Lorsque tu t'endors, je veille
Et je dors quand tu t'éveilles
Tes oiseaux cessent leurs chants
Quand les miens déchirent l'air
Tes longs poissons font des bulles
Quand les miens flottent, immobiles,
Entre deux eaux de l'oubli
De ce côté-ci du ciel
Mes étoiles s'entremêlent
Et là-bas ton soleil donne
Ma nuit se fond dans ton jour
Et mon jour c'est ta nuit claire
A midi ton minuit sonne
Pourtant dans un souffle de vent
Mes mots traversent les fuseaux
Les fuseaux or, les fuseaux air
Ces si minces quenouilles horaires
Ce décalage légendaire
inventé par les businessmen
des classes affaire
des classes à faire
A faire quoi ?
A faire quoi ?
beaucoup d'affaires
Importantes
beaucoup d'affaires
inutiles
Moi je tisse une love affair
Sur ces fuseaux imaginaires
Et en fusant de moi vers lui
Sur le fil flou de notre amour
Mes mots, timides hirondelles,
viendront se poser sur sa peau
A l'instant de grâce et de sel
Sur une horloge
universelle
Où s'abolissent les horaires
Des classes à faire
des classes affaire
¸¸.•*¨*• ☆
Tes mots hirondelles, tes mots voyageurs,
RépondreSupprimerJe ressens le décalage horaire
Comme une envie de repartir
Merci pour cette douceur matinale ma chère Blue
Bon lundi au soleil ;-)
Dire en poésie ce phénomène étonnant, oui, c'est mettre de la douceur sur quelque chose qui peut-être vécu comme un peu agressif pour l'organisme...
SupprimerMerci Cristina pour tes mots bleus du matin. Ceux qu'on dit avec les yeux.
Blue kisses
¸¸.•*¨*• ☆
superbe, Célestine!
RépondreSupprimerMerci Adrienne, ça me touche.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'est beau Célestine.... des mots à fredonner sur une mélodie douce et chaloupée..
RépondreSupprimerUne mélodie douce et chaloupée ? Voilà, c'est fait, je l'ai rajoutée pour toi.
SupprimerBisous ma belle âmie
¸¸.•*¨*• ☆
Merci pour la Mêle-Oh-Dit ¸¸.•*¨*• ☆
SupprimerOu bien « mêle au dit » , puisqu'elle se mélange à mes mots...
SupprimerKiss
¸¸.•*¨*• ☆
Tu écris joliment l'affaire.
RépondreSupprimerQuand mes ami·e·s vont se perdre au Brésil ou en Calédonie Nouvelle, j'ajoute sur l'écran de mon ordinateur l'horloge de leur fuseau. Ça nous rapproche.
J'aime tes points-milieu qui viennent dire tout discrètement que tu as envie que les choses avancent...
SupprimerAvec les nouvelles technologies, les amis ne sont jamais loin...;-)
Bises
¸¸.•*¨*• ☆
Que c'est joli ! Il faudrait le mettre en musique. :)
RépondreSupprimerOui, j'y penserai dans une autre vie...
SupprimerA moins que tu ne connaisses un musicien intéressé par mes textes ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
On dirait du Mayereau...
RépondreSupprimerMince, j'aurais dû écrire sur du papier d'Arménie... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tiens, convergence de pensée
Supprimeren lisant ce beau texte j'ai aussi pensé à elle…
faut dire que c'est ma copine !
Merci Alain.
SupprimerVous me flattez l'un et l'autre de me comparer à Isabelle...
Mais je prends tout le bonheur du compliment.
¸¸.•*¨*• ☆
Bravo Celestine, un poème si beau sur le décalage horaire, toi seule en est capable
RépondreSupprimerC'est trop gentil, j'ai envie de mettre mes lecteurs au défi. Je suis certaine que certains s'en sortiraient aussi bien que moi...
SupprimerBisous miss
¸¸.•*¨*• ☆
Ne me cache rien, tu es sponsorisée par Ryanair ?
RépondreSupprimerPardonne-moi, gros bisous !
Te pardonner de quoi ? D'avoir de l'humour ?
SupprimerTu me fais rire, Boss, et je ne vais pas répéter ce que je t'ai dit sur le dernier billet, j'aurais l'impression de radoter. :-)
De toutes façons tu ne l'as même pas vu... ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Attention ! Je suis comme Dieu : je vois tout mais je ne dis rien. Et pour ce que je peux encore faire des femmes dans mon lit, hein... Surtout si en plus elles ont les pieds froids !
SupprimerTu es comme dieu ? Rien que ça ...
SupprimerOh my god !
¸¸.•*¨*• ☆
Bon, ou Dieu est comme moi, c'est la grande question de qui a créé l'autre.
SupprimerEt... encore une chance que tu ne sois pas une de ces Parisiennes qui finissent tous leurs mots par "eee" !
J'ai failli, mais ce n'était pas politiquement correct :-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Joli voyage imaginaire que j'ai savouré en prenant mon café.
RépondreSupprimerEt avec la musique de Diana Krall, c'était parfait !
Bises
Angela
Je suis sponsorisée par Ricoré...mais chut !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je me disais bien: toujours le mot pour rire, céleste Célestine !
SupprimerBises
Angela
Ben tu vois que tu as réussi à le poster ce commentaire !
SupprimerLol
Toi, tu as seize ans, ces temps ci...
RépondreSupprimerC'est excellent pour le moral
(et pour le teint, dit-on...)
Je confirme, j'ai une mine superbe !
SupprimerMais ne me vieillis pas: j'ai quinze ans et demi... ;-)
Bisettes
¸¸.•*¨*• ☆
Avant que je range l'à faire
RépondreSupprimerCe matin je m'inscris en classe.
Geologie en étude me délasse
Aucun décalage horaire
Mais moi en cité du fromage
Toi en arriere-pays de ton choix
Mes pensées rendront hommage
Au doux murmure de ta voix
Bises poétiquement admiratives
Faire rimer hommage et fromage, tu sais que tu es un poète, cher Petrus... ;-)
SupprimerJe te charrie, mais je suis touchée.
Bises amicales
¸¸.•*¨*• ☆
Quand m'a-t-on écrit ainsi? M'a-t-on jamais écrit ainsi? L'Ecosse n'a pas de décalage horaire, seulement une heure en moins, de pure convention. Somptueux, radieuse Angel Baby. Kisses from a friend of Picardie.
RépondreSupprimerAh mon fatal Picard, tu es revenu du pays des fantômes, je vois...
SupprimerJ'ai pensé à toi.
Tu m'as ramené un Nessie en peluche, j'espère 😜
Lot of kisses from your glittering angel baby
¸¸.•*¨*• ☆
En te lisant, je m'évade à des années lumière. Un fort beau voyage qui mériterait effectivement une mise en musique. ;-) Bises alpines ma poétesse céleste.
RépondreSupprimerEt si j'essayais moi-même de plaquer quelques accords sur mon texte ?
SupprimerLe ridicule ne tuant point, pourquoi pas...
Bises mon alpine
¸¸.•*¨*• ☆
Une chanson belle, classe, d'amour, optimiste, légère, coulant comme une rivière, comme toi seule sait ...
RépondreSupprimerBises.
Je fréquente les poètes, ça m'inspire...
SupprimerEt tu en fais partie cher Patrick, sincèrement et sans flagornerie...
Bises
¸¸.•*¨*• ☆
Un joli bonheur que ce texte, avec de belles trouvailles, "des fuseaux or, des fuseaux air" j'aime votre façon de jouer avec les mots, vous le savez.
RépondreSupprimerMerci pour cette friandise.
Ne bridez pas votre poésie, elle nous entraîne dans votre sillage et c'est doux. Chère délicieuse.
~L~
Je ne bride rien, j'essaie juste de ne pas lasser mes lecteurs qui me préfèrent moins « rêveuse »...
SupprimerAlors j'alterne...
Mais j'aime beaucoup ce que vous dites, comme toujours. La friandise, c'est pour moi de toucher le coeur de mes lecteurs...
¸¸.•*¨*• ☆
Je me suis laissé bercer par tes mots( quel joli poème!) et me suis endormi sur mon fuseau horaire !
RépondreSupprimerA défaut de toucher ton coeur, j'ai touché ton centre nerveux du sommeil...
SupprimerMuahaha !
Bisous Daniel
¸¸.•*¨*• ☆
Mais si, tu as touché mon cœur comme souvent d'ailleurs !
SupprimerAh ! tu me rassures, cher Daniel.
SupprimerQuoique je ne fusse pas très inquiète quand même ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Tu me donnes le jet lag, cette balançoire d'amour lanuit sur fondu enchaîné le jour... C'est très très joli... ça berce et ça évente!
RépondreSupprimerLe jetlag sans sortir de chez toi, c'est fort, non ?
SupprimerBaci sorellita
¸¸.•*¨*• ☆
Bonsoir Célestine,
RépondreSupprimerJe vais connaitre un long voyage (11 heures de vol) en novembre, mais pas en classe affaires, hélas...
Bisous,
Mo
Tu repenseras à mon petit poème spécial pour les amoureux du bout du monde...
SupprimerPuis-je te demander où tu vas ?
Bisous ma belle jardinière.
¸¸.•*¨*• ☆
Cro mimi ! De la joie sur vous avec ♥
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=tgM5GrhK1l8
SupprimerPauline Croze... ;)
J'aime écrire des poèmes d'amour, cher Titi
SupprimerC'est doux à écrire, non ?
Jolie, la chanson, mais est-ce que t'es beau ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Là, je me régale!
RépondreSupprimerJ'adore ce voyage en décalage.
Il est si difficile à certains moments d'avoir midi en même temps sur deux perrons éloignés.
Un texte qui fuse, diffuse du bonheur.
Bises de Greenwich.
Vrai tu es à Greenwich ? Ou c'est juste pour faire genre que tu as compris le thème ? ;-)
SupprimerIl est parfois difficile, même, d'avoir midi en même temps sur le même perron... :-)
Bises sans décalage
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Ah! Devine... Remarque qu'à la verticale je ne suis pas très loin de son méridien...
SupprimerBon, j'dis ça, j'dis rien.
Mais j'aime bien faire genre qui a tout compris bien.
Bises de mon perron.
En fait tu veux dire que tu n'as pas quitté le pas de ta porte, c'est ça ? ;-)
SupprimerIl faut dire que tu voyages pas mal dans ta tête déjà...
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Un peu, mais ça me démange de repartir...
SupprimerJ'en rêve, et je te fais une confidence, rien qu'à toi.
Le départ c'est un peu pour bientôt. Je réfléchis déjà à ce qu'il va falloir mettre dans la valise.
Bises voyageuses.
Je suis honorée de cette confidence « rien que pour moi »
SupprimerJ'ai hâte de connaître la destination du voyage...
Bisous étoilés
¸¸.•*¨*• ☆
L'avion, l'avion, l'avion, ça fait lever les yeux
RépondreSupprimerLa femme, la femme, la femme... Euh, nan... Classe l'affaire XD
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerAh, tu joues en catégorie colonie de vacances, maintenant ?
SupprimerSérie : « Amis de la poésie, bonjour » ?
Mouarf !
¸¸.•*¨*• ☆
Tes mots fusent haut, Célestine.
RépondreSupprimerIls diffusent, même, très haut.
Ils confusent un peu,
comme cette image d'un avion sans elle...
Magie des décalage horaires, Plus besoin de chercher midi à quatorze heures !
"De ce côté-ci du ciel
Mes étoiles s'entremêlent
Et là-bas ton soleil donne
Ma nuit se fond dans ton jour
Et mon jour c'est ta nuit claire
A midi ton minuit sonne"
un océan vous sépare, l'atlantique au milieu.
Il est midi à Paris et toi tu dors encore
A Cold Canyon Water L.A.
Il est midi à L.A. et toi tu entres en scène
Sur les bords de la Seine Paris
Nous vivons des deux côtés d'un monde
A dix heures d'écart entre hier et demain
2 degrés 20 minutes et 14 secondes
C'est l'histoire du premier méridien
Il est midi à Paris et pour toi c'est l'aurore
Là -haut à Berverly L.A.
Je t'imagine endormi et si tu l'aimes encore
Est-ce que tu m'aimes un peu aussi
Il fait noir boul'vard du crépuscule
Il y a des orages même au paradis
Mais si l'on décidait d'accorder nos pendules
D'aller du zéro à l'infini
L'Atlantique au milieu
Et chacun sur sa rive
L'Atlantique au milieu
Un coup d'aile et j'arrive
Les oiseaux de l'Occident
Nous verrons passer au jour levant
Dans une machine
Qui court plus vite que le vent
Attends avant de te réveiller attends
Que je t'embrasse
Que je te dise bonjour
Avant de faire la traversée
Juste pour passer
Par dessus le temps
Et pour effacer les océans
L'Atlantique au milieu
De nos lointains rivages
L'Atlantique au milieu
De nous deux c'est dommage
Il est midi à Paris et mon avion taxi
Vient juste de quitter le sol
Il fait soleil à L.A. prends pas ton parapluie
Je t'attends sous mon parasol
Il est midi à Paris et nous on dort encore
A Cold Canyon Water L.A.
Autour de nous c'est la nuit mais si tu m'aimes aussi
Je me fous bien de l'heure qu'il est
Il est midi à Paris et nous on dort encore
A Cold Canyon Water L.A.
Autour de nous c'est la nuit mais si tu m'aimes aussi
Je me fous bien de l'heure qu'il est
https://www.youtube.com/watch?v=uh9HWinn9iE
Je ne connaissais pas du tout cette chanson, et je dois dire que je suis vraiment surprise de n'en avoir jamais entendu parler...Pourtant un duo Vartan Sardou, ça ne passait pas inaperçu...
SupprimerJe devais rêvasser sur mes poèmes d'adolescente, déjà...
En écoutant d'une oreille distraite le Hit Parade de Julien Lepers sur RMC...
Merci Didier pour ta première strophe, qui est de loin celle que je préfère dans ton commentaire
¸¸.•*¨*• ☆
Ma première strophe ? c'est la seule ...! Le reste n'est pas de moi.
SupprimerCe sont les paroles de cette chanson.
je ne sais pas (plus) composer des poèmes... J'en ai écrit,je n'en ai gardé aucun.
Cette chanson était la face B d'un quarante-cinq tours. Le titre phare de la face A n'en finissait pas d'être diffuser sur les radios libres, de l'époque.
La première fois qu'on s'aimera https://www.youtube.com/watch?v=rjY2oO6Aits
Ah oui je me souviens très bien de cette chanson...
SupprimerIncroyable comme les souvenirs surgissent en l'écoutant...1982...où sont mes vingt ans...
Allez tu ne veux pas m'écrire un poème ?
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
PS : pour ta première strophe, c'était fait exprès, pour dire que je préférais ce que tu écris aux paroles de n'importe quelle face B... :-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
C'est gentil, ce que tu me dis-là, Merci!
SupprimerLes poèmes ne sont pas comme le vélo, fut-il un taburin... ça s'oublie. J'ai essayé, je me suis arrêté à la première strophe, justement. Aucune inspiration pour la suite.
je sais que si je m'y replongé, j'y arriverais,mais je n'ai plus vraiment la tête à cela.
Dommage. C'est bien d'avoir la tête à la poésie, parfois...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Certes ! J'en ai écrit dans une période où je n'allais pas très bien, bizarrement, j'avais de l'inspiration. Comme je l'ai dit, chez toi, il y a longtemps, maintenant je n'écris plus que pour le plaisir et c'est beaucoup mieux.
SupprimerJ'en suis ravie et ne change rien cher Didier !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Une bien belle façon d'illustrer un phénomène qui m'est inconnu, si je fais abstraction des passages été-hiver...
RépondreSupprimerTi bacio Ragazza
Tu n'as jamais pris l'avion, Blutchiamo ?
SupprimerJe reviens de voir Raoul Taburin, lui n'a jamais fait de vélo...
Baci caro e a presto
¸¸.•*¨*• ☆
Oui, mais mes voyages n'excédèrent pas 2 heures de décalage. Les Canaries, Casablanca, Édimbourg, Sérifos, Istanbul. Comme je n'aurais jamais le temps de tout voir à l'intérieur de ce périmètre, ni même dans les frontières de la toute petite Helvétie, je me contente des films et récits de voyage pour le reste du monde.
SupprimerQuant au vélo... je dois avoir posé deux ou trois fois mon fondement sur une selle avant de décréter qu'une celle d'une moto est beaucoup plus confortable et que les pédales d'icelle sont moins fatigantes.
Et qu'on ne vienne pas me chercher des poux en rapport avec un bilan carbone qui est exempt de kérosène et de fuel domestique... :-P
Ti bacio
Qui te chercherait des poux, mon bon blutchy...
SupprimerChacun fait ses concessions personnelles à l'écologie, parce que nous ne sommes pas des saints, et vivre sobrement ne veut pas dire « comme les hommes des cavernes »
Bref, moi je n'ai fait qu'un voyage au long cours, mon voyage de noces à la Guadeloupe...
Mais à vingt six ans, on ne craint pas le jetlag...
Baci
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
@ Blutchy
SupprimerPour passer le permis moto,je me rendais à l'auto-école en vélo, justement. Ensuite, j'enfourchais une cinq cent-cinquante centimètre cube. Sacrée différence de cylindré !
@ Célestine
Je suis content de voir que tu t'es souvenu de Raoul Taburin...
J'ai vu l'avant première du film avec Poolvorde et Edouard Baer : un vrai petit bijou frais de poésie cycliste...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Jolie, si jolie déclaration d'amour migratoire… les hirondelles vont porter ton amour et tes mots, elles prennent leur envol en ce moment. Bisesssssssss
RépondreSupprimerOui, Brizou, je les vois sur les fils chaque matin...Elles discutent itinéraire avant de larguer les amarres...
SupprimerL'automne arrive à grands pas.
Bizou mon amie
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Ton bonheur tricoté Célestine, est au coeur emperlé
RépondreSupprimerde vos rythmnes circadiens décalés
et tes mots si joliment tissés
donnent vie aux étoiles constellées...
et l'a-ronde d'aile papillon dans ce bout du ciel re-lié
porte messe-âge à l'or-loge
de l'autre côté au posé.
bisou
Comme c'est joliment dit, Den
SupprimerTes frissons de mots enluminent mon petit déjeuner
Bisou du coeur
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Toi, tu as le cœur qui bat trop vite.
RépondreSupprimerDepuis toujours... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Personnellement je ne suis pas très calé, décalé oui ! Décaler c'est un terme de pompiers, quand ils veulent dire partir.
RépondreSupprimerJe n'ai plus rien à dire... Je cale ! ];-D
P.S : les habitants de Cancale sont ils décalés ? (Vous avez deux heures).
Les habitants de Cancale sont-ils bancals ? Calent-ils au moment du dessert ? Sont-ils à fond, à fond de cale ?
SupprimerMangent-ils du calamar ? Boivent-ils du mescal ? Fument-ils le calumet en caleçon ?
Trop de questions métaphysiques et zodiacales me viennent dans la calebasse.
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Que tes mots sont beaux Célestine et je m'envole presque :-)
RépondreSupprimerJe te souhaite une toute belle journée ensoleillée.
Bisous d'une rêveuse qui regarde le ciel.
Tu nous rapporteras des photos encore plus extraordinaires, n'est-ce pas ?
SupprimerBisous ma rêveuse
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Je suis allée faire un tour sur tes autres blogs, tous deux aussi poétiques ! Tu aimes les mots, mais il est évident qu'ils t'aiment aussi et se laissent manier avec volupté ! Tu as un grand talent Célestine...
RépondreSupprimerMerci chère Bourlingueuse.
SupprimerEt encore, tu ne sais pas tout...il y a tant d'autres choses que j'écris en dehors des blogs...
Manier les mots avec volupté, oui, c'est une de mes raisons de vivre...
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Mais alors, ma petite Celle qui es si mignonne, je ne serais pas toujours qu'à l'ouest? Malgré ce que certains affreux prétendent? Attends que les vents de la grande mer se ramènent : je vais discuter graves avec les gars de notre capitale régionale ...
RépondreSupprimerRhôô ben on en apprend des choses, mon petit Bof qui est si gentil...alors comme ça, il y aurait un décalage horaire entre chez toi et chez moi ?
SupprimerIncroyable quand même ! ;-)
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Bonne journée et gros bisous :)
RépondreSupprimerLa journée fut excellente, chère Cathy.
SupprimerBelle journée à toi
¸¸.•*¨*• ☆
Dieu que c'est beau Celestine ! Comment fais-tu pour m'émouvoir toujours autant ?
RépondreSupprimerEh bien je ne sais pas...Peut-être à toi de me le dire, Sister...
SupprimerPeut-être simplement parce que j'écris avec le coeur ?
¸¸.•*¨*• ☆
Peu importe le décalage horaire, si on est sur la même longueur d'ondes.... Tous les espoirs sont permis! ;-)
RépondreSupprimerbisous
C'est un très joli mot de conclusion chère conteuse
SupprimerMerci pour cette note romantique...
Bisous célestes
¸¸.•*¨*• ☆
C'est très beau ce texte. Tu es très inspirée et moi j'aime ces histoires d'amour à distance…ma grille de lecture d'indécrottable midinette !
RépondreSupprimerJ'aime bien ta grille de lecture, miss. Elle ressemble à la mienne à s'y méprendre. ;-)
SupprimerBisous
¸¸.•*¨*• ☆
Très joli, ce mariage de poésie amoureuse et de monde contemporain ! Piquants, le fuseau comme les mots !
RépondreSupprimerEspérons, mon oncle, que je ne tombe pas dans un profond sommeil de cent ans...je n'ai pas trop envie de voir ce que le monde sera devenu dans un siècle...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Comme il chante bien,ce voyage si doux, par dessus les toits, les mers et les monts...jusqu'au bout des rêves !
RépondreSupprimerMerci Célestine, tes pensées affectueuses me touchent et m'offrent le sourire.
Ravie de te voir par ici Balaline.
SupprimerC'est une bien douce chose que d'être lue avec des yeux indulgents.
¸¸.•*¨*• ☆
La fraîcheur charmante d'une ritournelle... L'amour est toujours tout neuf ;-) ♥
RépondreSupprimerEternellement recommencé et pourtant toujours nouveau, oui... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bon voyage !
RépondreSupprimerBerthoise
Bisous ma Berthoise
Supprimer💗
un peu (beaucoup) en décalage pour lire tes billets mais mieux vaut tard que jamais
RépondreSupprimerVieux motard que jamais , les Caphys !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tu virevoltes avec les mots et les rives...jolie love affair, décalée... :D
RépondreSupprimerDécalée, oui, de quelques milliers de kilomètres...
SupprimerBisous Mind
¸¸.•*¨*• ☆
Ah, tiens ! Célestine rime avec lui... Je le note... XD
RépondreSupprimerJe n’ai pas compris ?
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Ah oui ? Mais tu l'as écrit...
SupprimerReliE-toi. C'est clair, en creux.
C'est clair pour toi, mais un peu nébuleux pour moi...
SupprimerMême si j'apprécie le jeu de mots. ;-)
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Autre chose, mise en regard ? Oui, je pense...
RépondreSupprimerhttp://pavupapri.hautetfort.com/archive/2018/10/01/orbitalite-6093839.html
Zoubi, jolie