Zen Yu |
Voilà la question posée sur un journal féminin, laissé négligemment ouvert à la bonne page, dans le train.
Sans crier gare...Dans le train...Comique non ?
Ce qui est tombé du ciel, aujourd'hui, et qui a fait que mon voyage retour a duré neuf heures au lieu des quatre prévues c'est une tempête. Une véritable mini-tornade qui a fait plier les caténaires sous le poids des arbres déracinés par le vent. Train à l'arrêt. Panique à bord.
Mais sans cela, aurais-je fait la connaissance de Zen Yu, le moine bouddhiste ? Un être de lumière.
Je vous en reparlerai certainement, mais là, vous me pardonnerez, ce soir, lecteurs adorés, j'ai l'impression d'être un haricot vert bouilli oublié dans une cocotte.
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Musique: Feelings, instrumental proposé par Alain Manuel, et qui a quand même plus de gueule que le morceau que j'avais mis à la hâte, en bon haricot bouilli...
C'est vrai que de multiplier les heures de trajet ce doit être éreintant.
RépondreSupprimerPendant que tu dors, je viens sur la pointe des pieds me servir un petit jus bien frais dans ton open bar littéraire ouvert pour moi exprès 24heures sur 24.
Je me réjouis que tu nous parles de maître zen. Mais je contre déjà (un peu) le fameux écrit du journal féminin. Tout accepter...Non.
Si quelque chose qui nous arrive dessus sans crier gare alors que nous sommes en train de donner le meilleur de nous-mêmes pour quelque chose que nous croyons juste, (tu apprécieras les références de ma phrase), il me semble que nous nous devons de nous battre pour rétablir une certaine vérité et nous blanchir face à ce que l'on nous reproche. (Tu vois ce à quoi je fais référence).
Par contre il est sans doute inutile de vouloir se battre contre la terre entière car il y a des choses qu'on ne peut changer. C'est un juste dosage d'énergie.
Je te souhaite une belle nuit espèce de haricot vert tout bouilli. Bises alpines tendues
Voilà, je suis rentrée (avant de repartir) et je vais enfin pouvoir répondre à ta lettre. ;-)
SupprimerEvidemment qu'il faut se battre, mais l'article parlait des choses contre lesquelles il est inutile de se battre, sinon on risque d'y perdre son temps et son énergie. Les phénomènes météo sont évidemment les premiers auxquels on pense.
Il y a la mort aussi...A quoi bon se révolter contre l'inéluctable de la mort ?
J'en sais quelque chose...
Mais dans ton cas, évidemment tu ne peux pas laisser faire sans réagir.
Etre zen, n'est-ce pas apprendre justement à doser son énergie, afin de la garder pour changer les choses que l'on peut changer, et accepter celles que l'on ne peut pas changer...
Un long chemin vers la sérénité, que tu trouveras aussi, j'ai toute confiance.
Le haricot va bien mieux aujourd'hui. Il a même repris de la graine.
Bisous célestes et détendus
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Il s'agit là du concept "zen" tel que l'on l'ignore en Occident...
RépondreSupprimerL'Occident a déformé complètement le zen originel. Il en a fait quelque chose d'édulcoré et travesti à des pensées égoïstes...
M'enfin... Il y a parfois des textes qui traînent, des portes entrouvertes à des âmes en soif...
Pauvre haricot vert trop cuit.
Bonne nuit.
Les publicitaires peut-être. Mais je connais des tas de gens qui ne demandent qu'à apprendre le vrai zen.
SupprimerPour les portes ouvertes aux âmes en soif, ici c'est open-bar, comme dit Dédé.
Enfin, quand la patronne n'est pas bouillie dans sa marmite... ;-)
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@ Gilles : ça fait un bout de temps que je m'intéresse sans trop d'empressement à ce que j'appelle prudemment, comme je le dis plus loin à Célestine, "les modes de pensée orientaux".
SupprimerPour avoir lu des bouquins extrêmement sérieux et totalement imbuvables (dont celui de D.T. Suzuki qui, paraît-il, fait autorité) sur le zen, il me semble que lesdits modes de pensée orientaux sont d'un abord bien difficiles pour des gens d'une autre culture. Zen, C'han, Bouddhisme (lequel ?), Taoïsme et bien d'autres, il me semble que tous ces courants ne sont intimement accessibles que si l'on est né dans les régions où ils conditionnent la culture quotidienne de chacun. Et je ne suis pas sûr que la culture occidentale en permette la compréhension "au fond", sauf peut-être pour quelques passionnés.
Alors si de plus la mode et le marketing s'en mêlent !
Il semblerait que tu aies un don particulier pour faire des rencontres lumineuses dans le train, comme dans "Quelques mots magiques" du 22 août 2014 ! Il est vrai que tu es une personne de rencontres...
RépondreSupprimerQue venait faire ce moine dans ta vie, toi dont la pensée s'approche tranquillement des modes de pensée orientaux et qui parfois médite ? Je crois qu'il n'y a pas de rencontre innocente pour qui va les yeux, les oreilles, les antennes et le coeur ouverts comme tu sais le faire. "Quand le disciple est prêt, le maître vient...", izeunt'it, Gilles ?
Et j'espère bien ,pour ma part, que tu nous en reparles, car j'en suis curieux, moi dont la pensée s'approche tranquillement des modes de pensée orientaux et qui parfois médite...
Un don, je ne sais pas. En tous cas une faculté que je cultive comme une fleur rare et précieuse: l'émerveillement.
SupprimerMa pensée ne cherche pas de maître à proprement parler. Elle fuit les gourous de tout poil, tu connais sa difficulté à se couler dans du prémâché, du préétabli.. Mais elle se nourrit ça et là, et les rencontres sont un fertilisant naturel formidable.
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Je connais ton esprit rétif à tout endoctrinement, et nous avons un peu la même façon d'apprendre, touches par touches, au hasard de rencontres qui n'en ont peut-être que le nom (car y a-t-il un hasard quand on cherche ?), dans le domaine de ce que j'appelle prudemment "les modes de pensée orientaux", ne souhaitent pas poser d'étiquette sur des concepts que je ne connais que bien mal.
SupprimerEt citer le proverbe était une ellipse signifiant de façon beaucoup plus large que quand on est prêt, les rencontres ont lieu...
...et bien qu'on ne soit plus dans l'énergie de l'instant, j'espère bien en savoir un peu plus par la suite...
Supprimer;o))
Juste une question : si vos places ne vous étaient pas affectées, lequel s'est assis près de l'autre ?
RépondreSupprimer:o))
C'est une longue histoire...
SupprimerJe la raconterai peut-être (ou pas) Ces choses-là se racontent dans l'énergie de l'instant...
Disons que la vie nous a mis en présence. C'est lui qui s'est adressé à moi parce qu'il ne comprenait pas la situation. (Il faut dire que ce n'est pas très agréable de se retrouver dans un train qu'il faut évacuer, quand on ne parle pas un mot de la langue autochtone) j'ai éprouvé de l'empathie, il a sonné à la bonne porte en quelque sorte...
Pourquoi nous parles tu de haricots verts alors qu'il y a deux jours tu préférais les haricots blancs ? Une fois de plus nous allons toutes deux sur le même chemin où Zen Yu et mon Vénérable Dorje vont nous guider vers la sérénité. Décidément, ton voyage fut riche de chapelle catholique, en visite cathare, et rencontres bouddhistes..... tu avances vers la plénitude. Tu avais au départ longuement cherché ton wagon et ta place et "Grâce à Dieu " ou à Boudha tu l'avais trouvée sinon...... Juste une petite bise..... je ne veux pas troubler ton sommeil récupérateur.
RépondreSupprimerDisons que mon schéma corporel me rapproche davantage du haricot vert que du blanc...Enfin, à condition de ne pas trop abuser de certaines nourritures divines qu'une amie m'a concoctées durant mon séjour...des délices confites et grillées accompagnées de fabuleux petits amuse-bouche...
Supprimercette rencontre m'a apporté une grande sérénité, tu as raison. Et quand je voyais comment certaines personnes réagissaient à ce qu'il faut bien appeler un contre-temps (et pas une catastrophe) il m'est revenu en mémoire cet extrait de La Belle Verte où Vincent Lindon apprend les vraies valeurs à un Francis Perrin complètement défiguré par la haine parce qu'on lui a effleuré son rétroviseur. Délicieux.
PS j'ai bien dormi !
Kiss and love
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Avec le lien, c'est mieux. ;-)
SupprimerAvec le lien, en effet c'est mieux et cela me permet d'aller direct dans ma discothèque chercher la bande originale du film (je l'avais a d o r é ) qui va m'aider à poursuivre ma séance d'apaisement entamée hier soir pendant que tu te débattais avec tes caténaires. Oui Célestine, la belle verte.......la vie est belle et verte.
SupprimerBises pour toi une bleue (comme la belle bleue) et une jaune (comme le soleil ou le tournesol, au choix) .........................
Mon lien pour te donner envie d'y aller lors de ton prochain séjour.
http://chinou.canalblog.com/archives/2016/02/22/33355486.html
Je ne trouve pas cette bande-originale sur le net...
SupprimerEncore une chose qu'il faudra que l'on partage quand je reviendrai...
Comme le temple de ton billet.
Bisous ma belle verte
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C'est bien d'être un haricot bouilli : on s'attache au fond des choses !
RépondreSupprimerBises, ma toute belle.
Hé hé ! j'adore cette remarque pleine de philosophie.
Supprimermerci Boss adoré
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Ah les rencontres dans les trains qui bouleversent le cours de nos pensées, je les aime, je les adore... Et puis, le train, c'est tellement romantique.
RépondreSupprimerRaconte-nous une fois reposée.
Mon billet de train de l'autre jour était sans doute prémonitoire...
SupprimerOui, je te raconterai (enfin j'essaierai)
Bisous eMmA
Au train ou traine le train (hue, cocotte) les haricots verts ont le temps de monter en graine à faire plier les caténaires (ça s'est vu, l'haricot géant) et alors le train trainera plus encore, l'haricot montera plus haut juste qu'à s'attirer la foudre d'un Jupiter au petit pied et connaitre l'illumination.
RépondreSupprimerje sais, ça ne veut rien dire, mais ça résume assez bien mon absence de pensée du jour :)
Je trouve que tu ne te défends pas top mal question pensée...
SupprimerTu me diras quelles substances tu as absorbées...j'en veux !
;-)
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à ce moment là, café sucré à l'agave et biscotte beurrée à la confiture de cerise noire. pas plus, pas moins.
Supprimer:)
Oh ça c'est de la bonne ! miam, miam !
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Il y a souvent une récompense cachée dans les frustrations qui nous "tombent dessus sans crier gare" :)
RépondreSupprimerJe reconnais bien là ton positivisme qui ne doit rien à Auguste Comte, mais plutôt à ton caractère enjoué, toujours prompt comme moi à changer le plomb en or...
SupprimerBaci sorella
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Un haricot vert ? Ouf tu as échappé à la courge ! ];-D
RépondreSupprimerCertes. Où au poireau. Ou à l'oignon...
SupprimerMais c'est parce que je ne suis pas une grosse légume.
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C'était encore un cadeau du ciel, rien que pour toi... Je suis émerveillée par la vie et ses rencontres, il n'y a pas de zazard ma brave dame, on ne peut que le constater et le vivre avec... gourmandise. Bises Célestine, belle journée de repos. brigitte
RépondreSupprimerVivre avec gourmandise voilà une définition qui me convient parfaitement.
SupprimerBisous ma Plume
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c'est le propre de certains êtres de lumière que de vous laisser comme un haricot vert bouilli...
RépondreSupprimerTu as le don de transmuter en moment romanesque chaque épisode de la vie dite ordinaire -de même, parait il, les substances prohibées délivrent des trips somptueux aux personnes brillantes alors que les types ordinaires n'ont des visions minables
Ah ça c'est une théorie intéressante. Il n'y aurait rien là que de très logique: les gens brillants transforment le plomb du quotidien en or de joie.A moins que ce ne soit cette faculté qui les rende brillants...
SupprimerPour le haricot bouilli, je crois que c'est surtout le fait d'avoir passé neuf heures dans des trains à l'arrêt qui m'a fatiguée...
Avec rien à manger de surcroît...
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Dans un premier temps, j'ai cru que tu assimilais le haricot à la tête du moine. (tout le monde peut se tromper, comme disait le hérisson....)
RépondreSupprimerEn patois vaudois, une berclure est un tuteur pour haricot grimpant. C'est aussi, de façon imagée, une femme de haute taille.... Tu l'as fait exprès, le coup du haricot :-)
La tempête faisait-elle partie de la mouvance anarco-autonome de Julien Coupat pour ainsi perturber la circulation des TGV?
Mais que fait donc le gouvernement pour laissser à des arbres la possibilité de dicter les horaires essencéeffiens?
Les trains, et de façon plus générale tous les transports collectifs, sont des endroits de rencontre un peu magique.
Mais il n'est pas toujours nécessaire d'être du voyage pour ça. Une des grandes rencontres que j'aie fait avec un article de magazine, je la dois à un train raté par ma femme et une heure de désoeuvrement forcé dans une gare à l'attendre...
Bon repos.
Molto baci
« Tout le monde peut se tromper, comme disait le hérisson en descendant d'une brosse à habit...
SupprimerSi tu pouvais citer exactement tes références culturelles, ce serait bien. Y a Frédéric dard qui m'a appelé pour me le dire.
Eh oui, Julien Coupat La Ligne de Chemin de Fer, c'était un noble, non ? :-)
Ta phrase sur le gouvernement me fait penser à un billet que j'avais écrit il y a longtemps pour le défi du samedi...
Désoeuvrement forcé...tu vas me faire croire que le désoeuvrement t'ennuie, toi ?
Baci
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Je te dirais ça lorsque j'aurai rencontré le désoeuvrement.....
SupprimerQuant à la citation de San A. C'est le privilège de la notoriété de n'avoir plus à citer toute la citation.
Un peu comme "Etre ou ne pas Etre....." Plus personne pour penser que le pas Hêtre Chêne....
Baci
C'est exactement ce que je voulais dire...concernant le désoeuvrement.
SupprimerPour la citation, penser quand même que tout le monde n'a pas la culture audiardo-simeno-sanantoniesque ...
je dis ça, je dis rien...
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L'être de lumière... fatigant à force d'être Zen, franchement !
RépondreSupprimerDans mon ouagon il y avait un être de lumière également, ç'aurait été comique de se croiser dans un ouagon tout de même mais pas possible le mien de ouagon a mis le délai de route tout pile, moins de deux heures quinze, c'est même beaucoup trop rapide pour s'appeler un voyage...
Bleck
Franchement, vraiment ? Ce n'est pas lui qui était fatigant.
SupprimerEt puis tu dis ça parce que tu n'étais pas dans ce ouagon avec lui et moi.
Outre qu'il m'a permis de réviser mon anglais, il avait une pêche et un humour fabuleux...comme quoi on se fait de fausses idées sur les choses et les gens, non ?
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Jean d'Ormesson ne disait-il pas : "tout le bonheur du monde est dans l'inattendu".....
RépondreSupprimerCe vieux briscard ne dit pas que des âneries, loin s'en faut...
SupprimerEt ça, c'est assez génial.
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il n'en dit pas souvent, en fait "j'avais aimé à la folie mon passage sur cette terre, le soleil, l'espérance, le bruit de l'eau sur les pierres, les lendemains, ne rien faire, les clochettes des chèvres qui passaient en troupeau le long de la maison blanche, le silence, et les mots..."(la douane de mer)
Supprimeremma
Les pensées d'Epictète est un de mes livres de chevet. C'est très Zen le stoïcisme, ou le contraire, et ça m'évite de porter une robe orange ...
RépondreSupprimerLol
SupprimerC'est vrai que l' orange ne va pas avec tout...
Et c'est vrai aussi qu'il en faut, une bonne dose de stoïcisme, pour supporter les exactions des grands de ce monde...
Ou devrait-on plutôt dire « les glands de ce monde » ? ;-)
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Pauvre fée...
RépondreSupprimerJ'adore la fin de ta dernière phrase, "haricot vert bouilli oublié dans une cocote."������
Bisous chère fée
Je ne vois pas tes émoticones, mais je me doute que je t'ai fait sourire avec ma métaphore légumière.
SupprimerAujourd'hui ça va, je n'éprouve même pas le besoin de faire une sieste tellement j'ai passé une bonne nuit !
Bises ma luciole
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Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerJusqu'à présent je n'ai encore jamais entendu oncques choses crier "gare!" avant de tomber, mais peut-être suis-je dure de la feuille?
Je n'ai encore jamais rencontré de moine bouddhiste. Il m'en reste des choses à découvrir... ;-)
Bises,
Mo
Et un moine bouddhiste qui crie « gare » ? Ça c'est fort !
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Voici une bonne version instrumentale de "Feelings" plus connu chez nous sous le titre de "Dis lui" et qui est un plagiat (12 ans de procès) de "Pour toi" de Loulou Gasté le mari de Line Renaud
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/8Cg4IvsfUR4
Heureusement que vous êtes là pour pallier à mon inculture musicale, chère Alain. J'ai cherché désespérément une bonne version de cette chanson que j'adore mais j'étais vraiment trop naze hier soir.
SupprimerMerci donc. J'ai corrigé.
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Ce que j'apprécie c'est qu'il y a toujours la petite touche d'humour originale dans ce que tu écris.
RépondreSupprimerUn haricot bouilli, ça, fallait y penser ! :)
Mon père disait toujours que l'humour sauve de tout.
SupprimerJe crois qu'il avait définitivement raison...
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Les moines bouddhistes sont toujours d'une compagnie agréable. Souriants et calmes. Ça fait du bien.
RépondreSupprimerUne chance que tu as eue dans ce moment d'attente ferroviaire. Tu aurais pu tomber sur un malotru, hihi !
Bises
Angela
Je ne crois pas que je serais restée avec ce « malotru » plus de cinq minutes...
SupprimerEt puis les rencontres n'étant pas vraiment le fruit du hasard, aurais-je pu rencontrer un malotru... ? Là est la question...
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Et voilà, c'est la vie ! Un contre temps qui permet découvrir Zen Yu et sa philosophie. Un incident qui se transforme en une rencontre intéressante.
RépondreSupprimerUne façon de positiver les aléas de l'existence que tu connais bien, toi Daniel...
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Au train où vont les choses et avant que mes commentaires te courent sur le haricot,permet moi de te dire ,que te comparer à un haricot vert bouilli me laisse perplexe!Ce n'était pourtant pas un train à vapeur!
RépondreSupprimerTu sais que j'adore ton commentaire Didier ?
SupprimerC'est fin et spirituel comme j'aime...Merci ! j'ai bien ri
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Tu n'arrives pas à dormir dans un train arrêté ?
RépondreSupprimerAlors ça...
Avec la pagaille qu'il y avait hier soir, même une mouche tsé tsé n'aurait pas pu s'endormir...
SupprimerEt puis, le bruit de l'orage, du vent, et les annonces régulières du chef de bord avec sa voix métallique...
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Il t'a manqué l'entraînement régulier des réunions desquelles ne ressort que la date de la prochaine réunion...
SupprimerNe crois pas ça...l'éducation nationale m'en a fourni plus que mon content...
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Aurais-tu traversé la ville de Lyon ? Ma belle-fille est venue récupérer son petit ce soir, et elle nous a raconté cet incroyable orage d'hier soir sur Lyon. J'ai vu des photos sur le net, et il est vrai que c'était impressionnant.
RépondreSupprimerJ'attends la suite, moi aussi. :-)
Bisous Célestine.
j'étais un peu plus au sud...mais il y a eu de la violence dans cette tempête-là...
SupprimerBisous Françoise
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ah ouii! ouizaout shaouting staïschön!
RépondreSupprimerAll to fact !
SupprimerVous aurez traduit: tout à fait ! ;-)
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depuis que je me balade avec dans mon sac un livre, quelque fois deux, je peux encaisser ce genre de contrariétés... mais tomber tout de même sur un article qui parle d'apprendre à accepter les choses pour lesquelles on a aucune prise à un moment clef où cela nous arrive, en plus sans crier gare, dans un train, est quand même comique!!! toi, un haricot bouilli, tu n'es pas un peu en avance sur la saison!!!
RépondreSupprimerJ'avoue que la coïncidence était troublante et m'a fait beaucoup rire...
SupprimerUn livre ? en prévision d'une soirée « chiante » Pourquoi pas ? ;-)
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