Retrouvées, les chères têtes blondes avec leurs yeux pleins de rêves et d'interrogations. Pour la dernière ligne droite, on va mettre les bouchées doubles.Clore le programme, remplir les objectifs que l'on s'était fixés, monter le spectacle de fin d'année.
Ressourcée par ces vacances bénéfiques, ce changement d'air salutaire, cette oxygénation du cerveau si importante pour garder les idées claires.
J'aime ce début de printemps , les odeurs des fleurs envoûtantes et tenaces, les sifflements aigus des merles rieurs célébrant leurs noces dans les pins.
J'aime aussi cette promesse de chaleur que contient le petit air vif du matin, quand je monte sur mon vélo, habillée un peu trop légèrement malgré l'adage des grands-mères: "avril, ne te défais pas d'un fil..."Je traverse le jardin de ville dont les allées sillonnent des pelouses d'un vert impeccable. Le soir, il fait jour très longtemps, on s'attarde dans le jardin, et sans cette gangue de plomb déprimante de l'hiver, de la nuit, du froid, aller travailler ne me pèse plus autant.
Se dire que l'important n'est pas le bout du chemin, mais le chemin lui-même, et que chaque journée peut être vécue comme un jour de vacances, il suffit de sourire à la vie.
On va encore me dire que je suis une optimiste béate. La différence c'est que maintenant, j'assume.C'est toujours ça de pris, disait ma grand-mère.
Ressourcée par ces vacances bénéfiques, ce changement d'air salutaire, cette oxygénation du cerveau si importante pour garder les idées claires.
J'aime ce début de printemps , les odeurs des fleurs envoûtantes et tenaces, les sifflements aigus des merles rieurs célébrant leurs noces dans les pins.
J'aime aussi cette promesse de chaleur que contient le petit air vif du matin, quand je monte sur mon vélo, habillée un peu trop légèrement malgré l'adage des grands-mères: "avril, ne te défais pas d'un fil..."Je traverse le jardin de ville dont les allées sillonnent des pelouses d'un vert impeccable. Le soir, il fait jour très longtemps, on s'attarde dans le jardin, et sans cette gangue de plomb déprimante de l'hiver, de la nuit, du froid, aller travailler ne me pèse plus autant.
Se dire que l'important n'est pas le bout du chemin, mais le chemin lui-même, et que chaque journée peut être vécue comme un jour de vacances, il suffit de sourire à la vie.
On va encore me dire que je suis une optimiste béate. La différence c'est que maintenant, j'assume.C'est toujours ça de pris, disait ma grand-mère.
Bonsoir Célestine,
RépondreSupprimerCa me fait plaisir de vous retrouver en forme. Et j'aime beaucoup votre grand-mère. Vous n'êtes certainement pas d'un optimisme béat, ou alors... nous serions deux! Et j'ai pensé à vous il y a quelques jours, j'entendais le Titipu...