La Licorne a passé le seuil de ma porte, toute esbaudie de découvrir mon univers.
Ce soir je reçois le mail
d'une lectrice qui préfère rester dans l'ombre. Quelques mots positifs qui gonflent le coeur comme un gâteau. Qui aident à avancer dans la brume existentielle.
"…Sache que ton blog
est un havre de bien être, de poésie, de délire culturel, de partage pas trop
mielleux, d'humour, et qu'il devrait être remboursé par la sécu… » J'ai les yeux humides...
C'est vrai que j’aime
accueillir. Recevoir. Je pense que je suis née avec les bras ouverts. J’aime
que l’on se sente bien chez moi.
J’ai quelque part en moi un
peu de ces dames du temps jadis tenant salon, de ces salons où les mots
d’esprit fusaient…de ces femmes libres avant que les femmes veuillent être
libres. Des Agnès Sorel, des Marie d'Agoult…
J’aurais été peut-être,
plus tard, une égérie, une sorte de Juliette Gréco, une Gala, une
Elsa Triolet. J’aurais adoré vivre à Saint Germain, fréquenter les
existentialistes, les surréalistes, serrer la pogne à Vian, à Sartre, à
Prévert.
Ciel... parler à Aragon ou à Eluard ! Que dis-je ? Avoir la chance ultime de les approcher, d'effleurer de mes oreilles quelques mots de ces géants.
Fréquenter les caves de la rue de Rennes, écouter le jazz m'écorcher le cœur de ses feulements et me donner des fourmis dans les pieds. Une époque fascinante, où tout semblait tourner autour de la peinture, la musique, et la littérature, où le cœur de Paris battait au Quartier Latin. Voir Leo Ferré déchirer l’air comme un drapeau de ses cris de rage sourde et sublime, aller boire un coup au Flore, me sentir libre…libre de penser, libre de mon corps, libre de vivre quoi...
Ciel... parler à Aragon ou à Eluard ! Que dis-je ? Avoir la chance ultime de les approcher, d'effleurer de mes oreilles quelques mots de ces géants.
Fréquenter les caves de la rue de Rennes, écouter le jazz m'écorcher le cœur de ses feulements et me donner des fourmis dans les pieds. Une époque fascinante, où tout semblait tourner autour de la peinture, la musique, et la littérature, où le cœur de Paris battait au Quartier Latin. Voir Leo Ferré déchirer l’air comme un drapeau de ses cris de rage sourde et sublime, aller boire un coup au Flore, me sentir libre…libre de penser, libre de mon corps, libre de vivre quoi...
J'en étais là de ma
rêverie, délicieusement vautrée au soleil d'octobre en sirotant un capuccino.
Quand le téléphone m'a ramenée brutalement sur terre. C'était les
cuisines Muchmul qui voulaient savoir si j'étais intéressée par leur tourniquette à vinaigrette.
Ah! Gudule ! Je me demande ce qu'un Boris Vian leur aurait répondu.
¸¸.•*¨*• ☆
Pas la moindre idée de commentaire. Voulais juste être le premier. Ecrirai quelque chose de sensé plus tard.
RépondreSupprimerAmusant ! Mais même si l'on vit à une époque de jeux du cirque virtuels, il n'y a rien à gagner à être le premier...Sauf, comme je le dis toujours, à donner le la de la conversation, mais là, ce qui est génial, c'est que tu ne dévoiles rien et le ton reste neutre.
SupprimerMerci de ton premier passage l'homme.
Oui tu es une vraie muse qu'on aimerait gâter de fleurs, voir tout le temps s'épanouir pour humer ses airs et ses mots de bonté et de bonheur. Quiconque vient butiner dans ton pré ne risque pas ne pas y revenir. Je suis comme un papillon qui voudrait redevenir chenille pour me loger dans une des veines de ton coquelicot et pour goûter goulûment ta senteur éternelle.
RépondreSupprimerJolie ta dernière phrase...
SupprimerDes fleurs ? Oui j'aime en recevoir, mais j'aime aussi à penser que celui ou celle qui a envie de me balancer quelques poireaux ou tomates puisse le faire tranquillement...Du moment que c'est fait de façon respectueuse, et dans l'humour, cette politesse si réjouisante, la contradiction est une source d'enrichissement intellectuel.
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Oui Célestine, j'étais aux petits soins avec toi et avec des fleurs, je tacherais d'être "aux petits oignons" à moins que tu en préfères les pelures !..
Supprimerje vois que tu as de l'humour, mon cher poète !
Supprimerles fleurs, j'adore, surtout les roses et les tulipes.
Quelle réjouissance dominicale...
Passe un bon dimanche étoilé
¸¸.•*¨*• ☆
Je suis toujours comme un papillon qui voudrait redevenir chenille pour me loger dans une des veines de ton coquelicot et pour goûter goulûment ta senteur éternelle.
SupprimerEt là, je tournois, je tournois, indéfiniment dans ton jardin qui est comblé de fleurs de toutes les senteurs, et j'ai peur de m'enfermer dans une seule veine, d'une seule fleur, même d'un coquelicot. La muse ne peut s'inspirer d'une seule senteur et d'une seule fleur, elle ne se pardonnerait pas de rendre les autres tristes.
C'est bien dit...
SupprimerUn pétale à chacun et chacune...
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Ton blog suit la tradition des salons philosophiques de Scarron et Françoise d'Aubigné ou de Mme de Staël (pour n'en citer que deux).
RépondreSupprimerDans les boîtes à jazz, tu n'aurais pas fait pâle figure à côté de Gréco (dont Boris Vian avait dit qu'elle n'est pas faite pour chanter... Le génies ne sont pas infaillibles :-) ) ou de Magali Noël.
Tiens, tu pourrais peut-être chanter Fais-moi mal Johnny :-)
Ti bacio
Je vois que nous Maintenon un certain niveau littéraire par ce commentaire qui cite la célèbre vaudoise... Seras-tu un brin chauvin, caro mio ?
SupprimerFais-moi mal... même si c'est un chef d'oeuvre de second degré, j'aurais trop peur que certains margoulins me prennent au mot !
Baci
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Madame de Staël était avant tout une européenne et une intellectuelle de haut niveau. Certes ça lui a servi pour quitter la France lorsque le roi prenait ombrage de sa liberté de parole.
SupprimerCe qu'elle fit de "suisse", c'est de faire connaître en France la littérature suisse-alémanique.
Mille baci
Je te taquinais...mais c'est bien de connaître l'histoire de ses compatriotes.
Supprimerje ne connais pas assez cette femme brillante. C'est un tort.
Baci della notte
¸¸.•*¨*• ☆
Muse,égérie, Greco, Elsa, pas mal. Mais parler aux cuisines Muchmul... mon rêve inaccessible... Bises un peu jalouses de tes fréquentations germanopratines, :P moi qui ne propose que des rencontres vermandovaloises. ATTB Miss W.
RépondreSupprimerIl faudra que tu m'expliques vermandovaloise, que je n'ai pas trouvé dans le dico. Vermandois, oui, je vois à peu près.
SupprimerQuant à ton rêve, inaccessible...tu ne perds rien, si les banques de données ont oublié ton numéro, heureux homme. Moi, j'ai beau bloquer les numéros, il y en a toujours de nouveaux qui trouvent le chemin et viennent me proposer des trucs faramineux...des conventions obsèques par exemple. Alors que tout le monde le sait, je n'ai aucune intention de mourir ! ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Vermandois c'est là où je vis. Nobody's perfect.
SupprimerValois c'est là où je suis né 100 km plus au sud. L'un des berceaux de la monarchie française. Et les ombres de Rousseau et surtout Nerval. Etangs et forêts, Chantilly, Compiègne, Senlis ma ville natale qui à propos n'a pas encore inauguré ma statue équestre. Tout fout le camp. Bises isariennes (de l'Oise) et axonaises (de l'Aisne). En géographie très prochainement retour au Nevada sur mon blog. Bises à toi et bien le bonjour chez Muchmul. ATTB :D
J'ai tout compris: tu vis dans le berceau des rois. C'est chouette.
SupprimerJe vais courir dans les plaines du far-west quand viendra la nuit, alors...
kiss and attb
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Mais que fait-donc le genevois Rousseau dans le berceau de la royauté française?
SupprimerRousseau a fréquenté ces coins-là, je crois...Ermenonville, Senlis...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
"née les bras ouverts" pfiou, ça a dû faire mal...
RépondreSupprimerBleck
N'en parle pas à ma mère, je ne sais pas si elle s'en est remise... :-D
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bravo pour la chute, existentielle.
RépondreSupprimerBleck
Ah oui, les contingences matérielles de notre époque, ça tape le cul par terre...
SupprimerMais faut bien vivre, dira-t-on. Ce qui est une expression assez tragi-comique, quand on sait comment vivent ces forçats du standard...
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Forcément, "Va chier" pour les cuisines muchmul ça passe mal dans ton contexte et puis l'interlocuteur téléphonique prendrait de plein fouet ce qui est destiné à son donneur d'ordre...pourtant rien d'autre ne me vient à l'esprit.
RépondreSupprimerC'est certain...mais j'ai toujours un peu de mal à les envoyer chier, comme tu dis.
SupprimerCe sont des êtres humains au bout, je ne peux pas m'empêcher d'y penser.
Bises et bonne journée ma belle
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Comme Elsa Triolet ? Elsa l'espionne soviétique chargée de remettre Aragon dans le droit chemin à chaque fois qu'il s'éloignait de la ligne officielle du parti ?? Une muse-lierre, oui ! d:^)
RépondreSupprimerEvidemment, vu comme ça, c'est beaucoup moins romantique.
Supprimermais muse-lierre, c'est joli.
Ma foi, la politique, c'est une chose, mais les mots qu'elle inspira restent sublimes.
Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure
¸¸.•*¨*• ☆
Ne tiens-tu pas la version contemporaine du salon ? Un salon virtuel, où chacun peut se rendre et est accueilli, quel que soit le lieu où il réside, et surtout sans souci de classe (sociale)...
RépondreSupprimerJ'admire ta culture : tous ces noms et l'époque à laquelle ils se rattachent t'ont l'air tellement familiers !
Dernière chose : par déduction il semble que tu ne te sentirais pas, en notre belle époque 2.0, “libre…libre de penser, libre de [ton] corps, libre de vivre quoi…“ . Tu m'en vois étonné. Mais tu as peut-être raison, après tout…
Bises existentialistes
Sans souci de classe sociale, c'est certain, bien que la forme même de l'exercice opère forcément un tri involontaire, et que par affinités l'on se porte naturellement vers les blogs qui nous parlent.
SupprimerMa culture est bien imparfaite, mais certaines époques littéraires me plaisent davantage, et je lis beaucoup. Je suis d'une époque où la lecture était la seule façon de se cultiver, et j'ai toujours été boulimique de lecture.
Quant à la liberté, vaste débat. Je trouve notre époque terriblement liberticide. Bien sûr que nous vivons dans une démocratie, mais a-t-on vraiment le droit de dire tout ce que l'on veut ? Et les replis frileux auxquels on assiste en ce moment prêchent plutôt pour un retour à des schémas classiques, familiaux, patriarcaux...Ma rêverie existentialiste fait plutôt état d'une certaine insouciance, que j'ai vécue dans ma jeunesse, et qui semble avoir déserté...
¸¸.•*¨*• ☆
La valeur d'une démocratie se mesure à l'aulne du sort qu'elle réserve à ses moins bien lotis et au respect de ses contestataires...
SupprimerAppréciation du régent concernant Mademoiselle Marianne:
-" Doit se ressaisir sérieusement. Mademoiselle Marianne est passée du "peut mieux faire" de la 4e république à "monopolise le bonnet d'âne" de la 5e".
Avis de l'observatoire des démocraties:
Si Mademoiselle Marianne ne change pas radicalement d'attitude, la notation devra être étendue aux valeurs négatives.
Ti bacio
Bien vu, le bulletin de notes de Marianne. Elle aurait besoin d'une bonne session de soutien personnalisé, je crois.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Mais libre, tu l'es déjà Célestine. "Il y en a même qui t'ont vue voler" ! Tu as eu la chance de naître libre, dans un pays libre où la femme l'est parfois un peu moins que l'homme...mais quand même. Libre de prendre du plaisir avec qui et quand tu le veux et libre de choisir ta façon de vivre. Voici pour toi, tel un vent de liberté, quelques bises dominicales.Chinou (presque libre)
RépondreSupprimerAh oui, bien sûr, Chinou, une institutrice en France en 2015 est quand même très libre, loin de moi l'idée de me plaindre. Je parlais simplement d'un état d'esprit particulier. Voir ci-dessus ma réponse à Pierre. Mais la liberté est chose fragile, et aucun acquis ne mérite ce mot. Rien n'est jamais acquis à l'homme...
SupprimerMerci pour tes mots, Chinou, tu sais quelle portée et quel écho ils ont en moi. ;-)
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L'existentialisme n'était pas une philosophie mais une mode. C'est bien la raison pour laquelle il n'en reste rien aujourd'hui. Gréco, Ferré, Vian sonnent creux et faux. Le seul vrai, et le seul à avoir survécu cette époque sans la moindre égratignure, est Camus, dont la pensėe reste plus moderne et actuelle que jamais. Hugh, j'ai dit :-)
RépondreSupprimerHugh ! Quand homme blanc parle, idées fusent !
SupprimerAh oui, Camus, bien sûr...Loin de moi l'idée de ne pas lui donner la lumineuse place qu'il mérite...
Peut-être, malgré tout, que l'existentialisme a été maintenu au rang de "mode" parce qu'il dérangeait plus que de raison...Une philosophie qui prône le rejet des doctrines religieuses, et qui affirme que l'homme "forme lui-même l'essence de sa vie", c'est dangereux...N'oublions pas que certains ont été officiellement excommuniés, à l'époque c'était quand même l'opprobre suprême...
Mais si les zazous sonnent creux, on ne peut pas dire ça de Ferré.
Ce sont des enragés qui dérangent l'histoire
Et qui mettent du sang sur les chiffres parfois
Comme si l'on devait toucher du doigt pour croire
Qu'un peuple heureux rotant tout seul dans sa mangeoire
Vaut bien une tête de roi
Madame la misère écoutez le silence
Qui entoure le lit défait des magistrats
Le code de la peur se rime avec potence
Il suffit de trouver quelques pendus d'avance
Et mon Dieu ça ne manque pas
C'est pas un peu criant d'actualité, ça ?
Bises étoilées
... Ce n'est plus la même époque ma chère Dame ! mais les cercles littéraires... encore plus avant, ceux du XVIIème siècle par exemple.. avec une conversation raffinée,, leurs salons musicaux, de poésie (galante !), d'Art, j'y pensais aussi.... J'aurais aimé m'y amuser.. telle la Marquise de Rambouillet qui recevait avec bon goût et bienséance dans sa célèbre "chambre bleue".. où l'on jouait aussi .. "au coeur volé", "la chance à l'amour", "le corbillon".. où l'on débatait philosophiquement... avec une certaine préciosité, une certaine élégance.. à ce que l'on disait...
RépondreSupprimeret plus tard, parler à Aragon, Eluard.. fréquenter St-Germain-des-Prés.. ses quartiers, les intellectuels que l'on pouvait rencontrer... ah ! ça oui aussi.... on aurait pu se croiser, n'est-ce pas Célestine ! ... ton billet me laisse toute chose... merci ....
bon dimanche....
Den
On est bien d'accord, Den. Aucune nostalgie d'une époque révolue dans cette rêverie, qui me fait un peu penser au film de Woody Allen, Midnight in Paris, dans lequel le héros se retrouve plongé à cette grande époque, et rencontre Dali, Hemingway, Cole Porter et bien d'autres figures emblématiques...
SupprimerUne simple rêverie célestinienne.
Bisous, bon dimanche chère Den
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Contrairement à ce qu'on essaie de nous faire croire, l'abonnement à une ligne téléphonique n'est pas obligatoire :o)
RépondreSupprimerC'est pourtant bien pratique pour joindre les gens...
SupprimerNe me dis pas que tu n'as pas de téléphone, Boss ? Non ? Tu utilises un pigeon voyageur ? Ou deux pots de yaourts reliés par un fil ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Ce n'est pas parce que je suis con que tout le monde est obligé de l'être et puis, ce n'est pas moi qui me plains d'être dérangé par le bigophone :-)
SupprimerTsss...
SupprimerC'était aussi la mode "zazou" mais qui s'en souvient ? Vestes aux épaules démesurément larges, pantalons à revers un poil trop courts style "feu de plancher" alors on récupérait tout pour se faire des fringues, des bâches en ciré noir provenant des surplus américains, Gréco avait lancé la mode des impers noirs cirés !
RépondreSupprimerJoli billet, mais je ne pense qu'il était permis à tout le monde de croiser ces gens là !
Il est toujours joli le temps passé )
Il faiut lire "je ne pense pas " sorry !
Supprimerandiamo le re retour !
SupprimerPour les nostalgiques de cette époque un film de Jacques Becker (le papa de Jean) "rendez vous de Juillet" avec : Daniel Gélin, Nicole Courcel, et non cité au générique Francis Mazières qui visita l'île de Paques après l'avoir atteinte à bord d'un voilier (point d'aéroport à l'époque) il avait écrit un bouquin à l'époque fin années soixante : "fantastique île de Pâques"
Pour les nostalgiques de l'époque Saint Germain des prés,le lien vers le film : https://youtu.be/4ORER0VyEZ4
La mode zazou était comme toutes les modes. Ephémère et futile.
SupprimerJe n'en suis pas nostalgique. Je me disais juste que dans une autre vie, j'aurais bien aimé naviguer un peu dans ces milieux interlopes...mais après tout, c'étaient des êtres humains comme les autres, et comme disait Leo Ferré dans une interview, il n'y a pas d'idole.Il n'y a rien d'autre que la vie, et au bout, la mort.
Merci pour le lien : l'extrait choisi montre bien que le début des années 50 a été marqué par un désir d'oublier l'horreur, et donc une insouciance un peu affectée, parfois. le jazz, puis le rock, sont tombés à pic.
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ah les Zazous !
SupprimerL'excellente Brigitte Fontaine ne les a pas oubliées.....
http://www.dailymotion.com/video/x1umyf_matthieu-chedid-brigitte-fontaine_music
Ce que j'avais oublié, moi, c'est qu'elle était accompagnée du moins excellent "M"
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Andiamo tu as oublié le parapluie dans ta description .. Je ne peux pas m'en souvenir mais j'ai des photos d'une petite-cousine dans sa période "zazou":-)
SupprimerJ'aimerais bien la voir, cette photo moi... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Comment on fait pour mettre une image dans un comm, ici? J'ai déjà bien du mal à en mettre sur mon blog ;-)
Supprimer(Bonne nuit...)
Il faut que tu la publies chez toi, quelque part, dans un vieux billet par exemple, et ensuite tu me donnes le lien URL de la photo. C'est tout simple...
SupprimerBisous
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Tu peux aussi me l'envoyer par mail... ^^
SupprimerEh Ti Sucre, déjà levée?
SupprimerOn est encore à aujourd'hui et tu en est déjà à demain....
Bonne journée et bisous
On assiste en direct à la jonction de deux espaces-temps...c'est pas si courant.
SupprimerDepuis la chanson de jacques Dutronc, qui allait se coucher à l'heure ou paris s'éveille, on n'avait plus vu ça...
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En même temps, je regrette un peu l'époque où je faisais autre chose de mes nuits que roupiller.... ou pas :-)
SupprimerAh bon ? je croyais que tu avais une vie trépidante au contraire... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
des appels téléphoniques tjs dérangeants
RépondreSupprimerOui, en pleine rêverie, ça fait mal...si au moins c'était pour m'annoncer que j'avais gagné le yoyo en bois du Japon...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Vian est incontournable!!
RépondreSupprimerTout en un: ingénieur, musicien trompettiste chanteur et écrivain poète!!
cette chanson loufoque est une de mes préférées, j'en ai encore le vinyle.contenant d'autres perles toutes aussi savoureuses!!
bon dimanche Célestine!
Ah Gudule ! Viens dans mes bras...
SupprimerBelle journée ! (pour les escargots)
Merci pour m'avoir fait découvrir la Licorne...Après Rackham le Rouge, c'était preque logique...
Kiss
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je suis "presque" réveillée...
Supprimer^^
Vous y auriez été dans votre élément...comme vous l'êtes ici.
RépondreSupprimerBrillante mais jamais pimbêche.
~L~
Je n'avais jamais remarqué que votre ~L~ représentait un visage à la Cocteau...
SupprimerC'est très joli
¸¸.•*¨*• ☆
Joli billet ... je me dis que tu es déjà libre, puisque tu es une petite étoile terrestre qui apporte de la lumière tout autour d'elle ...
RépondreSupprimerBisous poétiques à une muse céleste <3
C'est tut mignon ce que tu dis. tant pis si je suis un peu guimauve ce soir mais voilà. Ça me fait du bien.
SupprimerGros kiss
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Elle a raison ta lectrice anonyme , lire tes billets fait du bien ! et tu fais une très jolie muse, le petite (peut-être grande d'ailleurs) fée de la blogo ... bravo continue à nous faire rêver !
RépondreSupprimerCent septante trois centimètres...
Supprimermais j'aime bien que tu m'appelles "petite fée"...
Bises du soir Daddy
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Le tourniquette à vinaigrette, alors c'est non. Mais pour le bel asporatuer à bouffer les odeurs, tu te laisseras peut-être tenter.
RépondreSupprimerEt que fais-tu de l'écorche-poulet et de l'efface-poussière ?
SupprimerDélicieux, non ?
¸¸.•*¨*• ☆
Ah non Célestine !
RépondreSupprimerQui tu veux mais PAS Juliette Gréco !
Un peu de dignité que diable !
;-)
Seulement si tu me dis pourquoi...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Attention, Célestine, c'est une femme qui te dit ça ! D'habitude, chez toi, on y voit plutôt une liste de pseudos masculins qui te complimentent (lol)
RépondreSupprimerMais ça fait du bien, hein.
Et tout est juste dans ces propos.
Ce temps "des salons où l'on cause" est un peu révolu mais j'aime bien l'idée, et les grands Hommes ont tous une égérie cachée ou non, même au XXIe siècle !
Pour ce qui est des comparaisons, je te laisse seule juge (lol)
Bonne semaine et gros bisous
Détrompe-toi ma chère Soène, il y a autant de pseudos féminins...
Supprimermais certains cachent leur jeu (Brin de Broc, Boulgom, Jak, etc...ce sont des filles !)
Même si je n'ai pas tout à fait compris ce que tu voulais dire, je retiens que c'est positif pour moi.Et je t'en remercie, du fond du coeur.
Bises swapounette
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J'aurais bien aimé être ta voisine, rue de Rennes.......belle semaine Célestine
SupprimerOui, il y a comme ça des rêves "littéraires" qui sont agréables pour des filles romanesques...
SupprimerBelle semaine à toi,petite Miss, belles vacances avec ton petit koala.
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Entre les cuisines muchmul et les salons kiprenenmainnotdos, on a beau les mettre en indésirables, les bloquer,
RépondreSupprimerils y en a toujours qui résistent.
Je me demande vraiment si cela donne un réel résultat tant on est exaspérés.
Et de surcroit troubler les rêveries de notre Célestine , c’est de l’abus de pouvoir !
Bref on n’est plus libre ….
« libre de penser, libre de mon corps, libre de vivre quoi... »
Je me dis souvent que les pauvres au bout du fil ne méritent pas qu'on leur parle mal ou qu'on leur raccroche au nez...Mais il est vrai qu'ils tombent souvent comme un cheveu dans la soupe...
SupprimerBises du matin,Jak, merci pour tes mots
¸¸.•*¨*• ☆
Dire que vous ratez les marchands de vins italiens qui veulent vous vendre du Valpolicella ordinaire au prix du Bourgogne millésimé.
SupprimerEt les courtiers en bourses ... J'étais informé en avant première de toutes les baisses d'actions et de cours de toutes les monnaies. A chaque fois qu'un courtier me téléphonait pour me vendre un truc, il se cassait la gueule dans les 72 heures. Comme ce sont des gens qui ont été cloné avec un pot de glu, je t'explique pas la sinécure pour s'en dépatouiller élégamment.
Un jour j'avais pris le temps d'expliquer pourquoi il fait un métier qui mériterait 10 ans de prison, les fluctuations spéculatives sur le cours de la bouffe qui affame le Tiers-monde, les sans-grades d'Europe qui perdent leur boulot au nom du profit, tout.
Je lui avais fait découvrir une face du monde qu'il ne connaissait pas. Il m'a écouté, posé des questions et au son de sa voix en bout d'entretien, je suis certain que ce gars s'est cherché un autre job.
Comme ils sont surveillés et enregistrer, son boss a du savoir pourquoi il tenait un client depuis 3/4 heure et je n'ai plus jamais eu ce genre de raseur.
Mais j'attends encore un téléphone de Monsieur Macheprot m'expliquant qu'il est en panne avec son ouvre-boite.
Baci
Ah si tu vas chercher les valeurs sûres...
SupprimerS'amuser au téléphone ça peut être bien. Les gens sont trop sérieux de nos jours...
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Un blog que je découvre, intéressant et très personnel comme je les aime.....
RépondreSupprimerBienvenue Daniel, je te rajoute à mon totem.^^
SupprimerA très bientôt
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Ha ma bonne dame, les cuisines, les assurances et à présent les appels anonymes... une bien jolie rêverie que tu as eu et je confirme que ton blog est accueillant et que c'est un plaisir de venir s'y promener... bisous bretons
RépondreSupprimerOui les appels anonymes sont désagréables...
Supprimermais tes commentaires eux, sont toujours appréciés !
Bizou Brizou
¸¸.•*¨*• ☆
Bon ben c'est un peu raté tout ça, tu as Mind The Gap comme interlocuteur...
RépondreSupprimerMais tu as fini de te dévaloriser comme ça, vilain garçon ?
SupprimerToi qui es plein de qualités intrinsèques ...
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Ce blog est très agréable, varié et mutin.
RépondreSupprimerUn must de la piraterie...^^
Besos ♥
Jack
PS: Ah ces pub téléphoniques, toujours au moment des bons repas ;)
Eh oui, je prenais le frais sur le pont, "la jambe légère et l'oeil polisson"*, me laissant aller à quelque rêverie, quand un malotru m'a malencontreusement réveillée...Si encore il m'avait proposé quelque promenade sur une goélette, ou quelque tasse de chocolat...Mais que nenni. Un grossier personnage, voilà tout.
SupprimerBises marines
¸¸.•*¨*• ☆
* Brassens, hein, je cite mes sources sinon Andiamo va dire que je plagie...^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Il y a déjà bien longtemps, je te disais dans un commentaire que je venais chez toi comme dans un ces salons du temps jadis et je t'ai surprise parce que je lisais tous les commentaires qui sont drôles, riches, émouvants, pleins de malice ou de tendresse. Un salon où il fait décidément bon vivre.....
RépondreSupprimerIl y a déjà bien longtemps, je te disais dans un commentaire que je venais chez toi comme dans un ces salons du temps jadis et je t'ai surprise parce que je lisais tous les commentaires qui sont drôles, riches, émouvants, pleins de malice ou de tendresse. Un salon où il fait décidément bon vivre.....
RépondreSupprimerje me souviens. Peut-être que lorsque j'ai écrit mon billet, incosciemment, j'ai repensé à ce que tu disais ce jour là...
SupprimerEn tous les cas, oui, il fait bon vivre dans ce salon-là. Et ta petite fleur bleue me manque quand je ne la vois pas à l'horizon. mais soudain tu es là et tout s'illumine.
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De quoi devenir téléphonophobe.
RépondreSupprimerPourquoi ne pas demander l'assistance de Gary Cooper en allant au cinématographe ?
C'est une bonne idée, Oncle Joe !
SupprimerPourquoi j'y ai pas pensé ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Mais attention à Allan Lad
SupprimerTu n'es pas un crouton de pain d'accord, mais lui, le sait-il?
Ti bacio
Il n'est pas miro, quand même ...
SupprimerMoi je suis en sûreté dans mon fauteuil, puisque tu es assis à côté de moi...
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Quand je perds quelque chose, je commence par m'énerver, puis j'invoque Saint Antoine de Padoue, le saint qui aide à retrouver les objets. Parfois ça marche !
RépondreSupprimerTu es sûr qu'il est au bon endroit ce com, Daniel ? ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆