« Alors que sa grand-mère se désole devant son camélia, si paresseux à la floraison, quand celui du voisin explose dans le rouge sang, la petite fille de cinq ans s’adresse alors à elle et lui dit :
"Mais mamie, pas de problème : il faut lui mettre de la terre de gruyère ! "
C’est l’évidence même ! Pourquoi faire tout un fromage pour un arbuste qui cache sa timidité derrière la discrétion de ses bourgeons ? »
"Mais mamie, pas de problème : il faut lui mettre de la terre de gruyère ! "
C’est l’évidence même ! Pourquoi faire tout un fromage pour un arbuste qui cache sa timidité derrière la discrétion de ses bourgeons ? »
(Ce délicieux billet et son titre, que je lui ai empruntés, sont extraits du blog Diptyque ô taquet, tenu avec talent par mon ami Michel.)
J'ai hérité de mon père, entre autres, la fabuleuse manie de jouer avec les mots. Ceux-ci fusaient à la moindre occasion de son esprit toujours en éveil.
« 🎶La bielle de Cadix a l'essieu de velours, tchica tchica tchic aïe aïe aïe » tonitruait-il le dimanche en passant l'aspirateur. Sa spécialité était d'ailleurs de déformer les textes de chansons pour nous faire rigoler, bien avant les chroniqueurs de France Inter... « 🎶 Et j'entends pisser le chien, que c'est triste un chien qui pisse dans le soir... »
Pour moi, m'adonner aux jeux de mots, c'est une seconde nature. Une respiration essentielle pour résister à tous ces gens moroses qui se prennent au sérieux, et qui fourmillent dans les microcosmes de petits monsieurs que nous croisons à notre grand dam, parfois.
C'est comme sentir souffler toujours, au fond de soi, la fraîcheur candide de l'enfance. Celle qui leur fait prononcer ces si jolies expressions que l'on appelle « mots d'enfants ».
« Maman, pourquoi on met de l'eau démoralisée dans le fer à repasser ? » m'avait sorti ma fille un jour, tout de go (et millau). Elle devait avoir touché juste, car cette tâche fastidieuse avait un côté démoralisant, vue la vitesse à laquelle les plis se reforment juste après avoir été aplatis. D'ailleurs, cela fait déjà un bail que je ne repasse plus rien. (A part de vieux films cultes, parfois, sur le site de l'Ina).
En tout cas, j'ai conservé précieusement tous les mots de ma progéniture, dans le coffret secret de ma nostalgie de maman. Et comme je suis bon public, ils me font toujours rire, trente ans après. Tout comme leur lecture fétiche de l'enfance, Les belles lisses poires du prince de Motordu, un roman pour les billes et pour les glaçons.
Allez, ne vous en cachez pas ! Certains parmi vous, sont restés de grands gosses qui ne résistent pas à un calembour, même capillotracté. Je me régale à parcourir vos blogs, à me bidonner devant vos titres toujours fins et pleins d'invention. Mon oncle Joe et mon ami Le Goût y forment un beau duo de tête. Leurs tableaux excellent en holorimes et polysémie (française, évidemment).
Allez, ne vous en cachez pas ! Certains parmi vous, sont restés de grands gosses qui ne résistent pas à un calembour, même capillotracté. Je me régale à parcourir vos blogs, à me bidonner devant vos titres toujours fins et pleins d'invention. Mon oncle Joe et mon ami Le Goût y forment un beau duo de tête. Leurs tableaux excellent en holorimes et polysémie (française, évidemment).
L'âme des grands jongleurs de mots est là. Elle flotte toujours, tel le drapeau noir sur la marmite des conventions. Pierre Dac, Raymond Devos, Pierre Desproges, voilà trois D loin d'être pipés.
Chacun maniait le calembour avec la divine dextérité des tailleurs de diamant. Devos préférait glisser sa peau sous les draps que la risquer sous les drapeaux. Dac disait que pour prendre une bonne cuite, mieux valait un bon cru. Desproges reconnaissait le rouquin aux cheveux du père, et le requin aux dents de la mère.
Le jeu de mots est partout. Une librairie parisienne exposait l'autre jour les titres jubilatoires de certaines biographies actuelles. Mon dabe aurait apprécié ce florilège extra. On aurait dit une page de Télérama.
Que Dalle. (Béatrice Dalle)
Rien n'est grave dans les aigus. (Michel Legrand)
Ardant Mystère (Fanny Ardant)
Zappa de Z à A (Frank Zappa)
Itinéraire d'un enfant de cité (Faudel) sont ceux dont je me souviens...
Mon père s'ébaudissait aussi de l'inventivité des verbicrucistes (à ne pas confondre avec les cruciverbistes) la plus belle définition qu'il trouva fut celle de l'amour : « Jeune anarchiste tchécoslovaque. »
-Tiens mais pourquoi donc ?
-Parce que l'amour est enfant de Bohême et n'a jamais, jamais, connu de loi.
- Joli !
-Et le caramel : il fréquente le palais et menace la couronne...
- Ça, c'est de Tristan Bernard, je crois.
-Tout juste ! Michel Laclos, lui, faisait dans le coquin, le primesautier.
Pénis : membre bienfaiteur. Partouzard : usager des transports en commun...
-Quels joyeux drilles, ces croiseurs de verbes !
Eh oui, les amis, y'a d'la joie dans l'jeu d'mots.
De deux choses lune, l'autre c'est le soleil, disait Prévert. Il rajoutait : Dieu est formidiable !
Mon paternel, lui, était formi...dabe. Tout simplement.
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J'adore et déjà...La Polysémie, moi j'ai rien contre, je n'y suis jamais allé. Les pénis et les beaux je crois en avoir soigné beaucoup.
RépondreSupprimerPardon, je me souviens, c'était les tennis elbows. 🎾
Kisses Dear Miss W. ATTB.
Le pénis, c'est bien ce jeu qui se joue avec une braguette ?
Supprimer@eeguab
SupprimerHoula ! tu démarres fort cette session de calembours tous azimuts. Je sens que mes lecteurs, à ton exemple, vont se lâcher.
Tu as soigné beaucoup de membres éminents, certainement, dans ta carrière. Ce devait être le pied. Et tu ne prenais évidemment pas ton métier par dessus la jambe, même pour ceux qui se croyaient sortis de la cuisse de Jupiter...
Et après toutes ces années où tu as fait des pieds et des mains pour tes patients, viennent-ils parfois t'épauler ? Te donner un coup de main, ou te remettre le pied à l'étrier ? Ce ne serait que justice.
Kisses my sweet friend
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@Gemini cricket
SupprimerRevoilà ma bestiole ! Ravie que tu sois toujours sur les bons coups...enfin si j'ose m'exprimer ainsi.
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Rho ! Célestine ! qu'ouis-je ? :)
SupprimerNe me dis pas que tu es choqué 😁
SupprimerQue Dieu vous pénis 🤗 Maîtresse ; cet exquis billet rend hommage au français le plus vibrant.
RépondreSupprimerAh les perles des enfants ; ma belle-fille encore gamine, souhaitait un chien espagnol breton :D J'en oubli plein.
Douce soirée, bisous.
Les exquis mots sont toujours rafraîchissants, ma Julie !
SupprimerEn tant que Mademoiselle Dézécolle, j'en ai entendu des centaines dans ma carrière. Les enfants sont des mines, et pas seulement de crayons.
Belle soirée à toi.
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Dites donc les filles se déchaînent ce soir. Julie, « que dieu vous penis » j’espère que tu as honte ! Diantre ! :)
Supprimer@Gemini croket : Oui, pardon... je fais péni(s)tence 😋
SupprimerQue j'ai ri tout au long de ma carrière avec les perles de mes CP 😋😁👍👍
RépondreSupprimerun vrai bonheur...
Gros bisous 😘
C'est ce que je viens de dire à Julie. En tant que « traîtresse d'école » j'en ai tellement entendu et lu...
SupprimerBisous ma Cathy
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Bonjour chère Célestine. Je passais par ici et je vous salue. Ces perles.... comme c'est touchant. Jouer avec les mots est un réel plaisir. Bonne fin d'après-midi.
RépondreSupprimerC'est toujours un plaisir (trop rare) chère Marie, que de vous voir passer par ici.
SupprimerSaviez-vous que le Bonheur du Jour est aussi un meuble dédié à l'écriture ? C'est charmant.
En tout cas, mieux vaut un bonheur du jour qu'un malheur du soir. :-)
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Oui ! Je le savais ! C'est un meuble charmant. A bientôt.
SupprimerJe n’en doute pas ! Je l’ai appris il n’y a pas très longtemps je voulais vous en faire part. 😁
SupprimerDans une vie prochaine, c'est un talent que j'aimerais avoir, celui de savoir jouer avec les mots. Dans cette vie-ci, je remercie sincèrement ceux qui ont cet art, (je suis très bon public aussi pour pour les calembours capillotractés), merci à toi céleste Célestine et merci à ton petit papa étoilé. Bises enfin pluvieuses. brigitte
RépondreSupprimerMon petit papa étoilé, c'est joli. Tu ne joues peut-être pas avec les mots comme Prevert, mais tu as le sens de la poésie, et c'est déjà très beau.
SupprimerMerci chère Plume. Tu es un ange.
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Aie Aie Aie...Quoiqu'il en soit l'heure précisément, ce n'est pas ma tasse de thé, et je n'ai , autant qu'il m'en souvienne , jamais fait mes gammes en calembours , par défaut de mot de passe et ou inclination nulle pour.
RépondreSupprimerOh les mots sont de bons vivants , aussi je goûte de préférence les aphorismes , tel en la circonstance être toute ouïe aux arguments du non !
Sans doute serai-je grâce à ceux- là écartée du Panthéon des fâcheux qui pullulent ,et remets à une autre figure de style à partager le jeu ( je ?) des mots .
Au plaisir chère Célestine
“Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir.”
SupprimerToi qui aimes les aphorismes, tu apprécieras certainement celui-là, qui est du grand Pierre Dac. Enfin grand...Par le talent, parce que ses amis l'appelaient le Maître soixante-trois...
Il y joue sur les mots, mais il dit aussi quelque chose de très vrai, que j'associerais volontiers à tous ces beaux parleurs de la télévision, qui se croient importants et indispensables aux débats... C'est d'ailleurs pour cette raison que je ne les écoute plus depuis longtemps.
Merci de ton passage, chère Lucile, avec ton nom qui fleure le printemps, tu éclaires ce jour gris de tes pétales lumineux.
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Sincèrement, ma poule, il n'y a bien que toi pour nous pondre un tel billet. J'entends là haut, au-desus des nuages, les applaudissements de Père Céleste. Je t'embrasse
RépondreSupprimerCot cot cot !!! Frrrouuu frrouuu ! Glou-glou-glou ! Cocorico !
SupprimerOh lala ! je rougis de la crête !
Viens dans ma (basse)-cour, ma poulette,
on va danser
le Rock and roll des gallinacés...
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Merci pour ce billet très jouissif !
RépondreSupprimerJe me souviens d'une définition de mots croisés la bannière :
« vierge et mère » = Supérieure
côté petits-enfants, l'un d'eux, à la visite médicale :
— l'infirmière : « comment tu t'appelles ? »
— Le petit-fils : « Axel »
— l'infirmière : « Axel comment ? »
— Le petit-fils : « A.X.E.L. »
Trop mignon ce petit Axel. Les enfants sont confondants et fondants bien souvent. J’ai adoré bosser avec eux toute ma vie c’est tellement rafraîchissant !
SupprimerQuant à définition n’était-elle pas de Guy Brouty, le verbicruciste attitré du Monde et de Télérama ? Il en avait de si savoureuses…
Défaut d’allumage joint à une panne des sens…
Frigidité. Ça marche aussi avec Impuissance 😁
Belle journée mon Alain
Traîtresse d'école, j'aime beaucoup 🙂
RépondreSupprimerEn tant que traîtresse d'école as tu une idée pour la traduction de "la main tit tit" ? Un de mes fils parlait souvent de la main tit tit !... Je n'ai jamais compris et lui ne s'en souvient pas. 😘
La main tit tit ? Ça rime avec instit mais à part ça je ne vois pas …les enfants ont parfois des expressions étranges. Quand j’étais enfant, je parlais du « train bizibal » ma mère me l’a rapporté des dizaines de fois mais je ne me souviens pas du tout de ce que ça pouvait bien vouloir dire…
SupprimerMerci à vous et à vos commentateurs pour ce billet.
RépondreSupprimerN'étant pas douée pour les jeux de mots, laids ou pas, je ne peux apporter aucune pierre à l'édifice.
Snif et bonne fin de dimanche.
Mme Chapeau.
Jeux de mots laids…n’en est-ce pas un ? Ne vous dévalorisez pas Madame Chapeau. Relisez les œuvres de Philippe Geluck, son chat est un modèle d’inspiration pour les pannes d’humour textuel…
SupprimerJe vous embrasse
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Merci pour votre gentille réponse.Si aime ça, on peut aussi écouter Stromae ...
SupprimerMme Chapeau.
J’adore Stromae. Je vais le repenser sur ses textes.
SupprimerMerci madame Chapeau
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Non seulement tu es la digne fille de ton père mais aussi la nièce à Tonton Joe ! Bises !
RépondreSupprimerAh zut ! J'ai oublié un ton à ton tonton...
SupprimerTonton, ton thé t’a-t-il ôté ta toux ? M’avait appris ma grand mère qui adorait les virelangues. Et Boby Lapointe. Ta katie t’a quitté.
SupprimerJe suis tombée dedans quand j’étais petite et je crois que mon tonton Joe aussi.
Bisous mon boss
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Kiki la cocotte avait pour amant coco le concasseur de cacao. Kiki la cocotte voulait un caraco kaki avec un col en caracule, mais coco le concasseur de cacao n'avait que des caracos kakis sans col en caracule et des cols en caracule sans caraco kaki. Le marquis caduc et concave conquis par le caquet coquin de kiki la cocotte, compris qu'un caraco kaki sans col en caracule et qu'un col en caracule sans caraco kaki feraient un caraco kaki avec un col en caracule. Et c'est depuis ce jour là que coco le concasseur de cacao est cocu.
Supprimer:)
Tonton, Tatie Anna tète t'elle toujours (comme de nuit) la pipe à pépé devant sa télé mater un Tati ?
SupprimerJe vous l'accorde, c'est très moyen... 😀
@gemini cricket
SupprimerTu me rappelles ce joli film ou Vincent Lindon déclame ce texte à Sophie Marceau…un moment d’anthologie avec un beau baiser de cinéma en prime…
@Julie
SupprimerMais non c’est très bien cette double allitération en « p » et « t ».
Avec un peu d’entraînement tu obtiendras de beaux effets:
on terrible tombeur tout attendri t’attend dans ton lit. Tout en théorisant sur tant de tendresse, tu t’avances à tâtons, attirant son regard transparent, sur tes tétons titillés, pointant ta putative excitation. Ton attitude détachée terrasse le jeune étalon, tu t’entêtes à le tenter, tu te soumets timidement, tu tutoies les turpitudes du désir. Tu t’acquittes intimement de ta dette, tu t’adonnes à ton tyran. Tout en toi n’est que tentation, le tremblement de ton titanesque plaisir, est à peine tu par le tintamarre des gouttes de pluies qui tambourinent sur le toit. Tu t’évades, tu t’enivres, tu t’étends, tétanisée. Le tonnerre retentit…tu t'éveilles...
Bisous
« Ton* terrible tombeur » bien sûr !
SupprimerEt ce texte va encore turlupiner notre ami Gemini, si l’on en croit son dernier commentaire sur le tien… 😁
Waouh, Maîtresse, quelle tirade... je suis scotchée ! Apportez-moi un whisky 😀
SupprimerDis donc excellent ! Tu fais des progrès de commentaire en commentaire !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Que de bonnes blagues, j'ai apprécié Célestine, un peu de peps dans l'air glacé de ce matin ça fait du bien ! Ton père savait faire rigoler la galerie !
RépondreSupprimerMon parain qui imitait la vache qui rit et chantait comme dans les années 20 et roulait les RRR nous enchantait !
RRRosalie elle est parrrtie; si tu la vois rrramène la moi !
Ah oui Marine, mon père amusait la galerie. Son humour était sans doute un bouclier précieux contre les aléas de la vie, et la tristesse de certaines situations, je l’ai compris quand il a quitté ce monde…
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
J'avais pris cette habit tu de m'approvisionner au Roy d'Epate pres du Bus't Des Cartes....
RépondreSupprimerChe main faisant, je vis au bout long une Et toile phi lente , brillant au firme amant
, et Ç tais toi..
Ces leste In.
O brie hante Lu mi aire !
Merci pour ce fromage d'Holande
Bi sous
Serais-tu le roi du raie bus ? Remarque ça rime avec Petrus.
SupprimerLe roi d’epates ça ne serait pas en Panzanie, par hase art ?
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Formidable cavalcade ! Je l'encadre, ce billet (qui est tout sauf noir de saumure) !
RépondreSupprimerEt merci de m'avoir mêlé aux grands oncles qui nous réjouissent !
Bises et bonne semaine !
Ah mon oncle ! Ravie que tu aies aimé mon billet spécial dédicace à ton grand talent!
SupprimerComme quoi tu n’as pas misé sur le mauvais cheval en m’adoubant comme nièce. Ménage ta monture, je te garde dans mon manège.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Voila un billet très drôle et intelligent ! Merci pour les cumulets verbaux.
RépondreSupprimerAprès la cavalcade de l’oncle Joe, les cumulets arrivent à point nommé et a bride abattue.
SupprimerMerci petite miss
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je me suis bien amusé à lire ton billet!
RépondreSupprimerJe suis nul pour faire des jeux de mots, alors-là: bonheur!
Ça fait du bien ces petites entorses phoniques qui nous offrent une foultitude de sens aux sons contenus dans les mots.
J'aime. Bises Frangine.
Ravie de t’avoir fait sourire.
SupprimerJe suis certaine que tu te déprécies en disant que tu es nul.
Les poètes jouent avec les mots c’est bien connu.
Rien que l’expression « entorse phonique » est un petit bijou.
Bijou ! Euh bisou !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je crois bien que je ne pourrais pas vivre sans jeu de mots, cela fait partie de mon quotidien. Comme toi je suis tombée dedans avec mon père et aujourd'hui encore, je l'entends rire si je relis le dernier recueil de calembours qu'on s'était envoyé peu de temps avant son départ sur la lune. Entre autres, et spécialement pour toi: On ne dit pas "la maîtresse d'école" mais "l'institutrice prend l'avion".
RépondreSupprimerEt tu savais ce que cache la chanson "il court il court le furet" ?
Myo
Oh oui, je connais l'histoire graveleuse de ce curé, et de sa contrepèterie...
SupprimerMerci pour le florilège qiue tu m'as envoyé par mail... j'en ai fait profité mes autres amis.
Kisses sister
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je ne suis pas très bonne à ce jeu-là, par contre, mon frère excellait dans cet art, comme dans d'autres d'ailleurs. Il adorait les calembours, les contrepèteries, les blagues (qu'il racontait divinement bien !).
RépondreSupprimerMerci de ce billet tout plein de sourires et d'éclats de rires, Célestine. Bisous.
Tant mieux si je t'ai rappelé un bon souvenir de ton cher frère.
SupprimerJe t'embrasse ma douce amie.
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Délicieux sujet bien couvert, Ah! billet pour l'hiver !
RépondreSupprimerQuelle chance d'avoir eu un père aussi joyeux, joueur !
J'ai adoré cette exposition de titres dans une librairie parisienne et je songeais, en souriant (et sans méchanceté), qu'il s'agissait peut-être là du meilleur du livre et, dans bien des cas, la seule chose que l'auteur présumé a réellement écrit.
Quand on songe que Félix Faure, quatre ans seulement après son érection, suscita (était-ce une injonction ? et Ita le petit nom intime de Marguerite, la pompe funèbre ?), un jeu de mot mortel mais passé à la postérité "Il voulut être César, il ne fut que Pompée !".
Le Figaro, le lendemain de sa mort, s’étonnait ironiquement et subtilement qu’un « quinquagénaire, vigoureux et droit, était si près de la mort »
Tu cites Prévert, mon remède préféré contre le bourdon, "Dans chaque église, il y a toujours quelque chose qui cloche"
N'oublions pas la contrepèterie, ce souffle discret qui snobe les profanes et tonitrue de manière résolue.
Le résistant avait droit, lui aussi, à l'hilarant.
En écoutant Radio Londres, le plaisir savait être double, résoudre l'énigme du jeu de mots et sourire en songeant à la speakerine de la radio britannique, appliquée dans sa diction et qui ignorait ce qui l'aurait fait rougir: ": Ici Londres ! "J'agace les rouSSettes avec mes bouts de Pain.» (je répète : "J'agace les roussettes avec mes bouts de pain")
Sans doute aurait-elle ri. Les jeux de mots sont universels, pour les anglophones ce sont les puns.
"Having sex in an elevator is wrong on so many levels"
"Did you hear about the man who lost his left side? He’s all right now."
"After the birth of your child, your role in life will become apparent."
Assez bavardé, il ne faut pas abuser des bonnes choses.
Dans un bécot, "l'important c'est la dose"
Merci Célestine !
@Rom : "Time is flying when you're having fan." :)
Supprimer@Julie
SupprimerExcellent jeu de mots anglais !
Muahaha.
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@Rom
SupprimerAh billet pour l'hiver : joli !
Jolie aussi la parenthèse sur Felix Faure...Ce cher homme déclencha des jalousies, tout simplement. Mourir dans les bras d'une belle, n'est-ce pas la plus douce des morts ?
J'adore ta définition du contrepet.
Et ton penchant pour Prévert, ta cloche et ton bourdon.
Bref, j'adore ce commentaire foisonnant dans son ensemble.
Merci merci pour tes passages toujours appréciés, cher ami.
Mais où trouves-tu le temps d'écrire de tels longs textes ?
L'important c'est la dose ? On dirait une pub pour un vaccin... ;-)
Ton com, j'en suis baba, ô Rom !
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bécot, Bécaud, l'important c'est la rose :-)
SupprimerOui oui, j'avais bien saisi ^^
SupprimerJe te taquinais simplement...
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Sais-tu que normalement, les titres comme ça, c'est moi qui les fais ?
RépondreSupprimerNormalement, normalement...Y a-t-il quelque chose de normal ici bas ? ;-)
SupprimerEt pis, pour donner dans la paraphrase, tu n'as pas le monopole du calembour, que je susse. :-) :-)
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J'adore, j'adore! Chez nous aussi, c'était comme ça, les surnoms bien trouvés, les déformations de mots (Je me fous de mon dentier au lieu "du monde entier", la chouproute-purée...) avec ma mère et mon frère, et maintenant rebelote avec Adolfo, l'autre jour nous avons mangé du pollo imbranato (au lieu d'impanato) et ce pollo nous a mis dans une humeur superbe! Bienheureux sont les ceux qui rient :) Ciao sorellita!
RépondreSupprimerJe t'imagine bien te bidonner avec Adolfo...
SupprimerCe qui est drôle, c'est que les jeux de mots ne sonnent que dans une seule langue. Ça leur donne un petit côté mystérieux.
Ton histoire de poulet m'a rappelé une anecdote croustillante qui ne sonne qu'en fançais, évidemment.
C'est l'histoire d'un gars qui écrit un article dans le journal sur une personnalité locale.
Et puis il s'aperçoit qu'il a fait une grosse coquille. Aussi, dans le numéro suivant, publie-t-il un correctif. Mais il fait une coquille encore plus grosse.
"C'est par erreur que nous avons écrit la semaine dernière que monsieur Yves Le Cloarec était pêcheur de poules.
En réalité, il fallait lire lécheur de moules.
😃
!!!
Supprimerjoli! mon père aussi me faisait rire avec ses jeux de mots et c'est sûr qu'on en garde quelque chose pour le reste de la vie
RépondreSupprimerAbsolument !
SupprimerTon père doit rigoler avec le mien là où ils sont... :-)
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Coucou Célestine, ton billet est merveilleux et tu jongles magnifiquement bien avec les mots. J'aime tes jeux de mots, superbe!
RépondreSupprimerLorsque ma cadette avait trois ans et venu vers moi un matin car j'étais en train de me lever. Elle me regarde et me dit...maman, tu as les cheveux tous gribouillés... j'ai trouvé mignon.
Merci encore Célestine, ton billet fait du bien.
Gros bisous et bon mardi après-midi ♥
Un jour, ma mère a dormi dans la chambre de ma fille qui avait cinq ans.
SupprimerJe savais que ma mère ronflait un peu quelquefois.
Le lendemain matin, je demande à la petite si elle a bien dormi.
Oh oui, même si mamie, des fois, elle ronronne. :-)
C'est mignon hein ?
•.¸¸.•*`*•.¸¸❤️
Quel festival de bons mots !!Quand il était petit, l'un de mes petits fils confondait tee shirt et p'tit short ! Voilà bien un texte réjouissant !
RépondreSupprimerComme tous les pères ( et grand père) tu dois avoir un sac plein de mots d’enfants. C’est toujours craquant …
SupprimerBisous Daniel
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Coucou. Merci pour ce billet rafraîchissant. J'essaie toujours de faire des jeux de mots pendant les colloques au travail mais... cela ne fonctionne pas. J'ai en face de moi des gens sérieux qui se la pètent et qui ne comprennent rien à rien. Je continue pourtant et je ris toute seule. La langue française est tellement vivante quand on sait en jouer. Bises alpines.
RépondreSupprimerTu as du courage de supporter ces collègues qui se la petent et ne rient jamais…
SupprimerHeureusement tu as une vie intérieure …
C’est quand la retraite ?
Quoi ? J’ai dit un mot qu’il fallait pas dire ?
:-)
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Lors de l'inhumation de mon René à moi j'ai prononcé deux ou trois pauvres phrases dont le fait que je chérissais les heures de franche rigolade avec lui mon Papa, franchement je n'ai jamais retrouvé un mec avec qui ça le faisait aussi bien. Qu'est-ce qu'on a été cons, qu'est-ce qu'on à ri à propos de tout à propos de rien...
RépondreSupprimerBleck
C’est beau comme tu parles de ton dabe… je suis sure que tes pauvres mots ont tiré des larmes à l’assistance.
SupprimerJ’espère qu’il se fendent la poire les deux René, là où ils sont.
Une bise
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah les jeux de mots, perso j'aime bien cet exercice!...De bien belles trouvailles dans les commentaires en tout cas. C'est agréable de voir qu'il y a encore des gens qui pratiquent l'humour avec autant d'inspiration...
RépondreSupprimerTu es le bienvenu quand tu veux, cher Jonavin. J’ai aimé écrire ce billet joyeux, l’humour de mon père m’a accompagnée et aidée toute ma vie. C’est comme un hommage que je lui rends.
SupprimerAmicalement
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J'ai aussi hérité, de mon père, d'avoir parfois un bon mot. Il en disait peu, mais très souvent, justes. De ma mère, sans l'égaler, et sans le savoir,l'écriture. J'ai toujours aimé les jeux de mots. Puis un jour, je suis tombé sur un livre de Raymond Devos, j'ai été séduit. De temps à autre, il m'arrive de côtoyer un alter ego... et puis un jour, j'ai trouvé une perle...
RépondreSupprimerJ'ai honte : une semaine pour réagir à ce merveilleux commentaire...
SupprimerTu parles d'une perle. Enfin, je sais que tu connais mon emploi du temps de ministre (en plus amusant) et que tu ne m'en veux jamais de mes retards.
Merci de tout coeur cher Didier.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Deux choses (ni promises, ni dues )
RépondreSupprimerHier, journée froide et pluvieuse, un extrait du documentaire "Jennifer Lopez : Halftime" assurait sa propre promotion.
Je me suis alors souvenu de la réaction drôle et touchante de ma nièce, alors âgée de 5 ans.
La pauvre pitchoune, qui était grassouillette, s'est mise à pleurer, après avoir entendu la chanteuse se faire insulter: "Pourquoi ils disent qu'elle est obèse, Jennifer?"
J'ajoute un quatrième mousquetaire (avec un D comme Dumas), aux trois autres (très) fines lames, Pierre Daninos, qui confia à ma jeunesse la découverte des carnets très british du major Thompson.
Certains de ses bons mots sont tellement connus et répétés qu'ils gomment leur auteur.
“Nous étions au bord de l’abîme, mais depuis, nous avons fait un grand pas en avant.”
“As de pique - Des quatre as, le plus mal fichu.”
“La seule façon sûre de prendre un train, c'est de manquer le précédent.”
“Quand le cœur d'un grand homme cesse de battre, on donne son nom à une artère.”
“Asseyez-vous, j’ai tout votre temps.”
“Je me méfie toujours des gens qui vous disent : “Je n’irai pas par quatre chemins”. Ils en prennent généralement un cinquième, plus long.”
Bon début de semaine, chère Célestine.
Merci beaucoup, cher Rom, pour tous ces jeux de mots de Pierre Daninos. Toute mon enfance, ces carnets du Major Thompson...
SupprimerTendresses (tardives comme les vendanges, mais sincères)
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ma maladresse m'a rendu transparent (anonyme) sur le commentaire précédent.
RépondreSupprimerToi, transparent ? Ton style est reconnaissable entre mille.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Autant j'adore les mots d'enfants, autant pour le reste, j'ai l'impression qu'il me manque une case, ou une vis, ou un boulon, pour apprécier, et je le regrette vraiment.
RépondreSupprimerAu moins, tu ignores le moment de solitude qui succède à la trajectoire d'un jeu de mots qui rate sa cible (et les plus adroits, les plus subtils sont souvent les plus difficiles à diriger). Il ne faut surtout pas, c'est encore pire, essayer de les justifier, de les décortiquer, on ne donne pas la recette d'un plat que les autres trouvent fade :-)
Supprimer@Pastelle
SupprimerIl est vrai que c'est une tournure d'esprit particulière. Je le constatais chez mes élèves : certains étaient complètement étanches à l'humour des mots. D'autres, au contraire, semblaient être tombés dans la marmite...
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@Rom
SupprimerTu as bien raison. D'ailleurs, as-tu remarqué celui-là ? « Ton com, j'en suis baba, ô Rom.»
Je me suis demandé s'il avait atteint sa cible... ;-) ;-) ;-)
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Comment ne pas le remarquer, chère Célestine ?, c'était du gâteau ! :-)
SupprimerMouarf ! Nous sommes connectés, alors...
SupprimerEntre nous, ça passe crème.
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J'ai vu il y a un moment de cela, au palais des congrès, une comédie musicale avec excuse moi du peu : Garou, Julie Zenatti, Patrick Fiori, Hélène Ségara, et Daniel Lavoie, cette comédie s'intitulait : "Notre Edam de Paris", l'histoire d'un faux mage (de Hollande) qui veut séduire une jolie manouche, mais le bossu qui tire sur les cloches, est amoureux de la chèvre de la bohémienne, enfin tout ça finit très mal.
RépondreSupprimerBien sûr mon com. est en rapport avec le titre de ton bifton : "l'edam aux camélias".
Jolie, la transposition fromagère de Victor Hugo.
SupprimerCe serait Eugène Sue, on aurait pu parler des « Munsters de Paris »...
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Période de Pâques : question d'une petite fille à sa mère, (notre vendeuse en pâtisserie) : Mais pourquoi on appelle tous les agneaux "Pascal" ? Est-ce que quelques leçons de catéchisme lui auraient donné la réponse ?
RépondreSupprimerLaclos, mon meilleur ami depuis longtemps, qui m'arrache quelques cheveux, quelques exclamations d'admiration et de dépit quand je ne comprends pas assez vite ses jeux de mots.
Tu as bien dû te marrer avec ton père ! Un champion plein de malice.
L'innocence des enfants : Guillaume qui m'a reproché, un jour, d'avoir "trop zoné" la salade alors que moi, je la trouvais "assez zonée"!
Ou Clément, 4 ans peut-être, qui nous a appelés, nous, ses grands-parents, par nos prénoms. Ah bon, c'est comme ça que tu nous appelles, maintenant ? Ben oui, depuis le temps que je vous connais !
Et un jour où je le gronde puisqu'il a inondé la salle de bain et que je lui dis "qu'on ne sera plus copain s'il continue comme ça", sa réponse qui me chavire encore : alors, déjà qu'on ne peut pas se marier !.." C'était presque la fin du monde !
Trop marrant ! Moi aussi, je note, je collectionne, j'emmagasine pour les jours moins fastes en rires. Et je leur rappelle, à mes grands et mes petits, leurs petits mots qui nous faisaient fondre de bonheur. C'est curieux, ils en redemandent !
Je me suis régalée à te lire. Gros bisous, je file au dodo, sport demain, il faut que la "vieille" tienne sa place, les gars ne me font pas de cadeaux !
Merci pour ce feu d'artifice, ce bouquet de bons mots, chère Marie-jo.
SupprimerTu as raison de les collectionner, ce sont de petits bouts de bonheur inimitables.
Gros bisous, moi aussi je me suis régalée à lire ton commentaire.
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En ce moment il m'est impossible de rire , je suis loin des calembours , blagues diverses qui nous éloignent de notre destinée : faut dire que je travaille le rôle du grand inquisiteur dans Don Carlo , le grand inquisiteur c'est celui qui arrive avec une voix de basse profonde et un air constipé accusateur , le rabat-joie : " repentez vous Mortels , vos rires et vos péchés au ciel vous seront décomptés ! " .
RépondreSupprimerMais bientôt je pourrai rire à nouveau , je suis pressé , car comme disait un grand tragédien de notre beau pays :
" le désir s'accroît quand l'effet se recule " ( Pierre Corneille , lire cet alexandrin assez vite ou du moins pas trop lentement )
Toi dans un rôle de rabat-joie ? Non mais je rêve.
SupprimerTu dois être bien imprégné de ton rôle, alors, pour penser que les blagues nous éloignent de notre destinée. Celle-ci est-elle donc de mourir d'ennui et de tristesse ?
Pour ma part, je préfère rire, même si je dois aller en enfer.
Et le bon mot de Corneille, son alexandrin coquin, se nomme un kakemphaton. Rien que ce mot me fait sourire.
Reviens, marco, ne te laisse pas happer par le grand Inquisiteur !
:-))
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L'alexandrin est : " Et le désir s'accroît quand l'effet se recule" , j'avais oublié le "Et "du début .
RépondreSupprimerOui, un beau kakemphaton...
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Pour mon rôle du grand inquisiteur de Don Carlo à " Beaumont le vicomte" , j'avais vraiment "le choix dans le date" !
RépondreSupprimerHem hem... tu n'es pas rouge de honte, là ? 😂
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Si je suis rouge de honte car j'ai encore fait une faute , ce n'est pas "le date" , mais "la date" ! Mon père avait donc raison lorsqu'il disait que je ne serai jamais fiable et sérieux ! Malheur et misère !
SupprimerTu as joliment bien détourné l'objet de ta honte. Pas fiable, peut-être, mais malin.
Supprimer« Le date », ça m'a rappelé cette pub pour une friandise où la fille disait avec un accent anglais ravissant « C'est bon le honte »
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kakemphaton , super ce mot !
RépondreSupprimerLe grand inquisiteur , il faut que je le chante dans quelques semaines, aïe aïe aïe , la trouille ! Moi qui ai toujours l'oeil rieur , et la blague au coin de la bouche !
https://www.youtube.com/watch?v=ZghuRZXswp0
rire ,
Je ne savais pas que tu chantais l'opéra. Respect !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Non je prends juste des cours de chant et dois préparer cet air pour dans deux semaines ..... rire .
SupprimerJe suis allé voir , j'ai trouvé : "Le kakemphaton est une figure de style. Ce nom vient du grec "kakos" ("mauvais, laid") et "emphaton" ("parole"). Elle désigne "la rencontre de sons d'où résulte - involontairement - un énoncé ridicule, déplaisant, ou - volontairement - tendancieux".
RépondreSupprimerJe vais essayer d'en créer, en tout bien tout honneur comme l'a fait Pierre Corneille !
Amuse-toi bien, alors. J'ai hâte de lire le fruit de ta création. 😘
Supprimermoi ça m'a fait rire , mais c'était peut-être déplacé ?
RépondreSupprimerhttp://la-bonne-vie.eklablog.com/
http://la-bonne-vie.eklablog.com/les-kukemquois-a213892849
RépondreSupprimerpour être précis