Je veux de l’inutile, du majestueux, je veux des bustes en marbre sur des façades lépreuses, je veux des rues où l’on s’égare, un labyrinthe, un dédale, les chansons hurlées de mon quartier et les bars grands ouverts, je veux des dieux à triple visage et des allégories aux carrefours, je veux de l’inexplicable, de la légende et des dragons,
de vastes jardins et des gerbes d’étoiles, je veux Palerme...
Edmonde Charles-Roux
Oublier Palerme
Voilà la fougue. Voilà cette force vitale qui explose en soi. C'est Palerme.
Au fond de mes yeux d'enfant marchant pieds nus sur les galets de Nice, précoce, inconsciemment, je vivais déjà en moi les tiraillements entre deux fougues. L'Italienne et l'Irlandaise. Mes jambes traçaient des ponts imaginaires de la Toscane à l'Ulster, de Sophia Loren à Maureen O'Hara.
Dans mon sang, indissociables, coulent la lave rouge du Vésuve et et le sang noir du Connemara. Les indignations, les révoltes, les enthousiasmes de ces peuples fiers.
Je suis née brune à l'extérieur, mais résolument rousse inside. Avec seulement quelques éphélides sur le bout du nez. Ceux qui me connaissent bien savent mon goût pour ces landes vertes et ces falaises luttant contre la mer, et combien le soleil toscan, piqueté de cyprès, m'a éblouie l'an dernier. Bref, mes marraines les fées ont dû consommer de la substance hallucinogène, ou en tout cas illicite, juste avant de se pencher sur mon berceau, pour m'avoir ainsi dotée de ce double tempérament, héritage lointain d'aïeules pas toujours commodes, sans doute. Un cadeau longtemps lourd à porter. Maintenant, j'en ris.
Il y a quelque années, je me suis essayée à la couleur rousse. Mon coiffeur a fait flamber ma crinière à tout vent, allumant des flammèches mystérieuses dans mon sillage. Ça m'a plu. J'ai décidé que j'avais été brune assez longtemps.
Une manche dans chaque camp, me suis-je dit. Si les brunes ne comptent pas pour des prunes, que dire des rousses ? Je veux dire, d'intelligent.
Je vous avais raconté comment, un jour de mauvaise lune, je m'étais fait traiter par un malotru, un minable crapaud de basse fosse juché sur une trottinette électrique, de « sale rousse ». Ce fut ma première ostracisation pour cause de couleur de cheveu. Ça vous marque une Célestine.
Ce jour-là, j'ai ressenti l'espace d'une instant la détresse du petit François devant la méchanceté de la mère Lepic. L'espace d'un instant seulement, car si d'aventure vous (re)lisez cette mésaventure, vous verrez que je ne me suis pas laissée abattre par ce trait de fiel. Et que j'ai relevé la tête, telle la reine de Saba quand elle sort faire ses courses.
Pourquoi je vous raconte tout ça, moi ? Ah oui, parce que je suis là, dans ce café, à essayer de faire partir la tache de jus d'orange que le serveur a renversé sur ma jupe, subjugué sans doute par ma flamboyance capillaire inopinée. Alentour, comme souvent, du gris, du blond, du brun, du blanc.
L'autre rousse qui me sourit, là-bas, c'est seulement mon reflet dans la glace.
Je lui rends son sourire. Et je comprends soudain pourquoi je me sens si bien depuis que j'ai changé de vie.
Je n'ai plus de colère en moi. Cette colère noire et blanche qui m'a tenaillée si longtemps, a disparu, Comme un grand oiseau gris qui plonge dans l'écume.
Le feu a eu raison de mes noirceurs de plume.
Voilà que j'alexandrise, moi... Je n'ai pourtant bu que du jus d'orange. Ah te voilà, mon amour.
Ça faisait si longtemps que l'on n'avait pas bu un verre dans un bar.
Pour l'atelier de la Licorne
Et pour celui du Goût.
Merci à tous les deux.
Puiqu’IL existe maintenant...puisqu’avec LUI, vous pouvez madame la fée poser vos pas sur des tapis de mousse, écouter les geais et surveiller les écureuils, demandez-lui de partir avec vous vers cette belle île où la lave des anciens volcans a donné le noir, l’or et le feu des couleurs aux cheveux. Courrez dans les clairières écouter les chantes des bardes et des druides. Aller vous perdre dans les tourbières, chanter dans les pubs enfumés, boire ces bières noires qui se renouvellent sans cesse. Demandez lui d’aller confronter votre rousseur à celles des autres fées qui habitent en ces terres.
RépondreSupprimerEt revenez heureux de cette escapade poursuivre en vos terres dauphinoises le rêve que vous avez sur faire renaître de cendres.
Bonne nuit je vous embrasse, je l’accolade LUI, je vous souhaite tout le bonheur du jour.
Vous savez, cher monsieur Jacques, que ces escapades sur le chemin des fées et sur les pentes de l'Etna étaient prévues de longue date ...Mais la petite bête qui grignote la vie et le coeur des gens en a décidé autrement.
SupprimerCe n'est évidemment que partie remise, et je rêve de ce moment où je découvrirai enfin la terre de mes ancêtres, cette verte Erin aux cheveux de braise...J'en avais évoqué l'idée, notamment dans ce billet...Nous avons aussi prévu d'aller en Sicile cet été...On peut rêver.
Ah, et puis...je suis très touchée de ce parallèle que vous dessinez entre votre ELLE et mon LUI.
Une sorte de jolie arabesque, un clin d'oeil dans le continuum de notre amitié.
Plein de bonheur pour vous aussi
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Je viens de lire votre ancien billet madame et me demande encore comment j’ai peu passer sans le voir....
SupprimerUn jour j’écrirais sur lui. Peut être bientôt.
Je vous embrasse.
Sur les LUI dès ELLES
SupprimerJ’ai hâte de le lire ...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est beau comme vous écrivez, Monsieur Jacques !
SupprimerPour un peu il nous prendrait l'envie d'être "LUI", qu'on nomme en majuscules !...
C'est vrai qu'il écrit bien, monsieur Jacques.
SupprimerC'est une des premières choses que j'aie remarquées chez lui.
mais toi aussi, mon candidounet, j'aimais beaucoup ta façon d'écrire.
Rha la la je n'ai jamais pu résister à un bel agencement de mots. Ça m'a parfois joué des tours...Mais le plus souvent, c'est un plaisir de fin gourmet.
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Et lorsque vous serez en Eire, prenez des cours de claquettes pour danser au bord de la rivière... :-)
SupprimerDes claquettes pour s'envoyer en l'Eire ? ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
"...je n'ai jamais pu résister à un bel agencement de mots. Ça m'a parfois joué des tours...".
SupprimerBienvenue au club : à moi aussi ça m'a joué des tours. Je suis beaucoup plus circonspect aujourd'hui, jusqu'à la totale absence de confiance...
J'imagine tout ce que vous pourrez écrire quand, vraiment, nous pourrons retourner au café, en terrasse, et même pourquoi pas à Palerme, cette ville tellement vivante.
RépondreSupprimerBon dimanche !
C'est amusant ces coïncidences: Jacques me souhaite tout le bonheur du jour, et tu apparais, chère Marie. Quant à Palerme, je venais juste de lui dire qu'un voyage en Sicile est programmé pour cet été...
SupprimerMerci de ton passage.
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En Irlande ou ailleurs, quelle importance?
RépondreSupprimerdu moment d'être ensemble...
Bon dimanche et gros bisous ♥
C'est la sagesse.
SupprimerMême confinés sous la couette, ou dans une cuisine derrière les carreaux par temps de pluie, on est bien.
C'est magique...
Bisous ma Cathou
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Somptueux !
RépondreSupprimerMais c'est facile, chez toi tout l'est !
Tout l'est...C'est adorable. Merci Boss.
SupprimerÇa me fait penser à Toulet, le poète, dont je t'offre une petite « contrerime »
A Londres je connus Bella,
Princesse moins lointaine
Que son mari le capitaine
Qui n’était jamais là.
Et peut-être aimait-il la mangue ;
Mais Bella, les Français
Tels qu’on le parle : c’est assez
Pour qui ne prend que langue ;
Et la tienne vaut un talbin.
Mais quoi ? Rester rebelle,
Bella, quand te montre si belle
Le désordre du bain ?
Bisous poétiques
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Les rousses ont de tous temps été mises au banc des accusées et tu sais très bien , toi, pourquoi j'écris çà. Je ne citerai pas des faits réels, vécus, ce serait trop long ;-)
RépondreSupprimerhttps://www.lavieenrousse.fr/prejuges/5011-femmes-rousses-cliches-idees-recues/
Fière amie, je t'embrasse
C'est effrayant ces préjugés, et je vois très bien à qui tu fais allusion.
SupprimerBon pour les sorcières, je le suis un peu moi-même...Enfin, une sorcière bien aimée, bien sûr !
Mais non je plaisante. :-) :-) :-)
Bisous belle amie
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Tu as toujours chez toi ton grimoire de sortilèges ?
Supprimer:)
Toujours !
SupprimerMais comment sais-tu ça la bestiole ?
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Toute fée ou sorcière rousse a son grimoire de sortilèges, c'est bien connu...
Supprimer:)
Oh ! Celestine, je pense que tu es des rousses qui n'ont pas besoin de l'afficher dans leur chevelure pour l'être. Même brune, même blonde, tu flamboierais.
RépondreSupprimerTu as raison, la flamboyance, comme d'autres qualités, ne se trouvent pas dans la couleur des cheveux.
SupprimerNi même dans leur présence. Comme disait Michel Blanc de manière un peu leste
(mais j'aime quand c'est leste, muahaha !) « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval » Une jolie façon de réhabiliter les chauves dans l'imagerie populaire.
:-)
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Toi et moi en savons quelque chose. ��
Supprimer😁
SupprimerEn regardant la photo, je n'avais même pas remarqué la rousseur de cette jeune femme accablée selon moi. Et j'ai été transportée à Paris, dans un bar, me souvenant d'une scène à laquelle j'avais assisté il y a peut-être sept ou huit ans. Un homme, la quarantaine, un dirigeant de société, avait élu domicile dans ce bar pour l'entretien d'embauche d'une jeune femme. Pour paraître "cool" ? Pour évaluer le degré de concentration de la demoiselle ? Pour que les tables alentours entendent ce qu'ils se disaient ? Parce qu'il n'avait pas d'autre lieu où se rendre ? Parce que c'était plus près de... ????
RépondreSupprimerJ'aurai bien aimé te voir en brune Célestine !
Certains confondent parfois entretien d'embauche et entretien de débauche... haha !
SupprimerMoi, je ne l'ai pas vue accablée. c'est vrai que c'est mon côté lumineux et diablement optimiste : je ne vois que rarement le sombre côté des choses au premier abord. Au deuxième rabord, parfois, oui, ça m'arrive au cerveau... ;-)
Allez puisque c'est toi, clique : tu me verras en brune.
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Waou !!! 😃
SupprimerMerci ma Biche !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Waowwwwwww, ouiiiiiiiiii ! (Ventrebleu, je sais pas faire les émoticones dont la langue traîne par terre !) ;o))
SupprimerDis-moi Célestine, c'est de la com' de Start'Up Nation ça, non ?
Un jour de mauvaise lune...c’était quand même pas la lune rousse ?
RépondreSupprimer:)
Rhôô ! quel mauvais esprit, petite bestiole.
SupprimerMais tu as raison : il fallait la faire, celle-là. Et je gage que certains agriculteurs ont dû la maudire et la traiter de mauvaise lune ces derniers jours. les récoltes d'abricot ont été roussies de gel...
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Entre le brun et le roux...entre le Sud et le Nord...
RépondreSupprimermon coeur balance...
Dans ma famille aussi, c'est le cas...
Il y a des brunes... et des rousses...
Et tu sais quoi ?
Les brunes se font des reflets roux...et les rousses foncent leur couleur...
Comme si chacune recherchait la "part manquante", le côté le plus caché, le moins apparent...
Un équilibre entre les deux.
Bravo pour ton texte, qui se lit avec délectation...
comme on boit un jus d'orange.
Et bravo aussi pour ton sens de l'observation : je n'avais pas vu, moi,
qu'elle essuyait une tache, la jeune fille !
Bises du dimanche.
C'est amusant ce rapport aux choses capillaires...On pourrait écrire des thèses sur l'importance de cet attribut naturel, et sa symbolique a travers les pays et les âges, de Dalila et Samson aux intégristes de la perruque et du foulard, en passant par les Apaches et la Gorgone, aux cheveux de méduses...Chaque peuple coupe, tresse, crêpe, lisse, masque, rase, peint, teint, de façon différente.
SupprimerJe n'avais jamais pensé à cela de cette manière.
Merci pour le jus d'orange. J'en déduis que mon écriture est vitaminée avec un zeste de piquant pour réveiller les papilles.
Bisous la belle
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Ayant connu les deux versions de Fée Lestine, je ne saurais dire laquelle a le plus de charme.
RépondreSupprimerC'est certainement celle qui est éclose à l'issue d'Alpharêve, mais la couleur des cheveux n'y est pour rien, ou tout au plus une conséquence de la mutation opérée.
En fait, je crois que même avec la boule à zéro, Le charme resterait le même, tant il émane de l'Etre et non du Paraître, bien que ce dernier ne gâche rien à être agréable :-)
Molto baci Pel di Carota
la boule à zéro, ça risquerait d'être mal pris par qui tu sais... ;-)
SupprimerMais pour le sens profond de ce que tu dis, je suis d'accord. Ma transformation ne vient pas de ma couleur de cheveu, mais bien d'une restructuration totale de mes jardins intérieurs...
Un gros boulot que je ne regretterai jamais d'avoir entrepris.
Grazie mille caro mio
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"Je n'ai plus de colère en moi."
RépondreSupprimerC'est une bonne nouvelle, ça !... :oP
@ Candide
SupprimerLa neige a fondu dans le Jura ou tu as creusé un tunnel pour sortir de ta tanière ? :-D
Ciao
@Candide
SupprimerOui, c'est une bonne nouvelle. D'autant que ça m'est devenu évident tout d'un coup, subrepticement, comme le printemps qui s'installe après les rigueurs de l'hiver. Tout à coup, on réalise que le vent est tombé, et que l'air est plus doux.
Cette colère avait besoin de sortir. Il n'en reste plus que quelques résidus accrochés à mon palais de mémoire, comme pour témoigner que je ne me suis pas battue pour rien. mais de mes emportements renversants, qui me bousculaient jusqu'à la nausée parfois, plus une trace.
Sinon, je plussoie à notre ami commun : ça fait plaisir de te voir sortir de ta tanière...
Bizouilles
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"...de mes emportements renversants, qui me bousculaient jusqu'à la nausée parfois, plus une trace."
SupprimerBen ça doit mettre de l'huile dans les rouages, ça !
Et vous inquiétez pas pour moi...
Qui a dit qu’on s’inquiétait ? 😁
SupprimerBonjour Célestine,
RépondreSupprimerContinue comme tu veux, brune ou rousse. Si tu es heureuse en rousse, vive la rousseur!
Et continue à ne pas te laisser abattre, vaillante guerrière!
Gros bisous,
Mo
La couleur de l'automne me va plutôt bien au teint. Alors même au printemps, je la garde.
SupprimerBisous d'une guerrière pacifique.
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Je me demande ce que tu as pu renvoyer dans le miroir à ce crapaud sur sa boite d'allumette ! Bien sur il ne se posera jamais la question, du pourquoi d'une telle projection. Laissons le avancer à toute allure sur sa trottinette, pendant que toi tu es tranquillement encrée et alignée accord avec toi même !
RépondreSupprimerEn fait, en cliquant sur le lien que j'ai mis dans mon texte, tu auras la réponse à ta question.
SupprimerMais tu as raison, je suis restée tranquillement alignée, sans m'abaisser à entrer en guerre contre lui...
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De l'inutile, de la légende et des dragons ? passe dire bonjour sur le blog un de ces jours, j'ai en route un petit feuilleton à base de pommes et de dragon.... :)
RépondreSupprimertrès beau récit, sensible et juste ; non seulement tu sais écrire, mais tu sais vivre, chère italirlandaise ! :)
Ola mon dodo, que tal ?Ravie de te voir par ici.
SupprimerVivre et écrire, ce n'est pas à toi que je le dirai, sont les deux faces d'un même miroir, n'est-il pas ?
Je vais aller voir cette histoire de pommes et de dragons, ça m'interpelle l'occiput.
Bisous espiègles
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Quel beau texte, plein d'humour, chère Red Angel Baby. Et tu me gâtes avec l'analogie Toscane/Connemara, car je suis, tout comme toi, mais tu le sais, un Irlalien convaincu. Hasards, je travail Mountains O'Mourne, un Irish Trad que je ne connaissais pas (je n'arpège pas si bien que toi 🎸) et je lis un très beau livre qui se passe à Palerme, Borgo Vecchio,📚 que je chroniquerai bientôt. ATTB Miss W. Ici les bancs acceptent même les rousses. 😉 Kisses chère amie.
RépondreSupprimer
SupprimerJe savais que tu ne resterais pas insensible à ce mélange détonnant qui m'habite ...
Mountains O'Mourne ? Je ne connaissais pas non plus. Assez facile au niveau des accords, sol ré do pour la plupart...
Mais avec mes allergies saisonnières je ne parviens plus à sortir un son...C'est embêtant. On dirait une porte rouillée.Sinon j'aurais essayé d'arpéger pour toi.
Ravie que tes bancs acceptent les sorcières incendiaires. Promis, je ne mettrai pas le feu.
Enfin, quoique 😊
Kisses sweet friend
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Très beau texte, comme d'habitude ! Rousse ou brune, tu irradies de bonheur et c'est bien là l'essentiel.
RépondreSupprimerBises et bon dimanche !
Lydia (blog : https://promenadesculturelles2.wordpress.com)
Merci Lydia.J'avoue que même sous la pluie, j'ai toujours un peu de soleil dans les cheveux...
SupprimerBelle soirée !
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Je sens une certaine unanimité chez vos admirateurs, et cela me rassure : je ne suis donc pas le seul à m'extasier devant votre écriture. Fluide, belle, agréable.
RépondreSupprimerEn revanche je vois que certains ont la chance de connaître l'enveloppe de votre être, et j'en éprouve une pointe d'envie.
Je m'empresse de préciser que je plaisante, belle amie. Mais je ne sais pas inclure au commentaire ces petites icônes qui précisent les sentiments (sourire)
Vous remerciez les organisateurs d'ateliers, mais penseront-ils à vous remercier d'avoir si bien servi leur sujet ?
Bien à vous, précieuse.
Amical bonjour à Blutchy.
~L~
En allant sur ma réponse à Biche* un peu plus haut, vous pourrez cliquer sur un lien et me voir "quand j'étais brune". Ça ne remplacera pas une rencontre, mais ça donne une idée...
SupprimerCela dit, il y a beaucoup plus de gens qui me connaissent (au moins en photo) que de gens qui se sont laissés voir par moi. Mes lecteurs, à part quelques uns, restent pour moi un grand mystère.
Pour ma part, ma part de mystère réside ailleurs...
Merci pour vos mots, cher ami.
J'aime quand vous venez nous voir.
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@ Lorenzaccio
SupprimerJe reçois votre amical bonjour avec plaisir, et je vous en adresse un autre de même facture.
~ B ~
J'apprécie la société des gens que l'on croise dans ce salon particulier.Tenu par une hôtesse de choix.
SupprimerQuelque chose qui n'existe plus trop de nos jours, et qui se nomme la courtoisie.
On se sent accueilli et c'est une vraie joie.
Bien à vous mon cadet.
~L~
Une hôtesse de choix, wouaou ! c'est ma fête...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je n'ai pas imaginé que la jolie rousse du tableau essuyait une tâche.
RépondreSupprimerLa tache originelle ? Comme on chantait dans mon enfance le soir de Noël :
Minuit, chrétiens, c’est l’heure solennelle
Où l’Homme-Dieu descendit jusqu’à nous,
Pour effacer la tache originelle…
je ne sais pourquoi ce truc est remonté à ma mémoire en lisant ça, mon psychanalyste aura sûrement une explication effrayante.
Et sinon
j'ai beaucoup aimé ton évocation des couleurs dans tes artères. Chacun de nous a ses flamboyances.
Je me souviens du crapaud évoqué. Sûrement que de toi rousse il a eu la frousse, c'est alors qu'il glousse pour faire de la mousse mais sa connerie éclabousse de manière maouse. Sûrement qu'il sortait de sa cambrousse.
(Oui, je sais, c'est nul…)
Et plus sérieusement je ne comprends guère cet ostracisme imbécile vis-à-vis des rousses et des roux. Il est vrai que les cons ont un cerveau de l'épaisseur d'un cheveu.
Et en plus de ça, ils osent tout :-)
SupprimerTu maîtrises les rimes en -ousse à la perfection ! Et ça, c'est pas nul.
SupprimerC'est juste beau, comme la poésie, l'art, tout ce qui est inutile en somme...ah non, il faut dire non essentiel, maintenant:-) :-) :-)
J'aimerais bien connaître l'explication effrayante de ton psychanalyste, même si j'ai une petite idée. La tache originelle, quelle horreur ! Dire qu'on a tous baigné dans cette culpabilisation morbide ...
Quant à l'ostracisme anti-roux, il n'est ni plus ni moins qu'un avatar de tous les autres : anti gros, anti femme, anti homo, anti nain, anti noir, anti blanc, antipathique... euh ben oui, c'est tellement antipathique pour certains, d'imaginer qu'on puisse être différent.
Etrange, étranger...
Ils osent tout, c'est vrai. Et plus c'est gros plus ça passe.
Voilà voilà.
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Quand on vient de passer 100 jours à Palerme en compagnie de Lino et d'une charmante rousse, comment pourrait on oublier cette ville terrible où prospère la pieuvre ?
RépondreSupprimerEdmonde Charle-Roux a publié son romans et a remporté le Goncourt en 1966.
Mais depuis lors Palerme n'a cessé de se rappeler à notre souvenir en défiant ceux qui aiment et respectent la vie de tout être.
Heureusement qu'il y a des femmes brunes ou rousses comme toi , comme Emanuela, comme Edmonde pour vivre intensément en dépit des errances humaines.
Je serais bien allé partager un jus d'orange avec cette rousse pour lui faire oublier cette tache et tous les soucis qui l'absorbent....
C’est drôle que tu aies vu ce film juste au moment où je parle de Palerme...
SupprimerToujours ces fameuses synchronicités...
La jolie rousse du film je n’ai pas réussi à savoir qui c’était.
Je n’ai pas joué avec Ventura mais je veux bien aller boire un coup en terrasse le 17 mai😁
Bisous impatients
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Bonjour Célestine, ton texte est plein de vitalité et me fait du bien! J'aime bien les rousses! Merci d'être passée sur mon blog!
RépondreSupprimerSuper alors si mon texte te fait du bien...
SupprimerJ’aime dispenser des vitamines de bonne humeur par ci par là ...
Je retourne te voir bientôt
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Tu es de toutes les couleurs, ma chère Céleste, flamboyante dedans, flamboyante dehors, moi qui aies eu la chance de te rencontrer, en vrai, tu te souviens, et de te re-connaître,... le ton d'automne te va bien au teint, et je pense à cet instant matinal (!) à Aristote qui disait en parlant de la substance, "pour celui qui n'est plus affirmé d'aucun autre", mais par lui-même, ...de ton être, ton essence, ton essentiel, tu donnes le meilleur ... toi qui possèdes une existence propre et ne la détiens que de toi, la lumineuse fée... oui le "feu a eu raison"... tu resplendis par tes mots et ton image !
RépondreSupprimermerci ma chère d'Âme. Tu embrases et mets en braise la page. Et ça me plait.
bisous.
Oh oui je me souviens. On n'oublie pas ce genre de rencontre. Tu n'allais pas bien, moi non plus, et pourtant on avait passé un moment magique.
SupprimerJ'ai l'impression qu'il s'est écoulé beaucoup d'eau sous les ponts depuis cette journée dans ce merveilleux lieu d'art.
Merci pour tes mots de poétesse qui m'accompagnent sur ce chemin lumineux depuis fort longtemps maintenant.
Tu fais partie de ceux qui m'ont donné leur lumière et je t'en remercie chaleureusement.Te revoir, c'est un de mes voeux dès la sortie de cette gabegie ambiante.
Bisous Den
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J'aime beaucoup ce tableau et ce que tu en dis Célestine !
RépondreSupprimerMa petite Julie étant rousse j'adore les rouquines, je leur trouve un charme fou !
Bisous et très bonne journée
Elle doit être drôlement jolie ta Julie.
SupprimerJe ne savais pas que Julie la Rousse existait en vrai :-)
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J'ai aimé être rousse, j'aime être grise en fait, je suis heureuse d'être vivante et toi Célestine, vivante tu l'es.
RépondreSupprimerJe pense que je me verrai bien en blanche mais pas tout de suite...Plus tard...
SupprimerC'est sans doute cela, tu as raison, être vivante. Se sentir bien tout le temps malgré le temps qui passe.Aimer l'être.
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J'étais une vraie brune ; depuis deux ans, après mon accident, une vraie blanche suis devenue, blanche de chez blanche, et finalement, tout le monde est étonné... le naturel me va plutôt bien... un blanc virginal, pas besoin d'effectuer la moindre retouche ! ça change et transforme également... on se sent autrement !
Supprimerbisous.
Que veux tu que je te dise des rousses...
RépondreSupprimerUne chose est sûre : Vous êtes terriblement vivantes.
Même certaines fausses... ;-)
Je confirme. Parfois, ça saoule un peu l'entourage d'être si vivantes...mais on ne se refait pas...
Supprimer;-) ;-) ;-)
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Italie et Irlande, deux feux différents, deux pays que je ne connais que par cinéma, littérature et musique et par mes deux blogs préférés.
RépondreSupprimerUn super texte.
Bises Célestine.
Hé hé...des points communes que nous avons à trois, toi Jules, lui Jim et moi...
SupprimerEt quels points communs !
Bisous Patrick
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C'est joli cette histoire, comme une balade!
RépondreSupprimerL'Irlande c'est mon pays de coeur, alors...
Le roux, c'est un peu le feu et le soleil, enfin ça me fait penser à ça. La paix après la colère.
Merci pour ces mots Célestine.
Toi aussi, c'est joli ce que tu dis Marie.
SupprimerLa paix après la colère, ça ressemble à un titre de film chinois.
J'aime bien.
Bisous
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J'adore Edmonde Charles Roux, son style, ses livres, sa vie.
RépondreSupprimerEt comme j'aimerais pouvoir me débarrasser de cette colère qui me pèse tant et dont je ne sais plus que faire. J'ai commencé ce travail et ton billet m'encourage à le poursuivre. Peut-être devrais-je aussi tenter le roux ?
As-tu pensé à aller voir un thérapeute ? Je sais que c'est à la mode de conseiller un psy, mais ça reste une valeur sûre quand on a un paquet à poser dont on ne sais plus que faire. En tout cas, moi, ça m'a bien aidée.
SupprimerJe ne te connais pas assez pour te dire si ça t'irait bien, le roux. mais après tout, c'est réversible ce genre de choses...
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Dis donc ma petite Celle qui est si mignonne, j'ai un plan qui vaut pas grand chose, mais je t'en fais part quand même. Tu passes me voir, je te conduis (s'il n'y a pas trop de vent, hein) à un endroit pas loin de chez nous qui s'appelle le Puy au Roux et tu fais un selfie à côté du panneau indicateur. Elle en pense quoi, celle-ci?
RépondreSupprimerMais c'est une excellente idée mon petit Bof trop gentil.
SupprimerJe l'ai trouvé sur g**gle maps, j'ai vu la pancarte, sur le C18, ce doit être un endroit bien reculé, dis moi, plein de verdure...
Il faudra juste attendre d'avoir le droit de sortir, parce que c'est pas la porte à côté !
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Coucou Célestine, ton billet est magnifique et plein de vie tout comme ce tableau aux merveilleuses couleurs. Si tu es rousse, ce doit être splendide et plus encore lorsque le soleil caresse tes cheveux :-) J'ai une amie qui a les cheveux roux et je trouve superbe.
RépondreSupprimerBisous ensoleillés ♥
J'avoue que c'est ce que j'aime, quand mes cheveux reflètent le soleil. On dirait un petit incendie...
SupprimerBisous ma belle rêveuse
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Rien de commun entre le pauvre petit Poil de Carotte et la flamboyante rousse que tu es devenue !
RépondreSupprimerRien de commun, à part, peut-être, la petite fille qui fait de la balançoire à l'intérieur de moi, et qui a subi quelques injustices dans son jeune temps. mais tu as raison, c'est du passé, désormais.
SupprimerBisous Gwen, merci d'être passée
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Trouver son chemin entre le feu et la glace, quel chalenge!
RépondreSupprimerEt forcément, tu trouves ta place, royale, alors que beaucoup se seraient noyés, enfin brûlés, congelés... c'est beau le rayonnement d'une fée, céleste de surcroit!
Bises rousses et noires.
Tu as une façon bien personnelle de résumer les choses, avec ton oeil de poète.
SupprimerMais tu as raison, c'est tout à fait ça, j'ai réussi à concilier les forces contradictoires qui étaient en moi...
Bises roses de plaisir.
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Le mots magnifiques d'Edmonde galopent entre les plaines du Connemara et Palerme, j'aimerais découvrir ces deux lieux et bien d'autres d'ailleurs si un jour la liberté revient... et elle reviendra !
RépondreSupprimerIl me semble que l'Italie et l'Irlande, en dehors de leur I majuscule partagent un feu commun, une énergie de braise qui vivifie le monde pour notre plus grand bonheur, comme toi céleste Célestine. Bises du soir. brigitte
C'est vrai, les deux pays commencent par la même lettre et ce n'est pas leur seul point commun...
SupprimerLa liberté semble faire partie de leurs valeurs cardinales...
Et nous, ici, avons-nous oublié que par le passé certains sont morts pour la liberté ?
Alors oui, j'espère qu'elle reviendra.
Bisous ma Plume
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Il y a ce qui "était est et sera". Une petite parcelle s'en est échappée pour visiter un endroit de l'univers qu'on appelle la terre. Ses parents l'ont nommée Céleste. Un jour elle retournera à ce qui "était est et sera". Mais entretemps elle peut tout expérimenter, tout gouter, changer la couleur de ses cheveux aussi souvent que l'envie lui prend, rire, danser, s'extasier, écrire. Mais attention, elle doit toujours se souvenir qu'elle est une parcelle de ce qui "était est et sera" et que Céleste, quoique magnifique, est une identité temporaire.
RépondreSupprimerC'est ainsi que je me vois ainsi que les personnes autour de moi. kéa
Oh non, chère Lea, je n'oublie pas que je suis une identité temporaire.
SupprimerIdentité remarquable, comme l'avait dit un de mes admirateurs, certes, mais temporaire.
Et c'est cette conscience de la finitude qui devrait tous nous habiter, et nous faire aimer la vie. La vraie. celle où on prend des risques, pas celle où l'on se recroqueville frileusement sur la peur de mourir...
J'aime ta philosophie de vie. Peut-être parce que j'ai la même ?
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Chère kea bien sûr ...
SupprimerMon portable m’a joué des tours !
😁
Oui, la peur qu'ont certains de mourir empêche tout le monde de vivre présentement. Masquer des enfants toute la journée et les isoler dans des casiers c'est criminel à mon avis. Plusieurs états aux USA ont annulé toute mesure sanitaire et si vraiment il y avait danger, les gens devraient mourir comme des mouches ! Mais non, meme en essayant de gonfler les chiffres la situation n'empire pas. Plusieurs ne semblent pas voir venir le train qui fonce directement sur nous. C'est pourtant simple à voir, à cause de la crise actuelle les immensément riches se sont enrichis à une vitesse affolante et les pauvres appauvris. Juste cela, dit tout. Regardez à qui profite le crime ! kéa
Supprimer@ Kéa, mais pas que
SupprimerTout est dit et si le gouvernement n'avait pas interdit de soigner les malades avant que ce soit grave, voir désespéré, il y aurait 4 fois moins de morts au minimum.
Les électeurs auront-ils la mémoire pour ne pas réélire ceux qui les tuent...
Petite chose au passage: L'Inde a 1,3 milliard d'habitants. Si les médias nous bassinent avec "le nombre important de contaminés" ils font bien attention d'une part de ne pas le mettre en référence avec la population, et d'autre part, le seul chiffre qui peut faire peur devrait être celui des morts, or, ils n'en parlent pas, et pour cause.
Sans masques, sans gestes barrière, sans gel et avec un service de santé plus que précaire, l'Inde affiche 100'000 morts du Covid, soit 76 morts par million d'habitants.
La France, avec tous les génies qui sont au chevet du Covid, y compris l'épidémiologiste en chef de l'Elysée arrive au score de 1'500 morts par million d'habitants. 20 fois plus que l'Inde.
Pourquoi ?
L'Inde n'a pas marqué dommage sur l'usage de l'Hydroxychoroquine et de Iverméctine.
Mais LA solution miracle est dans les seringues...
Vaccvinez-vous, vous ne serez pas plus à l'abri du Covid, car le vaccin n’empêche ni d'être contaminé ni d'être contaminant, ni même d'en mourir si c'est votre moment d'y passer.
Ca ressemble à quoi d'autre que la plus vaste escroquerie du siècle ?
La vaccination ne marche pas trop bien semble-t-il, avec à peine 4,5 millions de vaccinés en France et les centres de vaccination qui doivent faire de la retape par téléphone, des centres qui ferment parce que désertés, etc...
Grosses bises transatlantiques et baci à la patronne
Effectivement Blutch iamo, Le plan montre de plus en plus de ratés impossibles à occulter. Tellement que biden a fait faux bond au deep state au sujet du passeport vaccinal. Il laisse cette patate chaude aux mains du privé. Non la vaccination ne va pas bien non plus. Pour ma part c'est non merci, pour ne pas dire fuck off ! kéa
SupprimerBise par delà les mers
Ton "opération" de transformation a débuté par la chevelure pour mieux accéder à ce qui se trouve juste en dessous...
RépondreSupprimerC'est fou comme la couleur des cheveux peut influencer le rapport aux autres ! Les brunes, qui ne comptent pas pour des prunes, merci Lio !
Les blondes et toutes ces mauvaises blagues à deux balles ! Les rousses, plus énigmatiques, le charme discret d'Audrey Fleurot !
Pour moi, c'est seulement quand j'ai mis plus de sel dans mon poivre que j'ai perçu une différence... Du "tu", que l'on me donnait quand j'étais jeune homme (En plus, je ne faisais pas mon âge),
Je suis passé au "vous", sans que je le visse arriver.
Un "vous" de politesse. Maintenant, c'est un "vous" de respect, que l'on accorde aux plus ancien. Bon, je te rassure, je suis un jeunot :-)
quant à changer de couleur de cheveux, j'appréhenderai de ressembler à ces personnages un peu loufoques...
😄😄😄
Mais je sais que tu es un jeunot, cher Didier, et que tu me dois le respect parce que je suis plus vieille que toi...
RépondreSupprimerMais cela dit, nous n'en sommes pas encore au moment où, comme disait Claude Sarraute, plus personne ne nous tutoie, mais on tutoie tout le monde...
Je dirais même qu'il y a de la marge !
Bisous du soir.
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Tu as raison, la marge est encore grande... J'ai comme l'impression que tu n'as pas cliqué sur les trois émoticônes que j'ai mises en guise de lien ; ce n'était franchement pas une bonne idée !
SupprimerAh non je n’avais pas vu que c’était un lien ...
SupprimerD’habitude tu mets des notes de musique ...
Mais pourquoi « pas une bonne idée » ?
C’était très drôle !
Bisous de la nuit
Parce que, sans le lien, on ne sait pas qui sont ces personnages loufoques...! Mon commentaire en est moins clair.😊
SupprimerBises du jour😉
Un voyage, en été, en Sicile !! Mon rêve. J'adore cette île, son ambiance, ses habitants, ses églises baroques. Si tu ne connais pas Noto( dans le sud), je te conseille cette ville.....Une belle rousse en Sicile !
RépondreSupprimerMerci pour ton conseil mon cher Daniel !
SupprimerJe note Noto dans mes tablettes.
Bisous flamboyants
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Concernant "Quelques éphélides sur le bord du nez",
RépondreSupprimerQui n'a pas rêvé... De toucher une celtique
Sur les landes
assommées de vent
Il glanera
Il fauchera
Moissonnera mes éphélides
Je lui dirai l'amour,
dans un verre de stout
Il me dira l'amour
En regardant ma main
On le fera sur les falaises
Là où le vent rend fou
pâles et nus dans la brume
(Quand je lis ce passage, c'est le genre de voyage qui me fait frémir)
Ravie de te faire frémir cher Laurent
SupprimerDe plaisir bien sûr.
Parce qu’en ce moment dans l’air ambiant on frémirait plutôt de peur !
Bises
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Autant de l'art que du cochon !
RépondreSupprimerC’est un compliment ? 😁
SupprimerLe Goût ? Ce sexiste ? J'y vais plus.
RépondreSupprimerBonjour monsieur. Le goût est un faux sexiste, il ne l’est qu’au second degré c’est quelqu’un de fin, et c’est mon ami. Mais vous, vous me semblez un vrai gougnafier. Quand on vient sur un blog pour la première fois, on dit bonjour, déjà. C’est ce que j’apprenais à mes élèves jadis. Je sais, c’est un peu suranné.
SupprimerEnfin, bonne journée quand même.
Bonjour Maitresse,
SupprimerPfff... vous voyez le mâle partout :D
Traduction (approximative) de David FOULQUIER :
"Le Goût ? Ce sexiste ? J'y vais plus."
Serai...
Le Gout ? Ce existe ? J'y sais plus.
Le "s" et le "v" s'intervertissent.
Voilà, j'espère ne pas m'être trompée :(
A plus tard, ma Maitresse.
Bisous.
Chère Julie
SupprimerMême avec la meilleure volonté du monde je ne crois pas que tu aies raison...
Mais bon une supposition que l’écriture intuitive de mon smartphone me fasse écrire un truc pareil, je rectifie tout de suite et je m’excuse.
Pas toi ?
Non, je crois que certaines personnes se croient autorisées à tout écrire en se cachant derrière un pseudo...
Et bien sûr sans blog.
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Célestine
RépondreSupprimerTon désir, ton besoin de passer du brun au roux fait un écho à mon désir, mon besoin de passer du court au long.
Un hommage inconscient à mes ancêtres ?
Les femmes de Ouessant (tu sais que j'ai du sang ouessantin) laissaient voir leur cheveux "lâchés" ou tressés sous leur coiffe.
On a des besoins de changer de tête qui correspondent certainement à un désir profond plus qu’à un simple caprice de mode.
SupprimerC’est formidable d’avoir du sang ouessantin.
C’est une île qui me fait rêver tu sais que j’en avais écrit un billet sur elle ?
https://celestinetroussecotte.blogspot.com/2014/03/ouessant.html?m=1
Bisous de fée