Bon,
inutile de le cacher, je me suis pris une belle claque ces derniers jours. Une
claque silencieuse. Elle n'a fait du bruit que dans le chaud cloaque de mon
cerveau mité comme une vieille éponge.
Je
me suis débattue toute seule avec mes vieux démons, empêtrée dans ma naïveté
crasse et mes fantasmes, engloutie dans mes bons sentiments, et mon éternelle
faculté d'émerveillement qui me semble, dans ces cas-là, pétrie de bêtise et
d'immaturité.
Je
me suis traitée de tous les noms d'oiseaux, je me suis regardée des heures dans
la glace pour essayer de comprendre pourquoi je suis restée cette petite fille
irrésolue quelque part. Pourquoi mon regard ne se ride pas, mais reste lisse et
écarquillé sur la beauté du monde...Mon utopie, ma déraison. Et toutes ces
choses que l'on me reproche en boucle quand on a quelque chose à me
reprocher.
J'ai
compris soudain que derrière ces attaques frontales, et ces échanges plutôt
verbeux et inutiles, mon esprit dessinait avec effroi en filigrane l'ombre de
l'amie perdue, et que j'entendais une nouvelle fois les reproches qu'elle
me fit avant de me quitter: le "voile rose" que je mets sur toutes
choses, c'était une expression à elle. Je lui parlais de positif, et elle me
répondait guimauve.
Et
j'ai enfin admis qu'il y avait derrière ces reproches une bonne dose de noire
jalousie.
Ah le sentiment de libération que procure un sentiment longtemps refoulé et
qui vient crever à la surface de la conscience comme une bulle de gaz fétide !
Ponctuellement, bien sûr, cette naïveté m'empêche d'avancer,
en me dissimulant l'obscure noirceur de certaines âmes, et en me rendant frêle
et désarçonnable comme une sauterelle accrochée à un brin d'herbe ballotté par
le vent. Mais elle me protège aussi, quotidiennement, telle une
armure.
J'ai compris, tout bien considéré, que je n'avais pas envie
d'être amère ou désabusée, ou de me vautrer dans je ne sais quelle boue. J'ai envie de continuer à croire à la beauté des choses. Tant pis si cela suscite de l'agacement ou de l'aigreur d'estomac.
J'ai compris qu'une lucidité sereine me permettrait désormais de me défendre mieux, et de faire la balance avec mes chimères, mon talent à m'étonner, mon impulsivité, ma part d'enfance. La vie, de toute façon, n'est qu'une illusion, un jeu. Chacun la joue à sa façon.
J'ai compris qu'une lucidité sereine me permettrait désormais de me défendre mieux, et de faire la balance avec mes chimères, mon talent à m'étonner, mon impulsivité, ma part d'enfance. La vie, de toute façon, n'est qu'une illusion, un jeu. Chacun la joue à sa façon.
Et là, ce
soir, j'ai l'impression de me retrouver dans la lumière après avoir pleuré
toute seule dans le noir. La vie m'éclate à la tête et je la trouve encore plus belle.
Back to yourself. Et merde à la fin ! On fait comme on peut. Et si pour certain(e)s le voile rose fait office de bouclier, de masque à oxygène, de bâton de pèlerin, de bouée de sauvetage, et bien, c'est notre problème. Chacun la joue à sa façon, yes, merci Célestine !
RépondreSupprimerAh vraiment, ça me fait du bien, ce billet, tiens !
Yep!MYO heureuse je suis!
RépondreSupprimerMoi aussi je me réjouis de te voir enfin renaître à la joie. Baste des aigris et des cyniques, la vie est trop grise pour renoncer à la vouloir colorer un peu ! Tiens, ça me donne envie de siffler un peu ! :~)
RépondreSupprimerOn me fait à moi aussi parfois le reproche d'être un peu fleur bleue car je parle du bonheur de chaque instant.... comme si je ne savais pas combien la vie peut être dure... Mais il faut aussi se battre pour avoir le droit au bonheur. Certaines personnes sont tellement malheureuses qu'on a l'impression qu'elle refuse toute joie, non seulement à elle-même mais à autrui.
RépondreSupprimermoi qui ai aussi ce regard "heureux" sur le monde (et positif sur les gens, surtout sur les jeunes, qui constituent mon "public") je ne comprends pas en quoi cela peut déranger certains... je plains très forts les aigris, les tristes et les désabusés et j'espère ne jamais le devenir!
RépondreSupprimergard donc ton voile rose, Célestine, celui-là au moins ne fait de mal à personne :-)
Je ne commente pas souvent chez toi... mais ce billet me touche.
RépondreSupprimerC'est difficile de rester dans l'émerveillement face aux autres.
Je ne sais pas si la vie est une illusion, mais il est vrai que nous sommes le propre maître de notre vie, et quelque soit nos conditions matérielles, nos conditions de santé, il n'appartient qu'à nous-même de la voir belle ou non.
Je pense qu'il faut plus de courage, plus de volonté pour voir la vie belle que pour la voir sombre.
Ce que certains prennent pour de la candeur, de la naÏveté, de la "guimauve" démontre au contraire d'une incroyable détermination (consciente ou inconsciente). C'est mon opinion. D'autres peuvent en avoir une autre.
Alors Célestine, envers et contre tous, continue à voir la vie en rose. Je pense que tu es du bon côté du chemin.
La perte d'une amitié laisse des traces mais ta façon de voir et présenter les choses est positive et puis oui la vie n'est qu'une illusion...
RépondreSupprimerde puis que je suis en retraite, j'ai tout mon temps de m'émerveiller et ne m'en prive. Je suis sûr que des gens doivent me prendre pour un doux dingue; lorsque je regarde un bon moment un couple de pies jouait sur l'herbe. Ou bien admirer une fleur. mais s'ils savaient ce que je m'en fiche...
RépondreSupprimerBonne journée et vis ta vie comme tu l'entends. Bises
C'est pas facile quand même , se prendre des coups , devoir presque se justifier , quand même Célestine , je perçois bien dans tes mots tes tracas , blanc ou noir , où est le juste milieu
RépondreSupprimerLes jalousies sont partout , je les perçoit , pourquoi se lamenter quand au fond de soi nous sommes remplis d'optimisme ?
c'est à mon sens la plus bonne des nourritures , on en va quand même pas s'intoxiquer avec les polluants de ce monde
je me réjouis de cette prise de conscience , reste toi , et basta les donneurs de leçon !
Indéniablement nous ne ferons jamais l’unanimité , parce qu'au fond , c'est toujours ça qui nous touche , ce sentiment de ne pas être aimé ... on a beau le savoir , l'adversité bouscule
L'été est là , Juillet est le mois de l'insouciance a dit Antiblues , profitons en ...
Chère Célestine,
RépondreSupprimerTa peine m'a fait mal, beaucoup!
Parce que je sais la belle personne que tu es, et que cette personne fait du bien par son regard bleu, teinté résolument de positif
Tu es de ces personnes qui aident à vivre, à voir en avant
Oui tu peux apparaître pour certains comme naïve, bisounours
Mais je préfère qqun qui est capable de s'étonner, de s'enthousiasmer...
Ta façon de la jouer me plait beaucoup... elle correspond à la mienne finalement
Je voudrais te dire merci, tu as été une présence fidèle pour moi durant cette année difficile
Ne change surtout rien : c'est comme ça qu'on t'aime. Mieux, c'est pour cela qu'on t'aime !
RépondreSupprimerCélestine
RépondreSupprimerJe suis heureuse de lire ces mots...
Continuer à croire en la beauté des choses est un choix. Allez vers la lumière ... comme c'est beau :-)
J'aime ce chemin de vie.
Tourner le dos à la noirceur du monde pour allez vers SA vérité, c'est courageux.
Bisous ✰✯✮ Laure ✮✯✰
http://suivre-mon-etoile.blogspot.fr/
Eh bien voila !
RépondreSupprimerQu est ce qu on dit a maitre Yoda ? :-)
Je passais juste te souhaite de bonnes vacances, Célestine.
RépondreSupprimerTon dernier billet mérite une lecture attentive et plus de temps.
Je repasserai.
Bises
Idem pour moi : réminiscence du passé (des douleurs nauséabondes ressurgissant à cause d'un évènement). Recul, remise en question, et la tête vachement haute :
RépondreSupprimerON SAIT QUI ON EST ! :)))
Et dernier point qui ne regarde que moi : magnifique leçon : ma dernière dépendance a été éradiquée (le blog) et aujourd'hui, je me sens légère, loin de toutes ces prisons que sont les regards et jugements (si si, y'en a et y'en aura toujours, et j'ai un peu d'autres chats à fouetter que de me faire disséquer comme une pauvre grenouille agonisante). Le plus drôle dans tout çà est que mes "bourreaux" sont prisonnières jusqu'au cou de cette dépendance .
Comme on dit : "c'est celui qui dit qui est", ou "regarde dans ton miroir, avant de sortir".
Bref, je vais méga bien et ne m'assiste ici que pour toi et pour une ou deux amies virtuelles.
Je me doutais bien que cette blessure te taraudait encore.. Mon petit doigt.. :)
Bisous ♥
Christelle
Ton texte me fait du bien. Et je crois qu'il nous fait du bien. Parce que la beauté de ta personne y transparaît.
RépondreSupprimersouvent (hélas, mais c'est ainsi…) des événements douloureux qui nous atteignent nous font passer de ce que tu appelles la naïveté à la lucidité sereine sur soi-même. ( après la traversée de quelques turbulences… C'est le moins qu'on puisse dire…)
Nous sommes toujours l'ultime juge de qui nous sommes. Cela s'appelle la conscience d'être, qui est la seule que l'on peut interroger à l'intérieur de soi, et, si l'on est bien situé, la réponse est faite d'une véritable justesse.
C'est un rempart, une forteresse imprenable par quiconque.
Dans le même temps force nous est faite de demeurer dans une certaine vulnérabilité face aux autes, qui n'est pas fragilité, mais qui est l'un des signes fondamentaux du « vivant ».
Ton texte fait du bien, parce qu'il rappelle tout cela, à ta manière. Parce qu'il génère la solidarité de ceux qui comme toi croies en la beauté des choses, en la beauté des êtres.
Reste bien entendu à demeurer vigilant.
À propos de l'ex-amie que tu évoques : cela me rappelait cet phrase célèbre :
« Mon Dieu, gardez-moi de mes amis ! Quant à mes ennemis, je m'en charge ! » prononcée par un roi de Macédoine, mort en 221 av. J.-C.
ce n'est donc pas d'hier que cette problématique existe… !
( La phrase est souvent attribuée à Voltaire mais il l'a reprise de celui que je cite).
Cel, rester soit, continuer dans ce a quoi l'on croit, rester dans ses idées sans etre borné...declanche forcement de la jalousie..plus rarement du soutien ou de l'approbation..si ce n'est par les Ami(e)s..ce sentiment d'etre imcoprise, du coup meprisee et/ou enviée ..je connais! mais les vacances sont là, ça devrait calmer les esprits les plus amers..et la vie est trop courte pour se laisser embeter..mais c'est super dur et bien plus facile a ecrire!! courage, j'suis là
RépondreSupprimerOh non Célestine, surtout ne change pas, surtout n'écoute pas les aigris, les tristes, les résolus. Continue à faire vibrer ta flamme pétillante. Laisse les grognons au bord du chemin et continue de siffloter, rire, et t'enthousiasmer. C'est toi qui sait vivre. Que la vie éclate fort tous les jours. Des bises
RépondreSupprimerOh comme tes mots résonnent ! Je comprends bien tes fluctuations, tes oscillations, tes états de béatitude, tes sidérations, tes prises de conscience muettes, tes désillusions ... et la force du vivant, que dépeint si justement AlainX.
RépondreSupprimerSurtout ne change pas le fond de toi-même, il y a juste à développer comme tu le dis la lucidité sur certaines amnières d'être qui nous échappent lorsqu'on y est étranger ...
Je t'embrasse
Ton billet me fait penser à cette maxime d'un sage tibétain:
RépondreSupprimer"Soyez à l'égard de vos pensées et de vos émotions, comme un vieil homme sage qui regarde jouer un enfant."
...et aussi au deuxième accord toltèque de Don Miguel Ruiz:
"Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle"
Quelque chose me dit que tu connais ce livre; pour ma part, je m'y replonge souvent pour des piqures de rappel!
Bel été Célestine
Avoir cette faculté est une belle disposition. :)
RépondreSupprimerBeaucoup de bruit pour rien : c'est ce qui me vient.
Et malgré le vent qui a tourné, certains retours persistent, arguant l'oubli, mais revenant à la charge...Il ne faudrait pas quand même que ce petit ras de marée prenne avec le temps la force d'un tsunami... mais bref. C'est aussi une des failles humaines que d'embellir ou d'exagérer la "réalité d'un fait" Quand à l'addiction... :)
Bon suffit...
Pour ma part je ne suis là que pour te souhaiter de bonnes vacances après m'être découverte un peu en privé.
Vive la diversité...tant qu'elle reste authentique!
Salutations sincères Melle Célestine. Belle réussite d'écrivain Mme Martine. :)
L'une
J'avais posté... Mais o`u est-ce ?
RépondreSupprimerGarde tes rêves bleus, tu as raison un lever de soleil c'est merveilleux ];-D
mon dieu, mais elle me harcèlera jusqu'au bout "l'une" , allez, la petite pique.. ne vous inquiétez pas chere "Une", c'est la toute dernière fois que je commente sur la blogosphère, car un tel acharnement de piques commence à me gratter le cul au delà de l'entendement.
RépondreSupprimerChristelle
"Chère" Christelle, vous m'accordez décidément bien trop d'importance!
RépondreSupprimerEt encore une fois plutôt que d'être dans cet excès qui vous caractérise soyez lucide : qui parle de "bourreaux", qui revient à la charge ici où là criant sa délivrance? Qui encore une fois est vulgaire? :)
Commentez, revenez, lisez, mais diantre cessez donc de vous ridiculiser et par la même occasion de me titiller aussi!
Et surtout ne faites pas des promesses que vous ne tiendrez pas! :) Je ne suis pas en addiction personnellement :)et je n'ai fait aucune promesse ni adieux grandiloquents!
J'écris. Et je suis venue ici pour présenter mes salutations honnêtes à Célestine (ce qui ne veut pas dire me renier à mon sens)
Je stoppe là, parce que entre nous ça serait (hélas) sans fin et il semble que je sois capable de vous faire du mal sans beaucoup d'effort et sans réelle intention ce qui n'est pas mon passe temps favoris ne vous ne déplaise!
Désolée Célestine.
T' inquiète petite Célestine! et continue !
RépondreSupprimerJe passe en coup de vent, du pays des cigales, pas le tien, un peu plus loin ... et je suis heureuse de lire ce que je lis.
RépondreSupprimerBel été à toi !
MS
Après, j'ai un peu réfléchi plus loin que le bout de mon nez rose. La naïveté est parfois aussi une empêcheuse de voir la réalité pas toujours reluisante. Donc gardons quand même un tout petit peu les yeux ouverts... Enfin, je parle pour moi ;;-)
RépondreSupprimerMYO c'est ce que je dis quand je parle de "lucidité sereine"
RépondreSupprimerMS chacun de tes passages ici me fait toujours plaisir!
PIERROT BÂTON pas d'inquiétude, la vie est trop courte pour se la gâcher longtemps...
UNE et CHRISTELLE Désolée? Pas autant que moi...ce n'était ni le lieu ni le moment de revenir verser votre querelle. Je ne peux rien ajouter d'autre.
RépondreSupprimerANDIAMO Oh oui, un lever de soleil sur un étang,au petit matin, avec des libellules et des poissons argentés...
VERONIQUE oui, je lis et je tente de mettre en pratique cette sagesse toltèque. J'avoue que je n'ai pas réussi sur le champ, il m'a fallu sept jours de réflexion pour réaliser que ce n'était pas une "affaire personnelle"
ZENONDELLE je me suis laissé piéger par de simples mots en les laissant pénétrer dans mon coeur, alors qu'ils auraient dû ne s'arrêter qu'à la lisière de mes oreilles...Mais j'ai compris la leçon.Merci de tes mots à toi.
RépondreSupprimerMISS ZEN tes paroles m'interpellent: je ne sais pas si je "sais" vivre, mais en tous cas, j'aime ça!
CHATAIGNERAIE on va se voir, hein, pendant ces vacances???
L'important n'est-il pas de se sentir en accord avec soi-même ? De toute façon, nous ne pouvons pas plaire à tout le monde. Ne changeons pas pour plaire aux autres, restons fidèles à nous-mêmes. C'est la seule façon de ne pas se perdre et d'être en paix.
RépondreSupprimerBon week-end à toi, Célestine.
Ah cher ALAINX ton commentaire me fait du bien. La bienveillance de certaines paroles , c'est tellement bon!Garder intacte sa force de vivre, sa candeur et sa vigilance, je trouve que l'image de maître Yoda correspond bien bien à ce mélange.
RépondreSupprimerSOENE Les vacances seront les bienvenues, merci beaucoup. Tu reviens quand tu veux.
RépondreSupprimerANTIBLUES un grand maître tu es!
LAURE oui, parfois, il faut du courage pour suivre le chemin que l'on s'est tracé. Mais alors on n'éprouve plus que de la fierté...comme celle que tu as à regarder grandir ton étoile.
WALRUS rien que pour la douce chaleur de mes joues qui s'empourprent, rien que pour ça, je t'aime!
RépondreSupprimerCOUMMARINE si tu savais comme tes mots me font du bien,toi qui sais les trouver mieux que quiconque, toi que jamais je ne chercherai à égaler, ma douce Coumarine.
JEANNE Tu as une énorme sensibilité, cela se ressent dans la façon dont tu comprends parfaitement mes mots et mes maux...Merci en tous cas pour être là, je vais tâcher de profiter de l'insouciance de juillet sans perdre le fil de la blogo complètement...
RépondreSupprimerPATRIARCH si un jour, dans ta belle ville, je vois un doux dingue penché sur une fleur ou le nez en l'air à la recherche d'une hirondelle, je saurai que c'est toi et je m'approcherai pour te saluer!
RépondreSupprimerMIND THE GAP une illusion, un rêve, et en tous cas quelque chose que chacun doit éprouver et vivre sans se préoccuper du qu'en dira-t-on...parce que chacun est unique, et qu'il ne sert à rien d'essayer de changer le rêve des gens.
Suzame, tu ne commentes pas souvent, c'est vrai, mais toujours de façon subtile. je me souviens de ton commentaire sur mon billet "être attentif à l'autre" ou tu m'avais parlé de ces chocolats que tu avais offerts à tes camarades de travail...c'était drôle et délicat.
RépondreSupprimerADRIENNE je m'en revêtirai quand je viendrai te voir, sans doute l'été prochain...il enchantera sûrement ma découverte de Bruges et Gand, que j'ai envie de visiter...avec toi peut-être?
FRANCOISE ce sont des paroles tellement plaines d'une lumineuse sagesse. Elles éclaireront mon premier weekend des vacances.
RépondreSupprimerBonheur du Jour être fleur bleue, mais pourquoi ce serait un défaut? Je me le demande...
RépondreSupprimerTANT BoURRIN je ne connaissais pas cette séquence des Monty Python...Très amusant!
Je suis aussi d'un naturel optimiste,de chaque jour je ne retiens que la beauté et j'oublie ( j'essaie ) le reste:-)
RépondreSupprimerEn amitié j'applique la même philosophie :-)
Ha mais bien sûr que c'est bon, et nécessaire, et irraisonné et tout à fait raisonnable de s'émerveiller, de voir le beau, le bon... bravo à toi et continue, surtout continue!! Et vive le rose et les roses!
RépondreSupprimerPAQUES puisqu'au final nous allons tous au même endroit, à quoi sert-il d'y aller en maugréant? Autant sourire et être optimiste, vu que ça ne change rien, à part nous donner moins de maux d'estomac!
RépondreSupprimerBRIZOU merci de ton passage. Je reviendrai plus souvent te voir!
oh! Ma Célestine, comme j'aime ta réponse à Pâques!" puisqu'au final nous allons tous au même endroit, à quoi sert-il d'y aller en maugréant?"
RépondreSupprimerUn gros baiser d'amitié vraie...
Et bien, c'est toujours triste la fin d'une amitié... Elle devrait pourtant être contente, ton (ex)amie, d'avoir une personne près d'elle qui voit la vie en rose, cela n'est pas si courant ;-) Très bon dimanche à toi !
RépondreSupprimerJ'ai vécu la même déception il y a peu de temps.
RépondreSupprimerMoi aussi j'ai pleuré seule dans le noir avoir d'apercevoir cette lumière qui me fait vivre.
Je me suis détestée de n'avoir pas écouté mon instinct qui me suggérait que cette déception arriverait.
Je le savais au fond de moi.
Mais j'ai cru en cet ami, coûte que coûte.
la prochaine fois, j'écouterai mon sixième sens.
Bisette