Photo Alain X |
Il n'aura pas échappé à votre sagacité que les derniers événements m'ont rendue bien mélancolique. Quand je suis en mode "éponge", on m'appuie dessus du bout de l'index, plop! Et je me déverse. Je m'épands. Je me fontainise. Je deviens une résurgence de type vauclusien.
Du coup, ces larmes pluriquotidiennes ont
bien éclairci mes yeux, ce qui est un doux euphémisme pour dire que le rimmel
qui a fait couler de l'encre (et réciproquement) dans mon avant-dernier billet
n'est plus qu'un lointain souvenir.
Chaque gouttelette d'humanité alors
m'éclabousse et vient rapetasser mon cœur en morceaux. Et une puissante envie
de sourire monte du tréfonds du creux de moi-même.
Mais ai-je droit de sourire, au regard des aleas douloureux que je viens de traverser ? C'est comme si
deux forces contradictoires luttaient en moi, se déchirant comme deux coqs au
combat, comme si je m'interdisais de sourire, alors que la vie et l'espoir bouillonnent en
moi.
-Mais oui, grande bête, tu as le droit de sourire, allez, ta mère elle-même te le dit, ça ne sert à rien de s'escagasser!! (Mais pourquoi ma conscience prend-elle la voix de Raimu dans le rôle de César?)
-Mais oui, grande bête, tu as le droit de sourire, allez, ta mère elle-même te le dit, ça ne sert à rien de s'escagasser!! (Mais pourquoi ma conscience prend-elle la voix de Raimu dans le rôle de César?)
Ce matin, le petit ramasseur de
feuilles en gilet jaune (pas les feuilles, le ramasseur) me fait son grand
sourire de Forest Gump, et me dit "petite demoiselle". Il ne m'en
faut pas plus pour avoir envie de grimper au platane en lançant le cri de
Tarzan. Mais c'est une métaphore, je ne l'ai pas fait, hein...
-Ah bon?! Dommage…
-Ben non. Je sais. J’aurais peut-être dû.
A midi je reçois un sms plein d'amour de
ma chère Eva, une de mes amies fidèles parmi les fidèles, et il me vient
soudain l'envie de lui déclamer combien elle m'est précieuse, elle qui ne m'a
jamais déçue, ni trahie, ni dit aucun mot méchant en dix-huit ans.
On ne dit jamais assez aux gens qu'on aime
qu'on les aime. (P'tin! c'est beau ça! c'est de qui déjà?)
Cet après-midi, dans la cour, un petit
mouflet haut comme deux pommes à plat ventre se plante devant moi, l’œil roux
d'un écureuil et la mèche rebelle.
"T'es trop belle, directrice!"
Vous avez vu ça, vous? Faire du gringue à la dirlo? A huit ans?
Vous avez vu ça, vous? Faire du gringue à la dirlo? A huit ans?
J'en reste comme deux ronds de serviette. Ou
de cuir. Ou de flan. Enfin bref, interloquée. Je ne me serais pas imaginé dire
ça, à huit ans, à l'espèce d'épouvantail gris et revêche qui nous servait de
directrice... (C’est mon souvenir, il est peut-être un peu déformé par la
courbure parabolique du temps...)
A part ça, j'ai aussi reçu deux e-miels, un d’Ambreneige
et un autre de Candide.
Et pour finir cette belle journée-eu, nous irons nous asseoir... mais pas sur un banc. Sur le sofa ensoleillé d'Olga, qui
m'a invitée à boirleter. A cinq heures, comme de juste. Nous boirletons souvent
après le boulot. Aujourd'hui c'était pour fêter la rentrée de la zone C.(comme la vitamine du même nom)
Le merle s’entraînait pour un futur casting
de "The Voice». Le soleil déclinait lentement sans avoir l'air de trouver
ça dramatique.
Il faisait bon.
Tranquille. J'ai senti à nouveau couler le long fleuve...
C'est dire que la vie en nous est forte, est grande. Et quand je lis ton texte ça me fait du bien de voir justement que cette vie qui s'agite en nous veut nous donner un bonheur, une paix qui s'exprime par delà nos tristesses, nos ennuis...
RépondreSupprimerDepuis un bon bout de temps je vis plein de désagrément, rien ne va comme supposé et je me demande qu'est-ce que j'ai à comprendre et ce matin quelque chose plus haut que ma pensée me disait "tout est correct, ne t'inquiète pas" et je suis bien surprise de me sentir bien, libre en moi malgré tous ces aléas qui s'imposent dans ma vie.
Tu as une façon bien poétique de dire. Je n'ai pas ce don de l'écriture mais au moins je peux me régaler de lire les personnes qui ont ce don et j'en profite vraiment. maty
Chère Maty, je te lis souvent chez les autres et tes commentaires ont toujours cette profondeur et cette humanité qui me font persévérer à croire en l'Homme malgré les aléas et les turpitudes.
SupprimerJe suis heureuse que tu aies pris ta plume ce matin, et je me prends à penser que peut être, c'est mon billet qui t'a fait du bien. Et ça, c'est le meilleur antidote à la morosité.
Le chaud puis le froid qui souffle en toi.
RépondreSupprimerQuand la sphère des sentiments prend le pas sur les autres (opinions, faits), c'est du Celestine for ever !
Surement pas facile à piloter, une mécanique comme ça ;)
Je reconnais que sous le capot, c'est une horde de chevaux sauvages qui s'emballent parfois.
SupprimerJ'adore les métaphores automobiles dont vous avez le secret, messieurs, pour parler de nous.
J'ai le châssis tout bouleversé et les phares au xénon qui papillotent!
Avant de partir retrouver mes petitous qui ont bien grandi depuis février, je viens te faire un petit coucou et te dire que dans ma cour, il y a aussi:
RépondreSupprimer- un playmobil en gilet jaune qui me dit des gentils trucs qui font sourire
- des lutins en bonnet à pompons qui me disent des gentils trucs qui font sourire
- des boirleteuses qui me disent des gentils trucs qui font sourire (c'est pas aussi fréquent que je le voudrais!)
- des zoziaux qui me disent des gentils trucs qui font sourire
- et de jolies idées dans ma tête qui font me sourire...
Ce matin, il y aura en plus, ton joli billet qui me fait sourire...
Bises d'Ep'
Mais alors , on se ressemble??? ;-)
SupprimerA part la couleur des yeux et "l'assent", je crois qu'on peut le dire...♥
SupprimerL'assent, je ne l'ai que par écrit, dans mes exercices de style.
SupprimerDans la réalité je ne l'ai plus trop trop...^^ mais les yeux, ça j'y tiens, c'est des vrais.
J'boirlèterais bien avec toi en fin d'après-midi, en écoutant Fernando Sor. Le mieux pour toi... et à très bientôt.
RépondreSupprimerOh la la! oui, ce serait bien tu imagines: boirleter en étant sur la même longueur d'ondes en modulation de fréquence...
SupprimerHasard encore, ma poésie du jeudi, Supervielle, c'est La goutte de vie. On ne se quitte plus!
RépondreSupprimerOn peut appeler ça du hasard.Mais je n'en crois rien. Il y a comme cela des connexions qui ne s'expliquent pas rationnellement.
SupprimerHo, comme j'aime ce billet là!! Et oui, tu peux te réjouir autant que tu peux t'épancher... chaque jour sa météo du coeur, chaque jour son sourire ou sa peine, qu'importe puisqu'on est vivants!! bisous belle dirlo
RépondreSupprimerressentir, oui. A un de mes amis blogueurs qui s'inquiétait de n'éprouver aucune émotion, je dressai tantôt cette liste non exhaustive du bonheur de vivre:
Supprimer"Si tu savais comme c'est bon, de ressentir, de vibrer, d'aimer, de se tromper, de râler, de crier, de murmurer, d'attendre, de désirer, de jouir, de chanter, de manger, de boire, de rire, d'écouter, de voir, de toucher, de caresser, de sentir, de respirer, d'avoir chaud, d'avoir froid, de goûter, de vomir, de dormir, de rêver, de pétrir, d'enlacer, de discuter, de découvrir, de voyager, de risquer, d'oser, de jouer, de courir, de nager, de grimper, de se saouler, de gagner, de perdre, de pleurer, de sourire, de danser, de transpirer, de défaillir, de partir,de revenir, de déménager, d'emménager, de construire, de cultiver, de jardiner, d'avoir honte, d'avoir peur, de trembler, de trépigner, de claquer les portes, de claquer des dents,de claquer son fric, de bronzer, de chiner, de s'amuser, de travailler, de se coucher tard, de se lever tôt, de se laver, de se parfumer, d'embrasser, de lécher, de déguster, de savourer...bref, d'être vivant!"
Je persiste et signe. C'est bon d'être vivant!
Bizou ma Brizou.
La mélancolie et l'espoir...billet dans la continuité des précédents. J'aime beaucoup 'boirleter"...
RépondreSupprimerEst ce que le ra- masseur (un dieu qui réchauffe...) cours aussi vite que Forest Gump??
Bises et bonne reprise !
C'est chouette, un Râ masseur...
SupprimerJ'ai dans l'idée qu'un bon massage au soleil me ferait le plus grand bien...
@ Cel : tu sais que ça, je peux faire, mais pour une mesquine histoire de météo, tu veux pas faire l'effort de venir habiter près de chez moi...
SupprimerTant pis, tu sais pas ce que tu perds !
:oDD
Comment ça, mesquine? Nanméo, c'est quand même pas de ma faute si j'aime le soleil! ;-)
Supprimer...et si chez toi y en a pas des masses...
Supprimermais qui t'empêche de venir proposer tes services par ici. Un titre de "Râ-masseur", ça se mérite!
Qui c'est qui serait embarrassée si je la prenais au mot ?
Supprimer:o)))))
Ouais, je vois qu'on ne répond pas... :o))
SupprimerSerait-ce que tu te mords les lèvres tellement ça te fait envie ?...
:o)))
Bien sûr! aïe! ça fait mal!
SupprimerSourire à la vie est notre plus grand réconfort quand elle même se prend à nous faire la grimace... C'est toujours l'histoire du geste inversé, comme au yoga... mais bon, ça je te l'ai déjà dit... et si j'en tire un sourire, c'est encore gagné... bisous et bonne journée ma Célestine avec une pensée positive de ta Prudence...
RépondreSupprimerPour rester dans la continuité de ma réponse à Mind The Gap, j'ai une amie qui m'a appris la salutation au soleil.
SupprimerUne amie très précieuse, car ce geste quotidien, que j'ai délaissé quelque temps, à tort, apporte une grande paix intérieure.Merci de me remettre sur la Voie.
Ben oui, quelle idée de laisser la salutation au soleil ?
SupprimerC'est quand qu'tu m'apprends ?
J'échange contre un massage au soleil. ;-)
SupprimerOK : Oussa, quandssa ?
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerTu as compris j'espère... ^^
SupprimerAffirmatif, Capitaine : divulgation d'informations hautement confidentielles !
SupprimerPour la peine, je dirai deux pâtés et trois Aver.
Si, si, j'y tiens...
Tu m'en veux pas j'espère ?
Sinon,j'mets une thune dans not' boîte à pardons, et on s'en va en vacances à Novosibirsk !
;oD
Bon ça ira pour cette fois mais que cela ne se reproduise plus!
SupprimerComme selon la formule consacrée.
Je comprends trop bien ce que tu vis, ma chère Célestine, trop bien... je le vis aussi, avec tout ce qui peut chambouler son coeur, d'incompréhension, de perte de repères.. ne sommes pas un tantinet prêtes pour ces bouleversements, ces remises en questIon.. quand je ne pleure pas.. ce sont mes yeux qui pleurent... quand je ne comprends plus rien à ce qui se passe. autour de moi.... . faut voir les choses au deuxième degré... oh ! tu nous fatigues... que veux-tu, c'est la vie... faut accepter... bien sûr, faut accepter... et j'accepte..
RépondreSupprimerbon jour ma chère Célestine... essayons de grandir encore !!
je t'en brasse de ce coin de brin d'an...
Den
Heureusement, personne ne m'a dit encore ce "oh tu nous fatigues" qui doit faire bien mal...
SupprimerChacun appréhende les difficultés avec ce qu'il est, et le plus difficile est de faire le tri entre les conseils éclairés et bienveillants, et les donneurs de leçons qui nous recroquevillent négativement sur le malheur.
La force vitale est en chacun de nous, et elle permet bien des miracles.
En revanche, je vais peut-être m'arrêter de grandir, là, parce que je vais toucher le plafond! ;-)
Bises printanières aussi
Sourire le cœur douloureux n'est ce pas le plus beau signe que la vie nous a donné pour montrer qu'elle est là, latente, en attendant des jours meilleurs et que lorsque les orages seront passés elle repartira à nouveau vers d'autres chemins. Malgré tous les aléas, la vie cherche toujours à prendre le dessus, à nous de savoir si on veut rester plus ou moins longtemps sur une page de tristesse ou bien si nous voulons connaître de plus en plus de moments de joie en réactivant rapidement la vie. Nous ne sommes pas maître des évènements malheureux indépendants de notre volonté qui viennent joncher notre vie, alors il vaut mieux arriver à les occulter rapidement, mais nous sommes maître de vivre selon nos désirs et de remplir notre vie de joies et de petits bonheurs quotidiens. Comme dit Brizou, l'essentiel c'est d'être vivant, la mort attendra ...... Bonne journée.
RépondreSupprimerRéactivation: tu as trouvé le mot.
SupprimerSouffler sur les braises, ranimer le feu de l'ancien volcan qu'on croyait trop vieux..;etc etc...
Je ne peux que conseiller à mes lecteurs de lire ce formidable billet qui m'a fait beaucoup de bien au coeur de la tempête:
C'est ICI
http://edmeedexhavee.wordpress.com/2014/03/14/le-bonheur-detre-la/
ahhhhhhhhhhh ma célestine!!!
RépondreSupprimerma fougueuse, mon ardente, dans la peine autant que dans la vie que renaît en toi
Pouvoir être heureux même dans les douleurs de la vie!
Je t'embrasse, FORT!
Quand on arrive chez toi, tu te définis ainsi:
Supprimer"Une femme simple, aimante, fougueuse, sensible"
Ça me rappelle quelqu'un...
Moi aussi, très FORT!
Courage la trooooo belle ! La vérité sort de la bocca dell bambini... Qui a dit ça ?
RépondreSupprimerQue rajouter, sinon que je n'ai plus besoin de blush aux joues...
SupprimerLa citation est certainement d'un inspecteur d'académie, non ?
RépondreSupprimerAllez, bisous ! ;-)
Andiamo, inspecteur d'Académie? Pourquoi pas? enfin, ça changerait, ça ferait un peu rigoler le mammouth!
SupprimerBien sûr que tu as le droit de sourire ! Il n'y a rien de meilleur pour la santé:-)!
RépondreSupprimerEt je pense que le métier que tu exerces et que j'ai exercé aussi, auprès de jeunes enfants nous aide à repérer chaque jour les petits bonheurs de la vie et à en sourire !
Moi aussi j'aimerais bien boirleter avec toi:-)!
Ça c'est possible, Mammilou. Lyon ce n'est pas le bout du monde. Mais je te rappelle que tu es beaucoup trop surbookée pour une soi-disant "retraitée", toujours par monts et par vaux...et que la dernière fois que j'étais à Lyon, tu ne pouvais pas...
SupprimerMais, oui, c'est vrai, je ne renonce jamais à un projet.:-)))
Sourire, si ça ne te fait pas de bien, ça fait du bien à ceux qui te croisent.
RépondreSupprimerQuant aux pleurs, faut laisser couler, un jour, on pleure moins.
Oui tu as raison, même que ça me fait du bien de rire et de pleurer tour à tour.
SupprimerBisettes.
J’aime tes mots concoctés et triturés à souhait que tu nous sers comme un délice : je fontainise, je m’épands ! et le rimmel, qui m’a fait penser au Rhummel, grand cours d’eau de la mythique Constantine (on y trouve beaucoup de gouttelettes !!).
RépondreSupprimerTous ces mots rendent humaines nos douleurs, tes douleurs en les assagissant, en les enveloppant dans du baume pour adoucir le ciel qui parfois nous tombe dessus. Tu ne sais pas le bonheur que tu sèmes dans nos cœurs par ta recherche fructueuse ( je préfère fructuante !! ) de ces mots magiques qui transforme le plomb en or. Pour ma part je suis amoureux de …tes mots qui me sourient à foison !...
Tranquille. Tu disais, j'ai senti à nouveau couler le long fleuve, ah ! le Rhummel, je pense y prendre un bain!....
Merci, la directrice au grand cœur !
Très émue par tes mots, comme toujours, Bizak.
SupprimerPlus le miroir est brillant, plus l'image est belle.
Kiss
Eh bien je veillerais à ce que ce miroir soit toujours plus brillant!
SupprimerMerci pour ces mots sympathiques!
Bise-ak!!
Je n'en doute pas le moins du monde.
SupprimerLa brillance de l'esprit est une qualité inestimable.
Oh mais oui vas-y : souris, Célestine. Et si tu veux, pleure aussi. Parfois, c'est bon de laisser sortir ses émotions sans filtre....
RépondreSupprimerOui, tellement bon. Et je sais que tu n'es pas en reste dans ce domaine.
SupprimerJe t'embrasse
C'est ça, grimpe en haut du platane et casse-toi la binette, tssss, c'est bien le moment directrice, surtout ne fais pas ta Tarzane, on a trop besoin de toi ailleurs ;-). Souris ma belle, c'est notre raison de survivre....
RépondreSupprimerÇa ne risque rien,les aventures dans les arbres, c'est pas trop mon truc...
SupprimerTout prendre avec dérision, humour ou bonheur. Voilà le recul qu'il nous faut pour ne pas nous taper la tête contre le vide de l'absurde.
Grand sourire
Chère Célestine,
RépondreSupprimerJ'ai découvert ton blog depuis peu (encore un cadeau de Coumarine...) et j'en suis tout simplement heureuse.
J'aime tes mots tout gorgés de toi
quand je les presse un peu
dans le creux de ma main
j'accueille un jus délicat
dont je me délecte
assoiffée que je suis
d'être là
dans le mouvement généreux
de la vie
et dans tes yeux
de la couleur
d'une mer tendre
je vois
l'âme du monde
qui palpite
en chacun de nous...
A tout bientôt
Bienvenue sur mon totem, Aimedjee, passante occasionnelle ou future fidèle.
SupprimerMerci de ce joli poème.
L'âme du monde, rien que ça...
Je t'en prie... Un tout petit rien multiplié par tous, cela fait beaucoup...
SupprimerTu sais que c'est amusant ton pseudo:j'avais un copain qui m'appelait comme ça (il faut dire que mes vraies initiales sont MJ)
SupprimerC'est incroyable ce que nous propose le hasard !!... Auquel je ne crois pas... Donc, si je comprends bien, nous portons, peut-être, le même prénom ?!! Décidément, depuis que j'ai entamé mon aventure bloguesque les coïncidences s'enchaînent à une vitesse qui m'enivrent (de joie, of course). C'est si bon de se sentir reliée entre les uns et les autres, au hasard des rencontres...
Supprimermais moi tu sais si tu veux je t'apprends à grimper dans les arbres ! y a pas de souci !
RépondreSupprimerAvec toi, j'irais au bout du monde, mon cher PSV! Et je n'aurais même pas peur!^^
SupprimerMais dans les arbres...je fanfaronnais!
Pas froid aux yeux le p'tit gars...Et t'as peut-être oublié d'écrire que la vérité sort de la bouche des enfants. :D
RépondreSupprimerAndiamo l'a dit en italien, et toi en français...je suis comblée.^^
SupprimerAprès la pluie, le beau temps ...
RépondreSupprimerBises affectueuses :-)
Ton nom complet, c'est pas Marie Rostopchine?
Supprimer;-)
Pourquoi ce nom ? Je ne me sens pas "comtesse de Segur", je m'appelle Marie Gregorio et j'essaye de te soutenir du mieux que je peux ... en ce moment malgré ce super printemps, je ne suis pas au mieux de ma forme.
SupprimerBisous et bonne nuit .
C'était juste de l'humour, petite Marie. A cause du titre de la comtesse "après la pluie le beau temps". Si je t'ai blessée je m'en excuse. Mais pour moi, il n'y avait rien de moqueur ou de méchant, c'était un compliment, j'ai aimé les petites filles modèles et les mémoires d'un âne quand j'étais enfant.
SupprimerJ'aimerais te soutenir moi aussi, si tu ne vas pas trop bien. Je te remercie de ta fidélité et je t'embrasse.
T'inquiète je ne l'ai pas mal prise du tout ... J'ai eu juste peur que tu penses que je prenais ton mal être à la légère ;-)
SupprimerJe t'embrasse et excuse pour le malentendu ...
Merveilleux exemple de la nécessité de mettre toujours des mots sur les choses!
Supprimerje t'embrasse !!!
iL Y A Les giboulées de printemps, et celles de nos cœurs.
RépondreSupprimerBonne nuit!
Bonne nuit ma belle! Après les giboulées le beau temps comme dit Marie-Sophie Rostopchine...
SupprimerSamedi dernier.
RépondreSupprimerUne amie à la maison. Institutrice. Petite section.
Et qui me racontait l'air réjoui toutes les déclarations fougueuses que lui font ses petits élèves.
C'est un côté très sympathique du métier. S'entendre dire par des petits bouts de chou "T'es belle Madame"...
Belle fin de semaine à toi.
Tu as de belles fréquentations, Suzame!
SupprimerOui, heureusement qu'il y a les élèves dans ce métier. Parce que pour le reste, il y aurait trop çà (re)dire......
Surveille ta boîte...
Bisous
Elle est belle cette photo d'Alain, il est beau, ce billet de Célestine, toujours si entière, à rire et à pleurer, à vibrer, à boirloter, mais surtout à aimer... .
RépondreSupprimerN'est ce point le plus important, au regard de l'inutilité et de l'absurdité de toute vie?
Supprimer(C'était mon quart d'heure pataphysique)
Gros becs ma Delphine
Connaissais pas le verbe " boirleter ".
RépondreSupprimerContent d'être passé.
A plus tard.
Tu dis plus " a diu siatz"?
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