photo du net
Elle frissonne. Mais ce n’est pas de froid qu’elle tremble. Elle le sait. Elle le sent. Ni même de la splendeur des étoiles sur ce ciel mauve inouï au-dessus des crêtes, non…
C’est
de lui. Lui qui l’appelle, à l’intérieur. Elle jette un dernier
regard sur le panorama offert à son regard ému. Puis pénètre dans
le chalet.
Dans
la pénombre, l’homme a une présence rassurante. Une force calme. Il met du
bois dans le poêle avec des gestes précis. La plénitude a envahi
leurs bras, leurs jambes lasses et leurs cœurs à l’unisson.
Alors, soudain, elle sait. Et elle sent monter en elle un chant
étonnant et sauvage.
Elle
sait déjà le repas : il sera simple, mais copieux. Elle sait
les impressions qu'ils auront échangées, les fou-rires subtils, le vin qui montera à la tête. Ses yeux à elle, de lune d’opale, plongés dans ses
yeux à lui, de braise sombre.
Quand, palpitante, elle s'allongera un peu brisée par la
longue marche, elle sait qu’il viendra près d’elle. Elle ne
sentira pas le bois dur de la couchette sommaire. Au contraire elle se croira dans le lit d'une reine. Elle sentira
son parfum de coriandre et de menthe souffler dans son cou les
langueurs de la nuit. Son corps nacré rendra ses mains avides. Avec
des élégances de dentellière, elle lui ôtera un à un ses
vêtements. Il fera de même avec délicatesse, serrant dans ses bras
les tremblements de son buste palpitant.
De
ses ongles arrondis elle suivra sur le corps de l’homme le trajet
imaginaire d’une goutte d’eau qui serait partie de son cou pour
descendre jusqu’à son nombril. En suivant la loi de la pesanteur
qui entraîne chaque chose dans un mouvement vertical.
Mais
la goutte d’eau continuera sa route plus bas, jusqu’à rencontrer
un obstacle dressé sur sa route vagabonde. Une vision conquérante,
une protubérance impatiente qui l’a toujours
fascinée. Elle ressentira dans le tréfonds de son
ventre cette faim, cette faim…qui ne se rassasie jamais vraiment,
mais que l’on fait de son mieux pour apaiser. Dans la douce clarté
de la lampe à pétrole, éclairant la table en sapin,
mais laissant dans l’ombre le reste du chalet, elle lui paraîtra irréelle
et sublime, telle Pénélope penchée sur ses travaux de toile, et la
vision de cette lune qui tanguera sous la vraie, impavide, que l’on
apercevra dans un halo narquois à travers l’étroite fenêtre,
affolera sa boussole intérieure.
Alors
il entrera doucement en cette citadelle si soyeuse et si accueillante
depuis la nuit des temps, l’origine du monde, et le cri de sa
conquérante magicienne lui dira un bonheur extatique dont il
appréciera la démesure. Seuls au monde, ils oublieront le temps,
dans une danse au goût d’éternité. Une danse de monts et de
vallées profondes, de globes et de plaines lascives.
Mais
ils n’oublieront pas combien le chant de leur plaisir aura bercé
la conquête d’un infini mouvement ondulant et très doux. Il se
souviendra de sa langue sucrée, de ses lèvres bonbons, et de tant
d’autres endroits de son corps voluptueux. Jusqu’à ce qu’enfin,
ils explosent en feu d’artifice, au terme d’un apogée fulgurant
et furieux, et que lançant un éclair de ses yeux d’opale, le
front étoilé de la sueur fraîche du bonheur partagé, elle lui
murmure enfin la promesse de l’aube.
|
Alors là… je suis sans voix !
RépondreSupprimerMaintenant que tout le monde est parti et que le silence s'est fait, je comprends le plaisir qu'elle a eu à monter "la-haut". Quel délice. Quel supplice…
Cette nuit je vais faire de beaux rêves :)
Un supplice tout relatif, tout de même, n'exagérons rien...
SupprimerEt les rêves furent-ils bons ?
¸¸.•*¨*• ☆
Il y a pire, comme supplice, je te l'accorde. La rime s'est invitée toute seule. Peut-être en pensant à l'inassouvissable rêve d'être "la-haut" ?
SupprimerPour ceux de ma nuit je ne sais pas, mais l'endormissement fut heureux, oui ;)
L'amour s'entend bien avec la fatigue, le voilà le secret de la montagne ;-)
RépondreSupprimerEt tu sembles parler en connaisseur... Il est vrai que cela aide à se détendre.
SupprimerMais il n'y a que dans mes fantaisies littéraires que l'on a un refuge pour soi tout seul...En temps normal, l'été, c'est plutôt l'ambiance heure de pointe...
¸¸.•*¨*• ☆
L'heure de pointe ! d:-D Je n'aurais jamais osé m'exprimer ainsi...
Supprimerhé hé...on reste dans le thème !
SupprimerEt même rendus là-haut, sur les cimes, l'escalade continue...
RépondreSupprimerSinon, je ne sais pas pourquoi, j'aurais bien vu le mot "aube" au pluriel dans le titre ! ;~)
Mort de rire !!! tu es vraiment excellent, mon TB, il n'y a que toi pour passer ainsi au deuxième degré sans crier gare.
SupprimerBises hilares
¸¸.•*¨*• ☆
le monde des hommes se divise en deux : ceux aux yeux clairs qui partent avec tristesses et ceux aux yeux de braise sombre qui espèrent en rêvant des lendemains possibles....
RépondreSupprimerA moins que....
Un guide bien mélancolique...pour aller jusqu'à mettre le mot tristesse au pluriel.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
on avait deviné la suite, mais tu la dis si bien ;-)
RépondreSupprimerOserai-je me risquer à penser que tu as aimé cette fantaisie coquine ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
très très chaud à lire en ce matin glacé!!!
RépondreSupprimerBonne journée ardente maitresse!
La journée fut, hélas un peu moins romantique et ardente...
SupprimerLes sbires de météo france ayant annoncé la venue de chutes de neige sur la région, les chères têtes blondes étaient comme on dit dans un état proche de l'Ohio, et leur enseigner les quadrilatères et les règles d'accord des participes tint à peu près de la mission impossible...
Mais je n'en reste pas moins une ardente maîtresse ...d'école !
¸¸.•*¨*• ☆
J'en frissonne encore.. Mazette, tes mots sont si bien posés... si délicieuse promesse de l'aube....j'ai adoré le parcours de la goutte d'eau..
RépondreSupprimerBelle journée Célestine... en Provence, probablement sous la neige cet après-midi...
Bisous.
Den
Pas encore, chère Den, pas encore...mais comme je le dis plus haut à mon amie Croukougnouche, attendre la venue des flocons est déjà un exploit.
SupprimerAh...le parcours de la goutte d'eau du bout du doigt...c'est quelque chose, et je me réjouis que tu aies adoré.
¸¸.•*¨*• ☆
Très beau.. :) Merci..
RépondreSupprimer^_^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Emouvant, bouleversant. Merci Homère, merci Courbet, et surtout merci Celestine. Unique. Bises, Miss Williams et ATTB;
RépondreSupprimerIl faudrait aussi dire un grand merci à Romain Gary, auquel j'ai effrontément emprunté le titre de mon billet, sans citer mes sources, oh la vilaine...
SupprimerATTB
¸¸.•*¨*• ☆
Homère...et Georges, bien sûr !
SupprimerCe texte me renvoie loin, très loin en arrière, ces phrases si semblables me rappellent... Me rappellent quoi ?
RépondreSupprimerLa cloche a teintée dans le crépuscule naissant, les gentilles Dames vont venir me chercher, il fait froid tout à coup dans ce foyer nommé soleil, et pourtant...
Je n'ai pas tout compris à ton histoire de dames et de foyer...
SupprimerTu m'expliques ?
¸¸.•*¨*• ☆
Waouh!! C'est chaud chez toi ce matin! Remarque avec le froid qu'il fait dehors ça fait du bien:-)!
RépondreSupprimerAh mammilou, je suis contente d'avoir contribué à te faire faire quelques économies de chauffage, et ainsi d'avoir un peu préservé la planète avec mon petit texte innocent...
Supprimer:-)
¸¸.•*¨*• ☆
Quelle ascension! ;)
RépondreSupprimerCertes, il ne faut pas sous-estimer l'altitude de cette jolie petite montagne appelée poétiquement Mont de Vénus...
Supprimer;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Waouh waouh waouh! Il réchauffe plus qu'un feu de bois, ton texte, Célestine!
RépondreSupprimerTres beau texte. Un moment de vraie intensité.
Une bonne douche et on grimpe jusqu'au prochain refuge!������
Comme tu le disais précédemment, je ne ferai pas lire cette suite à mes enfants par peur de questions trop précises, hein?!
Je t'embrasse
Ils sont sans doute un peu petits, pour l'instant, tu as raison.
SupprimerMais dès qu'ils comprendront, leur montrer la beauté que cela peut revêtir quand c'est exprimé de façon délicate, me semble indispensable (cf. mon billet "présent décomposé")
Comme John Lennon, je n'ai jamais compris "pourquoi on devait cacher les choses de l'amour, alors que la violence éclate au grand jour..."
Bises celestes
¸¸.•*¨*• ☆
"pourquoi on devait cacher les choses de l'amour, alors que la violence éclate au grand jour...?"
SupprimerMais oui , tu as raison John de poser la question, pourquoi ?
Là il fait plutôt chaud à cet endroit précis de ton blog, l'ambiance n'est pas à la tristesse , bon je m'en vais tout doucement afin de ne pas déranger les ébats de ceux qui s'aiment ......
Vous nous comblez chère délicieuse.
RépondreSupprimerEvocatrice mais jamais provocatrice.
Merci
~L~
C'est très gentil cette rime riche.
SupprimerMerci
¸¸.•*¨*• ☆
L'affolement de ma boussole intérieure m'a tout à coup fait perdre le Nord…
RépondreSupprimerPour une fois que je viens tardivement je n'ai pas regretté…
Pour une fois que tu viens tard, je te loupé parce que je me suis couchée tôt...
SupprimerLa vie est mal faite...
¸¸.•*¨*• ☆
un joli texte
RépondreSupprimerMerci
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Résilience : il y a eu cette symphonie de rire, de vie et puis...comme une perte de conscience, un grand vide, une souffrance,le silence : presque une douleur. Pourquoi l'homme transformé ne peut-il retrouver son état initial après cette parenthèse enchantée ?
RépondreSupprimerDehors l'aube levée donne au paysage des couleurs d'aquarelle. Il faut qu'il pose son fardeau, qu'il prenne son envol : déchirer l'ordinaire sans regrets, sans états d'âme.
Malgré le lit un peu bancal il veut à son tour suivre sur son corps le parcours sinueux de la goutte d'eau : rejouer cette scène et voir la belle à nouveau scintiller.
Le doigt part du front, écarte une frange rebelle, suit le nez, embrasse deux lèvres au passage. Et puis c'est le menton, la courbe blanc d'un cou gracile. Le doigt descend et au passage du coeur dépose un baiser sur deux doux gardiens qui le protègent.
Attendre un instant. Prendre le temps. Continuer avec ténacité à lire ce corps offert...et désiré.
Descendre le long du ventre, et puis un peu plus bas, sentir cette douceur qui l'attira dans cet océan de douceur et de plaisir partagés.
Elle se réveille, lui sourit et l'attire.
Sidération ....
Variations très réussie sur le thème...
SupprimerBien vu, participant clandestin au jeu d'Asphodele...
¸¸.•*¨*• ☆
oups, réussieS ...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
;-))
Supprimerça me rappelle quelque chose...
RépondreSupprimerMais je n'en doute pas...
Supprimer^_^
¸¸.•*¨*• ☆
Ben ils ont la santé tous les deux!
RépondreSupprimerÇa me rappelle les italiens du refuge dans "les bronzes" !
Scusi!
Mais ne t'excuse pas (enfin je sais que c'est une réplique culte du film hein)...
SupprimerC'est ta lecture de mon texte, et ce sont tes références culturelles ^^ je respecte. :-)))
¸¸.•*¨*• ☆
Finalement je comprends pourquoi tu aimes la randonnée jusqu'à l'escalade. :D
RépondreSupprimerOn sent que tu n'as eu aucun mal à écrire cette suite joliment hot.
bises troublées. :D
Joliment hot, j'aime bien ce mélange franglais very gentil.
SupprimerBises mutines
¸¸.•*¨*• ☆
Après cette escalade vertigineuse au plus haut ciel, on peut dire qu'on a atteint Dieu , les anges et et le Nirvana.
RépondreSupprimerHola hola : le 7ième ciel tout au plus et quelques soupirs des anges, intermittents du spectacle pour la plupart d:-D (Brassens, 95 fois sur cent)
SupprimerC'est pas faux !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
très beau texte qui se termine en apothéose
RépondreSupprimerMerci chères petites bébêtes...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ton texte est très beau mais je bloque totalement car je n'aime pas lire l'intimité des corps et des couples. (je sais pourquoi hein.. ! )
RépondreSupprimerDésolée !
Quand tu dis que tu bloques, j'espère que cela ne veux pas dire que tu es choquée. je n'aime pas mettre mes lecteurs mal à l'aise...
SupprimerSi c'est juste pour faire un commentaire, je te rassure, il n'y a pas d'obligation...
Bisous compréhensifs
¸¸.•*¨*• ☆
Que c'est beau!
RépondreSupprimerJ'entends les souffles mélangés... et le pas de l'aube mauve qui vient border les amants... et la chaleur devient tendrement envahissante.
Bises!
Si un poète apprécie alors...je suis comblée.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Poétiquement chaud dirais-je ! Un feu d'artifice, une flamme sous la glace ! :) Merci Célestine d'avoir comblé de si éblouissante façon notre attente... Bises ! ^-^
RépondreSupprimerJe suis heureuse que tu sois venue prendre livraison de ta commande, ma copine !
SupprimerIl ne manque plus que la belle Soène.
Bisous
¸¸.•*¨*• ☆
Salut, Celle.
RépondreSupprimerL'homme de la pampa n'est certes pas insensible à la poésie, mais quand il est éleveur sur la terre maigre des puys, il est soucieux du rendement. Alors, est ce qu'ils ont eu beaucoup d'enfants?
( Je me demande si je ne suis pas de plus en plus méprisable )
Et ces vacances, ça se présente bien?
Oui, Bof, les vacances se présentent très bien. Il paraît même que je vais voir ton chou la semaine prochaine...
SupprimerMéprisable ? Non pourquoi...juste d'une pudeur virginale.
Bises célestes
¸¸.•*¨*• ☆
Chut ... Vivre l'instant présent ...
RépondreSupprimerBisous ♥
Celui là était particulièrement beau, c'est vrai.
SupprimerA l'instant, je vis un rhume carabiné qui m'empeche de respirer...
Bisous ma belle
¸¸.•*¨*• ☆
Je profite d'une connexion de passage pour poser un commentaire, le smartphone étant définitivement fâché avec blogspot.
SupprimerC'est malin de faire des galipettes dans une cabane de montagne.... Après on s'étonne d'être enrhumée....
Baci Sorellita
La semaine prochaine, je regarderai ton smartphone et je lui jetterai un sort.
SupprimerSinon je trouve ton commentaire ...tu veux que je te dise ? Petit, voilà, c'est petit... :-D
¸¸.•*¨*• ☆
Que veux-tu, je suis claustrophobe, alors j'imagine la même scène sur une plage par une douce soirée d'été. Elle alanguie sur le sable, devant la cabane de pêcheur, lui qui rajoute quelques branches sur le feu de camp avant de s'occuper de la goutte d'eau de mer qui tombe de ses cheveux..... et je trouve ça.... Grandiose.
SupprimerTi bacio en technicolor et sur l'immensité d'un horizon maritime.
Je ne savais pas que tu étais claustrophobe...
SupprimerMais tu me fais rêver, là...
sourire céleste
¸¸.•*¨*• ☆
Claustrophobe est à prendre dans un sens plus relatif.
SupprimerJe supporte un local fermé (surtout si bien accompagné), mais ce n'est pas un choix prioritaire. Par contre, j'ai toujours bossé de préférence au grand air et il ne faudrait pas me parler de spéléo avec des passages en boyaux. Déjà que lorsque j'ai du descendre dans mes citernes d'eau pour les laver, je l'ai fait avec une personne en surveillance à l'extérieur...
Molto baci
J'avoue que les images de speleos coincés sous terre me font froid dans le dos...
SupprimerEt je n'aime pas trop les ascenseurs non plus.
Un peu claustro, mais pas trop...
Baci
¸¸.•*¨*• ☆
Aucune anaphrodisie ne peut résister à ces mots somptueux, onctueux et voluptueux que tu as si joliment et si lascivement couchés sur ton blog... Euh... ce chalet, il est où, au juste... ahahahah...
RépondreSupprimerEh bien, si j'ai contribué au traitement, tant mieux...
Supprimersourire céleste
¸¸.•*¨*• ☆
Célestine, la vieille So'N arrive suant, soufflant ! Par hasard, car mon emploi du temps ne me laisse guère le loisir de lire régulièrement mes aminautes...
RépondreSupprimerEt bien, je l'avais aussi prévu cette suite & fin, et dans ma tête, rien n'était aussi poétique que tes mots !
Merci d'avoir accédé à nos désirs (sourire)
Gros bisous ensoleillés
Cette suite, ma Soene, tu étais la première a me la demander et je me disais : viendra-t-elle un jour ? Et tu es venue.
SupprimerComment fais tu pour avoir moins de temps a la retraite qu'en activité ? C'est un mystère ...
Gros bisous ma belle
sourire céleste
¸¸.•*¨*• ☆
En reprenant mes pérégrinations sur ton vaste tapis persan semé de fleurs , je découvre et je relis tes textes qui sont comme des pépites d'or , comme ce présent texte qui est d'une magnificence et d'une plénitude qui me réjouit mon âme enivrée.Tu as une plume majestueuse.Je vais garder ce trésor sous mon gilet pare-balle.
RépondreSupprimerJ'avoue que j'ai pris plaisir moi-même à relire mon texte...
SupprimerEt j'adore ta dernière phrase...
¸¸.•*¨*• ☆
Je suis parfois plein de verve, quand mes mots trépignent à vouloir sortir coûte que coûte, pour l'oreille qui m'écoute et qui me le rend bien.
SupprimerAh...les mots qui trépignent...les meilleurs !
Supprimer...et qu'on me le rende bien, je préfère ! Couic, lol.
SupprimerBen dis-donc, on tire en même temps et on ne voit pas siffler le train. Bise matinale.
SupprimerBen oui...
SupprimerJ'essaie de suivre la course, mais tu es rapide !
Hummmmmmm... délicieux :)
RépondreSupprimerEh oui Maitresse, Pierre se gagne par les feux*... d'où la pierre à feu :D
Bon weekend pascal et bisous pour vous deux.
* les feux de l'amour, principalement :)
Merci Julie...
SupprimerAutre temps...l'impermanence des choses...sans doute...
Bisous
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
L'impermanence des choses peut nous conduire vers le développement durable (sourire).
SupprimerBonne soirée, douce Célestine. Bisous.
:)
:-)
Supprimer