A un ami qui me confiait se sentir un peu vide, j'ai répondu: "Quand on est vide, c'est que l'on est prêt à se remplir, c'est mieux que d'en avoir plein le dos !...et je suis polie" ai-je rajouté pour épicer d'une pointe d'humour mon propos.
Les paroles
optimistes me viennent toujours naturellement et sans calcul. Je pense que
celles-là lui ont fait du bien. Mais je ne saurais dire que j'aie en toute
circonstance la même sagacité, même si je fais toujours très attention à la
portée de mes mots. Il arrive qu'un mot déclenche une sorte de tsunami chez les
autres, et l'on ne comprend pas, alors, ce qui a provoqué cette tempête. On se
retrouve comme l'enfant qui a appuyé sur un bouton sans savoir que celui-ci
mettait en route une machinerie énorme et incontrôlable.
En gros, et pour
faire simple, on reste con. Dans le sens démuni, interloqué, abasourdi. Et au
final, impuissant à enrayer le processus. J'en ai fait l'expérience il y a peu
: le fossé entre le mot et la réaction induite est tellement énorme !
Je n'échappe pas à
cette règle universelle. Nous sommes constitués des mots que nous avons
entendus toute notre vie, et des expériences heureuses ou malheureuses qu'ils
évoquent. Enfin surtout de ces dernières, à vrai dire. Il nous faut alors convoquer
toute notre énergie, notre rationalité, pour repousser les influences
maléfiques, quasi paranormales, de ces mots fatals, et en même temps,
évidemment, rassurer celui qui les a dits.
Car un mot ou une
phrase innocents peuvent me faire partir en vrille. Ainsi, le mot clown,
pourtant bien joyeux par définition, réveilla dernièrement en moi des blocages,
des peurs, des effrois même, que je croyais enfouis dans les strates de
l'enfance. Je n'aime pas, que dis-je, je déteste les clowns, pourquoi, je ne sais
pas, j'ai sans doute été terrorisée par un de ces masques pâles à la bouche
écartelée et sanglante... Je me souviens d'une crise de panique en découvrant
le "joker" de Batman. Et ne parlons pas de ces abrutis qui s'amusaient
il y a peu à terroriser les gens dans la rue. Ni du roman de Stephen King, "Ça",
dont je commence à peine à pouvoir regarder la couverture sans trembler...
Car aujourd'hui, vous
voyez, je parviens à en parler. Je me sens moins vulnérable. Mon chemin vers la
sérénité passe par des catharsis successives. En me concentrant aussi sur tous les mots positifs que je reçois comme des présents.
Ne pas avoir
peur des mots. Apprendre à s'affranchir de ce qui ne peut paraître qu'un
assemblage hasardeux de lettres, mais qui est en réalité le substrat de notre
existence humaine. Toutes ces phrases qui nous projettent involontairement et amèrement dans un
mal-être de petit enfant craintif et abandonné.
Tenir à distance,
museler ses propres angoisses, ses propres faiblesses et les changer en force
en leur tordant le cou. Et avancer tranquillement sans craindre ses vieux
démons, en les regardant bien en face.
Voilà le défi d'une
vie.
Ils sont terribles les mots lorsque ils sont le reflet de nos blessures. Ils s'y engouffrent, creusant la plaie comme un acide.
RépondreSupprimerIls sont aussi merveilleux lorsqu'ils mettent du baume sur nos plaies, anesthésiant la douleur et nous rajoutant un sourire dans le coeur.
Ahhhh si on pouvait toujours savoir quels mots utiliser pour être dans le merveilleux de l'autre....
Ti bacio Sorellita
Tu ne te débrouilles pas trop mal, je trouve...
SupprimerMais on va dire que je ne suis pas objective. ;-)
Et puis, il ne faudrait pas s'enlever toute spontanéité en tortillant trop ce que l'on a à dire.
Il existe heureusement une faculté merveilleuse entre amis: le réajustement. Ou comment rattraper les mailles perdues...(Tu te souviens de mon billet ?)
Baci il mio caro
¸¸.•*¨*• ☆
Oui et à sa relecture, je me dis que tu n'as pas ton pareil pour tricoter ensemble les mots et les sentiments.
SupprimerTanto baci cara
Je vois que ce billet-là avait suscité autant de réactions que "Sorensen"...les gens aiment mes ouvrages en pure laine irlandaise !
SupprimerJe ne suis qu'une "petite main" mais je m'applique. ;-)
Baci
¸¸.•*¨*• ☆
Une petite main tiens donc !
SupprimerJ'ai osé relevé ! :D
Baci
Oh, c'est cool, choupinou, d'être venu. je plaisantais bien sûr, mais ça me fait quand même rudement plaisir que tu m'aies prise au sérieux...
SupprimerUne petite main, oui, mais c'est du langage spécial confection de vêtements...
lol
bisous célestes
¸¸.•*¨*• ☆
Célestoche tu sais bien que j'aime venir te lire et mettre mon grain de sel. Bon des fois je comprends pas tout mais j'essaye de vanner, on m'a appris à regarder la paille que j'avais dans mon œil.
SupprimerJe te bisoute ma dirlo préférée. ;-)
Alors ça c'est trop gentil et très très choupinou...
SupprimerDes fois tu comprends pas tout ? T'inquiètes, moi non plus !
Gros bisous mon choupinou préféré ^^
¸¸.•*¨*• ☆
Le poids des mots, le choc des photos.... ça me rappelle un slogan ça ! mais il est vrai que parfois des mots lourds qu'on voulait légers, nous échappent. C'est là que la parole prend tout son sens afin de réajuster quelques mauvaises interprétations. Moi j'adore tes mots et aucun ne me heurte ou ne m'a heurté... bisous ma Brune...
RépondreSupprimerL'avantage, douce amie, c'est que si un jour on se heurtait, ce serait sans le faire exprès, et chacune serait là pour rabibocher les choses en bonne intelligence. La seule vraie intelligence, celle du coeur.
SupprimerBelle soirée avec ce temps divin.
gros kiss célestes, belle Blonde
¸¸.•*¨*• ☆
Un mot un seul me guide : AMOUR ];-D
RépondreSupprimerS'il ne devait y en avoir qu'un, il faudrait que ce soit celui-là...
SupprimerTu crois qu'un jour les hommes vivront d'amour...?
¸¸.•*¨*• ☆
Esperanza, belles Jeune fille, Esperanza )
SupprimerSerais-je devenue espagnole ?
Supprimer^^
Tiens, Poulette aussi, n'aime pas les clowns. Ils lui font peur, comme toi.
RépondreSupprimerMoi, j'aime le cirque.
Quant à la portée de la parole, il y a un conte d'Henri Gougaud fantastique.
Je n'ai jamais aimé le cirque, à part peut-être le cirque Plume. Surtout les petits cirques miteux, qui m'ont toujours soulevé le coeur, à la fois de tristesse et de dégoût. Je ne sais pas dire pourquoi. Cette fausse joie, ces animaux enfermés dans leurs tristes cages... J'ai dû être traumatisée enfant. Il faudra que je demande à ma mère si elle s'en souvient, mais c'est pas gagné.
SupprimerLe conte d'Henri Gougaud, c'est lequel ?
Bises ma Berthoise. Et bon rétablissement.
¸¸.•*¨*• ☆
Pour moi, le cirque est un souvenir magique. Grand-père Emile, dont j'ai parlé sur Blogbo prenait dans sa vitrine les affiches du cirque Knie. En remerciement, il avait droit à deux billets gratuits.
SupprimerChaque année, il nous emmenait, mon frère et moi, voir le cirque, un soir. Avec son handicap, le cirque l'installait dans une loge, tout près de l'arène. C'était une virée "entre hommes" et on rentrait à passé minuit. Partant de là, rien ne pouvait me faire peur, ni les lions derrière leur cage, ni les chevaux qui parfois marchaient sur le muret circulaire, juste devant nos pieds.
L’Auguste était débonnaire et son partenaire tout de blanc vêtu faisait tellement semblant de se fâcher qu'on riait de bon coeur.
Je ne sais pas en fait ce qui pour moi avait le plus d'importance: une soirée avec Grand-père Emile, le cirque ou le fait de rentrer à passé minuit (c'était la seule fois de l'année) une veille de classe...
Je comprends tes réticences car j'ai vu, par la suite, des clowns qui ressemblaient plus au Joker qu'à un amuseur.
Tiens, si tu as le courage d'une déprogrammation
Je te propose Grock un clown suisse, et musicien de surcroit, ça peut pas être méchant, non
https://www.youtube.com/watch?v=iZfKMcRwKMc
Je crois bien que je l'ai vu au Knie, avec Emile (pas le comique, le Grand-père...)
Ti bacio
Attends, je ne dis pas que je n'irai jamais le voir, ton clown suisse. Mais la déprogrammation c'est long! Pour l'instant, j'en suis à pouvoir en parler, et regarder une image en me disant qu'elle ne peut pas me faire de mal. C'est déjà bien, pour un début.
SupprimerLe cirque pour toi est lié à un bon souvenir. Tu as de la chance.
baci e grazie mille
¸¸.•*¨*• ☆
Le jour où tu décideras, je viendrai te tenir la main.
SupprimerMolto bacissimo
Si tu me tiens la main, je ne crains plus rien...^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
http://etienneduval.perso.neuf.fr/mythesfondateurs/La%20parole.htm
RépondreSupprimerSi tu veux lire.
Ah merci. j'ai lu.
SupprimerMoralité: il vaut souvent mieux fermer sa g... C'est très africain, en effet. le silence est d'or, la parole est d'argent...
Ce n'est pas faux. Mais alors, quid des blogs ? des livres ? du théâtre ? du cinéma ? et surtout quid du restaurant en tête à tête ? Oui, je sais, tu vas me dire qu'on n'est pas obligé de parler, mais quand même...
Mouarf !
¸¸.•*¨*• ☆
Curieux car moi aussi j'ai toujours eu peur des clowns avec cette bouche immense qui semble avoir été taillée d'un coup de cimeterre et les yeux tristes. Ils me mettent mal à l'aise. Je n'aimais donc pas les cirques sauf pour les chevaux et écuyères. Lovely brunette obligeait...
RépondreSupprimerAvec l'âge, je suis plus à l'aise aussi avec les mots, et le besoin d'exprimer le plus exactement possible ce que je veux communiquer. Mais il est bien vrai que parfois un mot envoyé avec un sourire est reçu avec un froncement de front... parce qu'on n'a pas le même code d'images transposées en mots :)
Baci sorellina :)
C'est vrai, c'est très souvent une question d'interprétation, et donc de codage. Combien de fois me suis-je fait la remarque que nous ne mettions pas le même sens que l'autre sur certains mots. Tous les malentendus viennent de cette polysémie que je travaille assidûment pour essayer que ce ne soit pas un obstacle. Mais on ne peut empêcher cette résonnance intime et profonde que n'évitera jamais aucun dctionnaire, et qui transforme un mot anodin en missile...
Supprimerbaci per te, bella ragazza
¸¸.•*¨*• ☆
"Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence alors tais toi !"
RépondreSupprimerJe connais cependant deux fieffés bavards qui se nourrissent de mots avec gourmandise. Même si parfois il arrive, comme dans ton exemple, qu'un mot tombe mal, "creusant la plaie comme un acide" (dixit Zeu Blutch, hein). Et alors en effet, avec attention et sollicitude, on réajuste, on rabiboche. Et il arrive parfois, ô merveille, que dénouant le fil, la résonance de ce mot perde de son acidité !
Attention et sollicitude !
Bon, d'accord, il m'arrive aussi parfois d'être un gros bouzin ! Mo n génie a des limites ! ;oDDD
...fin moi... Jdirien
Ouais, mon génie a des limites ! Parce que pour qu'une résonance perde de son acidité, faut quand même se lever de bon matin, non ?
SupprimerJe ne doute pas que notre rigoureux et scientifique helvète ne relève l'incohérence de cette idée.
M'enfin c'tait une image, hein mon Blutchy ! ;o)))
Je ne sais pas si ce que j'ai à dire est plus beau que le silence...Je crains même que parfois ce qoit nettement moins beau. Mais je sais que quand je dois le dire, je dois le dire, et il est bon quand même de s'exprimer et de ne pas tout garder à l'intérieur...Surtout s'il nous arrive de trouver une oreille attentive, voire compatissante.
SupprimerPour le reste, je laisserai notre cher Helvète répondre...
¸¸.•*¨*• ☆
@ jeudi sale
SupprimerTa théorie est un peu basique ou est-ce mon esprit qui est trop caustique ---? Comme dirait notre ami Walrus: "j'm'en tamponne".
Que dois-je relevé comme incohérence dans tes propos? Peut-être ton assertion quant aux limites de ton génie :-)
Tu vas lui faire grand plaisir, Blutchy ! Sauf à l'appeler jeudi sale, parce q'à mon avis, il risuque de mal le prendre, surtout s'il a pris sa douche comme il le précise...
SupprimerAh c'était fait exprès ! Mille zexcuses, j'avais pas cmpris !
¸¸.•*¨*• ☆
J'aime bien cette version de "To be alone with you", plus que celle du grand Bob...
RépondreSupprimer...'fin Moicquej'endis...
J'aime beaucoup les versions soft de certaines chansons...
SupprimerÇa me permet de les laisser tourner tranquillement en fond de billet, sans casser les oreilles de ceux qui ne coupent pas le son...
Enfin là, en l'occurrence, il n'y a que le titre de commun...
¸¸.•*¨*• ☆
Bond'lâ mais t'as raison !
SupprimerFaut dire que je les ai écouté en me douchant d'une oreille distraite dans la pièce d'à côté !
Ca tendrait à confirmer que les garçons peuvent pas faire deux choses à la fois...
:o)))
Moi ce que je vois surtout, c'est qu'en relisant les réponses que je t'ai faites, je les trouve un peu froides et manquant un chouïa de cette attention et de cette sollicitude dont tu parles..
SupprimerEt hop, un petit réajustement de derrière les fagots...
^^
Waow, quelle sollicitude !
Supprimer;o))
Oui je suis comme ça. Quand j'ai l'impression de ne pas avoir été sympa, je reviens m'excuser. Même qu'il paraîtrait que je m'excuse trop...A voir. J'ai toujours dit que ça faisait une moyenne avec les gougnaffiers qui ne s'excusent jamais, notamment au volant...
Supprimer^^
Je suis sûr que l'ami qui se sentait "vide" a été réconforté par tes mots qui ont rendu prometteuse la notion de vacuité, à priori peu porteuse d'élan. Il suffit parfois de voir les choses sous un autre angle pour ouvrir de nouvelles perspectives. C'est en cela que ton légendaire optimisme est une force :)
RépondreSupprimerPour ce qui est des malentendus dus aux sens différents donnés par chacun, généralement on parvient à corriger l'impression erronée en ajoutant quelques précisions et c'est alors l'occasion de se réjouir ensemble du retour à l'entente, la confiance et l'harmonie.
Il arrive cependant que la virulence de la réaction, en étant totalement disproportionnée, ouvre une inquiétante faille dans la sereine confiance qui, jusque-là, régnait. Ayant détecté une sensibilité particulière mais aux contours imprécis, la crainte de réveiller l'hydre à 5 têtes s'installe comme un poison. Et de fait elle empoisonne à petit feu la confiance, donc le coeur même de la relation. Des tabous apparaissent, des idées à ne plus évoquer, restreignant peu à peu la liberté d'expression. C'est ainsi que j'ai perdu une très grande amie. J'en garde encore, hélas, les séquelles :/
Je n'en reste pas moins un fervent adepte du dialogue, en lequel je persiste à voir le chemin vers l'autre :)
Ton dernier paragraphe correspond à la ligne de conduite que je m'efforce de suivre...
Ce que tu dis dans ton troisième paragraphe me parle beaucoup, moi qui ai sans doute de gros progrès à faire pour dompter ma sensibilité parfois trop importante. Pour ne pas dire exacerbée. Mais je me soigne...je n'aimerais pas perdre certaines amitiés auxquelles je tiens beaucoup en laissant s'installer une méfiance improductive ou des tabous gênants. Cette expérience malheureuse que tu nous livres ici est pleine d'enseignement pour moi et je t'en remercie.
SupprimerLe dialogue reste efffectivement la façon la plus sereine d'aller vers l'autre, tant qu'il est constructif et respectueux. Le dialogue ne se fait d'ailleurs pas forcément avec des mots, mais ça, ce serait l'objet d'un autre billet...
Même si parfois, un bon bourre-pif...non, je plaisante !
Bises joyeuses
¸¸.•*¨*• ☆
C'est un intéressant prolongement que tu fais en abordant la question de la sensibilité. Peut-on être "trop" sensible et ainsi faire fuir des amis ? Ce serait fâcheux, en effet…
SupprimerIl me semble que c'est moins la sensibilité qui pose problème - fut-elle exacerbée - que la fermeture au dialogue. Tant qu'on peut se parler rien n'est perdu. En revanche si la blessure ressentie est telle qu'elle conduit au repli et à la fermeture durable, ou trop fréquemment, c'est sûr que ça aura un impact. Mais mon petit doigt me dit que tu n'es pas du genre à baisser le rideau de fer (ou bourrer le pif…) pour cause de sensibilité touchée. Je me trompe ?
Bises taquines
Je gage que ton amie perdue avait peut-être cette hypersensibilité qui est un vrai handicap, quand on n'a pas, comme moi, la faculté de la contre-balancer par d'autres traits de caractère comme l'optimisme, l'humour et l'auto-dérision...C'est pourquoi ton petit doigt te parle vrai : je ne suis pas du genre à cesser le dialogue avec les gens que j'apprécie. Je sais réajuster.
SupprimerEn revanche, le bourre-pif, c'était juste un private joke perso concernant une personne de mon monde professionnel qui cherche à me pourrir la vie depuis cinq ans, qui a la sensibilité d'un compteur à gaz, et avec laquelle j'ai abandonné tout dialogue, vu que ce qu'elle mériterait c'est juste une grande claque dans sa tronche. Tu l'auras reconnue, je ne vais pas m'étaler. Mais quel bonheur de ne plus avoir affaire à elle dans deux mois !
Bises complices
¸¸.•*¨*• ☆
« la sensibilité d'un compteur à gaz »
Supprimerhé hé, la formule lui va à ravir (et me plaît, tu l'auras compris)
Tiens bon, bientôt la quille !
Hihi ^^je sais, c'est bas, parce qu'elle n'est pas là pour se défendre, mais ça soulage...
SupprimerLes mots sont ce que nous en faisons, de tendres caresses ou des armes redoutables.
RépondreSupprimerDes mots, quoi...
Parfois quand même, nous pensons caresser l'autre, et il se prend une claque dans la tronche. C'est ce que j'essaie d'exprimer dans mon billet.
Supprimermais je reconnais bien là ta sagesse légendaire, celle à laquelle j'aspire: ne plus me laisser déstabiliser, ou définir par les mots des autres, et régler mes vieux confilts avec moi-même.
Bises mon cher Boss
Tes mots en tous cas, sont toujours bienveillants à mon égard, et c'est une grande joie...
¸¸.•*¨*• ☆
Le dialogue : depuis ce matin 8 heures jusqu'à présent je n'ai pas arrêté de le pratiquer; là ce vient d'être avec notre fils Jean qui a la tête dans les étoiles mais qui a énormément de mal à concevoir notre avenir sur cette planète.... Avant c'était avec une voisine que j'essayais d'atteindre dans son humanité la plus profonde pour aboutir enfin avec joie et fierté à une poignée de mains émue et amicale (un dialogue rétabli; le poids des mots et des maux....) : oui je vis aujourd'hui en profondeur tout ce que vous dites là
RépondreSupprimerJe sais que tu es un adepte du dialogue, mon cher Petrus, et j'ai eu l'occasion de le vérifier..
SupprimerAvoir la tête dans les étoiles, c'est peut-être de nos jours la seule façon d'être rationnel : voir plus haut, plus loin, plus ample, c'est peut-être donner une chance à l'humanité d'avoir un avenir sur cette planète. Enfin, c'est ce que je pense, sans doute un peu influencée par ma lecture du moment (Cosmon, de Michel Onfray)
La poignée de mains avec la voisine est très émouvante, de la façon dont tu la racontes.
belle soirée céleste
¸¸.•*¨*• ☆
Cosmos, bien entendu...on devrait toujours se relire très attentivement...
SupprimerTout est question d'interprétation... quand les mots ne nous aident plus à communiquer, je pense que le problème est en amont (ou en aval) mais de toutes façons restent la poésie et la littérature... :) Bises ma belle copine de récré ! (en vacances je l'espère^^)...
RépondreSupprimerOuiiiiii en vacances et trop contente de profiter de ce magnifique temps de printemps doux et presque chaud au plus fort de la journée...
SupprimerLa poésie, la littérature, d'accord avec toi, c'est une façon merveilleuse de faire le plein de mots...
Bises joyeuses
¸¸.•*¨*• ☆
Je vais philosopher la peur n'a que l'importance qu'on lui donne. Soit c'est très théorique mais je vais essayer de donner le ton. En fait quand j'étais jeune certains films d'horreur étaient "inregardables" comme Massacre à la tronçonneuse. Mes enfants rigolent quand je dis cela parce que la jeunesse est dans tous les excès et comme l'on sait il faut se shooter à la drogue, à l'alcool, à la violence et à l'excès.
RépondreSupprimerEt puis l'habitude calme toute velléité autant je bandais en voyant des films de cul moins c'est le cas plus il faut de contact.
Suis-je clair ? T'as compris ce que je voulais dire ? Parce que moi je ne suis pas sûr de comprendre ce que j'ai écrit.
Bises... Et oui j'ose encore après tout cela !
Et tu as bien raison d'oser.
SupprimerCe blog est une tribune libre où chacun a le droit de dire tout ce qu'il veut.
ce que tu as voulu dire ?
Peut-être la même chose que les 4 gars qui discutent de leurs facultés viriles.
Moi dit celui de vingt ans, je bande tout le temps. Quand je veux, et même quand je ne veux pas.
Celui de quarante dit: moi je bande quand je veux !
Celui de soixante dit: moi, je bande quand je peux...
Alors celui de quatre-vingt les regarde et dit: bande de petits cons, va !
-Rhôô mademoiselle Célestine !
-ben quoi ? c'est une blague...
¸¸.•*¨*• ☆
:D :D ça m'a fait beaucoup rire !
SupprimerBon je ne vais pas dire mon âge. :D
@ Céleste
SupprimerTu me rappelles une histoire de Champi
C'est le vieux qui raconte à son petit fils qu'à 20 ans, il avait essayé de la plier et qu'il n'avait pas pu. A 40 ans, pareil, à 60, toujours la même chose, et puis là, ce matin, il a réussi, un petit peu, mais tout de même.
Et bien ça prouve une chose: à 80 ans on a plus de force dans les poignets que quand on est jeune.
Baci
Je me souviens bien de cette histoire ! :D :D
SupprimerElle est très rigolote en effet.
SupprimerElle me rappelle celle du polytechnicien qui coupait les pattes à une puce...
^^
Tu n'en as pas assez dit, car je ne la connais pas
SupprimerTi bacio
C'était l'époque où il était amusant de se moquer de l'esprit peu pratique des polytechniciens. Donc l'un d'eux s'amusait à dompter une puce pour faire une expérience. Chaque fois qu'il lui disait " saute! " la puce sautait. Il lui coupe une patte, la puce saute toujours. Il lui coupe deux pattes, la puce saute toujours,il lui coupe trois pattes, la puce saute toujours. Et ainsi de suite jusqu'â la dernière patte, où là, la puce ne saute évidemment plus.
SupprimerAlors dans son carnet d'expériences, le polytechnicien écrit: " Quand on coupe les pattes à une puce, elle devient sourde"
Il me faut préciser que la ligue de protection des puces s'est insurgée contre cette blague barbare, et elle a exigé que l'on change la fin de l'histoire: la famille de la puce a alors debzrqué pour la venger, et le chef s'est exclamé: " piquez-le et que le cul lui gratte jusqu'â la douzième génération..."
Baci
@ Céleste
Supprimer:-D
Ca rejoint la définition de technocrates de Coluche.
"Tu leur donnes le Sahara, dans 5 ans ils doivent racheter du sable."
Par contre, ta fin rajoutée est d'une effroyable immoralité chrétienne. La douzième génération s'en bat le beurre des coups de ciseaux de l’aïeul. Et puis c'est quoi pour une mentalité de faire des punitions collectives... :-D
J'avais privilégié la discrétion du courriel, mais puisque Bizak évente l'événement...
Un bon p'tit versèèèèèèèère et mille baci
Grazie fratellino
SupprimerDoublement touchée !
¸¸.•*¨*• ☆
Baci per te
Tu veux que je change d'avatar ? ;-)
RépondreSupprimerOh non, Oncle Joe ! c'est drôle, je ne l'avais jamais vraiment remarqué jusqu'à présent. mais cela ne change rien à l'admiration que je te porte.
SupprimerEt puis d'abord ton avatar, il est tout petit. Tu ne l'as pas mal pris, j'espère, que j'avoue ma phobie des clowns ?
Bises confuses
¸¸.•*¨*• ☆
En même temps, pour un mot caresse qui atterrit en claque, des milliers d'autres remplissent leur fonction de caresse. Donc, autant prendre le risque....
RépondreSupprimerTu as raison, ma Myo.
Supprimerne nous laissons pas démolir par un mot ou deux.
Bises étoilées
¸¸.•*¨*• ☆
Hello Miss W. D'abord merci pour ce joli titre de Sufjan. La peur du clown, on a trouvé un nom pour ça mais je l'ai oublié, est un grand classique des terreurs enfantines. Moi, les mots que je n'aime pas sont les plus beaux en théorie, devenus ceux qu'on utilise à mon sens n'importe comment, humanisme, tolérance, culture, altérité. Ces mots là sont maintenant complètement dessiqués, vides de sens, insupportables. A mon avis, bien sûr, car j'ai conscience que je peux ainsi être mécompris. Je t'embrasse, Angel Baby. ATTB.
RépondreSupprimerJe crois comprendre ton aversion pour ce que l'on a fait de ces mots au fil des années. Des concepts vides de sens pour certains, mais du coup, ne devrait-on pas tout faire pour essayer de les réhabiliter ?
SupprimerLa phobie des clowns est la coulrophobie. De nombreux articles lui sont consacrés sur le net.
Attb
Your Angel baby
¸¸.•*¨*• ☆
Ordure, flirt, patate, survêtement, parking, nana, gaufre, examen, gosse, paillasson, pavillon, dégueulasse sont des mots que je déteste (il faut les lire ici au premier degré) il y en a des tonnes d'autres que je n'apprécie pas. J'aime le mot inepte ou bancal, garce me plaît beaucoup alors que je n'emploie jamais le mot salope, ballade et balade sont des faux-culs de première bourre... mais on s'en fout...
RépondreSupprimerLe mot est un véhicule de nos émotions, comme l'odorat ou le toucher ou bien d'autres, ces garces d'émotions que l'on aimerait tant dompter, qui nous envahissent parfois, trop.
Le clown me laisse souvent indifférent, je respecte l'Artiste en tant que spectateur beaucoup de clowns "modernes" me scotchent littéralement je parle là, de cirque de rue.
J'ai tenté le jeu du clown pendant deux saisons, et j'ai laissé tomber j'ai préféré le théâtre d'improvisation.
Bleck
J'aime beaucoup ta liste de mots hétéroclites...ce serait amusant que chacun dresse la sienne. Une sorte de portrait chinois en négatif, tout a fait intéressant...
SupprimerLe théâtre d'improvisation...il me faut souvent en faire dans ma classe, quand une leçon ne tourne pas comme je l'avais prévue...il faut dire que c'est souvent le cas lorsqu'on travaille sur de la pâte humaine...
Mais j'aimerais bien en faire de manière plus personnelle...
Enfin, ce que tu dis des émotions me parle beaucoup. J'ai longtemps cru que dompter ses émotions, c'était les empêcher de s'exprimer. Mais c'est tout le contraire.
Bises célestes o grand Bleck.
Et merci de ta fidélité.
¸¸.•*¨*• ☆
on a bien des peurs qui ne s'expliquent pas mais les peurs se travaillent avec du personnel compétent et il est vrai que certains mots anodins pour nous peuvent faire mal à l'autre comme à nous
RépondreSupprimerBen oui, c'est tout à fait ça...
SupprimerBon courage dans ta démarche .. c'est là que l'on voit la puissance des mots.
RépondreSupprimerComme toi, je déteste les clowns sans bien savoir pourquoi et j'ai aussi eu de la peine à lire le roman de Stephen King.
Oui, éléa, certains mots font mal, mais heureusement, certains mots peuvent guérir, et c'est sur ceux-là que je m'appuie désormais pour avancer vers la sérénité qui est l'absence de toute peur envahissante.
SupprimerJ'espère que tu sauras te dégager comme moi de la puissance des mots qui te font peur.
En attendant, bienvenue chez moi, je te rajoute à mon totem.
¸¸.•*¨*• ☆
Oh combien je te comprends... La liste des mots qui me font "perdre pied" est immense...
RépondreSupprimerJe n'atteindrais jamais mon but, mais l'important est d'avancer dans la bonne direction...
Je t'envie et t'envoie mes pensées en exclusivité.
Kisses, petite sœur...
Je prends ton message comme un cadeau d'anniversaire, chère belle ombre lumineuse.
SupprimerJ'espère de tout cœur que ton chemin t'amènera à plus de paix intérieure, même si tu ne parviens pas à les oublier tous, ces mots qui te font perdre pied, qu'au moins tu saches les dompter et t'en affranchir comme j'apprends à le faire moi même.
Big kiss ému
¸¸.•*¨*• ☆
Le clown porte le masque qui le caractérise, un sourire dessiné par un maquillage outrancier. L'expression figée de son visage nous empêche t'-elle pas de lire et de nous reconnaître dans son regard?
RépondreSupprimerComme tous les mots nous pétrissent, toutes les expériences aussi nous construisent...
Bonne soirée Célestine.
Dans un des articles sur la coulrophobie, la peur des clowns, je lisais qu'en fait, c'est cet énigmatique regard dont on ne connaît pas les intentions qui fait peur. Et c'est surtout quand le clown est sorti de son contexte de piste de cirque qu'on le ressent comme menaçant.
SupprimerLes faux clowns du nord jouaient sur cette peur là.
Bises Mart
¸¸.•*¨*• ☆
Chère Célestine,
RépondreSupprimerVoilà peut-être de quoi vous réconcilier avec les clowns:
Effroyables jardins, M.Quint.
Mais vous l'avez sans doute déjà lu.
Eh bien non, je ne l'ai pas lu, je n'ai pas vu le film non plus, sans doute bêtement arrêtée par le titre. Comme quoi, la force des mots peut être un barrage â une découverte.
SupprimerMais je le rajoute à ma pile à lire.
Merci de ce conseil, chère 2001.
¸¸.•*¨*• ☆
Les mots sont le viatique qui nous accompagne tout le long de notre vie.
RépondreSupprimerIls nous parlent pour adoucir nos peines
Ils se taisent quand il le faut
Ils nous interpellent quand on va vite en besogne
Ils nous mettent en garde contre l'infamie
Quel bonheur en ce jour que de pouvoir dire
Avec une voix aussi douce que possible
Ces trois jolis petits mots :
Bonne anniversaire Célestine!
Quel joli message Bizak!
SupprimerTu sais que tu es le premier à y avoir pensé ici ?
Mais je sais aussi que tu as une raison particulière d'y penser, puisque c'est l'anniversaire de ton fils aujourd'hui...alors bon anniversaire à ton petit prince.
Et bises de ta princesse
¸¸.•*¨*• ☆
Les mots ont la même signification pour tous mais chacun les ressent en fonction de sa propre histoire. Ainsi, pour un texte identique, chaque lecteur aura sa lecture personnelle.
RépondreSupprimerBonjour à l'Homme,
SupprimerSi vous mettez derrière "propre histoire" les référents culturels propres à son milieu, alors je serai d'accord avec vous.
Exemple , en ma Savoie d'origine quand on dit "le pauvre" cela n'a pas du tout le même sens que quand dans le midi on dit "Oh pauvre !"
Ainsi, moi je m'étais à tort senti mortifié quand ma belle-mère disait : "pauvre Pierre"
@l'homme
SupprimerC'est très vrai, et j'aime m'appuyer sur cette richesse des interprétations pour affiner mon propre ressenti. C'est pourquoi j'aime les débats ici, où chacun s'exprime librement sur chaque sujet...
@ Petrus
Je pense que "sa propre histoire" peut se comprendre sur un plan général, comme tu le dis, la culture d'une région ou d'un pays, mais aussi sur un plan plus personnel, comme je le dis dans mon billet. Tel mot alors anodin prend une résonance individuelle qui peut parfois être lourde.
Nous sommes bien placés tous deux pour le savoir, n'est-ce pas ? ;-)
Bises a tous deux
J'ai toujours eu une saint horreur des clowns, sans jamais trop savoir pourquoi d'ailleurs. Je n'ai pas lu ce roman là de king !
RépondreSupprimerLes mots...des mots, des maux, démolition...
J'aime bien ton approche très "lacanienne" des mots, Mindounet.
SupprimerPense a profiter du beau temps !
Gros bisous célestes
¸¸.•*¨*• ☆
Aujourd'hui au royaume des fées, on se prépare en grand mystère à un anniversaire.
RépondreSupprimerTu me diras : " mais, les fées n'ont pas d'âge ! "
Bien sûr que non ! Mais, chaque année, on célèbre une année de prodiges,de mystères et d'enchantements. Le gâteau à mille bougies. Elles doivent l'éteindre d'un coup de baguette magique. Les simples humains ne sont pas invités. Il faut pour être là justifier avec elle, d'un lien charnel. Car les fées sont mi-femmes, mi-esprit et elles ont aussi une vie sur terre.
La nuit, les étoiles scintillent et écrivent son nom dans le ciel en lettres d'argent. Au Marion tout est rentré dans l'ordre.
Les lutins, les farfadets, les djinns et tous les esprits malins dansent autour d'elle une joyeuse farandole.
On boit de l'ambroisie, du nectar et toutes les autres boissons réservées aux puissances célestes.
Le lendemain, le monde qui en a bien besoin fait de nouveau appel à elles. Et la vie reprend son cours.
Pas une ride de plus ne marque son visage.
Peut- être dans les yeux, une paillette d'or supplémentaire. Mais qui peut savoir ?
Bon anniversaire, madame la fée, continuez d'enchanter vos lecteurs.
Permettez que je vous embrasse.
Ah voilà, ce beau message est maintenant à sa juste place.
SupprimerMerci beaucoup monsieur Jacques.
Vous savez décidément raconter de belles histoires aux enfants, et a ceux qui ont gradé leur âme d'enfant.
Je vous embrasse.
¸¸.•*¨*• ☆
Joyeux anniversaire Célestine ... Plein de bonheur sur cette route parfois sinueuse mais au final, Ilya toujours du positif dans le négatif ... Et la vie est à nouveau si belle, profitons en à 100% et que chaque instant compte ;-)
RépondreSupprimerBisoutoudoux ♥
Comme je suis d'accord avec ce que tu dis, Marie.
SupprimerIl y a toujours du positif, même dans le négatif.
Et la vie est très belle.
Bisous étoilés en retour
¸¸.•*¨*• ☆
Juste, bon anniversaire ma belle et encore des dizaines d'années pour t'émerveiller le nez dans les étoiles et le coeur dans les mots.... bisous de Brizou
RépondreSupprimerMerci ma douce amie. Je prends tes mots comme un cadeau.
SupprimerDes dizaines d'années, oui, je j'espère de tout cœur.
¸¸.•*¨*• ☆
Vos mots sont apaisants et bienveillants.
RépondreSupprimerMerci et bon anniversaire un peu en retard, délicieuse.
~L~
Merci mon ami.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pareil, Celle.
SupprimerMerci Bof.
SupprimerMa voisine m'a apporté une lettre de toi qui a été mise par erreur dans sa boîte aux lettres.
elle avait oublié de me la donner...C'est bête, non ?
En tous cas merci.
bisous
¸¸.•*¨*• ☆
Les pensées créent les mots qui créent les pensées, etc...alors bien sûr, en désirant voir le bien, le beau, le bon, on utilise les mots qui font du bien, créent du beau et nous aident à grandir. La sérénité est comme un jardin dont on a pris soin, elle fleurit après de longues années. Mais alors quel bonheur, crois moi. Bizzzz ma chère Clem
RépondreSupprimerOh Marie Madeleine, je n'avais pas vu ton commentaire...
SupprimerTu as raison, l'âme est un jardin, c'est ce que dit Michel Onfray dans le livre que je suis en train de lire, et qui te fera peut être changer d'avis sur lui....
Bises nocturnes
¸¸.•*¨*• ☆
Bonjour Célestine, pour répondre à ta question sur mon commentaire " mon commentaire est passé sur une de tes anciennes publications concernant un futur projet de livre, je ne me souviens plus du nom de l'article.
RépondreSupprimerPour en revenir à celui-ci, le poids des mots est important car ils peuvent autant rendre un Homme heureux que de le détruire. On ne se rends pas toujours compte de la portée des mots.
Il semble avoir lu que c'est ton anniversaire? Alors plein de joies et de bonheur pour tes( futures) années présentes et à venir. je me suis rendue compte qu'au plus on avance au plus on se sent mieux. Mes soixante dix printemps me le confirment ☼, alors profites à fond de la vie comme tu l'as si bien commencé me semble-il?
Bonne fin de journée.
Merci beaucoup Marie Posa !
SupprimerJ'ai bien reçu tous tes commentaires et je te remercie de l'intérêt que tu as porté à mes articles.
En espérant te revoir souvent par ici, je t'ajoute à mon totem (va voir en haut du blog)
Bises célestes
¸¸.•*¨*• ☆