Eprouvez vous parfois cette sensation étourdissante de vous trouver au milieu d'un manège, d'un tourbillon ? Figée, vaguement nauséeuse, avec l'impression de ne plus rien contrôler ?
Ce n'est pas par hasard que j'ai eu envie d'écouter les valses de Chopin, ce matin. Sans doute cette musique brillante et tournoyante correspond-elle au tréfonds de mon état du jour.
Dans ces moments là, mille pensées virevoltent dans mon esprit, sans que je puisse m'accrocher à aucune. Je lis une phrase ou deux, picorées ça et là, et mon cerveau s'envole dans des rêveries, des bribes de souvenirs, des rameaux de volonté oscillant au vent du hasard. Rien de construit ou de structuré. Des effilochages, des bouts de laine accrochés au barbelé du temps. Des regrets, de la nostalgie.
Je viens de terminer ma plongée dans les abysses de mes écrits. Mes Brins d'Etoiles sont là, devant moi, comme autant de témoins de papier de mes fièvres passées. Ils sont beaux. Très réussis. Ils concrétisent ce chemin sur lequel certains d'entre vous m'ont accompagnée depuis toujours.
Etrangement, je ressens une sorte de vide. Mais est-ce si étrange, au fond ? Après toute création, comme après un accouchement, on se sent vidée. C'est là que le formidable ressort de l'énergie doit prendre le relais pour nous propulser vers ailleurs. Vers autre chose. Pour ne pas rester pétrifié dans une sorte d'engluement post-partum risquant de nous entraîner sur des pentes glissantes. Celle de l'habitude, du renoncement, de la résignation, de l'hésitation.
De nouveaux défis m'attendent, d'autres projets, d'autres paris fous, d'autres passages en funambule au-dessus de cataractes bouillonnantes, d'autres sentiers escarpés, pour continuer à me dérouter, aller plus loin, plus haut. Pour que je me dépasse. Que j'étende le champ de mes possibles.
Comme si le but de la vie était de sortir de « ce personnage étriqué, limité, auquel on a appris à s'identifier, alors que ce que nous sommes déborde immensément de ce personnage ». Une très belle phrase de Kea, que je me permets de citer ici, parce qu'elle m'apparaît dans sa lumineuse évidence. Un véritable tremplin.
Tel le soleil qui tente une percée à travers son bâillon de nuages. Signe que le gris vertige qui m'a saisie ce matin est en train de s'éloigner. Doucement. Dévoilant un paysage superbe.
Perso, ce sont deux Nocturnes de Chopin interprétés par Brigitte Engerer qui me font un effet bizarre.
RépondreSupprimerMais dis donc, tu as drôlement tartiné pour remplir autant de cahiers depuis 2009 !
Compliments !
Un gros boulot. Un maelström comme dit le Boss.
SupprimerMais contente d'en être sortie. Et tu sais, je n'ai pas tellement "tartiné". 1500 billets en 15 ans, ça ne fait jamais qu'une moyenne de 100 par an. J'en connais qui écrivent tous les jours...
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PS je vais écouter tes nocturnes.
Chopin ! Elle m'aura tout fait la gamine !
RépondreSupprimerVivement qu'elle émerge de son Maelström !
C'est d'envolées dont nous avons besoin...
Chopin ne te sied pas ? Ce serait un peu comme le Marcel de la musique pour toi, si je saisis bien ?
SupprimerEnvolées...envolées...bon je vais tâcher moyen, comme dit ma voisine.
Mais quand même, j'ai le droit d'avoir un coup de mou de temps en temps, non ?
Allez gros bisou mon bossinou
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Ma bru, finement pétillante (comme l'eau du même nom), est née à Varsovie, ça me suffit !
SupprimerEt, évidemment, tu as tous les droits...
♥️
SupprimerLe résultat est remarquable en effet. Joli choix de couleurs et de photographies.
RépondreSupprimerUn bel écrin pour vos textes que l'on aime tellement chère précieuse amie.
Comment se les procurer ? Vous me direz ?
Tendrement
~L~
Envoyez-moi un mail, et je vous dirai tout cela en privé.
SupprimerMon but n'étant pas de faire commerce, mais de laisser simplement une trace de moi, même si cela peut paraître égoïste...
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C'est tout sauf égoïste ! C'est même l'inverse, un don de soi à l'environnement privé, aux intimes de chairs et d'os. Une confiance, fruit d'un cheminement et d'une réflexion sans cesse vibratoire.
RépondreSupprimerUne œuvre cachée qui la rend précieuse. Et en même temps ce sont des textes publiés à la face du monde. Cela peut sembler paradoxal. Ça ne l'est nullement.
C'est simple finalement : c'est Célestine ! C'est Elle !
Célestine paradoxale...tu veux dire bourrée de contradictions ? Tu sais bien que c'est ce qui fait mon charme...
SupprimerTon message, comme souvent, me met les larmes aux yeux. Tu me comprends tellement, de l'intérieur. Cette réflexion sans cesse vibratoire qui me constitue entièrement. Ce don de moi au-delà des mots pour le dire. Cette mise à nue pour comprendre, sans cesse davantage, le fonctionnement des choses, dans ce qu'elles ont de plus intime.
Il est évident que je te réserve déjà un exemplaire unique de mes brins d'étoiles, qui sera un peu l'écrémage de l'écrémage. Une sorte de digest (enfin je l'espère) de cette prose singulière que tu as si bien su cerner au fil du temps.
Tendrement
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Bonjour chère Célestine. J'aime bien passer par ici. Bravo pour ces carnets ! Quant à Chopin, ses Noctures sont incomparables.
RépondreSupprimerMerci Bonheur du Jour.
SupprimerD'accord avec toi pour Chopin.
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La vie est une grande aventure. Il y a encore tant à défricher.....Avoir des projets, c'est vivre !!
RépondreSupprimerCe n'est pas moi qui te contredirai... des projets, j'en ai plein ma besace. Des rêves et des envies.
SupprimerTout ce qui rend la vie palpitante.
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BRAVO!
RépondreSupprimerun travail énorme de synthèse et de mise en pages...
gros bisous
Un énorme plaisir aussi...
SupprimerMerci ma Cathy
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Quelle belle aventure tu viens de vivre. Une volonté que j'admire. Le résultat est là, bravo. Moi, je peine à trouver un zest d'énergie pour chatouiller ma plume... Comme dans le brouillard, je cherche mon chemin...
RépondreSupprimerBises admiratives.
Je connais ce sentiment. Heureusement l'inspiration revient toujours, et le brouillard se dissipe.
SupprimerC'est ce que je te souhaite en tout cas, mon frangin.
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"De nouveaux défis m'attendent, d'autres projets, d'autres paris fous, d'autres passages en funambule au-dessus de cataractes bouillonnantes, d'autres sentiers escarpés, pour continuer à me dérouter, aller plus loin, plus haut. Pour que je me dépasse. Que j'étende le champ de mes possibles. "
RépondreSupprimerNe va pas non plus te casser le col du fémur, en faisant l'acrobate ainsi ! ;-)
Dis donc, qu'insinuerais-tu par là, cher oncle Joe ?
SupprimerQue je suis bonne à mettre au rebut ? 😄😄😄
Mais tu sais pourtant que les fées ne vieillissent jamais...😝
Je ne saurais dire que mon état le plus courant serait celui que tu décris au début. Non, loin de là.
RépondreSupprimerCependant, curieusement, je laisse dans ma voiture deux CD particuliers.
Le premier est un enregistrement des quatre saisons de Vivaldi dans une très bonne interprétation.
Le second est consacré à Chopin, interprété au piano par François René Duchable ( qu'il n'est plus besoin de te présenter....).
Si j'alterne l'usage des deux CD, j'avoue etre plus souvent bercé par les polonaises....
Et pourtant, comme je le précisais au début, je suis généralement hors de toute sensation vaguement nauséeuse incontrôlée.....
Non j'ai toujours eu un faible pour la musique de Chopin , sans doute mon côté romantique...
Bises musicales
En tout cas Chopin fait couler beaucoup d'encre !
SupprimerEt le romantisme, dont je ne doute pas qu'il te constitue, cher Petrus, fait parfois couler les larmes...
C'est la base même de ce courant du XIX ° siècle.
Belle journée avec bises !
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Laisser sa trace, laisser un peu de soi pour ceux que l'on aime surtout, je comprends ce besoin.
RépondreSupprimerBravo pour ce travail Célestine
Tu as raison, d’ailleurs j’ai dédié mes livres « à tous ceux que j’aime »
SupprimerQuoi de plus important ?
Bisous chère Marine
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Quel boulot phénoménal tu as fait ! M'étonne pas qu'à la fin, ça te donne le vertige et que tu sois vidée...Incroyable d'avoir mis en page tous tes écrits depuis tant d'années....Je suis admirative de tant de patience et de talent, oui, de talent, car peu seraient capables de faire ça, dont moi.....Tu sais ce qu'a dit mon fils ainé, un jour où j'avais imprimé plusieurs de mes textes d'un blog précédent avant de le supprimer "les pages volantes que tu auras écrites iront droit à la poubelle sans que je les lise"....Chapeau pour ton travail gigantesque......au moins, tes petits enfants ne jetteront peut-être pas tes livres et tu laisseras une trace, car si les sites de blogs ferment, comme je viens de le voir récemment, tout une partie de notre vie disparaît avec.....
RépondreSupprimerIl est charmant ton fils aîné dis donc…
SupprimerDe toutes façons je reste humble. Je ne suis pas du tout certaine que ma descendance sera intéressée…je le fais surtout pour garder une trace, un témoignage de cette époque qui ne reviendra plus.
Un journal qui, d’extime, deviendra intime…
Merci Julie pour ce long commentaire… et bisous tardifs
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Oh, mon ami Chopinou, je l'adore, particulièrement dans ses Nocturnes... Bravo céleste Célestine, tes brins d'étoiles qui nous illuminent depuis longtemps se métamorphosent, c'est formidable. Bises du mardi, jour martien, qui va nous souffler l'énergie de continuer. brigitte
RépondreSupprimerNous sommes déjà dimanche et j’arrive juste pour répondre à mes derniers commentaires …après une semaine ébouriffante.
SupprimerMerci pour ton enthousiasme, ma plume
Bisous •.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Toutes mes félicitations chère Célestine pour tes magnifiques ouvrages "mes brins d'étoiles" Que de souvenirs et quel travail fait avec le coeur.
RépondreSupprimerGros bisous et je te souhaite un bel après-midi ♥
Merci Denise.
SupprimerÇa me touche.
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Oui après avoir donné de soi, après s'être plongé corps et âme dans un ouvrage, voici la sensation étourdissante et vaguement nauséeuse et vide, ça je connais bien, une sorte de baby blues.
RépondreSupprimerBarbara chantait le mal de vivre jadis, le spleen en anglais, le fiu en Tahitien.
Bon courage ça passe tout seul, Chopin est dans ce moment là le meilleur compagnon.
Du temps de ma jeunesse lointaine, je jouais du piano, j'ai joué du Chopin, j'étais jeune beau naïf et peut-être amoureux.
Tu fais quoi de tes livres en auto-édition ? Ils sont en vente sur un site ?
Oui les passages à vide, vaguement nauséeux, sont faits pour passer à autre chose, pour laisser le passé au passé et ouvrir l'avenir.
Un petit rien me dit que tu vas bien vite repartir vers de nouvelles aventures .
l'Marco
Je ne connaissais pas le fiu tahitien, tu me l’apprends.
SupprimerPour répondre à ta question non je ne vends pas mes ouvrages sur un site. Mais à mes amis qui me les commanderont, je leur ferai le prix coûtant, sans chercher à tirer bénéfice. Je vais déjà mieux que la semaine dernière, tu vois l’Marco, t’avais raison.
PS j’aurais bien aimé te voir jouer Chopin, jeune et beau ( tu l’es toujours) 😊
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Le vertige qui t'as prise a beaucoup à t'enseigner et je pense qu'il ne faut pas le laisser filer trop vite. Il a un message que toi seule peut déchiffrer. Passer immédiatement à autre chose serait dommage bien que ce soit ce que nous sommes tentés de faire à cause de l'inconfort des remises en question. Je trouve ton texte très beau et tendant vers la profondeur. kéa
RépondreSupprimerEt bravo pour les carnets. C'est un héritage que moi-même aurait beaucoup aimé avoir de mes parents, grands parents et plus. Tes petits enfants ont de la chance, à travers tes carnets il vont voir d'où ils viennent et comment était la vie avant eux. À notre époque c'est plus important que jamais car il y a la philosophie woke qui voudrait effacer le passé mais des ouvrages comme le tien feront que ce sera impossible. kéa
SupprimerTu sais que j’ai écrit mon article suite à cette belle phrase que tu as dite sur le site de Désirée.
SupprimerJe t’en remercie de tout cœur ma Kea, fidèle amie du bout de là-bas …
♥️
Moi aussi, lorsque je termine un ouvrage assez important, je ressens un vide. Cela vient de l'énergie que l'on produit et que l'on génère simultanément pour ce que l'on a entrepris. Il n'y a plus ce centre d'application, d'où l'impression de vide.
RépondreSupprimerCela ne dure jamais très longtemps. Sinon, pour combler le vide, il y a cette chanson,♫♫♫ mais je doute fort que tu y succombes.
Autant de brindilles d'étoiles comme autant de tranches de vie aux couleurs chaudes, surlignées délicatement façon stabilo.
Bien observé mon Didier
SupprimerLes couleurs d’un arc en ciel que j’ai beaucoup aimé composer.
Pour le verre tu as raison je ne me noie jamais dans l’alcool, j’ai d’autres façons de combler mes vides éventuels… 😊
Bisous du dimanche soir
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J'ai vachement bien fait de mettre un peu d'ordre dans ma bibliothèque car j'ai dégagé une vingtaine de centimètres de place, qui vont très vite être occupés....
RépondreSupprimerTu as été plus vite que moi, ça fait 2 ans que j'ai commencé à faire une compilation de mes billets, et je n'ai pas encore fini.
Tu connais mon adresse pour le colis :-)
Ti bacio forte Sorellita
Pas de souci : tu me fais un virement de 100 € sur mon compte offshore aux îles Caïman et je t’envoie la série complète.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
E ti voglio bene ♥️
SupprimerAvec le prochain scandale des Caïmanspepers, une transaction de main à main est beaucoup plus sécurisée...
SupprimerTi abbraccio forte
Ouh alors il va falloir attendre un peu... Les mois qui arrivent sont « surbookés » comme on dit !
SupprimerMais tout vient à point à qui sait attendre disait ma grand-mère, cette sainte femme...
Ti bacio forte
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Les pensée déroutantes forgent les grands esprits :)
RépondreSupprimerMaintenant le travail achevé... mais l'est-il vraiment achevé pour toi ? 😀 Allez, on range l'intégrale dans un coffre-fort, on jette la clé et on l'oublie. Connaissant bien 😊 ma perfectionniste de Maîtresse passionnée, la traque du moindre mot "mal" choisi, risque de devenir obsessionnelle...
C'est pour le sourire, tu t'en doutes. À propos de sourire, j'adore le mot fin sur le dos de ton beau ouvrage ; bravo Célestine ! Et merci pour l'ensemble de tes partages.
Bisous.
Merci d’être toujours aussi présente malgré mes retards, mes infidélités à ce blog… c’est bon d’avoir des lectrices comme toi.
SupprimerEt tu le connais bien j ai entamé un travail de correction pour éliminer les erreurs que j’ai retrouvées ça et la …la lecture sur papier est impitoyable : certaines fautes passent à l’écran mais sur le livre je ne vois qu’elles …
Perfectionniste mais aussi flemmarde je ne suis pas sure de trouver le courage de tout revérifier …d’autant que, comme tu le sais, je suis très occupée !
Je t’embrasse
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Ton billet me donne le vertige, du moins la phrase de Kea. Je sens l'urgence de faire encore quelque chose avant la fin et en même temps, j'ai tellement besoin de me reposer et de rester dans mon cocon de cette première année de retraite. Mais tes mots me parlent.
RépondreSupprimerJe n'en reviens pas par ailleurs de la vitesse à laquelle tu as réalisé ce travail d'édition qui, à moi, me semble une montagne. Même si c'est exactement ce que je veux.
Comme je te le disais en privé, je suis toute prête à te briefer sur ce projet je suis devenue une pro..
Supprimermais profite d’abord de ton cocon tu as bien raison.
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J'admire la constance et l'efficacité dont tu as fait preuve en publiant en un temps record ces 15 années de récits. En quelque sorte tu les sors de l'espace clos que constitue le numérique ouvert à tous. Tes recueils seront désormais là, présents sous tes yeux (et ceux de tes proches), accessibles à tout instant.
RépondreSupprimerPour ce qui me concerne ta démarche me pousse à explorer encore un peu plus loin l'idée de rendre accessibles mes pensées à mes proches.
Un grand bravo pour ce remarquable travail, Célestine !
Bises numériques
J’avoue être très fière de mon travail.
SupprimerCréer un bel objet me donne toujours autant de joie. Et sans me vanter ces livres sont beaux et agréables à feuilleter
Et c’est aussi très gratifiant de relire ce que l’on a écrit.
Je te souhaite de réussir ce que tu entreprendras, quel que soit le résultat de tes cogitations.
Bises impatientes
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Le plus beau projet, c'est d'aimer, l'amour est le fil de l'écriture.
RépondreSupprimerTu as le mot de la fin ( en tout cas pour ce dimanche soir) et il est magnifique !
SupprimerMerci Laurent de recentrer si admirablement le sujet
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Bravo Célestine, tu as réalisé et finalisé ton projet. J'aurai besoin de tes conseils lorsque je me déciderai à mon tour à publier tous mes textes et poèmes, afin que mes descendants gardent une trace de leur mère, grand-mère, arrière grand-mère (?). C'est dommage, on attend souvent que la personne ne soit plus là, pour avoir envie de lire ses écrits.
RépondreSupprimerBel après-midi ensoleillé, ma belle. Gros bisous.