Emmène-moi dans un endroit spécial, un endroit beau, subtil, bleu et vert et doux et multicolore que tu auras choisi pour moi. Un endroit que tu aimes et que tu voudrais me faire connaître.
Peu importe le lieu pourvu que l'on y trouve des gens qui sourient, des délices à déguster. Des odeurs entêtantes. Une vue imprenable. Des sons agréables.
Un peu de pluie mais pas forcément. Un grand soleil mais aussi quelques beaux nuages.
Quelque site splendide devant lequel je me pâmerais comme Stendhal.
Un endroit où l'on puisse flâner, danser, rêver.
Et laisser l'empreinte de nos pas pour toujours dans l'air du soir.
Je suis prête.
On va où ?
Musique: Pink Martini
Vedi Napoli ed ancora molte altre città (Firenze, Venezia, Roma, Lucca, Piza, Siracuse, Taormina, etc...)
RépondreSupprimer"On va où?" dis-tu:
A Sérifos, par exemple :-)
Molto baci Carissima
Ah caro mio, rien que les noms de ces belles cités italiennes donnent le tournis.
SupprimerMais Sérifos, ça ne sonne pas italien, ça, si ?
^^
Ti bacio, caro
¸¸.•*¨*• ☆
Non, ça sent bon la fêta, le ouzo et l'été tout neuf....
SupprimerPeut-être y aura-t-il aussi Anthony Quinn qui danse le sirtaki sur la plage...
Philema
Je l'ai mis dans un coin de ma tête, comme un beau rêve possible...mais pour l'instant rien n'est sûr.
SupprimerJe suis comme le gardien de phare, j'attends de voir comment le vent tourne avant de prendre la mer.
¸¸.•*¨*• ☆
J'ai lu très tôt ce matin. Et puis , j'ai attendu dans le hall de la plus belle gare du monde. Pas de Celle...Chuis donc parti vers d'autres aventures. J'aurais peut-être du envoyer un pigeon pour te donner l'heure prévue du départ?
Supprimer'n'autre còp...
Ah mince...j'ai loupé mon train !
SupprimerPauv p'tit Bof !
¸¸.•*¨*• ☆
Ta photo me fait rêver d'un autre ailleurs. J'ai aimé Florence et l'Arno. Ou Gênes et sa marina. Ou Syracuse et ses petites ruelles mystérieuses. Enfuyons-nous. Ma valise est prête. Bisous ma belle. Et j'espère que ta maman va bien. 😊
RépondreSupprimerPour le peu que je connaisse de toi, je sais que tu es une voyageuse dans l'âme...Et tes belles montagnes dentelées par l'or du soleil couchant, tes paysages adoucis par la neige aux contours soyeux, tes vallées luxuriantes du Cap Vert, tout me fait rêver chez toi.
SupprimerAh...les ruelles mystérieuses de Syracuse...
Merci chère Dédé
Et merci aussi oui, ma mère va beaucoup mieux. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Le bonjour Dame Céleste. N’importe où est l’endroit rêvé, pour peu que les cœurs battent à l’unisson. Pour accompagner cette idée de voyage, de lieux, de rêves et de poésie :
RépondreSupprimerA l’abri du temps
De l’abandon
A l’instant sublimé
Un pas de danse
Comme des aimants
Sur le fil invisible
Qui balance et tremble
Au-dessus du vide
Un baiser brûlant
Sur les lèvres en fruit
Corps entrelacés
Louvoyant dans les lacets
Que les courbes offraient
Quand ça dansait
Sur des tempos endiablés
Quand les vagues couraient
D’une rive à l’autre
Des corps dégrafés
Craquaient des allumettes
Traversaient le ciel éclairé
Accrochés à la chevelure des comètes
Voyage inespéré
Vers des planètes inexplorées
Ce très beau poème m'évoque un pays tropical, un pays de samba et de fièvre...
SupprimerQuelle plume magnifique! Des corps dégrafés craquaient des allumettes très beau.
Merci l'ami.
¸¸.•*¨*• ☆
C'est le pays de mes adoptions. La chair et la peau !
SupprimerSplendide !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
des gens qui sourient, des délices à déguster, il y en a partout :-)
RépondreSupprimerEh oui, bien sûr, Adrienne, qu'il y en a partout...mais lequel de ces lieux t'est cher, à toi ? Lequel aimes-tu faire partager, découvrir ? Voilà ce qu'il m'aurait plus de connaître...
SupprimerOstende, peut-être ? ;-)
Tu m'avais fait rêver avec ces plages amoncelées d'infinis nuages...
¸¸.•*¨*• ☆
Tu vas rire Célestine, mais je me demande si je n'habite pas cet endroit de rêve qui se trouve au carrefour de toutes les envies, toutes les découvertes, des belles amitiés, des jardins fleuris, odorants et cosmopolites dove tutti sono felici di vivere. Ti aspetto. Pace salute e baci Bella
RépondreSupprimerSi si, cara mia, arrivo presto...
SupprimerTu habites en effet un endroit en tous points conforme à ma description.
Et j'ai hâte d'y être.
baci
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne sais pas vous dire chère Celestine où est cet endroit. Ce que je peux vous dire c'est comment on ira.
RépondreSupprimerOn partira avant le lever du jour. On se retrouvera devant la gare d'une petite ville. Tous les deux à moitié endormis d'un sommeil encore lourd qui ne veut pas s'en aller.
Vous monterez dans la voiture. On avancera dans le paysage monotone des faubourgs qui vous endormira à nouveau. La tête repose sur le côté de la lumière qui nait, comme aspirant au soleil.
Je roulerai. Vous vous réveillerez à cause de ce soleil de l'est qui réchauffera la vitre. Et oui, on ira vers le nord ...d'abord. Là, vous commencerez à parler doucement. J'écouterai, inattentif à la route et je m'engagerai sur l'est, vers les montagnes. La route montera doucement. Déjà un premier col. Le bleu et le vert sont là. L'or et l'argent issus des rayons du soleil qui jouent avec les éléments.
On redescend un peu. C'est midi. Un village. C'est le jour du marché. On s'agite. On parle. On goûte. On visite. On s'enfonce dans la vieille citadelle. Là, une petite place, des arcades, une sorte de treille qui abrite quelques tables. On s'arrête. On écoute. On goûte le petit vin du pays et l'omelette fumante. Le village se calme. Le silence s'installe. Et si on restait là ce soir ?
Quoi ? Vous ne savez pas ? Ah ! Vous voulez d'abord marcher. On quitte le village par les sentiers qui se resserrent quelques branches nous caressent au passage. Seuls quelques oiseaux, quelques cigales et le vent pour rompre le silence. La douce sensations de l'effort, du souffle qu'on entend. Les paroles s'espacent.
On continue de monter jusqu'à découvrir ce paysage offert, de vallée, de combes, de villages accrochés...et toujours le soleil et l'ombre des nuages qui guident les regards et se jouent de nous.
On redescend. Le village s'est réveillé. On reprend l'auto vers la ville dont on nous a parlé. Là, pas de faubourgs, des quartiers ouvriers qui s'animent du retour des travailleurs. Les premières lumières. Et puis un semblant de rempart, une place derrière la poterne. Une petite auberge. C'est l'heure de l'apéritif.
Là ?
"Bien sûr que vous pouvez dormir messieurs-dames ! Et pour diner vous ferez quelques pas, sur la place de l'église, ....une petite auberge."
Des enfants jouent. Quelques anciens terminent une partie de cartes. Un peu plus loin on ramasse des boules pour retourner souper chez soi.
Les arbres centenaires appuient leurs ombres bienfaisantes sur ce village de crèche. On prend le temps de diner.
Déjà, les premiers ressortent à l'heure de la promenade. La place, puis le cours, le boulevard, le parc, et la place à nouveau. On marche groupés, en lignes, se tenant par le bras.
Nous, nous ne sommes que spectateurs. Café ....puis un vieil alcool de prune. "Offert par la maison , messieurs-dames !"
On resterait là sans fin si ce petit monde, a un moment donné, ne semblait disparaître.
On rentre.
.....
Le reste ne m'appartient déjà plus. Merci de m'avoir fait rêver.
C'est un joli rêve éveillé que vous me faites vivre là, monsieur.
SupprimerEt magnifiquement écrit.
Un rêve troublant car le style en est inhabituel.
Merci, en tous cas.
C'est un beau cadeau de non-anniversaire. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Apparemment, vous avez emprunté le pseudo de Candide, qui est un de mes commentateurs.
SupprimerSi vous vous mettez à brouiller les pistes...
Il me semble plutôt reconnaître le style d'un certain Julien Sorel, je me trompe ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Holà Monsieur le soi-disant Candide, quel est donc ce vent qui vous fait prendre ici un pseudonyme déjà adopté par un hôte de marque, puisque c'est de moi qu'il s'agit !
SupprimerEt quand bien même il m'arrive fort souvent, pour des raisons aussi diverses que personnelles et indévoilables céans, de signer "Jdissa", il n'en demeure pas moins que le seul, l'unique Candide ici agréé, c'est moi !
Hors donc, Monsieur, je vous saurais gré de bien vouloir choisir un autre patronyme, à votre convenance.
A défaut, je me verrais dans l'obligation de vous inviter à régler cette affaire sur le champ, accompagné de vos témoins. Dans cette éventualité, je vous laisse le choix des armes : le pistolet à quinze mètres, ou l'épée.
Sachez cependant que j'avoue une véritable tendresse pour l'épée. A quinze mètres.
Serviteur, Monsieur !
J'oubliais : ;o))
SupprimerLe lancé de fleuret, même à 15 mètres peut être redoutable, alors à ta place, je choisirais le craché de noyaux de cerise sur pourpoint blanc...
SupprimerAccolade
Oh my gode ! j'arrive en plein drame on dirait...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je fais de mn mieux pour limiter les dégâts, il parait que les colères de barbus sont terribles :-D
SupprimerBaci Cara
ben t'es un barbu gentil alors toi ? je t'ai jamais vu en colère...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Comment Diantre pourrais-je me mettre en colère avec une Fée?
Supprimer:-P
Ti bacio
♥︎
SupprimerCher monsieur Candide,
SupprimerC'est avec humilité que je vous demande de bien vouloir pardonner cet "emprunt". Le texte de Celestine était un appel à des lieux, je le trahissais déjà en parlant de moyens.
Arrivé à la fin, je n'osai pas signer de mon nom, encore moins d'un ancien pseudonyme. Dans ma candeur alors je pensais à "Candide" sans prendre la précaution élémentaire d'en vérifier l'existence. Mal m'en prit, je le confesse.
Aprés votre pertinente remarque, je remontais le court du temps, allant chercher dans les commentaires la trace de ce "Candide" existant. "L'intelligence du propos, la finesse des remarques écrites par mon illustre prédécesseur , me dis-je, auront vite fait comprendre au lecteur que mes commentaires médiocres ne peuvent laisser aucun doute sur l'origine du commentaire. "
Je fus rassuré. Mais je vous dois de plates excuses. Je refuse tout duel. Trop médiocre combattant, je risquerais de me blesser, ou même de vous blesser, ce qui, convenez-en, n'effacerait pas l'affront. Je préfère prendre la fuite, attitude moins dangereuse, et tellement plus adaptée à ma vraie nature.
Mais avant cet effacement je renouvelle mes excuses.
Ce qui me console est que votre indignation était pleine de talent. Bravo !
Enfin, je dis-ca..... Ah ! Un autre affront. Je disparais.
J'espère ne pas avoir indigné notre hôtesse. Si c'est là cas, qu'elle me pardonne. Sinon qu'elle me montre par un geste connu seulement d'elle et moi qu'elle n'avait pas plus que moi vu d'affront dans cet "emprunt" de pseudonyme.
@ Blutch : en même temps c'est pas facile risquer la colère d'une fée, on ne sait pas quels sont ses pouvoirs, qu'avec une certaine crainte j'imagine contondants. Te souviens-tu de cette fois où elle menaçait de te transformer en poêle à frire ?
SupprimerJe suis quand même émue par le texte de Pardon si dessus qui prouve que mes lecteurs sont vraiment des gens bien ! Ce texte mérite que l'on souligne son humilité, son abnégation, et sa grandeur d'âme.
SupprimerEt je ne transforme personne en poêle à frire pour l'instant. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
@ Candidebis / Pardon: ménon, t'en vas pas mon pote, y'a pas si tant d'affront que ça, et débarquant céans au débotté, tu ne pouvais savoir que j'occupais les lieux.
SupprimerJ'ai juste fait un peu la grosse voix parce'qu'il faut parfois montrer qui on est, et je gage d'ailleurs qu'il se pourrait que quelques lecteurs découvrissent à cette occasion que Candide l'ancien et Jdissa sont une seule et même personne.
Et comme tu écris bien, que tu as de la poésie et de l'humour, il serait bien dommage de te voir disparaître déjà, ce qui, je crois, attristerait notre hôtesse (qui reste d'ailleurs seule juge du bien-fondé et de l'opportunité de ce qui se passe ici).
Et comme tu fais preuve d'imagination, je ne doute pas que tu trouves illico un pseudo t'allant comme un gant !
Allez, métonculàmonpoulot, paye ta boutanche (t'as de la chance, la taulière et nous tous ici on n'aime que les bons vins, bières et autres spiritueux qu'on déguste avec modération à l'ombre d'un platane ou d'un saule en refaisant le monde), et pour moi, t'es le bienvenu !
Bizouilles !
Aux Quand dites vous...
SupprimerBon, ben j'irai refourguer mon kilo de cerises ailleurs... :-D
Age eu dit:
Je n'envisageais pas le risque de mettre une Fée en colère, j'ai juste dit qu'il m'est impossible de me mettre en colère avec une Fée (déjà par esprit de conservation, le coup de la poêle à frire est encore bien vivant...
Je veux rien dire, mais les cerises c'est meilleur à déguster que de s'en servir comme arme !
SupprimerJdissa...oups! je dis ça...
Et pour la poêle, je ne sais plus où j'ai mis la formule !
^^
¸¸.•*¨*• ☆
@ Fée Lestine
SupprimerSi tu as bien suivi, il s'agit du craché de noyau de cerise, or, pour expulser avec plus ou moins de force, un noyau de cerise, il faut, au préalable, l'avoir dégustée :-P
Pour la formule, surtout n'essaie pas de mettre de l'ordre...
Ah oui, c'est vrai...quoi qu'il en soit, ils seront mieux à germer dans ton beau jardin.
SupprimerPromis, je ne range pas mes affaires à la recherche de la formule.
Baci caro mio
¸¸.•*¨*• ☆
N'importe où, mais avec toi...
RépondreSupprimerEn attendant, je pars pour la Côte d'Opale.
Attends, que je respire un coup d'air frais ^^tu me fais rougir comme une pivoine...
SupprimerTrès beau choix, Boss ! j'adhère ! comme la colle Sader.
Il y a par ici des gens qui ne diront pas le contraire, des gens du Nooord qui ont le soleil dans les yeux, et me vantent leurs plages et leurs falaises avec bonheur.
¸¸.•*¨*• ☆
Mon père, qui avait fait le débarquement en Italie, vu le souvenir qu'il avait de Naples disait "Voir Naples et pourrir"...
RépondreSupprimerHi hi ! Il était marrant ton dabe. Il se serait bien entendu avec le mien je pense.
SupprimerIl est vrai que la phrase est quelque peu prétentieuse et en tous cas exagérée...mais tu connais la ballade des gens qui sont nés quelque part, n'est-ce pas. Qu'ils sortent de Paris ou de Rome ou de Sète, ou du diable Vauvert ou bien de Zanzibar, ou même de Montcuq, ils s'en flattent mazette !... L'essentiel est d'aimer l'endroit où l'on vit, ce n'est pas toi qu'il faut convaincre du fait... ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Hello Celestine. J'ai vu Naples et Rome et Florence et Pise et Catane et Ferrare et Bologne et Syracuse (je te rassure, tout cela en 40 ans).Alors on va où? Stendhal, toi et moi? Pourquoi pas là, même si le texte est un peu trop grave?
RépondreSupprimerItalia (écrit vers l'an 2000, j'étais un peu inspiré en ce temps-là).
La pluie quiète mouille Parme
L’oiseau sur le dôme gothique
Tord le corps et soudain plonge
Sur la place là-bas
L’enfant chemise ouverte a séché ses larmes
Il joue de l’ocarina
Déjà la faim le ronge
Le blé,poussière de piazza
Voltige sous les becs laborieux
Les ailes bruissent de fureur à vivre
L’enfant plisse les yeux
La liberté et la douleur l’enivrent
En cet exil presque toscan.
Bises Signorina W. et ATTB.
Tu étais inspiré, en effet, de très jolie façon, par l'ambiance de Parme, éminemment onirique.
SupprimerLa gravité sied au syndrome de Stendhal...et cet enfant affamé qui court sort tout droit d'un film de Fellini ou de Pasolini.
Grazie per il viaggio. attb
¸¸.•*¨*• ☆
Je t'emmène sur une plage de galets noirs en Irlande. On écoutera la mer se déployer. Derrière nous les "montagnes" verdoyantes et le lointain chant des oiseaux. Tu gouteras à la paix intérieure, celle que je n'ai connu nulle part ailleurs.
RépondreSupprimerJe t'emmène en Irlande, dans la lande. Un appel à la poésie, au silence, au mouvement fou du vent.
Je t'emmène en Allemagne, dans le village de mon enfance. Tout au fond, le Rhin qui se déploye, le soir une petite taverne bruyante où l'on mange la meilleure assiette végétarienne du monde (au monde).
Je t'emmène visiter les Uffici à Florence. Puis boire un spritz en terrasse et des pâtes succulents dans une trattoria...
;)
J'acquiesce à ton programme poético-gastronomique. Sans le vouloir, tu as tapé dans le mille avec l'Irlande, que j'aime infiniment. Mais tes racines rhénanes m'évoquent de beaux coteaux surplombant le Rhin et des châteaux embrumés dominant la plaine comme des chevaliers dans leur cape.
SupprimerQuant à Florence, je devais y partir quand le cours de ma vie a basculé d'un coup.
Ce n'est que partie remise.
;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Je voulais te dire Killarney, mais Cloudy t'y emmène déjà, alors...
RépondreSupprimerPlace aux jeunes ];-D
Maintenant je connais un pub Irlandais le "Corcoran's" rue Saint André des Arts, si le cœur t'en dit ?N
Un pub Irlandais, plein de musique et de passion, un moment hors du temps comme je les aime, où plus rien n'a d'importance que le murmure des fleurs et la chaleur d'une gorgée de whiskey sur les lèvres ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ma ch bella ! Pousse aussi jusqu'à Ercolano, tu ne le regretteras pas...
RépondreSupprimerhttp://www.emmacollages.com/article-herculanum-ercolano-108425478.html
Mille baci
Quel beau voyage photographique tu m'offres !
SupprimerEt j'ai particulièrement apprécié de réécouter cette chanson de Renan Luce que je n'avais plus entendue depuis longtemps.
Merci¸¸.•*¨*• ☆
Tu es la bienvenue !
SupprimerJe trouve cette chanson incoyable : un film en 3mn ! Quel talent. C'est sûr Renan Luce sait écrire des chansons...
A bientôt pour d'autres voyages. J'en ai tout un lot...
Oui j'adore Renan Luce, un authentique poète du XXI°siècle ...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un endroit multicolore ? A Burano ! En passant par Venise !
RépondreSupprimerhttp://krapoveries.canalblog.com/tag/Burano
Yes !!! Voilà, j'ai encore pillé ton stock pour ma collection personnelle de belles photos...
SupprimerJe vais finir par acheter un DDE rien que pour toi ^^
Haut en couleurs, merci m'n oncle !
¸¸.•*¨*• ☆
Je t'emmène en Bretagne bien évidemment.
RépondreSupprimerTu auras le ciel bleu et nos magnifiques nuages.
Un peu de pluie, et du soleil.
Des vents caressants ou très fougueux.
Des mers turquoise, émeraude, bleu profond.
Des îles sauvages et douces.
Des longues plages, des criques abritées, des dunes, des falaises escarpées.
Des sables, roux, blancs, blonds.
Des forêts, des landes.
L'odeur de l'air marin, le parfum des ajonc, celui des genêts.
Notre musique, et nos danses bien vivantes.
Et tant de choses encore à déguster sans modération.
Je t'embrasse Madame la Fée.
Comme tu parles bien de ton joli coin de terre et de mer, dont je vois souvent de belles photos chez toi ou sur FB...
SupprimerTes mots sont imprégnés d'une douceur et d'une sérénité magnifiques.
Merci douce âmie
¸¸.•*¨*• ☆
Je suppose que je t'emmènerais dans les endroits qui m'ont donné une émotion intense... en Turquie, au pied des monts Taurus qui font barrière aux nuages et renvoient l'orage sur la mer Egée; à l'assaut des 7 collines de Rome, à pieds comme il se doit, jusqu'à avoir les mollets tout ronds; au cœur de Marrakech, la ville ocre et foisonnante, la bouche pleine de pâte d'amande et de confiture de roses; ou surtout le fabuleux coucher de soleil sur les pentes de l'Etna, l'atelier grondeur de Vulcain... En attendant, je veux bien que tu m'emmènes à Naples;-)
RépondreSupprimerTu supposes très bien, et le programme est alléchant ^^
SupprimerEt décrit de façon très poétique. L'atelier grondeur de vulcain, wouaou !
Tous les sens me semblent stimulés...merveilleux !
¸¸.•*¨*• ☆
Magnifique articles, photo superbe et texte aussi. De mon côté, je t’emmène Tout près de chez moi dans les calanques : http://missfujii.over-blog.com/2017/02/si-j-etais.un-paysage.html
RépondreSupprimerBon Week-end Celestine
Ah oui, comme j'aime ces paysages aux eaux turquoises et aux couchers de soleil fantastiques...
SupprimerJe projette d'y aller marcher depuis quelque temps.
Beau week-end à toi.
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne connais pas Naples et le regrette mais ce n'est que partie remise, je l'espère. J'adore l'Italie, et chacun de mes voyages dans ce beau pays m'a laissée le coeur languissant d'autres retrouvailles.
RépondreSupprimerOh que j'aime lorsque sous le coup d'une impulsion nous remplissons à la va-vite une petite valise t filons sous d'autres cieux...pas nécessairement loin !
Oh que j'aimerais que la dérive des continents rapproche davantage la Toscane de mon Béarn !
Cette année, ce sera une escapade en Andalousie et au Portugal...programmée avec ma grande soeur et son mari. Tous les quatre ! Un bonheur à venir.
Bisous
Un bonheur que tu ajouteras à ta cassette précieuse de petits bonheurs !
SupprimerC'est vrai, les escapades impromptues sont souvent les plus agréables...
Merci pour ton enthousiasme Marie-Jo.
¸¸.•*¨*• ☆
Où je t'emmènerais ? Au petit village de pêcheurs de Monte Clerigo au Sud du Portugal sur la Côte Vicentine, un lieu dont je suis tombée amoureuse en juillet 2015. Nous irions tout d'abord déguster quelques fruits de mer accompagnés d'un Vinho Verde, dans ce petit restaurant sur la plage, il ne paie pas de mine mais l'accueil y est si chaleureux et convivial. Et puis nous nous déchausserions, et nous irions marcher sur la plage, admirant au loin les ondes des vagues, les falaises sombres, l'horizon. Cette plage est une merveille de la nature, on ne peut qu'être ébloui par tant de beauté. Tu vois, rien que d'en parler, j'ai une envie folle d'y retourner, et j'ai le coeur qui s'accélère. Oui, c'est vraiment un coup de foudre que j'ai eu pour cet endroit. Je te conseille vivement d'aller découvrir ce lieu, Célestine. Si tu l'aimes autant que je l'ai aimé, tu garderas en toi un souvenir dont tu ne pourras te défaire...
RépondreSupprimerBelle fin de semaine à toi, ma belle. Je t'embrasse.
j'aime beaucoup la façon dont tu parles de ce lieu enchanteur. Quelle belle page de ton carnet de voyages tu nous écris là, Françoise. Je suis sûre que tu vas donner envie à beaucoup de ceux qui passent par ici et qui jettent un oeil aux grains de sel laissés par les autres... ;-)
SupprimerEn tous cas tes mots me ravissent et me font rêver.
Je suis certaine que j'irai un jour.
Je t'embrasse douce amie
¸¸.•*¨*• ☆
A force de faire la « traversée », ramant à la plume, d’un site à l’autre, ici et là, ailleurs aussi, mais ici en ravissement, volé aux chagrins du monde : une fille au milieu de rochers polis comme des galets ride à peine l’eau, qui s’écarquille, à la nudité élégante comme une avocette, sa cheville, son poignet tiendraient dans ma main. A force de lire ces mots voyageurs, baluchon coloré et sonore, je m’anime comme un buisson d’oiseaux migrateurs. Dans les oliveraies, la nymphe Echo est prolixe d’histoires d’amour. Sur la grève, la mouette a mis son capuchon chocolat pour les noces, on entend le moteur à trois temps des caïques. On attend quoi ? La mer est brodée d’îles et semée de Sporades, ma barque se balance dans la crique
RépondreSupprimerTes commentaires sont toujours très poétiques, Bricabrac. Il en émane une fantaisie et une originalité qui viennent sans doute de la façon unique que tu as de créer une atmosphère.
SupprimerAvec un brin de mystère et de parfum indicible. Et en plus, tu m'as appris ce qu'était une avocette.
merci bricabrac
¸¸.•*¨*• ☆
Je t'emmènerai sur une plage en Malaisie, dans une aube arc-en-ciel, où les sons de jungle se mélangent au ressac de la mer... Les gens y sont pauvres et simples, partageant leurs mets sans compter, souriants et accueillants au-delà de l'imagination... Tu verrais à proximité la vie sauvage, les poissons de toutes les couleurs nager à tes côtés, des varans se prélasser sur le sable et des singes farouches sauter de cimes d'arbre en cimes d'arbre...
RépondreSupprimerUn instant hors du Temps.
Si j'écoute ta voix me bercer de cette description idyllique, je trouve que la Malaisie porte mal son nom. Elle devrait s'appeler la Bienaisie, en fait... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
En premier lieu, je te conduirai chez moi, à la fois pays de Cocagne et Toscane. Tu serais ainsi à "deux" pas de la mer et de la montagne. Sur une terre riche en terme agricole mais en culture historique, tu irais par monts et par vaux. Et si ton appétit est plus grand je, - nous - , parcourions les ruines d'Herculanum, cueillerions les coccinelles sur les flancs de l'Etna, irions voir la belle Sicile depuis la terrasse du café. Nous y attendrions que la nuit tombe pour voir rougir les temples d'Agrigente. Et puis si le temps et la vie nous le permettent, j'irai revoir mon lieu d'enfance. Beau voyage n'est-ce pas ? Mais surtout, revenir à Venise.
RépondreSupprimerJe ne savais pas que tu étais italienne, Lou.
SupprimerEt je ne savais pas non plus qu'il y avait des coccinelles sur les flancs de l'Etna... ;-)
Cette promenade sicilienne me comble.
merci beaucoup Lou
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Comme toutes les terres volcaniques, celle de l'Etna est très fertile. Il est donc cultivé sur une bonne partie de ses pentes, qui vont jusqu'à la mer.
SupprimerJ'avais réussi le prodige de passer 2 semaines en Sicile, sans voir l'Etna, perdu dans les nuages. Toute fois, j'avais vu des maisons à 1'600 mètres d'altitude.
Donc rien d'étonnant à y voir des coccinelles, en plus des vaches et des moutons, moins pratiques pour la cueillette ;-)
Ti bacio
Ah merci pour ces explications scientifiques, Blutchiamo.
SupprimerTu n'as jamais cueilli de moutons ? Tu m'étonnes, là... :-D
¸¸.•*¨*• ☆
Peut-être bien que j'ai en plus de tout le reste quelques gouttes de sang italien, puisque le Valais (terre de certains de mes ancêtres) est tombé, un jour, dans le comté de Savoie, en lien avec l'Italie (mais là, je suis incertaine). Non La Toscane, on peut la retrouver dans mon Tarn, terre de Cocagne ! Pour le reste, je suis si bien en Italie, que j'y vivrais volontiers si je le pouvais, mais aussi en Espagne, et peut-être bien au Maroc (pays de naissance). Tu arrives à me suivre ?
SupprimerLes coccinelles se posent sur le sol près de l'Etna à cause de la nature minérale et probablement de la température favorable à leur éclosion. Mais c'est assez impressionnant dans voir des milliers : à hésiter de marcher tant le sol est recouvert !
Une explication...
Supprimerhttp://www.lave-volcans.com/fiches_science_9.php
Je me suis régalée à découvrir cet étonnant fait naturel.
Supprimermerci beaucoup Lou.
Comme moi tu as des origines multiples, alors je te suis, bien sûr !
¸¸.•*¨*• ☆
@ Lou
SupprimerLe Valais a quitté l'influence et la domination savoyarde vers 1569. Dans ces conditions, peut-on parler de sang italien?
Pour tirer un parallèle, les Tahitiens ont-ils du sang auvergnat à être dans le giron de la France?
Mais rassure toi, le vrai sang valaisan n'est pas du jus de betteraves pur autant :-)
Et puis le Tarn ressemble beaucoup à une de mes terres d'élection: l'Aveyron ;-)
Bises
Partir… partir.... même en rêve avec cette belle musique
RépondreSupprimerOui Jak, surtout en rêve...
SupprimerLes voyages intérieurs sont très riches.
La musique, tu as raison, elle est très inspirante
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Le Monferrato en Piémont. Asti, Paolo Conte, les petits bars d'habitués, les soirs sur la place qui ressemblent à des tableaux d'Edward Hopper, les petits vins de derrière les fagots, les truffes blanches du Piémont... du vrai.
RépondreSupprimerJe te fais confiance, sorellita.
SupprimerTu connais les bons endroits, et la correspondance subtile entre les parfums, les sons et les couleurs... ;-)
Et Paolo Conte...mamma mia...
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Je t’en emmènerai comme dans une rêverie au pays du soleil, tu sentiras l’agréable émotion de te laisser vivre, de ne plus te préoccuper de rien, de ne plus manifester un quelconque besoin, de ne plus t’astreindre à rien, de ne plus craindre ou pleurer, sauf d’admirer l’étendue immense de ce monde du silence, qu’est le désert! Alors, l’apaisement et le silence environnants te reprennent et, de nouveau, recommence pour toi la vie contemplative, la plus gracieuse, la plus sublime que qu’on ne puisse jamais espérer.
RépondreSupprimerC’est la bienheureuse annihilation du moi, dans cette vie contemplative du désert qui nous fait éloigner les pensées issues de la souffrance humaine…
Dans les superbes oasis, rien n’atteindra la féerie légère et la douceur pénétrante des ombres fuselées des palmes penchées en voûtes sur le sable blanc ! la nuit, les éclats de la lune se joueront mystérieusement entre des dattiers efflanqués et aériens comme des filiformes êtres, pareils à de fins pylônes difformes!
Tel Est Naples une oasis du sud
Bises rêvées
Je savais que tu aurais les mots du poète pour décrire le désert et son mystère.
SupprimerJe retrouve les accents d'Isabelle Eberhardt et de ses écrits sur le sable, qui m'avaient tant éblouis quand je les avais découverts par ton entremise. Ces dattiers filiformes sont fabuleux!
Si j'étais seule, n'était-ce point parce que je l'avais voulu aux heures conscientes où ma pensée s'élevait au-dessus des sentimentalités lâches du coeur et de la chair également infirmes ? Etre seul, c'est être libre, et la liberté était le seul bonheur nécessaire à ma nature. Alors, je me dis que ma solitude était un bien.
Un extrait qui m'avait particulièrement marquée, notamment par cette dimension quasi mystique dont tu parles.
Merci, plus que jamais prince du désert.
Bises en éclats de lune
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Isabelle Eberhardt la sublime, la voyageuse, la poétesse, la vagabonde, celle qu'on supposait être la fille de Rimbaud avait dit:"Tout le grand charme poignant de la vie vient peut être de la certitude absolue de la mort. Si les choses devaient durer, elles nous sembleraient indignes d'attachement." Elle rêvait du désert, elle y avait vécu; elle y était enterrée."
SupprimerBisous lunaires
Mais mais mais mon Ami, je ne savais pas que Rimbaud était Suisse :-)
SupprimerAccolade et baci à la patronne
C'était à Genève en 1976 que Rimbaud avait rencontré la mère d'Isabelle Eberhardt, alors qu'elle vivait là-bas avec ses autre enfants. Isabelle était le 1er février 1976.
Supprimerhttp://perspectives.over-blog.net/article-16812146.html
http://archives.lesoir.be/isabelle-eberhardt-reincarnee-sur-les-traces-d-un-rimba_t-19921219-Z0666K.html
Pardon c'était à Genève en 1776 que Rimbaud................. et Isabelle était née le 17 février 1777.
SupprimerEt ben voilà, je vais me coucher moins ignorant...
SupprimerSi je peux me permettre, cher Bizak, c'est plutôt en 1876-77 que s'est passée toute l'histoire...Je dis ça je dis rien...
SupprimerBises tardives à tous deux.
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@ Oui Céleste je me suis gouré avec les dates les confondant avec celles des palmiers dattiers. Je confirme pour tes deux dates.C'était en 1876, que Rimbaud avait rencontré la mère d'Isabelle, Natalie de Moerder. Quelques uns rapportaient que c'était le précepteur de ses enfants, Alexandre Trophimowsky qui était supposé le père d'Isabelle, mais quelques archives rapportaient aussi, que le précepteur était absent pendant toute l'année 1876 et se trouvait en Russie pour des affaires familiales. Alors que Rimbaud fréquentait Natalie de Moerder pendant cette année-là et qu'Isabelle naissait le 17 février 1877. Pour la paternité d'Isabelle: Lire un livre écrit par Françoise d'Eaubonne sur Isabelle Eberhardt et sa paternité avec Rimbaud: "La couronne de sable".
SupprimerBises désolées pour la double erreur.
On va au Maroc. Atterrissage à Essaouira, histoire de voir la mer et de partager un repas au bord de la plage en regardant le ballet des mouettes et des barques bleues. Puis on traversera un bout de montagne et on ira au bord du désert, dans les dunes de Merzouga. Là tu seras debout au sommet d'une dune, ou assise si tu veux, tu te pâmeras et je ferai une photo.
RépondreSupprimerCe n'est pas le même morceau de désert que Bizak, mais ça me va bien aussi.
SupprimerQuel lyrisme ont mes lecteurs, c'est vraiment extraordinaire de voir comme chacun joue le jeu...
je me pâme déjà...les barques bleues, les dunes...le ciel.
Bisous chère Sophie.
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Encore félicitations pour ton dessin. L’esquisse de la silhouette est très subtile : on sent le léger déséquilibre des pieds qui glissent sur les galets. Très beau trait. En guise de voyage, pourquoi ne pas aller faire un tour dans tes peintures et dessins ? Et pourquoi ne pas lever les yeux et nous perdre dans la course immense des nuages et des formes, dans les jeux des couleurs? Et pourquoi ne pas écouter de très vieilles chansons qui nous mèneront dans des paysages oubliés ? Pourquoi ne pas faire un voyage immobile ? Si vraiment tu souhaites prendre la route, ce matin j’ai déniché un agritourisme en Sardaigne, en ai trouvé un dans les collines au Sud de l’île, surplombant la mer, plein de rires et de chèvres, le maquis et du silence bleu à perte de vue...
RépondreSupprimerLe voyage immobile, j'ai appris à le pratiquer à tout moment. L'évasion mentale, ou au contraire la plongée intérieure, des paysages incroyables attendent chacun de ceux qui tentent l'aventure.
SupprimerC'est ce que je parviens à faire quand je dessine.
Pour la Sardaigne, j'aime tes mots pour en parler.
Comme chacun ici, tu y mets de la passion et du rêve, comme un peintre utilise ses couleurs.
Merci dad
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j'ai trois possibles :
RépondreSupprimer- J'en parle demain à Frédéric Lopez
- Je te prends un billet pour "le voyage intérieur" . Désolé ça ne peut être alors qu'un aller simple.... c'est un voyage sans retour, vu que lorsqu'on y a gouté on ne peut le quitter...
- je te branche sur le sœurette à Le Forestier :
https://www.youtube.com/watch?v=EcDlwaWGA4I
*Une parenthèse inattendue avec toi...j'avoue que ça aurait un charme.
Supprimer**Le voyage intérieur...je crois que je l'ai commencé, même si je n'ai pas encore atteint le point de non-retour...
***Ce voyage-là est sans doute le plus frissonnant...
♥︎
.."Dans une rue, au coeur d'une ville de rêve,
RépondreSupprimerCe sera comme quand on a déjà vécu :
Un instant à la fois très vague et très aigu...
Ô ce soleil parmi la brume qui se lève !
Ô ce cri sur la mer, cette voix dans les bois !
Ce sera comme quand on ignore des causes ;
Un lent réveil après bien des métempsycoses ;
Les choses seront les mêmes qu'autrefois
Dans cette rue, au coeur de la ville magique
Où des orgues moudront des gigues dans les soirs,
Où les cafés auront des chats sur les dressoirs,
Et que traverseront des bandes de musique. (...)
Ce sera comme quand on rêve et qu'on s'éveille !
Et que l'on se rendort et que l'on rêve encor
De la même féerie et du même décor,
L'été, dans l'herbe, au bruit moiré d'un vol d'abeille".
Paul Verlaine
Jadis et naguère (1884)
Allez, on y va ?
Bonne soirée Célestine.
Bisou.
Den
Ah volontiers !
SupprimerCela ressemble furieusement à une ville que je connais.
Merci den pour ce texte magique.
Bisous
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Il semble que ce soit bien souvent autour de la méditerranée que tes hôtes veuillent t'emmener, à tel point que l'italien semble devenir la langue officielle de ce blog.
RépondreSupprimerOù t'emmener ?
Sur mon île, râpeuse et rugueuse à souhait, à côté de laquelle la bretagne fait figure de maison de poupées, mais si attachante de son opiniâtreté, de sa fore et surtout de sa faune, pas bin farouche.
Et puis tu risquerais pas de sentir le renfermé ! ;oD
En Irlande, bien sûr, nos goûts musicaux en attestent, mais c'est déjà pris par Cloudy et Andiamo.
Alors ?
Un petit coin d'Oisans à l'automne, et quand on a les jambes, monter seuls en refuge d'altitude au milieu des mélèzes flamboyant, tandis que les pentes commencent à se saupoudrer de neige, dans cette atmosphère scintillante si particulière à cette saison.
Belle-île à l'automne...
Les grands lacs canadiens...
La scandinavie, norvège, finlande...
Le désert aussi. Le sahara est envoûtant, dit-on, demande à Frison-Roche !
Ou une dune, une simple dune, déserte, au crépuscule, pour voir le soleil passer sous les nuages et rendre le ciel incandescent, l'éclairant du turquoise à l'orange !...
M'ouais, j'ai été plus lyrique. Vivement le printemps !
SupprimerSur ton île...euh ! non trop râpeuse pour moi. Et trop froide, et trop loin. De toutes façons je n'aime pas les îles où on est obligé d'aller en bateau. (Et ne ris pas, il y a des îles où l'on peut aller en avion, quand même je ne suis pas si bête)
SupprimerTiens l'Irlande: voilà bien une île où l'on peut se poser en avion. Très bien.
Sinon, je vois que tu aimes les endroits très fréquentés dans l'ensemble...
Tu serais pas un peu ours ? ;-)
Mais la dune, alors ça, j'dis pas non...ça te rend très lyrique, malgré ton mauvais jugement sur toi-même...
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Mince alors!Je n'ai pas d'endroit ou t’emmener.C'est ballot!Je n'ai guère voyagé dans ma vie.
RépondreSupprimerMais,sur un coup de tète,prendre ma moto,quelques affaires,passer te récupérer...Direction:plein ouest...là ou le soleil se couche.Avec comme ligne de mire,la vague idée de traverser le massif central.
Découvrir ensemble les paysages du pays Barraban,accoster mon pays par l'Aubrac avec les vaches aux yeux "mascarées".
Oui ,bon d'accord,ce n'est pas très romantiques:les vaches!Mais qui a parlé de balade romantique? Dérouler le bitume en grimpant autour des "piles" du fameux viaduc frère de la tour parisienne.
Faire le tour du cirque de Mallet,complétement sauvage avec au dessus les reflets du soleil de juin.Continuer l'escapade jusqu’à la "cité du vent",te raconter la légende...
S'emplir des parfums dont seul le mois de juin a le secret,contempler chaque soir le coucher du soleil,et se dire:demain on sera plus près...
Atteindre le sommet du"plomb du cantal" avant le levé du jour,pour voir le soleil se lever sur un horizon tourmenté dans un halo de rose et d'orange,et y gouter la rosée du matin.
Brrrrrr,un peu frisquet en cette saison!
Prendre la route étroite et sinueuse et accéder au"pas de Peyrol" tout juste déneigé...
Embrasser le paysage...immense,sentir autour de nous l'odeur du plus vaste stratovolcan d'Europe...Sans oublier bien-sûr d’acheter un souvenir"attrape nigaud"..Heu,je veux dire "made in china"...
Si tu n'as pas le vertige,par la route des crêtes,après avoir traversé un paysage vertigineux peuplé de vaches à la "robe acajou",faire une pause bienfaitrice à Salers.
Y déguster un apéritif local du même nom,a base de gentiane.Personnellement,je l'agrémente d'un peu de jus de citron,ça"casse un peu ce gout âpre de la terre...
Après un bon repas,déambuler dans la ville...Se sentir sur le toit du monde et ne pas penser au retour...
Bon,c'est pas le Pérou,et il faut compter sur plusieurs jours de beau temps,surtout en motos!
oups,surtout à moto!
SupprimerA part ça, tu n'as pas d'endroit pour m'emmener...
SupprimerQu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !
J'ai suivi le périple en direct sur Google Earth... Le Viaduc de Garabit et ses lignes élégantes, les vaches maquillées de l'Aubrac...
J'ai revu ce qu'était un stratovolcan (j'avais oublié)
Je sais maintenant repérer le Cantal du premier coup d'oeil sur une carte du Massif central...
Ce n'est peut-être pas le pérou, mais c'est Byzance de partir sur ta moto !
Merci beaucoup Xoulec
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Oui,bon ,j'ai peu voyagé,mais un peu quand même!J'ai un peu découvert la Belgique, merveilleuse, la ville d’Ypres...l'architecture particulière des Flandres...
Supprimerc'était...magique,dépaysement total!Excellent souvenir.Ce n'est pas la destination qui m'est venu en premier.
Pour "chez moi",point besoin de Google Earth.En écrivant,je faisais le périple dans ma tête...Je connais tous ces lieux par cœur,pour les avoir découvert à moto.Les itinéraires de découverte sont innombrables,si l'on sort des sentiers battus,et des pièges à touristes,comme partout ailleurs!
Je crois,que c'est ceux qui ont quittés leurs"pays" qui en parlent le mieux,même si je le garde à porté de "main". Le tout,rédigé en écoutant JJG on ira
On partira de nuit, l'heure où l'on doute
Que demain revienne encore
Loin des villes soumises, on suivra l'autoroute
Ensuite on perdra tous les nord
On laissera nos clés, nos cartes et nos codes
Prisons pour nous retenir...
https://www.youtube.com/watch?v=flP-hF4O5ZM
Tu parles très bien de n'importe quel endroit, c'est le don des gens passionnés.
SupprimerJ'ai beaucoup aimé ton commentaire d'hier.
la chanson de JJG me rend mélancolique
Merci beaucoup
Bises émues
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Je suis ravi que mon commentaire t'ait plu,car j'y ai pris un grand plaisir.Il faut dire que c'était facile pour moi...
SupprimerHeureux de savoir que tu as fait des progrès en géographie...
bises de la nuit
^^
SupprimerMoi je suis bien trop timide pour te proposer une destination.....Je n'oserai pas !!
RépondreSupprimerMais non, Daniel, Tu n'as pas compris...je voulais juste que mes lecteurs me parlent des lieux qu'ils aiment particulièrement...
SupprimerDommage, j'aurais aimé savoir pour toi... ;-)
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Essaie Jérusalem, côté dépaysant, tu ne serais pas déçue.
RépondreSupprimerJe n'en doute pas, mais est-ce un lieu où tu aimes retourner ? Et pourquoi ? Voilà ce qui m'intéressait...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
A tous les amis et toutes les amies de Céleste
RépondreSupprimerViens, je t'emmène
Où les étoiles connaissent la Fée Céleste
Viens, je t'emmène
Où le rire et les chansons dominent l’horizon
J'ai tellement d’imagination
Que je suis arrivé la haut sans aile ni avion
Viens, je t'emmène
Où les amis sont toujours bien accueillis
Viens, je t'emmène
Où les images tapissent notre âme de mots choisis
J'ai tellement d’imagination
Que je peux te décrire ici l’univers de l’amie
Viens, je t'emmène
Voir Montaigne et la Boétie
Et déguster avec Bizak , Baladine, … …., divine poésie
Bises
Tu crois que France Gall va passer par ici demander des doigts d'auteur ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ah ils jouent "petits bras" La Bretagne, Noeux les Mines, Hénin Liétard, Boue sur Vase !
RépondreSupprimerAllez prépare tes bagages je t'emmène pour une croisière : Une croisière dans les îles mais oui tu ne rêves pas ! Rencart à Gennevilliers puis nous remonterons la Seine... l'île Saint Denis, l'île Seguin, l'île de la Jatte, arrêt au pont de Suresnes, déjeûner chez Mimile : Harengs marinés, pommes à l'huile, une boutanche de 13 degrés de déménageur...
On dit merci qui ?
Si le vent est favorable, on poussera jusqu'à l'île Saint Louis, et l'île de la Cité ? ;-)
SupprimerMerci tonton Andiams !
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Ah oui j'oubliais un détail on embarque sur un pédalo ];-D
SupprimerC'est bon pour les cuisses (de mouche, bien sûr, comme les bateaux du même nom)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Le pédalo est plus sûr que le voilier construit par Gabin dans le "Drapeau noir flotte sur la marmite" Dialogues Audiard et zizique du grand Georges SVP.
SupprimerBaci Cara
Absolument ! je confirme.
Supprimerj'aime à fond ton bandeau il est réjouissant
RépondreSupprimerMerci Sylvie, j'aime ton enthousiasme bienveillant
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
En attendant, il y a un terrible et très drôle vieux vieux vieux roman gentiment policier, d'Exbrayat (Charles), "Aimez-vous la pizza?" que j'ai lu toute jeunette et qui se passait à Naples. Avec une jeune licenciée en lettres fraîchement débarquée d'Angleterre avec un fiancé plutôt du genre coincé. Et une famille italienne, les Garofino (quelque chose comme ça), avec la Mamma qui fait la pizza, le père qui la vend, le fils qui ne fait rien d'autre que balader son visage d'ange et ses boucles brunes et un tas d'autres personnages... Savoureux. De quoi donner l'envie d'aller à Naples (mais Naples, malheureusement et bien que j'y sois passée, je n'en ai gardé qu'un souvenir très très parcellaire). Parce que coincée dans une excursion à Pompéi et à Capri (ce n'était déjà pas mal)... Bon, quand j'ai trop envie de voyager, je plonge dans des livres de cuisine ou je mange... De la pizza ! C'est déjà ça. Ou des fruits de mer en beignets avec du jus de citron o:))) Excellent... Que de vieux souvenirs !
RépondreSupprimerMiam ! voilà une invitation au voyage originale et divertissante !
SupprimerJe ne connais pas ce roman, mais cela manque à ma culture...
Bon appétit, chère pivoine :-D
je t'embrasse
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En septembre car il y a moins de touristes, j'aimerais t'emmener, Célestine, à Guérande, nous visiterions le cité médiévale et les marais salants en toute fin de journée pour admirer le coucher de soleil qui donnent de merveilleux reflets dans les marais. Puis le lendemain, en voiture, nous irions à Batz-sur-mer et tout au bord de la mer, il y a un petit café où nous pourrions déguster de délicieuses huîtres ou moules, si tu aimes bien entendu...mais il y a d'autres plats à la carte. Ensuite, une jolie promenade le long de la mer et marcher sur les gros cailloux. C'est un endroit de rêve. Puis pour continuer de rêver, il y a aussi Le Croisic où tout est beau et accueillant et assises sur une terrasse, nous prendrons une consommation. Tu verras, nous serons heureuses :-)
RépondreSupprimerBisous ♥
Je suis ravie de ce programme. J'adore la mer, les petits endroits goûtus et les ambiances de petits ports nichés dans leur anse..
SupprimerGuérande, cette proposition ne manque pas de sel !
J'aime les fruits de mer, et les couchers de soleil.
Oui, nous serons bien.
merci de tout coeur
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Les ambiances de ports nichés! ça alors...
SupprimerJe vais en boire un, té.
Ah ben ça alors...
Alors là, faut que tu m'expliques parce que là, je n'ai pas compris la vanne...
Supprimer^^
Je pense que, de t'expliquer, c'est pas la peine. Marche! Marche vers l' orient.
SupprimerEn Belgique évidemment !!!! Mais il y a aussi beaucoup d'endroits en France que j'ai découverts lors de mes vacances et où je t'emmènerais volontiers : la Route du Vin en Alsace, les paysages sauvages de Bretagne, les falaises de Normandie et de la Côte d'Opale, la charmante île de Ré, les bords de Loire et ses célèbres châteaux, Aix-en-Provence, le quartier du Panier à Marseille, les calanques et les îles Frioul, p.ex. Par contre, je ne suis jamais allé en Italie.
RépondreSupprimerBon week-end Célestine.
Je vois que tu as sillonné la France en tous sens !
SupprimerLa Belgique, en revanche, garde encore beaucoup de secrets pour moi...
Bisous Petit Belge
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Me permets-tu céleste Célestine de copier ton billet et de l'envoyer à l'homme de ma vie avec ma signature ? Promis, je mettrais une astérisque, une petite étoile qui indiquera la divine origine de ce message... Envie de voyage et d'abandon à la beauté du monde... Bises et doux week end. brigitte
RépondreSupprimerMais quel plus beau compliment peux-tu me faire ?
SupprimerBien sûr que je serai ravie que l'homme de ta vie lise ce message...
Tu me diras où il aura choisi de t'emmener ?
Bises émues
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Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerQuel plaisir de voyager avec tous tes liens et lianes ...
Une liane ? J'aimerais découvrir le pays où je suis née ... Tananarive ... sur l'autre rive, la terre rouge, oui. Un jour, nous irons peut-être.
Tant de voyages à faire dehors, plus ou moins loin ...
Aujourd'hui les voyages intérieurs m'habitent ... Ils sont libres et infinis, naissent pas ?
Je peux alors et à l'or du soir ensoleillé, qui se rallonge et qui annonce le printemps au sud ouest, te proposer un banc de chêne ou une chaise en osier, le chant des oiseaux palpitant, une part ou deux bien sûr d'un délicieux gâteau que je ferai pour nous, et mon sourire et la joie femme de se découvrir.
Avec amitié, un voyage au vrai.
Quand tu veux avec toi, Douce Veronica.
SupprimerJe n'ai pas d'autre exigence que cela: un banc, de l'amitié, de la douceur de vivre...
Merci douce liane, pour ta proposition qui me touche au coeur.
Et vivent les voyages intérieurs qui débouchent souvent sur de belles rencontres.
Bisous en étoiles pour ton dimanche
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Je te propose Sestri Levante comme destination avec la mer des deux côté de la presqu'île , (Ligurie)
RépondreSupprimerun passage obligé avant de voguer pour Naples
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sestri_Levante#/media/File:Sestri_Levante_and_Baia_del_Silenzio,_the_Bay_of_Silence.jpg
Les photos que propose ton lien sont splendides et donnent vraiment envie d'y aller !
Supprimermerci ma jument préférée.
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