Paul Valéry.
Toi.
Oui, toi qui passes une fois de plus me lire, j'aime l'idée que mes mots te fassent du bien.
Passe ton chemin si tu ne trouves pas ton plaisir à mes phrases, si tu ressens des choses peu agréables. Si tu me trouves en boucle, bêcheuse, futile, insupportable, égocentrique, ridicule, mièvre...ou tout simplement chiante.
Ne reste que si tu te sens touché(e), oui, là, à l'intérieur, à cet endroit secret entre les côtes et le diaphragme, un endroit que l'on dit solaire. Peut-être parce qu'il réchauffe tout le corps quand on le stimule...
Oui, toi qui passes une fois de plus me lire, j'aime l'idée que mes mots te fassent du bien.
Passe ton chemin si tu ne trouves pas ton plaisir à mes phrases, si tu ressens des choses peu agréables. Si tu me trouves en boucle, bêcheuse, futile, insupportable, égocentrique, ridicule, mièvre...ou tout simplement chiante.
Ne reste que si tu te sens touché(e), oui, là, à l'intérieur, à cet endroit secret entre les côtes et le diaphragme, un endroit que l'on dit solaire. Peut-être parce qu'il réchauffe tout le corps quand on le stimule...
As-tu remarqué combien certains mots ( et certaines personnes ), coulent en nous comme un subtil et précieux nectar, un baume, qui nous apaisent et nous donnent de la joie, et combien d'autres nous semblent aussi faciles à avaler qu'un bol de ciguë macérée dans du fiel de bouc ?
Bah oui, bien sûr, tu l'as remarqué, et depuis longtemps. Tu en as fait l'expérience plein de fois, tu n'es pas né(e) de la dernière brume. Pour peu que tu sois un peu trop sensible, comme bibi...
Bah oui, bien sûr, tu l'as remarqué, et depuis longtemps. Tu en as fait l'expérience plein de fois, tu n'es pas né(e) de la dernière brume. Pour peu que tu sois un peu trop sensible, comme bibi...
Je me relève doucement. Le vent fou de l'automne a flanqué par terre ce matin, toutes les feuilles de mon arbre. Celui que j'admire de la fenêtre de ma cuisine... Il se retrouve tout nu et semble un peu désolé du bazar jaune qu'il a mis sur le gazon vert. C'était drôle, pas triste du tout. Je me suis prise à sourire...
On arrive en novembre, et après divers heurts je passe à l'heur d'hiver.
A la bonne heure, je vais tenter de vivre.
Peindre la lune et le vent. Cueillir le jour. Continuer mon dialogue des dialogues avec vous. J'avoue, j'ai pas trop la pêche en ce moment. Je me ferais assez peur tellement je ne suis pas dans mon assiette. Ni même dans mon verre. C'est qu'il y a des choses tellement secrètes dont on ne peut parler à personne...
Mais vous, oui vous, lecteur bienveillant, lectrice attentionnée, vous ne savez pas combien vous m'aidez à rester debout.
Mais si, vous le savez, évidemment que vous le savez...
Ouh, pinaise ! voilà que je radote comme une vieille bique.
Mais vous, oui vous, lecteur bienveillant, lectrice attentionnée, vous ne savez pas combien vous m'aidez à rester debout.
Mais si, vous le savez, évidemment que vous le savez...
Ouh, pinaise ! voilà que je radote comme une vieille bique.
J'ai revu le film de Miyazaki, que j'avais découvert avec mes élèves à sa sortie. Eblouissant.
Tiens parlez moi d'un film, d'un livre ou de n'importe quel truc qui vous ait emballés, et touchés juste là : au plexus.
Voulez-vous ?
¸¸.•*¨*• ☆
Le vent se lève, HAYAO MIYAZAKI, 2014
Le jour se lève, et je vis.
RépondreSupprimerHier, j'ai écouté une belle émission sur Charlotte Salomon qui commence à être bien connue maintenant. J'étais émue devant tant de force de vie malgré tout ce qu'elle a vécu de douloureux. C'était une belle leçon de fécondité.
Je vous embrasse. Bon dimanche.
Merci Bonheur du jour. Quel symbole de commencer par vous cette ronde d'amitié.
SupprimerJe ne connaissais pas Charlotte Salomon, je n'en avais même pas entendu parler.
Elle me fait penser à Etty Hillsum, qui a écrit son journal intime pendant sa déportation.
beau dimanche céleste
¸¸.•*¨*• ☆
Quel concours de circonstance... voilà plus d'un an que j'ai entendu parler d'elle dans une émission radiophonique ainsi que par David Foenkinos qui lui a consacré un livre que j'ai enfin acheté samedi!
Supprimerbisous.
Supprimerje te dirai si j'ai aimé le livre...
Volontiers !
SupprimerBisous
Et un sourire
RépondreSupprimerPaul Eluard (1895-1952), Le Phénix, 1951
La nuit n'est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l'affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler1 faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie à se partager.
bises, Célestine
merci chère Adrienne.
SupprimerCe poème a longtemps été accroché sur un mur de ma chambre d'adolescente.
Un hymne à l'optimisme, une invitation à ne pas baisser les bras.
Bises pleines d'étoiles
¸¸.•*¨*• ☆
Les feuilles, au cours de ma virée bourguignonne de cette semaine, je les ai vues tourbillonner jusqu'au sol. C'était vraiment joli, il faut dire qu'il faisait beau, froid mais beau. Le ciel était bleu et les éoliennes fort gaies.
RépondreSupprimerTe parler d'un film, d'un livre? Il y en a tant.
Alors je te dirai celui qui m'est immédiatement venu au moment où j'ai croisé ta demande: "Des fleurs pour Algernon", lu il y a .. pfou! (1987)... porté au cinéma d'abord (je ne l'avais pas vu alors) puis à la télé française récemment, sous le nom... Charlie. Prénom qui résonne ô combien depuis un certain jour de janvier.
Qu'est-ce qui m'avait tant touchée dans ce livre, qu'à peine ouvert je n'ai pu lâcher? (je l'ai lu d'une traite, je me rappelle je me trouvais à Paris, suis entrée dans un troquet pour y terminer ma lecture)
Charlie, était-ce moi? Était-ce mon petit frère, qui a un léger retard? Cet homme qui voulait devenir "intéligen" pour qu'on l'aime, était-ce le rêve que je nourrissais déjà?
Va savoir...
Ah oui, c'est une très belle histoire, j'avais vu le film il y a longtemps.
SupprimerTu as bien joué le jeu car tu n'as pas cherché à réfléchir, tu as juste cité le premier coup de coeur qui t'est venu.
Et c'est exactement cela: des coups de coeur, ce délicieux picotement au plexus qui rend la vie belle.
cela dit, tu n'as pas besoin de rêver de devenir intelligente puisque tu l'es déjà.
Bisous Ambre
¸¸.•*¨*• ☆
Pas né de la dernière brume...
RépondreSupprimerça alors...
N'est-ce pas... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Oui, car ce matin de bonne heure, j'étendais la lessive ( je fais depuis deux mois de plus en plus de tâches ménagères, car Mme Bof s'est fait un petit peu casser la tête du fémur par notre bélier qui voulait taper notre chien, chien plus leste que Mme Bof, ce qui explique que le chien n'a rien eu, contrairement à Mme Bof ), oui, alors, donc, j'étendais le linge et je regardais en même temps les puys: pleines de brouillard étaient les vallées et tout le reste dans la lumière du soleil qui se levait. Quand j'eus rempli ma mission, je rentrais et je me retournai: le vent qui rend fou ne soufflait pas. Alors je me rappelai ta première bannière de linge qui séchait et je lis ton blog...J'aime bien la bannière du linge qui sèche, vraiment.
SupprimerBon, qu'est ce qu'il y a ce soir à la télé?
Oh, pauvre madame Bof ! Transmets lui mes amitiés empathiques.
SupprimerAinsi donc, quand le vent fou ne souffle pas, chez toi, la brume noie le paysage ?
Ce doit être très joli.
Bon allez, tu l'auras ta bannière avec le linge qui sèche. Une funambulle spéciale Bof. Mais c'est bien parce que c'est toi...
A la télé ? j'en sais fichtre rien...
¸¸.•*¨*• ☆
hello Célestine, tu nous touches aussi au plexus avec tes mots. Un bouquin récent me concernant ? Celui de RJ Ellory qui s'appelle les assassins. Polar mais pas que. Ah oui celui aussi de Michel Onfray "traité d'athéologie" qui règle leur compte à toutes les fariboles religieuses. Beau dimanche à toi Célestine et continue à nous ravir
RépondreSupprimerJe vais essayer.
SupprimerLe vent d'automne me glace par moment et me donne des coups de cafard terribles, et puis je me relève et je me dis que le cafard peut aussi être une petite bête sympathique sous votre plume, qui secoue les puces et qui fait souvent rigoler. Je ne connais pas le polar dont tu parles.
En revanche, Michel Onfray, excellent choix.
Bisous ravis et ravissants
¸¸.•*¨*• ☆
Eh bien, du côté de mon palpitant, c'est un passage place de la Concorde au crépuscule que j'ai été soulevé par cette vague dont on ne sait trop si c'est du regret, de la tristesse ou du bonheur.
RépondreSupprimerUn peu comme quand tu as 17 ans, que tu croises quelqu'un et que tu tombes fou amoureux.
Tu vois le truc ?
A part ça, j'ai l'impression que toi aussi tu es parfois la cible de gens qui n'aiment pas ce que tu écris et qui, au lieu de s'en aller comme devant une vitrine qui ne plaît pas, ne peuvent s'empêcher de jeter une giclée de vinaigre.
Cette vague qui nous prend devant quelque chose de beau est en effet un mélange de sentiments complexes et contradictoires, mais n'est-ce pas l'essence de la vie même ?
SupprimerOh oui, je vois bien le truc dont tu parles...
Et à part ça, oui, je suis souvent sidérée de susciter la jalousie : sans doute un effet de mon manque de confiance en moi, ou de ma grande naïveté...
En tous cas, toi c'est du miel ce matin
¸¸.•*¨*• ☆
Ce n'est pas de la jalousie, c'est juste de l'aigreur à l'abri d'un illusoire anonymat, comme les gosses qui arrachent les pattes des perce-oreilles ou les ailes des mouches.
SupprimerC'est vrai, la méchanceté gratuite me laisse ébahie, et rend ce monde incompréhensible pour moi.
SupprimerLes gens sont des hiéroglyphes comme dit Etty Hillsun...
¸¸.•*¨*• ☆
Etty Hillesum.
SupprimerEh oui, Ambre, mon smartphone est bien américain, il a préféré la colline et le soleil... ;-)
SupprimerAh la la, cette saisie automatique....
¸¸.•*¨*• ☆
Mais bien sûr que tu n'as pas la pêche ! Normal, nous sommes à la saison des châtaignes, que dis je ....la saison des marrons et tu en prends plein la gueule depuis quelques temps . Mets donc tes chaussures de trial , cours jusqu'à Aix en Provence, (l'équivalent de 4 marathons , pour toi ce n'est pas la méditerranée à boire) et va voir l'expo Marilyn. Je te tends la main.
RépondreSupprimerAh quelle bonne idée ! Je vais peut-être m'y arrêter en descendant voir ma mère ou en remontant...
SupprimerQuatre marathons ? Une paille...
Bisous ma Chinou.
¸¸.•*¨*• ☆
Tiens, on te parle des Fleurs pour Algernon. Un livre qui m'avait secouée aussi à l'époque, que j'avais prêté à mon frère qui en a tiré un autre livre des années plus tard... Le voici en film, je n'ai pas vu cette version, mais vais la regarder... https://www.youtube.com/watch?v=_A4Y1saIc4k
RépondreSupprimerOui tu émergeras, tu es une émergeuse, une qui ne veut pas rester où elle est si c'est noir et venteux et lugubre et effrayant. Alors comme Casanova qui une fois sous les plombs a cherché comment en sortir, tu livres tes antennes et ton intuition à la tempête, sachant que tôt ou tard elles sauront où se trouve la sortie...
Baci sorellita!
Ton frère est écrivain aussi ? Quelle famille magnifique !
SupprimerJ'adore Julien Boisselier, je n'ai pas vu cette version qui semble décriée par les inconditionnels du livre...
Mais une traduction ou une adaptation sont toujours un peu une trahison, n'est-ce pas ?...
merci pour le lien, je me laisserai tenter.
Baci sorella di cuore
¸¸.•*¨*• ☆
Bien sur que je me réjouis d'abord de cette nouvelle bannière
RépondreSupprimerLa dominante verte, éclairée du roux de ta belle chevelure
a pour moi la signification d'un apaisement qui peu à peu
s'installe en toi.
Il y a toutes ces feuilles éparpillées , fruit du travail du vent d'automne ; mais tu acceptes la logique du temps qui passe ;
le temps qui efface certaines blessures.
Te parler d'un livre ? Moi ; j'ai le Petit Prince qui me souffle à l'oreille la sagesse : écouter son coeur.
Ici , je doute que l'on comprenne mon choix ; ils ne te connaissent pas ; ne savent pas à quel point ton contact est bénéfique....
Je t'embrasse en te souhaitant le plus doux des réveils
Tu as raison, il y a un symbole dans cette chute des feuilles, qu'il nous faut accepter dans le grand cycle de la vie.
SupprimerIl me faudra du temps pour atténuer la blessure du 9 septembre. Elle ne s'effacera jamais complètement.
Mais le Petit Prince me souffle aussi à l'oreille :
– Ce qui est important, ça ne se voit pas…
– Bien sûr…
– C’est comme pour la fleur. Si tu aimes une fleur qui se
trouve dans une étoile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel.
Toutes les étoiles sont fleuries.
Bisous
¸¸.•*¨*• ☆
SupprimerOn n’est jamais tout à fait gagnant à tous les coups, sinon ce serait parfait et la vie n’aime pas être parfaite, elle serait terne. La vie, c’est ce doute qui nous prend, nous vrille, nous étreint le cœur, quand chaque mot peut prêter à plusieurs sens. On n’est jamais sur de ce que pensent les autres de nous, tout autour de nous, pour notre écrit ou pour tout autre chose.. Tes écrits Céleste ne laissent pas froid, sans flagornerie, sinon personne ne s’y intéresserait et forcement il y’a quelque aigris(es) pour trouver, non pas un autre avis, mais une insinuation sournoise. La nature a ses quatre saisons, elle est plus gaie, mieux répartie. La vie a aussi ses quatre saisons, on est balloté ou choyé, réchauffé ou glacer, abaisser ou élever. Alors le vent comme tout autre chose, il se lève, il se couche, il se répand, il se comprime, il galère, il se console. La vie n’est rien de plus.
RépondreSupprimerPour le roman, je ne sais quoi te citer, Céleste, sinon que la vie elle-même est un roman extraordinaire qu’on n’a pas fini encore de lire encore moins d’écrire.
Bisous d’amitié
Oui la vie est un si beau roman, avec ses pages parfois sombres, parfois lumineuses.
SupprimerToi, le prince de la belle littérature, tu ne sais choisir un titre qui t'ait bousculé le plexus jusqu'au coeur.
Tu as raison, c'est très difficile de choisir.
J'aime ces quatre saisons, parfois sombres, parfois lumineuses.
C'est vrai, je suis souvent en proie au doute, et aux suppositions devant certains mots qui font mal.
Mais heureusement mes amis sont là pour me remettre sur le chemin de moi-même.
Tels des phares dans la bourrasque.
Je t'embrasse en vol de lucioles, cher poète
¸¸.•*¨*• ☆
Beaucoup de romans m'ont touché au plexus,La Céleste, mais je retiens quand même, un des plus beaux romans de Daphné Du Maurier: "La Chaîne d'amour ; je te le recommande,car tu connais mes goûts, l'héroïne a quelque chose de toi, mais je ne saurais te l'expliquer, je m'égarerais chère luciole.
SupprimerAh oui, rien que pour essayer de comprendre ce que l'héroïne a de moi, je note ce roman dans un coin de ma tête.
SupprimerEt je te remercie du fond du coeur pour cette jolie indication de lecture.
Belle soirée, prince du désert !
¸¸.•*¨*• ☆
Joli bande haut, ce film dont tu nous parle me semble bien poétique belles châsses, sais tu qu'à Paris un peu de mistral s'est détourné afin de nous épousseter le ciel ?
RépondreSupprimerMerci pour le bande haut, ça ne m'étonne pas de toi... ;-)
SupprimerOui c'est un film qui te plairait beaucoup.
Mais le Mistral à Paris...Et après, on dira que ce sont les Marseillais qui ezagèrent !
Oh monsieur Brun, vous avez pas vu Landolfi sur vos quarante canebières ?
¸¸.•*¨*• ☆
Landolfi ? Celui qui ne marchait jamais au soleil, afin de ne pas traîner son ombre ?
SupprimerQuarante canebières ? Nous avons les trois quartiers, les deux ânes, les trois baudets, non merci on a tout ça ki fô ! ];-D
Je ne faisais que citer Pagnol... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pour moi, il n'y a pas photo, c'est Fééries dans l'ile de Gerald Durrell. Si tu veux en savoir plus c'est ici : http://moncarnetamalices.eklablog.com/atelier-d-ecriture-feeries-dans-l-ile-a106106858
RépondreSupprimerLe titre est joli et donne envie d'en savoir plus, en tous cas, chère Martine.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
J'ai toujours été sûr le fait que t'étais comme moi du mot qui peint. Que m'aime si nous sommes un peu du bon et + du mauvais, on a rien du bon dubo du bonnet blanc, blanc-bonnet. Être chiant chez nous ça règle le transit de ceux qui sont vraiment constipés.Le teint jaune nous le faisons toujours extrait du soleil, pas de ces ictériens qui se demandent ce qu'ils foutent sur terre. Vas-y, j'aime quand tu roules ma Poule. De voir comment ça de te fait rouler des hanches, du postérieur et des seins, crois-moi j'irai pas cracher sur ma tombe, vu comme tu l'enteras pour que l'arbre ne meurt pas.
RépondreSupprimerA propos d'arbre, profites de ce que le tien se soit foutu à poil pour voir combien il est androgyne. Mâle et Femelle y sort jamais d'un genre où de l'autre pour aller chercher des allumettes. C'est à plein tant qui lime le dit amant vert.
Ah, être arbre puti, tu parles d'un pied d'essence pour se mettre devant la cuisine....Rien que d'y penser je sens d'ici ta sauce me remonter le narines !
J'aime quand tu prends ta palette pas pâlotte pour peindre avec tes mots.
SupprimerC'est ben vrai mon arbre est aussi arbrette, il ne pratique pas la thé au riz du genre, il nous donne des leçons de Vie.
Être chiant chez nous ça règle le transit de ceux qui sont vraiment constipés c'est beau comme de l'Audiard. Et le dit amant vert brille de mille feu au milieu des feuilles roussies par l'angel.
¸¸.•*¨*• ☆
Tant que le poil crépite on se tient show au coeur du gisement de l'hors noir...Célestine !
SupprimerTu es le roi du pétrole, mon Zoizo !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pas de coup au cœur mais du plaisir à lire le dernier Donna Leon, Venise, la Fenice et la musique.
RépondreSupprimerUn bon polar sur fond de Venise, ça se laisse déguster comme un verre de bon vin...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ton titre "le vent se lève" a tout de suite attiré mon attention (je me lève à peine)...
RépondreSupprimerCette animation de Miyazaki san est sa dernière composition... Je l'ai vu il y a environ deux ans et j'en étais troublé, comme d'habitude...
Un film que je pourrais te recommander ?
J'ai bien "Departures" de Yōjirō Takita (que tu a aperçu sur mon précédent blog), ou alors un film qui commence à se faire vieux : "L'été de Kikujiro" de Takeshi Kitano...
Sourire...
Bises automnales.
J'aime beaucoup tous les films de Miyazaki.
SupprimerIl s'en dégage une poésie subtile qui me fait du bien. les choses ont une évidence claire et rassurante, même quand les événements soufflent en vents contraires.
Merci pour les liens, j'irai voir.
Belle journée d'automne, Gilles. Merci d'être venu au saut du lit. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Pour toi ma chère, le saut de lit est un plaisir (parachute recommandé quand même), et puis j'ai à me faire pardonner d'un e-mail que je regrette sincèrement...
Supprimer;-)
Il faudra que tu m'expliques parce que là, tout de suite, je ne vois pas... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tu vas tenter de vivre, mon amie...Tout compte fait, tout bien pesé, j'aimerais bien. Tête de litote, va! Bises et ATTB. Miss. W. Un éblouissement? Probablement voir L'Aurore de Murnau(1927) sur grand écran lundi 7, tenter de le faire aimer aux spectateurs que j'espère pas trop rares et dire avec Truffaut (un sensible) que c'est le pus beau film du monde. RV la semaine prochaine. Tiens, je rajoute mon argument de vente.
RépondreSupprimerc'est demandé si gentiment que je vais vraiment faire un effort !
SupprimerKiss from angel b
attb
¸¸.•*¨*• ☆
Invitation
RépondreSupprimerLundi 7 novembre à 20h c'est un très vieux film que le Ciné-Quai vous propose. Un très vieux film comme sont vieux les concertos de Mozart, les toiles des Impressionnistes, les poèmes de Rimbaud, ou les cathédrales gothiques. Bref, toutes ces vieilleries qui nous encombrent. 1927, le cinéaste F.W.Murnau, auréolé du prestige de ses grands films allemands (Nosferatu, Le dernier des hommes, Faust) est invité par la Fox à réaliser une oeuvre destinée à faire date. Carte blanche, budget illimité, "final cut" exceptionnel à cette époque, tout sera permis à cet esthète visionnaire. Cela s'appellera L'Aurore.
Pour Truffaut, le plus beau film du monde. Pour beaucoup d'autres, un instant majeur, comme une heure suprême dans le jeune Septième Art. Pour nous l'occasion rarissime de voir Sunrise version restaurée au cinéma. Ou comment Murnau, d'une totale maîtrise sur tous les plans, nanti des meilleurs techniciens issus de l'Allemagne des années vingt, avec les moyens hollywoodiens au service d'une oeuvre complexe au scénario pourtant basique, intègre cadrages hérités de l'Expressionnisme, éléments de mélodrame (le sous-titre du film est Le chant de deux êtres), innovations techniques, effets sonores, influences picturales, lisière du fantastique.
Tout à la fois somme et précurseur, si L'Aurore hante les nuits des cinéphiles un peu fêlés, le film n'en finit pas de séduire après presque un siècle. C'est qu'il y a dans L'Aurore à la fois un héritage culturel très européen et des audaces formelles de toute beauté. Mais le mieux serait peut-être que vous vous fassiez votre propre idée.
Janet Gaynor, meilleure interprète féminine à la toute première cérémonie des Oscars, 1929.
Durée:1h30
https://youtu.be/5D0EhibIbOg Deux minutes de L'Aurore
C'est vrai que ton texte donne un souffle à une oeuvre devenue intemporelle mais âpre pour un public de plus en plus gavé d'images.
SupprimerSe plonger dans les racines d'un art permet sans doute de mieux comprendre son évolution.
Comme on reconstruit un château en utilisant les outils du Moyen-Age...
Bravo pour cette brillante plaidoirie pour cinéphiles exigeants et/ou curieux.
¸¸.•*¨*• ☆
C'est juste, l'automne laisse une belle pagaille sur la pelouse (enfin ce qu'il en reste de cet été...), mais que les couleurs sont belles!
RépondreSupprimerJ'aime quand le vent secoue la vie pour la mettre à nu. Le printemps qui n'est finalement pas si loin, n'en sera que plus beau.
Merci de tenir pour nous, et de nous faire tenir aussi.
Quel beau partage depuis que je connais ta page!
Bises jaunes, rouges, marron... Je ne sais plus. Bises pleines de couleurs!
Merci pour ce rêve d'automne coloré dans lequel tu excelles.
SupprimerJe te retourne le compliment, ta page est un havre de poésie.
¸¸.•*¨*• ☆
UN livre ou UN film, tu n'es pas cadeau à devoir choisir si peu.
RépondreSupprimerIl y aurait bien l'Orteil d’Apollon que j'avais lu d'une traite, mais tu diras que je flagorne...:-P
Alors un film dont je ne suis jamais ressorti totalement depuis perpète que je l'ai vu:
La 25e Heure.
Le livre est de Virgil Gheorghiu et le film d'Henri Verneuil.
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vingt-cinqui%C3%A8me_Heure_(film)
Baci Mia Cara
Le résumé du film ne donne pas vraiment l'impression d'une sautillante bluette, mais je comprends que tu aies pu l'apprécier. Le sujet est large et grave.
SupprimerMaintenant, tu n'étais pas obligé de parler d'un film.
J'ai dit n'importe quel truc qui te fasse palpiter le plexus solaire.
Tu m'aurais parlé d'une bourriche d'huîtres, ça aurait joué.
Baci
¸¸.•*¨*• ☆
Il y a tant de choses qui percutent mon plexus dont 80% ne sont pas des cadeaux de la vie. Ces derniers préfèrent me caresser le coeur et l'âme...
SupprimerTi bacio Cara
Moi, quand on me caresse l'âme, ça me fait tout chaud au niveau du plexus...
SupprimerMais il va falloir que je révise mes cours d'anatomie ^^
¸¸.•*¨*• ☆
Le livre de mon ami d'Anatole France, la musique de Gurdjieff, des exercices de cohérence cardiaque, voilà quelques béquilles. Marcher aussi.
RépondreSupprimerPlein de bises et de pensées chaleureuses.
Quel livre d'Anatole France ? (J'ai peut-être loupé un truc sur ton blog...
SupprimerMerci de me faire connaître Gurdjieff. Je n'en avais jamais entendu parler.
Plein de chaleur en retour.
¸¸.•*¨*• ☆
La magie de Miyazaki. Je ne connais pas ce film mais j'aime beaucoup Miyazaki ( pourtant je ne suis pas trop film d'animation ).
RépondreSupprimerPour répondre à ta question, la première chose qui me vient, mon coup de coeur du moment c'est l'album d'Agnes Obel, Citizen of glass. ( Si je savais mettre des vidéos dans les commentaires, je mettrai celles de Familiar et Golden green, mes préférées ). Et bien sûr, je ne peux pas dire avec des mots ce que je ressens en écoutant cette musique...
J'ai stoppé quelques instants la lecture de ton billet à "dialogue des dialogues". J'adore cette expression. :) :) :) Merci. Bises.
Les fans pourront écouter Familiar et Golden Green en cliquant sur les liens.
SupprimerMiyazaki a vraiment un univers merveilleux. je ne sais dire lequel j'ai préféré...le voyage de Chihiro peut être.
Le dialogue des dialogue en référence au cantique des cantiques un chant sublime d'amour à deux voix ...
C'est dire en quelle estime je tiens mes lecteurs chers Patrick.
Bises célestes
¸¸.•*¨*• ☆
Douce Célestine, j'ai pour toi, depuis ma toute première lecture de tes mots, une curiosité mue par un intérêt véritable et une immédiate affection, de ces choses qui se ressentent bien plus qu'elles ne s'expliquent... J'aime tes mots, ta façon tantôt de les travailler, tantôt de laisser filer tes inspirations, ta bouleversante pudeur, ton obstination à ne pas lâcher, à ne pas trahir qui tu es...
RépondreSupprimerJe ne suis (heureusement) pas la seule! Les autres, les cyniques, les blasés, les aigris, les empêcheurs d'écrire en rond, il faut les laisser dans leur vinaigre, comme dit Le Goût, de toute façon, on ne peut rien pour eux. Je sais, ce n'est pas si facile, j'ai du mal aussi, mais tout le monde n'est pas en mesure de savoir lire entre les lignes du cœur...
Les livres qui m'accompagnent, ceux vers lesquels je reviens immanquablement, sont les écrits d'Anne Philipe, ceux d'après la mort de son Gérard de mari: Le Temps d'un Soupir, Le Rendez-vous de la Colline, Un Eté près de la Mer, Spirales... Une écriture sobre et subtile, une grâce mélancolique et lumineuse, une élégance, la seule qui compte, celle du cœur...
Bises sincères de bord de mer
J'apprécie énormément tout ce que tu dis dans ce commentaire. Cela me fait beaucoup de bien de rencontrer des gens qui vibrent à la même fréquence que moi.
SupprimerUn long travail sur moi-même me permet d'être moins blessée par les paroles ou les gestes indélicats.
merci pour me faire découvrir les écrits d'Anne Philipe. Tu me donnes envie de m'y plonger.
Quelle est ta mer ? (tu peux me contacter en mp, onglet contact)
Bises cosmiques
¸¸.•*¨*• ☆
Pas de film ou de bouquin spécifiques, niveau waouw émotionnel mais plusieurs trucs plic-ploc. Les films genre 'Fatal', 'Sur les routes de Madison' ou 'La femme d'à côté' because suis assez accro aux choses de la passion, ou encore le monastère de Paleokastritsa à Corfou avec sa simplicité, ses fleurs, ses chats et sa vue tout à fait époustouflante sur la mer ionienne, because suis assez accro à la beauté...
RépondreSupprimerSans blague? Toi accro à la passion et à la beauté ? Alors là tu m'étonnes !
SupprimerTu cites des films qui me font vibrer ...quant au monastère, wouaou ! je suis allée m'en mettre plein les yeux sur grand écran.
Le rêve ce serait de vivre une passion grecque, histoire d'allier l'agréable à l'agréable ... ^^
¸¸.•*¨*• ☆
Depuis que nous avons lu ton billet sur la "simplicité tranquille" des chapelles, celles croisées (elles sont nombreuses en Briançonnais) lors de nos dernières balades,vendredi, aujourd'hui , nous attendrissent encore plus: "Célestine aimerait !" eh oui, mon homme a aussi apprécié ton texte.
RépondreSupprimerLe bleu limpide du ciel, l'or flamboyant des mélèzes, le vert des sapins, le blanc de la neige sur les sommets, je t'envoie cette symphonie de couleurs pour te dire merci du cadeau de tes mots.
Douce fin de dimanche
Nicmo
Je suis touchée que vous ayez apprécié mon billet à deux.
SupprimerMerci pour ton cadeau, Nicmo.
je le déguste à sa juste valeur.
¸¸.•*¨*• ☆
Les choses secrètes ne s'écrivent pas sur les blogs. On délivre des bribes, quelques mots. On peut suggérer...En fait on est souvent seul avec ses problèmes. Le seul vrai ami c'est le temps qui passe...
RépondreSupprimerSuggérer, oui...effleurer...
SupprimerEt accepter cette nécessaire solitude devant les épreuves. Mais je ne t'apprends rien, cher sage !
¸¸.•*¨*• ☆
« ici commence la grande nuit des mots
RépondreSupprimerici le nom se détache de ce qu'il nomme
ici le reflet décrit de sa fantastique écriture
un monde où le mur n'est mur qu'autant
que la tache de soleil s'y attache
que le miroir lunaire a capté l'homme passant »
Louis Aragon
le roman inachevé
les mots m'ont pris par la main
(in la Pléiade tome II des œuvres poétiques page 162)
Splendide ! Immortel Aragon.
SupprimerMoi aussi, les mots m'ont prise par la main à six ans, et ne m'ont plus jamais lâchée...
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Je vous lis tout le temps et je ne prends pas le temps de laisser un signe de mon passage. Ce n'est pas bien. Alors aujourd'hui je vous partage mon coup de coeur pour un film que j'aime. Malgré les sarcasmes de ma petite famille, de mes amis intellectuels...J'aime Avatar...J'assume, je l'ai reçu comme un chemin d'initiation, comme un rêve éveillé. Voilà, j'ai tout avoué. J'espère de tout coeur que vous trouverez une paix tranquille...bientôt. merci pour ces mots déposés par vous et qui me font rire, sourire, parfois pleurer.
RépondreSupprimerCe n'est pas moi qui serai sarcastique, j'ai beaucoup aimé l'univers onirique de ce film magnifique. Certes c'est un grand spectacle hollywoodien, mais ceux-ci ont eu leur heure de gloire chez les prétendus "intellos" : les péplums de Cécil B.De Mille étaient très prisés à une époque.
SupprimerJ'ai juste demandé à mes lecteurs leurs coups de coeur, quelque chose qui leur a fait du bien au plexus, sans jugement, sans échelle de valeur. Alors merci pour cette sincérité, touchante.
Merci pour vos mots sur les miens, da Costa. Dommage que votre profil ne soit pas disponible, j'aurais aimé voir votre blog.
Bises amicales
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Un film triste mais pourtant plein d'espoir, un film qui m'avait bouleversée, émue, un film poignant : "Breaking the waves". L'as-tu vu ? Un chef-d'oeuvre.
RépondreSupprimerOui, certaines périodes, nous avons besoin des autres pour tenir debout, j'ai connu de telles périodes, Célestine, et je comprends très bien.
Je t'embrasse fort, ma belle.
Non je n'ai pas vu ce film, mais le titre est beau, et je le note précieusement.
SupprimerBelle fin de soirée.
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Je l'ai vu moi Françoise. Un chef d'oeuvre en effet, mais pas dans le genre tendre, il faut s'accrocher! Et je l'avais vu en VO!! Encore plus poignant! Vous aussi?
SupprimerCélestine si je puis me permettre, attends une période plus paisible car j'ai le souvenir d'un film très "remuant", qui remue je veux dire. Et toi tu as sûrement plutôt besoin de douceur en ce moment...
J'attendrai donc.
SupprimerMerci du conseil ;-)
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Oui, Ambre, je l'ai vu en VO. En général, et si je le peux, je regarde toujours les films en VO, certains sont tellement mal doublés...
SupprimerEn effet, il vaut peut-être mieux attendre, Célestine. :-)
Je te fais un énorme chaudoudou ma belle ♥♥♥♥
RépondreSupprimerOh merci beaucoup pour ce chaudoudou, Cathy.
SupprimerIl me fait chaud partout partout !
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Oh oui tes mots me font du bien, m'apaisent, me réchauffent , m'enchantent.....
RépondreSupprimerLe film qui m.a fait énormément de bien et qui m'a fait beaucoup pleureé et m'a consolée, c'est un film qu'on qualifie généralement de commercial : La cité des anges avec Nicolas Cage et Meg Ryan. Et sinon presque tous les Chaplin.
Et deux livres quim'ont réchauffée a des époques différentes, deux livres assez tristes : Albert Cohen -Belle du seigneur et Maragaret Manzzantini-Ecoute-moi. Allez j'en rajoute un dernier, le livre de Milena Agus ,,je crois que le titre est -Le battement d'ailes du papillon..... Continue à nous nourrir de tes mots si doux, de tes billets enchanteurs....
Ah...la cité des Anges, ah oui, quel beau film...
SupprimerMerci petite Miss, tu rajoutes encore à ma joie de partager tant de belles choses..
je t'embrasse sincèrement.
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Qui peut bien vous en vouloir au point de prononcer des mots aussi affreux à votre égard ?
RépondreSupprimerVous enchantez votre blog de vos mots délicieux.
Le reste n'a pas d'importance, ne croyez-vous pas ?
~L~
Des aigris, des jaloux, des amers, des blessés ?
SupprimerJe ne sais pas... j'en entends des vertes et des pas mures... j'essaie toujours d'être gentille. Parfois ça me blesse.
Mais je reçois tellement de mails chaque jour, il ne peut pas y avoir que des louanges... ;-)
Heureusement vous renversez la balance à chacun de vos commentaires, Lorenzaccio.
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Bonsoir Célestine,
RépondreSupprimerVos écrits sont vraiment bien, c'est toujours un plaisir de vous lire!
Mes films préfères - tous commerciaux : Titanic, Divergente, Maléfique,
ça https://www.youtube.com/watch?v=IN2AGZThL-8
Des mains en or! The ultimate gift...
Des livres - il y en a plusieurs...
MERCI et très belle soirée
Tes coups de coeur me plaisent beaucoup Mari.
Supprimermerci pour le lien, je ne connaissais pas du tout ce film, il a l'air vraiment intéressant.
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Coucou Madame la Fée.
RépondreSupprimerJe suis heureuse de faire partie des personnes qui te lisent..
Ce qui me tient debout en ce moment c'est la musique du dernier album de Yann Tiersen : Eusa.
Il m'arrive de l'écouter plusieurs fois par jour. J'en ai viscéralement besoin.
Belle journée à toi. Je t'embrasse.
https://youtu.be/KVPijWCAN3s?list=PLfXZ7C49NznvuBdxl2cOAa9MPPPXdmdb0
J'aime beaucoup Yann Tiersen depuis "Amélie Poulain"
SupprimerC'est un excellent compositeur, et je ne connaissais pas ce morceau, je comprends que tu puisses l'aimer.
La journée fut excellente. Bises à toi, Suzâme.
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Je suis de ceux qui restent pour te lire et qui apprécient grandement tes jolis mots...
RépondreSupprimerUne jolie lecture "En attendant M. Bojangles" .... Bonne semaine Bises
Merci du tuyau, Manou.
SupprimerJe l'ai déjà vu chroniqué chez certains de mes blogamis.
Le titre en est assez mystérieux pour donner envie de s'y plonger.
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Tu es précieuse, Célestine, comme le jour qui se lève chaque matin quand on ouvre les yeux. Tu es unique, Célestine, parce que tu restes fidèle à toi-même. On ne peut pas être apprécié ou aimé de tout le monde, même quand l'amour universel guide nos pas. Il suffit d'être là, même si nous ne sommes pas toujours dans notre assiette car nous ne pouvons pas toujours être au top niveau... Alors continue, Célestine, continue comme tu es, comme tu écris et souris à ceux qui ne te comprennent pas.
RépondreSupprimerJ'aime cueillir chez toi de ce bon, de ce bien, de ce beau dont chacun d'entre nous a tant besoin. Et si je ne laisse pas toujours de commentaires, je passe par là très souvent, heureuse de me retrouver chez toi.
Je t'embrasse tout plein.
P.S. : Un livre qui me touche, celui que je suis en train de lire : "Frappe le ciel, écoute le bruit" de Fabrice MIDAL... Toujours la méditation...
Touchée au coeur par tant de belles phrases.
SupprimerL'amour universel fait dire de belles choses...ça fait une moyenne avec d'autres.
Bises étoilées
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Les zygomatiques, c'est au niveau du plexus ? Parce que si la réponse est oui j'ai deux chansons à partager, découvertes avec joie hier soir et réécoutées plié de rire ce matin :
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=RTXEvxaIA9A
http://www.deezer.com/track/15578386?utm_source=deezer&utm_content=track-15578386&utm_term=6127104_1477904959&utm_medium=web
Ce François Morel est une perle.
SupprimerJ'ai a-do-ré ! les trucs inutiles...qué rire !
1m96 quand même...
Quant à la tristitude, nous l'avions chantée pour un départ à la retraite, et nous étions tous morts de rire !
Merci mon oncle !
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Je rajoute qu'il peut aussi être un poète, ce cher françois...
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=E8cPfQEveeU
- Je me dis que finalement, c'est peut-être ça la vie : beaucoup de désespoir mais aussi quelques moments de beauté où le temps n'est plus le même. C'est comme si les notes de musique faisaient un genre de parenthèse dans le temps, de suspension, un ailleurs ici même, un toujours dans le jamais.
RépondreSupprimerOui, c'est ça un toujours sans le jamais. Extrait de L'élégance du Hérisson- Et je suis d'accord dans le sens où quand rien ne va, j'aime m'isoler et écouter de la musique ...
Très bel extrait choisi chère Pâques.
SupprimerLe livre de Muriel Barbery m'avait beaucoup touchée en son temps.
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J'ai simplement envie de te faire une bise.
RépondreSupprimerBleck
Une bise du grand Bleck, ça vaut toutes les références ^^
SupprimerJe t'en fais une en retour...
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Je viens de regarder un film qui m'a touchée : " Still life " de Uberto Pasolini.
RépondreSupprimerOn est toujours seul, Celestine mais il reste toujours "le lait de la tendresse humaine ", comme disait je ne sais plus qui ...
Le chagrin s'adoucira et il y aura encore des moments heureux.
Courage à vous, Celestine. Vous dont les billets m'enchantent si souvent.
Le passant qui passe.
Le lait de la tendresse humaine est un film belge sorti en 2001...
Supprimerje dis ça parce que je l'ai vu sur Wiki...
Merci, cher passant qui passe.
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Voyons...
RépondreSupprimerUn truc qui m'a touchée, ces derniers temps ?
Ben hier, j'ai croisé un être magnifique.
Comme dans les contes de fée.
Immense, majestueux, royal.
Un cèdre.
Enorme, avec une écorce d'une épaisseur incroyable
et des branches aussi grosses qu'un tronc habituel.
On s'est regardés et il m'a impressionné.
Un coup de coeur !
Je me suis approchée et je l'ai caressé.
Il n'a rien dit, mais j'ai senti qu'il appréciait.
J'adore lire, vraiment.
Et j'ai beaucoup de coups de coeur littéraires, aussi...
mais tu vois, c'est le contact avec la nature
qui, en général, me touche le plus.
Merci pour le récit de cette très belle rencontre un peu karmique.
Supprimerj'aime beaucoup les arbres, et je crois qu'ils me le rendent bien.
La nature est vraiment le coup de coeur numéro un , tu as raison !
Bises chère Licorne
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Oui...
SupprimerMais s'il faut choisir quelque chose de plus "culturel",
alors, en film, je dirais :
"Le cercle des poètes disparus"...
ou "L'incompris" de Comencini...
Deux films qui me tirent des larmes à chaque fois...
Pour les livres, c'est plus difficile, il y en a tant que j'aime à la folie...
S'il faut vraiment en citer un, alors peut-être
"Où cours-tu, ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?" de Christiane Singer.
J'aime tous ses livres...
Ce sont de vrais trésors.
Je plussoie, ce livre est une merveille que j'ai dévorée et que je relis encore de temps en temps, pour prendre de l'énergie.
Supprimermerci pour tout, chère Licorne.
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RépondreSupprimerSi ta liste ne s'est pas trop allongée et que tu disposes de temps, je te propose:
un livre: n'importe lesquels de C. Bobin.
Sinon je viens d'en finir un qui m'a énormément réjoui : Le problème Spinoza.
En film; j'ai vu aussi Séraphine de Senlis que j'ai beaucoup apprécié...
Bises étoilées.
Pour Bobin, je suis d'accord. qQuand je me plonge dans son écriture, j'ai l'impression de me regarder dans un lac d'eau fraîche.
SupprimerBises chère poétesse
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heu...pinaise!comme dit Homer Simpson! Comme ça!un truc qui touche ou qui a touché au plexus... si c'est un livre,c'est sans hésitation:Le grand meaulnes .Tant de souvenirs y sont liés... Des bons,comme les mauvais!Mais le livre est resté fiché au centre du complexus solaire...
RépondreSupprimerUn film... c'est plus compliqué...bien-sur,il y en a un! J'hésite,est-ce que je peux?est-ce que je dois t'en parler? Ce n'est pas tellement que ce film m’ait touché entre les"cotes et le diaphragme" comme tu dis,mais plutôt que ce film m'a complétement retourné les tripes.
Allons bon!Les tripes retournés,le cœur serré, la gorge nouée,les yeux humides...Je ne suis pas en "sucre" bon sang!Mais quand même,je l'avoue,j'ai pleuré!
A sa sortie,au cinéma,je n'étais pas en "état émotionnel" de le voir.j'en mourais d'envie...ce que je fit plus tard.
Après que ton ami"petrus" te déconseilla "soleil vert",je ne peux pas te déconseiller les "bons films". Celui-ci est particulièrement bouleversant,poignant de vérité,d'amour,d'émotion,de justesse, de tendresse...Et que sais-je encore! En tous cas,ce que j'en ai ressenti m'a retourné les tripes.
Le jeu des acteurs, Hélène Vincent et Vincent Lindon donne une dimension particulière à ce film dramatique de Stéphane Brizé: Quelques heures de printemps.
A voir ou revoir ,peut-être plus tard...
Oui j'avais vu ce film à sa sortie, tu as raison c'est un film bouleversant, et c'est tout à ton honneur d'avoir la délicatesse de prendre "des gants" pour m'en parler...
SupprimerJe t'en remercie donc.
les acteurs sont sublimes et la mise en scène fabuleuse.
je t'embrasse
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Le dernier truc qui m'ait emballé ? Ma randonnée hier en haute montagne avec deux de mes enfants. Et celle de la veille à côté du Mont Aiguille, avec une amie. Ou celle de l'avant-veille, au dessus des nuages dans le Vercors, en solitaire…
RépondreSupprimerÀ chaque fois un bonheur à vivre, une jouissance de l'instant, une extase devant les beautés grandioses et minuscules de la nature :)
Bises radieuses
Je te crois, Pierre. Rien qu'à regarder tes photos, j'ai ressenti cette extase.
SupprimerCelle que j'ai ressentie il y a quelque temps devant les montagnes étincelantes...
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Oui les arbres se mettent à nu en automne pour mieux reverdir au printemps avec de nouvelles feuilles. Les 4 saisons forment une vie, et nous rappellent que la mort est suivi d'une naissance et c'est un éternel recommencement. Pour ce qui est du livre, je suis sûre que tu as tous les ingrédients dans ta vie pour en faire un, alors ........ Bises éclairantes.
RépondreSupprimerTes lunettes roses me font un bien fou, Lauriza.
SupprimerMerci pour tes encouragements à rechausser les miennes.
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Le vent souffle aussi ici, un peu, beaucoup... pas trop bien non plus en ce moment, ce doit être la nouvelle saison, le temps qui change, qui passe et se disloque... et je ne fais que passer ici, incognito....sans rajouter mon grain de sel... , mais se promener dans tes allées, Célestine, est un pur bonheur rempli du si Beau, et du si Bien, ... suis entre deux eaux également, entre deux chemins, mais chez toi je sens les parfums de l' enfance, des saisons qui tournent et reviennent... de l'émotion, de la tendresse, toujours... et pour éradiquer cette mêle-ancolie passage-erre,... je tricote ....des écharpes pour toute la famille... pour les petits, pour les plus grands...c'est si bien pour l'esprit que l'on vide,et s'oublier en suivant ses doigts sur l'aiguille le long du doux fil de laine...
RépondreSupprimerJe t'embrasse Célestine, avec les mots de Christian Bobin, "la part manquante"....
"dans l'écriture l'âme est éparpillée sur les routes. Elle s'égare, elle échappe. Un seul mot la rassemble, un seul souffle" (...)
..."vous écoutez la voix dans l'univers aux murs d'étoiles. Aimer c'est aimer ce qui est simple, et donc mystérieux. Ce qui est compliqué est sans importance. Rien n'est plus simple que la voix. Rien n'est plus obscur que la voix. Vous écoutez la parole qui guérit. Elle guérit les âmes captives, les sources noires. Elle change la douleur en lumière. C'est la parole d'enfance, c'est le chant simple"...
Den
L'extrait de Bobin est admirable, j'adore cet auteur.
SupprimerTon chant simple me réjouit, ma chère Den.
Ma chère tricoteuse de laine, de mots et d'images;
Dans mon jardin de simples joies, tu es une cascade limpide.
Merci de tout coeur.
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Le dernier livre à m'avoir transportée est sans hésitation "Un bûcher sous la neige" de Susan Fletcher...
RépondreSupprimermoi qui ne commente jamais, mais vous lis avec un infini plaisir, je ne peux pas m’empêcher de vous le recommander, je suis sure qu'il vous plairait:
https://www.amazon.fr/b%C3%BBcher-sous-neige-Susan-Fletcher/dp/2290025259/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1477998254&sr=1-1&keywords=un+bucher+sous+la+neige
Bienvenue sur mon totem, Vicky.
Supprimerje suis toujours enchantée que des lecteurs silencieux finissent par se manifester.
Une histoire de jeune femme celte accusée de sorcellerie dans les Highlands....oui, cela peut m'intéresser !
Merci beaucoup.
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Mes coups de cœur sont trop nombreux et variés pour n'en distinguer qu'un seul.
RépondreSupprimerLivres, musiques, peintures, photos, simples passages, visages, paysages, rencontres, échanges vrais, rires et sourires.
Il n'est pas un jour où l'un d'eux, nouveau ou revisité, ne se manifeste.
Je crois bien que ce "miracle" renouvelé quotidiennement représente, par sa simple existence, ma plus grande source d'étonnement et de joie.
Je t'embrasse.
J'aurais pu écrire chaque mot de ce commentaire, Rom.
SupprimerJe suis toujours étonnée de rencontrer des gens qui pensent exactement comme moi. Une sorte de miracle, en somme, comme tu le dis si bien.
Bises ravies
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Le truc qui m'a saisi le coeur ?
RépondreSupprimerle mariage de ma fille...C'était beau comme dans un film...
:)
Oui, je suppose que marier sa fille doit être un événement chargé en émotions pour le plexus solaire.
Supprimer:-)
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Pour le film c'est facile...Le vent se lève de Ken Loach, mais à ne pas regarder si tu es déprimée, il est rude, comme la plupart des films de ce réalisateur...c'est que la guerre de religion en Irlande.
RépondreSupprimerJolies les couleurs de l'automne ces jours-ci.
On ne peut jamais tout dire, c'est d'ailleurs salutaire, on a besoin de son jardin secret et de garder certaines choses secrètes. Mais on peut dire beaucoup à l'autre, mais pas sur un blog.
Bisous.
Ken Loach immense metteur en scène pour qui j'ai une tendresse particulière, sans doute à cause de mes lointaines ascendances irlandaises...
SupprimerTout dire ? Non, on ne le peut pas...ce serait impossible de toutes façons...
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J'ai lu récemment "Le journal d'un vampire en pyjama", de Mathias Malzieu. Si tu ne connais pas, ça vaut la peine d'essayer, tu devrais aimer. Parfois il écrit un peu comme toi. C'est un livre qui parle de la vie. :)
RépondreSupprimerEt puis il y a eu aussi ma dernière balade au bord de l'étang des cyprès chauves. De toute beauté en automne.
Rien que parce que tu dis qu'il écrit "un peu" comme moi, j'en suis curieuse... je vais me laisser tenter ...
SupprimerEt puis le titre est vraiment sympa. Merci Pastelle !
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Pour moi c'est sans hésiter lorsque je suis arrivée à Londres il y a tout juste 15 jours, une ville que je rêvais de visiter depuis longtemps déjà! Et en plus j'étais avec mes trois petits-fils et ma Fille ! Imagine l'émotion et la joie!
RépondreSupprimerJ'ai aimé la réflexion que m'a alors faite mon petit-fils de 7 ans en descendant de l'Eurostar: "ça y est Mammilou tu as réalisé ton rêve ! Mais il va falloir que tu en trouves un autre maintenant" :)!
C'est trop mignon ces Bilous. Mais je ne me fais pas de souci pour toi : tu trouveras vite un autre rêve pour remplacer celui-ci...
SupprimerBisous Mammilou
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Le vent se lève aujourd'hui, il a fait très beau hier. L'abricotier s'est dévêtu mais l'érable a gardé encore quelques jours ses atours vermillons. Hier je riais avec mes garçons, aujourd'hui je pense au temps qui passe... et ainsi valse sentiments, humeurs et jours. Merci pour tes humeurs changeantes, pour tes mélancolies et tes joies. Bisous dans la brise
RépondreSupprimerPasser d'une humeur à l'autre est le signe des hypersensibles...
SupprimerJ'aime énormément ton commentaire, plein de poésie et de petite philosophie du matin...
Bizou Brizou
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Comme il me touche ce billet, comme il résonne...
RépondreSupprimerJe suis un peu comme Bibi je crois ;)
Ce qui me touche en ce moment ? A l'image de ce film, la nature, le vent, les feuilles, certaines relations.
Belle semaine :)
C'est un grand moment d'émotion de te voir ici, Cloudy.
SupprimerJe suis fière de t'ajouter à mon totem.
Ça me touche moi aussi, beaucoup.
Belle semaine à toi
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Le regard de ma filleule chérie sur son fils que j'ai surpris il y a peu. Aimer et être aimé comme ça ...Mais, tu sais ce que c'est !
RépondreSupprimerCet amour-là...le plus beau et le plus fort qui soit...
SupprimerMerci Florence pour ton coup de coeur.
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Ça y est ça recommence ! Mes commentaires ne restent pas ! J'ai commenté ce billet hier midi, rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Donnez-moi une corde (pas pour me pendre, pour pendre le patron de BS !!!) ! Bref, je te disais que mon dernier coup de coeur livresque avait été pour "Le Garçon" de Marcus Malte (tu te rappelles nos chuchotis ?) et franchement c'est au-dessus de tout ce que j'ai lu depuis...au moins Belle du Seigneur mais dans un autre genre bien sûr... Pour te dire ce livre a été un coup de cour au sens propre également, mon coeur s'est emballé et ...je t'épargne la suite moins gaie ! Mais lis-le franchement fonce ! ;)
RépondreSupprimerJ'espère que ce comm' va rester, snif ! :(
Bisous ma toute belle ^-^