J'étais en vacances dans le Luberon.
Un bel endroit. C'est drôle, quand on a quitté une activité professionnelle, le mot vacances paraîtrait presque incongru.
C'est vrai, quoi, tu es toujours en vacances, Célestine...
C'est vrai, quoi, tu es toujours en vacances, Célestine...
C'est à la fois vrai et faux, mes petits agneaux de lait !
Car enfin...Cet air neuf qui change du quotidien, ces longues promenades dans des paysages nouveaux, cette ambiance festive retrouvée, sur des placettes baignées de tilleul et de lumière...Le cri des guêpiers, les enfants qui jouent, tard, quand le soleil prend tout son temps pour aller se coucher...C'est tout ce que j'ai toujours aimé dans le mot « vacances ».
Car enfin...Cet air neuf qui change du quotidien, ces longues promenades dans des paysages nouveaux, cette ambiance festive retrouvée, sur des placettes baignées de tilleul et de lumière...Le cri des guêpiers, les enfants qui jouent, tard, quand le soleil prend tout son temps pour aller se coucher...C'est tout ce que j'ai toujours aimé dans le mot « vacances ».
Là-bas, c'est beau partout. Vous me connaissez, non ? Vous me donnez trois chapelles nichées dans la verdure, des petites routes semées de coquelicots, un ou deux vieux châteaux, une rivière qui coule au milieu, et je suis la plus heureuse.
Les villages se perchent sur des rocs ancestraux, Bonnieux, Lacoste, Ménerbes... Ils portent des noms qui fleurent bon la Provence. Cucuron, la Bastide des Jourdans, Mérindol, Beaumettes, Saint Saturnin, la Bastidonne... Les maisons se serrent les unes contre les autres, dans un écrin de fleurs : valérianes, roses, pourpiers, campanules des murailles.
La végétation me rappelle la Toscane chère à mon coeur : cyprès, oliviers, chênes verts enchantent mes yeux. Ils soulignent les paysages de leurs feuillages élégants.
Les bories et les murets de pierres sèches de Gordes témoignent d'un passé ancien de travailleurs de la pierre. Il faut avoir visité Oppède-le-Vieux pour comprendre cette omniprésence du minéral faisant corps avec l'aridité de la garrigue. Et le combat pour l'eau, de plus en plus crucial à chaque nouvel été.
De l'eau pourtant, j'en ai vu beaucoup à Fontaine de Vaucluse, verte, sublime sous les arbres centenaires. Et à l'Isle sur la Sorgues, la Venise provençale. Ses petits canaux et ses antiquaires.
Les carrières d'ocre de Roussillon étaient superbes après les pluies de printemps. A Lourmarin, l'ombre du Mistouflon rôde toujours. Et le marché d'Ansouis tient ses promesses, comme dans cette vieille chanson de Bécaud qu'aimait mon père.
J'ai vu, à Saint Hilaire, une ancienne Abbaye, moins connue que son illustre soeur de Sénanque, mais tout aussi belle.
Et tout cela, sans la cohue oppressante de l'été dans ces lieux chargés d'histoire. Un vrai bonheur.
J'étais en vacances dans le Luberon.
ah le Luberon! tant de beauté!
RépondreSupprimerUn véritable concentré !
SupprimerMais je suis sûre que tu le connais.
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C'est parfait, je me promène avec toi ! C'est gentil de nous montrer les photos :-)
RépondreSupprimerSi la perfection existe, elle doit se nicher quelque part dans le Luberon.
SupprimerJ'espère juste que les deux photos de moi ne l'altèrent pas trop (mouarf mouarf ! d'aucun dirait que je fais l'âne pour avoir du son. Ou du foin.) ;-)
Mais ne pas montrer quelques photos serait cruel, ma Biche !
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🙂
SupprimerDe si beaux villages simples et somptueux à la fois, dans le Luberon qui débute par le Vaucluse, et que je reconnais dans son coeur historique. Tu n'étais pas si loin de chez moi, et pendant ce temps, le jour de la fête des mères nous étions près de chez toi dans la Drôme provençale, au Palais idéal du Facteur Cheval. Un régal également, une découverte pour une vie étonnante ! mais revenons à toi qui as visité de par ses ruelles caladées ces sites perchés ou adossés à leurs massifs,leurs pitons...ces villages réputés hauts en couleur, comme Gordes établie sur les hauteurs,avec ses passages souterrains, ses secrets, Lourmarin l'incontourbable où dort pour toujours Albert Camus,et où l'ombre d'Henri Bosco rôde encore, Oppède le Vieux, et Ménerbes cité "plus beau village de France", et tant d'autres que je connais comme ma poche.... Bonnieux, Buoux, et tous ceux qui forment cette belle région aux maisons bourgeoises ses mas et ses bastides où l'on aime se ressourcer respirer l'air vivifiant des paysages qui portent encore en eux l'Histoire, le coeur de la Provence... constituant la pierre et la lumière du lieu, et ses ocres de Roussillon ou de Rustrel, leurs pigments aux couleurs fascinantes ! tu es partie à leur rencontre, et tu as rencontré toutes leurs beautés, leurs traces, Célestine ; heureuse pour toi !
RépondreSupprimerMerci pour ce billet beau par ses photos et tes mots où l'on peut entendre, par temps de petit vent, pendant les soirées d'été les chants des troubadours qui magnifient les lieux et les décors de ces villages endormis à la place des jardins.
Je t'embrasse.
Ah ma chère Den, non seulement je n'étais pas loin de chez toi, mais je suis même passée dans ton village, faisant une petite incursion de l'autre côté de la Durance, afin de montrer à mon amoureux ce lieu si beau que tu m'avais fait découvrir, et qui mériterait un billet à lui tout seul.
SupprimerLe Palais du facteur Cheval me rend moins enthousiaste que les vieilles pierres de Ménerbes et Cucuron. Mais cela n'a rien de personnel : je n'ai juste jamais trouvé beau cet assemblage de cailloux, peut-être à cause de son côté "temple indonésien" qui ne me procure aucune émotion artistique. Mais je suis sûre que dans la Drôme des Collines tu as vu beaucoup de merveilles.
Merci pour ce complément magnifique à mon billet. La région n'a, de toute évidence, aucun secret pour toi.Je t'embrasse de même.
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On ne dira jamais assez combien la France est belle et diverse...
RépondreSupprimerDéjà sur notre seuil drômois un vert paradis , non pas de notre enfance, mais du quotidien, s'offre à nos regards saisis par la trame des verts feuillages transpercés d'éclairs comme mantille sous le ciel , haute lice holistique d'une nature généreuse , tisserande inspirée aux motifs abstraits enivrés de senteurs florales ,
alors la Provence ...!
puisque d'Elle il s'agit , je ferme les yeux ( c'est dommage parce que tes photos sont très belles), et voici qu'aussitôt je voyage parmi de nombreuses réminiscences ...
Merci Célestine pour ces images en balade et leur cahier de vacances
Lucile
Ah cette « haute lice » ravit l'esprit des amoureux des mots...D'autant que tu lui adjoins le mot holistique, pour parfaire son côté universel. C'est vrai que j'ai eu l'impression tout du long, de me trouver en face d'un tableau tissé de mille fils, coloré, envoûtant, et parlant au coeur comme à l'âme.
SupprimerC'est vrai que quiconque a mené ses pas dans cette région s'en souvient à jamais.
Moi, c'était en troisième, avec ma professeur de français que je n'oublierai jamais.
Merci pour ta participation, Lucile
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Longtemps j'ai profité des beaux jours de mai pour faire de jolies virées dans des lieux tels que ceux que tu décris. J'appréciais de pouvoir les visiter loin des foules et avant que l'été ne grille toute végétation.
RépondreSupprimerLas... désormais chaque année, ou presque, mon activité professionnelle ne me permet plus de me libérer. Alors je commence à regarder avec envie le moment de la retraite approcher et tu m'en (re)donnes un avant-goût ici.
Merci :)
Je te souhaite les mêmes enchantements.
SupprimerLe travail mène à tout à condition...etc etc...
Visiter de telles merveilles loin des périodes de foule est en effet un extraordinaire privilège.
Ravie de t'avoir entrouvert des horizons... ;-)
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Il en a de la chance, le Luberon !
RépondreSupprimerToujours flatteur mon cher Boss.
SupprimerMais je crois que cette chance, je l'ai aussi.
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Merci pour ce beau partage et gros bisous ♥
RépondreSupprimerBisous ma Cathy
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je connais bien ces endroits-là...
RépondreSupprimerje les ai visités plusieurs fois au printemps,
en avril, quand il n'y a presque personne.
Un enchantement...
Tu me donnes envie d'y retourner !
Bises touristiques.
Ce billet ne travaillait pourtant pas pour une agence touristique...
SupprimerMais il est vrai que mon enthousiasme naturel sait me faire trouver les mots pour donner envie...
Bises joyeuses
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Tu ne travailles pas pour une agence touristique et c'est bien dommage pour elle car tu as un don certain d'éveiller la curiosité pour des paysages et des lieux culturels.
SupprimerTu serais même capable de donner envie de visiter des chefs-d’œuvre de l'architecture stalinienne comme le palais de Ceausescu :-)
C'est dire si le Lubéron a de la chance de t'avoir comme ambassadrice auto-proclamée.
Ti bacio forte
Je me souviens de Gordes, tu as bien fait de prendre des vacances.
RépondreSupprimerC'est important de changer d'air de temps en temps...
SupprimerSurtout qu'on ne peut pas dire qu'on en ait abusé ces derniers mois...
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Tous les villages que tu cites, je les ai visités avec bonheur car tout est beau dans le Luberon. Tous ces villages perchés ont fière allure tout comme ceux au bord de l'eau. Je suis contente pour toi.
RépondreSupprimerMerci pour tes belles photos en partage et ton billet enthousiaste :-)
Bisous ♥
Je crois que la région bénéficie d'une publicité faite par les « people » et qu'elle est connue jusque très loin ... y compris chez toi, ma chère Denise.
SupprimerMais franchement, c'est beaucoup moins surfait que saint-Tropez, par exemple...
Les villages ont su garder leur cachet authentique.
Bisous belle rêveuse
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C'est superbe ! Merci de nous faire voyager avec toi.
RépondreSupprimerBises.
Lydia (https://promenadesculturelles2.wordpress.com)
Merci d'apprécier, Lydia.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Des lieux, où j'ai traîné mes espadrilles, des chemins que j'ai arpentés avec mes chaussures de rando, des fontaines où j'ai trempé mon pinceau, des oliveraies où j'ai assisté à la cueillette.....tu penses bien que ton post du jour me parle ; tant et si bien que , sur mon calendrier, quelques petites croix neutralisent dans mon emploi du temps les jours où je serai là-bas.
RépondreSupprimerA noter en ce moment à Aix une superbe exposition à ne manquer sous aucun prétexte Zao Wou Ki.
Je t'embrasse.
Je ne désespère pas de me retrouver à Aix (ou ailleurs) avec toi, ma Chinou.
SupprimerIl suffit juste d'y croire, n'est-ce pas ? ;-)
Je ne connais pas Zao Wou Ki, mais je gage que ce doit être magnifique.
Gros bisous
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Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerTu as donc passé de superbes vacances. C'est vrai que ce n'est pas parce qu'on a quitté la vie professionnelle qu'on n'a plus de vacances...
Bises et bonne soirée,
Mo
Ben oui, il me semble que c'est évident...Mais certaines personnes ont l'esprit obtus.
SupprimerLes vacances, pour elles, ne sont réservées qu'aux gens qui travaillent...
En tout cas, ça m'a fait le plus grand bien, après ces épisodes de confinement à répétition...
Bisous chère Mo
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Lover des grandes vacances, voleur de grandes vacances
RépondreSupprimerCertains esprits chagrins se font à l'avance tout un patacaisse de cette période de grandes vacances post activité professionnelle. Ils ont peur de ne plus être ce statut social qui semble les définir , du moins à leurs yeux.
Ô combien ils ont tort !
La vie détachée du stress continuel commence alors.
Bien sûr tout le monde n'a pas les mêmes moyens, les mêmes envies, les mêmes besoins....
Mais, qu'il est doux d'avoir le temps de se donner le temps souhaité, le temps de flâner dans le Luberon ou bien ailleurs ; le temps de regarder la nature, les paysages ; le temps peut-être comme Chinou de peindre une belle fontaine ; le temps de l'écoute, le temps de la rencontre.
Comme tu le soulignes souvent, c'est l'occasion d'apprendre de nouvelles choses.
Pour moi qui fus toujours amoureux de cette période tant attendue comme une rupture dans le flot jaillissant de la vie quotidienne du lycéen, de l'étudiant....... moi, le lover des grandes vacances, ces derniers temps je me transforme en voleur de grandes vacances :
Avec le rythme effréné des démarches et obligations qui se succèdent depuis que Marguerite nous a quittés....., je saisis au passage par la manche toute occasion de découvrir un champ nouveau de vie, de partage, de joie.
Et aujourd'hui je fais mien ton voyage dans le Luberon. Tes Cyprès m'en rappellent d'autres.
Tes visites m'appellent vers d'autres villages, d'autres fontaines, d'autres châteaux.
Tiens, je viens de regarder un documentaire sur l'Irlande que j'aimerais tant decouvrir.....
Merci donc pour ce récit de vacances qui me réjouit le coeur.
Bises
Lover/voleur...le jeu de mots est osé. certains diraient qu'un lover est un voleur de coeur...
SupprimerLe statut social...Ah, tiens tu me rappelles une anecdote. Un jour - je venais d'arrêter ma carrière depuis quelques mois - une âme bien intentionnée me dit : « Mais cela ne vous fait rien de ne plus avoir de vie sociale ?
- Je vais vous dire une chose : il y a eu des moments, dans ma vie de directrice d'école, où ma seule vie sociale était cantonnée à recevoir un employé de mairie pour lui indiquer quelle ampoule il fallait changer, ou la dame de service qui tenait absolument à me montrer dans quel état des élèves avaient laissé les toilettes. Le reste du temps, je le passais seule, à remplir des dossiers et des enquêtes, seule au monde dans un petit bureau sans voir personne...Alors ma vie sociale...je la trouve beaucoup plus riche depuis que j'ai pris ma retraite ! »
Bref, ne jamais écouter les grincheux...
Et merci pour ton témoignage.
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Une superbe région où j'ai passé des vacances délicieuses en 2015.
RépondreSupprimerC'est amusant, je fais exactement le même photo dans le village de Roussillon avec toute cette terre ocre.
Je me réjouis que tu aies pu passer si beau séjour.
En 2015...Cela semble hier et pourtant, qu'est-ce que j'étais loin, à l'époque, d'imaginer ce que serait ma vie d'aujourd'hui : une suite d'enchantements...
SupprimerLe village de Roussillon est une vraie splendeur : certaines falaises d'ocres ressemblent à des tableaux de maîtres. Les nuances en sont subtiles et délicates.
Merci pour ton réjouissement mon fillot. (cf les Visiteurs)
Bises mon Babar
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Boom mon cœur a fait boum
RépondreSupprimerChère Célestine tu as marché sur mes pas,
non , plus exactement tu m’as fait faire un bond en arrière de
30 ans
J’ai eu le même bonheur de faire ce ce même parcours, pris les presque identiques photos,
( sauf Tes coquelicots qui n’avaient pas encore vu le jour mais dont je pense la graine couvait sous mes pas ☺)
Ce gour d eau , où quasiment le même , où je me suis baigné nue,
Cucuron où je me suis engagée imprudemment en voiture
Lourmarin où Camus se repose
Cet ocre où j ai teinté définitivement mes basquets
Et puis tant d’autres
Et le bouquet final , le plaisir de te voir en forme,
Non je te le dis mon cœur a vraiment fait boom boum à la lecture de ton billet
merci d'avoir fait resurgir ce beau souvenir enfoui
bises affectueuses
Heureuse de te lire en forme, avec ton petit coeur qui fait boum.
SupprimerJe comprends pourquoi ce voyage t'a marquée : quiconque marche dans ces paysages grandioses et voit ces fontaines mystérieuses en sort marqué à jamais.
Merci de tout coeur pour ton enthousiasme, chère jak.
Il y a 25 ans, j'avais parcouru ces lieux avec mes trois enfants. j'étais une jeune maman pleine de fougue à l'époque.
Voici https://2.bp.blogspot.com/_CIBCISWKVJg/TNneyJjoWEI/AAAAAAAAEA8/pV4KI6NP8jc/s1600/celestine0003.jpg de ce moment-là. Je n'ai (presque ) pas changé ! ;-)
Je t'embrasse.
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Je fais partie des quelques privilégiés qui vivent dans les endroits où beaucoup viennent passer leurs vacances…c’est bon de se voir ainsi rappeler toutes les merveilles qui nous entourent. Belle évocation, chère Célestine, je vous embrasse.
RépondreSupprimerPs : nous aurions presque pu nous croiser 😉
Vous vivez dans un endroit merveilleux, monsieur Jacques.
SupprimerEt j'ai apprécié d'y mener mes pas, vous imaginant faire de même de temps en temps...
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Comme c'est beau ces coquelicots en bordure de route. La photo me rappelle l'ombrie.
RépondreSupprimerLe Lubéron,ça doit être une belle destination.
"Vacances, j'oublie tout plus rien à faire du tout"
Oui les coquelicots explosent en ce moment.
SupprimerIls s'invitent même dans mon jardin...
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Coucou. L'autre jour, je roulais et j'ai vu un superbe parterre de coquelicots. Flamboyants, joyeux, célébrant la vie. Le printemps est magnifique et tu as su en profiter dans cette belle terre du Sud. Merci pour le dépaysement ma chère frangine. Et j'espère que les vacances vont perdurer, d'une manière ou d'une autre. Dans le chant des enfants et des abeilles butineuses. Bises alpines.
RépondreSupprimerComme je suis toujours "en vacances" bien sûr qu'elles vont perdurer. D'ailleurs aujourd'hui, j'ai visité un château pas très loin de chez moi, et que je ne connaissais pas. Une manière de prolonger la magie des vieilles pierres...
SupprimerBisous ma frangine poète, j'aime beaucoup ta dernière phrase...
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Le Lubéron te va bien, je trouve ! Plutôt, c'est le sourire qui illumine ton visage.
RépondreSupprimerUn sourire qui vient de l'intérieur, pas d'artificiel ; d'ailleurs, il suffit de voir comment il irradie sur toute ta personne. Cela se sent dans tes mots.
Dans les quelques vacances que je me suis octroyées, il n'y a eu seulement deux lieux où je me suis fait la réflexion que je saurais y vivre. La côte sud de la Bretagne, et le Lubéron, justement.
Fontaine de Vaucluse, il y a si longtemps, les marchés de Provence, Manosque, Apt, ou Forcalquier, où résonnait la chanson de Becaud... Un passage obligé par les carrières d'ocre de Rustrel, que je reconnais sur tes photos, où mon fils s'était maquillé à la façon sioux ...:-)
Je ne terminerai pas sans parler de la superbe librairie de Banon, où j'ai eu les pires difficultés à m'extirper.(ici)
J'ai, à l'occasion, tâté l'ambiance d'un salon de coiffure, dans lequel j'ai conversé avec quelques autochtones. Après m'avoir pris pour un "touriste", un stranger, ont vus que je pouvais être d'ici... D'ailleurs, je m'y sentais bien ; c'est dire !
Je ne suis pas descendu plus au sud, un jour peut-être ...
Merci de faire partager tes vacances ; je sens que je vais en avoir besoin...
Ah la librairie de Banon...Chinou m'en avait envoyé une très belle représentation en aquarelle. C'est vrai qu'elle donne envie...Mais je n'y suis pas allée. Enfin, pas cette fois parce que je compte bien y retourner un jour.
SupprimerC'est vrai que c'est un endroit où l'on se sent bien : et moi, quand je me sens bien, ça se voit sur mon visage.
Je te souhaite des vacances aussi ressourçantes que les miennes.
Bisous du dimanche suivant (ben oui, je suis longue à la détente...) ;-) ;-) ;-)
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J'ai toujours beaucoup aimé les alpilles et toute la Provence, en lectures et en voyages émerveillés, mais je n'ai pas tout vu, comme Ansouis, Mérindol, la Bastide des Jourdans, St Hilaire... Nous avons adoré Bonnieux, les ocres si dépaysants, Lourmarin, et surtout Oppède le Vieux, entre autres...
RépondreSupprimerLes Alpilles ne sont pas tout à fait au même endroit, mais on y retrouve la même magie des vieilles pierres que dans le Luberon. Je te souhaite d'y retourner, en tout cas.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
J'en ai souvent parlé du Lubéron dans "sous le soleil exactement" nommé avant "Dans les voiles".
RépondreSupprimerhttp://dans-les-voiles.over-blog.com/article-32896286.html
J'ai beaucoup aimé me promener dans tes photos, Marine.
SupprimerMerci beaucoup et gros bisous
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tu m'as fait rêver ! J'adore cette région et j'ai hâte de pouvoir y retourner ....
RépondreSupprimerAh...le rêve n'est-il pas un excellent moteur pour se refaire une énergie ?
SupprimerBisous ma miss
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Oh les belles vacances encore loin des touristes. ça fait envie. On en a bien besoin après ce qu'on a vécu. Dans un mois j'aurais les pieds dans l'océan et je me laisserai bercer par les vagues !!
RépondreSupprimerLe Lubéron me tentait, avec ton billet l'envie de partir se ravive à nouveau... alors que je viens juste de rentrer!
RépondreSupprimerC'est vrai que tout le monde voit ceux qui ont cessé de travailler comme d'éternel vacanciers.
Et bien sûr, ce n'est pas tout à fait ça, même si le bonheur de m'abandonner à la rêverie est continu.
Je crois que ce qui m'occupe le plus, c'est de partager de l'amour, des doux moments en famille, voyager. Et dieu que la France est belle. Le Lubéron en est la preuve. Mais pas la seule.
J'aime particulièrement ton bandeau de blog et ta forêt de coquelicots.
Du bonheur en un clin d’œil.
Bises d'un instant précieux.
Merci pour ton enthousiasme, cher Etienne. Nous partageons les mêmes valeurs décidément.
SupprimerJoies simples en famille, beauté des paysages, contemplation des fleurs...
Bisous précieux en retour
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Superbes tes photos de vacances.
RépondreSupprimerJoli ton récit qui donne envie.
Et cette nouvelle bannière bleu outremer !
Bises Madame la Fée
Ton oeil de Bretonne voit de l'outremer où je voyais du turquoise...
SupprimerMais non, tu as raison, il y a bien de l'outremer dans ce tableau, et il m'a tapé dans l'oeil, je suis sûre que tu sais pourquoi ... ;-)
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De riches vacances, tout est beau il me semble dans le Lubéron. Juin est un mois magnifique pour arpenter ces contrées, après la chaleur y est accablante... Oppède-le-Vieux, un endroit improbable, tellement merveilleux ! Bises céleste Célestine, merci pour ce voyage, à tout bientôt. brigitte
RépondreSupprimerOui, j'ai particulièrement aimé l'ambiance de ce village en ruines...
SupprimerEt pour la chaleur, nous avons eu beaucoup de chance : il a fait juste la température idéale.
Aujourd’hui, une semaine après, ce ne doit pas être la même limonade !
Bisous ma Plume
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Ah le Lubéron et les vacances...Tu parles, c'est beau, c'est fier...Les premières vacances qu'on a passées, Mâme Bof et moi. Tout avait mal commencé. J'étais en fac dans la ville qui possède la plus belle gare du monde connu, je finissais un job d'été et j'ai payé les deux billets de train -aller et retour, hein. On arrive à (en) Avignon, on va chez un copain des parents de la copine qui lui avait laissé la clef de sa vielle deuche (Jean Luc JUVIN, prix Charles Cros en je sais plus quelle année, on va récupérer la bagnole: disparue! Appel à la police, puis départ pour Apt en bus sous une chaleur pas possible. Montée jusqu'à Saignon sous la même chaleur. Arrivée chez la potesse, appel du commissariat pour récupérer la bagnole, retour du seul qui avait le permis pour la récupérer en ville, retour en pleine nuit, repérage à tâtons de l'interrupteur pour voir clair, scorpion sur le mur juste à côté de l'interrupteur en question...
RépondreSupprimerIl est vrai que nous y sommes revenus, mais en hiver, hein.
Non, rien ne vaut nos puys.
J'ai adoré ton récit catastrophe.
SupprimerMais qu'est-ce que tu peux être chauvin ! Muahaha ! Nos puys, nos puys...je suis sûre que tu trouverais ça magnifique si tu y retournais. Faut jamais rester sur une mauvaise impression, comme disait ma grand-mère. Et puis je sens à ta manière de raconter que ce n'est pas un si mauvais souvenir, en fait...
Je me trompe ? ;-) ;-) ;-)
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Non.
SupprimerTiens tiens … j’avais donc raison… 😁
SupprimerEt par dessus tout çaaaa on vous donne en étrenne l'accent qui se promènèèèèneee et qui n'en fiiiniiit paaaas...
RépondreSupprimerRien qu'avec cette promenade tu me rappelles des vacances quand j'étais tout gosse et que la radio nous passait cette chanson.
Tu te rends compte ?
Tu sais d'un coup me retirer exactement soixante cinq ans de la cervelle.
Tu n'aurais pas un truc pour me retirer dix ans d'un genou ?
C'est ça que j'aime : te faire rajeunir.;-)
SupprimerPour le genou, je suis moins sûre. Tu as essayé de danser le lambeth walk ?
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Vous étiez en vacances, j'étais en cure : c'est moins drôle mais plus efficace pour les rhumatismes...
RépondreSupprimerMais suis-je idiot ? Vous êtes si jeune et je vous parle de rhumatismes. A quoi pensé-je ?
Puis-je vous dire combien vous apercevoir, au détour de ces beautés provençales, m'a réjoui le coeur ? Une fleur parmi les fleurs, mais ce n'est pas très original.
Je vous embrasse, délicieuse enfant. Ravi de voir que vous êtes en pleine forme.
~L~
Je suis heureuse de vous revoir, cher Lorenzaccio.
SupprimerEt surtout j'espère que votre cure aura été bénéfique.
J'ai la chance de ne souffrir d'aucune douleur, et pourtant je ne suis pas si jeune que vous semblez le penser. N'oubliez pas que j'ai un fils papa...
Et deux adorables petites filles qui poussent comme des champignons.
Je vous embrasse de même, très cher ami.
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Merci Célestine, Alpilles, Lubéron c'est vrai que je confond un peu, mais ces odeurs, cette garrigue, ces bleus, ces verts, ces ocres tout me fait rêver de ta belle Provence....
RépondreSupprimerOh c’est pas grave du tout …
SupprimerT’inquiète paupiette comme dit mon fils …
Bisous
Le Lubéron, je n'y suis jamais allée, mais regarder tes photos me dit qu'il faudrait que j'aille explorer cette région. Moi aussi, je dis : partir en vacances, même si je ne travaille plus non plus. Partir en vacances, cela veut dire : découverte, changement, insouciance et plaisir de le dire (sourire).
RépondreSupprimerMerci pour toutes ces jolies photos, ma belle Dame. Bisous.
Bienheureuse fus-tu et comme fait envie la beauté de ces lieux !
RépondreSupprimerAh, Luberong... (sans accent, en fait, comme on le prononce là-bas - avec un accent très pouanetu !).
RépondreSupprimerY ai passé mon adolescence de vacancier, puis près de vingt ans, basé à Carpentras où je suis devenu papa avec ma compagne, dès notre quatrième année dans ce pays éclatant de lumière sous les soleils du printemps à l'automne. Puis, soudain, brutalement gris et terne en hiver...
Les roues à aube de l'Isle-sur-Sorgue, un régal ! avec son village d'artisan et, à l'époque, où promenaient, sans chichi, Vanessa et Johnny, avec leur petite Lili...
Ah, te le signale : j'ai mis en lien sur mon pseudo, un page où l'ai entreprit d'expliquer mon parti pris poLétique. Des fois que...
Zoubi, jolie Reddie. ;)
Puisqu'on s'enchante...
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/fuPW1TPwvjA