J'ai vécu dans mon jeune temps
quelques dangereuses expériences. A la réflexion, je me demande même comment j'ai
survécu à tant de turpitudes !
Mon père
m'avait offert un jour un minuscule brûle-parfum en forme de lampe à huile. Je
remplissais le réservoir d'eau de Cologne, qui montait par capillarité le
long d'une mèche de coton, comme dans les vraies lampes. Je grattais une
allumette et hop! La flamme prenait une couleur verte du plus bel effet à
travers le verre coloré. Cela répandait dans ma chambre une délicieuse et
indescriptible odeur d'alcool chaud et parfumé. Au grand dam de ma mère, qui prétendait
que j'allais me rendre malade à respirer cette cochonnerie, ou mettre le feu à la baraque...
J'ai gardé
longtemps cet objet qui n'était précieux que parce qu'il venait de mon père. En
réalité, il n'avait aucune valeur marchande, de nos jours on aurait appelé ça
un gadget, mais le mot
n'avait pas encore été inventé par Pif le chien.
Photo wikipedia |
Ah! Pif ...et son plus
célèbre gadget, les Pifises...Qui n'a jamais entendu parler des Pifises, cette
"poudre magique" offerte par le célèbre magazine, et qui était censée
donner vie en quelques jours à de petits êtres vivants que l'on regardait
s'ébattre dans des bocaux de verre... Nos mères observaient ça, horrifiées et
dégoûtées à la fois, inquiètes comme si c'était le diable en personne...Les
bestioles au contact de l'eau salée, reprenaient vie, j'appris bien plus tard
qu'il s'agissait de spécimens d'Artemia Salina, un crustacé microscopique...
Les Pifises
ne firent pas long feu, ma mère dut les laisser partir
"malencontreusement" dans le lavabo, car à mon retour de l'école,
elle prit un air mystérieux pour me dire qu'elle ne comprenait vraiment pas ce
qui avait pu se passer...
Pour
consoler mon air dépité, elle me donna un franc que j'allai aussitôt dépenser
en bonbecs (les mêmes que dans la chanson de Renaud). Il faut bien admettre que
les colorants et les produits chimiques les constituaient à quatre vingt
dix-neuf pour cent. Mais en réfléchissant bien, les poudres pétillantes que
nous sniffions avec des pailles n'étaient-elles pas, de surcroît, des plus tendancieuses ? Et
le fait que la poudre était vendue encapsulée dans de l'hostie ne changeait
rien à l'affaire: on nous chevillait bel et bien le vice dans la peau, subrepticement et à notre corps
défendant. Enfin toujours d'après ma mère, bien sûr, qui s'arrachait les cheveux devant
tant de dépravation de la belle jeunesse...
Bref, c'est ainsi qu'ayant échappé par miracle à mon
triste et triple destin de junkie pyromane et zoophile, je suis devenue directrice
d'école.
Il fallait bien ça pour te former le caractère... :-)
RépondreSupprimerDe l'avis de Jargonos:
Pyromane oui, car tu aurais tendance à brûler ses beaux principes (mais qui ne sont pas aussi bien parfumé que ton eau de Cologne).
Junkie parce que pour ruer pareillement dans ses brancards, tu dois avoir fumé la moquette de la salle des maîtres.
Quant à ton amour pour tes Schtroumpfs, ça frise la zoophilie, et le compte est bon pour être une directrice parfaite:-D
Pour ma part, c'était plutôt les haricots dans de la ouate mouillée, et j'avais, par miracle, échappé à la vivisection des grenouilles. Une vocation ratée de sérial killer. Par contre, rien ne résistait à ma collection de tournevis.
Ti bacio Sorellita
C'est saisissant comme tu renverses la situation pour me démontrer qu'en fait, je n'ai pas échappé à mon destin...
SupprimerAh...les lentilles germées dans du coton humide, ça c'était instructif et passionnant...et pas virtuel. Ça faisait de l'herbe toute douce, on posait le coton et les graines sur une grosse boule de polystyrène expansé, décorée en forme de tête, et on regardait pousser les cheveux du clown... C'était marrant!
Molto baci
Quoi, tu as trahi, vendu tes chers pifises pour trente deniers, enfin, un franc ... ?! Je reconnais bien là l'inconstance féminine d:^) Tu dois certainement te rappeler aussi de la poudre de "coco", vendue avec sa paille ? Ça ne s'invente pas et il nous en a fallu, de la résistance aux influences délétères et consuméristes, pour ne pas sombrer dans la déchéance !
RépondreSupprimerMais non, je n'ai rien trahi ni vendu...c'est ma mère qui leur avait fait prendre le chemin des égouts...
SupprimerBuh hu! j'étais d'une tristesse...
Oui la poudre de coco qu'on sniffait avec une paille, tout y était...Quelle époque épique!
Je l'aime bien, moi, ta mère ...
RépondreSupprimerEt finalement, elle avait raison pour tout!
Je suis sûr que pour elle, ça n'a rien de déshonorant d'être dirlette ;)
Un jour, devant un cocktail du Pam pam, un jour où on aura le temps, je te raconterai ma vie...et surtout les multiples influences maternelles et paternelles qui m'ont faite ce que je suis.
SupprimerTu verras, Trierweiler à côté, c'est de la bibine.
(K)
Et ton addiction aux fraises "TAGADA elle t'est venue comment ? En observant des gros radis roses ?
RépondreSupprimerJustement, elle m'est venue de ce temps-là, quand les petits paniers de bonbecs de la boulangère nous faisaient de l’œil dans la vitrine de l'école, juste après la classe. Les citrons, les fraises, les rouleaux de réglisse et les fameux car-en-sac !
SupprimerBisou à la fraise.
Ah les bisous à la fraise... l'autre là,, le Marcel, il peut aller à la Madeleine se faire foutre ! Tiens, moi j'ai souvenir de baisers à la fraise dans un autre quartier de Paris, je te raconterai un jour, si tu es bien sage ];-D
SupprimerOui c'est vrai, il n'y en a que pour le petit biscuit de Guermantes...d'un type qui se couchait de bonne heure, en plus...
SupprimerMais tes baisers à la fraise je suis sûre que ce doit être quelque chose de rare, enfin, depuis le temps que tu nous en parles... ;-)
Vous avez deux sachets de poudre magique. Comment reconnaître la poudre de crustacés microscopiques de la poudre qui pique et qui pétille dans la bouche ?
RépondreSupprimerUne salée et une sucrée, peut-être?...
SupprimerJe ne sais pas, mais ça fait peur. On a peut être mangé des crustacés sans le savoir, et des mouches en plastique dans le café.
SupprimerElles se cachaient dans un morceau de sucre truqué...hi hi!
SupprimerOn remuait avec la cuillère et hop, la mouche apparaissait à la surface...
Kouah ?? Pif-Gadget ! Cette revue satanique issue du PCF et condamnée par la Sainte Eglise Catholique !
RépondreSupprimerKouah ? tu lisais ÇA !!!
Hébé ! On voit où ça t'a menée....
Directrice mécréante, menant les enfants vers les portes de l'enfer !
;-)
Tu y bruleras éternellement ! Heureusement que j'y serai aussi pour faire la bamboula avec Belzébuth en personne et la femme du pape qui est une sacré gaillarde !
On n'a pas fini de rigoler, pendant que les autres au Paradis, attendront sagement le doigt mouillé à l'eau bénite pour l'enduire de coco boer.
Pif, Hercule et surtout Pifou...mon petit Pifou adoré qui était en mode binaire: tout avec lui était Glop-glop ou Pas glop-pas glop...
SupprimerOui je suis irrécupérable, je sais.
Mais de savoir que tu seras avec moi en enfer, ça me console...
;-)
J'ai bien connu les célèbres atours penchés des Pifises, Burt Lancaster impérial en Prince Artemia Salina, le gout si délicieux des colorants et des produits chmiiques qui nous "niquaient les dents". Nous n'avons plus hélas de si bons produits chimiques. Moi j'étais plutôt gâteaux, Pailles d'or et Chamonix oranges et tube entier de lait concentré. Mais si, tu veux nous parlerons de tout ça très prochainement. ATTB.
RépondreSupprimerMais tout de même tu as eu une enfance au bord du volcan, à fréquenter ainsi les caterpillars agités. Bises tégéviennes.
Je te pique l'expression pour un prochain livre.
Supprimer"Une enfance au bord du volcan", jolie allusion à un très beau film.
Les pailles d'or, qu'est-ce que j'ai pu en ingurgiter! et aussi les petit beurrés nantais de LU, dans un paquet vert et blanc...Je ne sais même pas s'ils existent encore. Avec du "lait-tube" comme on disait, c'était royal.
Oh oui, ATTB cher Claude.
quel souvenir cette lampe ! je m'en souviens tellement bien , elle était comme ça hein ? parcontre les petites bestioles non pas connues et les bonbons on n'avait pas la même mère ? pas le droit d'en acheter si bien que j'allais en cachette à la boulangerie à coté de l'école juste avant de rentrer en classe j'achetais les bracelets de petits bonbons de toutes les couleurs et je les laissé dans le bureau de l'école chuut ! tu répètes pas hein ?
RépondreSupprimerfaut cliquer sur comme ça il n'est pas d'une autre couleur le lien c'est ballot
SupprimerLe choc quand j'ai vu la photo! comment tu as fait pour la retrouver ? c'est drôle, j'en aurais presque pleuré...
SupprimerMerci mon Petit Soleil.
les pifises, non, tu venais juste de naître, et avec mes copines les trois Christine (Christine C, Christine S et Christine B) on avait flashé sur ces petites bêtes. Et véridique, maman les avait balancés à l'évier en mon absence. Du coup, avec les sous, j'avais foncé me venger en achetant les bonbons interdits...
On va pas lui dire, hein...elle qui nous croyait si sages!
Gros bisou ma sister d'amour♥♥♥
J'échange un ventilateur à pied contre votre petit soleil sur pattes. Ou alors si vous avez une sirène de salle de bain, je vous l'échange contre un Mars.
Supprimerj'adore faire des recherches de choses qu'on avait jadis ça fait des émotions , en fait j'ai tapé petite lampe à pétrole je fait image et je l'ai vue http://ugodomino2.skyrock.com/8.html
SupprimerEn tant que sirène moi même, je vous le dis tout net, cher Fernand. Ce n'est pas parce que vous vous appelez Chocapic que vous pouvez acheter Vénus avec un Mars.
SupprimerTenez-vous le pour chuchoté.
ah ces saloperies de bonbons qui nous étaient interdits mais qu'on aimait sans doute d'autant plus!
RépondreSupprimerles hosties, les sachets de poudre avec la paille LOL quels souvenirs :-)
Il y en a tant des choses qui sont délicieuses et interdites...
SupprimerPeut-être le fait qu'elles soient interdites les rend-il plus délicieuses encore...
Que répondre à une telle affirmation ? Acquiescer et partir en rêvant......
SupprimerCe n'est pas moi qui le dis, c'est Adrienne...
Supprimer;-)
Quelle bouffée de souvenirs tu m'offres là Célestine !... Avant le Pif Gadget, il y a eu le Pif poche et Pifou Poche aussi, très glop. J'adorais ces petites bandes dessinées en noir et blanc au format carré. Je me souviens que des fois je "corloriais" l'une ou l'autre planche pour y mettre ma touche personnelle... Quant aux bonbecs, en sortant de l'école, j'ai avalé des serpents (couleuvres ?) en guimauve, des colliers de perles à croquer, j'ai léché interminablement du caramel dans de vrais coquillages, sans parler des carambar qui m'ont fait sauté quelques plombs et des malabar aux décalcomanies que l'on se tatouait sur le bras à grand renfort de salive ! Les années soixante quoi !!!..... bisous bisous.
RépondreSupprimerOh mais c'est vrai, les coquillages au caramel...mais il y en avait aussi des verts psychédéliques et des rouges fluo, je me demande à quoi ils étaient...A la chimie, sûrement.
SupprimerPour ce qui est des couleuvres, je suis d'accord, on en avale toujours!
Et Pif le chien avait un copain mais je me souviens plus comment il s'appelait...Ah si, Hercule, voilà.
On a les mêmes souvenirs, Aimedjee!
Bisous célestes
C'étaient de bien innocentes bêtises maîtresse... un enfant trop sage cela me fait toujours bizarre. J'ai même commis de menus larcins... j'avoue! j'ai les mêmes souvenirs que Aimedjee sauf que les Pifs, je les lisais en cachette car on m'achetait des Mickey. Belle semaine
RépondreSupprimerC'est même essentiel pour le développement de l'enfant de faire quelques bêtises...(c'est mon côté Fifi Brindacier qui parle...)
SupprimerBizou Brizou
Oh lala, séquence nostalgie ?
RépondreSupprimerJe lisais plutôt "Le journal de Tintin" ou "Pilote", en gros albums reliés qui permettaient de suivre les histoires dans une lecture en tranches napolitaine : chaque épisode hebdomadaire intercalé avec la dizaine d'autres histoires du magazine. Mais pas question de sauter des pages ! Pour les bonbons je me souviens des Malabars, des "Treets", des barres Milky Way et les Bounty. Et les biscuits Figolu, les Chamonix orange, les Beurrés Nantais dont tu parles aussi (je revois bien le LU blanc sur fond vert…). Par contre je crois n'avoir découvert les fraises Tagada que fort tard : je devais avoir une vingtaine d'années.
Peut-être pour ça que ma carrière de prof fut des plus brèves...
Quoi, tu as eu une mini-carrière de prof ? Il faudra que tu me racontes ça!
SupprimerTreets fond dans la bouche pas dans la main...j'ai quelques souvenirs de ce slogan magnifique, du temps de mon adolescence fiévreuse ! Il y avait aussi au collège un distributeur de "chocorêves" des chocolats à la noisette qui nous donnaient notre dose de magnésium quotidienne pour affronter les cours.
Dans le journal de Mickey, je me souviens aussi d'une BD à épisodes qui m'a marquée.
Mandrake le magicien (clic), magnifique et svelte dans son costume noir anthracite et sous son haut de forme à huit reflets...
Bises celestes
J'aime beaucoup ces moments d'enfance retrouvé. Merci
RépondreSupprimerMerci en retour, je suis heureuse quand je fais plaisir!
SupprimerMaintenant tu peux faire des ateliers pratiques avec tes élèves, genre comment faire bouillir de l'eau avec deux électrodes et du 220V. Si si, je l'ai fait, même que j'ai fait péter les plombs plusieurs fois. Que dis-tu ? Oui, à mon père également :-)
RépondreSupprimerEt c'est là que ta vocation d'ingénieur chimiste a vu le jour, dans un crépitement d'étincelles ?
SupprimerC'est beau comme du Verlaine...
Chacun de vos billets est une friandise fondante.On en redemande ! Et celle-là sont excellentes pour la santé chère délicieuse.
RépondreSupprimer~L~
Et vos triglycérides, vous êtes sûr qu'ils ne vont pas vous jouer un tour?
RépondreSupprimerAh cruelle, vous vous moquez d'un pauvre ver de terre amoureux d'une étoile...
Supprimer~L~
Aaaaah, Pif et son gadget surprise ! C'est ma madeleine de Proust : il suffit d'évoquer ce nom et je revois défiler des années de BD et de gadgets, poids sauteurs du Mexique, timbres mongols, l'herbe magique, etc. Une petite séance de rappel ? Va jeter un œil là ! Et aux dernières nouvelles, il y aurait un projet de relancer Pif Gadget ! :~)
RépondreSupprimerA en croire notre ami Andiamo, je ne suis pas sûre que la Madeleine soit encore une référence...
SupprimerCependant je suis d'accord avec toi: la simple évocation d'un mot peut faire surgir des dizaines de souvenirs, bien que, pour moi, ce sont quand même les souvenirs olfactifs qui me procurent le plus d'émotion.
Un projet pour relancer Pif ? Quelle super idée !
Bises célestes
Bien que ce soient ...fuck l'écriture automatique !
SupprimerEt moi qui croyait qu'on allait avoir des confidences croustillantes de notre maitresse. :D
RépondreSupprimerDes Pifises mais qu'est-ce donc ? Je ne savais même pas que ça existait.
Ah les bonbecs j'en bave rien que d'y penser.
Je vais ouvrir mon petit paquet de fraises. :D
Des confidences croustillantes sur deux billets consécutifs? Tu n'y penses pas...
SupprimerTu es certainement trop jeune pour avoir connu les pifises...
Tu cliques sur le wikipediatre et tu sauras tout.
Pour les fraises tagada, tu prêches une convertie, que dis-je ? Une grande prêtresse...
Bises fondantes
Enfin me voilà trop jeune pour quelque chose pourvu que ça dure !
SupprimerTu mérites ton surnom de Choupinet, en fait!
Supprimerje l'ai pas volé tu crois ?
SupprimerAh les Artemia Salina !!
RépondreSupprimerRepas préféré de mes symphisodons aequifaciatus, mes Acarichthys heckelii, mes Cleithracara maronii et mes Paracheirodon axelrodi !!!
Je ne te savais pas ichtyophile...
SupprimerQuelle poésie dans ces noms de poissons...
;-)
Aux temps immémoriaux où tu te délectais de sucreries colorées et de Pifferies plus ou moins salées, ma came à moi c'était les aventures de "Bleck le roc" c'est ainsi que je suis devenu presque Blogueur.
RépondreSupprimerBleck
Il me semblait bien que ça sonnait connu à mon oreille, ce pseudo...
SupprimerAvec trois frangins, j'ai sûrement dû voir trainer Blek parmi les mini BD comme " strange" ou "Zembla"
Oui d'ailleurs il n'y avait pas de C à Blek...
En cela, tu te rapproches de mon ami Blutch qui s'est inspiré des célèbres tuniques bleues...
Par contre, pourquoi dis-tu presque blogueur ? Pour moi tu es un blogueur à part entière...
@ - Tiens, tu me donne l'envie de te répondre... par un billet, bientôt.
SupprimerEric
J'ai hâte de le lire, cher ami.
Supprimer:-)
La belle vie quoi ... Je trouve que notre enfance était plus riche en découvertes de tout genre, que celle d'aujourd'hui, non ... Le virtuel a remplacé toutes ces bonnes odeurs d'antan ... C'est bon de se remémorer ces doux instants ... Nostalgie tu me rattrapes ...
RépondreSupprimerBisou, bisou
Oh oui, ma belle Petite Marie,la vie dans toute sa splendeur...
SupprimerNe soyons pas trop nostalgiques, la vie c'est maintenant.
Gros bisous et bon dimanche!
Hosties colorées et poudres picotantes eurent donc sur moi le même effet, menant mon pas vers la direction d'école! Bizzz
RépondreSupprimerHi hi, nous avons été fondues dans le même moule, tu en doutais ?
SupprimerBeau dimanche, ma chère Amie!
Je me souviens des bonbecs dont tu parles : de la poudre encapsulée dans de"l'hostie" en forme de soucoupe volante.
RépondreSupprimerIl y avait aussi des "coquilles St Jacques" remplies d'un bonbon dur et coloré que nous sucions. Pas très hygiénique tout ça !
Oh Suzame, c'est vrai, on ne se posait pas trop la question des microbes, à l'époque...mais on était vaccinés naturellement!
SupprimerAh! les bonbecs fabuleux qu'on achetait dans la petite boutique située juste à coté de la grille d'entrée du collège !!!
RépondreSupprimerLes carambars, les roudoudous , les mistrals gagnants et autres petites souris caramel enrobé de chocolat ou les boules de coco ! Rien d'y penser j'en ai l'eau à la bouche et la larme à l’œil tellement cela évoque de beaux souvenirs !
Par contre chez nous Pif gadget était interdit:-)! On était plutôt Tintin !
Je suis contente d'avoir réveillé tous ces souvenirs chez toi Mammilou.
SupprimerMais interdire Pif, c'était dur! il était tout gentil et Pifou était tellement mignon! Glop glop!