extrême cette conversation pileuse...
Bises et baci a tutti due
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Toi aussi, alors, tu fais partie de la famille "Passe-moi le celte" ? Ou je n'ai rien compris parce que je suis encore dans le brumes d'après-concert ? ;-)
RépondreSupprimerÇa fait longtemps que je fais partie de cette famille-là...
SupprimerMais je sais que tu le sais. Sinon tu ne serais pas mon oncle ^^
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C'est un joli et pimpant billet que tu nous offres chère Célestine. De tout temps, j'ai aimé le roux et j'ai une amie qui est rousse. Cette couleur lui va à ravir :-)
RépondreSupprimerJe te souhaite une belle balade au château. La région est belle et j'ai apprécié de visiter la ville de Neuchâtel mais pas eu le temps d'aller au château.
Les petits riens que tu racontes font chaud au coeur.
Merci pour la musique et je te souhaite un doux week-end.
Bisous ♥
C'est le château de Valangin et non de Neuchâtel.
SupprimerLa balade au château fait partie d'un rêve, pour l'instant. Un truc qu'on se dit entre amis comme ça, comme des gosses.
On ira « Quand on sera grands »...
Je suis heureuse. Rien ne me fait plus plaisir que de faire chaud au coeur de mes lecteurs.
Bisous belle rêveuse
¸¸.•*¨*• ☆
Oui Célestine, tu as raison pour le château. Je me suis mal exprimée car le château se situe dans le canton de Neuchâtel.
SupprimerBisous
On avait raison toutes les deux alors... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Mais ces petits riens font un grand et beau TOUT !!! Et si quelques éphélides(j'adore ce mot) viennent étoiler ton visage, la vie est plus qu'exquise et l'on peut mourir de joie. Bises célestes. brigitte
RépondreSupprimerOui, j'en ai quelques unes sur le nez, et c'est vrai, j'adore ce mot !
SupprimerC'est mon ami Andiamo qui me l'avait appris un jour, il y a longtemps.
Bisous ma belle Plume
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Les petits déjeuners au soleil et entre amis.... J'en rêve encore de ces petits moments partagés :-)
RépondreSupprimerMais qu'est-ce qui a pu raviver en toi cette envie de croiser les fantômes de Guillemette de Vergy et son époux Claude de Aarberg...? ;-).
D'autres fantômes t'attendent dans la région. Ceux de l'église d'Engollon ne sont pas des plus accortes, par contre, ils sont passablement chahuteurs...
Baci Carissima
De petits moments fabuleux où le temps s'arrête, et où le petit déjeuner dure jusqu'à quatorze heures du matin...
SupprimerPour les fantômes, c'est quand tu veux, Blutchiamo.
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Ah, ces petits riens, mis bout à bout, rien c'est déjà beaucoup... (Oui, j'emprunte délibérément, ouvertement :-p) Les petits riens, c'est le sel de la vie!
RépondreSupprimerQuant aux fantômes, depuis que j'ai vu "L'aventure de Madame Muir", comment dire, rien ne me vient, sinon un soupir d'aise...
Bises romantiques
J'adore cette chanson de Gainsbourg, et sa reprise par Stacey Kent.
SupprimerPour le film, ça me dit quelque chose, mais si je l'ai vu c'est il y a très longtemps et je ne me souviens plus du tout...
Tu as dit le mot, ma chère Baladine : le fantôme de Valangin est terriblement romantique.
Bisous nocturnes
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Si tu as l'occasion de le revoir n'hésite pas: un chef d'œuvre mêlant le fantastique au romantisme, entre rêve et réalité, cruauté et crédulité, une héroïne sublime, Gene Tierney, un fantôme aussi ronchon que sympa, Rex Harrison, et une enfant prodige, Natalie Wood... Et une bande originale sublime, bref, que du bon, que du beau!
Supprimerhttps://youtu.be/dpBbeBpf43M
J'ai oublié hier soir, magnifique, ton roux, la nuance pile poil du sucre quand il se transforme en caramel, or en fusion...
Bises lumineuses
C'est joli, ton image sucrée, Baladine.
SupprimerPour le film, oui, ça me fait envie, j'adore les films de cette époque, mais comment le trouver ?
Plus de vidéo-clubs, et trop vieux pour être sur Netflix ou la VOD
Peut-être en DVD d'occase sur Ebay ?
Bisous belle blonde.
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Tu peux trouver ici:
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=V34d4jEF-y4
et là en version longue:
https://www.youtube.com/watch?v=ExLUeLRclbQ
Bises à La Baladine e baci per te
En VO sans sous-titres et en format timbre-poste...
SupprimerJe saurai m'en contenter... ;-)
Grazie mile
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http://www.voirfilms.us/laventure-de-mme-muir-streaming-vf/
SupprimerEn vf et visible en plein écran ;-)
Je prends les bises de Blutch, je lui envoie les miennes :-)
Oh merci alors ça c'est chouette !
Supprimerje vais me le faire ce soir dans mon lit ^^histoire de faire des cauchemars ;-)
Bisous à tous deux.
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Mmm? A mon avis tu vas rêver tout doux ;-)
Supprimerah c'est un gentil fantôme alors... ;-)
SupprimerL'Irlande… J'y suis arrivé par Cork, le port de pèche au requin. Au large, on en voit beaucoup, souvent de l'espèce peau bleue, dont il vaut mieux s'écarter. De Cork partirent les bateaux remplis de misérables. Ils allèrent peupler l'Amérique du Nord, et former l'une des communautés principales de ce pays. L'Angleterre protestante a voulu affamer les catholiques irlandais. Elle a réussi dans son entreprise, aidée par l'incurie des autorités locales, et, c'est vrai aussi, par le faible développement des modes agricoles. Là-dessus, une épidémie de mildiou… Des familles entières furent décimées. Ces têtes dures d'Irlandais cessèrent de danser et de chanter. L'Amérique était faite pour eux : ils seraient fermiers, policiers, pompiers, boxeurs (souvent poids lourds), acteurs (et même stars de cinéma), auteurs dramatiques, milliardaires. Ils sont une communauté un peu à la manière des polonais. Vers la fin des années soixante-dix, il y avait encore de la terre battue dans nombre de fermes. Dans le Comté de Clare, les hommes se retrouvaient dans les pubs : vers minuit, le patron, souvent, agitait une cloche en criant : « Now gentlemen ! ». Et l'on vidait les lieux. Dans le Nord, à Dublin, les affrontements étaient sanglants. S'y mêlaient l'Histoire, la religion, une part de folie criminelle, des injustices criantes. Dans la campagne, par les collines souvent battues par les vents, on voyait surgir de nulle part des types, qui vous apostrophaient. Dans son « Journal Irlandais », Heinrich Böll a parfaitement résumé un certain état d'esprit local, en rappelant ce proverbe supérieurement irlandais : « Dieu a fait le temps, et il en a fait suffisamment ! ». J'y ai croisé de jolies filles rousses. Le vent a toujours murmuré des chansons et des récits à ce peuple incroyable. Ce sont de grands lecteurs.
RépondreSupprimerSi vous allez en Haute-Corrèze, vous trouverez des paysages très semblables. Il ne leur manque que l'océan, par quoi l'on fuit la police et la misère. D'ailleurs, cette région de France fut évangélisée par Saint Patrick, un irlandais.
Si vous ne l'avez pas encore lu, je vous conseille vivement The Poor mooth, de Flann O'Brien, un type très caustique, un raffiné sans illusion.
J'aime bien votre récit , et votre « Douceur angevine ».
Je note le livre de Flann O'Brien.
SupprimerVotre synopsis de l'histoire irlandaise est beau et tragique comme un film de Ken Loach. Je pense au film « le vent se lève » formidable hymne au courage de ces irlandais attachés à leur terre âpre et belle.
J'aime bien votre parallèle entre la verte Erin et la Haute Corrèze.
Tous les garçons irlandais s'appellent-ils Patrick ? Voilà la question...
Merci pour votre contribution cher Patrick.
Un petit rien de plus pour éclairer ma lanterne de belles étincelles.
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Il y a gourance ! J'ai écrit Dublin, je pensais Belfast, plus au nord…
SupprimerNagère, nombre de garçons irlandais s'appelaient Patrick, ou John.
Je pense que Flann O'Brien vous plaira.
Je vous dirai.
SupprimerOui bien sûr, Belfast. Vous vous gourâtes avec élégance, cher ami...
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Ton billet est un cadeau! Depuis que je l'ai lu ce matin,je n'ai pas arrêté de noter des idées(mille environ). Aussi,ce soir,la difficulté d'y mettre bon ordre!Je vais donc procéder méthodiquement pour finir par ma référence musicale qui m'est "venue" en premier.
RépondreSupprimerTes billets me font, soit pensés à un souvenir d'enfance,soit à une chanson.Là,c'est les deux!
-Il faut un certain temps pour trouver sa place dans l'univers pour s'apercevoir un jour, que la place est là et quelle nous attend!
-Partager un petit-déjeuner en famille,avec les siens, sur la terrasse,tôt le matin quand seuls les oiseaux sont éveillés.Un gout de bonheur!
-C'est dingue! La lune rousse vient juste de se terminer,et je vois apparaitre un "soleil"... Roux!
-Tu as raison! Une bonne coupe de cheveux,rasé de près(je parle pour moi)et je ne fais plus/pas mon âge!Et le voila le souvenir d'enfance!
Pour le rasage,mon père le faisait au "coupe choux" qui n'était pas un joujou, ni bijou hibou caillou genou pou...Pour les cheveux, il allait chez le "forgeron",qui,en plus d'être,avait un bon coup de ciseau.Dans mon village,tout le monde avait une double,triple,multiple activité...Il en reste quelque chose...
Pour ma part, pas de "forgeron/coiffeur",mais une coiffeuse/coiffeuse,et pour la couleur,la vie se charge de les rendre argentés.
-Ces petits riens qui illuminent la vie de tous les jours! Eh bé ,oui!Tes billets en font très largement partie et ce n'est pas rien!D'ailleurs,il faudra que je t'en parle(plus tard).
-Bon ok,il faut que j'édulcore,sinon je vais atteindre la limite de caractères admissibles!
-Ah,enfin,ma référence d'une chanteuse que j'ai...j'adore.
Tu m'époustoufle!C'est vrai que le roux te va bien! Déjà quelques temps que tu as risqué ta chevelure comme s'il s'agissait de ta vie et c'est réussi.Mieux que si ce ne fut un "forgeron" à l’œuvre!D'autant qu'il ne disait la vérité seulement quand les mensonges lui faisaient fautes.
Ton coiffeur a réussi son art,il t'a rendu époustouflante et pour époustoufler,ça oui,tu époustoufle en...(je ne peux dire la suite,elle n'est pas vrai).
-Et donc,le lien: https://www.youtube.com/watch?v=qIMzJlv0jJ8
Bises époustouflées
Et la difficulté de répondre à un tel florilège, tu y as pensé ? ;-)
SupprimerAlors d'abord la chanson de Lynda. Une petite merveille, une pièce de théâtre (comme beaucoup de ses chansons) Qui n'a pas eu l'angoisse de sortir de chez le coiffeur avec les cheveux verts, ou crépus comme un haïtien ? ;-)
Oh oui, reviens en parler plus tard, reviens quand tu veux, je suis fan.
J'aime tes petites notes que tu prends au fur et à mesure de la journée. j'aime tes explications de texte.
Et j'aime aussi tes souvenirs d'enfance.
Si la vie se charge d'argenter tes cheveux, tu sais bien que cela rend les hommes bien plus charmants...
merci pour ce commentaire-fleuve, qui est lui aussi un cadeau de la nuit.
Bises étoilées
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Merci,merci,merci... de ta réponse,de tes"j'aime",de tous ces petits riens qui deviennent un tout!
Supprimermerci à toi
Bises enjouées
L'amour universel n'est pas seulement un délire de poète ou de gourou en mal d'adeptes.
SupprimerC'est un art de vivre, mon cher Didier. Et je le pratique au quotidien.
Chaque fois que l'on aime, on agrandit le monde sensible et on rétrécit la guerre et la violence.
Bisous joyeux
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j'adore ton nouveau bandeau de blog!! il m'inspire bcp, bises
RépondreSupprimerOh merci !
SupprimerPuis-je te demander ce qu'il t'inspire ?
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Des petits riens qui forment le collier du bonheur!☺☺☺☺
RépondreSupprimerNous découvrirons Montréal cet été avec Fiston comme guide!!
55oo km, ça fait loin...
bisous
Un très long collier, pour le coup.
SupprimerJe suis sûre que tu vas trouver ça magique. Nos enfants sont souvent nos meilleurs guides touristiques...
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Ce billet révèle une part de ce vous que j'adore : une prétendue futilité qui cache en réalité des choses bien profondes, une réflexion sur la finitude, l'inéluctable et la philosophie de vie qui rend les choses acceptables. Je comprends que tant de gens aiment vous lire. On ressort de chacun de vos écrits avec une énergie nouvelle, alors qui étonnerez-vous en faisant mine de découvrir aujourd'hui votre fluide vital ? Vous savez bien que vous avez ce pouvoir apaisant. Il passe de vos doigts à votre clavier, et de là irradie en nous en allumant des soleils intérieurs.
RépondreSupprimer~L~
Vous oubliez cette part de moi importante qui s'appelle le doute, et qui me fait constamment me poser des questions sur moi-même. Un manque de confiance en moi chronique qui a pour effet bénéfique de provoquer mon étonnement à chaque fois. Etonnement que les gens me trouvent intéressante, aiment lire mes écrits...m'aiment quoi, en quelque sorte. Mais peu à peu, je parviens, dans la même mouvance d'acceptation, à me faire à l'idée que je puisse susciter tout cela. Et vous n'y êtes pas pour rien, cher ami.
SupprimerAlors merci pour vos commentaires que je trouve de plus en plus étoffés et qui me touchent au profond.
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Je suis d'accord avec le monsieur du dessus: je t'ai toujours dit que tu avais du magnétisme. Avec les élèves c'était flagrant comme ta seule présence les calmait. Par contre tu electrisais les parents d'élèves enfin surtout les papas. Haha !
RépondreSupprimerBises
Angela
Ah...oui c'est vrai tu te souviens de mon "club de papis" du samedi matin (à l'époque où on allait encore à l'école le samedi) Ils étaient impayables et plein d'humour.
SupprimerLes élèves, oui, ressentaient certainement de bonnes ondes à mon contact. Peut-être aimaient-ils simplement mon humour, à moi aussi, qui dénouait bien des tensions d'un trait d'esprit ou d'une bonne blague...
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Les petits riens ...Mais c'est toute la vie Souvent ils nous tendent la main mais on ne les voit pas , trop absorbé par nos pensées. Moi je le aime, je les traque, je les respire. Et ils me le rendent bien !
RépondreSupprimerJe n'en doute pas, Daniel.
SupprimerJ'en vois souvent passer, de ces petits riens, sur ton blog.
Ils font du bien par leur simplicité, comme le vol d'une mouette ou le clapotis d'une rivière.
Je repense à un livre qui s'appelle "trois kifs par jour" et qui se base sur cette "traque" des petits bonheurs quotidiens.
Ou encore aux Chaudoudoux que l'on met dans un bocal...
Tout un art de vivre.
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Il est vrai qu'un bruit de cuillère dans un bol c'est vraiment un petit rien du tout par rapport à l'univers, mais pour celui qui l'entend, y participe, le vit, à cet instant ce peut être un grand tout qui a les dimensions de l'univers. De son univers, le seul que finalement chacun de nous appréhende vraiment individuellement. C'est ainsi que fonctionne notre perception du monde : un juxtaposition d'univers singuliers au sein d'une immensité inappréhendable.
RépondreSupprimerIl en va ainsi de la rousseur des cheveux et de l'éclat de soleil qu'ils rayonnent.
Merci pour ce billet, que je ne commente qu'après avoir vu comment chacun le ressentait :)
Ta dernière phrase m'interpelle. Je pense à certains élèves qui ne lèvent le doigt qu'après avoir vérifié comment votent les copains... Mais sans doute sauras-tu m'expliquer si tu constates simplement un fait, ou si tu avais une raison particulière d'attendre que les autres s'expriment pour t'autoriser à donner ton avis. :-)
SupprimerPeu importe, j'aime beaucoup ton premier paragraphe. je crois moi aussi que l'univers est un mystère, et que le sentiment d'appartenance à ce « grand tout » procède d'une intuition subtile difficilement mettable en équation...
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Bon alors il faut que je te dise un truc. Non deux : d'abord que je ne commente du premier coup que si je me sens vraiment inspiré dans l'instant. Paf, le truc spontané. Parfois il me faut y revenir…
SupprimerEnsuite que j'ai du mal à "prendre une place" quand il y a beaucoup de monde. Et chez toi c'est plutôt fréquenté, comme tu le sais. Du coup il arrive assez souvent que je vienne lire et relire… sans rien laisser. Mais parfois, selon l'ambiance générale du fil de commentaire, une inspiration apparaît et me sort de ma lecture silencieuse. Et puis je me dis qu'une fois que pas mal de monde s'est exprimé il est probable que la fréquentation diminue. Je me sens alors plus à l'aise pour poser mon petit commentaire :)
Voila, tu sais tout.
En tout cas ce n'est pas par "suivisme". Plutôt par discrétion…
Je te remercie pour cette réponse à ma question qui était un peu taquine, en fait...Je sais bien que tu n'es pas un "suiviste"...
SupprimerIl faut que je te dise un truc : les fois où tu as été le premier à commenter (c'est arrivé quand même deux trois fois, mais pas assez souvent à mon goût, j'ai grandement apprécié parce que je me suis justement dit cela, que tu avais dû être emballé par mon billet. Et tu es dur à "emballer" si je peux me permettre. Ta mesure et ton sens de l'analyse font que le truc spontané" doit t'effrayer, sûrement. Mais bon...je préfère que chacun de mes lecteurs fasse comme il le sent, et ainsi, garder une haute tenue aux échanges et éviter la fatale "avalanche de platitudes" ... ;-)
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Oui, il m'arrive d'être le premier et l'impression est alors toute différente : la salle est vide ! Y'a que toi et moi ;)
SupprimerIllusion totale à laquelle je ne me laisse prendre qu'en toute conscience, évidemment.
Dur à emballer ? Je ne démentirai pas…
Je fonctionne à l'émotion, qui n'est pas au rendez-vous à tous les coins de blog (ou alors c'est moi qui suis difficile à émotionner ?). Et puis bon, je le répète : la haute fréquentation de ton blog à tendance à me rendre mutique (ce que je suis en train de contredire ici-même).
[Pour "l'avalanche de platitudes", je vois que tu est au fait de l'actualité locale]
Non seulement au fait, mais légèrement piquée au vif...et s'il parlait de moi...un doute affreux m'étreignit soudain.
SupprimerSinon, avec les touches ctrl+ F je peux rechercher "Pierre" et arriver pile sur tes coms.
Ce qui, tu l'avoueras, est bien pratique pour moi. Et pour toi aussi, donc, si tu veux avoir un dialogue avec moi en aparté. En réfléchissant bien, sur un blog à haute fréquentation, n'a-t-on pas davantage de chances de passer inaperçu ?
Je dis ça, je dis rien...
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Ohla, que je te rassure : non, je ne parlais pas de ton blog, ni de ceux que tu as dans ta liste. Je pensais à des blogs sur lesquels je suis tombé au hasard, où l'essentiel paraissait être de signaler « je suis passé chez toi ».
SupprimerJe viens de tester ctrl+F, fonction dont j'ignorais l'existence. Merci pour le tuyau, qui peut se révéler fort utile :)
D'accord avec toi : on peut passer inaperçu sur un blog très fréquenté. Il suffit d'attendre qu'il y ait tellement de commentaires à la suite d'un texte que plus personne ne s'amuse à les lire en intégralité. D'ailleurs tu constates que j'ai laissé tomber ma réserve ;)
Absolument.
SupprimerLa touche magique ctrl+F fonctionne sur les blogs, mais aussi partout ou tu as un mot à retrouver dans un océan...page web, document word, PDF etc...
Bien pratique, c'est certain, je ne sais pas comment je ferais pour retrouver mes interlocuteurs dans cette mer de commentaires.
j'aime bien quand tu laisses tomber ta réserve, au coeur de la nuit... ;-)
Je ne voudrais pas casser la sereine et discrète quiétude de Pierre, mais, en principe, je lis tous les commentaires...:-)
SupprimerAccolade e baci
Oui mais toi c'est pas pareil, tu es le dieu (hi) lare de ces lieux... ;-)
SupprimerMon bon Blutch, je me doute bien que quelques uns, comme toi, comme moi, lisent tous les commentaires, mais j'imagine que c'est un cercle restreint. Presque un cercle d'intimes, en quelque sorte. Et là, ça ne me dérange pas ;)
SupprimerJ'ai bien aimé lire cet échange, parce que je connais un peu Pierre (un tout petit peu à vrai dire). Très peu o:)))
SupprimerTitillée que je suis par cette petite discussion , j'avoue tout: je lis tous les commentaires aussi. Et je commente aussi rarement dès la première lecture. Je préfère y revenir, y penser, laisser les sentiments et les idées se former en douceur, et faire leur petit bonhomme de chemin avant de se laisser déposer. C'est un peu le même processus que pour sortir un billet, je ne suis pas une fulgurante, plutôt une tâcheronne.
SupprimerTout ça pour dire que quoiqu'il en soit, c'est toujours assez passionnant d'observer les réactions des unes et des autres, de déguster les petites et grandes phrases, les idées, les impressions, les humeurs... :-)
C'est un plaisir qui demande du temps, de la disponibilité et beaucoup de travail, l'air de rien, ça ne se fait pas comme ça, mais c'est vrai, c'est agréable. ;-)
Supprimer@ Pivoine, mais oui, on se connaît un petit peu, on peut le dire. Quand on a rencontré quelqu'un "en vrai", on connaît certains aspects (façon d'être) qui n'apparaissent pas dans les blogs ;)
SupprimerCe sont ces "petits riens du tout" qui construisent nos vies et nous les acceptons bon gré mal gré! Les petites futilités soulèvent bien souvent des problématiques plus profondes et je souscris totalement à cette façon de percevoir et tenter d'expliquer l'absurdité de nos existences ici-bas....
RépondreSupprimerC'est vrai, c'est une façon agréable (et pas très onéreuse) de concevoir l'existence... ;-)
SupprimerOn dit souvent de moi que je me satisfait d'un rien...
Comme par exemple, un billet nostalgique sur les émissions de radio d'antan...
¸¸.•*¨*• ☆
Tu sais bien que l'éternité c'est long surtout vers la fin. Je vole cette phrase à Woody Allen.
RépondreSupprimerAh que j'aime my little new-yorker Jewish et ses formules géniales...Je suis une grande fan.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Parce que que, vraiment, tu penses à ce genre de choses, toi?
RépondreSupprimerFaire partie d'un tout comme une petite goutte dans l'univers?
Alors là, je m'incline et t'admire, car moi je n'y pense jamais et est-ce que je pense, moi, d'abord? Bonne question... ;-)
Bises du week end,
Mo
Tu me fais rire, MO. Et je n'en crois rien. Quand on maîtrise l'art du jardinage comme tu le fais, on sait bien que l'on appartient au grand cycle de la Vie et à la grande ronde cosmique...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
je suis vraiment heureux qu'Olivier t'ait intégrée dans sa revue de blogs ! Bizzz du dimanche Célestine
RépondreSupprimerVous êtes adorables, les Caphys.
SupprimerBisous du dimanche soir entre chien et loup.
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J'aime beaucoup cette couleur de cheveux, qui a du caractère.
RépondreSupprimerElle me rappelle mes forêts du Saskatchewan en automne, quand la lumière embrase les arbres au bord du lac Waskesiu.
hugh !
C'est drôle, je parlais du Saskatchewan hier, quelle synchronicité...a moins que ce ne soit un exemple de la loi de Baader-Meinhoff ?
SupprimerAinsi, tu es un Indien d'Amérique du Nord, vraiment ?
Tu es très secret, Kangourou ... Pas de blog ?
Bises curieuses
¸¸.•*¨*• ☆
Se contenter de peu mais dans l’essentiel et tout le reste n'est que faribole. Épicure lui, disait: “Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien.” N'est ce pas que le bonheur est dans ces petits riens : Voir l'aube se lever, admirer le vol d'un oiseau, écouter le battement des gouttes de pluie qui tombe sur la bassine abandonnée dans le jardin et tous ces bruits mystérieux que dégage la forêt quand elle plonge dans le noir de la nuit avec ou sans clair de lune. Parfois écouter même le battement d’un cœur qui bat la chamade dans l’attente d’un ravissement annoncé. Tu as toujours cette façon de dire les choses simplement Céleste quand elles nous paraissent compliquées. Chez toi, les mots trouvent leur béatitude et leur ravissement quand tu les dessines, tu les peints tendrement et voluptueusement pour notre plaisir de les lire, de les goutter, de les boire. Cela paraît simple à priori, de laisser enlacer les mots, mais ce sont ces petits riens de mots désunis qui font l’incommensurable accomplissement d’une somme de petits riens de bonheur qui nous fascinent et nous font revenir nous délecter chez toi de ces… petits riens du tout.
RépondreSupprimerMille petits riens de bisous.
Ah Bizak et ses citations...cela me manquait beaucoup. Épicure avait bien raison, sur le plan philosophique il est bon de savoir se contenter...Tout en gardant un oeil vigilant sur ceux qui ne se soucient pas de savoir si certains n'ont plus rien du tout... (ça c'est mon côté Robin des Bois)
SupprimerTout comme me manquaient tes mots tricotés en forme de billet doux.
Tu as tout compris aux petits riens cher prince du Désert.
Il faut dire que le désert est une école de patience, de contentement et un lieu ou plus que jamais on doit se sentir appartenir au grand Univers.
Bises contentes, cher poète.
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J'ai beaucoup aimé ton commentaire pour mon billet: "ode aux choses simples" où tu décrivais merveilleusement les petits riens de la vie: http://bi-zakarium.blogspot.com/2016/07/ode-aux-choses-simples.html
SupprimerLes petits riens dont on s'émerveille,
Supprimerdont on s'émerveillera toujours..
Parce que le ciel sera toujours
comme un manteau de bleu
et de nuages
au-dessus de nos yeux éblouis.
Parce que le vert envahira encore souvent notre univers,
Pour nous donner l'espoir de sa couleur
Parce que la mer lèchera à jamais le sable de ses vagues
et que les fleurs tendront toujours leur corolle
à nos bouches assoiffées.
Alors les petits riens ne cesseront de nous émerveiller
Merci, poète, d'unir ta voix à celle de Gilbran
pour nous donner de si beaux vers...
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Je te disais alors pour ces mots trémolos et vibrants de tes petits riens;
SupprimerQuel bonheur que de trouver un matin au lever, tes mots jaillissants comme une eau de source limpide, claire. Ils me remplissent de joie, comme si une brise a soufflé pendant la nuit et a trouvé écho à mon poème pour lui promettre que l'aube ne sera que plus belle.
Je t'embrasse ma douce poétesse.
Séquence souvenir...bien agréable...
SupprimerMerci bisous
¸¸.•*¨*• ☆
Ce matin je lisais Walt Whitman, le gourou des poètes, il disait:"Je crois qu’un brin d’herbe est aussi important que la course des étoiles." Tu vois ces petits riens du tout sont quand même pas rien du tout.
SupprimerBise
J'aime tellement la poésie de Whitman...
SupprimerOui, tellement.
Merci cher poète des étoiles
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Elle devrait relever la tête, celle-ci: je vois pas la couleur de ses cils.
RépondreSupprimerDis donc, au fait, je peux te dire un truc? Non? Oui?
- Oui: hier je suis allé à Lestards ( église recouverte d'un toit de chaume sur le plateau, une grosse centaine d'habitants qui confirment à l'unisson que c'est la seule en France )et entre Eymoutiers et Treignac, je suis passé à La Celle. C'est dans cette autre grande ville que je me suis dit: " qu'est ce qu'elle a écrit, aujourd'hui "?
Je viens lire dès que j'ai le temps, et qu'est ce que je vois, hein, qu'est ce que je vois? Enfin, plutôt, qu'est ce que je vois pas?
Ses sourcils!
- Non: efface.
La bise.
Tu peux me dire tout ce que tu veux mon petit Bof.
SupprimerLa Celle alors ça c'est drôle... Il y a de ces noms de villages...
Pour les sourcils, faut pas rêver, ils sont toujours sombres, mon coiffeur n'est pas magicien non plus...je ne sais pas si on peut les colorer...
Une bise céleste
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Quel drôle de mot que « commenter », quelle drôle d’idée, je ne parviens pas toujours à la mettre en pratique Je m’émerveille. Parfois la joie de te lire m’épuise. Je t’aimais déjà beaucoup quand tu avais les cheveux bleus à pois jaunes, avec des rayures vertes. Alors, tu imagines
RépondreSupprimerComme hanté ? Sur un billet qui parle de fantôme, ça me semble facile pourtant... ;-)
SupprimerOui je sais, pour les cheveux, je sais que tu aimais les pois et les rayures, mais ce n'était pas toujours facile à assortir avec mon caraco kaki à col de caracul.
tandis que là...
¸¸.•*¨*• ☆
ahhh l'Irlande, cette terre si chère à mon coeur ! Bizzz Céleste
RépondreSupprimerPS : cette couleur est lumineuse comme toi
Merci !♥︎
SupprimerHaaa,l' Irlande.
RépondreSupprimerSi c'est toi en photo en hait, parce que cette mode de mettre des embryons de photo chesles blogeuses m'agaçe au plus haut point, ta couleur est réussie et top. Je ne sais pas si tu as le tein pâle et clair, comme les irlandaises mais le roux est beau.
Tu crois que l'immortalité est un bien ? Quoi que, les artistes , enfin une minorité d'entre eux le sont...et tant mieux pour nous.
Bisous.
Oh Mindounet, non je ne crois pas que l'immortalité soit un bien.
SupprimerJ'ai juste parlé d'un sentiment fugace d'éternité, c'est à dire quand on a apprivoisé la mort, que l'on n'en a plus peur, il nous semble alors que le temps s'agrandit, et l'espace de certains moments, on a l'impression qu'ils vont durer...
Quant aux embryons de photos, désolée de t'agacer...peut-être que c'est simplement que les blogueuses qui font ça cultivent un certain mystère...
Bisous sincères
¸¸.•*¨*• ☆
Je réfléchis aussi à cela. Si je regarde -mentalement- la terre, depuis le cosmos, je pense à cette boule de feu, et à nous, lilliputiens, qui nous agitons sur la croûte terrestre, occupés à nos affaires (bonnes ou mauvaises), ce qui me rappelle la pièce avec Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault, un vieux truc, où ils s'enfonçaient dans un trou tout en continuant à chipoter à leurs affaires (surtout elle me semble-t-il). Quel était encore le titre de cette pièce ?
RépondreSupprimerOh les beaux jours ! De Samuel Beckett
SupprimerC'était le titre...
Ah oui vus du cosmos qu'est-ce que nous sommes ridicules ...
¸¸.•*¨*• ⭐️
Changer sa couleur de cheveu ? Une chose simple ?
RépondreSupprimerDevenir Larousse ? rien que ça ?
Ah laisser sa trace dans le dico !
;-)
Bon, manière de dire que je te préférais "avant", mais ça tu le sais... chère ex-belle-noir-de-jais.... !
Reste l'essentiel : tes yeux !
:-)
Quoi? Toi taussi tu plonges dans le " c'était mieux avant " ? Peut être que dans mon évolution personnelle le noir de jais ne me convenait plus ?
SupprimerEn même temps c'est toi qui m'as appris que l'essentiel était de se plaire à soi, a défaut de plaire à tout le monde, n'est-ce pas ? Mais promis, je ne toucherai pas à mes yeux. :-)
Bisous cher Babar
¸¸.•*¨*• ⭐️
Ces petits riens du quotidien...
RépondreSupprimerC'est comme "toucher l'instant"... L'instant de bien-être, de plénitude... d'osmose avec le moindre petit détails, le moindre bruit qu'offre l'univers.
Pour ma première lecture sur ce blog... Je suis bien ravie d'avoir reçue de l'énergie positive ! Merci !
Ju'
Bienvenue Ju'Lyn
SupprimerRavie que tu aies ressenti de la positivité pour ta première lecture...
¸¸.•*¨*• ⭐️
Tous ces petits rien, tous ceux-là qui mettent du baume au coeur, des pétillements dans les yeux... C'est ça vivre, savourer la Vie !
RépondreSupprimerMon petit rien, comme tu l'as vu ailleurs, c'était un repas simple et bon, au soleil, avec mon amie Olga.
SupprimerJ'ai savouré la vie !
¸¸.•*¨*• ☆
Chère Céleste,
RépondreSupprimerTu vois , tes p'tits rien ils m'évoquent beaucoup....
D'abord j'entends Montant chanter "Sans amour on est peau d'balle, on est rien du tout"
Oui des p'tits rien font beaucoup dans la vie.
Il suffit d'un rien pour passer du rire aux larmes et au rire à nouveau
Un décès bien jeune (54 ans ) me rappelle notre vanité d'être : on est rien du tout
Alors cette joie à laquelle chacune et chacun nous aspirons elle tient à peu de chose en somme :
un sourire, un échange amical, un moment de partage de repas ou d'affection
Mais tout cela est volatil.
La sagesse est ainsi de vivre le plus intensément le moment présent ; comme l'écrit Michel Onfray dans Cosmos :
seul le présent possède une réalité tangible ; le passé est irrévocablement révolu , l'avenir imprévisible
(n'en déplaise aux diseuses de bonne aventure).
Alors vivons et partageons toute joie comme tu le fais si bien Céleste à travers tous tes mots
Bisous vivant au présent
Ah cher Petrus
SupprimerTu es la sagesse.
Désolée pour ce décès qui est sûrement celui de quelqu'un qui te touchait.
Le moment présent, le dira-t-on jamais trop ?
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Je ne vais plus chez le coiffeur ou alors une fois tous les deux ans, ou trois, quand vraiment ça me prend. Je n'y vais plus mais ça ne m'empêche pas de comprendre ton bonheur de ce petit rien; et puis, le roux? Pourquoi pas? Tes yeux sont si bleus!!! J'ai pourtant, dans ma salle de bains une boîte de henné neutre qui m'attend... demain? La semaine prochaine? dans deux mois? je ne sais pas... bisous ma belle rousse
RépondreSupprimerHé hé ! ce serait drôle que tu te fasses un petit henné...Ça te changerait.
SupprimerEt parfois ça fait du bien de changer un peu...
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Bien sûr que l'on peut faire du bien en posant les mains sur quelqu'un. Le lieu où j'allais pour passer mes degrés de reiki s'appelait "Les mains qui soignent", ça veut tout dire. Je pense que tout le monde a cette capacité de soigner avec les mains, mais tout le monde ne le sait pas. :-)
RépondreSupprimerLes cheveux roux, je les ai eus pendant de nombreuses années, lorsque j'étais plus jeune, j'aimais bien. Jeune fille, je me faisais du henné, j'adorais les reflets roux dans mes cheveux. Et puis je suis revenue à des teintes plus naturelles, mais j'aime toujours voir les femmes aux cheveux roux. Et cela te va très bien, Célestine. :-)
Bisous.
Merci ma douce amie. Tes mots sont toujours bienveillants et gentils.
SupprimerCe ne sont pas seulement les mains qui soignent.
Ce sont aussi les mots.
Bisous célestes
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Très,très en retard depuis mon coucou chez Lorenzo .
RépondreSupprimerJ'adore ces petits riens nés avec le matin tout frais qui vont gonfler ou bien s'apaiser sous le soleil brûlant! Ta couleur de cheveux est magnifique; si j'ose la comparaison, un flamboyant écureuil se glisse sur la branche et aspire le soleil.
Balaline, pas de retard, jamais, pour mes lecteurs qui viennent quand ils le désirent...
SupprimerMerci merci pour cet écureuil qui aspire le soleil. Chère poétesse...
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