Laissez-moi vous conter le délicieux moment que je passai avec Lola Rastaquouère, il y a quelques jours. Tiens, le soir même de la rencontre avec l’académicien en culottes courtes dont je vous narrai l’épisode il y a peu.
Après
un repas fort en saveur, comme cette talentueuse jeune femme sait l’être plus souvent qu’à son tour, un
repas pétillant de rire et de complicité, légèrement arrosé d’un petit
Crozes-Hermitage 2008 très grand millésime, nous avons décidé de finir la
soirée chez elle.
- Ferme les yeux, je t’emmène dans mon repaire
magique !
Mystérieuse, va ! C'est vrai que je ne connais pas encore tous ses secrets... Je me laissai conduire
un peu émoustillée dans le sous sol de sa maison de village.
Là, derrière un rideau en toile à carreaux
vichy, je découvre l’endroit le plus épatant, le plus bluffant que j’aurais pu
imaginer.
Au sol, une natte en jonc-de-mer pour étouffer les
pas. Des éclairages tamisés. Un fauteuil de velours rouge décoré d'un foulard à l'effigie du Che, avec une lampe aux
tons chauds, qui évoque la sensualité d'une maison close raffinée. Je me retourne, écarquillant les yeux,
poussant des oh et des ah comme une souris soudain atterrie sur l’étal d’un
fromager. Des objets hétéroclites chinés çà et là composent une déco subtile et
ravissante pour cet endroit hors du temps.
Chaque détail m’arrache un petit cri : l’étagère avec, comme
négligemment posés là, Camus, Hemingway, Dostoïevski, Pagnol, Chandler… en
édition de poche. J’exulte. Les nourritures de l’âme voisinent avec les
bouteilles de vin qui n’attendent, dans leur éclat rubis, que d’être attrapées pour faire tournoyer l’air autour des yeux.
Un grand tonneau-bar et deux hauts tabourets, eux, attendent nos fesses. On les y pose.
La musique et le vin enveloppent, lancinent, étreignent, empoignent et collent les cheveux aux tempes : l’ambiance
bas-fonds poisseux de Porto Rico est là. La boîte à rêves fonctionne. On refait le monde et on oublie l'heure.
Lola, merci. J’ai adoré. Ton Cuba en Ardèche,
c’est un peu Ferrat chantant Santiago. Le choc de la culture et de la passion.Une espèce d'alchimie qui change en or le plomb du quotidien.
Et pour profiter à fond,
allumez donc le poste à galènes:
Savez-vous que je viens de publier chez "Mon petit éditeur" ÉTRANGES NOUVELLES ? C'est recueil de 24 nouvelles étranges ou drolatiques dont les fins s'ouvrent sur votre imaginaire...
RépondreSupprimerAh c'est bien, bravo cher Jeanmi.
SupprimerSignifiez-vous que mon étrange nouvelle à moi mériterait une place dans votre recueil ?
mais non, je blague.
Pour la pub, ça fera dix mille euros. :-P
Bises célestes
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Votre charme le mérite ! ! !
SupprimerÇa c'est super gentil, Jeanmi. Mais alors on partage pour les dix mille euros ?
Supprimer:-)
ah oui, belle ambiance!
RépondreSupprimervivent les copines comme celle-là :-)
Oui c'est une bonne copine
SupprimerNous en somme arrivées à la conclusion que la vraie vie, c'était ces moments-là
entrecoupés de quelques parenthèses un peu chiantes, et non le contraire...
Mais étions-nous bien claires ? ;-)
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Rhooooo et après vous avez fait quoi toutes les deux ?? On imagine on imagine.... :D :D
RépondreSupprimerImagination ou fantasme ?
SupprimerLa fin s'ouvre sur ton imaginaire, comme dit jeanmi tout en haut...
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Mais qu'est-ce qu'elles trouvent toutes à ce bandit d'Ernesto ?
RépondreSupprimerAaaah, ça, c'est une question insoluble...il représente sans doute un idéal farouche et beau et conquérant et rebelle, enfin bref, toute une légende...
SupprimerMais je te rassure j'aime les hommes avec ou sans cheveux... ^^
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Suffit de porter un béret ? J'émigre à Bayonne immédiatement !
SupprimerRhôô tu dois être drôlement mignon en Georges Guetary.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je ne suis pas né à Alexandrie, tu me prends pour Nagui ou quoi ?
SupprimerOh, le flop...
SupprimerGuétary, Bayonne, pays basque, béret basque... jeu de mots foireux !
Chuis pas en forme.
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Allons, allons, t'avais tout bon à une lettre près, Guéthary n'est qu'à quelques bornes de Bayonne, un peu avant Saint-Jean de Luz ;-)
SupprimerSavais-tu que le Georges en quastion avait choisi son pseudo en référence à ce charmant petit village de pêcheurs basque ? Il a juste enlevé le "H"...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tu sais que je sais tout et qu'au besoin, j'invente ;-)
Supprimertu vends bien l'ambiance, on a envie de se faire inviter ...
RépondreSupprimerOuep, c'est vrai, c'était étrange et drolatique !
Supprimeret vraiment très très cool...
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C'est bien Che ta copine !
RépondreSupprimerQui t'a inspiré le dessin du bandeau ? La jolie Dame les cheveux embroussaillés par le vent du large
Un de mes rêves, sans doute...
SupprimerJe rêve beaucoup. Mais la vie est un rêve, non ?
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Le vin délie les langues et les plumes . Rien ne vaut la convivialité et le partage même si.....Pour répondre au com gentiment déposé chez moi: non, hélas, cette phrase n'est pas de moi , hélas, mais elle reflète tant mon ressenti !
RépondreSupprimerLe silence amène à l'essentiel, c'est vrai.
SupprimerMais la vie, c'est aussi la musique, le rire, le partage, la fièvre...En fait tout est question de dosage.
Bisous Chinou
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Oui, Céleste, tu prêches à une convaincue surtout en ce qui concerne la musique mais, je n'en dirai pas plus car ma vie privée est encore plus secrète sur la toile.
SupprimerJe respecte tout à fait ta vie privée, ce qui m'importe ce sont tes aquarelles et ton oeil d'artiste émerveillante.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine; Dis moi, les vacances arrivent à grands pas et les miennes, avant les tiennes. Je ne t'oublierai pas mais laisserai pendant quelques temps mes aminautes et la blogosphère pour mieux nous retrouver .
SupprimerJe te souhaite de très bonnes vacances qui vont te permettre de découvrir sans doute de nouvelles fontaines et de baux monuments pour nous régaler de tes aquarelles.
SupprimerA très bientôt
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J'ai pas tout compris ...
RépondreSupprimerErnesto dans une maison close ? Mais pour quel "travail de rééducation révolutionnaire" ?
Apprentissage de l'usage du cigare façon capitalisme Clintonien ?
La révolution marxiste est-elle soluble dans le divan rouge ?
Et ce petit cri d'extase sur l'étagère ? En glissant la main dans le livre de poche d'Ernest ? qui aurait les mingway attirantes ?
J'en perds mon peso.
Trop chaud tout ça.....
;-)
En fait, c'était un peu comme dans un rêve tu vois...c'est à dire une perte quasi totale de repères cartésiens et concrets, des choses un peu bizarres qui se mélangent et qui, si ça se trouve, pourraient presque avoir une signification particulière...
SupprimerJ'aime bien ton analyse psycho-socio-géo-politique.
Mais bon, moi je me suis contentée de kiffer la life, comme d'hab.
En regardant chatoyer mon verre de vin.
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De retour de Cuba depuis peu, je peux dire à tous ceux qui se questionnent du pouvoir du Ché ??
RépondreSupprimerMême si on est pas engagé politiquement, c'est indescriptible la sensation que j'ai eu dans "grotte" et dans sa ville à Santa Clara ? Il n'y a pas de mots ? Respect tout simplement ;-)
Par contre Célestine, ce petit "musée" chaleureux de ta copine fait envie, je l'avoue et cette musique, enivrante, pas besoin d'alcool pour danser la salsa sensuel des cubains !!
Merci à vous deux pour ce retour aux "sources" pour moi !! J'y retournerai dans ce pays, tu aimerais trop Célestine ;-)
Bisous ensoleillés cubains ;-)
Ah, Marie, si nous nous promettions de nous retrouver un jour, et de descendre chez Lola Rastaquouère pour une de ces soirées hors du temps... je crois que tu aimerais, toi aussi, et que nous nous entendrions comme larronnes en foire.
SupprimerOn peut dire ce que l'on voudra sur Cuba, et même pire, ce pays a un charme magnétique. La salsa n'y est pas pour rien à mon avis.
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Quand tu veux Célestine ;-)
SupprimerPar contre j'ai trouvé certains commentaires un peu trop extrêmes :-(
Dommage l'être humain est trop compliqué parfois !
Bisous et bonne nuit chère Célestine ;-)
Tu sais, chacun s'exprime en toute liberté, c'est quand même la base chez moi.
SupprimerEt toute opinion est respectable.
Cela n'enlève rien à ton commentaire à toi, petite Marie.
Et à ton enthousiasme...
bisous étoilés
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La liberté de penser ... Je respecte t'inquiète ;-)
SupprimerBisous et bonne journée ;-)
Important, de nos jours...Bises
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Le décor glauque et inquiétant étant posé, j'attendais le crime se perpétrer ... Ca n'a pas manqué. C'est le rouquin qui a morflé. La bouteille vide fut retrouvée sous le fauteuil du Che.
RépondreSupprimerLes gens de mon coin de pays, qui ont le langage fleuri, te diraient, dans ce genre d'état d'âme, que tu étais un peu pompette. Ce qui est autrement plus joli et te va mieux au teint que de dire "grise" .... Tiens, voilà bien un mot qui n'est pas fait pour toi...
Ti bacio.
C'est gentil, Blutchy Amo, de noter que le gris ne me correspond pas.
Supprimerje prends ça comme une super gentillesse.
J'avoue que la sensation de griserie ne s'accompagne pas chez moi d'un teint du même ton, mais plutôt d'une belle couleur de pêche mûre...
et ce soir-là nous vaons légèrement abusé de Bacchus.
ti abbracio
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Oups ! nous avons !
SupprimerJ'avais traduit et vu qu'il restait encore quelques symptômes de la soirée... :-D
SupprimerRhôô !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Moi je me limiterai à ton texte,ma Céleste fée, il est sublime , merveilleux ! je me disais pendant que je te lisais, mais pourquoi je me sentais enivré, caressé, envoûté par tant de mots réjouissants, des mots veloutés de tendres spasmes pour un coeur enfiévré. Merci pour tes mots à la hauteur de ta bonté.
RépondreSupprimerTon emphase me fait plaisir à lire, mon Bizak.
SupprimerFidèle ami, toujours, toujours là quand je publie un nouveau billet, alors que tu as tant de travail...
Quel bonheur pour moi de t'apporter ce petit rêve de mots sur un plateau...
Bises très célestes
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Déposer "l'origine du monde" à la barbe du Che, un verre de Crozes-Hermitage à la main...oumpffff...
RépondreSupprimerTon commentaire est au poil, Miss A !
SupprimerSi j'ose dire...
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Le "Cuba si" de Jean Ferrat est un album qu'on réécoute avec un peu la honte mais c'était bien quand même de sa part de rêver à un monde plus rose ou au moins aussi rose que la pochette du vinyle. Moi j'aimais surtout les orchestrations et surtout la deuxième chanson, "Mourir au soleil".
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=ET-KoKS4zBw
P.S. La consigne était-elle d'insérer dans le texte les mots "vin, fesses, rastaquouère, millésime, fromager" ? ;-)
La chanson est tellement belle et nostalgique ...
SupprimerLa consigne, euh ...ben non mais si tu veux, tu peux la prendre, je te la donne.
La pochette du disque, oui, elle était aussi rose que ma bannière...mais moi ussi, je crois en un monde meilleur : celui que j'ai dans la tête, en plus de mon petit vélo...
Gros bec, mon cher oncle Joe
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Ah le Che !! J'aurais tendance à penser que celui qui s'en prévaut est plutôt mal informé!
RépondreSupprimerAu décès du «petit boucher de la Cabaña», adepte des exécutions sommaires en masse, "on" a créé un mythe à la vie dure et qui fait rêver à tort le français de base qui vote à gauche ...
Bref.
L'autre mythe abordé , plus consensuel, est celui du refuge, du coin à soi, comme une cabane d'enfant dans un jardin.
C'est un atavisme qui doit remonter au moins à Cro Magnon !! A cette époque, on ignorait tout du "Cuba libre" !! ;)
Non, en réalité, le seul fait objectif que l'on peut retirer de ce billet c'est que ni l'une ni l'autre êtes claustro !! ;)
Bref, deux gonzesses naïves et immatures se planquent dans une cabane comme des mioches pour se piquer la ruche et vouer un culte à un mégalomane psychopathe et sanguinaire déifié par le complot prosélyte d'une fausse gauche manipulatrice de masses.
SupprimerBen comme ça, c'est beaucoup plus clair en effet. Un peu d'objectivité ne nuit pas à ce billet noyé dans les vapeurs éthyliques et une certaine tendance à l'emphase... :-)
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Mdrrrrrrrr !
Supprimer^^
SupprimerUn petit moment intime, j'espère que le Che n'a pas trop maté vos popotins débordant (!) des chaises hautes. Boire un bon verre de vin haut-perchées c'est dangereux, y avait pas de houle ou vous étiez accrochées au bastingage parce qu’après 35 centilitres de vin rouge ça doit tanguer dur à moins d'y être accoutumées ?
RépondreSupprimer;-)
Y avait du vent dans les voiles, mais on a tenu bon, en louves-de-mer fiérotes et sans vergogne.
SupprimerEt pis nos fesses elles débordent mme pas,eh, l'aut' là, nanméo... Kestucroi ?
;-)
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Oui, c'est vrai ça, je m'inscris en faux contre cette assertion !
SupprimerPour bien les connaître, je puis témoigner que les fesses de Célestine ne débordent pas ! Elles jouissent d'un galbe et d'une fermeté que même le bon aloi ne saurait atteindre, c'est dire !
Nanméo !
...'fin moi... Jdirien...
...'fin bon, c'était en rêve...
SupprimerBon, j'airiendit... :oDDD
Les fesses de Célestine seraient aussi dures que le nougat et aussi sucrées. Je m'en réjouis... Espérant les voir un jour. ;-)
SupprimerAh ben je vois que dès que j'ai le dos tourné, on en profite, petits canaillous!
SupprimerC'est fini, oui, de gloser sur la partie callipyge de mon individu ?
...Fin...bon, je dis ça, mais j'aime bien en fait , hein ...
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kali en indonésien veut dire temps et piges en argot temps aussi, donc kalipige veut dire que la partie de ton individu a dépassé les 20 ans mais quel bonheur c'est bien mieux comme ça ! hahahahah
SupprimerComme ce devait être charmant ce duo...A moins que ce ne fût un trio ?
RépondreSupprimer~L~
Oui, il y avait le chat...et il avait l'air d'apprécier.
SupprimerJ'adore la musique cubaine.
RépondreSupprimerC'est sympa de partager.
Ah ça oui, ça me donne des frissons du haut jusqu'en bas !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ahahaha... Lola Rastaquouère... excellent ça... faut dire aussi que l'intérieur style claque burlesque que tu nous montres correspond tout à fait aux paroles incandescentes de la chanson du grand Serge... bonjour les fantasmes ahahaha...
RépondreSupprimerIl est vrai que les alexandrins du père gainsbarre valent leur pesant de noix de coco:
Supprimer"Je lui faisais le plein comme au Latécoère
Qui décolle en vibrant vers les cieux africains
Elle avait de ces yeux ! Un vrai chat abyssin
Dans la moiteur torride de sa croupe d'airain
On pouvait voir éclore des renoncules par-derrière
Et par devant un conifère
Me rappelait un air jamaïcain..."
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Rien ne vaut ces moments de partages ! profite du jour et prends soin de toi ma Brune
RépondreSupprimerJe carpe le diem comme une petite fofolle !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bacchus , Ardèche, Cuba ou pas je remarque que tes demoiselles sont souvent dénudées dans tes croquis ;)
RépondreSupprimerElles ont chaud, que veux-tu... ^^
SupprimerC'est l'été.
Bisous
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@ H
SupprimerD'un autre côté, si elles étaient en doudoune et passe-montagne, elles intéresseraient moins les mecs...
Alors ça; c'est quand même assez primaire comme remarque ^^
Supprimermouarf !
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Si je te présente une énorme caisse et que je te dis admire, dedans, c'est le David de Michel Ange.
SupprimerJe crois que tu serais capable de beaucoup moins t'extasier quâprès le déballage de l'oeuvre.
Donc il est normal de préférer tes demoiselles sans la doudoune et le passe.montagne. ça ressemble même à ujne forme d'hommage à la beauté...
Baci Ragazza
Ce que je voulais dire, c'est que mes funambulles intéressent aussi les nanas, qu'est-ce que tu crois...
SupprimerEt puis le principe de la caisse...ça me rappelle un certain mouton du Petit Prince...
Je suis taquine, hein ?
Taquine? non, perspicace car le symbole de la caisse n'était pas franchement un hasard :-)
Supprimerah...je te retrouve là, délicat et attentif...Alors je m'extasierais rien que parce que tu me dis que ce qu'il y a dans la caisse est digne de s'extasier.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Qu'il est doux de voyager avec une amie au pays de nos passions!
RépondreSupprimerEt voyager sans aller loin, juste par la magie de quelques éléments judicieusement assemblés, c'est quand même top !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bon, moi je me permets de répondre car c'est bien ma petite cave qui a reçu tous les hommages de ce texte magnifique que tu nous offres Célestine ! Tout y était, tout y reste. Dans trois semaines je change d'air et la cave n'existera plus que dans nos coeurs, mais tous ceux qui ont croisé sa route savent que rien ne s'oubliera.
RépondreSupprimerPetite Marie, à Santa Clara j'y étais aussi, il y a quelques années maintenant. Oh oui ça plairait à Ernestine (heu, Célestine!) et je garde de cet endroit une grande vague de chaleur humaine.
Je suis tellement heureuse de t'avoir fait connaître ma cave. Merci pour ce bon moment partagé ensemble !
PS : désolée pour le retard de réaction, je ne reçois plus ce que tu publies, à mon grand regret.
Lola, trop contente que tu sois venue voir...
SupprimerTu sais,tous les quatre cinq jours, tu viens faire un tour par ici et tu ne rateras aucun billet...
Je ne crois que moyennement aux newsletters. Ça ne marche jamais vraiment.
Je suis fière d'avoir eu l'honneur de faire partie des quelques privilégiés qui ont visité ta cave magique.
A tout bientôt ma belle amie
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