Ce poème et ces merveilleuses images
pour vous, mes chers lecteurs,
pour vous, mes chers lecteurs,
sans qui ce blog n'aurait pas d'épaisseur.
Huit ans déjà...Que du bonheur !
Huit ans déjà...Que du bonheur !
Photo Alter et Ego |
Demain sera parfois tempête aux éclairs déchirés , et parfois soie nimbée de lumière.
Qui peut savoir ?
En attendant, regarde : dans le halo des réverbères, la pluie aujourd'hui a laissé ses diamants sur le miroir de mes songes, j'ai vu la trace de l'éperon du temps, si dur, mais adouci pourtant par des perles de satin.
Ce sont les mots qui apaisent mon coeur, les mots indispensables et fugueurs ! Fugaces, furieux, futiles, fumigènes...
Huit années déjà que l'on sème, toi qui viens perdre tes pas sur les miens, et te lover pour un moment dans ma cabane. Chez moi, c'est un peu le foutoir, un charmant foutoir dis-tu, un bazar incommensurable de rêves bleus, de lucioles, de fleurs pourpres, d'éclats de rire, un foutoir de fée empêtrée dans sa baguette pas toujours magique.
Et dans ses aiguillons qui la font saigner parfois...ces graines de ciguë qui grattent la peau du dos et écorchent la peau.
Toi qui aimes mes tortillons, mes tourbillons...Moi qui t'enroule en spirale autour de mes phrases, pour un plongeon du haut de mes falaises, au fond de mes mystères.
Huit images de gouttes d'eau pour célébrer ces huit secondes, ces huit siècles, ces huit années de liens-filaments de toi à moi, qui étincellent comme des diadèmes.
La trame de mon tissu de lin fragile te laisse voir le sombre de mes cernes, et je ne te cache pas grand-chose de mes respirations. Tu sais les remous que je traverse, les bas-fonds, les rochers qui griffent. Les altitudes aussi.
Les jours plumes et les jours enclumes.
Ceux qui écrasent mon coeur et ceux qui soulèvent ma poitrine. Mais tu ne sais pas encore tout de moi. Je veux encore et encore écrire mes étoiles et mes rivages.
Parfois je ris, parfois je pleure, et les embruns de mon existence jaillissent comme un écho dans la montagne au matin. Les mots, les mots toujours les mêmes et cent fois différents, comme les vagues sur le sable, comme la lanterne du phare sur les récifs...
Huit années déjà que je t'aime, toi qui prends mes écrits dans tes paumes et qui m'offres les tiens. Qui me nourrissent et qui m'appellent. Mon âme est à l'encan, sers-toi, puise, hume, effleure, ton haleine est mon espoir, ton sourire est ma joie, tes mains m'empêchent de tomber, tu ne t'échines pas pour des prunes, tu sais, ma bretelle est comme moi, elle ne tient pas en place, elle glisse de mon épaule au creux de mon coude comme pour te dire, viens encore ! Elle te montre mon chemin de vie, mon ponton sur pilotis, un peu incertain, aux poutres vermoulues, un peu branlantes, mais j'aime le partager avec toi. Amarre encore longtemps ton bateau pour tes escales. Tu m'apportes ton vent du large et quand tu es là, je respire !
¸¸.•*¨*• ☆
Musique : Adagio Trio, Wayfaring Stranger
Photos Internet
Je suis sans mots devant la beauté de ton texte!que dis-je de ton poème,de ton hommage anniversaire à tes lecteurs!Une invitation à te suivre plus que jamais.Beauté des photos,huit gouttes d'eau comme huit images de toi fragile,belle,transparente et lumineuse,colorée,irisée,rafraichissante,des bijoux dans leurs écrins,un fruit rouge à croquer.Il y a encore plein de qualificatifs,mais je n'ai plus le temps.
RépondreSupprimerMerci pour tes billets,qui m'enrichissent,merci,merci merci...
Tu es comme des milliers de goutte d'eau...
https://www.youtube.com/watch?v=fyHr2LraKP0
Tu es sans mots mais tu en as pourtant trouvé de bien jolis, cher xoulec.
SupprimerEt je suis ravie d'être ces gouttes d'eau qui éclaboussent un peu ta vie.
Merci pour la chanson de Nicole Rieu.
Sa mélodie est un vieil air irlandais qui me touche comme tu peux le savoir
Belle nuit à toi
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"Foggy dew".... ;o))
SupprimerExactly Sir !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
une nuit très courte!Mais dés que j'ai vu ton nouveau billet,je suis resté sans mots ,pas huit secondes,mais facilement huit minutes,enfin je n'ai pas compté.
SupprimerD'habitude,je réfléchis davantage,je choisis mes mots,j'écris un brouillon "papier" sur lequel je mets pêle-mêle les idées qui me viennent(j'ai souvent du mal à m'y retrouver). Mais là?pas le temps de"bricoler"(il était très tard)j'ai opté pour le direct comme en ce moment. bel anniversaire donc à ton blog.
Tu veux que je te dise ? C'est drôlement bien aussi, quand tu laisses parler "le direct"
SupprimerMais je te remercie une deuxième fois , cher xoulec, de venir poser tes mots émus sur mon anniversaire...
¸¸.•*¨*• ☆
Je n'ai pas le sens poétique de Célestine pour célébrer l'anniversaire du blog de la môme Troussecotte, mais je salue la performance de l'animatrice.
RépondreSupprimerIci, je n'ai rien à célébrer, mais j'ai eu droit à plus que des perles de rosée. Avec le vent en prime, c'était les 40e rugissants... Aveyron bien ce qui se passera demain.
Bon âne hiver sert (plutôt 8 fois qu'une)...
Ti Bacio Cara
Oh mon fidèle, mon compagnon des premiers jours, je suis heureuse que tu sois là, encore à la vigie, pour veiller sur les récifs et me raconter des histoires à la veillée, quand les marins s'assoupissent sur le pont et qu'il ne reste plus que les loups de mer.
Supprimerla tua immagine nel mio cuore
è la mia più bella poesia
Baci caro
¸¸.•*¨*• ☆
:oops: ;-)
SupprimerTu veux un petit remontant ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Bon. Dame Célestine. Je dois t'avouer que j'ai mangé la petite fraise et sa goutte. Et c'était comme tes écrits. Savoureux et remplis de soleil. Mais parfois aussi sensibles et tristes. À l'image de nos existences. Mais c'est cela qui fait la force des sentiments que nous partageons ici. Continue à nous faire vibrer avec tes pages célestes. 8 bises.
RépondreSupprimerElle est belle cette fraise ! Comme toutes ces autres photos de perles de pluie...je me suis emplie de beauté à les regarder !
SupprimerMême si les gouttes ont été faites artificiellement par les artistes, c'est quand même très très beau et bien fait.
En tous cas, la première, je suis sûre qu'elle n'est pas truquée ...
8 bises en retour
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Qu'est-ce qui un jour à guidé ma souris jusque sur ses pages, je n'en sais rien mais tous les jours je la remercie pour cette découverte. J'ai besoin de divertissement, je vais lire Célestine, j'ai envie de richesse intellectuelle , je vais m'abreuver chez elle, je voudrais en savoir un peu plus sur l'actualité, la politique, l'art, elle assouvit ma curiosité, de l'humour, de la dérision, de la vie, de la poésie, mais aussi du désespoir, des mots justes c'est encore elle, toujours elle. Cerise sur le gâteau elle a osé me faire confiance et m'a donné son amitié. Alors, vous tous ses fidèles lecteurs, je me joins à vous pour que nous lui fassions une mémorable ola. Bises admirative ma riche Céleste
RépondreSupprimerOh Chinou c'est moi qui reste sans voix devant ce magnifique hommage !
SupprimerJe peux dire la même chose de toi, tu as osé me faire confiance et m'ouvrir ta maison, et cela c'est inestimable pour moi. Je vais essayer de rester à la hauteur de la réputation que tu me tisses.
Belle journée ma douce
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Il faut bien se dire les choses, en ce jour anniversaire de ton palpitant blog. Sur ma route je t'ai croisée, et puis je n'ai cessé de voir s'embarquer d'autres et d'autres sans compter les premiers qui avaient pris place déjà sur ton paquebot volant aux ailes géantes et couleur bleu- azur. Bisous mes deux dames
SupprimerEh oui, il est vrai que j'accepte tout le monde avec mon grand coeur...Bon il y en a certain(e)s qui en abusent un peu, il va falloir que je fasse un peu de ménage, si tu vois ce que je veux dire...
SupprimerBisous mon albatros aux ailes de géant.
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;o))
RépondreSupprimerLes grandes joies sont muettes ...
Supprimer;-)
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Les tortillons et les tourbillons, de bien jolis aiguillons. Le sombre de tes cernes me concerne. Très en phase avec la spirale de tes phrases. Sur le ponton incertain je te tiens la main. Et ces perles qui déferlent... Ponctué d'une jolie version de L'étranger voyageur, ce classique folk. Que des merveilles dans ce texte Angel Baby. Bises et ATTB.
RépondreSupprimerSigné un aiguillonné depuis lurette, mais belle lurette.
L'aiguillon fait mal parfois mais il permet d'avancer, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, certes...on aimerait pourtant ne retenir que la douceur des choses en Arles où sont les Alyscamps...
SupprimerLes merveilles me sont inspirées par les relations particulières que j'ai avec chaque lecteur, uniques et précieuses comme chacun de ces gouttes d'eau qui font le collier de ma vie.
Et de temps en temps, un joyau.
Kisses and attb from your old angel baby
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Si après ça Coumarine continue de douter...
RépondreSupprimerT'es quand même une belle grande chose, tu sais !
Bises !
Tu sais que j'ai un peu pensé à elle en écrivant, moi qui suis intarissable.
Supprimerj'espère qu'elle lira ce message personnel.
C'est un des plus beaux compliments que j'aie jamais entendu ça. Et tu c'est pourquoi ? parce qu'on ne me l'avait jamais dit comme ça. Et ça, ça s'arrose, je te laisse choisir le breuvage.
Bises super émues, mon Boss
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Tullamore Dew, pour ton côté irlandais ;-)
SupprimerTu me gâtes !Un vrai whiskey (avec un e) ouh la la ! je vais être torchon chiffon carpette !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
bon anniversaire j'aime ton blog
RépondreSupprimerMerci Sylvie. Je ne sais plus comment je t'ai rencontrée, les fils de la blogosphère sont tellement inextricables, mais je sais que je suis tombée en extase devant tes photos, et les correspondances que tu établis entre tes photos et tes mots, ta façon de voir la vie en esthète philosophe.
SupprimerBref merci d'être là, fidèle
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Huit années, c'est déjà raisonnable... Bravo.
RépondreSupprimerBleck
Il n'y a vraiment que cela qui soit raisonnable alors...parce que ce mot, je crois que je l'ai trop entendu dans mon enfance, j'ai vraiment besoin comment dire ? de faire des choses déraisonnables, de faire éclater les bourgeons de fantaisie qui poussent en chacun de nous et pas qu'au printemps, tout le temps, et c'est ce que je trouve chez toi: une envie permanente de ne pas être trop raisonnable. On aura bien le temps quand on sera morts...
SupprimerUne bise
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Eh bien justement puisque tu me cites sur le déraisonnable raisonné, ce fut tout mon travail d'adulte, parce qu'enfant et adolescent je fus raisonnable LE raisonnable et puis un jour j'ai été grand j'ai bossé et voilà.
SupprimerBleck
Et voilà... ;-)
SupprimerD'habitude, lorsque l'on est invité à un anniversaire, c'est à nous d'apporter un cadeau. Et là, pour ce huitième anniversaire (BRAVO !), c'est toi qui nous en offre un au travers de tes mots, MERCI céleste Célestine, j'aime infiniment ton monde à l'envers, il fait du bien à l'âme. Mille vœux de longue vie à ta jolie cabane, que les oiseaux de ton cœur continuent à l'enchanter. brigitte
RépondreSupprimerMais vos commentaires sont des cadeaux quotidiens, et c'est bien mon tour ! Et puis j'aime faire des cadeaux, J'avais fait cela , à une époque je ne pourrais plus le faire à cause du nombre croissant de mes lecteurs, mais j'avais adoré choisir quelque chose de personnel pour chacun.
SupprimerCe que j'aime chez toi, chère Brigitte, c'est que tu effleures de tes plumes d'ange tout ce qu'il y a de beau en ce monde pour nous l'offrir. C'est un bain de beauté d'aller chez toi.
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Tant de beauté offerte à tes lecteurs !
RépondreSupprimerJ’en reste coite et j’espère que ces minutes ses jours ces années dureront.. dureront..
la source de ta poésie ne pourra jamais se tarir pour notre plus grand plaisir, continue à nous ouvrir les portes de ta cabane
Puisses-tu être entendu par l'univers qui nous insuffle son énergie créatrice, chère Jak.
SupprimerCe que j'aime chez toi, c'est que tu portes fièrement tes nonante printemps, avec une énergie énorme à toujours vouloir te régénérer dans l'émotion, l'inventivité...et les nouvelles technologies. ;-)
Tu es l'Espoir, mon espoir, que rien ne s'arrête jamais, tant que la vie est là.
Merci beaucoup pour cela.
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Superbe texte. Magnifique aventure. Je n'ai que ça à proposer pour le célébrer :
RépondreSupprimerLignes
Goélands éphémères
Collines ébouriffées
La lueur des réverbères
Tant d'autres reflets
Bulle d'oxygène tressant
Des boucles au souvenir
Des bûches enlacées
Flambent sous le désir
Lumière chatoyante
Berçant l'horizon
Des vagues murmurantes
Font danser les sons
Lisant dans les regards
Les mains parlent aux corps
L’esprit dissipe le brouillard
Aux portes de l’espoir
Tu n'as « que » ça ?
Supprimermais c'est tellement magnifique... Tu plaisantes, je suppose.
Merci pour ces mots posés comme des bulles sur ma page.
Je suis heureuse que le hasard (?) m'ait portée vers tes pages, car tu animes en moi le feu de la saine révolte, celle de citoyen du monde.
Bises émues
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Je ne plaisante pas, parole, mais c'est ce que j'ai trouvé de plus proche aux sentiments que tu exprimes dans ton formidable papier.
SupprimerTout pareil pour les bises.
C'est ce qui s'appelle se mettre en phase, alors...
SupprimerUne faculté que j'ai appris à développer en me mettant en harmonie avec la nature ...
Ce que tu écris me parle. C'est cela l'essentiel de ma façon d'être, je ne sais pas être autrement.
¸¸.•*¨*• ☆
Huit années dont j’ai eu la chance d’embarquer sur ta locomotive, chère Céleste, à la quatrième année un jour de printemps d’avril. Que d’aventures, que d’échanges, que d’amitié, n’avons-nous pas vécues, nourries sur ton blog pétri de rêves, d’enchantement. Quel sujet n’avait pas été ici, discuté, tricoté, enguirlandé. C’est ici que j’ai eu tant de plaisir à venir trouver chaleur, convivialité, amitié et amour des belles choses à rêver qui m’ont tellement inspiré pour concocter quelques mots de poésie qui sortaient comme des bulles d’espérances pour dire mon enchantement à la vie, c’est aussi que j’ai eu la chance de sceller quelques belles amitiés. Venir ici, c’est me réoxygéner de verbes, de mots, de joie, d’humour et d’amitié, pour revenir encore, et encore sans me lasser pour laisser des brins de lumières en remerciement à la taulière. Vivement que l’enchantement continuera à nourrir cet espace que tu animes avec verve, amour, amitié et bienveillance. Merci de tout cœur, Céleste. Bises étoilées filantes et méritées.
RépondreSupprimerAh mon cher Bizak...tu es le vent qui souffle sur mes blés de ta plume ébouriffée, et notre amitié est une belle aventure, comme celle des grands bateaux en partance, jamais certains de revoir le port, mais vivant de cet espoir.
SupprimerTu m'apportes ton sable chaud des contrées splendides ou le ciel brûle, où l'eau se cache derrière les dunes, et la luxuriance de tes mots fait chanter ton accent du Sud même par écrit.
Bises célestes et enivrées
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Eh! mais tout est luxuriance ici. Je suis comme un orpailleur chanceux, il n'y a que des filons d'or qu'on extrait de ta terre généreuse. Merci pour tes mots.
SupprimerL'or est souvent dans les doigts et dans les yeux du chercheur d'or...
SupprimerCertains passeront ici en ne voyant qu'un fatras verbeux sans intérêt. En avoir conscience permet de garder les pieds sur terre et c'est bien quand on a comme moi la tête dans les nuages ou les étoiles ...
Merci bel orpailleur
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Tes gouttes d'eau comme autant de perles. Tant que nul n'y ajoutera celle qui fait déborder le vase, tout sera en place. ];-D
RépondreSupprimerLa vie se charge plus souvent qu'à son tour de faire déborder nos vases, qu'ils soient de joie ou de douleur. J'ai eu ma dose cette année, et je préfère penser à Paris au mois de mai, quand les arbres penchent leurs fleurs sur la Seine endormie, ou sur les marches de Montmartre. Et aux grandes joies que j'ai eues à visiter Paris avec toi.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Célestine : On recommence ou plutôt on continue quand tu veux belles châsses; ];-D
Supprimer^^
SupprimerMoi qui ne suis qu'un grain transparent de ta source en cascade
RépondreSupprimerQu'une petite pierre ciselée
Qu'un pas sur ton chemin dallé
J'ai pris ton aile de bonne-heure à t'élire
Art-rimée à toi,
Quand tu m'enroules en rubans-baux de sang et de mots
Jusqu'au très-fond mystère-rieur
Qui m'effleure
Quand tu joues la mélodie à la note qui bouleverse le ciel,
le visage d'Eole,
Quand je pleure sur le coin de la page,
Quand j'essuie ta larme qui roule sur ton sillon scintillant
Tu lies l'Art décrire à ton Coeur
Quand je feuille-êtes l'histoire de ta vie
En beaux creux en cavernes teintés
Tes rives, tes rêves
Tes pluies tes brumes brunes
Tu emportes dans ton paquet-âge
Dans tes allées dessinées tes sanguines
Aux yeux vermillons, vers-Millet
Ma main bat-lente
Entre les bras brûlants du Dieu Rà
Qui frétille et en-tonne
Tenant ton pinceau délicat
Silence-cieux
Qui m'happe-aile sur ta route
Au coeur des choses
Dans le regard des fleurs-sOleil
qui se mêlent aux étoiles
Au choeur de l'hiver de mon ciel
Ta terre, ta mer,en mouvance d'aimer
au bout de nos pas.
Merci Célestine, et bon anniversaire.... pour tes mots enchanteurs, qui parfois décoiffent dans ton bel abri, que l'on aime. Ne change rien.
Den
Tu sais qu'en lisant ton poème sublime sur ma musique languissante, tu as réussi à me faire pleurer, chère Den.
SupprimerQue d'émotion à lire tes mots tissés comme des écharpes de miel et de soleil.
Ce blog est une des belles aventures de ma vie. Je souhaite pour voir le continuer le plus longtemps possible, même si je connais cette impermanence qui fait le sel de l'existence et en même temps nous prive, à chaque instant, de ce que l'on croyait inébranlable...
Merci du fond du coeur pour ce texte merveilleux.
Que de belles personnes se donnent rendez-vous ici !
J'en tremble d'émotion.
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Que ton billet est beau, ma douce amie, comme il est touchant et émouvant, j'en ai les larmes aux yeux... et cette musique... Je suis vraiment heureuse d'avoir croisé ton chemin, un chemin que je ne regretterai jamais d'avoir emprunté, car il m'a conduit à lire de si belles choses. Je souhaite un très bel anniversaire à ton blog, Célestine, et je lui souhaite encore de nombreux billets, tous aussi beaux les uns que les autres, ces billets qui sont le reflet de ton âme, si belle. Merci infiniment, ma belle. Je t'embrasse très fort.
RépondreSupprimerCe que j'aime chez toi, françoise, c'est ton regard. Le regard de grande soeur attentive et bienveillante, qui se pose sur les choses de la vie pour en expliquer le mécanisme. En quelques phrases, tu expose un sujet philosophique qui demanderait à d'autres des circonvolutions interminables. Et là, miracle, on comprend tout.Tout s'éclaire en laissant apparaître de menus détails, comme dans un tableau clair-obscur de Rembrandt.
SupprimerMoi aussi je t'embrasse très fort.
¸¸.•*¨*• ☆
Tu exposes... oups !
SupprimerTrès belle ode au partage et à la richesse parfois mystérieuse des blogs et des blogueurs.
RépondreSupprimerSuperbe choix de photos aussi.
Bon anniversaire, jolie cabane de Célestine !
Chère Pastelle, ton oeil d'artiste photographe ne pouvait qu'être ravi par ces images, comme je suis ravie par les tiennes chaque fois que je découvre un de tes nouveaux billets. Depuis quelque temps, je nous sens encore plus proches, et je m'en réjouis.
SupprimerMerci de tout coeur et continue à m'enchanter les yeux.
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pour célébrer cet anniversaire de blog, tu nous fais cadeau de fleurs magnifiques: et en même temps, chacune soupire et verse deux ou trois larmes...
RépondreSupprimerAinsi va la vie, mais il me semble que ce qui domine ce sont les fleurs
Merci Célestine pour ces 8 années de présence ici
Bien sûr, les fleurs sont le symbole de la beauté, de l'amour, de la parole aimable (dites le avec des fleurs, faire une fleur à quelqu'un), elle sont aussi le symbole de ma façon d'être: fragile, attirante malgré elle, parfois un peu vaniteuse comme la rose du Petit Prince, naïve et se croyant forte contre les prédateurs avec ses quatre épines qui se courent derrière, balançant aux quatres vents, aimant les papillons et détestant être cueillie...
SupprimerJe crois que malgré tout nous avions pas mal de points communs quand je t'ai rencontrée.
Et les perles de rosée, ce sont les larmes que je verse souvent...
Je te remercie d'être passée aujourd'hui, Coumarine, ça faisait si longtemps.
Tu es toujours la bienvenue dans mes pages.
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Huit ans! Quand je pense que c'est mon bébéblog (même pas 8 mois)qui m'a conduite ici; comme il a été bien inspiré! Tes mots sont degré 9 sur l'échelle de Richter de l'enchantement...
RépondreSupprimerQuelques mois seulement que l'on se lit, que l'on s'apprivoise, que l'on devine nos ressemblances et nos différences. L'étincelle s'est produite, immédiatement, du moins pour moi.
J'aime ton texte où l'espoir fuse autant que la beauté, texte qui dit la richesse des rencontres, des échanges. Nous sommes, nous, tes lecteurs, des passants provisoires, mais nous passons, fidèlement, obstinément, avec bonheur, dans l'intensité des instants.
A découvert. C'est encore meilleur.
Je t'embrasse du fond du cœur.
L'échelle de Richter de l'enchantement, c'est très bien dit, ça...
SupprimerHuit ans, huit mois, huit secondes...Oui, la valeur n'attend pas le nombre des billets, et je sens en toi, la même fibre, la même vibration pour la vie, nos différences nous enrichissent et nos ressemblances nous permettent de régler avec humour et intelligence nos différends.
Les derniers miasmes de doute ont été balayés par un grand vent frais d'authenticité.
Je nous souhaite une longue vie bloguesque.
Moi aussi je t'embrasse, au fond des yeux, à découvert, oui. ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Tu connais cette phrase de Cocteau? "Ils étaient comme le moule et son plâtre. Ils étaient pareils, sauf tout." ;-)
SupprimerNon je ne la connaissais pas. Elle me semble un peu radicale non ? Pareils sauf tout ça veut dire aucun point commun ?
SupprimerQuant à savoir qui est le moule et qui est le plâtre ? ... ;-)
Je t'offre cette citation de madame de Staël:
“L'intelligence se trouve dans la capacité à reconnaître les similitudes parmi différentes choses, et les différences entre des choses similaires.” :-)
Bises
¸¸.•*¨*• ☆
Je pense que Cocteau voyait plus large que ce que tu parais entendre dans cette phrase: les différences s'emboîtent; on est curieux de ce qui ne nous ressemble pas, quand on est curieux, et j'ai eu d'emblée le sentiment que nous ne serions pas à la veille de nous lasser de l'étrangeté que nous pouvons avoir l'une pour l'autre... Et nous avons aussi des similitudes, parfois flagrantes, parfois pas...
SupprimerQuant à savoir qui est le moule, qui est le plâtre... Là n'est pas l'important. Nos ressemblances nous rapprochent, nos différences aussi.
Au fond tu vois, nos deux citations ne sont pas si éloignées l'une de l'autre ;-)
♥
Très amusant ! Les deux narcissiques (les célestine/baladine), aux egos surdéveloppés, finiront par se taper sur la gueule, c'est tout vu ! ;-)
SupprimerAucunes de leurs affectueuses politesses ne sauraient masquer ce qui crève les yeux de tout un chacun ... ;-)
Oui mais ta politesse à toi, ça crève le plafond, si j'ai bien compris. Allez jusqu'à faire de la provocation sur ce blog, il faut que tu sois drolement jalouse Miss Oukazou
Supprimer"Les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait" disait Audiard... Je vois que pour les connes c'est du pareil au même, le fiel en plus.
SupprimerEt Aukazou elle n'aurait pas compris, c'est bien d'elle que je cause...
@Bizak et Blutch
SupprimerVous embêtez pas à répondre, mes amis... C'est gentil, mais c'est peine perdue...
Ça donne bien trop d'importance au personnage...
Moi j'ignore, maintenant.
D'autant que cette charmante commentatrice fait le boulot toute seule, se déconsidérant au-travers de son impolitesse.
SupprimerJe plussoie à ce que disait Andiamo il y a quelques temps : "Changez rien, c'est comme ça qu'on vous aime !".
...'fin moi... Jdirien !...
Aukazcouille elle se ferait des illusions sur la pertinence de ses remarques et la façon dont elles peuvent être appréciées, je voulais lever toute ambiguïté car il faut tout de même un minimum de neurones en état de marche pour apprécier à sa juste valeur la remarque d'Andiamo...
SupprimerVoilà, maintenant, c'est fait et je me rallie à Audiard lorsqu'il disait qu'il ne faut pas parler aux cons car ça les instruit.
Baci bella Ragazza et accolade aux deux compères...
J'avoue qu'un peu d'Audiard fait beaucoup de bien...et puis un coup de lessive bien fraîche pour dissiper les taches de gras...
SupprimerBisous et Baci mes chers compères
¸¸.•*¨*• ☆
:-)
SupprimerTi bacio Sorellita
♥︎
SupprimerMadame Aukazou : Je vous l'ai déjà dit : surtout ne changez rien ! Je m'amuse beaucoup à vous lire, Si c'est naturel alors c'est parfait, par contre si c'est un rôle de composition c'est encore plus fort !
SupprimerProfites-en alors parce que tout a une fin... ;-)
SupprimerDon't feed the troll! ;-)
SupprimerQue dire après l'émotion suscitée par ce si beau texte ? Ah je ne regrette pas d'avoir un jour découvert un monde nouveau en visitant ton blog. J'ai pourtant oublié comment et quand ! Mais quelle importance, le principal c'est bien que je reste à l'écoute de tes jolis mots, que je m'en imprègne et que ... j'y réfléchisse, bien souvent. (rire)
RépondreSupprimerMerci Célestine d'être celle que tu es et de partager tes émois, tes coups de gueule, tes sourires même embués de quelques larmes. Bisous de la Béarnaise.
Moi je n'ai pas oublié, Mariejo. C'était à l'occasion des cent mots de Raymond Queneau...
SupprimerEt moi non plus je ne regrette pas d'avoir découvert ton univers, tes parties de pelote, tes glissades sur les pentes immaculées de tes belles Pyrénées, tes videos, ton petit Clément, merveilleux petit conducteur de locomotive, ton engagement admirable auprès de la petite Charlotte et tes recettes de cuisine pas toujours très raisonnables mais on s'en fout !
Et puis ton sourire, ta bonne humeur, ta patate permanente, tes chamailleries avec ton Jean mais tout l'amour qui transpire quand même entre vous deux après tout ce temps...
Bisous belle béarnaise au grand coeur.
¸¸.•*¨*• ☆
Ton écriture alerte nous emmène sur les sentiers de ton coeur, de tes yeux, de ton esprit.
RépondreSupprimerMerci pour ces promenades
entre la réalité triste ou joyeuse et tes rêves de couleurs et de fleurs,
entre la terre de cailloux ou d'herbe douce et le ciel nuageux ou étoilé,
entre les larmes qui peuvent être de joie et les rires qui tirent les larmes .
Happy 8!
Nicmo
Oui le mot promenade est bien choisi : une sortie de chez soi, une découverte de quelque chose qui nous fait du bien, qui nous rend parfois meilleur, et qui nous fait respirer un autre air. Moins impliquant qu'un voyage, et plus dépaysant que de rester dans son propre jardin...
Supprimerj'aime me promener dans les blogs, tout comme toi, chère Nicmo.
Il ne manque que le tien. ;-)
Bises étoilées
¸¸.•*¨*• ☆
Il n'y a pas longtemps que j'ai franchi le seuil de ta cabane et je ne me souviens plus comment cela est arrivé. Peu importe, j'ai tout de suite apprécié tes mots que je lis toujours avec bonheur et lorsque vient le point final, je me dis, oh déjà la fin.
RépondreSupprimerTon poème d'aujourd'hui est d'une grande douceur et me touche infiniment et tu sais si bien faire virevolter tes mots... que du bonheur.
Pour ces huit belles années pour toi et tes visiteurs, je te souhaite chère Célestine tous mes voeux pour une douce continuation.
Mes bisous du ♥
Je crois que nous nous sommes connues chez Den.
SupprimerUn même amour de la nature et de ses merveilles nous lie.
Ce que j'aime chez toi, c'est ton regard tendresse sur le moindre oiseau, la moindre fleur. Comme si c'étaient des personnages. Tu aurais aimé ce billet , par exemple, qui ressemble à un rêve d'Eugénie.
C'est gentil ce que tu dis dans ta deuxième phrase. Moi qui ai toujours l'impression que mes billets sont trop longs...
Merci pour tes voeux, chère Denise, du fond du coeur
¸¸.•*¨*• ☆
Un texte, et des photos magnifiques
RépondreSupprimerMerci chère Miss !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Joyeux bloganniversaire, Célestine!
RépondreSupprimerEt que tu nous régales encore de délicats billets!
Bisous chère fée
C'est mon voeu le plus cher, ma luciole.
SupprimerCe que j'aime chez toi, c'est ton écriture, ample, fantasque, imaginative, poétique, délicieuse, qui ne demandera qu'à s'épanouir et se déployer quand tu seras moins occupée par tes mambos.
Bisous très célestes
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mais bien sûr! ceux qui disent qu'on est dans le virtuel se trompent: on est de vrais gens, derrière nos claviers :-) avec de vraies émotions :-)
RépondreSupprimerbises et bon bloganniversaire!
Ah ! ma chère Adrienne, toi qui enchantes chaque matin tes lecteurs d'un nouveau billet...
SupprimerJe me demande souvent comme tu fais pour avoir une telle constance.
En tous cas, j'aime beaucoup ce rendez-vous avec ton univers, tes élèves, tes souvenirs, ton piano, ta maison qui s'embellit...et puis « madame votre mère » ^^
Gros bisous célestes et merci de ta fidélité.
¸¸.•*¨*• ☆
Chère amie Céleste,
RépondreSupprimerToi que le pouvoir jamais ne corrompt
Toi dont les billets résonnent à nos âmes émerveillées
Comme autant de lumières aux teintes multiples et variées
Nous sommes tous à attendre ta magie qui jamais ne se rompt
Même si nous avons vécu avec toi moins de ces huit années
L’attachement à tes écrits , à tes péripéties étoilées
Jamais ne faiblit par manque d’eau vive
Chaque fois, le plaisir d’être, en nous tu ravives
Alors fêtons ensemble cet anniversaire
Et que vivent longtemps tes mots célestes
Bises
Quel bel hommage, merci beaucoup Petrus.
SupprimerJe n'oublierai pas ce mémorable huitième anniversaire.
Bises sincères
¸¸.•*¨*• ☆
J'ai découvert ton blog il doit y avoir un an et demi, et depuis ce jour je n'ai manqué aucun épisode et suis plus que jamais en attente d'un nouveau billet.
RépondreSupprimerJoyeux anniversaire Celestine. Bises.
Je me souviens très bien quand je suis allé sur ton blog pour la première fois: c'était à l'occasion des cent mots. Tu allais commenter mon amie Boulgom. Et c'est comme ça que tu m'as rencontrée...
SupprimerMerci d'être toi, cher Patrick.
¸¸.•*¨*• ☆
Huit ans, comme le temps passe...
RépondreSupprimerTo texte est un aussi beau bijou que les photos. C'est magnifier les gouttes d'eau!
Vive l'agenda ironique qui m'a permis de te rencontrer, chère Mo.
SupprimerMerci pour tes mots. Oui, ces perles d'eau sont magnifiées par les photos...
¸¸.•*¨*• ☆
Célestine, tu me ravis avec tes mots.
RépondreSupprimerTon écriture est danse.
Ta jupe sans cesse virevolte dans les airs.
Air quelquefois chagrin,
Mais air qui porte toujours la joie et qui nous emporte loin.
Je pense à toi.
Je t'embrasse.
Je ne sais pourquoi je pensais à toi à l'instant, par une de ces coïncidences toujours surprenantes...
SupprimerJe suis ravie de te ravir, chère ElLinda
Ravie aussi que tu sois passée en ce jour précis où je fête mes huit ans.
Je t'embrasse aussi, belle poétesse
¸¸.•*¨*• ☆
Je suis passé te lire avec bonheur. Tu écris beaucoup, et si bien.
RépondreSupprimerUne bulle d'oxygène dans mon tourbillon où le temps affolé m'use chaque matin un peu plus.
J'écris aussi, mais ne pose rien sur la toile. Je ne veux plus prendre ce temps là.
J'espère que des jours plus élégants viendront éclairer mes nuits et que cette lumière me refera étaler des mots roses sans retenue sur ma page.
Je t'envoie une foultitude de bises pour tuer mon silence.
Je suis touchée que tu interrompes ton silence juste pour venir me poser quelques mots...
SupprimerEt quels mots...
J'espère que ton tourbillon se calmera un peu afin que tu retrouves des forces.
Bises poète
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Comme d'habitude, y z'ont tous dit tellement de jolies choses qu'il devient compliqué d'être original !
RépondreSupprimerUn peu plus de quatre ans maintenant que, venant de chez Coumarine où j'aimais tes commentaires, j'avais été un peu déçu par un billet ordinaire décrivant tes premiers jours de vacances.
Mais tes coms chez Coum' m'ont attiré de nouveau, et je suis bien content de ne pas m'être arrêté à cette première impression ! J'en ai découvert des choses chez toi, beauté, humanité, humour, amour, des autres, de la vie, de tout ce qui tremble et palpite !
Des souvenirs ? Le panier percé qui me sert de mémoire à quand même retenu "Trop vite" du 1er juin 2012, qui me rappelait ma paternité enfuie. Et puis "Comme le chant de l'eau", le 27 août 2014, texte fabuleux ! Saurai-je jamais dire combien sont tes écrits qui m'ont si souvent porté le cœur au bord des yeux, tant ma peau et mon âme d'écorché s'y reconnaissais ?
Quel est cet art particulier qui te permet de chanter à la fois le viscéral et l'émotion, de venir nous parler à la foi au fond des tripes et au fond de l'âme avec un regard immense et têtu de petite fille candide, incertaine et pourtant confiante ?
Je t'envoie un Big Hug pour cet anniversaire, et à bientôt sur le chemin des émotions et des mots !
Jdissa
C'est malin ça, cette fois c'est Jdissa katoudi ce qui pouvait être dit d'intelligent, alors botus et mouche cousue et il peut se vanter d'avoir laissé Blutch sans voix...
SupprimerBaci et accolade au barbu
@Jdissa
SupprimerIl est magnifique ce commentaire, bourré d'émotion et de références dont certaines que j'avais oubliées. C'est un très beau cadeau d'anniversaire.
Quel est cet art particulier me demandes-tu ? Peut-être tout simplement l'amour des gens, j'aurais bien dit le goût des autres si ça n'était pas déjà pris...
Je n'arrive plus à écrire, là, j'ai un flot qui me monte aux yeux...c'est pourtant pas les oignons à c't'heure ?
J'ai relu les billets que tu cites. Tu n'as pas de blog (je me demande bien pourquoi, toi qui sais dire de si belles choses) mais je voulais quand même te dire que tu fais partie depuis quatre ans de mon paysage bloguesque, et que tu es quelqu'un qui compte pour moi.
Bises célestement émues
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@Blutchy
SupprimerSans voix toi ? Ah oui, ça c'est un exploit...
Mais tu as raison, et ce que j'aime particulièrement ce sont les interminables joutes oratoires que vous m'avez offertes par moment, ça je n'oublierai jamais, comme c'était drôle, comment je me bidonnais toute seule devant mon ordi quand vous faisiez des concours de jeux de mots...
Et notamment une fameuse semaine "interdite aux hommes" où je vous avais laissé les clés de la baraque.
Un vrai bonheur...
Ti abraccio caro
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Aaaaaaaaaaaaaaaargh, la fôte, grâââve : "...ma peau et mon âme d'écorché s'y reconnaissaiENT ?
SupprimerTsssss !
Ouffffffff !
C'était peut-être la motion ? ;o))
Ben voyons, un festival: "...de venir nous parler à la foiS au fond des tripes..."
SupprimerEn même temps, il devait être 22h30, hein, et c'est tard pour un bébé de mon âge et les neurones qu'il y a dedans !
T'inquiète pas pour les fautes, ce que tu disais était beau et sincère, alors je ne les ai pas vues (et puis j'ai la vue qui baisse, tu sais bien que je suis une vieille dame) ... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ah! quel anniversaire palpitant! rien que de lire Blutch, Jdissa, Andiamo, avec leurs belles plumes et le tout relevé avec la délicatesse de la taulière, dans ses mots toujours authentiques, adéquats et vrais, je me dis que je fêterai bien la prochaine année, assurément.
SupprimerMais j'espère bien en fêter encore longtemps avec vous tous, mes amis ! ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Si moi je suis un "personnage", ma brave célestine, toi tu es une sacrée marionnette ...
RépondreSupprimeret une foutue garce ! ;-)
Au fait ? Faudra que tu m'expliques ce que tu appelles ton "grand coeur" ... J'avoue que ton histoire d'auto-stoppeuse, laissée sur le bord de la route, alors que tu lui avais fait la promesse de l'emmener et qu'elle venait juste de perdre son boulot ... c'est d'une grande bonté d'âme ! Chapeau ! ;-) Et s'il n'y avait que cela !
Sinon, 8 ans c'est un anniversaire ? ;-)
En fait, je viens juste de comprendre ! Vous n'êtes pas la vraie Aukazou...Il a falloir que je lui dise qu'il y a un imposteur qui se fait passer pour elle
SupprimerVoilà ce qu'écrivait la "vraie" Aukazou sur le billet de l'autostoppeuse du 7 décembre:
Aukazou7/12/16
Je ne crois pas beaucoup au délit de « sale gueule ». Il y a des gens laids qu’on adore immédiatement, comme il y a des gens beaux avec lesquels on n’accrochera jamais et inversement. Je crois beaucoup, en revanche, à ce que l’on émet. Tout est une question de charge émotive. Lorsque la charge émotive, de celui qui émet, est trop lourde, pour celui qui la reçoit, il y a nécessairement rejet, ou déformation de l’intention. Ce n’est pas forcément que l’autre soit malintentionné, c’est tout simplement que l’intensité non verbale dont il leste ses propos, même anodins, sera perçue comme une agression.
Imagine l’adagio du concerto pour clarinette (K.622) de Mozart dont chaque pulsation serait multipliée par 300 battements à la minute et le tempo totalement destructuré. Ce serait toujours du Mozart mais inaudible, parce qu’insoutenable à l’écoute. Ce que je veux dire par là, c’est que pour être entendu de l’autre, il faut régler sa fréquence sur la sienne. Simple question de réciprocité.
Ce que tu as ressenti comme un danger potentiel, c’est sans doute le poids existentiel dont l’autre, inconsciemment, t’as fait porter le faix. Qui plus est à un moment de ta vie où tu n’as pas vraiment besoin de ça. Dans ce cas, la fuite n’est pas synonyme de lâcheté, c’est quasiment de l’instinct de survie. Tu as fait très exactement ce que chacun d'entre nous aurait fait dans les mêmes circonstances : tu t’es préservée et tu as eu raison.
Et voilà ce que je répondais:
Célestine ☆7/12/16
Tu exposes là brillamment les théories de la synchronicité et de la loi de l'attraction.
Les réglages de fréquence permettent de vibrer « sur la même longueur d'ondes » .
Il est possible que dans un autre moment de ma vie, j'aurais moins (ou pas du tout) ressenti cette charge émotive lourde. L'exemple de Mozart est très « parlant « si j'ose dire.
Merci beaucoup pour ce commentaire éclairant.
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ça a quand même une autre gueule...;-)
@ Aukazou bis
SupprimerToi un personnage? Tout juste une conne décervelée, oui!
Si au moins tu y mettais de l'humour dans tes insultes, mais rien, encéphalogramme plat.
@ Aukazoubis : Tous, dans vie, nous avons le choix entre deux pouvoirs: celui de faire naître un sourire, et celui de faire venir les larmes. Et je ne parviens pas à comprendre comment on peut choisir le second. Le sourire qui s'épanouit chez l'autre est un miroir où l'image est si belle, et cet échange de sourires est si porteur de bonheur échangé que je ne comprends pas comment on peut prendre plaisir à répandre le mal.
SupprimerPeut-être une souffrance ? Mais nous ne sommes pas là pour vous analyser, ce que d'ailleurs nous ne saurions pas faire, et nous n'avons pas de temps à perdre avec votre négativité.
D'autant qu'elle est doublée de la lâcheté de jeter votre méchanceté et votre bêtise dans l'anonymat, ou pire, sous couvert d'un nom volé !
J'aimerais savoir quel courage vous auriez face à chacun d'entre nous ici, face à face, les yeux dans les yeux !
Célestine a pour règle de ne pas censurer les commentaires, pensant que les gens de votre espèce se déconsidèreront tout seuls aux yeux des autres.
Aukazoubis, je tiens à vous féliciter, vous y parvenez particulièrement bien !
Jdissa
C'est louable à toi, Jdissa, de vouloir trouver des explications mais en fait il y a d'autres moyens d'exprimer sa souffrance qu'en crachant sur les autres. Je ne suis pas dupe, le commentaire que j'ai fait ci-dessus s'adressait à la seule et unique, il n'y a pas d'aukazoubis, juste une personne qui m'a fait croire un temps qu'elle avait changé, et qui s'est auto-déclarée visée par un billet qui ne s'adressait pas à elle, mais à une autre de son acabit. Une personne qui n'est pas capable de tenir un blog et qui préfère déverser sa haine sur les blogs des autres.
SupprimerPour ma part, je ne censure pas tant que les commentaires ne ressemblent pas à du vomi, ou à des crachats, comme dit très bien Pierre. Mais (est-ce un effet de mon grand âge? ) je n'ai plus la patience de certains blogueurs pour supporter longtemps ce genre de truc. Donc oui, je vais censurer avec délectation tout ce qui ne me plaira pas, normal, je suis narcissique ne l'oublions pas. ;-)
Bisous cher Jdissa.
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@ Céleste
SupprimerAukazcouille voulait certainement te faire comprendre qu'il faut parfois savoir fermer le caquet des nuisibles pour se faire respecter...
Dis merci à la dame :-D
@ Jdissa
La souffrance n'excuse pas le mépris, la vindicte, la grossièreté, le manque d'éducation, ni même la mauvaise humeur lorsqu'elle est reportée sur les autres.
La vraie souffrance a besoin de fenêtres de soleil pour faire des pauses et le blog de Céleste en est une belle. Ce sont les nuisibles qui ne supportent pas de voir un coin de bonheur parce qu'ils sont eux-mêmes incapable d'en générer ou de le rencontrer.
Triste vie que la sienne, mais elle l'a choisie, donc pas de raisons de la plaindre.
Accolade e baci à la patronne
@ Cel & Blutch: c'est bien pour ça que je dis que "...nous n'avons pas de temps à perdre avec votre négativité."
SupprimerBaci à l'hôtesse et j't'en serre cinq, mon Blutch !
Dites-donc, faudrait bien qu'on s'organise un p'tit meeting tous les trois un jour que je serai/s en métropole...
@ Jdissa
SupprimerComme disait une gagneuse de mes connaissances: mieux vaut l'trottoir que jamais....
Ca fait un sacré bout de temps qu'on te fait des appels du pied pour nous avertir quand tu rentres en civilisation...
Donc, soit on attend tes dates, soit on en défini une et tu rappliques en expliquant à ton boss que tu as besoin du bateau illico parce que des potes ont mis des bouteilles au frais...
A quand tu veux (ou presque)
Quelle bonne idée !
SupprimerOn va essayer de s'organiser ça... ^^
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Mon Blutchy, je crois qu'on va devoir attendre mes dates, parce que si mon boss est un joyeux drille après le service ou dans le privé, il a aussi des barrettes dorées sur les épaules et il y a des sujets sur lesquels il refuse de transiger. Et je doute qu'il accepte de demander qu'on me prête (c'est pas lui qui décide) le Marion Dufresne (120m de long, quand même) pour un aller-retour du vikind !
SupprimerD'autant que j'ai juste le permis Zodiac, moi !
Mais on va y arriver : où il y a une volonté, il y a un chemin ! Alors si en plus il y a des bouteilles au frais !
Dommage, ça aurait de la gueule de voir ta coquille de noix remonter le Rhône ou la Loire....
SupprimerMais je prends date que ce seront les tiennes...
Vous me direz quand même, tous les deux ?
Supprimerje n'aimerais pas louper ça !
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Hop, j'enjambe soigneusement le vilain crachat déposé juste au dessus, pour te féliciter, Célestine de la longévité de ton blog et pour l'intérêt manifeste qu'il suscite. Je suis toujours épaté par le nombre de satisfactions exprimées par tes lecteurs :)
RépondreSupprimerJe ne sais plus depuis combien de temps j'ai découvert tes écrits mais je me souviens très bien dans quelles circonstances nous nous sommes "rencontrés", sensiblement parlant. C'est cette sensibilité que j'aime partager avec toi, davantage dans la sincérité du tête à tête que sur le devant de la scène ;)
Un merci particulier pour la musique, qui met un nom sur un chant ramené à ma mémoire, exhumé des temps anciens, quand il était chanté autour d'un feu de camp.
J'en ai trouvé une autre version ici : https://www.youtube.com/watch?v=DaMd_DHnsJI
Et un autre merci pour l'honneur que tu me fais de donner une place de choix à ma photo (garantie sans retouches, en effet)
Je te remercie Pierre, de ton passage tardif mais qui néanmoins va me permettre de passer une bonne nuit.
SupprimerJe suis aussi toujours sincèrement étonnée de l'engouement et de la bienveillance de mes lecteurs. Etonnée mais en même temps pleine de gratitude pour leurs mots. Même si j'ai eu droit à mon "ofildebois" comme toi, tu te souviens ?
La chanson corse est magnifique et très émouvante, elle donne en effet des envies de feux de camp, serré en toute confiance contre un ami pour lutter contre la fraîcheur de la nuit.
Pour ce qui est de ta photo, je l'ai immédiatement aimée, et trouvée sublime. Je t'ai déjà dit tout le bien que je pense de ton talent photographique. Et notamment de ces effets de flou derrière le sujet très net, qui me laissent toujours muette d'admiration.
Les autres photos sont en harmonie avec la tienne.
Décidément cette chanson est très belle.
Elle va bercer ma nuit
Bises palpitantes
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Un excellent huitanniversaire au petit blog qui devient grand !
RépondreSupprimeret, même si quand on aime on ne compte pas, j'lui en souhaite encore dix fois autant (au moins)
Merci beaucoup cher Dodo. Un grand plaisir à aller te lire, que je dois à l'agenda ironique.
SupprimerBelle journée !
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Merci Célestine, tout simplement MERCI !
RépondreSupprimerMerci à toi, chère Eva.
SupprimerUn gros bisou spécial pour toi, prends soin de toi.
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J'aime la photo de la fraise des bois qui pleure. Même en ce jour d'anniversaire.
RépondreSupprimerJe me souviens de beaucoup de moments forts de ces huit années, et des visites chez ceux qui te sont si fidèles. C'est sympa de vieillir ensemble. Je t'embrasse Célestine.
Tu fais partie de mes plus anciens commentateurs, Anne étoilée, et je te remercie pour ta fidélité.
Supprimerbeaucoup de mes anciens lecteurs ont disparu, certains sont même partis pour un monde meilleur, d'autres ont arrêté de bloguer ou ne viennent simplement plus commenter...
Mais chaque morceau de chemin partagé fut une expérience enrichissante.
Et c'est vrai qu'il y en a eu des moments forts...
¸¸.•*¨*• ☆
Bon anniversaire et continue à nous adresser de beaux billets. Une question me taraude: comment arrives tu à répondre à tout le monde. Cela doit demander une sacrée gestion de ton temps .
RépondreSupprimerTu sais quand on a eu pendant si longtemps des classes de trente élèves qui réclamaient tous de bons soins comme si la maîtresse n'était là que pour eux, on apprend à gérer le temps...Et puis j'aime répondre à tout le monde. Dans la mesure où le commentaire est respectueux bien sûr ^^
SupprimerJe ne sais plus comment je t'ai rencontré, Daniel, mais j'ai beaucoup appris en te lisant, et je me suis améliorée, notamment dans la gestion...de mes émotions.
De cela je te remercie, ainsi que pour ta positivité et ta bonne humeur !
Bisous reconnaissants
¸¸.•*¨*• ☆
C'est très gentil...Mais attention je ne suis ni un sage, ni un donneur de leçons. Je suis comme tout le monde. Je chemine, j'avance, je cherche, je vis des expériences et j'essaie, comme toi, de les partager. Je crois bien que le partage est l'un des moteurs de ma vie. Les cours de yoga sont ma tasse de thé !!
SupprimerSi si, tu es un sage, Daniel, je confirme. En tous cas, tes mots m'apprennent souvent la sagesse. ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
je me demande si tu n'as pas une secrétaire fictive pour pouvoir répondre à tes nombreux admirateurs
RépondreSupprimerbises
☺☺☺
jak
Oui, je la paie assez bien d'ailleurs... ^^
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Déjà que tu as une insistante blogodenfer, je trouve que tu cumules...
Supprimer^^
SupprimerMerci à toi et bel anniversaire et pourvu que tu nous enchante encore longtemps de jolis textes, que tu nous fasses réfléchir, que tu nous accompagne et pourvu que tu ries encore longtemps, que tu danses et que tu chantes et parfois même que tu pleures car pleurer c'est ressentir des émotions, c'est vivre... bisous à toi que j'aime de plus en plus
RépondreSupprimerTu es si gentille, Brizou. je suis touchée par ton commentaire émouvant.
SupprimerOui je vais continuer, j'espère ne pas te décevoir.
Je t'embrasse du fond du coeur
¸¸.•*¨*• ☆
Huit ans, je vois bien ce que ça fait...vu que j'ai commencé à "bloguer"
RépondreSupprimerexactement à la même époque : en février 2009...
C'est à la fois long et court...et le temps passe vite quand on est avec des amis, ou des gens qu'on aime lire...
Je ne te connais pas depuis plus d'un an mais je suis , comme tout le monde -o u presque, mais les exceptions confirment la règle - tombée sous le charme de tes mots et de ta joyeuse énergie...
Longue route encore sur le chemin des partages d'amitié et de création...
Que l'enchantement continue ! :-)
Merci chère Licorne.
SupprimerFévrier 2009...je me souviens que le ministre de l'éducation de l'époque avait décidé de "payer des gens pour surveiller ce que les enseignants écrivaient sur internet " ça m'avait piqué au vif...j'ai décidé d'ouvrir mon blog...
Je ne l'ai jamais regretté. C'est une super expérience.
Quant aux "exceptions", elles confirment surtout que ne pas plaire à tout le monde est un gage de réussite... ;-)
Merci pour tes jeux d'écriture et tes belles photos. Merci aussi pour tes engagements écologiques et coopératif.
Bisous solidaires
¸¸.•*¨*• ☆
Magnifique texte et les photos sont à l'unisson !
RépondreSupprimerJoli parcours 8 ans !
Je t'embrasse pour l'occasion et bonne 9 ième année qui commence !!
Je ne sais plus comment j'ai fait ta connaissance (je pense que c'est par les Plumes)...mais je sais que j'ai toujours apprécié le ton de ton blog, tes chroniques, ton humour, tes coups de coeur.
SupprimerTe souviens-tu du billet que je t'avais consacré ?
Merci et gros bisous
¸¸.•*¨*• ☆
Bon anniversaire à ton blog, c'est encore un bébé superbe.
RépondreSupprimerMerci Heure Bleue. Ravie d'avoir franchi un jour la porte du tien, et de celui de ta tendre moitié...
SupprimerJe me souhaite la même longévité !
Bisous
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Heureux anniversaire de blogue, Célestine, surtout qu'il me paraît maintenant, que tu as le temps libre pour t'y consacrer - pour ton bonheur et le nôtre - IL me donne parfois envie de te connaître en vrai. Mais c'est déjà bien de te lire ici ou de regarder tes images là-bas o:)))
RépondreSupprimerPromis, la prochaine fois que je vais à Bruxelles, je te le dis.
SupprimerMerci Pivoine, j'apprécie beaucoup de t'avoir rencontrée chez notre cher Boss Walrus.
A tout bientôt
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Huit ans que tu sèmes tes mots, tes phrases sous la forme de textes très poétiques qui traduisent une culture littéraire avérée et une sensibilité à fleur de peau.
RépondreSupprimerUne sensibilité qui t'ouvre la possibilité de nous offrir de superbes périphrases et métaphores que certains doivent t'envier, style d'écriture que tu sembles manier avec célérité.
Ce texte est un bel hommage à ceux et celles qui viennent te lire, ceux qui te suivent, les lecteurs fidèles, ceux qui viennent d'arriver et ceux qui sont partis, lassés des blogs ou attirés par une autre activité.
Ce billet, ce texte poétique est à l'image du blog lui même : riche, divers et beau. Continue ainsi, tes fidèles ne t'abandonneront pas.
Je suis vraiment touchée par ton commentaire, cher ami. Je ne sais que dire, si ce n'est redire mon plaisir d'avoir des lecteurs attentifs et bienveillants.
SupprimerC'est un vrai plaisir quotidien. (ou presque)
A très bientôt.
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C'est magnifique, merci!
RépondreSupprimerJe souhaite davantage de jours plume et moins de jours enclume sur ta route ♥
C'est gentil ma Cathy.
SupprimerJe me souviens très bien t'avoir rencontrée chez Petit Singe vert qui a fait faux bond à la blogosphère, mais toi tu es restée, et ton blog tout pelucheux est un petit havre de paix et de douceur bien agréable dans ce monde de brutes.
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Bien bon anniversaire à ton blog Célestine!!!
RépondreSupprimerC'est très gentil d'être passée par ici, Chri.
SupprimerReviens quand tu veux.
Merci beaucoup.
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Vous découvrir un jour a été l'enchantement de mes journées.
RépondreSupprimerJe suis tellement heureux de vous lire. Je l'espère, encore longtemps.
Ne doutez pas de la lumière que vous dispensez à chacun, délicieuse, et laissez passer les ombres.
~L~
Je l'espère aussi, cher Lorenzaccio.
SupprimerCar vos commentaires toujours élogieux et bien tournés apportent ici une touche d'élégance inimitable.
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Ce que j'aime bien dans cette affaire d'import export entre les blogs, ou plutôt dans cet échange d'images de chez nous et de partout, c'est qu'il n'y est pas question d'argent. A l'extrême limite parfois, de vif-argent ? ;-)
RépondreSupprimerContinue à nous enchanter, Céleste nièce !
C'est un plaisir de chaque instant que tu appelles le vif-argent ? ;-)
SupprimerJe vais continuer, mon oncle adoré !
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« Les jours plumes et les jours enclumes »
RépondreSupprimerJ'adore. Vos mots sont dignes des photos présentées et les photos honorent vos mots. Un mariage parfait quoi.
Grand-Langue
Merci beaucoup, ami du bout du monde.
SupprimerCet anniversaire aurait été incomplet sans vous ;-)
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Oh! Que tu écris joliment, Célestine! Ce post est une pure merveille, finement ciselée. On y sent toute ton humanité, ta richesse, ta fraîcheur, ta curiosité de l'Autre et de la vie. permets-moi de te dire un grand "merci" pour tout ce que tu sais donner. Et pour la manière avec laquelle tu sais recevoir. Et naturellement... heureux anniversaire et longue vie à ce blog! D.
RépondreSupprimerMerci du fond du coeur Dad...
SupprimerSi tu savais comme tes mots me touchent, même si je les découvre tardivement ...
Je t'embrasse
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Huit ans, ce n'est pas rien ! Ça en fait des "bulles" de mots et d'autres merveilles dont tu as le don pour nous émerveiller et nous remettre le coeur à l'endroit quand il avance de guingois... Alors, je souhaite être encore là dans huit ans pour te lire et te dire combien j'aime ta prose, ta poésie et la lumière bienfaisante qui s'en échappe. De gros bisous ma belle au coeur de fontaine cristalline♥ Et bon blog-anniversaire, comme le veut la tradition ! ;)
RépondreSupprimerEt bien sûr des bisous en pluie d'étoiles pour le bleu de tes yeux ! ;)
RépondreSupprimerMerci douce amie de plume (aux deux sens du terme, car je n'oublie pas que ce sont tes célèbres "Plumes" qui m'ont permis de te connaître.)
RépondreSupprimerC'était important de marquer le coup, même si huit ans n'est pas un chiffre rond, c'est quand même un joli chiffre .
Merci pour la fontaine cristalline, j'essaierai de rester à la hauteur de cette belle phrase.
Je t'embrasse en étincelles
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J'arrive un peu tard mais Dieu que c'est beau.... Déjà huit ans ? Le temps passe si vite auprès de tes mots, toujours aussi divins. Personne n'écrit comme toi, c'est comme une musique... céleste. Je n'ai pas trouvé d'autre mot, il s'impose. Merci pour toutes ces pépites au fil des années.
RépondreSupprimerTu es une de mes plus anciennes fidèles, Myo...
SupprimerEt ces huit ans ont passé comme l'éclair...
Mon numéro 3 avait treize ans, il en a vingt-et-un... tu te rends compte...
je suis touchée par tes mots.
Ils me confortent dans l'idée que la blogosphère est un endroit formidable !
Je t'embrasse, sister.
Vive nous !
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Comme c'est beau, comme ça respire ... Quelle passion !
RépondreSupprimerBravo pour ta constance et ta plume si vive et pleine de talent !
Longue vie à tes émotions livrées et délivrées ... à tes blogueurs fidèles et à toi !
Je comprends bien que tu chérisses ce lieu, à nul autre pareil ...
Moi aussi j'ai rencontré des âmes, parmi les plus belles sur le de ma vie, dont certaines sont devenues proches, au moins dedans mon cœur.
Rester soi-même, rester vraie.
Je t'embrasse pour cette fête pleine d'émotion.
Je suis comblée.
SupprimerJe crois que quasiment tous mes lecteurs sont passés me souhaiter un bon anniversaire, les plus récents comme les plus anciens, fidèles, comme toi...
Décidément tu as bien fait de passer ce soir, Véronica.
Je me sens regonflée à bloc.
Oui, je chéris ce lieu, même virtuel, il m'apporte de grands plaisirs renouvelés.
je t'embrasse en bulles d'étoiles
¸¸.•*¨*• ☆¸¸.•*¨*• ☆¸¸.•*¨*• ☆
Encore un article somptueux !
RépondreSupprimerFichtre, il me reste encore 8 ans de poésie à lire, et les jours ne font que 24 heures ! Je vais continuer à remonter le fil de ta plume avec plaisir, toujours en égrainant l'aventure de temps en temps ☺
Tu me réjouis, landrynne !
SupprimerMerci pour ta fidélité, tu me permets de relire de vieux billets que j'avais un peu oubliés...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆