Sous-titre: Recette simple à suivre pour trouver la ville secrète.
Partir au hasard sans idée préconçue.
Préférer le hors-saison, automne doux ou printemps frileux.
Boire un verre dans un endroit loin des pièges à touristes, caché dans la verdure, un petit coin charmant qui se mérite comme une jarretelle de soie sous une robe longue.
S'assoir sur les marches de la cathédrale, mais au pâle soleil de l'aube, sans les cris perçants des gamins qui courent sur le parvis après les envols de pigeons.
Manger dans un restaurant discret, bouche-à-oreille et coeur-à-coeur , où les patrons ont de l'amour dans leurs yeux et leurs casseroles.
Monter à pied jusqu'en haut du tertre, entendre à peine le bruit sourd de la ville comme un ronronnement de gros animal assoupi. Se pencher aux balustrades en riant. Apprécier qu'il n'y ait personne.
Trouver un banc de square aux heures d'école, et essayer le toboggan. Et la marelle.
Jeter des sous dans les fontaines, faire tanguer les passerelles, descendre les boulevards à vitrines closes, quand la ville dort. Juste se sentir seuls au monde. Trembler un peu, de cette force que l'on sent dans nos mains serrées sur le temps.
Garder dans le nez une odeur de tilleul sur les places ombragées, comme on garde dans la tête un air de jazz.
Arpenter les quais en silence, sous les réverbères qui font trembler les reflets des rivières, écouter seulement le plic-ploc sur les coques des bateaux qui dansent, et acheter un vieux roman de Harrison à un vieux barbu qui lui ressemble.
Entrer dans l'ombre froide des églises, cligner des yeux sous les vitraux à la lumière du crépuscule.
Et le soir, dans l'hôtel déserté d'un jour de fin d'hiver, prendre une chambre avec vue sur l'amour.
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bien sûr que c'est ainsi qu'il faut visiter une ville :-)
RépondreSupprimer(et puis rencontrer un monsieur à chien qui croit qu'on est une touriste perdue ;-))
Faire de belles rencontres, juste humaines, sans a-priori, même pour quelques instants, en se mettant le coeur en disponibilité...
SupprimerJ'en ai rencontré, oui, de ces messieurs à chiens, toujours prêts à nous renseigner sur notre chemin, tout surpris quand on leur répond que l'on n'a pas d'itinéraire précis.
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Waow, quel joli programme ! Ne s'agirait-il pas là du hors-temps dont nous parlait ton miaou un jour en grand mystère ?
RépondreSupprimerJusqu'au tempo lent de la musique (j'aime, où l'as-tu trouvée ?) qui nous pousse à ralentir nonchalamment le pas pour en goûter tout le doux...
En tous cas c'est tentant, et j'en prendrais bien une tranche !
'fin moi, Jdissa.......
Si tu as une ville à côté de chez toi, tu peux le faire. C'est une recette universelle, elle marche pour toutes les villes...
SupprimerJe te montrerai un jour, si tu veux. La musique est belle n'est-ce pas. Elle fait partie de celles que j'aime accompagner à la guitare, les soirs de vague-à-l'âme et de mélancolie (spécial private joke à Saoul-Fifre qui ne vient plus ces temps-ci)
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Ça me parle ! je suis sensible à ces ambiances ... c'est un peu un solitaire qui est à la recherche de ... lui-même !
RépondreSupprimerSeul ou à deux maximum, et sans parler, sinon le secret nous échappe...
SupprimerAvec un appareil photo on peut capter ces ambiances, si on a l'oeil ouvert sur le mystère...
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Ah...
RépondreSupprimerJe fais la plupart de ces choses, excepté entrer dans les églises ou me procurer une vue sur l'amour...
Toujours à l'écart des hommes si bruyants et futiles.
;-)
Les hommes ne sont pas tous bruyants et futiles. Il en est qui savent rester de longues heures sans parler, et réfléchir à des choses essentielles.
SupprimerEt les églises ont une beauté qui n'a rien à voir avec la religion.
La vue sur l'amour, c'est métaphorique: une ouverture du coeur du côté des étoiles, une disponibilité de l'être.
Pour progresser, faire chaque jour quelque chose dont on n'a pas l'habitude : voilà une chose que j'aime essayer d'appliquer le plus possible. Cela donne de la souplesse au cerveau.
Bises
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Euh... la vue sur l'amour n'est pas que métaphorique, tout de même.
SupprimerBleck
Me voilà donc si raides dans mes bottes (dans mes "patrouilleurs en fait).
SupprimerJe ressens les églises comme une fosse septique, d'où mon incapacité à y entrer sans me protéger...
La vue sur l'amour est trop étroite pour moi, ainsi je m'en passe. Je préfère les grandes fenêtres de la compassion...
Bisous
@Kaku shiken
SupprimerLa compassion est déjà de l'amour...j'aime prendre l'amour au sens universel, ce qui porte les êtres les uns vers les autres, et non contre...
C'est ce qui me fait dire je t'aime sans aucune ambiguïté à beaucoup de personnes de mon entourage.
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@Bleck
SupprimerBien sûr. Mais elle peut l'être. Chacun voit midi à sa porte...tout n'est qu'une question d'interprétation... ;-)
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Et traverser une rue en faisant attention à ne pas mettre le pied sur une ligne. :)
RépondreSupprimerOh tu me rappelles ce film génial où Jack Nicholson a des tocs et ne peut absolument pas marcher sur les lignes...
SupprimerIl y a aussi une pièce de théâtre absolument délicieuse qui s'appelle toc-toc et qui traite avec humour ce sujet fascinant !
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Ca va sans doute t'étonner, mais c'est la première fois que je regarde une pièce entière sur l'ordinateur. Ok, j'avais autre chose à faire, mais j'ai passé un excellent moment, j'en sors avec un grand sourire aux lèvres. Merci. :)
SupprimerJe tiens quand même à te préciser que je n'en suis pas là ! Mais parfois il m'arrive de me dire "Bon, il faut que je traverse cette rue sans toucher aux lignes, et si j'y arrive ça voudra dire que..." Le but cependant n'est jamais plus grave que m'offrir une glace ou une pâtisserie, et ça ne dure que 5 minutes ! ;)
Et je n'ai pas vu le film dont tu parles. Quel est son titre ?
Je savais que si tu commençais la pièce, tu ne parviendrais plus à la lâcher !
SupprimerJ'adoooooore !
Le film s'appelle « Pour le pire et le meilleur » avec Nicholson
A louer sur googleplay
Bisous
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Je sais, j'ai habité à côté.
RépondreSupprimerC'est l'église Saint Merry.
L'Ours est allé (peu de temps) à la maternelle Saint Merry.
Alors tu penses bien que ça me cause...
C'est drôle, j'ai adoré ce quartier...
SupprimerIl y a au coeur de chaque ville de petits endroits secrets bien agréables.
C'est pourquoi ma recette marche pour toutes les villes ou presque...
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oh ben tu m'étonnes... la rue de la verrerie... si ça me cause itou !
SupprimerBleck
Dans deux commentaires vous allez être cousins...
SupprimerNan, j'rigole !
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Voilà, c'est comme ça... et puis tu l'as tellement bien exprimé, ne pas avoir "préparé" le trip pendant des semaines et ne pas avoir sur soi de plan, se perdre avec délice... l'aventure existe au coin de la rue.
RépondreSupprimerBleck
Se perdre avec délices, sans GPS...
SupprimerAh quel pied intégral !
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Pour moi c'est une ville italienne...
RépondreSupprimerTu donnes envie d 'y aller !
Joli jeu de mot final et beau programme.
Bisous.
Ça pourrait être Bologne, ou Parme.
SupprimerComme ça pourrai aussi être une ville viennoise, ou portugaise, ou anglaise...
C'est une recette pour n'importe quelle ville, mais pas n'importe quel promeneur...
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Je déteste les pièges à touristes. J'aime me retrouver hors des sentiers battus et faire des visites à mon rythme, sans devoir tenir un programme très précis. J'ai la chance, quand je viens à Paris, d'y retrouver des amis qui connaissent le ville mieux que personne et m'emmènent là où les autres ne vont pas. Alors oui, ton texte me parle. Bises belle dame et bonne semaine.
RépondreSupprimerLes pièges à touristes, c'est autre chose. Une sorte de tourbillon superficiel, où l'on peut de temps en temps aimer s'immerger, quand on a envie de se souler de bruit, de foule, place de la Comédie, Capitole, Grand-Place...
SupprimerMais il n'y a que dans l'intimité des placettes à l'écart que l'on peut sentir battre le coeur d'une ville...
Bises à toi
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A Venise,j'en ai parcouru quelques unes de ces placettes discrètes, anonymes et charmantes, parfois à deux rues de la place Saint Marc.
SupprimerDes petites places avec un puits au centre et quelques bancs de pierre, avec parfois deux vieux qui se parlent en silence, mais le plus souvent désertes.
Il faut rester là, sans bouger et alors les vieilles pierres se mettent à parler. On peut caresser du doigt leurs meurtrissures, la patine du temps ou le génie du tailleur qui l'a façonnée.
C'est magique, Venise en hiver, lorsque la ville appartient aux Vénitiens...
Ti bacio Cara
Wouaou...tu en parles si bien...J'aimerais tant découvrir ces placettes vénitiennes... :-(
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
j'ai l'impression que cette ville se mérite. Bizzz Céleste
RépondreSupprimerOui sans doute, elle se mérite, elle demande de s'habiller le coeur, d'aimer aller à pied, d'aimer la rencontre des gens, d'aimer monter des escaliers, d'aimer les odeurs vraies de la ville sous la ville.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
S'assoir sur un banc, ça rit, ça parle tout autour, mais on se sent seuls serrés l'un contre l'autre, la ville secrète ? Elle est partout. ];-D
RépondreSupprimerPartout ? je ne crois pas. Mais dans le coeur des poètes, oui, c'est certain...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Dans l'île de Ré
RépondreSupprimerMa belle adorée
Je t'emmènerai
Bientôt
Au mois le plus tendre
Le mois de septembre
Où l'on peut s'étendre
Bien seuls
Regardant la plaque
Des flots et les flaques
Que les soirées laquent
D'argent,
Regardant les teintes
Allumées, éteintes,
D'une toile peinte
Par un génie clair
Dans l'île de Ré
Ma belle adorée
Je t'emmènerai
Tout beau
Remontant l'aorte
D'une route accorte
Nous irons aux Portes
Au bout
Mes parents y vivent
Tout près de la rive
Brodée de salives
Nacrées
Là, la fleur marine
Par les deux narines
Grise la poitrine
D'un encens sucré
Sur le tapis mousse
De la plage rousse
Soudain je te pousse
Alors
Voici le célèbre
Cliché de vertèbres,
De bras et de lèvres
Roulant
Sur le drap de sable
Que l'eau imbuvable
Lessive inlassable
Nettoie
Effaçant l'empreinte
Pourtant sacro sainte
De la longue étreinte
De nos cœurs en croix
Quand la lune brûle
L'îlot majuscule
Dont tintinnabulent
Les ports
Sur les pierres vieilles
Je nous appareille
De phrases vermeilles
Partons
Nous jetterons l'ancre
Dans le flacon d'encre
D'une nuit qu'échancre
Là bas
Le phare sirène
Du cap des Baleines
Tournant la rengaine
D'amour d'au delà
Dans l'île de Ré
Ma belle adorée
Je t'emmènerai
Demain
Ta main dans la mienne
Come rain or come shine
Comme reine ou comme chaîne
Je t'aime
Rois mages en cohorte
Barbe Bleue des Portes
L'océan t'apporte
La clé
La clé du mystère
Pour toi, ma Miss Terre
Que tu sauras taire
Dans l'île de Ré.
Claude Nougaro
Je t'embrasse chère Céleste
Très belle chanson du grand Claude, un peu hors-sujet mais magnifique... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
La chanson ce Nougaro est là:
Supprimerhttps://youtu.be/wEEF3WVgC5s
Merci pour le lien, Petrus.
SupprimerLe Marais, tu as visité Saint Eustache, elle s'enfonce.
RépondreSupprimerEviter les pièges à touristes dans le coin, c'est un exploit.
Elle s'enfonce dans le sol tu veux dire ? Oups !
SupprimerTu ne vas pas me croire, mais un lundi 7 novembre à 9 heures du matin, il n'y avait pas grand monde...
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Oui, elle s'effondre tranquillement, tu m'étonnes à 7 heures du matin, le touriste dort, et le travailleur se lève.
Supprimer9 heures, et c'est déjà très tôt pour moi... ;-)
SupprimerMince alors...un peu comme Venise alors...
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Oh Cel. Tout à fait d'accord pour ce rendez-vous, disons discret, car s'il est vraiment secret comment le trouverai-je? Ton texte est très séduisant et comme j'irais volontiers m'y perdre un peu. Bises et ATTB.
RépondreSupprimerOui, cela fait un bien fou de perdre ses pas dans une ville inconnue...
SupprimerKisses gentleman ! and attb
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Ah, tu me rappelles la place de Montepulciano, au petit matin, pas un touriste, pas un chat...
RépondreSupprimerEnfin, ça aurait pu ...
http://storage.canalblog.com/73/41/1240604/114481181.png
Montepulciano...rien que ce nom me fait rêver déjà, comme un cocktail délicieux et légèrement alcoolisé, juste ce qu'il faut pour tourner la tête des filles...
SupprimerC'est la ville où le parvis en briquettes roses ressemble à un tapis posé sur le gris des pavés...
Pas un chat, ou presque ?
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Ta description colle parfaitement, on peut le voir ici :
Supprimerhttp://storage.canalblog.com/98/13/1240604/114481737.png
Oui, un tapis... c'est très joli.
SupprimerJe le note dans mes destinations de rêve. je t'enverrai un selfie quand j'y serai, promis.
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J'y suis passé plusieurs fois. Là, c'était la première, en janvier 2008, ce qui explique la présence des sapins sur le bord du "tapis". C'est mon fils qui nous y avait emmenés, c'est un grand amateur de vins et il avait des contacts aussi dans cette région. Le Brunello de Montalcino de chez Biondi Santi, tu connais ?
SupprimerElles sont toutes bien sympathiques ces villes de Toscane et d'Ombrie perchées sur leurs collines. Personnellement, j'ai un faible pour Cortone.
Tu es un super tour operator Boss !
SupprimerJe ne connais pas ce vin, mais je te fais confiance. Il est sûrement bon.
Cortone, je note...
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Me faire traiter de tour operator est bien la dernière chose à laquelle je m'attendais, moi qui ne sens pas la nécessité de prendre des vacances. Mais quand j'y suis, j'agis comme un bon Belge (ou du moins je me conforme à la réputation que nous ont faite nos collègues de notre usine de Tavaux : les Belges qu'on mute chez nous, disent-ils, débarquent avec des godasses et des cartes IGN et au bout de quelques mois, ils connaissent mieux notre région que nous qui y sommes nés). Jamais je n'ai utilisé de voyage organisé, je dois, comme toi, sentir le pays. Sinon, pourquoi y aller ?
SupprimerC'était pour de rire, Boss.
SupprimerTu ne prends jamais de vacances toi ? Tu ne pars jamais en Angleterre ou en France ?
j'ai dû rêver alors...
Mais les voyages organisés, oui, beurk ! ça jamais !
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Je n'ai pas dis que je ne prenais pas de vacances, j'ai dit que je n'avais pas ce besoin irrépressible de vacances que semble partager la grande majorité de mes contemporains. Mais quand j'y suis mon épouse, j'applique la même technique que toi :o)
SupprimerLe besoin de changer d'air, le besoin d'ailleurs oui je comprends qu'ils puissent être irrépressibles.
SupprimerCe que je ne comprends pas, c'est d'aller au bout du monde alors qu'il y a des merveilles à deux pas de chez soi...
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C'est ce que je me tue à dire à mon épouse : "Prague ? Pourquoi courir à Prague alors qu'on n'a pas vu Molenbeek ? C'est très bien Molenbeek !"
SupprimerC'est frais, c'est ravissant ! C'est fin, ça se mange sans faim... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Rêve ou réalité, un peu des 2 mélangés ? c'est ton jardin secret
RépondreSupprimerEt tu sais si bien emmener ton lecteur dans ton sac.
Bises d'altitude
C'est exactement cela, chère Nicmo.
SupprimerUn mélange subtil de rêve et de réalité...
Mes pas m'ont menée à me perdre samedi dans la belle ville de Montpellier, il ne m'en fallait pas plus pour activer mon imagination et mon inspiration...
Bises de plaine ;-)
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Le bonjour. Vingt dieux, que c'est apaisant ! Merveilleusement reposant. Merci !
RépondreSupprimerIl faut savoir se reposer entre deux luttes...
SupprimerEt la flânerie est un exercice que j'adore, c'est effectivement très ressourçant ...
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Une flânerie rêveuse au gré des pas, longue balade à contre foule, loin de l'agitation frénétique, rythmée par les minutes et les secondes, découvrir en musardant une ville qui prend des allures de village, avec des émotions d'amoureuse... Prendre le temps, tout simplement, et décider de vivre la beauté d'une ville seule à seule... ou avec le seul être avec qui on sait pouvoir partager cette échappée libre...
RépondreSupprimerMerci pour cette jolie parenthèse hors du temps!
C'est tellement bien dit, Baladine. A contre-foule, c'est ça !
SupprimerIl y a deux façons de regarder une ville: soit on regarde ses beautés, soit on reste fixé sur ses laideurs...
Je choisis presque toujours la première hypothèse.
Bises flaneuses
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Comme toi, j'aime les petits endroits intimistes
RépondreSupprimerUn vrai régal, tu as raison...chaque ville en recèle ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ce monument madame, quand le visite-t-on ?
RépondreSupprimerLe dernier qui a dit ça parlait de son nez, je crois... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Oh le doux moment !!! Un roman de Harrison, lequel ? Bises, à bientôt Célestine. brigitte
RépondreSupprimerOui chère Plume.
SupprimerUn bon jour pour mourir, aux éditions 10/18...
Je te dirai.
Bisettes
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Ton billet est bien joli Célestine et tout comme toi, j'aime aller à la découverte, marcher dans de jolies ruelles et non dans des avenues. Ce sont des moments propices à la détente, à la rêverie et surtout se sentir libre.
RépondreSupprimerMerci pour tes mots
Bisous ♥
Il y a une liberté étourdissante, c'est vrai, à ne se sentir tenu par rien, aucun plan, aucun programme.
SupprimerNous n'utilisons pas assez cette possibilité de partir "nez au vent"
Pourquoi ? les animaux réussissent à le faire tout le temps...
Merci chère Denise
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C'est comme cela que j'aime visiter les villes. Marcher vers l'inconnu sans aucun plan préétabli, découvrir des petits riens et rentrer dans les églises. Que du bonheur.
RépondreSupprimerUn bonheur à la portée de tous. Mais souvent les gens ne s'y autorisent pas, prisonniers de certains schémas pré-établis...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'est beau comme un poème!!! Vivement le printemps et le parfum des tilleuls... bisous
RépondreSupprimerAu risque de paraître emphatique, je te répondrais volontiers que la vie est un poème et point n'est besoin d'être au printemps pour en goûter toute la poésie...je suis sûre que tu en conviendras, même si, je te l'accorde, l'odeur des tilleuls en fleurs est parmi les plus merveilleuses qui soient.
SupprimerBizou
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Se laisser guider par ses instincts, ses envies, la curiosité d'entrer au cœur et dans l'intimité d'un patio aperçu au loin sous une porte cochère, monter des escaliers et se retrouver sur une terrasse recouverte d'une treille ou bien en descendre pour aller vers une musique venue d'un sous sol qui enchante nos oreilles et bien sûr entrer dans des chapelles, des églises ou autres lieux saints, rien que pour voir l'art et la beauté de la lumière qui transperce des vitraux éclatants de couleurs. Aller à la recherche de choses insolites, fureter dans les vieilles boutiques à la recherche d'un trésor qui fera battre notre cœur même s'il n'a aucune valeur marchande. Marcher le nez au vent à la moindre odeur, les oreilles tout pavillon dehors au moindre bruit, les yeux repérant le moindre petit indice susceptible d'intéresser notre toucher. Voilà comment je conçois la visite d'une ville et surtout dans une liberté complète.
RépondreSupprimerTu as presque écrit un billet, Lauriza.
SupprimerMagnifique, avec tes mots à toi, et exactement dans le droit fil de ce que je ressens.
Merci pour cette balade offerte
Bisous ma belle
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Une très belle façon de fuir, justement...
RépondreSupprimerBises
Angela
Je dirais "se réfugier" en soi, plutôt que fuir...
SupprimerMais parfois oui, la fuite est nécessaire. En tous cas elle l'est pour moi. Et ce besoin de solitude choisie, de plus en plus primordial...
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Moi, c'est dans la ville du Puy-en-Velay où j'aime aller me balader. Entrer dans la cathédrale, très belle aussi, mais qui se mérite, car il faut fortement grimper pour y accéder. Autour de la cathédrale, il y a tout plein de jolies petites ruelles pavées. D'ailleurs j'y vais demain, mais pour une autre raison qui n'a rien de folichon. Au printemps, j'y retournerai avec mon amie Gisèle, c'est avec elle que j'aime me balader dans cette jolie ville.
RépondreSupprimerJe comprends ce que tu exprimes si joliment bien, Célestine. Belle fin de journée, bisous.
La vierge noire du Puy...je me souviens la première fois que j'ai visité la ville, nous avions vu les dentellières...existent-elles encore ?
SupprimerBisous belle amie, courage pour demain.
Et vivement que tu retrouves ta Gisèle.
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Comme c'est beau et doux !
RépondreSupprimerUne invitation à la flânerie :)
La flânerie est un art de vivre que je cultive depuis longtemps.
SupprimerSe rendre disponible à l'imprévu, c'est quelque chose d'un peu oublié dans notre société programmée... :-)
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J'aime bien faire tout ce que tu décris en sentant ma main dans une main amie ou amoureuse qui , puisque nous restons silencieux dans la communion du bien-être de vivre ces délicieux moments, me serre de temps à autre , juste avant l'échange d'un doux regard complice. A défaut, je suis avec mon fidèle carnet et mon pinceau.
RépondreSupprimerC'est tout à fait cela. L'essentiel est d'être avec quelqu'un qui a la même philosophie, c'est surtout cela l'important.
SupprimerUne flânerie réussie ne peut pas se faire dans l'urgence ou dans l'inquiétude de la montre...
Ton carnet est comme un ami à qui tu confies de bien beau secrets ^^
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J'yvais, je fonce, ça.est tout ce dont je.ai besoin en ce moment ! Quel bon moment de lecture !
RépondreSupprimerMerci Miss !
SupprimerTu habites une ville super belle. Avec plein de belles choses secrètes à découvrir, comme le théâtre Toone...
Belle visite avec le koala ! bisous ma miss
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Tu me fais penser à un libraire qui, il y a quelques jours, répondait à un monsieur qui lui demandait un guide touristique "hors des sentiers battus": Mais monsieur, n'achetez pas de guide si vous voulez vous promener "hors des sentiers battus". Joli, non ?
RépondreSupprimerOui très joli et tellement vrai !
SupprimerC'est un poète ce libraire ! ^^
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Une belle journée, une belle balade. Tu sais mettre le doigt sur la magie des petites choses qui rendent heureux. Un très beau texte. Bises.
RépondreSupprimerLa magie des petites choses qui rendent heureux...Oui, c'est un job à plein temps, fée... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un programme infiniment infinitif !
RépondreSupprimerA titre indicatif, je te rappelle, mon cher Oncle, qu'il n'est pas impératif que tu saches (au subjonctif ) que mon texte participe de mon amour inconditionnel de la ville et de ses secrets...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Une flânerie agréable dans une ville fantasmée...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup. Heureux celui qui partage ce moment avec vous !
~L~
Cette ville peut-être n'importe laquelle en effet...
SupprimerLes endroits charmants sont partout, et les dénicher est une activité fabuleuse !
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belle invitation à la flânerie citadine... C'est en flânant de cette façon,que l'été dernier,mes pas,enfin,je veux dire nos pas ,nous ont menés pas vraiment tout droit devant la maison de naissance de Victor Hugo.
RépondreSupprimerNous n'avions pas de plan,pas plus de guide touristique ,ni quoique ce soit de ce genre en poche.Ah,j'oubliais,ni smartphone et tablette!Et pour couronner le tout,(je suis un peu ignare en la matière)je ne savais même pas qu'il était né à Besançon. Belle journée de découvertes...
Quelle belle surprise tu as dû avoir, alors...
SupprimerMoi-même j'ai appris que Françoise Sagan avait séjourné pas loin de chez moi, je ne savais pas...
Ce sont les choses comme celle-là qui font apprécier l'imprévu...
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Et qui saurait le dire mieux que lui-même :
SupprimerCe siècle avait deux ans
Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte, Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte, Et du premier consul, déjà, par maint endroit, Le front de l'empereur brisait le masque étroit. Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ; Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère, Abandonné de tous, excepté de sa mère, Et que son cou ployé comme un frêle roseau Fit faire en même temps sa bière et son berceau. Cet enfant que la vie effaçait de son livre, Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre, C'est moi
Allez savoir pourquoi : ce texte m'´a renvoyé vers vos papiers chiffonants...
SupprimerUn poème majeur de Hugo, qui s'auto-dévalue alors qu'il était au faite de sa gloire.
Supprimermais je ne vois pas du tout le rapport entre ce texte et mes petits papiers... ;-)
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Quelle belle balade dans la ville du carpe diem, où l'on aime en enfants...
RépondreSupprimerC’était lequel, de Harrison ?
Un bon jour pour mourir, aux éditions 10/18...
SupprimerJe ne le connais pas, j'ai été attirée par le titre.
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Ah, quelle délicieuse lecture ce matin. Un rêve ! En fait, j'ai connu un peu tout ça, à quelque détails près,...
RépondreSupprimery compris la dernière ligne de ton texte, si, si, y compris la dernière ligne ...
Ravie d'avoir enchanté ton matin, Bnh An.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Elle est désirable cette balade secrète dans une ville où l’on aime arpenter avec des yeux curieux et une âme de poète
RépondreSupprimerAmitiés Jak
Ah ma chère Jak, n'est-ce pas toujours ainsi que l'on devrait arpenter une ville ?
SupprimerAvec des yeux émerveillés ?
Bises célestes
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Oui! Absolument! Superbe recette pour se libérer des diktats d'un tourisme des sentiers battus! Vive les découvertes personnelles!
RépondreSupprimerBienvenue chez moi, ici même les sentiers ne sont pas battus, je n'aime tellement pas la violence !
SupprimerTe voilà sur mon totem, Mokhtar.
Au plaisir de te revoir ici ou ailleurs
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Voilà un endroit où l'on aimerait se balader pour oublier !
RépondreSupprimerBisous chère fée
Ce qui est bien, c'est que ces endroits existent dans chaque ville...
SupprimerBisous ma luciole
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C'est pour cela que j'ai tant aimé cette phrase de Valéry Larbaud (les poésies de A.O. Barnabooth) : "J'ai des souvenirs de villes comme on a des souvenirs d'amour")
RépondreSupprimerLes dernières... Hors de chez moi, ce furent Autun et Hyères. J'adore Autun...
Mais si Walrus t'invite pour un minitrip à Molenbeek, méfie-toi. Il y a de jolis coins, juré, craché, mais dans l'ensemble, y a mieux. De toute façon, la Belgique et l'urbanisme, ça ne fait pas très bon ménage o:(((
La phrase de Larbaud est extraordinaire... merci Pivoine !
SupprimerSi je l'avais sue plus tôt, je l'aurais mise en sous titre...
Pour Molenbeek...je pense que le Boss plaisantait un chouïa !
Quant à l'urbanisme, c'est toi la spécialiste ...
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Oui, oui, mais à Molenbeek, il y a un reste (un magnifique reste) d'une cité-jardin, la Cité Diongre... Malheureusement coincée entre une chaussée (en face du cimetière) et un boulevard très roulant. Et plein de buildings (d'appartements).......
SupprimerMême quand tu parles d'urbanisme tu me donnes envie.
SupprimerL'envie de retourner à Bxl où j'ai de si beaux souvenirs...
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Il manque juste la jeune femme à la silhouette spleenétique sous le parapluie rouge et dont les chausses à talons hauts ne se laissent pas impressionner par la pluie et les flaques d'eau... Mais ça c'est dans un autre monde que la blogo...
RépondreSupprimerUn autre monde, tu es sûr ? Parce que la dernière fois que tu l'as croisée, ici-même , elle n'a même pas eu droit à un regard de ta part... ;-)
SupprimerEt après on dira "souvent femme varie"... lol
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Et pan sur le bec comme on dit au Canard ! ;)
SupprimerÇa ne fait rien, elle aurait fait bien dans le paysage :))
Ma réponse était quand même moins sévère que les révélations dudit Canard ce matin...
SupprimerCela dit, pour faire bonne mesure, je dois ajouter que ta description était magnifique. Spleenétique c'est chouette comme antibluesollogisme. :-*) :-*) :-*)
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Suivre la petite route sinueuse, là où les roues nous emportent. Et le plaisir de découvrir un lieu inconnu et au combien ressourçant à deux pas de chez soi. Ou le plaisir de se perdre en voiture, au gré des tours et des détours. Et se retrouver seule au monde, face à une vue magnifique. Rester, savourer, avec la bonne musique et mon acolyte à 4 roues.
RépondreSupprimerTon acolyte à quatre roues..c'est un peu ma cage de farfadet ... c'est ça ? ;-)
SupprimerTu as raison, ce sont des plaisirs rares et subtils.
Bises célestes, Sabine
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Tout à fait ;-)
SupprimerC'est mon sentiment de liberté.
moi de même !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un moment désirable, Célestine ! J'aime aussi ces lieux secrets, protégés des gens, ces moments de sérénité où l'on sent le coeur de gonfler de bonheur infini.
RépondreSupprimerQuant à l'église, pas sûr qu'elle soit ouverte... Dommage que les églises soient verrouillées et que l'on ne puisse plus s'y réfugier quand on en a envie.
Joli texte comme tu sais si bien les écrire et faire partager tes émotions. Gros bisous
Il reste encore pas mal d'églises ouvertes dans les grandes villes...Mais peut-être pas la nuit.
SupprimerC'est vrai que c'est assez étrange qu'une église soit fermée, ou qu'il y ait des systèmes de sécurité comme dans les magasins...
La sensation d'avoir le coeur tout gonflé, je connais bien...Cela s'appelle la joie, en fait. Un sentiment plus profond que tout.
Bisous chère So, merci d'être passée.
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Amélie Poulain sort de ce corps !
RépondreSupprimer;-)
Je prends ça comme un compliment...
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Cela en est un assurément !!
Supprimertu m'en vois ravie cher Alain¸¸.•*¨*• ☆
SupprimerUn voyage, une randonnée, une aventure ne procurent la joie, la surprise, l'enchantement que quand rien n'est vraiment préparé; Aller au feeling, prendre une route par simple envie, s'arrêter à un village, un lieu inconnus, prendre une chambre dans une auberge, un petit hôtel quelque part à la lisière d’un bois, laisser le hasard décider où nous conduire, nous donnent tant de bonheur, tant de nouveautés à découvrir, tant de rêves attendus ou inattendus, et c'est cela et seulement cela qui restera indélébile dans nos mémoires et nos cœurs éperdument emportés. Merci Céleste, non pour le texte qui est bien écrit, mais pour le grain de bonheur que tu sèmes pour sortir des sentiers battus ; Bisous
RépondreSupprimerNB: Depuis ma pause, il me manquait la chaleur de ton blog ^^
Tes commentaires me manquaient aussi, cher poète.
SupprimerJ'espère que ta pause a été bénéfique.
Oui, l'imprévu, le feeling sont des choses que j'essaie de cultiver au maximum...ce n'est pas toujours compris par le commun des mortels qui sont trop attachés aux plannings, aux programmes...et aux choses toutes faites. Aux idées reçus, droites et raides comme des passe-lacets...
Bises fantasques
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Perdu mon texte Célestine, écrit en direct ! je disais ..... j'ai suivi tes pas silencieux gorgés de bonheur,accrochée à ton souffle curieux, par les ruelles qui grimpent, les venelles qui s'insinuent et serpentent jusqu'au magnifique promontoire, "en haut du tertre", là où la vue est fort belle, dans ces instants d'éternité que l'on voudrait garder pour soi... loin de la foule et des touristes, dans ces endroits cachés où l'on aime se perdre et se découvrir.
RépondreSupprimerMerci belle d'Âme, et douce soirée à toi.
Je t'embrasse.
Den
Ton commentaire est à lui seul un poème.
SupprimerIl aurait été dommage que tu ne le retrouves pas...Attention à toujours bien faire un copié-collé avant de publier, c'est une précaution que je prends à chaque fois que j'écris un commentaire un peu long...Rien n'est plus frustrant que de le voir avalé par la quatrième dimension...
je voulais te dire aussi que j'aime énormément quand tu m'appelles « belle d'âme » C'est magnifique, et je te retourne ce beau compliment.
Je t'embrasse moi aussi, ma chère Den
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Tout à fait pour moi, ce programme...c'est ce que je fais tout le temps...
RépondreSupprimeron dirait que tu m'as suivie ! :-)
Tu es sûre que ce n'est pas toi qui m'as suivie jusqu'ici ? ;-) ;-) ;-)
SupprimerContente de te revoir, la Licorne ! Aurais-tu fini ta pause ?
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Oui...je repars pour de nouvelles aventures...
RépondreSupprimer(avec vous, évidemment) :-)
Ah j'irai voir ça demain, ce soir je suis overbookée !
SupprimerBonjour
RépondreSupprimerMoi ce sont les "dérives" que je pratique, essentiellement à Paris ( j'habite en banlieue ). Je me donne d'abord quelques règles au départ ( du genre 1ère rue à droite, puis deuxième à gauche,1ère à gauche, troisième à droite, ...etc... ). Un peu étrange, mais le hasard est au rendez-vous...! pas toujours agréable comme vous je reconnais...! Sinon, une ville où j'adore user mes souliers, c'est Chartres, mais je n'ai pas de mérite, j'y suis né il y a 60ans...!
Amicalement
Merci de votre passage, Pierre.
SupprimerVos tableaux sont très beaux, et Paris est une source d'inspiration éternelle...
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J'adorais faire cela avant. Les villes qui dorment et s'éveillent tout doucement regorgent aussi de magie... ♥
RépondreSupprimerChose incroyable, je l'avais pratiquement oublié... te relire fait remonter de jolies choses..
Il faudrait que je m'y remette !
Oui, remets-toi-z-y !
SupprimerC'est un plaisir subtil.
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