Quand j'eus entendu parler le savant astronome,
Quand les preuves, les calculs, furent alignés en colonnes devant moi,
Quand on m'eut montré les graphiques, les diagrammes, pour les additions, divisions et autres mesures,
J'éprouvai tout à coup inexplicablement une nausée, une lassitude,
Et m'éclipsant sans bruit m'en allai dehors tout seul,
Dans l'air de la nuit humide et mystérieux, et de temps à autre,
Levai les yeux dans un silence total en direction des étoiles.
Walt Whitman, Feuilles d'Herbe
La joie et la mélancolie ne sont jamais aussi proches que durant tous ces jours que l'on appelle Noël. Celui-là n'a pas échappé à cette règle : les mauvaises nouvelles, tapies dans la nuit étoilée, enfouies sous les bonshommes de neige ou dans les papillotes, sont toujours prêtes à bondir sur les fêtards pour leur rappeler à quel point Noël est la fête de toutes les ambivalences.
Cette année, la bestiole infernale a encore joué les trouble-joie aux tables familiales, entravant les liens pourtant si forts qui nous rassemblent et nous aident à tenir. Nous privant de ces étreintes chaudes que d'aucuns rêvent de remplacer par le règne du « sans-contact ».
Qui, parmi vous, a réussi à oublier vraiment la pauvre tristesse de la réalité, celle que l'on tente simplement de mettre chaque année entre parenthèses, l'espace d'une trêve ? Sûrement pas mon amie Mathilde qui a vu son papa partir vers les étoiles. Sûrement pas ces milliers d'esseulés, d'oubliés, de mal-aimés qui passent les fêtes le coeur en berne ou l'estomac vide.
J'ai puisé beaucoup d'émotions différentes dans mon ventre à papillons. Du bonheur, de l'espoir, du manque, de la fierté, un soupçon de culpabilité, de la nostalgie, de la gratitude, un brin de colère aussi.
La joie pure de mes petites étoiles, Sibylle et Alba, dansant en découvrant leurs cadeaux, ne m'a pas fait oublier l'absence d'un de mes fils et de sa compagne. L'ambivalence est allée se loger jusque dans mon coeur de mère. Au menu, confit de canard et conflit d'amour. Devais-je me réjouir des présents ou déplorer les absents, sans offusquer quiconque ? J'ai gardé pour moi les tourbillons de la moulinette à persil qui me sert de tête. Le maelström de sentiments qui m'ont essoré le cerveau. Je suis contente de pouvoir les faire sortir ce soir.
C'était beau. Turbulent, joyeux, délicieux, étoilé, mystique, musical, familial et riant.
Avec juste cette pointe de délicate amertume qui accompagne les mets raffinés. Histoire de bien se rappeler notre condition de grains de sable broyés par le temps : nous ne contrôlons pas grand-chose ici-bas.
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Ah, et puis j'oubliais, mes chers lecteurs : j'ai dû modérer mes commentaires quelque temps, mon espace ayant fait l'objet de l'intrusion nauséabonde d'une trollette complètement siphonnée qui est venu m'abreuver de messages (abs)cons. Je lui conseille, si l'envie la prenait de se pointer à nouveau, de faire plutôt un large détour pour éviter ce blog parfaitement inintéressant pour elle. Dans le cas contraire, je ne répondrais pas de moi, ni surtout de ma garde rapprochée. Dont mon cher Xoulec.
ah oui je vois très bien tout ça!
RépondreSupprimerbises, bonne fin d'année
Belle fin d'année à toi, madame Adrienne.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Certes. La fête des enfants reste une bulle d’espoir mais je comprends très bien que vous soyez brassée par tous ces sentiments contradictoires.
RépondreSupprimerLe temps qui passe se fait toujours plus cruellement sentir dans ces moments-là.
Et quand on a vécu un événement triste à Noël, tous les Noels suivants sont entachés de cette tristesse à tout jamais.
Ne vous laissez pas abattre, ne laissez pas la mélancolie gâcher votre joie de vivre que je sais immense. Et continuez à nous la transmettre.
Sans vous laisser perturber par de mauvaises ondes jalouses.
Je vous embrasse infiniment.
~L~
Vous avez raison.
SupprimerJ’allais dire « comme toujours » mais c’est un peu vrai. Votre sagesse légendaire m’impressionne cher Lorenzaccio.
Moi aussi je vous embrasse
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Un Noël mitigé ? A l'mage de l'époque que nous vivons ! Ces fêtes n'ont jamais été ma tasse de thé. Elles me rappellent toujours le temps qui passe. Un souffle de nostalgie envahit mon âme !
RépondreSupprimerEt pourtant tu es quelqu’un de positif !
SupprimerÇa me rassure ! Je me sens moins seule à éprouver ce méli-mélo de sentiments.
Bisous mon Daniel ! Allez, bientôt le printemps et les fleurettes …
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Tu exprimes parfaitement ces ambiances de Noël où se mêlent les ambivalences des sentiments contradictoires entremêlés. Lorsque je pratiquais encore, mon carnet de rendez-vous était rempli en janvier et j'entendais beaucoup d'états intérieurs de même nature que ce que tu exposais et malheureusement bien souvent plus dramatiques encore. Moi-même j'ai des vécus d'une grande ambiguïté du temps où mes parents étaient en vie.
RépondreSupprimerFolles espérances et désespoir des impossibles relations trop détériorées. (Je parle en général). Est-ce qu'on peut échapper à cette condition humaine à la fois merveilleuse et tragique ?
Tu dis « nous ne contrôlons pas grand-chose ici-bas », mais ce pas grand-chose est parfois d'intensité dont nous ignorons la puissance en germe.
J'aime beaucoup ta dernière phrase. Elle me fait réfléchir de manière intense.
SupprimerJe crois que je suis comme ça : quelqu'un qui réfléchit de manière intense. c'est sans doute comme cela que je trouve que la vie vaut d'être vécue, et pas autrement.
Peut-être devrais-je davantage me laisser porter par le courant ?
Condition humaine merveilleuse et tragique ? C'est totalement cela.
je t'embrasse
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Cette sensibilité qui fait ton charme est aussi ton talon d'Achille. ;-)
RépondreSupprimerTu me connais bien, cher Boss !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Pour mon plus grand bonheur!
SupprimerEt le mien donc... ;-)
Supprimer" ces étreintes chaudes que d'aucuns rêvent de remplacer par le règne du « sans-contact »."
RépondreSupprimerA la fnac, j'étais content de voir un être humain m'amener mes bouquins.
Le type au comptoir a été surpris.
Je lui ai demandé pourquoi.
Il m'a dit "de plus en plus de monde ne supporte plus que les échanges via leur smartphone et les codes qui permettent de sortir les paquets de boîtes automatiques".
Là, c'est moi qui fut surpris et, honnêtement, tout à fait effaré.
Bises à toi Céleste
Je suis moi aussi effarée par la façon dont les « QR CODES» ont envahi notre vie.
SupprimerEt à quelle vitesse on a adopté les fameux "gestes barrière » au point que le moindre frôlement nous paraît presque obscène. Enfin, quand je dis "nous" c'est une façon de parler. Parce que je ne me reconnais pas dans cette « dématérialisation » des rapports humains, comme je m'en suis déjà plusieurs fois ouverte.
Bisous à vous deux, mes amis
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Je vois que ce dernier Noël a été mitigé chez tout le monde, pour les mêmes raisons. Et pourtant paradoxalement, malgré le manque d'un de mes fils et de sa petite famille, j'ai encore plus ressenti l'amour autour de la table....
RépondreSupprimerParadoxal et ambivalent, n'est-ce pas un peu la même chose ?
SupprimerMoi aussi, j'ai ressenti beaucoup d'amour. Mais les absents m'ont cruellement manqué.
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Tu sais toujours mettre en mots les maux du coeur. Malheureusement, je vois que ce n'est pas pour un quelconque concours d'écriture mais qu'il s'agit réellement de tout ce que tu as pu ressentir ce jour-là, malgré la présence de tes deux rayons de soleil. Juste l'envie soudaine de te prendre dans mes bras et de te serrer très fort...
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Lydia
Oh comme c'est gentil, chère Lydia.
SupprimerÇa fait chaud au coeur.
Merci beaucoup.
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La bestiole infernale qui "a encore joué les trouble-joie" commence à être usée à la corde. Va falloir bientôt trouver autre chose pour maintenir le règne de la peur sur le troupeau ! Les changements climatiques sans doute ?
RépondreSupprimerToutefois je comprends très bien l'ambivalence de tes sentiments dans la situation que tu vis. Nous, adultes, sommes si vulnérables aux événements extérieurs, surtout s'ils concernent nos proches, alors que les enfants eux ne le sont pas. Ils n'ont de soucis que de jouir des "présents" que le présent leur apporte si généreusement à chaque seconde. Redevenir comme des enfants ? exactement ! mais cela peut être un long chemin. Il ne s'agit pas de devenir imperméable à ce qui se passe, bien au contraire, mais seulement de rester connecté avec cet endroit où tout est parfait, tout est à sa place, tout le temps. kéa
Oh Kea comme tu as raison.
SupprimerJ'aime cette image d'une endroit où tout est parfait, où tout est à sa place, tout le temps. Un endroit intérieur, doux et chaud, où on ne se laisse pas atteindre par les événements extérieurs.
Ton commentaire est comme une vraie leçon de sagesse.
je vais en garder toute la substantifique moelle.
Tendresses
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Je trouve Célestine qu'étant humain, il serait bien difficile de ne pas se laisser atteindre par les évènements. Mais comme le dit Myo, ce ressenti peut nous rendre encore plus aimant et présent à ceux que nous avons le privilège d'avoir près de nous. L'amour s'en trouve décuplé. Alors ca devient un plus plutôt qu'un moins. kéa
SupprimerDans toutes les réunions de famille il y a des absences qui sont bruyantes...
RépondreSupprimerIl y a ce premier Noël sans celle ou celui qui est parti vers un ailleurs.
Il y a celui qui n'est pas venu pour ne pas se mettre en conflit avec sa compagne et celle (ou celui) qui ne supporte pas ces réjouissances programmées.
On peut soit se désoler de ces absences, soit admettre que c'est leur choix et se rendre pleinement disponible pour ceux qui sont présents, restant accessibles pour une autre occasion de retrouvailles.
Je sais qu'en de telles occasions, tu as toujours une ombre furtive qui passe et je sais aussi que tu sais l'apprivoiser et en faire un marche-pied pour rehausser les instants de bonheurs.
Ti bacio forte et TVB Sorellita
Ta dernière phrase est une merveille de poésie : Apprivoiser l'ombre furtive qui passe, et en faire un marche-pied pour rehausser les instants de bonheur.
SupprimerQue puis-je rajouter ? C'est magnifique.
Grazie mille caro mio, il mio sorellito
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Je suis moi aussi touchée par le commentaire de Blutchy. Une façon d'exprimer qui élève ! kéa
SupprimerBlutchy est quelqu'un qui s'élève naturellement au-dessus du lot... ☺️
SupprimerUn noël doux-amer, si je comprends bien... Cela arrive, parfois, faisant alors remonter ces émotions ambivalentes dont tu parles. D'autres fois cette journée particulière n'est que joie. Mais peut-être que ces variations tiennent au fait, précisément, de la dimension symbolico-émotionnelle d'une journée vue comme *particulière* alors que rien, astronomiquement parlant, ne la distingue des autres.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Ah c'est très vrai : nous donnons à certaines journée une valeur qu'elles sont loin d'avoir intrinsèquement. Et pourtant, nous tenons à distinguer certaines dates. Pourquoi ? Cela reste un grand mystère. A l'opposé, il y a ceux qui pensent que chaque jour est une fête. Je pense faire partie de ceux-là. C'est sans doute pourquoi les réjouissances à date fixe et sur commande me laissent toujours un sentiment de malaise.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est le principe du rite « qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure des autres heures » comme expliquait le Renard au Petit prince, qui arrive n'importe quand au rendez-vous. Il s'ensuit des rituels qui structurent nos liens sociaux et leur donne force.
Supprimer« Il eût mieux valu revenir à la même heure (…) si tu viens nimporte quand je ne saurais jamais à quelle heure m'habiller le cœur ».
Tous les amoureux savent ça ! Tu imagines un rendez-vous dont on ne saurait ni où il se déroule ni le jour ni l'heure !
c'est valable individuellement. C'est encore plus fort collectivement. Tous les festivaleux veulent savoir le jour et l'heure du concert !
Mais nul n'est obligé de s'y rendre, surtout ceux qui n'aiment pas l'artiste en question !
Mais bien sûr...Comment ai-je pu oublier le Petit Prince...
SupprimerTu as tout à fait raison.
Cela dit, je mets quand même une petite différence entre un rendez-vous amoureux, unique et toujours différent, et la grand-messe cathodique qu'est devenu Noël...Tu me diras que nul n'est obligé de s'y rendre non plus... ;-)
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Ce matin, Alain, copain choriste et ancien Podologue, ayant jeté un oeil professionnel sur ma radio, m'a rassuré : "la fracture de ton calcaneum est nette, cependant ton cartilage n'est pas atteint..... Bon tu seras plâtre pendant les 45 jours habituels....
RépondreSupprimerMais d'expérience personnelle je peux te dire qu'avec ou sans plâtre le calca te laissera avec des jours sans....,"
Ben tu vois Céleste, j'en ai ri avec Alain et Philippe....
Tout ça s'arrangera.... je n'ai pas le caractère a me faire du tracas... petites misères passagères
Et je peux te dire que tous les cinq nous avons passé malgré tout depuis le 24 de merveilleux moments....
Mais je pense a mon frère en soins palliatifs et â toutes celles et ceux qui vivent des situations bien plus penibles....
Et je profite de mon blocage accidentel pour me former à l'électronique ( mon rêve de jeunesse) grâce à la foule de cours accessibles gratuitement sur le net.....
Bon passage vers 2022 à tous les amis du blog
Tu as le même caractère que moi, cher Petrus : toujours à positiver, et c'est...rafraîchissant.
SupprimerD'autant que je suis persuadée depuis toujours que c'est la seule façon d'envisager l'existence.
Je te remercie pour ce commentaire plein d'allant et d'enthousiasme.
Bon passage à toi aussi.
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Bonsoir Célestine, Je viens te dire de tout coeur tout le bien que tous mes mots ne sauraient suffire. Ce Noël, après de longues réflexions, nous n'étions que deux. Heureusement, il y a toute sortes de communications qui viennent des 5 continents. Mais c'est bien la première fois de nos deux vies, que Noël s'est passé ainsi.
RépondreSupprimerCher Binh An !
Supprimerje suis vraiment agréablement surprise de te voir revenu par ici.
Il me semble que cela fait une éternité que tu es parti.
Un Noël à deux ? j'avoue que cela peut être un bonheur aussi.
La conjoncture nous oblige à vivre des choses inédites et étonnantes...
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Des Noel de trêves, oui c’est beau c’est tentant c’est prégnant, mais hélas pas pour tout le monde.
RépondreSupprimerJe trouve que le film la bûche avec Sabine Azéma traduit bien cette ambiance de Noël
Mais tout est bien pour qui sait se réjouir dans son coeur malgré les vicissitudes de la vie .
Ta bannière est remplie de joie festive
Bises chère Célestine
Ma joie, profonde, et faisant partie de moi, a été légèrement troublée par ce fâcheux contretemps.
SupprimerPouvoir l'exprimer m'a permis de relativiser ce qui m'a paru injuste au départ.
ce n'est qu'une "vicissitude", comme tu le dis si bien.
Et je sais que tu as une grande sagesse de la vie, chère jak.
Bisous en retour
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C'est vrai, Célestine, nous ne contrôlons pas grand chose en cette période comme tout au long de l'année du reste, alors sourions le plus possible entre deux détresses cachées, le plus silencieuses possibles...
RépondreSupprimerTu as sans doute des raisons de garder tes détresses silencieuses et cachées. je crois pour ma part qu'il est bon qu'elles puissent s'exprimer de temps en temps. C'est comme une soupape de sûreté, en quelque sorte.
SupprimerJe t'embrasse affectueusement
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RépondreSupprimerTu as donc une moulinette à persil ! Moi, je croyais que c'était une tourniquette à faire la vinaigrette ! Le règne du sans contact, déjà que je déteste les automates, les boites vocales, taper, taper 2... Je ne sais pas faire le sans contact, je suis né avec.
Tiens, une info que m'a livrée Kéa (sur mon blog) Leur administratrice en chef recommande la masturbation, pour éviter la transmission du covid. Quel bon sens ! ici
Il est agréable d'avoir un endroit secret, où trouver refuge quelques brefs instants, pour recharger ses batteries internes. Mon Cantal en est un, une sorte de paquebot de survie dans ce monde de brutes. J'y ai toujours puisé ma force tranquille. Parce qu'il n'est pas que beau, il est moi.
Bises
J'ai vu l'article sur la masturbation : c'est tellement gros qu'on dirait un fake...
SupprimerOn ne sait plus que croire...
Ton paquebot n'est pas que beau...muahaha !
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Nenon Célestine ce n'est pas hoax. Quand c'est "La Presse" qui publie, y'a pas plus conformiste. Theresa TamTam est fucké solide : kéa
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=nrAfpAs_HgU
Oh my Gode j’ai envie de dire…
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Quel délicatesse dans ton texte Celestine pour dire cette ambivalence que je ressens également tous les ans.
RépondreSupprimerJe t'envoie des poussières d'étoile de ma Bretagne pour éclairer tes nuits.
Je prends ta poussière d'étoiles, ma Suzame.
SupprimerAvec grand bonheur
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Si la situation sanitaire l'eut permis, j'aurais pu pleurer sur ton épaule et tu aurais sans nul doute su trouver les mots pour me réconforter : https://cathnounourse.blogspot.com/2021/12/deces-de-maman-le-17122021.html
RépondreSupprimerbises
Viens pleurer sur mon épaule ma Cathy : même si la situation ne le permet pas, on peut quand même le dire...
SupprimerJe t'embrasse de tout coeur
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♥ MERCI ♥
SupprimerIl me semble qu'un repas de Noêl ne vaut pas le brouet d'un repas de midi en semaine pluvieux et sans éclat où l'un de nos enfants arrive à l'improviste pour partager ce qu'il reste d'un fond de tiroir... ne me parle pas du cul de l'an !
RépondreSupprimerBleck
Ah que j'aime ce brouet-là !
SupprimerIl n'y a que ça de vrai, l'imprévu...
En tout cas j'adore ça.
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Dans le mot TRÊVE, il y a le mot RÊVE... On ne peut encore nous interdire de rêver, rêvons au verre à moitié plein, rêvons aux jours meilleurs qui arriveront... un jour ! Un avenir radieux dépendra peut-être de l'élévation de la conscience collective, alors continuons à fréquenter les étoiles, elles ont tant de choses à nous dire. Bises de l'an nouveau céleste Célestine, tenons-nous la main en 2022. brigitte
RépondreSupprimerTu penses si je te suis.Fréquenter les étoiles ? Je ne fais que ça depuis l'enfance...
SupprimerJ'en ai les yeux tout piquetés de lumière.
Belle année ma Plume
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Ambivalence, c'est bien un des mots qui peut qualifier notre époque sous pandémie.
RépondreSupprimerMeilleurs vœux à toi et à toute ta famille.
Sous quoi ?
SupprimerNon je rigole.
Meilleurs voeux cher Patrick !
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"Moulinette à persil", sourire. Je dois avoir la même. Sauf que j'y ai mis toutes les mauvaises herbes. Va falloir faire un peu de ménage je crois.
RépondreSupprimerTu dis très bien l'ambivalence, quand il manque quelqu'un... Peut être que l'an prochain j'irai passer Noël sur une île , pour ne plus rien attendre de ce jour.