...ces choses-là sont mises.
(Le Misanthrope, scène 2, acte I)
Et c'est à ce moment tout aussi précis qu'un énergumène en trottinette électrique arrive derrière moi. Visiblement, il a quelque chose de très urgent sur le feu, sûrement un soufflé aux écrevisses. Ou alors le dernier épisode de Good Doctor à voir en replay. Ou une lettre à son percepteur. Bref, un type très pressé.
Moi, non. Je ne le suis pas. Je marche tranquille, forte de mon statut de piétonne allègre à l'avenant, alors qu'il usurpe effrontément le trottoir avec son engin motorisé et sa mine que je devine renfrognée. Pas content, il grommelle, j'entends bien ses borborygmes. Pour qu'il puisse passer, il faudrait que je consentisse à m'effacer devant icelui. Mais voilà, quelque chose me dit qu'il peut bien attendre vingt secondes.
Et là, monsieur le président, contre toute attente, cet olibrius, ce sapajou, ce bachi-bouzouk de crème d'emplâtre, comment vous dire ? s'autorise soudain à prononcer une phrase, mais une phrase... dont le raffinement n'a d'égale que la délicatesse :
« Bon, tu le bouges, ton cul, sale rousse ? »
Ah ! Jugez de l'effet de tels mots sur le néo-cortex de votre Célestine, déjà légèrement titillé par sa simple présence sur mes talons : interloquée, puis dubitative, je ne puis me résoudre à penser, en premier lieu, que cette immonde semonce s'adresse à moi. Pourtant, il me faut rendre à l'évidence. Ce cercopithèque bas-du-front et pue-la-sueur vient de m'éructer une injonction aussi déplacée que vulgaire, dans une synthèse parfaite de tout ce qui se fait de plus vil en matière d'insulte sexiste : évocation salace d'une partie callipyge, sacrée et intime de mon individu, remarque discriminatoire sur ma couleur de cheveux, faisant trembler la galerie de mes ancêtres celtes, et enfin allusion infamante et fallacieuse à mon hygiène corporelle qui, dois-je le préciser, est pourtant parfaite elle aussi.
Touchée en plein coeur dans ma dignité, je m'applique à marcher encore plus lentement, en pesant bien mes pas, sentant son haleine fétide exhaler son exaspération à grands coups de soupirs hargneux. Il finit par se faufiler entre le mur et moi, manquant de me renverser au passage et me glissant dans un chuintement furtif, sans doute, dans sa logique, pour me porter une sorte d'estocade, un gargouillement glaireux dans lequel je crois reconnaître le mot :
« Connasse ».
Hésitant à me sentir courroucée, furibonde, anéantie par une telle médiocrité ou simplement subjuguée par tant de poésie élogieuse et de raffinement, je regarde s'éloigner ce Rimbaud de caniveau, ce Victor Hugo d'eau de vaisselle sur son destrier électrique acheté probablement sur un site marchand esclavagiste. Cet impertinent eût mérité une bonne correction, et même un soufflet, et pas aux écrevisses celui-là.
Mais il a fui sans vergogne, profitant de sa supériorité mécanique, ne me laissant même pas le loisir de lui répondre. Ma grand mère italienne m'a bien soufflé du haut de son nuage qu'elle ne se serait pas gênée pour lui lancer un « vaffanculo » en uppercut. Mais j'ai l'esprit d'escalier que voulez-vous...Et puis, surenchérir, eût-ce été la solution ?
La bave d'un minable crapaud même en trottinette n'atteint pas la rousse colombe.
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A défaut d'élégance, ça doit friser l'inédit... du moins j'espère.
RépondreSupprimerIl doit probablement y avoir eu des ratés dans le programme de l'E.N. en Baie des Anges...
Je dois dire que j'aurais été tenté de tendre le pied lors de son passage, ou de faire un mouvement brusque qui déstabilise sa vision de la trajectoire... Mais bon, je ne suis pas rousse et il y a fort longtemps que je n'ai pas arpenté le bitume niçois.
Mais un vaffanculo bien senti me semblerait un minimum syndical dans la Péninsule toute proche :-)
Elle était bien ta Grand-mère... non bisogna fare defecare i ritals
Ti bacio forte
Oui c'est assez inédit.
SupprimerMais les ratés sont-ils dans le programme de l'éduc nat, ou dans celui des parents de ce blanc-bec ?
Tu sais bien que je n'aime pas les conflits ni la violence, rapport à un certain Mars qui se balade du côté du crabe...
Tu remarqueras quand même que j'ai préféré prendre ça avec recul plutôt que de me sentir blessée.
Les gens n'ont que le pouvoir qu'on leur donne, voilà la plus belle leçon que j'aie apprise ces derniers temps.
Ti bacio forte, il mio italiano preferito
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Si toi aussi tu participes aux embarras urbains en tenant ferme le haut du pavé... ;-)
RépondreSupprimerJ'essayais de voir s'il y avait encore la plage sous les pavés... :-)
SupprimerMais c'est compromis par l'étang qui court...
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Quand la menacée est un enfant de 9 ans, c'est moins drôle. Heureusement pour ses oreilles, elle s'est écartée avant que la moindre phrase ne soit prononcée.
RépondreSupprimerVous avez totalement raison, Madame Chapeau;
SupprimerC'est à la suite d'un long chemin douloureux que la petite fille de neuf ans qui est en moi réussit à se défendre et à prendre du recul... ;-)
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Le bonjour, Ô rousse colombe ! Y a des coups de chaînes à vélo qui se perdent. Vraiment.
RépondreSupprimerUn mal pour un bien, cela nous délivre un très bon papier.
Ah mon cher Rod, merci pour ton enthousiasme.
SupprimerC'est une joie pour moi. ;-)
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Oh le délicieux stronzetto, objet d'un savoureux billet, sans doute rongé déjà par sa mauvaiseté chronique... Et si on faisait une poupée vaudoue en trottinette? On peut, a piacere, créer un court-circuit avec explosion, créer un court-circuit qui lui envoie des étincelles entre les jambes, jeter un sort sur son casque pour qu'il lui tombe sur les yeux juste en face d'un platane, lui donner une gastro instantanée... Bref, on peut s'amuser tout le week end avec une poupée!
RépondreSupprimerMDR ! j'adore tes solutions vaudous, sorellita.
SupprimerJ'aurais pu aussi lui jeter un sort directement sur place, mais j'avais oublié ma baguette magique...ma che sciocca !
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Ahaha ! on aimerait, dans ces moments, avoir la répartie du Cyrano d'Edmond Rostand.
RépondreSupprimerMais ton récit est charmant !
Oui mais si pour cela il faut avoir son nez, je préfère garder mon esprit d'escalier ! ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tu as bien fait de ne pas lui répondre, Célestine, tu te serais ainsi conduit comme lui. Le silence est parfois la meilleure des intelligences.
RépondreSupprimerGros bisous ma belle.
Je pense que si j'avais répondu, ç'aurait été au second degré, tu me connais...
SupprimerDu genre, oh mais quel poète !
Bisous Françoise, heureuse de te voir sortir de ton silence à toi juste pour moi... Je prends cela comme une marque d'estime qui me touche beaucoup.
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Je ne suis jamais bien loin, Célestine, je te lis, je te suis. ;-)
SupprimerJe t'embrasse fort.
Merci ma douce ❤️
SupprimerIl n'a pas profité du spectacle de ton joli valseur "chaloupant" harmonieusement, langoureusement, joliment mis en valeur par un jean épousant la courbe de ton dos ?
RépondreSupprimerIl ne te méritait pas, ne lui tourne surtout pas le dos, il n'apprécierait pas.
Je te laisse l'entière responsabilité de tes propos, mon roudoudou...
SupprimerMais j'apprécie ton sens esthétique à sa juste valeur ;-)
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J'ai failli écrire "Ce mec est vraiment un con." puis je me suis rappelé Léo Campion qui disait "Un con est un imbécile qui n'a de cet organe ni la profondeur, ni la saveur."
RépondreSupprimerEn plus dire "Sale rousse", l'imbécile ! Le béotien ! L'inculte ! Le sans goût !
Tu me diras, "sale brune" ou "sale blonde" ne valait pas plus.
En être à penser qu'une trottinette a priorité sur n'importe quel humain, pire : n'importe quelle humaine !
Cela dit, je comprends qu'il préfère être sur le trottoir.
Pour avoir tenté de me frayer un chemin dans la circulation à Nice, je peux dire que les automobilistes y sont encore plus fous qu'ailleurs.
Pour clore, "en même temps" l'existence de tels imbéciles mal élevés (pas élevés...) sont une aide incomparablement efficace pour les hommes que ne voient pas dans les femmes que des "connasses" ou des empêcheuses de passer en trottinette mais des "êtres humaines" dont il est plus que bien d'en être le compagnon ...
La citation de Leo Campion me fait penser à la chanson de Brassens le Blason
SupprimerLa male peste soit de cette homonymie
C'est injuste madame et c'est désobligeant
Que ce morceau de roi de votre anatomie
Porte le même nom qu'une foule de gens.
Je vois que tu connais Nice, ça fait plaisir...On aura des trucs à se raconter quand je viendrai vous voir.
Et j'aime beaucoup ta conclusion aussi.
Oui, le respect commence par là, en effet...
Bisous
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L'ancienne rousse devenue grise dit à la rousse qu'elle aurait du se servir de sa grand'mère, les insultes en italien sont savoureuses
RépondreSupprimerC'est vrai, presqu'autant que celles du capitaine Haddock
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Que voilà un texte bien troussé !
RépondreSupprimerBien que l'olibrius méritât amplement un "Vaffanculo" tonitruant, tu as peut-être bien fait de n'en rien dire : on a vu récemment la gifle assénée par un de ces prétendants au titre de "dominant sûr de son droit" à une aimable donzelle qui avait eu l'audace de lui faire part vertement de son insoumission.
Quoique... peut-être que six mois de séjour à l'ombre lui auraient peut-être appris à mieux parler aux dames (et pas qu'aux dames)
https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/10/04/l-homme-qui-avait-gifle-une-femme-dans-la-rue-a-paris-condamne-a-six-mois-de-prison-ferme_5364747_1653578.html
BIses respectueuses
J'ai lu avec attention l'article. C'est vrai que la conclusion est aussi celle que j'aurais tirée : ce n'est pas gagné !
SupprimerMais en même temps, j'ai espoir que cela change un jour, parce que les choses avancent.
J'aurais peut-être dû porter plainte...mais j'ai trouvé ce type tellement minable, et en même temps ça m'a tellement interloquée, que je n'ai rien pensé à faire.
Merci Pierre pour ton intervention
Bises réjouies
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Avec mes ascendances italiennes c’est un mot qui revient souvent dans ma bouche
RépondreSupprimerSurtout au volant... il faut parvenir à se faire une place dans cette jungle et à se faire respecter alors autant parler le langage des charretiers...mais qu’est ce que j’aime ta façon d’ecrire !
Bises
Angela
Je crois que j'ai des progrès à faire en langage de charretier...mais pour ce qui est de la langue de Molière, j'assure !
SupprimerBises ma belle
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Ton récit est si vivant, qu’il a le pouvoir d’estomper l’ignoble personnage, je n'ai vu que toi gambadant dans les rue de Nice
RépondreSupprimerJe t’avoue que pour lui, vengeresse, j’aurais j’ai rêvé une chute finale !
(hou! les vilaines pensées)
amitiés Jak
Je ne voulais pas lui donner la vedette, il n'a joué qu'un second rôle minable à côté de moi en diva sublime...
SupprimerMais non je rigole.
Bisous ma Jak
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Pas question de s'identifier à l'agresseur ! Je t'assure que derrière tout sadique se cache un masochique…
RépondreSupprimerC'est pas faux, ce que tu dis...Je suis contente de ne lui avoir pas donné ce plaisir.. ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ce genre d'énergumène, il vaut mieux les ignorer. Ou alors, si tu avais eu une peau de banane dans la main (quoi, tu ne mangeais pas une banane à ce moment-là???), tu l'aurais jetée sous les roues folles de son engin et il serait parti dans le caniveau.
RépondreSupprimerBises alpines ma rousse.
Mince, tu as raison. Désormais, je mettrai une banane dans mon sac. ;-)
SupprimerÇa ne m'empêchera pas de l'afficher sur mon sourire...
Bises célestes
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Bonsoir Célestine,
RépondreSupprimerA qu'en termes humoristiques cet épisode est conté et ce grossier individu évoqué!
Bisous,
Mo
P.S. : Bon, il ne me reste plus qu'à affronter captcha pendant une dizaine de minutes (je ne suis pas douée) mais ton billet en vaut la peine.
Oh quelle horreur cette captcha...
SupprimerTu sais que je ne peux pas la désactiver, g**gle n'en fait qu'à sa tête...
Sinon, il y a longtemps que je l'aurais fait...
Bisous et merci pour tes éloges
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Mais, Celle, tu ne savais pas, que rue Pastorelli, il ne faut jamais jouer la pretty woman, mais plutôt la nice girl?
RépondreSupprimerEt on dit merci à qui pour ce précieux conseil?
Merci mon petit Bof qui est si gentil.
SupprimerJe ne savais pas que tu pratiquais si bien la langue de Shakespeare... ;-)
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Avec un léger accent, ma petite Celle qui es si mignonne, avec un léger accent...
SupprimerA Diù sias.
Un léger accent mais c'est charmant ça ...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Les bonnes manières se perdent sans doute... je suis atterré que vous ayez eu à vivre cette désagréable mésaventure.
RépondreSupprimerMais je constate que vous le prenez avec humour, et c'est formidable.
Votre écriture dans ce mode est fluide et très agréable à lire.
J'aime beaucoup.
Bien à vous, chère délicieuse rousse.
~L~
Ah il est vrai qu'on est loin de l'amour courtois et autres préciosités...
SupprimerAlors évidemment il reste l'humour pour désamorcer la désagréable impression de n'avoir été qu'un paquet encombrant sur un trottoir...
Merci à vous qui êtes si raffiné...
Je vous embrasse
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Tu aurais pu répondre façon Chirac quand il t'a lancé :
RépondreSupprimer— Connasse !
— Ah non, vous faites erreur, moi c'est Célestine !
Ç'aurait été beaucoup plus recherché que le célèbre « casse-toi pauvre con ».
SupprimerMais aurait-il aussi bien compris ? ;-)
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Il est vrai que pour comprendre, il lui fallut un cerveau…
SupprimerAbsolument ! Et je ne suis pas sûre qu'il en ait eu un en bon état de marche...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Des ancêtres celtes ? Irlande ?? il y a de très belles rousses là-bas ! Tu trottinais trop doucement que veux-tu...et du coup, l'ambiance fut électrique. Bah, la mer était belle non ? Gros bisous.
RépondreSupprimerExactly, sir.
SupprimerJe vois que tu es de retour, ça me fait plaisir de te voir, Mindounet...
Oui la mer était belle comme elle sait l'être hors saison.
Gros bisous
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J'adore. Sincèrement ! J'arrive à manier l'amour courtois (voir mon feuilleton) et l'humour dans un nouveau roman en ligne, sinon j'essaye d'être assez fou pour intéresser les gens. Ici je suis en pays de connaissance, je sens que je vais me plaire. Bonne soirée !
RépondreSupprimerhello Bruno ! Bienvenue sur mon totem. Tu as bravé l'affreuse captcha qui terrifie mes lecteurs depuis quelques temps...C'est vrai que retrouver des devantures, des panneaux ou des passages piétons, sur des images floues et illisibles, ce n'est pas folichon.
SupprimerPour cela tu mérites ton entrée ici en preux chevalier.
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Quel texte ! Pour raconter ce... ce... ce... je n'ai pas de mot, tiens !
RépondreSupprimerA l'heure du tout électrique, même les gougnafiers sont connectés. Celui-ci est en parfaite osmose avec son véhicule, dont le niveau de délicatesse est le même que la garde au sol dudit engin. A savoir, au raz du sol. Sans vouloir offenser les trottinettes, qui elles, n'y sont pour rien.
Si ce crétin des alpes maritimes eut été un tant soit peu cinéphile, il aurait peut-être pu te confondre avec Audrey Fleurot, tant vos deux silhouettes se ressemblent.
Que dire devant autant de bassesse ? Sinon que le silence est le plus grand des mépris.
Si cette mésaventure était arrivée à ma petite sœur, telle que je la connais, elle aurait sûrement dit : " dis donc, tu les veux, mes cinq marionnettes, sur ton coin de théâtre ?"
Mais je ne suis pas sûr qu'il eût compris la métaphore.
Dis donc, tu me la présenteras, ta petite soeur ? J'adore sa métaphore, moi...et son courage.
SupprimerAudrey Fleurot, tu me flattes. J'adore cette actrice assez ... incendiaire, il faut le dire.
Crétin des Alpes maritimes, muahaha ! ça c'est top.
Que dire d'autre ? Que je passe un bon moment chaque fois que je te lis ? Mais ça tu le sais, mon Didier ...
Bisous du soir devant Magellan
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PS : j'ai lu ta réponse à mon mail. Je te réponds dès que possible... ;-)
SupprimerMa petite sœur, elle ne s'en laisse pas compter ! Malgré ses un mètre cinquante-deux et ses trente-sept kilos. Sur le ring du tac au tac, elle est championne toutes catégories.
SupprimerQuant aux crétins (originellement des alpes), il semblerait qu'ils soient descendus sur la côte. Et du coup, ont colonisés l'ensemble des territoires.
Je t'embrasse, mon amie du soir...
Elle me donne vraiment envie de la connaître...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Devant l'urgence de la situation, j'ai fait parler ma sœur un peu vite.
Supprimerla phrase exacte est :"dis-donc ! Tu veux une représentation de mes cinq marionnettes sur ton coin de théâtre ?". j'adore cette métaphore. ;)
Ma petite sœur a hérité du sens de la répartie de ma maman. J'ai une grande complicité avec elle. Il faudra qu'un jour je racontasse certaines de nos péripéties...
Ah, j'oubliais ! si je suis sûr de sa taille, il n'en va pas de même de son poids... c'est une poids-plume !
Ton sens de la précision t'honore !
SupprimerÇa me donne encore plus envie de la connaître.
Oh oui, racontasse ! ;-)
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Un petit bonsoir en passant , juste pour te montrer que je ne t'oublie pas , mais je suis toujours surbookée et en plus je n'arrive plus à suivre ha ha ha .
RépondreSupprimerGros bisous marseillais .
Renée (mamiekéké).
C'est gentil Renée ! toi aussi tu es pressée ? Tu fais des soufflés aux écrevisses ?
SupprimerMais je suis sûre que tu restes polie...
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Hélas, des bas du front de cet acabit, tous sexes confondus, tous milieux sociaux et culturels confondus, "il s'en croise" depuis que le monde est monde, et on en vient à douter parfois de la capacité de ce monde à s'améliorer.
RépondreSupprimerMais bon... on ne va pas se décourager pour si peu, n'est-ce pas? Il y a à peine quelques semaines, est arrivée dans mon dos une remarque bien vulgaire quoique censée exprimer l'admiration sur l'anatomie de mon cul, j'ai jeté le même type de réponse que je retournais il y a déjà 3 décennies, à savoir que je lui souhaitais de beaux rêves, car il ne risquait pas d'y avoir un quelconque accès... Et j'ai bien rigolé toute seule en imaginant le choc qu'il avait dû avoir en voyant ma tronche, qui affiche plus mon âge que mon derrière :-D
Mais on va encore m'accuser d'avoir le féminisme hargneux :-D
Ah tiens j'en ris encore, autant que de ton savoureux billet!
Bises complices
Si essayer de faire valoir ses droits élémentaires bafoués depuis quelques milliers d'années, c'est cela être hargneux, alors je dois l'être aussi...comme le sont pas mal de gens en ce moment...
SupprimerIl faut bien se rendre à l'évidence : ça demande du courage...et garder espoir même quand on doute, ça prend de l'énergie...
Dans le cas présent, j'ai pris le parti de rire de ce gougnafier. J'avais l'humeur ba(la)dine ...Je n'avais pas envie de m'engrainer comme disent les jeunes.
Ecrire mon billet (dont je suis heureuse que tu l'aies trouvé savoureux) a été une façon pacifique et jubilatoire de passer ma colère.
Mais il y a des fois, de plus en plus nombreuses, où j'ai moins de patience avec les connards...
J'ai appris à me positionner, comme tu le sais, pour arrêter de donner du pouvoir sur moi à ceux qui n'en ont aucun.
Et d'avoir peur.
Bises de même
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écrit comme ça on se régale ma chère Célestine
RépondreSupprimersur le fond, la vulgarité la bassesse sont devenues monnaie courante si j'ose dire
Je crois hélas que la vulgarité et la bassesse sont inscrites dans les gènes de beaucoup de nos congénères et depuis la nuit des temps...Alors autant écrire un billet jouissif.
SupprimerBisous ma belle
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Quel sot, mon Dieu, mais quel imbécile... Bien au-delà de sa phrase stupide, se priver de la vue de ton cul, mais quel con !
RépondreSupprimerBleck
Eh oui mais toi, tu es un esthète, mon grand Bleck. ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Sa race !
RépondreSupprimerMais quelle revanche ! Écrite à l'ocre roux et rageur, avec une délicieuse retenue pleine de failles émotionnelles qui claque... #genre !!! Et j'ajoute #nanméoh :p
Genre : hashtagueule, quoi XD
Supprimer#rose de confusion #merci #mortderire :-)))
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Tu as choisi la plus belle des réponses : ce texte. J'aime les insultes du capitaine, ton texte et son titre, cela fait prendre de la hauteur à tout ça.
RépondreSupprimerBises.
Merci Patrick. C'est vrai que ça a de la gueule, le beau langage !
SupprimerBises réjouies
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"Et puis, surenchérir, eût-ce été la solution ? " Dans les temps actuels, c'est bien à méditer. Qu'il est bon de venir ici prendre son bain de quiétude, même si tu y racontes ta mésaventure. J'ai été apostrophée de la même façon pas plus tard que mardi , tandis que je tentais de traverser sur le passage piéton , sous une pluie battante , trébuchant avec mes 29 cahiers etc. Le petit bonhomme certes était devenu rouge, mais le gros bonhomme bien confortablement assis dans sa grosse bagnole , lui a vu rouge... Réjouissons nous , après la pluie, le beau temps , espérons , finira pas revenir sous l'Arc...
RépondreSupprimerJ'essaie de cultiver la quiétude, oui, de m'emplir de belles choses, et de traiter les choses négatives avec recul et humour...J'ai remarqué que c'était la façon la plus saine de ne pas se laisser atteindre.Et quand on est hypersensible, comme c'est difficile de ne pas se laisser atteindre...
SupprimerQuand même, personne ne t'est venu en aide, alors que tu as trébuché et fait tomber tes cahiers sous la pluie...Le monde est bien inhumain et insensible à autrui...
Bisous ma belle bulle
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Bravo pour ta pacifique réaction, il est à plaindre ce trotti-mec, un pauvre d'esprit, tu as bien fait de ne pas t'abaisser à son niveau et de rester dignement perchée à 10 cm du sol. Je te soutiens céleste Célestine, il y a tant de belles personnes et de belles choses dans le monde, et t'embrasse. brigitte
RépondreSupprimerPas mal trotti-mec ! joli mot valise pour un gros lourd !
SupprimerC'est vrai, il y a beaucoup de belles choses, assez pour faire oublier les moches...
Bisous ma Plume
💟
- C'est quoi, tous ces clowns, Carpentier ?
RépondreSupprimer- Des clones, mon commandant !
- C'est la fin du monde !
- Mais pas la fin du moi ! C'est l'apocalysse, mon commandant !
;-)
Coincoin sors de ce corps ! :-))
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
tiens moi aussi j'ai l'esprit d'escalier...faut toujours suivre les conseils de sa grand-mère !!!!
RépondreSupprimerbises et belle semaine
J'aurais p'têt dû...Mais les avis sont partagés... ;-)
SupprimerBisous ma miss
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Un malotru, un sapajou !! décidément en ce moment l'agressivité est à son comble ! Mais que disent donc les astres ?
RépondreSupprimerPasse ton chemin, tu es au dessus de ça. Tourne vite la page ....
J'ai tourné la page, maître ! ;-)
SupprimerPour les astres, ne serait-ce pas l'influence de l'astéroïde B612 ?
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Ce macho/misogyne n'a qu'un pois chiche dans sa petite cervelle.Blonde, rousse ou brune, sa réaction eut été la même. Papa me disait toujours "les gros mots sont l'arme des faibles ".. Mais toi tu, es forte et si les brunes ne comptent pas pour des prunes, les rousses ont une joli frimousse et connaissent le Larousse
RépondreSupprimerIl était bien ton papa !
SupprimerEt de bon conseil...un peu comme ma grand-mère, quoique pas dans le même registre... ;-)
Bises rousses
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J'ai tout raté moi hier, dont ceci :
RépondreSupprimerAu Niçois qui mal y pense
c'est faire trop - deux doigts - d'honneur !
;-)
Joli rattrapage mon oncle ! ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Magnifique !
RépondreSupprimerJ'en prends plein mes poumons de celte blonde vénitienne, à la grand-mère bretonne rousse à coiffe, à ma peau de lait délicate,
quel immonde énergumène !!!
Un doigt d'horreur pour lui !!! et un gros dégueulis pour les gros dégueulasses !
Comme tu es grande et belle toi, ma grande sœur d'âme et d'ancêtres …
je t'embrasse le coeur, immaculé, intouchable, si précieux.
Wouaou ! Voilà qui est bien envoyé, et tellement contente de te revoir, j'avoue, c'est chouette d'être revenue, belle poétesse cendrée.
SupprimerBisous du coeur
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Je me suis un peu ramollie de ce côté-là ! Le côté hargneux, pitbull, qui me faisait réagir au 1/4 de tour à toute agression, s'est adouci par précaution. Je ne me sens plus aussi forte physiquement, alors que je ne n'étais ni plus grande ni plus grosse autrefois. Ce merdeux à trottinette, je l'aurais laissé passer aujourd'hui sans moufter...enfin, je crois. Et pourtant, j'en ai connu des agressions lorsque j'étais dans mon commerce. Je les ai toutes affrontées crânement, et je dois l'avouer, avec quelques imprudence. Mon culot et mon indignation devaient sûrement me faire grandir de plusieurs dizaines de cm puisqu'à chaque fois, j'ai bouté l'ennemi hors mon magasin. Avec une fois, un poing tout près de mon visage, j'aurais pu me faire aplatir comme une crêpe ! Oh bazar de c.. quand j'y pense, j'étais fada ! Il valait mieux que tu continues ta promenade haut perchée en te riant de ce grand cornichon. Il ne méritait que le mépris. Il n'aurait plus manqué qu'il te gâche le soleil de cette belle journée ! Qu'il file donc pétarader ces éjaculations nauséabondes plus loin. Bisous Célestine.
RépondreSupprimerC'est vrai qu'en avançant dans la vie, on est moins téméraire...
Supprimerje me souviens avoir damé le pion à un grand escogriffe qui avait laissé tomber son paquet de cigarettes vide sur le sol public... Ni une ni deux, je lui dis : « ah ben bravo ! »
Quand il se retourne, je m'aperçois que c'est une armoire à glace et qu'il fait au moins deux mètres...
Mais il a ramassé son paquet et l'a mis dans sa poche, alors qu'il aurait pu m'estourbir d'un revers de main.
Oh bazar de casserole !
Bisous mariejo merci pour ton post
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Pauvre âne juché sur une trottinette. Si tu savais qu’en un seul coup de baguette magique cette fée est capable de te projeter au sommet d’un platane centenaire, tu y réfléchirais à deux fois. Tu tenterais d’acquerir son amitié ou juste sa bienveillance. Et comme tous les lecteurs de ce blog tu viendrais y goûter la douceur de ces mots.
RépondreSupprimerCar c’est pour cela qu’elle écrit la belle dame.
Tu s’était sous le charme, comme si tu partageais avec elle un café, un moment précieux, dans n’importe quel endroit qui te paraîtrait alors un havre de paix.
Tu verrais son visage passer du rire à l’émotion, ces yeux parfois même s’humidifier. Tu aurais à la fois l’envie de l’embrasser et la crainte que n’etre pas assez sage la fasse disparaître en un instant.
Tu viens, patinettiste grossier, de passer à côté d’un rêve...et tu n’en t’es même pas aperçu.
Nonobstant le fait que mon sort favori ne soit pas de projeter en haut d'un platane, mais plutôt de transformer en poêle à frire ce genre de grossier personnage, je suis globalement d'accord avec vous cher Julien : il ne sait pas ce qu'il a perdu... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
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RépondreSupprimerEt bien ma belle Célestine, je crois bien que je me suis perdue dans le petit bois derrière chez toi. Je viens de déguster tes dernier messages avec gourmandise. C'est que je ne visite pas trop la blogosphère depuis quelques temps… j'ai, du coup, loupé ton cours de vocabulaire qui m'a bien amusé. Aujourd'hui, j'apprend que tu es rousse et que tu promène ta nonchalance à Nice?? Je vais essayer d'être plus attentive.. bisoussssssssss
RépondreSupprimerOh ce n'est pas grave, l'essentiel est que tu aies retrouvé ta route, ma Brizou, dans les circonvolutions de mon cerveau jaillissant... ;-)
SupprimerQuant à ma rousseur, je m'inscris en faux, monsieur le président ! Tu le savais déjà...
Bizou ma Brizou
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Bonsoir Célestine, quel beau texte . De la qualité, du tact de l'élégance pour évoquer un olibrius automobiliste roulant au gas-oil aussi poli qu'un gilet jaune à jeun sur le rond point de la misère macroniste.
RépondreSupprimerImage osée mais réaliste...
SupprimerMerci cher zicos !
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Mais de rien , Chère douce poétesse.
Supprimer;-)
SupprimerLa chose est délicate et m'embarrasse fort,
RépondreSupprimerPour ce que je dirai, j'aurai raison et tort.
Si je loue votre plume, on me dira zélé,
Et si je la blâmais, on me croirait blasé.
Je la loue, me voilà Philinte et complaisant,
Je l'éreinte, et je suis Oronte médisant.
Je ne suis que moi-même, et c'est vraiment très peu,
Avec mes gros sabots et mon style adipeux :
Céleste, vous avez fort bien décrit la scène,
Et dressé le portrait de ce goujat obscène.
Le voilà épinglé, déplaisant et nuisible,
Vilain en vérité, par surcroît très risible !
You just made my day, dearest ! Cet homme était dans votre sillage (je n'ose pas dire « derrière vous ») et il n'y est pas resté ! Alors qu'une cohorte de galants se bousculerait pour avoir ce privilège (je n'ose écrire « ce plaisir ») !
Cela dit, les temps sont difficiles pour les hommes : quand ils suivent les femmes, elles les traitent de porcs, mais quand ils les ignorent, elles les qualifient de mufles…
Ah cher Patrick, quel délicat compliment, et si bien troussé, malgré ce que vous dites de vous... Gros sabots ? Style adipeux ? Il me semble que vous vous flagellez inutilement :-)
SupprimerJe suis heureuse d'avoir fait votre journée, soyez-en certain !
Pour ce qui est de votre dernière phrase, elle est à la fois beaucoup trop générale et beaucoup trop binaire... Entre les deux, il existe une palette immense de nuances, et vous le savez...
Celui-là ne m'a ni suivie ni ignorée, il m'a juste insultée bêtement et s'il mérite un qualificatif, c'est celui de malappris.
Merci pour votre passage, cher ami. Toujours apprécié.
Bien à vous
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Aurais-tu la gentillesse de me confier les coordonnées de ton trottiniste électrifié afin que je le remercie de t'avoir inspiré ce billet dont je souris encore ?
RépondreSupprimerAh qu'en termes marrants ces choses-là sont mises !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
#ziva !
RépondreSupprimerd65foulquier (at) gémel point com... ;)
Rue Pastorelli... Quelle(s) vue(s) ! D'en haut, d'en bas...
RépondreSupprimerVue imprenable !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerTa patience n'a d’égal que ton élégance.
RépondreSupprimerJe suis admiratif.
Mais tu as mille fois raisons...
Comme le disait un de mes collègues de travail, grand philosophe à ses heures:
La mère aux cons n'est pas morte!
Tout ça est bien triste, mais ton texte, gorgé d'humour, est un délice comme tu sais si bien en faire. J'adore!
Bises du soir, et belle nuit.
Merci l'ami pour ce commentaire admiratif.
SupprimerJ'aime bien ton collègue de travail, il a de saines observations...
Audiard disait qu'ils osaient tout...
Bises en retard mais sincères
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Cela aura au moins le mérite de nous offrir ce billet plein d'humour. De mon côté, au fil des ans, je préfère ignorer ce genre de gens, et me concentrer sur les choses positives (car il y en a heureusement aussi beaucoup). Bon week-end Célestine et à bientôt.
RépondreSupprimerTu as raison. Maintenant il est vrai que, quand ils arrivent par surprise, c'est difficile de les ignorer complètement...
SupprimerMais en faire un billet d'humour, ça désactive la charge négative.
Bon week end cher Petit Belge
merci de ta fidélité
Bises célestes
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Sauf qu'avec ce que tu viens de produire chez les #ImpromptusLittéraires, je sais plus, moi. Sourire jaune ? Pleurer violet ?
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/6yrGw0sRv3Q
"Did you ever say 'no'? No ? Oh, no!" - Grinçante ironie !! ♥
Nous avons tous nos zones d'ombre, nos failles, nos souvenirs tout pourris...
SupprimerHeureusement, nous avons aussi en nous une force qui nous aide.
Haut les coeurs, je vais bien ne t'en fais pas...
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ces évènements, détestables, me serrent toujours le cœur.
RépondreSupprimerIls renvoient à une forme d'humanité, de crasse intellectuelle.
Pour ce qui me concerne, "j'affectionne" les insultes en allemand...
;)
d'inhumanité, bien sûr...
SupprimerPfff, quand même. Dommage qu'il allait vite. je lui aurais tout de même fait un doigt d'honneur.
RépondreSupprimerSérieusement (bien que, sauf prise par surprise, j'aurais effectivement fait un doigt d'honneur, perdu par le principal intéressé), on lutte tellement contre le harcèlement de rue... Une étudiante en cinéma, en Belgique (je crois que c'était une néerlandophone), a tourné un film "en catimini" rien qu'avec le harcèlement de rue. C'est un vrai problème, et c'est vrai que tu traites ta mésaventure avec humour... // Mais quelle tristesse !
RépondreSupprimerMerci Cloudy et Pivoine et désolée de ne trouver vos commentaires que huit jours après...
RépondreSupprimergros bisous
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impressionnants ces sapajous, ces mal-élevés ... c'est comme en ville, quand les gens roulent tranquillou, tu as toujours des vauriens qui font le doigt d'honneur ou klaxonnent. En ville avec les feux, mieux vaut être cool...
RépondreSupprimer(je viens grâce à un lien donné par Daniel) Bonne soirée
Quel pignouf! espèce de Bachi-bouzouk!
RépondreSupprimerBisous ma belle
Bisous ma Cathy !
SupprimerMerci de ta compassion...
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