Gypsophile paniculée ou « souffle de bébé » |
La langue française possède une musique unique au monde. Est-ce sa façon singulière de marier et d'entrelacer consonnes et voyelles qui la rend si particulière ?
J'ai toujours aimé goûter certains mots comme on déguste une préparation culinaire, lentement, en fermant les yeux, pour en apprécier le piquant, le moelleux, le croquant.
Ainsi en va-t-il du mot « souffle ». Entends-tu l'air légèrement humide passer délicatement dans ces sifflantes et ces fricatives labio-dentales ? sssssfffffffllllll... Quel mot formidablement bien choisi !
Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire...Ce siècle avait trois ans. Mickey 3D ce grand poète occidental nous racontait l'histoire de l'être humain dans sa fosse à purin.
Dans notre occident à bout de souffle, certains apprennent à méditer, à soulever leur ventre au rythme de l'air qui entre et qui sort. Découvrent des techniques que les orientaux maîtrisent depuis toujours. Se connecter au vivant, à la source. Libérer ses émotions. Se nourrir de bonnes choses. Remercier.
Le souffle, c'est la vie. L'énergie. La pêche. L'envie. Le désir. La foi qui soulève l'Everest. L'inspiration créatrice.
La danse de la poussière dans un rai de lumière. Et l'amour qui coupe le souffle pour mieux inonder le coeur l'instant d'après.
C'est beau le souffle...contente de te relire...
RépondreSupprimerBeau et vital.
SupprimerTant de gens ne savent plus respirer...
Merci manou
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Maîtresse, est-ce que ça compte aussi le soufflé au fromage ?!
RépondreSupprimerUn bon soufflé, bien réussi, ne nous coupe-t-il pas le souffle d'admiration ? ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est drôle, je viens de lire ce texte, juste par hasard, 5 minutes après avoir lu ton texte Célestine... Il y est question de respiration justement :-)
RépondreSupprimerLe professeur, BERT HELLINGER, pour qui ne sait pas, est décédé récemment le 19/9/19.
Le psychothérapeute et écrivain allemand avait 93 ans, il est mondialement connu pour la création de la méthode thérapeutique ′′ Constellation familiale ".
Il a laissé ce texte merveilleux :
La vie vous déçoit pour que vous arrêtiez de vivre avec des illusions et que vous voyiez la réalité.
La vie détruit tout ce qui est superflu jusqu'à ce qu'il ne reste que l'important.
La vie ne te laisse pas tranquille, pour que tu arrêtes de te blâmer et que tu acceptes tout comme ′′ est ".
La vie va retirer ce que vous avez, jusqu'à ce que vous arrêtiez de vous plaindre et que vous commenciez à remercier.
La vie envoie des personnes conflictuelles pour te soigner, pour que tu arrêtes de regarder dehors et que tu commences à refléter ce que tu es à l'intérieur.
La vie vous permet de retomber et de nouveau, jusqu'à ce que vous décidiez d'apprendre la leçon.
La vie t'éloigne de la route et te présente des carrefours, jusqu'à ce que tu arrêtes de vouloir tout contrôler et que tu coules comme une rivière.
La vie met tes ennemis sur la route jusqu'à ce que tu arrêtes de ′′ réagir ".
La vie vous fait peur et vous fera peur autant de fois que nécessaire, jusqu'à ce que vous perdiez la peur et que vous retrouviez votre foi.
La vie vous éloigne des gens que vous aimez, jusqu'à ce que vous compreniez que nous ne sommes pas ce corps, mais l'âme qu'elle contient.
La vie se moque de toi plusieurs fois, jusqu'à ce que tu arrêtes de tout prendre si au sérieux et que tu puisses rire de toi-même.
La vie vous brise en tant de parties autant que nécessaire, pour que la lumière pénètre en vous.
La vie fait face aux rebelles jusqu'à ce que tu arrêtes d'essayer de contrôler.
La vie répète le même message, si nécessaire avec des cris et des couvercles, jusqu'à ce que tu l'entendes enfin.
La vie envoie des éclairs et des tempêtes pour te réveiller.
La vie t'humilie et parfois elle te défait encore et encore jusqu'à ce que tu décides de laisser ton ego mourir.
La vie vous refuse des biens et une grandeur jusqu'à ce que vous arrêtiez de vouloir des biens et de la grandeur et commenciez à servir.
La vie coupe tes ailes et élague tes racines, jusqu'à ce que tu n'aies pas besoin d'ailes ou de racines, tu disparais juste dans les formes et ton être vole.
La vie vous refuse des miracles, jusqu'à ce que vous compreniez que tout est un miracle.
La vie raccourcit ton temps, pour que tu te presses d'apprendre à vivre.
La vie vous ridiculise jusqu'à ce que vous vous fassiez rien, personne, pour qu'alors vous deveniez tout.
La vie ne vous donne pas ce que vous voulez mais ce dont vous avez besoin pour évoluer.
La vie vous blesse et vous tourmente jusqu'à ce que vous lâchez vos caprices et vos colères et appréciez votre respiration.
La vie vous cache des trésors jusqu'à ce que vous appreniez à sortir dans la vie et à les chercher.
La vie vous refuse Dieu, jusqu'à ce que vous le voyiez en tous et en tout.
La vie vous réveille, vous élague, vous brise, vous déçoit... mais croyez-moi, c'est pour que votre meilleur moi se manifeste... jusqu'à ce que seul l'amour reste en vous.
Bert Hellinger
C'est un texte magnifique. Plein de sagesse et de gratitude.
SupprimerLes constellations familiales sont une théorie très intéressante, j'ai un peu étudié la chose avec ma thérapeute, il y a quelques années.
La famille inscrit une lourde empreinte en nous, quelle qu'elle soit.
Merci pour cette belle réflexion, Biche.
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La plante au souffle vaporeux, cette Gypsophile paniculee, je la découvre grâce à ce nouveau billet , et j'en suis ravi...
RépondreSupprimerOui ce billet nouveau tient la promesse de ton annonce....tout en douceur , dans l'espace d'un souffle...
Quoi de plus naturel que ce que nous pratiquons tous sans même y prendre garde la plupart du temps .
Souffler n'est pas jouer, et pourtant c'est le phénomène le plus naturel .
Aimer à couper le souffle je peux avoir quelque idée d'un lointain ressenti....
Alors bravo de le vivre et de l'exprimer si bien, de nous le partager fait du bien à l'âme...
Pour tout cela, qui me donne envie d'acclimater dans mon jardin une belle Gypsophile paniculee, je t'envoie d'un.souffle léger mes plus belles pensées
Cette plante gracieuse est dans nombre de bouquets de fleuristes. Elle a la particularité de durer très longtemps dans un vase.
SupprimerMerci pour ce souffle de pensée, mon ami.
C'est à cela que l'on reconnaît les vrais amis.
A la fois légers et profonds. Comme une caresse.
Bises légères
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Bonjour Célestine,
RépondreSupprimerEn tout cas, tu ne manque pas de souffle poétique et littéraire...
Gros bisous,
Mo
Disons que j'ai repris mon souffle ...
SupprimerJ'avais besoin de me remplir de belles choses, et d'évacuer les moins belles.
Bisous ma jardinière.
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Mais oui, je me souviens, c'était en 2012, la campagne Zéro Carbone, j'avais fait un article illustré par cette petite fille qui gambadait dans les prés, Respire de Mickey 3 D nous avait ému...
RépondreSupprimerRien n'a changé en mieux depuis lors semble-t-il.
Accordons ce joli mot - souffle - comme tu le dis Célestine avec notre futur, nos souhaits en délicatesse comme ce gypsophile, souffle de bébé, et espérons sinon la vie serait trop triste !
Du bleu criblé de brun
Un arbre inversé
Se joue à la surface du marais
Nuance ses effets pépites
Cerné de fumerolles
Féerie enclavée
Au ras des illusions
Si aliénées
En ces lieux où rien ne bouge
Où la violence est bannie
Les herbes hautes se floutent
Le souffle d’une brise
Les fait danser
Une petite âme zéro carbone
Virevolte et sourit
Joli ton poème !
SupprimerCette petite âme zero carbone flotte au-dessus de mon jardin comme une libellule.
J'essaie, moi aussi, de ne voir que les belles choses.
La tristesse est trop poisseuse quand on se met à penser à ce que l'on ne peut pas changer...
Bisous lumineux
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Quel joli billet Célestine tout en douceur, juste un souffle tout léger pour admirer ce magnifique Gypsophile. Apprécions chaque jour, les douceurs des souffles que la nature nous envoie, souffle parfumé de fleurs, petites brise soufflée, battements d'ailes d'oiseaux à peine d'un souffle.
RépondreSupprimerGros bisous et douce fin de semaine dans un doux souffle ♥
Je vois que toi aussi, tu aimes ce mot.
SupprimerIl contient tant de symboles, tant de sens, il est à la base de tout.
Heureux ceux qui ont compris cela.
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Ah .. Célestine , tu semblerais avoir retrouvé " l'haleine de vie" ...et si le gypsophile en est le témoin
RépondreSupprimerc'est dans une légèreté toute apparente , que tu reviens avec " des choses à dire " comme tu le souhaitais !
Va vers toi même , accompagnée d'un sourire
Comme tu le sais, j'aime les fleurs, surtout les délicates, légères, tels des papillons, des frissons de vie, des petites touches comme dans un tableau japonais.
SupprimerSourire en retour, belle amie
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Bonjour chère Céline
RépondreSupprimerun beau texte sur le souffle
J’ai fraîchement soufflé mes 86 bougies, et mon souffle aérien a fait vaciller leur flamme.
Mon entourage en avait le souffle coupé de me voir ainsi fortement expirer sans ahan malgré mes ans ☺☺☺
bises
j@k
Bon anniversaire alors, chère Jak.
SupprimerUn peu en retard, mais il n'est pas de retard en amitié...
Je t'embrasse du fond du coeur
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Souffle, quel joli mot. Son souffle qu'il ne faut pas retenir, économiser. C'est notre fortune.
RépondreSupprimerBises.
Celui qui nous rend vivants, et prêts à chanter toutes les merveilles qui nous sont données chaque jour...
SupprimerBisous cher Patrick
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Oui, parle-nous encore dans un souffle !
RépondreSupprimersssshhhh ! ❤️
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Le souffle est l'adhésif qui colle les molécules les unes aux autres
RépondreSupprimeret lorsque le souffle se retire la poussière redevient de la poussière.
Tous ceux qui ont la chance de te lire Célestine : gracieuseté du souffle ! kéa
Ah ma kea, c'est bon de lire ta petite philosophie du matin.
SupprimerEt ta définition de la vie est très poétique .
Et scientifique aussi, par certains côtés...Cette colle porte un nom : liaison ionique ou covalente...
La vie, et son mystère.
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Tel le potier façonne sa création et lui donne vie dans son essentiel, sa respiration, il sait la lumière des choses et peut tout avec ses mains.
RépondreSupprimerLe souffle, feu sacré, est source de vie et la porte l'anime.
Pareil à un nuage, ton oeillet d'amour, si léger, si aérien, danse comme le souffle de bébé ! Il illumine la page avec ton retour et tes jolis mots qui procurent de la joie, du bonheur à te lire, et retrouve ton sourire, ton parfum qui t'appartient.
"qu'est ce que la vie ? C'est l'éclat d'une luciole dans la nuit. C'est le souffle d'un bison en hiver. C'est la petite ombre qui court dans l'herbe et se perd au coucher du soleil".
Sagesse amérindienne de Dhyani Ywahoo (1994) de Proverbes amérindiens.
Merci à toi Céleste.
Doux week-end.
J'ai toujours aimé la sagesse indienne.
SupprimerCette poésie de l'instant, et de la nature se rapproche des haïkus japonais.
Merci pour tant de grâce dans tes mots, chere Den.
Mon retour me fait du bien !
Bises émues
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Je ne soufflerai pas mot de ta vie d'antan...
RépondreSupprimerTu courais et manquais de souffle, on te soufflait le chaud et le froid et tu étais à bout de souffle....
Tu as enfin repris ton souffle en rencontrant l'amour : un nouveau souffle, un second souffle...puis d'autres bonheurs arrivent dans un souffle de vie : tes petites-filles!
Tant de joie, tu n'oses y croire...tu retiens ton souffle!
Tu en as le souffle coupé tant tu t'épanouis dans ce nouveau rôle de femme comblée et grand-mère ravie...
N'aies pas peur de ce bonheur tout neuf!
Tu peux enfin croquer la vie...
Tu peux enfin souffler!!!
gros bisous
Ton article m'a inspiré... MOUARF ☺☺☺☺☺
https://cathnounourse.blogspot.com/2021/09/expressions-idiomatiques-avec-souffle.html
Très joli, ma Cathy.
SupprimerLe mot souffle t'a soufflé de bien belles phrases.
Et toi, tu m'as soufflée !
Je réalise que tu me connais bien, et que tu sais par quelles galères je suis passée.
C'est du passé, n'en parlons plus comme dit la chanson...
Profitons de cette embellie magnifique.
Je t'embrasse
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Tant qu'on ait pas à bout de souffle.
RépondreSupprimerTout va pour le meilleur des mondes.
Je veux bien que l'amour me coupe le souffle.
C'est vrai, c'est une des choses que l'on aime : se laisser époustoufler par l'amour...
Supprimerje te le souhaite, cher Laurent.
C'est divin.
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Le souffle essentiel.
RépondreSupprimerIl y en a qui apprennent très vite de quoi il s'agit… surtout quand ils sont menacés de le perdre…
j'en connais un rayon de soufflerie en la matière (enfin il m'arrive de le prétendre…) et pourtant je ne suis jamais allé me perdre chez les orientaux.
Quand ton souffle s'enfuit à 12 ans, parce qu'un virus s'attaque aux muscles respiratoires, comme le covid s'attaque aux petites alvéoles pulmonaires, pour survivre tu deviens vite un « maître ès souffles »…
et après tu te rends comp qu'avoir du réapprendre à « vraiment » respirer, ça te sert toute ta vie… youpi !
Un de ces jours je vais m'éditer sur comment méditer… je suis sûr que l'œuvre aura du souffle !
;-)
Tu es un inspirateur, Alain. Un souffleur de verre, un artiste de la relation humaine. Sans doute parce que tu as remplacé tes alvéoles pulmonaires défaillantes en développant celles de ton coeur, qui est gros comme ça.
SupprimerJe ne doute pas que, quoi que tu écrives, cela ait du souffle. Et de la gueule.
J'aimerai te lire.
;-)
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Depuis un an et demi, je suis à bout de souffle, bâillonnée par du papier ou du tissu. Je me replie du monde pour mieux me déployer dans des endroits libérés, seule ou avec des personnes libres. Et là je respire. Et là le souffle devient roi. Et là la Vie prend toute sa place.
RépondreSupprimerQuant aux mots il m'arrive de les faire tourner dans ma tête jusqu'à qu'ils perdent tout sens. Ce ne sont plus que des sons. C'est une expérience étrange.
Merci Célestine pour ce bel écrit.
Tout comme toi, ma Suzame.
SupprimerPersonne ne s'est préoccupé du sort des hyperesthésiques, comme nous, qui ont beaucoup de mal à endurer les agressions permanentes de l'environnement.
le masque me dérange énormément, bien davantage que le commun des mortels. Comme la lumière trop vive, les sons trop forts, les odeurs prenantes...
Alors, oui, je comprends ce désir de respirer librement.
Merci pour ton témoignage ma Suzame.
Bisous de fée
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PS c'est drôle, depuis que je suis gamine je me suis toujours amusée à prononcer de nombreuses fois certains mots usuels, jusqu'à ce qu'ils se vident de leur substance... ;-)
Jai suivi le "clic" en fin de ton billet et découvert cette chanson de Mickey 3D dont je n'avais que vaguement écouté la ritournelle, lorsque "ce siècle avait trois ans", comme tu dis. Là j'ai écouté les paroles et regardé l'animation. Cette petite fille m'a fait penser à une des miennes. J'ai vu dans ces images de nature et de liberté quelque chose de doux, d'heureux et d'évident... jusqu'à la chute : quelle horreur, me suis-je exclamé en voyant les dernières images, tandis que les larmes me montaient aux yeux. Horriblement juste, oui. Merci pour cette (triste) découverte.
RépondreSupprimerQuant à tes mots à toi, je les lis en observateur silencieux. Toujours un peu fasciné par ta capacité à parler des "belles choses" de la vie.
Je savais que ce clip te parlerait.
SupprimerC'est vrai, c'est horrible, ce monde que l'on entrevoit dans certaines projections actuelles.
Bien sûr que l'on se sent impuissant pour arrêter cette vague qui semble inéluctable...
C'est sans doute pourquoi j'essaie de me concentrer sur les belles choses. C'est sans doute égoïste de ma part. Mais je ne sais pas faire autrement.
Je continue à penser que c'est en se sentant pleins de gratitude pour ce qu'ils ont sans chercher à posséder davantage, que les êtres humains arriveront à perdurer...Alors j'essaie de donner l'exemple. En toute modestie...
Merci de ton passage exprimé, cher observateur silencieux.
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Tu as raison Célestine ! Vaut mieux se concentrer sur la lumière que sur la noirceur.
SupprimerIci une puissante inspiration dans ce sens, d'une clarté frappante :
(possible d'avoir la traduction française si parfois tu ne comprends pas) kéa
https://www.youtube.com/watch?v=H7cGhKdvfr4
Merci Kéa pour ce magnifique souffle de vie.
SupprimerJe suis heureuse de prendre la vie de cette manière. Comme toi.
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sssssfffffff dis tu ? Mais quel Sont ces Serpents qui Sifflent Sur nos têtes. Cette consonne torture ceux qui ont un cheveu sur la langue. Bises pour un bon week end.
RépondreSupprimerAh oui, fa f'est fûr !
SupprimerPas fafile avec un feveu fur la langue !
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Si je n'arrive pas à suivre, ce ne sera pas par manque de souffle, mais par manque d'inspiration, ce qui est un peu la même chose...
RépondreSupprimerDepuis quelques années à te lire, je commence à me faire prendre à mon propre jeu... Dire que je ne sais pas, tout en démontrant le contraire, dire que je ne sais pas faire tout en faisant.
Je n'ai donc plus d'excuses. Zut, je n'ai plus d’échappatoires.
Tu as raison, si on s'y penche d'un peu plus près, le mot "souffle" est beau à prononcer. Parce qu'il se prononce sans effort, aussi léger que le souffle du vent, qui parfois, apporte les réponses, comme dans la chanson d'un certain Robert... Aussi léger que le cœur, lorsque l'on est amoureuse, ou eux... Il se prononce de cette façon particulière, les lèvres presque pincées, prêtes à déposer un baiser. Aussi troublant que la sensation de sentir la respiration rassurante sur sa peau de l'être aimé(e).
Je ne donne pas cher d'une relation à bout de souffle ; quand il n'y a plus cette harmonie de respirer le même air...
Sans l'aide du soufflet et du charbon de coke, il est impossible de rendre malléable un vulgaire bout de ferraille. Pas de souffle, pas de feu, pas d'envie d'avoir envie... On oublie simplement de vivre ♫♪♫♪♫♪
Je suppose que la chanson était celle de Johnny ? Non parce que je n'arrive pas à ouvrir ton lien...
SupprimerJ'adore ta façon d'analyser la prononciation du mot souffle. je me suis prise à faire des mimiques devant ma glace, pour vérifier tes dires...
Pour ce qui est de ton inspiration, je sais que tu n'en manqueras pas. Et puis, il faut savoir trouver ses muses quand on en manque...Et je suis certaine que tu sais où te tourner en ce cas... ;-)
Quant aux relations à bout de souffle, j'ai connu. Et j'ai expérimenté le désagréable sentiment d'apnée qui l'accompagne.
Bisous ravis de retrouver ta prose, cher Didier
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C'était bien notre Johnny national. Je ne sais pas pourquoi ce lien ne fonctionne pas !
SupprimerLien
Bisous ravis de retrouver ton écriture, chère Célestine
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En ce moment, on pleurerait plutôt notre Bébel national...
SupprimerToute une époque qui disparaît !
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On souffle, alors...
RépondreSupprimerJuste un "merci" dans le cosmos. Poussières d'étoiles que nous sommes.
https://www.youtube.com/watch?v=nXQg37hR7Vw
ooooooommmmmmmm !!!!
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Sinon ? Bah, ça marche aussi, ça comme, hein...
RépondreSupprimer"NO STRESS!!" par le groupe français le plus groovy pour l'heure : deluxe !
https://fb.watch/7PYLZ6wMkP/
Très sympa mon Titi. Je ne connaissais pas ce groupe. Très groovy en effet.Et funky aussi.
SupprimerNo stress, joli programme.
Bises destressées
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Oui Maîtresse, l'amour coup(l)e le souffle... en revanche il décuple l'appétit :D
RépondreSupprimerBeau dimanche à vous :)
Ah bon ? Pourtant on dit que quand on est amoureux, on ne mange plus rien...D'où l'expression vivre d'amour et d'eau fraîche...
SupprimerAh mais tu parlais de quelle sorte d'appétit ? ;-) ;-) ;-)
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Vous êtes de retour.
RépondreSupprimerLe souffle : quel sujet vaste et si important. Parfois, on respire sans s'en rendre compte.
Eh oui me revoilà, chère Marie.
SupprimerMerci pour votre passage.
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Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerOui, une bavure de clavier m'y a contraint...
SupprimerTu baves, toi ? ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je regrette le temps où, enfant, je courais à perdre haleine. Une canne, même rouge à paillettes est un sérieux frein !
RépondreSupprimer;)
Une canne rouge à paillettes...Tu es bien une fée !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah ! Te revoilà !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta façon d'apprécier la langue française.
Elle est magnifique et etrêmement riche et nuancée même si ce n'est pas ce que laissent entrevoir FB et Twitter...
Mais je me souviens d'un Danois qui m'avait dit "le problème avec le français, c'est qu'avec les liaisons entre mots, on a l'impression qu'une phrase n'est qu'un seul mot terriblement long !"
Depuis, j'ai écouté beaucoup de langues, pratiqué un certain nombre et j'en ai retiré qu'elles sont toutes belles à leur manière.
Mais peu me semblent aussi riches que le français.
Et j'aimerais bien que l'on cesse de céder à ceux qui refusent de faire un petit effort et poussent à supprimer de l'orthographe et de la grammaire tout ce qui les dérange parce qu'ils ont eu la flemme de les comprendre et de les apprendre.
Ils n'ont même pas remarqué que si leurs modifs étaient appliquées, ceux qui ne "faisaient pas de fautes" en feront et que ceux qui "faisaient des fautes" en feront simplement d'autres.
Sans souffle, c'est la mort.
RépondreSupprimerMais le souffle sur des braises réveille le Phoenix!
De la mort nous passons à la vie, à l'amour, à la folie!
Le bonheur ne tient qu'à un souffle de vent dans le cou, sur la nuque, couchés sur une couverture étendue sur l'herbe, dans un coin ombré du jardin... d’Éden?
Bises soufflées, mais bien jouées.
Quel connaisseur... Tu en sais un rayon, des souffles de la passion...
SupprimerBisous mon poète
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Je suis revenue, un peu essouflée mais fidèle au poste.
RépondreSupprimerTrop contente de te revoir, chère HB
SupprimerReprends ton souffle, ça va dépoter !
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Te revoilà. Toujours inspirée, pleine du souffle créateur. Belle Célestine, je te souhaite d'avoir les poumons remplis de joie. Bises alpines.
RépondreSupprimerJe te le souhaite aussi, frangine.
SupprimerJ'aime bien le concept de souffle créateur.
Bises de mon sud
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La maladie à la mode ne vous a pas coupé la respiration, je m'en réjouis, belle enfant.
RépondreSupprimerC'est toujours un tel plaisir de vous lire.
Revenez plus souvent !
Je vous embrasse chastement
~L~