Photo Céleste |
Les crépuscules d'hiver sont sublimes ici, dans la Drôme des Collines. Le ciel reste lourd et bas toute la journée, et soudain devient poète à seize heures. Musicien des couleurs. Enflammant l'horizon, et projetant une lumière étrange, presque surnaturelle, sur le chêne aux maigres feuilles. C'est beau, non ?
Quand je pense que nos lointains ancêtres avaient peur chaque soir que le soleil ne reviennent pas le lendemain. Apeurés par ignorance. J'ai perdu mes peurs une à une. J'ai appris à vivre en clarté. Les ombres mauvaises m'ont quittée. J'aime allumer des chemins de ma nuque à mes reins. Tracer du bout des doigts l'amour et le désir, qui tendent le ciel et les étoiles. Ouvrir l'horizon de mes bras. Et poser comme une framboise ma bouche sur ton coeur.
J'ai pris un temps d'inspiration derrière la vitre. Le moment m'a saisie. Tiens, j'y pense...aujourd'hui, c'est la sainte Luce.
L'étincelle de joie des jours qui avancent du saut d'une puce. La fête des optimistes impénitents. L'ingénieur son et lumière céleste a produit, pour la célébrer, un de ses plus beaux spectacles.
Tout est déjà dit, du vivant, de ce mystère insondable du noir, du blanc et de l'arc-en-ciel. Et tout est pourtant à redire, chaque jour, parce que c'est un miracle.
Quand je pense que nos lointains ancêtres avaient peur chaque soir que le soleil ne reviennent pas le lendemain. Apeurés par ignorance. J'ai perdu mes peurs une à une. J'ai appris à vivre en clarté. Les ombres mauvaises m'ont quittée. J'aime allumer des chemins de ma nuque à mes reins. Tracer du bout des doigts l'amour et le désir, qui tendent le ciel et les étoiles. Ouvrir l'horizon de mes bras. Et poser comme une framboise ma bouche sur ton coeur.
Le mien fait des sauts de puce en écoutant tomber la nuit. Dans tes bras elle sera douce et chaude comme un édredon de plume.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆•.¸¸.•*`*•.¸¸•.¸¸.•
Je reconnais dans ton ciel d'au delà les nuages ceux que j'admire parfois chez moi. Je le contemple, un peu rêveur, quand j'ai la chance d'être chez moi à l'heure si précoce du coucher de soleil hivernal. Sainte Luce... je crois que c'est par toi que j'ai appris la distinction avec le solstice qui, pour ma part, reste ma référence du retour vers l'allongement diurne. C'est un petit plaisir à ne pas dédaigner que de se savoir aller vers l'allongement des jours :)
RépondreSupprimerIl est très beau ton paysage, avec sa longue perspective et son chêne.
Quant à l'horizon des bras et la bouche framboise... je me contenterai de l'imaginer.
Bonjour Pierre,
SupprimerSe contenter de l'imaginer, c'est se contenter de peu :D
«C'est un petit plaisir à ne pas dédaigner que de se savoir aller vers l'allongement des jours :)»
SupprimerTu as raison, même si c'est un tout petit peu en contradiction avec mon billet « saisons »... Une contradiction apparente seulement, car j'aime l'hiver. Mais il est vrai que la lumière est importante pour moi, et qu'en hiver, on en manque un peu...
Sinon, je suis d'accord avec Julie : pourquoi se contenter de l'imaginer alors que tu pourrais (largement) le vivre ? Mais je sais que c'est un sujet qui te tient à coeur et loin de moi l'envie de te mettre mal à l'aise...
Pour le paysage, je confirme : c'est une merveille de vue.
Je t'embrasse
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
@ Julie, se contenter de peu c'est déjà se contenter. Vouloir davantage que ce que l'on peut pourrait bien être source de mécontentement, voire de frustration ;)
Supprimer@ Célestine, je n'ai vu nulle contradiction entre le plaisir à vivre une saison et celui de voir poindre l'aube de la suivante. Se réjouir de chaque jour n'empêche pas de le faire aussi en pensant à ceux qui arrivent... et même à ceux qui s'éloignent. C'est un peu la même chose pour ce qui est à vivre : se réjouir (c'est mieux que "se contenter") de ce qui est accessible au présent.
Bises contentes
"Vouloir davantage que ce que l'on peut" ?
SupprimerD'après Celestine, il semblerait que le "pouvoir" t'appartient largement...
Je dis ça comme ça :D
C'est un vrai débat philosophique par ici !
SupprimerLa volonté est une chose très controversée : tout le monde en a-t-il, ou est-elle plus ou moins bien partagée ?...On en revient à mon billet « jusqu'au bout »...
Je fais partie de ceux qui pensent qu'on a le pouvoir de changer sa vie, par les décisions que l'on prend.
Mais je suis aussi de ceux qui pensent qu'il est bon de se réjouir de ce que l'on a, à l'instant T. Simplement, je n'ai pas l'esprit sacrificiel, et je rajoute donc : il est bon de se réjouir de ce que le présent nous offre, si toutefois ce qu'il nous offre est satisfaisant. Parce qu'alors, dans le cas contraire, c'est là qu'intervienne le mécontentement et la frustration.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
En tout cas, c'est comme cela que j'ai essayé de construire ma vie. Pas après pas.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
@ Julie, une petite citation : « Être libre ce n'est pas pouvoir ce que l'on veut, mais vouloir ce que l'on peut ». Le jour où j'ai découvert cette phrase de Sartre, j'ai ressenti un bienfaisant soulagement. J'ai trouvé ce renversement du "pouvoir" non omnipotent tout à fait juste. Certes, il y a bien une question de volonté, quand il s'agit d'obtenir quelque chose, mais aussi de capacité. Ce serait une illusion de croire que la volonté suffise. Et ce peut être lourd à porter, et même culpabilisant, de ne pas parvenir à ce que l'on veut. Sentiment d'échec, d'être nul et littéralement "incapable" (terme abusivement péjoratif).
SupprimerAlors que s'accorder cette possibilité de « n'être pas en capacité de » permet de relativiser la part de responsabilité qui nous incombe. Avoir intégré cela est fondamental dans les métiers d'aide et d'accompagnement, par exemple, ou d'enseignement, et d'apprentissage.
@ Célestine, c'est bon un peu de philosophie sauvage :)
Tu as raison, cet échange va dans le même sens que ton billet d'il y a quelques temps (je l'avais lu sans le commenter).
Et là tu traduis bien ce que j'ai voulu dire : « Il est bon de se réjouir de ce que le présent nous offre, si toutefois ce qu'il nous offre est satisfaisant. » La seconde partie de la phrase nuance avec justesse la première.
Bises philosophiques
Mon cher Pierre, (tu permets ?) :)
Supprimer"La philosophie, c'est l'art de se compliquer la vie en cherchant à se convaincre de sa simplicité." F. Dard.
Sur le fond, tu as sans aucun doute raison. Cependant, la dernière partie de ta phrase me fais (tendrement) sourire...
« Il est bon de se réjouir de ce que le présent nous offre, si toutefois ce qu'il nous offre est satisfaisant. »
Donc, mon humble analyse de cartésienne pointilleuse que je suis est la suivante : tandis que notre adorable Maitresse offre l'horizons de ses bras... framboise sur le cadeau, tu te contantes de rêver pour t'éviter une éventuelle frustration.
Soit ! Mais dans ce cas, les joli bras de notre Maitresse vont surement se sentir offensés... :P
Merci pour tes belles paroles, et de m'avoir prise au sérieux ;)
Bonne journée, Pierre, douce journée Maitresse.
Ma chère Julie (oui, je permets, et j'espère que Célestine permet que l'on squatte ainsi son fil de commentaires...)
SupprimerPermets-moi aussi de ne pas être d'accord avec Frédéric Dard ;)
Je me demande si nous ne sommes pas dans des quiproquos puisque "ma" phrase que tu cites est celle de Célestine, que je reprenais. Et surtout que « l'horizon des bras et la bouche framboise », que je me contentais d'imaginer, pourrait bien ne pas correspondre à ce que tu sembles imaginer que j'imaginais (ça c'est pas de la philosophie, mais ça devient quand même compliqué). Bref, nulle offense envers les bras de Célestine et leur horizon, qui m'ont ouvert à d'autres pensées :)
Merci pour cet échange et pour l'hospitalité de Célestine
Mes chers Pierre et Julie
SupprimerJe suis aux anges que vous utilisiez mon fil de commentaires. C'est toujours intéressant de débattre, et loin de moi l'idée de m'offusquer de quoi que ce soit.
En ce qui concerne ma petite phrase, je ne faisais qu'exprimer mon propre vécu : je me suis longtemps contentée de ce que j'avais, en essayant de positiver une relation qui ne me satisfaisait plus. Et puis il arrive un jour où on ne se satisfait plus (même en positivant) et c'est là qu'on se met en route pour changer sa vie.
Bisous à tous les deux
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Accord parfait du texte et de l'image !
RépondreSupprimerNe me cache rien, tu es une fée, hein ?
Comme si tu ne le savais pas...😊😊😊
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
@Walrus : Fée-Céle, Rians que ça ! :)
Supprimer@julie
SupprimerQue ça fait du bien ces espiègleries !
J’adore.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Habitués depuis la naissance à voir le jour chaque matin, nos lointains ancêtres avaient surtout peur de "se réveiller morts" dans un estomac de bête...
RépondreSupprimerCertes. Mais la peur de la mort est toujours présente, des millions d'années après...
SupprimerJe pensais plutôt à ces fêtes pour célébrer la lumière, qui avaient bien pour fondement la peur que le soleil ne se lève pas ou disparaisse...Une peur que Tintin exploita judicieusement en se servant d'une éclipse arrivant à point nommé, dans Le Temple du Soleil...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Enchantement des lieux et poésie de vos mots... vous rayonnez de bonheur Maitresse ;)
RépondreSupprimerJ'avoue, je crois que je n'ai jamais été aussi heureuse.
SupprimerEt sans culpabilité, en plus, c'est formidable.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tout est beau, la photo comme un tableau de Turner, le texte comme… du Grand Célestine quand sa plume édredon écrit son cœur.
RépondreSupprimerParfois je vois de tels crépuscules de ma fenêtre donnant à l'ouest sur de grands arbres urbains plus que centenaires. Tout à coup le soleil les enflamme l'espace de quelques minutes et glorifie la nuit naissante. Je me prends à penser que peut-être demain mon âme sera de la même joie que ce spectacle.
(Une jolie perle fine tout au début « le ciel […] devient poète à seize heures »)
Je savais que tu la verrais, ma petite perle...
SupprimerQuant à la plume édredon, c'est ravissant comme image.
Je prends !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Superbe texte Célestine et ce paysage est de toute beauté sous cette douce et chaude lumière. J'aime ces moments de fin de journée ♥
RépondreSupprimerMerci Denise
Supprimer❤️
savourer tous les p'tits bonheurs visuels et olfactifs, cueillir les mots doux! J'aime ça moi aussi!! ☺☺
RépondreSupprimerBisous Célestine ♥
Oui oui, je te sais adepte des plaisirs de la vie ! 😊
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ce qui est assez formidable sur ce blog c'est que c'est aussi beau de le regarder que de le lire.
RépondreSupprimerBleck
C'est un peu ma petite oeuvre d'art, ce blog...
SupprimerEt ça me fait plaisir quand tu viens y faire un tour...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est à dire que tu publies à nouveau assez fréquemment, plus fréquemment que mes visites mais je vais m'adapter.
SupprimerBleck
J'avais prévenu que j'allais changer et remuer un peu ce vieux blog ronronnant...
SupprimerApparemment ça a l'air de plaire à certains de mes lecteurs.
Alors ça me réjouit.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tu rayonnes de Bonheur Célestine. Ca fait chaud au coeur ..il y a une forme de contagion. Merci à toi.
RépondreSupprimerJ'avoue préférer, de loin, cette contagion à toute autre à la mode... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Quel bel hymne à l’amour dans ta dernière partie
RépondreSupprimerQu’il doit être doux d’être aimé de toi !
bises ma chère Célestine
j ♥ ta nouvelle bannière
Il faudra demander à l'intéressé, mais je n'ai pas eu de plaintes...
SupprimerPour la bannière, je suis restée dans yaoyao que j'adore. Merci Jak !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Pétard, le climat de la Drôme réussi aux bambous ! Sitôt plantés, qu'ils sont déjà grands. peut-être l'effet céleste et magique d'une framboise sur un cœur, ou deux cœurs sous un bon gros édredon.
RépondreSupprimerJe vois que chez toi aussi, le soleil fait son show d'où, doux. Il arrive souvent que par des journées un peu grises, avant que le soleil ne tire sa révérence, il vient saluer son public dans une fête des lumières.
Rien de comparable avec ce show que j'ai vu de mes yeux, en live, c'était beau. Ici, (clic)
Jolie la fête de la Lumière à Saint Jean.
SupprimerJ'y suis allée plusieurs fois mais il y a vraiment trop de monde à Lyon à cette occasion. C'est oppressant.
En ce qui concerne les bambous...c'est vrai qu'ils ont déjà une bonne taille à la base. On n'a plus l'âge de planter des arbres de 30 centimètres de haut...
Les boutures, c'est un truc de jeunes qui ont beaucoup de temps devant eux. ;-)
Bisettes cher Didier
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Un soleil vagabond qui pose ses mains tendres sur ton horizon,
RépondreSupprimerça me donne des frissons.
J'aime ses soleils roux qui réchauffent le cœur, charment le regard,
pour doucement faire venir la nuit et sa farandole de délices.
Bises solaires.
Une farandole de délices...c'est très joli.
SupprimerLes bonheurs de la nature et de l'amour...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Quelle belle lumière Célestine !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce jour de la sainte Luce qui nous ramène un saut de puce de soleil en plus, et ton solstice d'hiver m'a guidée pour répondre à la page 188 de l'Herbier de poésie, qui paraitra lundi sur Emprises de brises, alors je ne te le met pas ici.
Je t'embrasse
Ah je vais courir voir ça !
SupprimerBisous fidèle Marine
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Coucou. Il y a donc des framboises qui poussent au crépuscule de décembre dans la Drôme? Ou alors je n'ai rien compris à ton texte? :-) Bises alpines et profite de la douceur des jours.
RépondreSupprimerCes framboises-là poussent en toute saison sur les cœurs amoureux… et je sais que tu sais…
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Comme c'est romantique !!L'amour est essentiel pour vivre intensément. C'est un bon carburant énergétique !
RépondreSupprimerC’est ce que j’ai dit à ma prof de yoga, quand elle nous demandait comment on boostait nos défenses immunitaires au quotidien…
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est mignon,joli et beau
RépondreSupprimerLes trois à la fois ce qui est rare.
Et charmant par dessus le marché.
Heureux est-il, et toi aussi.
Bises.
Nous le sommes ! Et je crois que c’est bien de partager ce bonheur avec d’autres moins chanceux.
SupprimerOn leur donne de l’espoir.
Merci cher Aldor
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Célestine ma rêveuse préférée
RépondreSupprimerAvec plaisir j’accepte ce titre !
SupprimerBisous 😘
J'ai lu relu votre texte, je dois avouer que trouve un sens différent à chaque nouvelle lecture. J'en suis arrivé à deux interrogations? Un sens sensuel, et l'autre beucoup plus un sens spirtituel, voir même peut être réligieuse! Ceci dit l'image est envoutante.
RépondreSupprimerM’est avis que « Sylvie » est un robot informatique qui amène le lecteur vers un site marchand…
SupprimerEt un robot qui n’écrit pas très bien le français…
Mais bon…
Sylvie est un spam qui passe parfois chez moi.
SupprimerAlors que je ne souffre pas d'hyper-tension.
Désolée d'être ignorante, et de mal écrire le Français. Tout le monde n'est pas Hugo.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆•.¸¸.•*`*•.¸¸•.¸¸.• Laisse-moi poser comme une framboise mon gland décalotté sur ta fesse gauche, celle qui porte bonheur •.¸¸.•*`*•.¸¸☆•.¸¸.•*`*•.¸¸•.¸¸.•
RépondreSupprimerEuh ….voyons… Laisse moi réfléchir …
SupprimerEh bien … non.
Je ne laisse pas n’importe quel gland investir mon anatomie…
Bien tenté mais la balle est dehors.
Ouhla ce billet ! Ça commence par un ciel d'or et ça finit sous un ciel de lit où tu dors (ou pas :-) )....
RépondreSupprimerBien vu Myo.
Supprimer😘😘😘
Pierre BONNARD disait :
RépondreSupprimer" Il existe en peinture une nécessité à hausser le ton. Et les primitifs l'avaient compris, qui cherchaient les rouges , les azurs les plus ardents dans les coloris precieux : lapis-lazuli l'or et la cochenille".
Tu l'as bien compris toi aussi qui sors tes plus belles expressions colorées pour nous décrire un coucher de soleil en hiver...
Bises cochenillesques
J'aime bien la citation de Pierre Bonnard. Ton (presque) homonyme.
SupprimerHausser le ton, voilà un jeu de mots subtil.
Bises du lendemain
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je l'avais nommé La nuit la plus longue et puis j'ai préféré parler de la Sainte Luce,finalement !
RépondreSupprimerBisous Célestine
Je n’ai pas trouvé ton texte sur sainte Luce : mais peut être ai-je mal cherché …
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est joliment dit... Dans mon Sud secondaire, Phoebus nous gâte aussi.
RépondreSupprimerJe suis heureux de ton bonheur, tu l'as largement mérité.
Une petite musiquette ?
https://www.youtube.com/watch?v=nOXS_Giojgc
Molto baci Cara e TVB
C’est plus qu’une musiquette …
SupprimerJe me souviens que ma grand mère me la chantait déjà…
Merci pour ton passage blutchiamo
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Sur ce petit tertre ne manquent que Schmoll et Serrault... Sans oublier le troupeau de canards !
RépondreSupprimerJ’ai revu le film !
SupprimerEt en effet, le paysage est très ressemblant !
J'ai lu relu ton texte, je dois avouer que je trouve un sens différent à chaque nouvelle lecture. J'en suis arrivé à deux interrogations : un aspect sensuel et l'autre beaucoup plus spirituel voire même peut être religieux ! Cela dit l'image est envoûtante.
RépondreSupprimerComment ça, mon comm' est un plagiat ? Traite-moi de spam, pendant que tu y es !
LOL !
Je n’ai qu’un mot : excellent !
SupprimerÉtant une ignorante, j'ai quand même cherché le sens de plusieurs mots sur https://www.plagiarismchecker.co/fr, et encore une fois, au risque de me faire encore traiter de robot inculte, ne sachant pas écrire en Français parce que j’aurai fait quelques fautes de frappe, ou d’orthographe, je ne comprends toujours pas le sens de votre texte. Mais bon je suis peut être trop bête pour comprendre.
SupprimerSuperbement croqué. Délicatement dit. Zen, beaucoup.
RépondreSupprimerEt pour avoir vécu dans une moyenne montagne voisine (le Pays de Sault, au pied du Ventoux), je respire l'éclat de cette torpeur délicieuse, penchée au bord du jour.
Du coup, en lien... Un poLème que j'eusse pu te dédier.
A nous revoir, par-ci, par-là, maîtresse.
http://niak65poletique.canalblog.com/archives/2021/02/16/38819983.html
J'aime tes polèmes, mon Titi.
SupprimerEt celui-là tout particulièrement, moi qui suis à jamais une mademoiselle EN...D'ailleurs ne te l'avais-je point dit ?
Le pays de Sault : très jolie route bordée de chênes taillés. J'avais adoré la parcourir.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆