Il enfle
et gonfle et se travaille pour égaler Neptune en grosseur, comme le son fou d’un violon qui jouerait tout seul…
Un
violon qu’aucun violoniste ne saurait dompter. Que dis-je, un violon ?
Une trompette, un tuba, un orchestre à lui tout seul. Il tonitrue. Il éructe. Il se mouche dans les voiles et fait siffler les haubans.
Quand on
l’entend au loin, il est déjà là, chaque rafale plus énorme disant :
« C’est moi, le maître. » Et chaque arbre, et chaque branche et
chaque feuille se soumettent à sa volonté.
Y a ceux
qui plient. Y ceux qui rompent. Mais tous s’inclinent ensemble pour le saluer.
Il polit le ciel de ses grands coups de torchon furieux. On l’attend. On le redoute. On le crie. On s'en plaint. On ronchonne. Il rend les mioches intenables.
Lui. C’est le cinglé de la bande à Eole, celui
qui vola le chapeau de Mireille.
Le magistral.
Le Mistral de Daudet, de Pagnol, du Félibrige et d’Arles où sont les Alyscamps. Il sent le thym, le guano, le poisson frit, l'absynthe.
Le magistral.
Le Mistral de Daudet, de Pagnol, du Félibrige et d’Arles où sont les Alyscamps. Il sent le thym, le guano, le poisson frit, l'absynthe.
Je préfère sourire à ses accès de zèle et ne point le maudire puisqu'on n'y peut rien.
Je subis
sa loi souveraine, enchifrenée par les pollens qui voltigent sur ses ailes. Mes
cheveux se mutinent, c’est le Potemkine du brushing. Et non content encore, il soulève mon jupon, quand je passe sur le Pont des Arts ou d'Avignon, allumant des paillettes dans les yeux des mauvais garçons, et me distribue de ces châtaignes
qui me secouent le bout des doigts avec de petites étincelles bleutées dans la
nuit quand j’ôte mon pull de cachemire.
Et durant trois, six ou neuf jours, je deviens la fille électrique.
Pour tirer des étincelles, ton pull en cachemire est surtout acrylique, ce pauvre mistral n'y peut rien, ni Eole d'ailleurs, c'est juste la faute à pétroléum.
RépondreSupprimerje crois que ces jours, les danseurs du pont d'Avignon préféreraient subir le mistral que les seilles d'eau qui leur noient le pastis...
Mais les petits vents fripons qui soulèvent les robes légères, je suis résolument pour...
Ti bacio
Blutch, ma mémoire pourrie et ma nullité en physique me parlent pourtant bien d'un souvenir de bâton d'ambre que l'on frottait contre un chiffon de LAINE pour obtenir un phénomène d'électricité statique, lors de mes années-cancre ?
SupprimerAujourd'hui ici : mistral assez costaud ! Mistral après la pluie, arbre par terre dans la nuit... et j'invente des proverbes si je veux d:^)
@ Blutch
SupprimerQuel rabat-joie alors, toi, quand tu t'y mets. Et pis c'est même pas vrai, que mon pull est en acrylique, d'abord, il est en pur cachemire et il est plein d'électricité statique.
C'est beau dans l'obscurité...
Molto baci
¸¸.•*¨*• ☆
@Saoul-Fifre
SupprimerBen oui, t'as raison, moi aussi je suis nulle en physique mais je sais ce que je dis, et je vois ce que je vois.
Vent sec de crapule fait crépiter les pulls...
¸¸.•*¨*• ☆
Prudence , prends garde à ton jupon ........!
SupprimerJe ne poursuis personne
SupprimerJe poursuis simplement mon chemin électrique, mon énergie vitale qui se développe au gré du vent ; ce vent qui souffle devant ma porte et dont je profite aujourd'hui pour lui donner du grain à moudre , des mots à transmettre au monde entier PAIX , PAIX ENTRE LES ETRES DE BONNE VOLONTE
@ SF et Célestine dans la foulée
SupprimerLaine et cheveux peuvent générer de l'électricité statique en lâchant,, par leurs extrémités, des électrons. il faut, pour la capter, un matériau isolant. (Au naturel, l'ambre fait l'affaire. (ce qui réduit fortement la probabilité de créer des arcs électriques sans apport de matière extérieure à la laine, à part bien sûr pour Ti-Sucre (Ambre dans une autre vie)))
Mais n'importe quel bout de plastique (ou presque) peut faire l'affaire.
Célestine est trop communicative pour assurer cette fonction à elle toute seule. Il faut donc chercher ailleurs l'accumulateur d'électron générant les si jolis petits arcs électriques.
Toutes fois, la plus grosse source d'électricité statique nous vient des nimbes et j'ai vu, une fin d'après-midi d'août, une flèche de grue (portée par un camion grue avec des sangles isolante ) en accumuler tellement qu'au moment de toucher la tour de la grue qui était ancrée dans le sol (donc mise à terre), J'ai vu à trois reprises, disais-je, un arc électrique de plus d'un mètre de long se former entre ces deux pièces.
Le polystyrène expansé est un excellent accumulateur d'électricité statique (naturelle ou induite), ce qui, au demeurant, est un excellent dynamiseur de disputes conjugales dans une maison qui en regorge..... (ne dit-on pas qu'il y a de l'électricité dans l'air au vu de deux personnes qui se cherchent des noises...)
Mais tout ça ne résous pas le problème de l'isolant du pull en cachemire de Célestine...:-)
Saluti et molto baci à la taulière
@ Petrus
SupprimerDécidément, Brassens, toujours...
Mais pourquoi parles-tu de poursuivre qui que ce soit?
j'aime cependant ton image du vent porteur de bonne nouvelle...
¸¸.•*¨*• ☆
@Blutchy
SupprimerJ'adore ta poésie en polystyrène et à neutrons...
Je te remercie de dire que je ne joue pas le rôle d'isolant dans ton histoire...
Tu sais en écrivant mon billet, je voulais juste parler de ces étincelles qui me font mal chaque fois que je touche ma voiture, et qui me font dresser les cheveux sur la tête lorsque j'ôte mon pull...
Une façon aussi de faire allusion à une chanson que j'aime bien...Enfin, à deux chansons, pour être précise...
Quant à l'épisode de l'arc électrique, je ne me lasse pas d'entendre que ce jour-là, tu as frôlé la faucheuse et son suaire aguicheur, mais que tu as su résister...
Ti bacio forte, il mio piccolo scienziato
Toujours ma crainte d'être importun, de gêner un échange entamé ; je coule comme un fleuve en pleines eaux et laisse se répandre mes pensées , sans vouloir les imposer, et je préviens donc gentiment pour que personne ne se méprenne : mes eaux n'ont aucune intention d'envahir ou noyer quiconque , simplement abreuver d'une eau en recherche de pureté.....
SupprimerEt puis je ne voudrais surtout pas comme Rutebeuf déplorer un vent qui emporte mes amis que j'avais de si près tenus .....
SupprimerLa délicatesse, c'est quand même assez adorable...
SupprimerEt tu en es pétri, Pétrus !
:-)))
Alors navré de casser l'ambiance poêto-blizzardesque... je déteste le vent.
RépondreSupprimerNe ferait-il plus que de soulever les jupes des filles... je déteste le vent.
Oh bien évidemment j'ai admiré le souffle du vent qui gonflait la grand-voile et le foc de mon 4'20 et formait les vagues dans les rades où mes potes et moi on naviguait par tous les temps... naguère.
Je n'aime pas le vent, j'ai fui les pays à vent (dans les deux sens du terme...)
Ton billet est fort bien écrit, mais on y parle de vent...
Bleck
Tu as fui les pays à vent... de devenir fou ? ;-)
SupprimerMais c'était peut-être les jupes des filles qui te faisaient cet effet là ?
Bises ventées
¸¸.•*¨*• ☆
Quel souffle ma chère Celestine! Zéphyrme que ce texte est d'une grande poésie. Ce qui ne me semble pas blizzard du tout étant donné l'auteure, aquilon ne peut reprocher une sensibilité si mamistrale. Un tramway de montagne nommé désir, ça se dit là bas tramontane, te porte de ma part une bise un peu nord, certes mais au goût siroccoruscant que c'est toujours autan de pris pour passer une journée qui ne soit pas de galerne. Alizé que j'eusse pu rater cet article je me sens comme un noroit sans trône à qui on les brise menues.
RépondreSupprimerJe ne me venterai pas particulièrement de ces approximations, de ces machins (anagramme chamsin) laborieux, préludes à l'après-midi d'un foehn. Mais sur le Pont des Arts, si sétois bien que je croise, et quoique prudent, je t'embrasse. ATTB.
P.S. Je voulais caser Simoun Freud mais quand j'ai vu le dit vent...
Re ATTB Miss W.
Autan te le dire tout de suite : en confisquant tous les potos d'Eole, tu m'as définitivement privée de la possibilité de te faire une réponse à la hauteur...
SupprimerPrélude à l'après midi d'un foehn, c'est du pur génie sylvestre...
Bise (du sud) et Attb
Your miss Williams
¸¸.•*¨*• ☆
Mais c est du vent, ce billet. Mistral gagnant avec Celestine ! :) Un vrai plaisir à lire...
RépondreSupprimerA l époque où je cherchais à quitter Lyon, j avais éliminé de mes choix toute la vallée du Rhône à cause du vent ...
A Cannes, le mistral, quand parfois il y arrive, est essoufflé et plutôt discret ...
PS: pour la petite histoire, c est l'air trop sec qui provoque les phénomènes d'électricité statique, avec ou sans mistral ...
Bon d'accord, c'est l'air sec...mais s'il me plaisait à moi de me penser un peu électrique naturellement ? Genre Souchon...
SupprimerCela dit, je ne boude pas mon plaisir de te voir aimer mon billet...
Bises électriques
¸¸.•*¨*• ☆
Oui tu as raison: selon lui c'est dangereux de toucher des filles électriques ! Je confirme.
SupprimerComme toi, j ai horreur de me faire chataigner quand j ouvre la porte de mon garage ou de ma woiture. Il faudrait avoir les pieds plus reliés à la terre ! ;)
Antiblues ! je comprends pourquoi tu me rappelles sans arrêt d'avoir les pieds sur terre ! C'est par souci de m'éviter les châtaignes. C'est trop mignon !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
On s'y brancherait volontiers à cette fée électrique !
RépondreSupprimerMais quelle drôle d'idée d'aller en Avignon se promener su un pont qui ne mène nulle part, c'est bien ton genre ça, tiens !
Ah oui, tout à fait mon genre. J'aime les défis inutiles, les culs-de-sac, les paris idiots, les voies sans issue, les chemins de traverse, les actes gratuits, les vis d'Archimède, les goodies, les cadeaux bonux, les frises en bas des cahiers et les concours de grimaces...
SupprimerAlors un pont qui débouche sur nulle part, bonjour, je kiffe ma race !
¸¸.•*¨*• ☆
Le mistral , le vent d autan ... entre les deux mon coeur balance....
RépondreSupprimerLes deux rendent dingues à force....
Bonnes vacances!
Tantôt venant d'Espagne et tantôt d'Italie,
SupprimerTous chargés de parfums, de musiques jolies,
Le Mistral et la Tramontane,
Sur mon dernier sommeil verseront les échos,
De villanelle, un jour, un jour de fandango,
De tarentelle, de sardane....
Pour les bonnes vacances, oui, elles furent bonnes. mais depuis hier, c'est boulot boulot !
Et on va travailler les mercredis 29 et 6 toute la journée, pour rattraper le vendredi 15 mai... Chouette, non ?
Bises et toi, profite !
¸¸.•*¨*• ☆
mAIS, c'est ta dernière période, der des der ??? !!
SupprimerTout à fait ! Et avec une certaine jouissance hédoniste je vois se profiler la fin des soucis !
SupprimerSimplement pour que chacune et chacun retrouvent leur coeur d'enfant
RépondreSupprimerVla l'bon vent
https://youtu.be/64kmPHOQJRg
En échange celle-ci.
SupprimerICI
^^
C'est enfantastique au possible ; merci beaucoup , je vais la répéter derechef
SupprimerTrop beau cet appel à prendre le vent du large vers la liberté
Liberté, liberté chérie
Kiss
C'est beau, oui, une chorale d'enfants...
SupprimerJ'avais participé avec mes élèves à une expérience du même genre il y a quelques années.
Quant aux enfantastiques, ce sont aussi les héros de Yak Rivais dont je t'ai déjà parlé...
^^
Je vais m'y plonger !
SupprimerPour faire la lecture aux petits-enfants c'est idéal...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
je viens de télécharger son doc pdf sur la lecture à haute voix datant d'avril 2003
Supprimerbien soufflé ce texte, j'adore ! existe t il un lieu sans vent ? je ne l'aime que s'il est tiède et léger !
RépondreSupprimerTiède et léger dans les cheveux et dans les jambes quand on va sur les chemins à bicyclette...Je suis bien d'accord.
SupprimerBisous ma belle
¸¸.•*¨*• ☆
Quand comprendra-t-on enfin ?
RépondreSupprimerSag mir wo die Gräber sind
Wo sind sie geblieben?
Sag mir wo die Gräber sind
Was ist geschehen?
Sag mir wo die Gräber sind
Blumen blüh'n im Sommerwind
Wann wird man je verstehen?
Wann wird man je verstehen?
Sag mir wo die Blumen sind
Wo sind sie geblieben?
Sag mir wo die Blumen sind
Was ist geschehen?
Sag mir wo die Blumen sind
Mädchen pflückten sie geschwind
Wann wird man je verstehen?
Wann wird man je verstehen?
Dis-moi où sont les fleurs
Où sont-elles passées?
Dis-moi où sont les fleurs
Qu'est-il arrivé?
Dis-moi où sont les fleurs
Les filles les cueillaient promptement
Quand comprendra-t-on?
Quand comprendra-t-on?
Dis-moi où sont les filles
Où sont-elles passées?
Dis-moi où sont les filles
Qu'est-il arrivé?
Dis-moi où sont les filles
Les hommes les emmenaient rapidement
Quand comprendra-t-on?
Quand comprendra-t-on?
Dis-moi où sont les hommes
Où sont-ils passés?
Dis-moi où sont les hommes
Qu'est-il arrivé?
Dis-moi où sont les hommes
Ils sont partis, la guerre commence
Quand comprendra-t-on?
Quand comprendra-t-on?
Dis où sont les soldats
Où sont-ils passés?
Dis où sont les soldats
Qu'est-il arrivé?
Dis où sont les soldats
Le vent souffle sur leurs tombes
Quand comprendra-t-on?
Quand comprendra-t-on?
Dis-moi où sont les tombes
Où sont-elles passées?
Dis-moi où sont les tombes
Qu'est-il arrivé?
Dis-moi où sont les tombes
Les fleurs s'épanouissent dans le vent de l'été
Quand comprendra-t-on?
Quand comprendra-t-on?
Dis-moi où sont les fleurs
Où sont-elles passées?
Dis-moi où sont les fleurs
Qu'est-il arrivé?
Dis-moi où sont les fleurs
Les filles les cueillaient promptement
Quand comprendra-t-on?
https://youtu.be/AwGFgTzkhzA
La sublime et mythique (Lili) Marlène...
Supprimermerci pour le lien.
^^
Elles sont là , mes eaux, dans l'improvisation et les jeux du hasard bienveillant : je venais de recopier pour moi ces paroles, afin d'accompagner Marlène dans sa chanson (nous chantions tous deux) ; alors , voulant ici me répandre un peu c'est Marlène mémorisée par l'ordi qui a parlé la première (un peu en désordre et incomplet pour le texte en langue germanique) ; et je l'ai laissée nous dire elle-même cette émouvante question (quand comprendrons nous ? Amour plutôt que guerres et autres violences....?)
SupprimerUn genre de ça, quoi ?
SupprimerICI
^^
Tout à fait ça , j'adore et l'écoute souvent en ce moment (mon microsillon vinyl 33 tours)
SupprimerMais je ne suis pas utopiste, très lucide j'admets la conclusion :"Quand nous serons morts, mon frère...."
Ben voui...
SupprimerObligée d'aimer le vent car, chez nous, il est la condition sine qua non du soleil et puis il donne ici l'occasion de lire un agréable billet, écrit avec talent, humour et richesse de vocabulaire, le tout sur fond sonore Georges Brassens. Connais tu un seul homme qui soit indifférent au vent fripon ?
RépondreSupprimerPris tant de plaisir à te lire que je m'inscris à ta newsletter. Na !.
Trop sympa, ça, Chinou !
SupprimerEt oui, tu as raison, aucun homme ne résiste au vent fripon...
Bisous joyeux et roses de plaisir
¸¸.•*¨*• ☆
Enfin un texte qui m’intéresse ;) bien écrit de surcroît
RépondreSupprimerMistral gagnant !
Enfin un texte qui t'intéresse ? Tu m'en voies ravie. Sauf si tu veux dire que je n'ai écrit que de la daube depuis le .../.../... (date de ton dernier commentaire)
Supprimer;-) Bon en même temps, c'est vrai, on ne peut pas être génial tout le temps, comme dit un de mes amis du bout du monde.
Bises comblées
¸¸.•*¨*• ☆
Oups...tu m'en VOIS. Je suis tellement mauvaise sur ce coup-là que je ne sais même plus conjuguer.
SupprimerOu alors je suis troublée.
Ou sénile
(rayer la mention inutile) ...
^^
Je préfère le coté "fleur bleue" de vos dessins. Je trouve cette forme plus adaptée à votre personnalité. Dans l'écriture vous êtes trop en retenue et vous tournez parfois en rond ;)
RépondreSupprimerAh...oui, on se vouvoie, pardon.
SupprimerJe prends note de vos intéressantes critiques, Alain.
Pour ce qui est de tourner en rond, on m'a déjà fait la remarque, mais c'est la vie qui tourne en rond...Les planètes et leur course folle, le temps, la vie, la mort, l'amour...les thèmes reviennent éternellement, on ne fait que varier l'angle d'attaque.
En revanche, pour la retenue, j'aimerais que vous fussiez plus explicite. Parlez-vous du fond ou de la forme ? Qu'est-ce que la retenue, selon vous? Un excès de politesse, de délicatesse, d'hypocrisie ou de mièvrerie? Et que devrais-je lâcher ?
Davantage de politique ? Davantage de noirceur ? Davantage de sexe ? Davantage de gros mots ?
Je vous remercie par avance de m'éclairer, car cela m'aidera sans doute à progresser vers davantage de ...moi-même.
Pour ce qui est de mes dessins, je crains que là, pour le coup, je ne tourne vraiment en rond et j'ai peur de lasser mes lecteurs. Enfin, mes regardeurs.
Bises attentives
¸¸.•*¨*• ☆
Ce n'est pas bien grave de tourner en rond en dessin, prenez Raymond Peynet, lui il tourne en cœur et ça lui a plutôt bien réussi ;) L'écriture, le danger c'est de s'écouter parler. Ça vient tout seul, on se lit, on se relit, on se corrige et petit à petit, à force de tout vouloir polir, on se censure inconsciemment. Je vois pas l’intérêt d'écrire qu'il fait beau, qu'il fait froid, que le monde il est gentil, qu'il est méchant. Il me semble que l'écriture c'est autre chose mais peut être êtes vous plus libérée en privé quand vous tirez le rideau de votre blog . C'est dommage car vous avez un réel talent poétique, quittez un peu l'habit d'institutrice... au moins le soir.
RépondreSupprimerA vrai dire, vous tournez autour du pot, mais bien que vous ne disiez pas explicitement ce que vous aimeriez que j'écrive, et de quelle façon, je crois que je le devine.
SupprimerVous vous trompez sur un point: ce n'est pas inconsciemment que je me censure. Mais bel et bien consciemment, en toute connaissance de cause. Quand je tire le rideau de mon blog, comme vous dites, je fais ce que je veux de mon corps, et la petite institutrice vous étonnerait sans doute.
D'autant que dans ce domaine-là, la retenue n'est pas forcément un défaut...Vous savez, celle qui amène au bord du douloureux plaisir en repoussant le plus longtemps possible lle moment de l'envol extatique...
Je vous dis tout ça parce qu'on est le soir...
Bien à vous
¸¸.•*¨*• ☆
Vous dites de bien belles choses, le soir, au fond de votre blog...
RépondreSupprimer~L~
Parfois, il m'arrive d'en dire aussi dans la vraie vie, le matin au réveil.
SupprimerMais je vous remercie de votre enthousiasme inconditionnel.
Même si j'apprécie quand, comme Alain, l'on trouve aussi à redire à mes écrits, afin que je ne m'endorme pas sous des tonnes de lauriers...
Bises
¸¸.•*¨*• ☆
Tu m'auras appris le mot "enchifrené" !
RépondreSupprimerDis, tu crois vraiment qu'il n'y a que les mauvais garçons qui pétillent du regard quand le vent fripon soulève les jupes (le jupon étant devenu un attribut vestimentaire devenu fort rare, si je ne m'abuse…) ?
Quant au mistral, bien qu'il présente l'indéniable avantage de chasser les nuages, il a le redoutable inconvénient de transpercer de froid les frileux, dont je fais hélas partie. Je l'ai maudit durant les deux années que j'ai passé dans son couloir naturel.
Bises soufflées
Les garçons au regard qui pétille ne sont-ils pas tous un peu des mauvais garçons ?
SupprimerMais pour moi, ce n'est pas mal d'être un mauvais garçon...
Je suis aussi frileuse que toi, et j'avoue que le ressenti au mistral est parfois terrible en plein hiver.
Mais pour écrire ce billet j'étais en mode " joyeuse et court vêtue"
Depuis, les saints de glace sont arrivés, et on se gèle au vent.
Vivement l'été !
¸¸.•*¨*• ☆
@ Pierre,
Supprimer"enchifrené" c'est Brassentesque (ça se dit ça... ?) en noces ! (de Jeannette)
Tonton Nestor t'expliquera ....
;-)
Brassens mais pas que...
SupprimerC'est un vrai mot aussi !
ICI
J'aime le vent. Enfant, du fond de ma campagne il était mon compagnon de jeux.
RépondreSupprimerMaintenant, à l’âge adulte j’aime toujours le vent et c’est plus fort que moi, même quand je l’entends, menaçant, je ressens toujours une joie et une peur à la fois, qui me plonge dans un état d’euphorie. Autant ma grand-mère voyait en lui des démons autant moi j’y ressens un allié, une liberté.
Je n’ai jamais compris l’emprise du vent sur moi, je ne fais que la ressentir. Maty
C'est beau ce que tu dis sur le vent, Maty.
SupprimerEt ce n'est pas commun...Il est vrai que comme dit Brassens "le vent semble une brute raffolant de nuire à tout le monde. Mais une attention profonde prouve que c'est chez les fâcheux qu'il préfère choisir les victimes de ses petits jeux..."
Et tu ne fais pas partie des fâcheux, maty !
merci de ton passage
Bises étoilées
¸¸.•*¨*• ☆
Le vent , élément naturel, nous est familier, car lui et nous sommes comparables :
RépondreSupprimerL'être humain peut s'exprimer dans la douceur, comme une petite brise matinale sur le bord d'une plage par exemple.....
Il peut se dire avec chaleur, même avec force et conviction pour réchauffer le coeur d'un ami engourdi, tel le foehn quand il reste mesuré dans son élan....
Mais il peut glacer d'effroi par des propos venimeux , méprisants et belliqueux , comme le Mistral dans sa violence trop développée peut glacer les frileux jusqu'aux os ....
J'aime bien l'idée d'être une petite brise matinale... douce et fraîche. Mais je sais pouvoir être aussi parfois un vrai sirocco !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pour Julos Beaucarne, il n’y aura jamais assez de caresses et de baisers sur cette terre. «J’aimerais ne partager que douceur, tendresse et paix ma vie entière. Ni toi ni moi ne sommes faits pour la guerre. Nous sommes faits pour marcher résolument vers la lumière". C'est ainsi que commence le CD du poète, chanteur et philosophe.
RépondreSupprimerJulos Beaucarne, poète et amant de la vie ?
L’amour universel que prône Julos n’a rien d’un amour désuet, rose bonbon, naïf. C’est un amour qui a valeur d’engagement. Un amour qui transcende toutes les formes d’amour. Un amour qui se dit. Qui se murmure. Qui se poétise. Qui se crie. Qui s’indigne aussi…
Psychologies : L’AMOUR pour Julos Beaucarne ?
Julos Beaucarne : C’est d’abord une marche vers soi. En naissant, chacun reçoit une feuille de route. Si on ne la suit pas, on vit à côté de soi. Aujourd’hui, on n’est plus à l’écoute de qui l’on est réellement. S’accomplir… Le monde qui nous entoure résiste à ce désir bien légitime. Etre connecté à qui l’on est et ne pas s’en laisser distraire. Une évidence ? Ce n’est pas si simple. Tout nous pousse à vivre à l’extérieur de soi. Je le dis dans la chanson « Nous sommes six milliards tout en bas, maraboutés au nom de quoi ? Au nom du pèse, au nom du fisc et du sacro saint bénéfice… ». Or, on n’avance que dans l’amour. Un amour exigeant qui demande de se changer soi-même pour influencer le changement total du monde. S’aimer beaucoup soi-même ? Une étape indispensable. Sinon, on se condamne à mort. Une démarche altruiste ! Si je me réalise moi, une partie du monde se réalise. Tout ce que l’on fait de positif ou négatif est répercuté jusqu’au bout du monde. Nous sommes tous reliés…
Lire la suite chez Pierre
Un Pont des Arts, une jolie Demoiselle, un baiser...
RépondreSupprimerQue de souvenirs tu évoques en moi... Merci belles châsses )
De beaux souvenirs, sans doute...
SupprimerMaintenant, il paraît que tous les ponts se parent de cadenas à Paris...
Mais le Pont des Arts reste quand même le Pont des Amoureux le plus mythique.
Baci
Cadenasser l'amour... Décidément les cons osent tout !!
SupprimerC'est même à ça qu'on les reconnaît, il paraît...
SupprimerJulos a écrit l'hymne à la vie le pluss bouleversant dans des conditions exceptionnelles et dramatiques.
RépondreSupprimerIl avait cette nuit-là toutes les bonnes raisons au monde pour ne pas écrire ça, et pourtant...
Nougaro nous le transmet:
https://www.youtube.com/watch?v=sghdhJBUe3s
Baci et serrage de paluches
Merci Blutch,
SupprimerJe la connais et l'ai même envoyée à Célestine en MP ET EN FICHIER RÉCUP MP4 DE LA VIDÉO
serrage de paluches avec grande joie (baci signifie ? j'avoue mon ignorance)
Te vexe surtout pas Blutch,
Supprimermais j'ai trouvé la traduction : baci = baisers
Merci pour ces embrassades
@ Pétrus
SupprimerJe laisse toujours aux mecs le droit de choisir l'un ou l'autre.
J'veux pas dégonfler, mais y en a des qui ne supporteraient pas l'idée. En particulier un rital que ça défrise sec et lorsque tu vois sa tignasse, ça lui changerais passablement la devanture....
Très ordinairement, les Baci sont pour ma petite soeur, mais je la sais partageuse en ce domaine, alors elle t'en laissera certainement assez pour une accolade.
Bises, baci, accolade et tout le bataclan
Je viens de tomber sur celle-ci que je ne connaissais pas encore mais qui donnera à Pierre et à d'autres de quoi penser au Plan envisagé
Supprimerhttps://youtu.be/DH9VKoqgF2M
baci
Allez un dernier partage du jour pour toutes et tous, en particulier chère Célestine
Supprimerhttps://youtu.be/vJyQJ2ATFIk
baci, baci , bises
C'est sans fin :
Supprimerhttps://youtu.be/aaIIQYxCFQY?list=PLN4K2BNiuZ4RK3bQGuUTp7ie4ed1E8K6d
Je chante pour vous.....
En réponse à votre petit dialogue, Petrus et Blutchiamo
SupprimerCette petite chanson sans prétention...
Baci
J'y suis allé, chère Célestine, de vidéo en video je suis arrivé ici
Supprimerhttps://youtu.be/lyKDaTiHAqQ
était-ce le but ? En tout cas merci pour tout
Un très beau film, si tu ne le connais pas, tu l'aimeras comme je l'ai aimé.
Supprimer(Enfin, je suppose)
¸¸.•*¨*• ☆
Ben oui, quand j'ai dit que j'y suis allé, j'y suis allé et j'ai laissé défiler jusqu'à la fin toutes les videos de Brassens, et donc, bien entendu que je me suis réglé à voir entier (1H36) ce très beau film qui explique tant de choses de la vie de Brassens, de Jane......et qui nous remue les tripes
SupprimerTu as donc bien supposé
Bises
Oui c'est vrai, je me le reverrai volontiers un de ces quatre...
SupprimerUn beau texte, dans l'air du temps....
RépondreSupprimerReste que je m'inquiète... dis-moi qu'il ne soufflera pas fin juin, où je serai sur sa trajectoire....
;-)
----------------
Mieux vaut, au final, ne pas trop aimer le vent....
On sait ce qui arriva à la "fille d'Anne Sylvestre ! ;-)
"Maman, le vent me fait la cour
Le vent me trousse et m'éparpille
Le vent me souffle des discours
Pardi c'est ennuyeux ma fille
Ça l'est bien plus encor Maman
Car le grand vent est mon amant
{Refrain:}
Fille folle amante du vent
Boucle ton corset
Baisse bien la tête
Méfie-toi qui aime le vent
Engendre la tempête
Engendre la tempête.
Maman le vent partout me suit
Le vent me presse et me bouscule
Il pousse mes volets la nuit
Pardi tu seras ridicule
De quoi ma fille a-t-on bien l'air
En accouchant d'un courant d'air
{Refrain}
Maman le vent m'aime si fort
Que je dois ouvrir les fenêtres
Il ne veut plus coucher dehors
Et je crois qu'un enfant va naître
Fille je m'en irai avant
D'être la grand-mère du vent
J'aime beaucoup Anne Sylvestre et sa poésie singulière.
SupprimerMais qu'apprends-je, tu vas quitter ton Fief du Nord ? j'espère que tu passeras me faire un coucou.
Bises émues
¸¸.•*¨*• ☆
J'aime le vent. Je ne connais pas le Mistral qui rugit dans ta région (enfin pas beaucoup ) mais j'aimais l' Autan quand j'étais à Toulouse...qui parait-il était le vent des fous...
RépondreSupprimerJoli texte, sensuel et printanier...
Bises.
Mon ami Bof pourrait t'en raconter siur ce vent qui rend fou...
SupprimerMerci Mindounet, je sais que tu es sensible aux textes sensuels et printaniers...
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Ah! satané mistral! Si encore il se contentait de ne souffler que dans "ton" sud mais non ! Le bougre il remonte le long de la vallée du Rhône et vient nous embêter jusqu'à Lyon ! Je me demande même s'il ne se renforce pas un peu au cours de sa remontée vers le Nord tellement il est parfois violent ici ! Je le hais:-)!
RépondreSupprimerRhôô mammilou, ça c'est une opinion tranchée...Et crois moi, j'en suis bien désolée pour toi.
Supprimerla prochaine fois que je le vois, je lui dirai de souffler un peu moins fort sur ta maison...
Bises et bon week-end
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Bon j'avoue j'ai été un peu sévère avec lui et je lui en demande pardon! Mais j'avoue que quand il souffle en ville ce n'est pas très agréable! Je lui préfère de loin le vent marin qui souffle à Noirmoutier :-)!
SupprimerEn tout cas merci de lui transmettre le message lorsque tu le verras:-)!
Ah Noirmoutier...la dernière fois que j'en ai parlé, j'ai gagné un repas au restaurant avec le grand Bleck...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Le vent m'agace, je ne suis pas fana.
RépondreSupprimerEt je ne connais pas le Mistral.
Ben voui. Il vaut mieux alors que tu ne le connaisses jamais...
SupprimerMoi c'est le brouillard que je ne supporte pas plus d'une journée...
Bises ma belle, avec ou sans vent, bon vikind et plein de muguet ! :-)
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Tu me crains donc pauvre mortel, parce que mes doigts invisibles écartent les arbres et ondulent les blés dans les champs. Et mon bruit te dérange qui fait grincer les maisons et réveille dans les vieilles charpentes je ne sais quels ombres, quels esprits, quels fantômes égarés là depuis la nuit des temps. Le froid qui m'accompagne te fait trembler et éteint la flamme qui vacille ou fait fumer la vieille cheminée du toit.
RépondreSupprimerJe t'énerve, je te fais tomber de ta monture, j'envoie au large ton chapeau.
Mais je suis là, puissant, mon souffle doit être assez fort pour maintenir au sol le Ventoux qui s'honore de mes vents, la Montagnette, les dentelles de Montmirail, et au bout de ma course la Sainte Baume, les monts Aurélien, la Sainte Victoire ou le Faron.
Il doit chasser l'eau de ces terres trop plates et rendre au paysan la charrue enfin possible. Il doit purger le ciel de toutes les impuretés que toi, l'homme, tu crées sans souci du partage.
Je dois porter de plantes en plantes sur les terres stériles les semences qui demain germeront pour assouvir ta faim. Je suis le porteur de l'amour et seuls mes amis les insectes, qui font avec moi ce métier de porteurs d'amour savent combien ce geste est grand.
Je suis le vent qui cache les amour de Mireille et de Vincent, qui porte au loin le son du fifre et du galoubet. Je suis celui qui cache aux soldats le fuyard, aux gendarmes le vagabond.
Je suis le vent qui gonfle les voiles des navires et qui pousse loin les cerfs volants.
Et tu me reproches de lever les robes des filles ? Et de faire danser leurs jupons.
File donc, triste sire, qui n'aime ni force ni plaisir ni amour, avant que je ne te balaies pour de bon.
Merci ô grand vent de cette diatribe superbe et poétique.On sent la splendeur de tes assauts et ton assurance magnifique.
SupprimerM'étonne pas que les Grecs t'aient assimilé à une divinité !
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Gastibelza, l'homme à la carabine, chantait ainsi:
RépondreSupprimerQuelqu'un a-t-il connu dona Sabine ?Quelqu'un d'ici
Chantez, dansez, villageois ! la nuit gagne le mont Falu
Le vent qui vient à travers la montagne me rendra fou .
Victor Hugo et Brassens, jolies références pour moi ! ;-)
SupprimerMerci de ta constance, Petrus.
Bises et bon muguet !
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Constance :
SupprimerLittéraire. Patience, persévérance de quelqu'un, entretenue par une force morale sans défaillance : Poursuivre un dessein avec constance.
Caractère stable d'une opinion, d'un sentiment : Amour d'une rare constance.
Caractère de quelque chose qui reste identique, qui ne varie pas : Constance d'un phénomène.
Chère Célestine, ces différentes significations de la constance louée, venant de toi, je les apprécie fortement.
J'aimerais également que l'on comprenne toute la joie que me procure ce lieu, ces lieux d'échanges (dont celui de Pierre) quand ils sont , à l'image de la nature printanière, lieux de vie, lieux d'espoir, lieu de germination des idées, même les plus osées pour construire ensemble un demain qui se tienne
Dame nature chez nous a pris quelque retard : d'ordinaire nous avions au jardin , en bas de la maison, quelques brins de muguet pour le 1er Mai; je crois qu'il nous faudra encore attendre; j'aurais tant aimé en partager ce jour la joie avec vous tous, un vrai bouquet à la main.
Mon bouquet est donc dans mes pensées, dans mes souvenirs des années passées...
Ce sont ceux-là, Célestine, que je t'offre ce matin
Bises
Que puis-je dire d'autre que merci, pour cette délicate attention parfumée ?
SupprimerC'est très joli, le muguet.
Et puis surtout, surtout, ça entame un des plus jolis mois de l'année...parce qu'en mai, fais ce qui te plaît !
Kiss céleste
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ça alors! Ne recevant plus d'avis de publication je me suis dit "Célestine est en vacances", puis "Célestine,, institutrice-directrice consciencieuse, reprend l'école" puis finalement j'ai poussé la porte....et j'ai bien fait. J'adore ce billet que j'aurais pu écrire, avec mes mots qui ne sont jamais tout à fait les mêmes. Bizzzzzzzzzzzzz ma belle
RépondreSupprimerCe qui fait les atomes crochus, c'est cela: se reconnaître dans ce que l'autre exprime de plus profond. Tes mots ne sont jamais tout à fait les mêmes, mais ils sont les frères des miens.
SupprimerBon week end plein de muguet.
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Le vent froid , glacial , humide , celui qui ne laisse pas un parapluie ouvert , je l'ai aimé , je ne l'aime plus
RépondreSupprimerCelui qui renverse les pots , arrache les branches , les bourrasques , les tempêtes , celui qui emporte en mer ...
Ce vent que tu décris est coquin , il laisse songeur
Je me souviens bien du chapeau de Mireille
bisous pour ton WE prolongé
Ah ! te revoilà Jeanne, cela veut dire que tu t'es débarrassée de ton méchant microbe ?
Supprimerj'en suis fort aise.
Le vent est comme toute chose en ce bas monde, il a des qualités et des défauts...
Je préfère me concentrer sur les frissons qu'il fait courir sous ma robe.
Bises fleuries
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Je suis Prudence et comme le dit si bien Pétrus : je prends garde à mon jupon !
RépondreSupprimer"Si par hasrd
SupprimerSur l'Pont des Arts
Tu croises le vent le vent fripon
Prudence prends garde à ton jupon..."
Bisous
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- Lundi, quel temps fait-il ?
RépondreSupprimer- Il vente !
- Mardi, quel temps fait-il ?
- Il vente !
- Mercredi, quel temps fait-il ?
- Il vente !
- Jeudi, quel temps fait-il ?
- Il vente !
- Vendredi, quel temps fait-il ?
- Il vente !
- Samedi, quel temps fait-il ?
- Il vente !
- Dimanche, quel temps fait-il ?
- Il vente à nouveau !
- Lundi, quel t...
- Rewind !
Le vent est parfois agréable et d'autres fois déroutant. J'aime prendre des photos des cheveux qui s'envolent sur un visage ou une robe soulevée par Éole, c'est comme une cerise sur le gâteau.
RépondreSupprimerMistral gagnant !
J'aime dessiner mes funambulles aux cheveux soulevés par le vent, comme sur ma bannière...
SupprimerBisous choupinou.
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ce n'est guère agréable quand il y a trop de vent
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