En réponse aux déchaînements plumitifs, picaresques et piratesques de
Rackham le Rouge et de Bizak son complice de tribulations, je vous offre
une petite fantaisie légère pour égayer ce début d'automne.
Pour toutes celles, et ceux qui aiment rêver d'aventure ...
Pour toutes celles, et ceux qui aiment rêver d'aventure ...
***
Laissez-moi vous conter la rencontre singulière que je fis un soir de longue lune où les courants avaient ramené
mon vaisseau tout contre celui d’un écumeur des mers bien connu.
J’avais jeté négligemment, pour les réchauffer, ma capeline de
velours noir sur mes frêles épaules dénudées par le même vent. Ma
robe blanche flottait en étendard autour de mes cuisses.
Cependant que nous descendîmes dans le ventre
chaud du bateau, pas un bruit ne troublait cette nuit fabuleuse où
scintillaient les reflets de la lune sur l’eau comme autant de diamants. Le Capitaine avait
dû assommer ses hommes d’une triple ration de rhum.
Une fois dans la cache secrète, Jack fit
jouer un hasardeux mécanisme qui, fruit de mon imagination en fièvre, ou
réalité tangible, déclencha l’apparition de maître Pô.
« Par Carradine ! Comment est-ce
possible ? » Murmurai-je in petto. Cela dura quelques minutes. De sa
voix énigmatique, Maître Pô me prédit un imminent bonheur.
Puis l’image disparut, me laissant sans voix.
Je regardai mon compagnon dont le corps se colla au mien.
La tête pleine de cette magie puissante que
seuls les maîtres pirates savent dispenser, telle une musique envoûtante, au
cœur des moussaillonnes, je me promis pourtant de résister à l’appel de ces
bras puissants, en me concentrant sur celui de ma drogue favorite. Mais Jack me la
servit aussitôt, dans la profondeur humide de cette cale prodigieuse : un
chocolat fumant et diabolique qui pouvait facilement embarquer les neurones
dans le désir vibrant de la chair étonnée.
Soudain l’homme au tricorne lécha mes
moustaches de chocolat, d’une langue si douce que tout mon être fondit comme beurre de cacao au soleil des Tropiques. C’en fut fait de mes résolutions de
rebelle.
Dans un grand élan de soie et de bure, nos
corps firent voler leurs vêtements pour se retrouver nus et plaqués au sol par des alizés espiègles. C’était d’une surprenante langueur et en même temps d’une
force tremblante qui ôtait les mots de la bouche et les faisait sécher comme
des harengs sur des cordes de lin.
Je fus subjuguée. La vigueur conquérante de Jack n’était donc pas un mythe ! La quille de son navire me chavira, tout de go, investit mes creux et mes monts, parcourus mes abris côtiers, s’attarda sur mes plages, souffla dans mes haubans et bientôt je ne fus plus que houle ondulante et flots déferlants.
Je fus subjuguée. La vigueur conquérante de Jack n’était donc pas un mythe ! La quille de son navire me chavira, tout de go, investit mes creux et mes monts, parcourus mes abris côtiers, s’attarda sur mes plages, souffla dans mes haubans et bientôt je ne fus plus que houle ondulante et flots déferlants.
Il manoeuvra dans mes eaux troubles durant ce
qui me sembla des heures, infatigable pourfendeur et havre bienfaisant à la
fois. Ses mains affolantes semblaient trouver seules les chemins de mon haletant désir,
connaître chaque crique, chaque grain de sel de ma peau. Le cuivre de la sienne
luisait d’un éclat sauvage à la lueur des lampes à huile. Nous bûmes encore et
encore de ce breuvage si inspirant, et je repartis à l’assaut en l’enfourchant
en amazone pour une cavalcade sauvage qui me laissa épantelée.
Au matin, je quittai la goélette, la dentelle
en désordre, les cheveux fous et le cœur renversé de félicité.
Comme jadis, le voyant aveugle ne se trompait jamais.
Rôôôôô, pas de chance, j'avais misé sur l'attrait de l'uniforme pour te séduire, et c'est aux mauvais garçons que tu es sensible.
RépondreSupprimerMoi, caporal Blutch, je sais maintenant qu'il ne lui reste que la solution de déserter et de venir t'enlever, te prenant en croupe sur les fesses d'Arabesque et nous galoperons pour échapper au vilain sergent Chesterfield.
Je t'emmènerai au port de Valparaiso voir le sort réservé aux pirates... Heu oui, si Chesterfield n'arrive pas à nous rejoindre avant...
Ti bacio
Le prestige de l'uniforme pour un vieil anar comme toi ?
SupprimerTu vois on se ressemble : on n'en est pas à une contradiction près.
Celà dit, je ne connais pas vraiment les tuniques bleues, ça manque à ma culture...
Baci anche
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Ben, caporal Blutch, si tu sais manier les armes et si le coeur t'en dit, je peux t'engager sur mon rafiot et t'indiquerais le repaire du pirate qui se trouve d'ailleurs non loin de l'île de Monté Cristo. Mais seulement je doute fort que le capt'ain te laisse approcher de ses réserves chocolat, si c'est à cela que tu penses en voulant peut être troquer ton uniforme contre un baril de son chocolat . Et puis Célestine n'aime pas qu'on lui dise de quel côté souffle l'alizé!
SupprimerLe caporal Blutch ne s'est pas présenté au rapport, capitaine.
SupprimerIl y a anguille sous cloche ! Ou baleine sous gravier, si vous préférez...
Ce n'est pas de son fait.
¸¸.•*¨*• ☆
Je courrais dans tous les sens, sur mon fier destrier, pour t'enlever à la convoitise des pirates côtiers....
SupprimerJe ne t'ai point trouvée dans le Sud-ouest, lundi j'irai voir en Bourgogne...
Ti Bacio
Dommage que ta route ne croise plus la fabrique de douceurs...
Supprimermille baci
¸¸.•*¨*• ☆
Mais peut-être te trouverais-je en bergère au pays du Roquefort ou à l'angle d'une prairie à garder un troupeau de Charolaises....
SupprimerTi bacio forte
Qui sait ? j'ai un grand périple à faire dans le Sud-Ouest, des amis à voir à Pézenas, à Carcassonne, à Toulouse, à Perpignan, en Dordogne...ce sera pour la belle saison.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je me rappelle cette escapade nuitale, sous une lune désespérément grise alors que le matin tu n’avais cessé de me bourlinguer ma cervelle embrumée avec ton chocolat aux mille élixirs divins que t’avais promis un pirate. Cette nuit là je ne savais pas comment subitement le sommeil m’avait gagné avant l’heure sans compter le vent qui commençait à tout valser mettant tout sens dessous dessus. Ce matin à mon réveil oh ! surprise je te voyais accrocher au grand mât telle une ventouse enchainée .Tu avais l’impression d’avoir labourer toute la mer méditerranée tellement tes cheveux étaient ébouriffés, tes joues enflammées, tes yeux arrondis comme des phares. C’était comme si tu venais de sortir d’un bal enivrant où le diable était le maître.
RépondreSupprimerJe t’avais posé la question de savoir ce que tu faisais debout à cette heure matinale, accrochée à ce poteau. Tu m’avais répondu alors : que veux tu que je fasse si ce n’est que pendant que toi t’étais dans les bras de Morphée moi, j’étais là lutter contre le vent et tempête jusqu’à ce matin où j’ai réussi à m’accrocher à ce gros mât et en grimpant aux rideaux… pardon aux voiles, je voulais dire. Je peux te dire que j’ai passé une nuit assez mouvementée, rêvant beaucoup de chocolat !
Tu as fini Moussaillonne de me prendre pour le dernier des mohicans, je lis à travers les cloisons…bien plus, je devine les âmes les plus secrètes, mais il n’y a pas grand mal, ce ne sont pas de ces vérités casse-gueule dont j’ai envie d’entendre ; Mais sache moussaillonne, que le vin était tiré quand au lieu de grimper aux voiles, tu grimpais aux rideaux, si tu comprends bien sûr le français.
Remets-toi mon pirate, je te le dirais plus tard, j’ai mille choses à te conter mais ce matin j’ai bien besoin d’un bon somme et d’une bonne douche à l’eau de rose.
Après mure réflexion, au vu de ton texte palpitant et excellemment tourné, tu as révéré cette langue, que j'aime plus que tout jongleur de mots que je connaisse, je te pardonne cette nuit comme on avait pardonner à Shéhérazade la sublime conteuse des mille et une nuit.Dors bien la fée pour un autre conte aussi beau.
SupprimerHeureusement que tu te ravisas, beau flibustier, et que tu écrivis ta deuxième missive.
SupprimerCar la première me plongea dans les affres du désespoir qui m'arracha moulte larmes, et la seconde heureusement raviva la flamme de mes yeux plus sûrement qu'un vent de force 8.
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Il est bon parfois de montrer sa rigueur légendaire de prince des mers caspiennes où je sévissais jadis, sinon la maison est livrée aux ouailles.Mais aujourd'hui comme je privilégie la qualité à la quantité, j'aime quand je te vois prendre tes libertés et tes grands airs de sirène dont l'appétence pour tous les fruits de mer est insatiable et pour moi te sachant heureuse fraîche et langoureuse tu m'émerveilles, c'est pour moi le plus beau des cadeaux. Allez prends ta Lyre et joue moi une aubade.
SupprimerEn parlant de fruit de mers...une langoureuse Célestine, n'est-ce point une langoustine ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Attention qu'un des cuistots du capt'ain Tracasse, ne te confonde et ne te prépare comme recette de langoustines flambées au Rhum !
SupprimerLa vie de piratesse est bien aventureuse, n'est-ce pas...
SupprimerFinir grillée comme une langouste ! rhôô...
Je vais reprendre ma baguette de fée, c'est moins risqué.
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Tu aurais la même chose au café...
RépondreSupprimerBleck
Les vertus du café ne sont plus à me démontrer...
SupprimerLa même chose ? Eh bien...je ne doute pas que d'autres écumeurs des mers égalent les prouesses de Jack le pirate...La flibuste demande des hommes braves et fiers.
^^
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Hé hé! Je constate que le retrait de l'EN te réussit plutôt bien ;-)
RépondreSupprimerAh...oui je n'avais pas fait le rapprochement, mais c'est vrai que j'ai davantage de temps pour écrire mes mini-nouvelles et mes petits délires... J'espère que tu as aimé, j'en suis même sûre, en fait. Sinon tu ne serais pas venue commenter ^^
SupprimerBises célestes belle moussaillonne rousse
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Oui j'ai aimé et même .... Je t'enverrai secrètement un de mes écrits jamais publiés!
SupprimerAvc le plus grand plaisir gourmand.
Supprimermerci de ta confiance.
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Mille sabords, ça me fait de l'effet. Officiellement je parle là du chocolat...Bigre!!!! Bises pourquoi pas parisiennes. ATTB.
RépondreSupprimerOui, bien sûr, qui parle d'autre chose que du chocolat, ici ?
SupprimerCela dit, un chocolat chaud chez Pouchkine, pourquoi pas, en effet ?
Bises et attb
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Là, je suis preneur.
SupprimerPuis-je me permettre de demander à qui j'ai l'honneur?
SupprimerUn blogborygmien que je ne connais pas, ça m'interpelle ...
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Rôôôôôôôôôô^Célestoche....
SupprimerQue fais-tu de l'esprit de famille... :-D :-P
Non, je ne vois pas, désolée...
SupprimerCe n'est pas faute de chercher mais là, faut m'aider un peu, je ne connais pas de Gilbert chez Blogbo ...
^^
Gilbert, ça doit être Gilbert Bécaud, déjà, vu le café de chez Pouchkine... Mais qui se cache derrière ? Je ne vois pas qui utilise ce genre d'émoticones.
SupprimerAh oui, Gilbert Bécaud, bien sûr...
SupprimerTu ferais un bon Sherlock Holmes ;-)
Un Gilbert Bécaud revenu d'outre-tombe.
Mais à part ça, je ne vois pas qui usurpe impunément le label blogborygmien... ;-)
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Je préfèrerais que tu me compares au Dr Watson, alors, plutôt qu'à l'autre obsessionnel inémotif asexué au gros melon ? Le docteur au moins est dans l'admiration et la fidélité...
SupprimerSinon, le label Blogbo n'appartient à personne donc à tout le monde et si Monsieur 100 000 volts veut nous faire bénéficier d'un peu de son énergie, il est le bienvenu !
Ben ça alors mais c'est que tu sais parler aux femmes toi dis donc...
SupprimerMoi qui croyais te faire un compliment sur ta suprême intelligence! Quant à l'énergie apportée à blogbo, je pensais faire ma part ^^
Bises féminines ( c'est chiant, les femmes!)
:-)))
Eh Bé Sorellita, tu as les neurones un peu mou des genoux depuis 24 heures.....
SupprimerLe café Pouchkine est en effet en relation directe avec Bécaud et ce n'est pas sa faute si tu ne te prénommes pas Nathalie.. ;-)
Autrement combien connais-tu de Blogborygmiens multi.pseudorisés?
Ti bacio
Ah Blutchiamo, oui j'ai été un peu molle du genou ces temp-ci, pour ne t'avoir pas reconnu, je m'en excuse platement. (Si tant est que je puisse utiliser cet adverbe à mon endroit (et à mon envers aussi d'ailleurs))
SupprimerBaci
Je pensais juste te faire sourire et je fus bien étonné de voir que le complice d'Holmes avait du prendre ce mystère à bras le corps. Mystère d'autant plus épais lorsqu'on ne regarde pas du bon côté...
SupprimerTu n'as besoin d'aucune excuse, c'est juste moi qui ai souri de te voir ramer à contre-courant de mes indices...
"platement" est en effet un adverbe impropre à tous les aspects de ta personnalité ;-)
Ti abbraccio Cara.
Ce qui me rassure, c'est que je nesuis pas le seule à être tombée dans ce piège...
SupprimerLe fantôme de Bécaud ça reste un fantôme, et moi quand je suis toute seule, j'ai peur des fantômes...
Tenerezza
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@ Celestine et Blutchiamo: Vous êtes mes plus beaux spécimens dans les joutes oratoires que j'ai suivies par ma lucarne. Et vous êtes comme ces chats, qui quelque soit la hauteur de leur chute, ils finissent toujours par tomber sur leur quatre pattes, une fois au sol. Merci de votre intelligence.
SupprimerBise Célestine et Ti bacio Blutchiamo.
Tu es le bienvenu dans ces joutes, un valeureux pirate tel que toi, tu penses !
SupprimerCroiser l'épée avec toi, Blutchy adorera, le soleil de la Toscane et et celui des Aurès, j'imagine les étincelles de feu...
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Tu es le bienvenu dans ces joutes, un valeureux pirate tel que toi, tu penses !
SupprimerCroiser l'épée avec toi, Blutchy adorera, le soleil de la Toscane et et celui des Aurès, j'imagine les étincelles de feu...
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On va reprendre ce qu'avaient fait nos ancêtres, les pirates qui écumaient le bassin de la méditerranée et les pirates les plus redoutés étaient ceux de Cilicie(une ancienne province romaine) qui régnaient en maîtres dans le “ Golfe d’or ”, en mer Egée. Le nom de Bougie (Béjaia) où je suis né, venait de la cire d'abeille que troquaient nos pirates contre les couteaux et autres vaisselles des italiens, plus précisément de la ville de Gênes. Et bien, aujourd'hui pour l'histoire,jusqu'à aujourd'hui dans notre jargon kabyle, le couteau de cuisine s'appelle "A genouis" (le gênois). Comme quoi l'histoire finit toujours par nous rattraper.
SupprimerMerci pour cette page d'histoire très documentée.
SupprimerJ'adore apprendre de nouvelles choses !
Merci !
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@ Bizak
SupprimerLe rital n'est jamais loin d'un couteau mais il préfère le tenir par le manche...
@ Céleste
Le soleil piémontais est pas mal non plus lorsqu'on a quitté la plaine embrouillardée de l'Eridan.
Accolade et Baci
Ho, mais dis moi quel est ton secret pour résister à des bras accueillants, chaleureux, prometteurs et accepter un chocolat, plaisir plus éphémère que la chaleur humaine. Mais Chinou, me diras-tu, ne t'emballe pas, poursuis ta lecture et tu comprendras vite que dans ce happy end , tout n'est qu' une invitation au voyage où tout est luxe, calme et volupté...........
RépondreSupprimerTu as raison, aucun secret. On ne résiste pas au chocolat quand on est une gourmande invétérée...
SupprimerEt quelque chose me dit que tu es une gourmande aussi...
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Ce fut un enchantement de partager cette aventure avec toi Célestine, tu as dirigé mon gouvernail avec volupté et panache telle l'égérie de la piraterie...J'ai connu le privilège de ta peau et tes caches secrètes, tu as bon goût et sais donner du corps à tes histoires ! Tu m'as gâté comme un roi des mers, mon sabre est éreinté de te connaître et ma langue a parcouru tes endroits même à l'envers ^^ 1000 besos éternels, à bientôt pour d'autres chocolats...♥
RépondreSupprimerJ'aimerais bien faire goûter de ton chocolat si réputé, à quelques unes de mes moussaillonnes, elles arrêtent pas de me presser à l'abordage de ta felouque encensée ;
SupprimerHé hé Captain, tu vois comme les fèves de cacao ça vous change un homme...ou une femme.
SupprimerCe fut un plaisir de partager ce goûter de rois.
Besos puisque tu parles en espagnol comme un ces galions que tu asservis de ton audace, roi des mers.
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@Bizak
SupprimerQue tes moussaillonnes se rassurent, ce genre de dégustation n'a pas besoin d'abordage. Comme on dit dans le métier, il y en aura pour tout le monde, Jack est bâti pour cela. ;-)
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Je te vois bien informée princesse des mers, sur les capacités du pirate dont tu connais trop bien ses secrets ! bon sachant que tu ne veux que du bien à ces moussaillonnes qui sont après tout sous ta coupe, tu voudrais bien faire à ce cher pirate une invitation pour le recevoir sous notre toi...non toit( pardon j'ai mangé ma langue) en vue d'un bon gueuleton à partager et cesser toute hostilité,sceller une bonne amitié et faire face à d'autres ennemis en étant unis pour le meilleur et toujours pour le meilleur des mondes aquatiques.
Supprimer@ Célestine : Je suis plus proche d'un roseau que d'une armoire normande, mais j'ai un mental d'acier voilà tout ^^
SupprimerUn roseau pensant, alors...qui plie mais ne rompt pas, je suis à mon affaire !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
@Bizak
SupprimerJ'ai failli louper cette proposition, noyée sous les assauts de tous ces commentaires...
Bien sûr que je ne refuse jamais un bon repas entre amis...Ce serait un grand honneur de trinquer avec le fleuron de la piraterie française...
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Ça confirme la légende :
RépondreSupprimerIl avait bien une troisième jambe de bois....
Une légende n'est-elle pas faite pour faire rêver dans les chaumières ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Si j'étais vulgaire mais tu me connais belles châsses, je ne le suis pas, si j'étais vulgaire (voire trivial) je dirais :"le chocolat est bien meilleur quand il es fourré "
RépondreSupprimerMais heureusement, dieu me savonne, tu ne l'es pas du tout, et du coup,tu ne le dis pas. C'est ce que l'on appelle en termes galants une belle prétérition.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
eh ben dis donc ! me suis régalé en lisant ton aventure avec le capitaine , j'espère que les hommes d'équipages n'ont pas désaoulé pendant tes agapes sinon tu aurais déclenché une mutinerie !
RépondreSupprimerUne mutinerie, c'est quand il y a une mutine à bord ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ah quelle belle aventure, écrite avec fougue et passion !
SupprimerVoila un aspect de votre talent qui ne demande qu'à s'épanouir...
Une bien belle évocation, très gourmande, délicieuse.
~L~
Oh vous savez, cher Lorenzaccio, je pense que ce genre d'écrit n'est pas appelé à se renouveler trop souvent. Surprendre les lecteurs, mais ne pas les habituer, voilà le secret...
Supprimermerci toutefois pour vos appréciations.
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Mais ne voyez-vous pas que vos lecteurs en redemandent , douce fée du verbe haut ?
Supprimer~L~
Bindidon, pfiouuu !
RépondreSupprimerAhem, pardon : Rhôôô, Mademoiselle Célestine (ben oui on se refait pas !) ! ;oDDD
Oui, je crois que ça laisse sans voix un talent pareil, hein...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bindidon, on n'est jamais mieux servi que par soi-même, hein ! ;oDDD
SupprimerEnfin, je ne sais duquel tu parles ici, mais pour ma part je te connais quelque talent caché dont on ne saurait faire état ici mais qui te vaut d'être pardonnée, t'en as de la chance !
...mais alors là, Jdirien du tout !
Ah bon ? Tu connais mes talents cachés ? Pourtant je n'ai jamais dit a personne que je savais faire tenir droit l'œuf de Colomb ...
Supprimer:-D
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Mon souffle s’est enflammé à la lecture de cet érotique voyage, j’en ai les ébarioles,....
RépondreSupprimerUn livre pour bientôt S. T .P....pour d'autres aventures aussi bien narrées
jakgaga
Quelle connaisseuse tu fais, Jak la belle...
SupprimerNul doute qu'il n'y eût une place pour toi dans le cœur de Jack, ton homonyme pirate !
Bon weekend mon amie, je m'en vais me renseigner sur les "ébarioles" ...
Quant au livre... Je crains que la concurrence dans ce domaine ne soit trop rude!
Bises célestes
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As-tu des ébarioles de te lancer dans ces écrits de voyages assez bien pimentées ,il ne faut pas t'ébravager , tu sais !
SupprimerJe vois que tu es allé te renseigner sur le "parler gaga" que je ne connaissais pas.
SupprimerÇa m' a appégée tout ça, et comme je ne suis pas bazut, j'ai ouvert le petit cafuron magique, et tous les mots ont débaroulé dans ma tête, il y en avait cuchon !
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quelle aventure
RépondreSupprimerContente que tu aies aimé, Flipperine !
SupprimerPrem's !
RépondreSupprimer"Ben tiens !"
Ben oui mais c'est pas d'jeu, j'étais pas chez moi... :-(
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'est bien ce que je pensais... tout n'est pas perdu, oh hé du bateau.... pas de sabordage.... pas éteint l'incendie...tu t'encoquines en fantaisie galante et badine ... agréable à lire, et à imaginer l'enchantement de ce voyage en mer !! merci de nous permettre de rêver !!! Den
RépondreSupprimerC'était le but, chère Den.
SupprimerJe suis heureuse que tu y sois sensible. Toute la difficulté consiste à rester galant et badin sans tomber dans la trivialité. Un art très difficile.
Beau dimanche, Den.
Bises mutines
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C'est marrant, le Chevalier de Hadoque ne nous raconte pas tout ça à propos de Rackham le Rouge !
RépondreSupprimerCa doit être aussi dans un album que je ne possède pas !
Quelle bibliothèque d'introuvables incunables tu nous inventes !
;-)
Chaque personnage public a une vie cachée, qu'on le veuille ou non, mon cher oncle !
SupprimerCela dit, mieux vaut être incunable qu'imbittable... (je mets le lien vers le dictionnaire Larousse pour ceux qui auraient un doute sur le sens du mot...)
Bises étoilées
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Et bien, ma Célestine!!! Quelle fougue, quel tempérament et quelle verve!!! Continues, continues à nous emmener par monts, vaux et vagues, j'adore.
RépondreSupprimerRien ne vaut une belle verve pour agrémenter un dimanche après-midi, hein, ma Brizou...
SupprimerJe vois que tu y es sensible, ça fait plaisir !
Bizou
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Palsambleu, tu en fais des choses, toi, autour du chocolat. Va bè qu'il y avait le fougueusissime Rackame assoiffé de tes onctueuses douceurs, mais j'en suis haletante... Tu as la marque?
RépondreSupprimerBravo et baci, sorellina...
As-tu vu le sublimissime film "le Chocolat" dont j'ai choisi la musique pour illustrer mon billet ?
SupprimerSinon, cours-y vite (sur netflix) pour te délecter de cet hymne à la gourmandise onctueuse...
Les correspondances entre les breuvages, les entremets et les vibrations amoureuses y sont démontrées de façon brillantissimes. Depp et Binoche y sont extra.
baci per te, bella ragazza
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Épantelée ? Vraiment ? Tu m'en diras tant !
SupprimerUn mot que j'ai inventé...j'en suis assez fière.
SupprimerBisous ma belle.
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Je n'imaginais pas qu'on puisse fondre autant pour un chocolat fumant § ;-)
RépondreSupprimerTu vois comme quoi...on en apprend encore... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Est-ce ton nouveau tableau que tu as mis en bannière ? Ou un plus ancien ? Je ne vois pas de date. Il est magnifique.
RépondreSupprimerC'est un ancien mais j'ai enlevé la date parce qu'elle apparaissait sous "Célestine"
SupprimerL'original ICI
Bises célestes
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Sûr, je me mets au chocolat, rien que pour avoir des moustaches! Et tant mieux pour les dentelles.
RépondreSupprimerBises.
Tiens, un amateur de chocolat... *:-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Et il t'a laissé repartir au petit matin ?
SupprimerQuel grand benêt ce Jack...
Reusement, y'a plus d'un pirate sur mer qui s'appelle Jack
Ben oui, je suis une grande incomprise... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆