Il m'a donné rendez-vous au 19 de la rue des Tilleuls. Ironie des noms de rue : pas l'ombre d'un arbre le long de ce mur sale, saccadé d'affiches déchirées et de lézardes. Et ça sentait plutôt le goudron poussiéreux que le miel du renouveau.
J'ai enfourché ma bicyclette bleue. Bleue comme la fleur de mon âme, incorrigible. Je suis comme ça. Je rêve éveillée. Parfois ça m'a bien chagriné la vie, de me heurter au coin dur d'une fin de rêve. Pour autant, ça ne m'a pas guérie. Je m'envole toujours à des hauteurs déraisonnables.
Mais n'anticipons pas. J'avais pour l'heure mis un bandeau émeraude dans les cheveux, du patchouli dans le creux du cou, là où c'est doux. Et souligné mes yeux de biche d'un crayon noir, version Frank Alamo. Ah, il est fort, Alamo...
J'ai garé ma bécane à côté de la seule porte sur cinq cents mètres de muraille.
Dans ma tête qui mouline tout le temps comme un galet d'entraînement, j'y ai tout de suite vu un symbole : une porte, dans un mur aimable à faire peur, tel celui d'un pénitencier anglais en novembre, c'est un rayon d'espérance, une tendre ouverture où danse le soleil sur la verdure...
Je m'emballe... C'est mon côté lyrique, j'ai tendance à m'emballer, et pourtant je ne suis pas un cadeau !
Là je sens que je vous rase avec mes blagues à deux roupies. Au fait, poulette, au fait ! êtes-vous en train de vous dire.
J'y viens, j'y viens...
J'étais en avance. J'aime bien être en avance. M'imprégner du lieu, épousseter de mon esprit les graines d'impatience qui le grattent. Savourer l'attente.
Il est enfin arrivé, la mine fière, et large d'épaules, l'air mystérieux de Mandrake, mais sans frac ni chapeau-claque. Il a sorti de sa poche une vieille clé un peu rouillée, ménageant l'effet de surprise avec des lenteurs calculées.
Et là, derrière la porte branlante, s'étendait le plus délicieux jardin de la terre. Un fouillis d'herbes folles, clématites, aristoloches, houblon doré, passiflores, s'ébattaient en liberté le long des taillis. Un sentier serpentait dans la mousse jusqu'à un petit étang peuplé de gerris, de libellules et de sortilèges. Tout au fond de ce bonheur à jardiner, une cabane aux volets verts, sertie dans les rosiers. Et encore derrière, comme un géant débonnaire, un splendide tilleul, insoupçonnable de la rue. J'étais emplie de oh et de ah.
Devant mes yeux ébahis, il a commencé une phrase dans un souffle :
« Veux-tu...
Bim ! C'est là que je me suis réveillée, caressée par le soleil du matin, et la voix tonton Georges qui grognait : « Vingt dieux tu vas manquer la messe ! »
C'est malin, je ne saurai jamais ce qu'il voulait que je voulusse...
Veux-tu, veux-tu...Mais quoi ?
Veux-tu me passer la binette, qu'on s'y mette ?
Veux-tu voir la clause du testament de Tante Agathe qui nous lègue ce bien ?
Veux-tu un palmito ? tu n'as pas un petit creux ?
Veux-tu m'épouser ?
Ben oui quoi c'est vrai, les rêves, c'est tellement imprévisible.
Pour les plumes chez Emilie
Avec les mots à placer :TENDRE JARDINER EMERAUDE RAYON ARBRE RENOUVEAU ESPERANCE GRAINE PEUR CHAPEAU DANSER SOLEIL MOUSSE MENAGER MINE
Et pour l'atelier de lakevio du Goût.
Madame fait du deux en un, maintenant?
RépondreSupprimerc'est la fin d'une (grande) époque ;-)
Ah oui, l'époque où j'avais le temps d'écrire un billet par jour ou presque...
SupprimerMaintenant je fais dans le concis et le ramassé sur soi-même.
Bisous madame
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j adore concis et ramassé sur soi même ☺☺☺
Supprimer;-)
SupprimerBon jour,
RépondreSupprimerUn très beau texte qui nous laisse sur la faim de fin de ce rêve à la frustration de ne pas savoir ... à moins que la nuit prochaine ce rêve reprenne son chemin ... :)
Max-Louis
Qui sait ? Cher Max Louis, la vie réserve bien des surprises...
SupprimerEt les rêves se réalisent, parfois.
Bien à vous
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Merci de nous inviter à lire chez Lakésio ;-) et merci à tonton Georges de n'être pas arrivé encore plus tôt; on n'aurait jamais pu découvrir ce beau jardin ;-) après, les mots qu'il aurait pu te dire... ça ne regarde que toi, tu rêveras bien d'autres fois, et auras bien l'occasion d'autres belles rencontres <3
RépondreSupprimerSacré Tonton Georges, il s'est posé au moment clé de mon rêve.
SupprimerÇa reste un rêve, une fiction, et un bon moment d'écriture. les mots choisis étaient bien inspirants.Bisous Cath
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Derrière les portes ce n'est pas souvent ce que l'on attendait héhé !!
RépondreSupprimerBon printemps Célestine
Nous sommes tous et toutes des Alice dans le corridor, devant des séries de portes et nous ne savons jamais vraiment ce qui se trouve derrière. mais n'est-ce pas cela aussi, la magie de la vie ?
SupprimerBon printemps à toi, Ghislaine, merci d'être passée.
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J'apprécie l'art de dire:
RépondreSupprimer"... je ne saurai jamais ce qu'il voulait que je voulusse"!
Bravo, merci!
Un vers à quatorze pieds dont je suis très fière.
SupprimerMerci à toi
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Ah veux-tu, veux-tu, bonne question, c'est dommage quand-même la voix de Tonton Gaston (j'en avais un, moi aussi...) Toujours aussi coquine Célestine et ça rime !
RépondreSupprimerC'est amusant que tu cites Tonton Gaston à la place de Tonton Georges.
SupprimerParce qu'il y a justement une chanson de Brassens qui s'appelle Les Deux Oncles, et l'un d'eux est Tonton Gaston.
Quoiqu'il en soit on reste dans la famille !
Bisous coquins
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Écrivez chez vous, avec vos gens.
RépondreSupprimerEt ne venez pas balancer vos drapeaux de jour comme de nuit sur le blog des autres.
Je me fous de votre blogue comme de votre vie sentimentale par procuration.
Cessez d'usurper l'univers d'autrui pour soit disant écrire.
Vous n'êtes pas la seule à avoir le droit d'écrire sur la toile virtuelle. Et les autres partagent d'autre chose plus intéressante à mes yeux que vos éternelles ritournelles qui n'ont d'autre but que de comparer et trier les êtres selon vos valeurs qui ne sont justement pas celles des autres dont je défends la parole.
Votre univers et vos idées ne m'intéressent pas.
Philosophie, étude, broderie, toutes les musiques du monde, rien ne vous intéresse de mon univers.
RépondreSupprimerQue faites-vous encore à ressasser chez moi à part vous mettre en valeur et dénigrer toutes celles et ceux qui contestent votre pouvoir virtuel de pacotille?
Nous ne souhaitons ni plier, ni adhérer à la connerie sectaire que vous encensez.
Et la philosophie n'est pas votre philosophie charlatane du matin en forme d'éternelles délits de sale gueule.
C'est assez: cela fait des années que je vous dis de changer de colline. Faites-le pour de vrai.
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Supprimer??
SupprimerPeu importe de toute façon: la seule chose qui m'importe, c'est que vous changiez de colline.
SupprimerVous et tout votre troupeau.
C'est cela oui.
SupprimerJ'en parlerai à ma jument.
Tiens, la fêlée du bocal est de retour.
SupprimerCélestine, rappelle-toi ce que disait le grand Audiard : "Je ne parle pas aux cons, ça les instruit"
A bonne entendeuse, salut.
:)
Cher cricket, tu me fais sourire.
SupprimerJe te rassure, je ne compte pas prolonger plus avant ce dialogue ubuesque et complètement surréaliste.
Les plus courtes étant les meilleures, comme on dit quand on parle de plaisanteries, bien sûr... ;-)
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Restez chez vous, voici tout ce qui m'importe.
SupprimerQuant à Gemini, inspirez-vous chez la fée.
SupprimerIntétéressante lune hiver qu'elle prose-au-pot-pet. J'en reste sur le cul-de-jatte.
Prose au pot pet
SupprimerIl fallait oser tu l’es fait !
👍
Ouf, je suis soulagé que son hibernation ait prise fin, je n'y tenais plus ! :-)
SupprimerMouarf !
SupprimerUn joli texte Célestine comme j'aime. Doux, tendre, taquin.
RépondreSupprimerMerci ma Suzame.
SupprimerJ'aime bien écrire de petites fictions, ça me détend.
C'est le jeu des ateliers d'écriture, et je l'aime.
Bisous de fée
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belle description de jardin
RépondreSupprimerLes jardins sont une source d'inspiration inouïe et infinie.
SupprimerMon billet précédent parlait de l'un d'eux, justement.
J'y suis bien, et j'y trouve la paix de l'âme, loin des troubles que l'ego humain génère.
Merci de ton passage, chère laura.
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Moi non plus, je crois que je ne guérirai jamais.
RépondreSupprimerEt je ne reste pas sur ma faim à cause de ta fin parce qu'elle m'a fait beaucoup rire.
Bises.
Rêver est la maladie des poètes...A-t-on vraiment envie de guérir ?
SupprimerRire est le propre de l'homme intelligent.
L'humour sauve de tout, comme disait mon cher père.
Bises Patrick
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J'adore ! Vraiment Excellent ! :-)
RépondreSupprimer"Veux-tu ?" une belle question qui n'impose rien.
Une Célestine en très grande forme !
Merci ma Biche étoilée.
SupprimerUn je ne sais quoi m'a mise en grande forme ce matin...
A quoi ça tient, parfois...
Bisous joyeux
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"Je l'appelle Cannelle
RépondreSupprimerParce que son corps est bronzé
Je l'appelle Cannelle
Parce que ses cheveux sont dorés
Je l'appelle Cannelle
Parce que sa peau est sucrée
Si vous voulez savoir
Comment je le sais
C'est parce que je l'ai goûtée"
Il est des chansons, comme celle ci d'Antoine, qui me font rêver.....
Le rêve est ce qu'il y a de plus mystérieux. D'où viennent les situations farfelues dont nous rêvons ?
Tantôt stressantes style cauchemar, tantôt délicieusement aventureuses, mais jamais dans l'ordinaire quotidien....
Et surtout toujours interrompues au point culminant du stress ou du plaisir éprouvés.
Il n'y a qu'Anne L pour tenter de transformer un rêve comme celui que tu évoques aujourd'hui en détestable cauchemar.
Mais le vide de la bave de cette Grenouille de bas étage ne saurait nous atteindre.....
Jamais ne l'appellerai Cannelle, jamais ne m'abaisserai a goûter sa peau verte de jalousie .....
Passons gaiement du cauchemar de son intervention à la joie d'évoquer nos plus beaux rêves.
Personnellement il fut un temps où je cherchais vainement la lumière d'une amitié avec une femme pour mieux connaître et comprendre celle que je ne suis pas et ne serai jamais. J'en rêvais vraiment....
Céleste tu es Celle qui m'a fait ce cadeau, et c'est bien au-delà du plus beau des rêves.
Merci mille fois
Je ne jalouse personne. Je souhaite etudier et broder loin de ces blogues qui ne m'intéressent pas.
SupprimerEt j'ignore qui vous êtes.
Sur le blog d'une auteure, deux visiteurs discutent ; l'un est admiratif l'autre exprime son mépris.
SupprimerVisiteur méprisant : et toi, tu crois que je fais quoi sur ce blog ?
Visiteur admiratif : Bien sûr, c'est évident tu déverses ta rage de ne pouvoir en écrire autant.
Visiteur méprisant : tout ça est insensé. Il n'y a rien sur ce blog . Moi je préfère broder et étudier loin de ces blogs inintéressants.
Visiteur admiratif : eh Bien, je ne connais pas votre broderie. Mais ici moi je me plais. Si donc notre compagnie vous ennuie, allez donc étudier et broder ailleurs, Anesse Fleur de nave....
Je n’aurais pas mieux dit.
SupprimerVa, cours, brode et nous lâche !
:)
@petrus
SupprimerMerci pour ce commentaire fleuve dont tu as le secret.
Je passerai sur l'anecdotique grenouille, pour me concentrer sur ton dernier paragraphe, qui m'a emplie de joie, de sollicitude et de confusion.
Merci du fond du coeur.
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J'adore la question : "Veux-tu me passer la binette, qu'on s'y mette ?" 😂😂😂
RépondreSupprimerBises et bon week-end.
Lydia
(blog : https://promenadesculturelles2.wordpress.com)
Une question qui aurait eu toute sa place dans ton poème jardinier, chère Lydia..
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerquel charmant récit... J'étais un peu frustrée de ne pa connaitre la fin du rêve... On peut imaginer ce qu'on veut certes...
Bisous et bonne journée,
Mo
Oui je sais, mais la plus frustrée était sans doute la rêveuse elle-même.
SupprimerQuand j'étais enfant, ça me navrait de me réveiller en plein rêve.
Disons qu'il te reste la description de mon jardin, je suis sûre qu'il t'a plu.
Bisous belle jardinière.
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J’ai bien ri.
RépondreSupprimerC’est un texte badin, coquin, taquin...qui nous laisse sur notre faim.
Moi je sais bien ce que voulait dire ce magicien...
Belle fée, veux tu m’épouser ?
Les magiciens épousent toujours les fées dans les contes, c’est l’ordre des choses.
Ils regardent s’ébattre leurs petits elfes sur les feuilles de leur merveilleux jardin.
Cela dit, cela ne doit pas être désagréable d’être marié à une fée.
Que ne suis-je magicien ? Soupir ...
~L~
Eh bien, c'est presqu'une déclaration, cher ami.
SupprimerBon, dans une autre vie, c'est décidé, vous serez magicien, je serai une fée, vous m'épouserez, et promis, je ne vous changerai jamais en limace ou en poêle à frire ;-)
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Dommage que l'on ne connait pas la suite.....Que c'est bien écrit !!
RépondreSupprimerSi je connaissais la suite, je l'aurais écrite rien que pour toi, mon Daniel.
SupprimerMerci pour ton cri du coeur.
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Excellent !
RépondreSupprimerJ'aime que de merveilleux jardins s'épanouissent derrière des façades rébarbatives...
et j'aime que la fin nous laisse...sur notre faim.
Ceci dit, à ton âge, faudrait songer à couper le cordon avec ton Tonton (qui te réveille encore et se perme encore de t'envoyer à la messe... ;-)
Bises non interrompues...:-)
Comment ça à mon âge ? mouarf !
SupprimerJ'allusionnais simplement à la chanson de Brassens, le fantôme...
Au petit jour on m'a réveillé,
On secouait mon oreiller
Avec une fougue pleine de promesses.
Mais, foin des délices de Capoue !
C'était mon père criant : " Debout !
Vingt dieux, tu vas manquer la messe ! "
Merci pour tes appréciations ma Licorne.
Bisous de même
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Ah ben...voilà une chanson de Tonton Georges que je n'avais pas mémorisée...
SupprimerGrâce à toi, j'élargis mon répertoire... :-)
Bisous du soir.
A ton service chère Licorne !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est détestable une fin de rêve sans fin !
RépondreSupprimerA qui le dis-tu !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Un texte adorable et délicieux comme son auteure.
RépondreSupprimerIl m'a offert la joie du jour.
J'aime comment tu distilles des guirlandes de perles de mots souriants.
Derrière le mur crade les délices de la vie foisonnante.
Cela rappelle au vieux soixante-huitard que je fus, la délectation de la poétique politique de « sous les pavés, la plage ».
« Veux-tu… tout ? »
Tu la vois la petite larme d'émotion là, au coin de mon oeil de biche ?
SupprimerTu as le don d'humidifier les joues, mon Babar.
Je veux tout, bien sûr, tout ce que me donne l'amour des gens, tout ce qui me donne l'amour des gens.
Bisous zémus
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Veux-tu... découvrir cette charmante demeure seule ?
RépondreSupprimerPrends tout ton temps, j'ai un mandat exclusif de trois mois :D
J'adore, c'est tout toi... merci pétillante Maitresse :)
Bonne soirée. Bises.
Pas mal, ta version, élève Julie !
SupprimerJ'adore le « c'est tout toi »
Je le prends comme un super compliment.
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Les fins de rêves...Tout un programme. On aimerait savoir. On peut continuer à notre manière, même quand le rêve s'est envolé!
RépondreSupprimerUn joli texte, quelques grammes de mystère, d'humour et de poésie. Le mélange est savoureux!
Ravie de t'avoir fait passer un bon moment avec ma petite fiction.
SupprimerGros bisous
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Zut ! J'suis plus à la bourre qu'un lapin !
RépondreSupprimerFort Alamo, tu m'auras tout fait (ou presque)!
Appelle-moi Bowie !
Ah boss ! Un lapin sans doute celui d'Alice, mais beau, oui, comme Bowie...comme disait Isabelle.
SupprimerIl est bien, hein, mon petit jeu de mots, j'ai pas résisté.
Bizouilles
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Merci Célestine, j'aime ce lapsus avec Brassens, ce cher Georges, mon tonton Gaston racontait toujours des blagues avec son air un peu lourdaud "mine de rien"...
RépondreSupprimerUn lapsus tout pardonné, chère marine
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Qui sait, un de ces rêves deviendra peut-être réalité, un de ces jours...
RépondreSupprimerJe te le souhaite en tout cas.
Bises
Angela
Pourquoi pas ?
SupprimerL'espoir est un ferment magnifique de joie.
Bisous ma belle
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Pfff... Me suis dit qu'après avoir brisé son joli rêve, ma Maitresse méritait bien un sincère compliment ;)
RépondreSupprimerTu es trop chou ma Julie.
Supprimer❤️
Alors là, ma poulette, tu as encore réussi à me faire chercher dans le dictionnaire (enfin...sur google !) deux mots que je ne connaissais pas. Aristoloche et gerris. Je ne sais pas si je le dis ! Hum ! Quand j'ai vu à quoi ressemblait une aristoloche, je me suis mise à l'imaginer en lieu et place de cet immonde et ridicule clitoris de plastique exposé place du Trocadéro. Beaucoup plus poétique à mon avis. (rire) J'ai lu que certaines parties de la plante pouvaient être nocives. Une empoisonneuse ! Très féminin, aussi ! (re rire) Et une petite araignée d'eau qui grattouille par-dessus ou par-dessous, et le tour est joué. Bon, j'arrête mes âneries ! Ce jardin m'a fait pensé à celui du docteur Pascal. Un brin paradisiaque... Bisous Célestine.
RépondreSupprimerAh je suis contente de t'avoir appris des mots. Tu sais combien j'adore ça.
SupprimerTiens, rien que cet après midi, en faisant des grilles de mots fléchés, j'ai appris qu'une durite ne s'écrivait pas comme ça, mais comme ça: Durit. Même au féminin.
J'ai aussi appris l'existence des crosnes, sortes de racines comestibles qui ressemblent à des vers blancs, et le verbe anhéler qui signifie "respirer péniblement".
Moi je le trouve plutôt sympa ce clito du trocadero...Il est juste là pour faire évoluer les mentalités, c'est plutôt bien, je trouve. Même si ce n'est pas une oeuvre d'art, c'est quand même un symbole de beaucoup de choses qui restent à régler dans notre société humaine...
Ta comparaison avec l'aristoloche est assez judicieuse. C'est une plante très...sensuelle, dira-t-on.
Quant au docteur Pascal, tu parles du roman de Zola ?
Bisous mariejo, merci de ton intervention, je m'éclate toujours à te lire
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
mais oui, c'est bien de celui de Zola. Je me souviens de ma "période" Zola, tous les Rougon-Macquart y sont passés. J'étais jeune et tous ces personnages avaient marqué mon imagination, je crois bien les avoir encore tous dans la tête. Tiens, pour les mots croisés ! Une définition...zut, je ne m'en souviens plus exactement. En gros - Aristote les mettait sur le trottoir ou un truc comme ça, solution = péripatéticiennes. Un peu perplexe, je cherche et j'apprends que "péripatéticien = qui aime se promener" L'école péripatéticienne ou école péripatétique, est une école philosophique fondée par Aristote. Je pense à ta DURITE qu'il faut écrire DURIT. À trop réfléchir, on va perdre la boule ! :D Bisous
RépondreSupprimerMais non, c'est rigolo, l'étymologie !
SupprimerOn apprend plein de choses.
ce sont plutôt ceux qui tournent en rond dans leur tête en ressassant toujours les mêmes vieux trucs qui finissent par perdre la boule.
Bisous ma belle, merci de ton retour.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je me suis régalé, Ce mur tout délabré t'a inspiré. Tout y est, les jeux de mots, les références musicales, cinématographiques. Par contre, les blagues à deux roupies, vu le cour de la monnaie, en balles, ça fait pas beaucoup. :-)
RépondreSupprimerVeux-tu...
Veux-tu savoir ce qu'il voulait de dire ? Eh bien, ce jardinier au cœur tendre, aux yeux vert émeraude, voulait t'inviter à danser la danse de l'espérance. Tout deux, coiffés d'un chapeau en mousse, vous auriez ressemblé à des arbres un peu bizarres, dont les feuilles protégeraient des rayons ardents d'un soleil pâle. Mine de rien, si ton rêve n'avait pas pris fin, il t'aurait ménagé une surprise de taille. Il t'aurait fait découvrir un endroit merveilleux, une sorte de jardin extraordinaire, où les canards parlent anglais, où les oiseaux tiennent un buffet, où les graines de folie douce sont à jardiner sans retenue, où y souffle un vent de renouveau. Un endroit fabuleux connu seulement des rêveurs et des fées. Mais il suffit pour ça, de ne pas avoir peur du ridicule, et d'un peu d'imagination.
Et là, je dois dire, que côté imagination, tu m'époustoufles !
Bises de la nuit
Tu veux dire que je t'estirgouilles, sans doute ?
SupprimerSais tu que l'imagination était appelée «la Folle du logis» par Pascal ? Quoique... les historiens ne soient pas tous d'accord, certains l'attribuent à Mallebranche.
Bref, je n'ai jamais souscrit à cette définition. la folie, c'est de ne pas avoir d'imagination, et on voit bien que certains bureaucrates et technocrates actuels en sont totalement dépourvus.
Alors vive l'imagination, qui peint le monde en couleurs et rend la vie intéressante.
Bises du surlendemain... :-)
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Un mur
RépondreSupprimerC’est doux, c’est éphémère et solide à la fois. C’est un mur percé d’une porte....mais c’est surtout le rêve de Célestine.
Si je viens souvent lire ce blog, je ne viens pas souvent le commenter tant vous êtes nombreux, les amis de l’hôtesse à venir y déposer chacun votre touche personnelle. Je vois depuis dix ans les signatures fidèles et celles aussi qui viennent plus rarement comme des oiseaux migrateurs, entre de beaux voyages...ou des exils contraints.
Parfois, une plume amère et aigre vient déverser un trop plein de je ne sais quoi et pourrait vite plomber l’atmosphère si il n’y avait comme une sorte d’union sacrée autour de votre (de notre 😉) Célestine. Quelques uns se font alors les champions de la dame qu’ils savent blessée de ces traits empoisonnés. D’autres se contentent de subir avec elle sans rien dire. Tout le monde n’a pas le talent littéraire de ses vieux amis...
Mais ce qui reste, c’est le bonheur, c’est la couleur, c’est le partage. C’est un peu comme si on entendait la fée Célestine chanter, accompagnée de sa guitare. On a le cœur en fête et quand l’image s’efface on attend vite d’en voir une autre encore plus belle la remplacer.
J’imagine que certains de ses lecteurs possèdent le grand bonheur de la connaître en vrai, d’avoir approché d’elle, de lui avoir parlé, de l’avoir écouter chanter, rire ou pleurer de belles larmes de joie. Certains l’ont même certainement accompagnée dans des moments plus difficiles.
Qu’ils sachent ceux-là la chance qu’ils eurent. On s’enrichît de douceurs au contact d’une fée.
Voilà mon petit mot, mon hommage maladroit mais sincère.
Alors si vous le permettez chère Célestine, je veux vous embrasser au nom de tous ceux qui écrivent ou pas, ou peu...mais qui adorent vos mots et l’idée même de ce que vous êtes.
Et moi, qui viendra me défendre contre le con qui sévit sur mon blog ? Je n'ai pas la chance d'avoir de preux chevaliers qui viendraient sur mon blog faire la peau de "mon con"...juste 2 ou 3 potes sont venus me soutenir quand il s'en est pris à mon petit fils pour le moquer sur ses fautes. Tu te rends compte Célestine se moquer d'un petit de 7 ans qui souhaitait sa "faite" à sa vieille mémé, mémé qui avait été fière comme une vieille paonne d'exhiber à la terre entière (heu, à sa poignée de lecteurs) sa carte. Tu étais bien enseignante Célestine, donc tu dois comprendre qu'il est inadmissible de se moquer des enfants ou de leur grand-mère ? C'est un crime impardonnable qui mériterait bien le cachot, non ! Imagine si je faisais lire ce commentaire à mon fils. Jamais, il ne me pardonnerait et me dirait "je te défends de parler de mon fils sur ton blog, même en bien", sinon, je te cause plus.
SupprimerDire que ce con avait déjà sévi chez d'autres blogueurs, mais qu'un
jour, lassé sans doute de leur dédain, il a décidé de changer de crèmerie, comme un vieux chat borgne, vicieux, sournois. Un blog doit être un passe-temps, un plaisir, pas un défouloir pour obsédés, pour frustrés, pour jaloux, pour, pour... bref tout ce que la terre compte comme nuisibles.
Je suis dans le mur chère Célestine, dont j'aime bien lire les articles. Que faire pour chasser les emmerdeurs, les cons, les coucous de son blog ? Tout le monde me dit "ignore le". Ouais, plus facile à dire qu'à faire. Combien de temps tiendrai-je encore avant de me faire la malle, de me crapahuter ailleurs ! Je suis dans le mur Célestine, comme le mur du Goût...mais, j'ai quand même une petite satisfaction. Je me sens moins seule après avoir lu certains commentaires...Je me dis, qu'après tout, on ne doit s'en prendre qu'aux gens talentueux (sourire).
Chère Julie
SupprimerTu m'as beaucoup émue avec mon témoignage.
Je crois que malheureusement, il n'y a que deux façons de traiter les trolls : par le mépris ou l'ironie, ou alors en supprimant carrément leurs commentaires.
J'ai eu affaire à de quelques unes de ces punaises dans ma longue carrière de blogueuse, et si au début, ça m'a mise dans le même état que toi, j'ai fini par comprendre que ces gens très courageux qui se cachent derrière des pseudos et des blogs vides, ne méritent que la plus parfaite des indifférences.
Mais tu as raison : on ne s'en prend qu'aux gens talentueux, et je ne doute pas que tu le sois.
Quant à la question de savoir si c'est mal de se moquer de l'orthographe d'un petit bouchon qui apprend à lire, bien évidemment c'est mal. C'est horrible et ça dénote la bassesse d'esprit de celui ou celle qui le fait.
Je t'embrasse, reviens quand tu veux, chère autre Julie.
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Cher Jacques
SupprimerVoilà un commentaire magnifique que j'épinglerais volontiers dans ma cuisine, pour me le relire les jours de grisaille.
Un vrai soleil coule dans vos mots, avec ce petit rien d'exagération très émouvant qui fait les grands fans...
Je pense souvent à la chance que j'ai eue, de rencontrer certains de mes lecteurs. Des rencontres riches, sincères, formidables de diversité et d'émotions. De vraies amitiés sont nées, des souvenirs pour la vie, des connivences fortes qui m'ont, à un moment donné, empêchée de me noyer dans mes problèmes.
je crois que vous en faites partie, monsieur Jacques.
Et pour tout cela, je vous remercie et vous embrasse.
J'espère bien que j'aurai ma guitare si par hasard on se retrouve sur une terrasse fleurant le jasmin et le chèvrefeuille, un de ces soirs d'été où tout semble possible.
Je vous embrasse moi aussi.
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Voir derrière un mur hideux un jardin extraordinaire, même en rêve, te ressemble tout à fait Célestine.
RépondreSupprimerNous irons y cultiver avec toi les fleurs, belles, éclatantes et laisserons de côté les plantes venimeuses.
Voilà une sage conception de la vie. J'adhère à cent pour cent !
SupprimerBisous
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Moi aussi j'aurais aimé savoir ......
RépondreSupprimerJoli texte et illustration dans laquelle je plongerais volontiers comme dans Mary Poppins
Ah...Mary Poppins, une de mes amies très chères...
SupprimerIl y a longtemps que je ne l'ai plus vue, tiens, il faudrait que je l'appelle !
Bisous miss
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Ce n'était pas un rêve angoissant donc tu peux imaginer la suite à ta guise.
RépondreSupprimerC'est vrai ! On est loin du cauchemar...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Puisqu'il n'a pas eu le temps de finir sa question, tu as tout le loisir de l'imaginer... ou même d'en changer au gré de tes envies !
RépondreSupprimerC'est si beau, derrière le mur !
Les murs ont ceci de particulier que l'on ne sait jamais ce qu'ils cachent...
SupprimerEt c'est très réjouissant, même si un beau mur peut aussi, à l'inverse, cacher la misère !
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Derrière la porte, libellule pour la tourbe légère, là où les ombres caressent les peaux blanches.
RépondreSupprimerBleu pour le ciel à contre-courant.
Très joli et digne d'un poète, cher Laurent
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tu fais des découvertes mais tu nous laisses le soin de les imaginer.
RépondreSupprimerTu nous fais des films à la David Lynch, tu nous laisses terminer le film à ta place.
Je mets à contribution le talent de mes lecteurs, nuance ! ;-) ;-) ;-)
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Joli coup double ! Et bon rendormissement pour connaître la suite ! ;-)
RépondreSupprimerMerci m'n oncle !
SupprimerJe me suis rendormie, mais il n'est pas revenu. Pourtant, je ne désespère pas de l'entendre un jour...
Optimiste indécrottable je suis.
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J'ai beaucoup apprécié l'humour distillé au fil du récit. Par les temps qui courent ça fait du bien.
RépondreSupprimerEt bravo pour cette fin ouverte, elle enrichit l'imagination :)
Merci d'avoir apprécié, Laurence.
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J'aime les histoires qui ne finissent pas, ce sont celles qui nous restent le plus en mémoire et le rêve d'un jardin enchanté ne mérite pas d'être oublié.
RépondreSupprimerCette question inachevée te permet toutes les fins, et à propos de faim, peut-être voulait-il te faire goûter aux fruits de son jardin...
Ce sidi, excuse-moi de ne pas être très présent, je navigue à vue entre les travaux pratiques et l'écriture chronophage d'un nouveau bouquin.
Ti bacio forte Sorellita
Héhé...Bonne idée les fruits, une idée coquine et gourmande !
SupprimerCe sidi, je te pardonne : si tu écris un livre, tu ne peux pas être au four et au moulin.
J'ai juste hâte de savoir dekoikikoz
Ti bacio forte, stella cadente
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Pour satisfaire ta curiosité ma foi bien légitime, d'une part, je fais une compilation de mes billets de blogs (qui sont de fait des chroniques d'un quotidien hélas trop souvent intemporel (en bref, mes billets politiques d'il y a plus de dix ans sont encore d'une cruelle actualité)).
SupprimerJe vais d'ailleurs ressortir ceux que j'avais fait sur la grippe H1N1 et la farce de la vaccination.
Tu changes les noms des malfaisants et c'est d'actualité...
D'autre part, partant de la théorie des 3 guerres mondiales décrites par le Général Albert Pike en 1871, je remonte le puzzle des manipulations de la Phynance américaine et Franc-Maçonne.
Pour ça,il faut parfois lire 50 pages pour écrire 3 lignes...
Voilà, tusétou.
Ti bacio fortissimo
Merci d'avoir satisfait ma curiosité.
SupprimerEffectivement, tu as du pain sur la planche !
Et je conçois que tu sois très occupé dans les prochaines semaines, pour ne pas dire les prochains mois.
Ti bacio forte
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Merci Célestine pour ce beau moment à te lire et merci pour ce rêve inachevé.
RépondreSupprimerBisous ♥
Rêve inachevé, on dirait le titre d'une sonate de piano.
SupprimerBisous ma belle rêveuse.
Les tiens sont d'une beauté achevée ! ❤️
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Ben pour désherber la colline, il va te falloir plus qu'une binette! :-)) Mais enfin, si le troupeau se met à brouter, cela devrait aller assez vite. Mais enfin, tu cultives ton jardin et c'est déjà très beau. Quant à la marmotte alpine, elle continue à emballer le chocolat. Bises.
RépondreSupprimerMuahaha ! Merci pour le clin d'oeil à ce petit animal délicieux de tes montagnes.
SupprimerBisettes chère frangine des Alpes.
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bon... j'aurais pu me relire. J'ai écrit deux fois "mais enfin"... Une version un peu plus juste du célèbre gaffeur Gaston: "M'enfin!!!"
SupprimerM'enfin ! je croyais que c'était voulu, pour le style...
SupprimerUne sorte d'anaphore, en somme.
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Bravo pour cette belle narration pleine d'humour et d'inattendus!
RépondreSupprimerMerci Mokhtar.
SupprimerL'inattendu fait partie des belles choses de la vie.
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Bravo pour ce double challenge ! Mais une question me tarabuste : pourquoi ne pas profiter de l'homélie pour poursuivre ton rêve ? N'était-il pas assez grand pour que tu ne le perdes de vue ?
RépondreSupprimerQuant aux commentaires abscons (dont la connerie n'est pas absente), tu n'a pas sur ton blog un système de filtre ? Ni la possibilité de les supprimer a posteriori ?
Bien sûr que je peux supprimer les commentaires.
SupprimerMais tant qu'ils ne sont pas injurieux ou grossiers, je les laisse.
Ainsi, les lecteurs se font une idée personnelle des gens qui les posent...Et c'est rarement à l'avantage de ces derniers !
Merci pour ton bravo et pour ton passage.
Après des déboires informatiques, j'ai perdu le fil de tous mes blogs, et je le remonte patiemment...quand leurs auteurs reviennent me voir...
Bisous
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Bonjour Célestine, Ah, il est fort, Alamo, le rendez fut pris et le rêve pris fin avec une savoureuse demande en mariage. Voila qui valait le coup de se rendre en pleine nuit au 19 de la rue des Tilleuls.
RépondreSupprimerUne savoureuse demande en mariage...j'aime bien ton interprétation de la fin de mon rêve. :-)
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comme à l'accoutumée, un régal de te lire
RépondreSupprimermis pages après pages ,sur un Word que je t’ai consacré ,
tes billets me font un excellent livre de chevet lorsque
je n’ai pas envie de plonger dans ma PAL
bisous
Oh ma Jak, tu es trop gentille. Quel honneur tu me fais !
SupprimerMerci beaucoup.
Je t'embrasse affectueusement
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La photo est superbe et le jardin que tu décris caché derrière lui donne envie... Oui, on voudrait bien, c'est sûr, même sans savoir quoi au juste. Mystère délicieux, attente au coeur battant... Bisous ma belle
RépondreSupprimerParfois, l'attente est délicieuse. Et merveilleuse aussi. Comme un rêve.
SupprimerEt je sais pourquoi tu apprécies ma photo, belle dame qui aime tant la verdure et la nature.
Bizou ma Brizou
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Un tilleul, notre premier arbre planté.
RépondreSupprimerTrop de souvenirs, de siestes, de bavardages et de fous rires sous celui de mes grands-parents.
Le parfum frais de ses fleurs pour de chaudes tisanes en hiver.
Et sa silhouette! Le notre à vingt ans, en déjà bien des secrets accrochés à ses branches, et tant d'autres à venir...
Il faut que j'y suspende une balançoire... mon club de petits enfants va encore s'agrandir cette année...
Bises sous l'ombre sage d'un tilleul qui se réveille.
Merveilleuse nouvelle mon Etienne.
SupprimerLe parfum du tilleul est une des plus suaves et excitantes odeurs que je connaisse...
Bisous enivrés
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Zut alors ! Mais ce texte est encore un régal, j'adore et ne me lasse de tes blagues à deux roupies !!! Bises du lundi céleste Célestine, à bientôt. brigitte
RépondreSupprimerLes rêves sont toujours imprévisibles et il y en a certains qu'on aimerait bien voir se prolonger. En tous cas, ce jardin derrière la porte et suggéré par tes mots, qu'il soit réel ou imaginaire, est le genre de jardin que j'adore.
RépondreSupprimerTa photo est magnifique, quel arbre !...
Belle semaine à toi, Célestine. Bisous.