28 août 2020
Gaie et hardie
Le fou-rire des mouettes sur la plage d'Hardelot.
Un soleil sublime s'écroulant sur la mer d'Etretat, les barques de pluie au matin, les mareyeurs de la Baie, les falaises de craie somptueuses du Tréport.
Les petits moutons des prés salés épinglant leur boules de laine sur l'herbe autour de l'archange, telles des marguerites sur un champ de velours.
Les phoques de la baie de Somme entassés sur le sable, émouvants témoins d'une beauté fragile, celle de la nature.
Le vent sur ma bouche, sur mes yeux, dans mes cheveux. Un vent de liberté comme une ivresse. Sans contrainte, sans bâillon.
Le cerveau en ébullition. Trop de choses. Trop d'émotions, trop de joies, trop de questions sur fond d'angoisse officielle distillée jour après jour. Poison dans les veines.
Mais beaucoup, beaucoup d'amour. Et cette transparence de l'air que trouvent ceux qui ont l'espoir chevillé au corps.
Revenir à pas de loup. Trouver ce titre chez Aldor. L'enfiler comme un gant.
Sentir la petite racine de l'écriture pointer doucement sous l'herbe sèche de l'été. Frémissante. Gaie et hardie.
Je me demande, actuellement, s'il est une autre façon d'aborder la vie, en fait.
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états d'âme,
la vraie vie,
on peut rêver,
quelle époque épique,
voir du pays
89 commentaires:
Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.
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mais qui voilà! notre Célestine :-)
RépondreSupprimerJoli retour !!!!
RépondreSupprimerSalut les filles !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Te revoilà enfin !
RépondreSupprimerTu ne sembles pas frileuse, l'expérience que j'ai de la plage d'Etretat me voyait frissonnant...
Bienvenue chez toi Célestine.
Monsieur est trop bon !
SupprimerEn matière de frilosité, je crois que tu es un maître.
Ce jour-là le vent était doux, j'étais bien à contempler les remous sur les rochers de la pointe du Grouin...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Te lire m'indique à quel point on s'est suivis cet été, c'est impressionnant la lecture je parie que, par exemple, si tu m'avais téléphoné je n'aurais pas percuté de la sorte.
RépondreSupprimerJe parie que vous avez pris un café à la terrasse de l'hôtel Guillaume de Normandie, vous amusant du troupeau de moutons dans les prés salés la, juste en face...
Bleck
Je crois que cette destination a été prisée cette année.
SupprimerIl n'y fait pas trop chaud, assez beau, et les paysages sont sublimes.
Tu veux dire qu'on aurait pu partager un mythique repas ?
Celui qui flotte dans l'air depuis sept ans ? ;-)
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah ! :-) Le retour de notre étoile ! :-)
RépondreSupprimerPas mal l'expression "le fond d'angoisse officielle distillée jour après jour."
Et puis on s'en contrefout hein ? :-)
"Contrefoue", bizarre ce mot, il ressemble à une bouée de sauvetage :-) C'était Biche* en mode délire.
Bien contente de te revoir ici, tu as bien compris !
J'ai fait le plein d'énergie, ce n'est pas pour sombrer dans la sinistrose, je te rassure.
SupprimerUne petite fenêtre de gentils délires, voilà qui a tout pour me plaire.
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Je me demande si je ne veillais pas ton retour...
RépondreSupprimerEst-ce bien raisonnable alors qu'il fait si beau ... :-)
SupprimerMais ça me touche beaucoup !
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J'espère que tu reviens pour de bon.
RépondreSupprimerVa savoir ce que la vie nous réserve...
SupprimerJe reviens pour le meilleur en tout cas, même si ce n'est plus tout à fait comme avant.
L'impermanence des choses...
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Exactement !
RépondreSupprimerBises, jolie (et plus pacifique) Jeanne.
Il est vrai ! Je n'ai guère l'âme belliqueuse...
Supprimermais j'ai été comme aimantée par ton titre. La gaité et le courage me semblent faire cruellement défaut dans ce monde aseptisé et frileux...
Bref, merci à toi pour ce coup de starter qui m'a bien plu.
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Te voilà donc revenue ma belle... après avoir pris de grandes goulées d'air iodé, d'amour et de liberté. Plaisir de te retrouver mais je comprend tellement cette pause. Et bientôt, tout bientôt à présent un petit être tout neuf pour venir agrandir le cercle de ta famille. Bisous à toi
RépondreSupprimerJ'avais parlé des vendanges, mais ancienne date (mi octobre)
SupprimerDésormais les vendanges ont pris plus d'un mois d'avance, ce que je ne souhaite pas au petit ange qui va arriver !
Bisou ma Brizou.
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C'est un joli titre et une belle photo !
RépondreSupprimerVis ta vie avec hardiesse, savoures là Célestine, la vie c'est maintenant !
Je sais ma belle. J'en profite, crois-moi, nous savons toutes deux combien elle peut vite basculer...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Frémissante, gaie et hardie"
RépondreSupprimerIl est mille autre façons d'aborder la vie.
Celle là est la tienne . Je la partage totalement.
Comme toi, c'est dans la transparence de l'air que je vais mon chemin....
J'aime cette image des boules de laine semées dans la nature par des moutons parcourant les prés salés.
Avec l'apparition des phoques dans ce paysage vivant, tu chasses de mon esprit des visions mortifères de ces derniers jours ( cadavres de phoques pris dans les filets de pêche......).
Grâce à la webcam placée à Hardelot , je viens d'accéder à une partie de ces fou-rires.
Bref, je suis heureux de te savoir bercée d'amour.....
Bises
Salut mon Petrus. Heureuse que mes mots te parlent, comme toujours.
SupprimerLe voyage était doux et instructif. Rempli d'espoir et de beautés simples.
Les phoques jouissaient de l'instant présent sur leurs bancs de sable, bien mieux que les gens qui passaient sans même les apercevoir. Inconscients des beautés de ce monde, focalisés sur une actualité déprimante...
Bref, je suis heureuse d'être bercée d'amour.
Bises
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Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerMagnifique titre avec une très belle photo, vis ta vie tout simplement
Bon week-end, bises !
Bienvenue chez moi, Floralie.
SupprimerJe te rajoute à mon totem.
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Heureuse Célestine. Savoure, profite, le bonheur est si fragile.
RépondreSupprimerLe bonheur est-il si fragile ? N'est-ce pas plutôt les êtres qui le sont, à toujours se poser des questions au lieu de vivre ?
SupprimerVoilà un beau sujet de philo...
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Bonjour Célestine qui est revenue!
RépondreSupprimerGaie et hardie comme ton écriture!
Bises,
Mo
Merci Mo !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Chouette alors ! Non seulement tu es de retour mais, bonus, tu nous parles d'un des rares coins de France que je connais comme ma poche.
RépondreSupprimerBises ma toute belle !
C'est un coin magnifique. Et le beffroi de Calais n'est pas sans me rappeler la Grand-Place.
SupprimerBref, vive le Nord
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Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerOn dit "Le Nooord"
Supprimerhttps://youtu.be/d4kUUjtq53E
Bigre, le noooord ! ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Très heureux de te retrouver, Célestine ! Ma blogosphère n'était plus la même sans toi. Et heureux aussi bien sûr que tu nous ramènes un peu de ta gaîté et de ta hardiesse !
RépondreSupprimerBises.
Merci c'est gentil cher Patrick.
SupprimerC'est une gageure de rester en gaité et en hardiesse par les temps qui courent ! Mais j'aime bien les défis.
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Contente de te lire à nouveau ♥
RépondreSupprimergros bisous
❤️
SupprimerQuel plaisir vous me faites.
RépondreSupprimerDéjà celui de vous savoir heureuse, et que vous ayez bien profité de cette pause.
Et puis celui de revenir gaie et hardie, telle Jeanne, mais pleine de sérénité et de bonheur.
Merci de tout coeur.
~L~
Vous avez toujours eu le sens de la synthèse, cher Lorenzaccio.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Gaie et hardie je te lis.
RépondreSupprimerA tu me donnes envie de monter là-haut.
De contempler les bleus et les sables de la Baie.
Juste contempler.
Après le confinement je ne suis allée qu'à Saint Malo.
Mes proches pensaient pourtant que j'irais.
Gaie et hardie quand l'automne habillera l'air de douceur, j'irai c'est certain.
Tu habites un endroit sublime, j'ai adoré.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Bonjour belle Célestine,
RépondreSupprimerJe suis heureuse de te revoir ici ! Ennivre toi d'émotions et de joie, il n'y en a jamais trop. Pour le poison quotidien officiel, laissons le de côté. Le courage c'est aussi ne pas céder à la peur ...
Je t'embrasse.
Bonjour ma belle soeurette
SupprimerTellement d'accord avec toi : amour ou peur, j'ai choisi !
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C'est pas pour dire, mais ça fait un vieux bien de pouvoir te lire...
RépondreSupprimerTi bacio forte Cara
Je te retourne le compliment.Il y a des choses qui ne changent pas, heureusement. Et le plaisir de nos échanges en est un.
SupprimerBaci caro
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Ainsi donc tu es venue « des–hanches–buller » sur mes terres sableuses d'adoption ?
RépondreSupprimerJ'en reviens ! Là-bas il n'y a que des sables émouvants. Les phoques font un Somme et l'aiguille creuse est remplie de nos rêves salés bien que nous ne soyons pas des moutons. On y cultive l'art de l'eau et du vent qui décoiffe les idées toutes faites.
C'est tellement bon et vivifiant de te retrouver.
Gai(e) est hardi(e) : quel programme. J'adhère à ton projet !
Baiser de « sel-j'aime »…
Jolis les jeux de mots ! Dé hanches buller, il fallait oser !
SupprimerEt tu aurais presque pu écrire « Cel ? J'aime ! »
Quant à ton endroit, c'est un des plus beaux que je connaisse. J'en suis tombée amoureuse.
Bon et vivifiant de te savoir là, tout près.
merci Alain
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OH mais tu étais bien haut. L'air y est vivifiant.
RépondreSupprimerLes Hauts de France, ça s'appelle...
SupprimerUn endroit qui mérite le détour. Vraiment.
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Le bonheur simple cueilli quand il est fleuri, du bout des yeux, du fond du cœur.
RépondreSupprimerVoilà qui fait du bien.
Bises maritimes.
Une rose marine, une éclair bleu, un trait de blanc suivant le vol d'un goéland.
SupprimerTout ce qu'on aime, en fait...
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Je suis heureux de retrouver tes mots...
RépondreSupprimerSe tenir, contemplative, face à la mer, a quelque chose qui ressemble à ses aventuriers des mers, attirés par le grand large. Une sérénité s'installe, parce que l'on se sent humble devant l'immensité. Le regard au loin, paradoxalement centré sur soi et sa place dans l'univers.
Combien sont-ils, ces marins qui ne revirent jamais la terre, ces aviateurs qui quittèrent le plancher des vaches ; celui qui, aux commandes de l'oiseau blanc , fut aperçu au-dessus d'Etretat et de sa plage de galets...
Changer d'air, prend tout son sens. Les plages du nord de la France ne sont pas convoitées par les mêmes personnes que celles de ton sud. Il y a une sorte de quête de l'absolu, un ancrage dans l'histoire en plus ; et pas celle d'une eau à vingt-six degrés :)
Bon, je ne suis pas marin, mais c'est quand même fou se besoin de faire des phrases...😉
La gaieté et la hardiesse semblent te réussir...
Bises Xoulecciennes
Une petite citation du grand Audiard, et hop ! Revoilà mon ami Didier et sa prose qui s'envole au-dessus des falaises, vers l'immensité bleue d'un océan de rêves.
SupprimerEt je vais te dire : ça me manquait vraiment beaucoup.
Je t'embrasse du soir
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😉
SupprimerOh mais quelle chance ou bonheur que de lire que tu ais "traîné" tes guêtres dans ce bout de terre. Et prendre ainsi une bouffée d'air, alors que telle une mouche, je suis restée scotchée, les pieds nus sur le carrelage, sous mon toit, écrasée par l'excès de chaleur.
RépondreSupprimerPour toi, la pointe de la plume et l'odeur de l'encre, pour moi, le fil et l'aiguille : tire tire l'aiguille, ma fille (chanson)(mais juste ces quelques,mots).
Une plume d'albatros et de l'encre de seiche, évidemment...
SupprimerEt plein d'amour en bouffée d'air frais.
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C'est comme ça qu'il faut vivre, même dans le chaos, trouver son ilot personnel, son bonheur tout à soi, sans se croire égoiste. Quand on ne peut rien y faire, eh bien le mieux est de faire tout pour soi :) Baci sorellita!
RépondreSupprimerC'est la sagesse que j'ai toujours appréciée chez toi, chère Edmée.
Supprimerne pas culpabiliser d'aimer la vie, voilà bien le meilleur conseil que j'aie jamais entendu...
Baci bella ragazza
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Ah si heureuse de te retrouver Célestine fraîche comme l'ondée d'un joli mât-teint marin, simple comme toujours.... aussi belle devant ce paysage serein qui te ressemble tant !
RépondreSupprimerles jours gardés pour soi se suivent, comme on aime ;
gaie tu es, telle que, vaillante et fougueuse, toujours... ce que l'on apprécie chez toi et me manquait!
Bisous.
Eh bien, c'est une déclaration pleine de flamme.
SupprimerChère Den...Cette pause m'a fait un bien fou, même si les échanges épistolaires m'ont manqué un peu...
J'aime ma vie de maintenant, à fond ! Et j'ai envie d'en témoigner encore et toujours.
Je t'embrasse belle amie
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en toute amitié .... bisous Céleste.
SupprimerBien sûr !
Supprimer;-)
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Quelle joie de te lire, nous aurions presque pu nous croiser. J'étais il y'a quelques jours à Etretat pour descendre par la suite dans l'autre direction, celle du Calvados!!!
RépondreSupprimerEllinda
J'imagine une rencontre, sur le bord de mer du Tréport, avec les goélands assourdissants...
SupprimerDes mots de poétesses pleines de fougue et de vibrations.
On aurait adoré
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Que serait la vie si on ne pouvait en faire des livres, des romans d’aventure, des contes illustrés, des journaux intimes et des herbiers ?
RépondreSupprimerMais que serait l’écriture si le vent n’en tournait pas les pages et les métaphores, les faisant s’envoler ?
Un conte métaphysique à la manière de Jorge Luis Borges (et c’est déjà beaucoup !), où l’on écrirait de sa naissance jusqu’à sa mort, arpentant la carte grandeur nature du monde, plutôt que les plages et les prés salés
La vie est une merveille, je ne le dirai jamais assez.
SupprimerUn roman épique, une chanson de gestes, un opéra en mille actes, grandiose et simple à la fois.
Une magie.
Tendres pensées cher Bricabrac de mon coeur.
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Là revoilà :-) .... Gaie et hardie, on ne peut mieux te qualifier aujourd'hui, ma chère Célestine.
RépondreSupprimer...telle qu'en moi-même, mais en mieux encore !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tout tient dans cet "En fait" qui conclue le billet. Voilà qui sied à mon bonheur.
RépondreSupprimerNon mais c'est vrai, quoi...A-t-on le choix de ne pas faire preuve de courage, dans ce monde où tout nous réduit à la peur ?
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Gloups ! Pour en finir, ce sera "qui conclut".
SupprimerBof...l'orthographe tu sais, de nos jours...😛
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah mais moi j'essaye de la respecter.
SupprimerSinon, ça va ma petite Celle qui es si mignonne?
ben oui ça va, mon petit Bof !
SupprimerTu vois, j'ai failli rater ton passage...
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Mais quel magnifique titre et texte. Ce sera mon inspiration pour cette rentrée !
RépondreSupprimerEt si heureuse de te lire à nouveau...
Bonne rentrée à toi, bisessss
Ah ! j'aime t'inspirer ma miss!
SupprimerBonne rentrée à toi et à ton koala la itou !
Bisous joyeux
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Bonjour Célestine, une autre façon d'aborder la vie avec le sourire et la quiétude pour témoins . j'aime l'idée de voir les phoques de la baie de Somme sur le sable par un beau soir d'été , voila tout un art de vivre avec joie !
RépondreSupprimerJoie, sourire, quiétude...tout ce que l'on ne trouve plus à la radio côté infos...
SupprimerEt les phoques forment un spectacle unique au monde.
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Heureuse de ce retour ! Vive la gaieté et la hardiesse !
RépondreSupprimerMerci Marie.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Comment ça ? Déjà reviendue ? Ce n'étaient que des vacances, en Somme ? ;-)
RépondreSupprimerLe point fort du voyage retour a été un arrêt bref mais intense dans le célèbre parc du Thabor, mais tu n'y étais pas... snif !
SupprimerEn tout cas, je l'ai trouvé très joli, et les pelouses, et les arbres centenaires... magnifique, mon oncle !
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Mais voilà que vous êtes montée vers le nord, chère Célestine et les plages que vous citez me parlent. Amusant que vous évoquiez les prés salés du Mont St Michel, alors que de mon côté je venais d'y faire allusion :http://feuilly.hautetfort.com/archive/2020/09/03/les-chevaux-de-la-mer-6261119.html
RépondreSupprimerAmitiés
Oui il y a comme cela des coïncidences qui n'en sont pas vraiment...
SupprimerMerci de votre passage cher JF
Pensées
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Que de poésie dans ce joli texte ! Le fou-rire des mouettes... les barques de pluie au matin... et tout le reste...
RépondreSupprimerJ'ai la nostalgie du petit point de la Côte de Jade où nous avons passé 51 ans de notre vie et dont la plage, depuis une douzaine d'années, s'est ensablée au point qu'il faut parcourir plus de 300 m à marée haute alors que "de notre temps", les vagues des hautes eaux léchaient le bas des dunes...
Notre maison de famille a été achetée par des gens qui en ont pris grand soin, mais le site est irrémédiablement perdu, même si c'est la nature qui en a décidé ainsi.
Une anecdote jolie et un peu triste. merci Gwen.
SupprimerCôte de Jade : voilà un nom qui va bien à cet endroit !
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Bonsoir, Françoise.... Hardie :) suis comblée de votre retour !
RépondreSupprimerMuahaha ! Tu m’as fait penser au sketch des inconnus...
SupprimerBisous jolie Julie
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En juin 2019, nous étions allés passer une semaine en Baie de Somme, tu dois t'en souvenir j'avais mis des photos. J'avais adoré cette région, j'avais adoré ces plages immenses, j'avais adoré voir les phoques. Tout était enchantement et j'en ai gardé un souvenir nostalgique. Je vois que tu as aimé toi aussi, Célestine (sourire).
RépondreSupprimerJe suis heureuse de ton retour, ma belle. Je t'embrasse fort.
Je suis heureuse de ton retour Célestine avec tes jolis mots décrivant ces lieux de toute beauté et que je connais. Je t'embrasse :-)
RépondreSupprimer