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16 novembre 2018

Petit bois derrière chez moi








Il faisait doux. J'ai marché. C'était revigorant comme un nectar.
Une longue marche inspirante et oxygénée au milieu de la forêt derrière chez moi. Oui, parce que derrière chez moi, désormais, il y a un petit bois. Et même une rivière. Et la lon la, lon lère. 
J'avais besoin de faire le point. Ma vie bascule dans un nouveau chapitre. Un peu ébouriffant. L'air y est plus pur. La liberté complète, presque vertigineuse. J'ai perdu certains repères très anciens, je me suis auto-déstabilisée, auto-délocalisée. Traversé les quarantièmes. J'en sors à peine.
Mais quel bonheur de me trouver, en chemin ! De me reconnaître. En accord avec moi-même.
J'ai consacré un an de ma vie à détricoter patiemment mon enfance, mes formatages, à explorer et à expliquer mes failles, mes écorchures. J'ai compris des tas de choses du passé.. 
J'ai soupesé, hésité. Réfléchi. Ça sert à ça, une thérapie. 
Et puis, j'ai largué les amarres. Je suis comme ça, je ne supporte pas l'à-peu-près, ni la médiocrité. Quand quelque chose ne me convient plus, j'en change. Je pars vers mon ailleurs.
J'ai travaillé sur moi, labouré mes friches, élagué, ressemé, écrivant patiemment chaque jour sur un espace un peu confidentiel, ce qui sortait de mes tripes nouées, torturées, parfois comme si je vomissais. Au plus profond de l'intime. J'ai gratté, récuré. Cela m'a demandé du temps, de l'énergie. Beaucoup de larmes. Divorcer d'avec son passé, ce n'est pas simple.
Le résultat est inespéré. 
Alors bien sûr, parallèlement, ce blog que j'aime tant s'est un peu vidé de sa substance. 
Mon côté obscur, tremblant et fragile, fougueux, instable, mon âme, en un mot, étaient là-bas, au-delà de ma lisière secrète. 
Ici, je suis devenue un peu convenue. Moins personnelle. Or ce qui plaît, ce qui excite, ce qui fait avancer le lecteur, je le sais, c'est la confidence authentique. Le partage de la vraie vie. Le vécu...
J'ai perdu en chemin de nombreux lecteurs auxquels je tenais pourtant. Je le regrette.
Oh bien sûr, pas vous, qui lisez ces mots aujourd'hui.  Vous êtes mes précieux et je vous respecte infiniment. Vous êtes là, indulgents et admiratifs.
Mais l'un d'entre vous me faisait remarquer tantôt que ça manquait franchement de profondeur par ici, et je dois reconnaître qu'il avait raison. 
J'ai envie de vous offrir autre chose. Je n'ai pas dit mon dernier mot. J'en ai encore sous la semelle. Je n'ai pas écrit mon dernier ressenti, ni ma dernière expérience, douloureuse ou émerveillée.
Je réfléchis simplement à une nouvelle formule, une ligne éditoriale singulière, plus dynamique, plus punchy. Une publication plus rythmée. A l'image du fleuve impétueux qui continue, plus que jamais, à inonder mes veines.
Et je vous garantis que je vais faire mon impossible pour que, dans quelque temps, vous sachiez tout de ma vie épantelante et sensationnelle. Sur un blog rajeuni et ragaillardi.
Souquez les artibuses, moussaillons ! La Célestine nouvelle arrive, le même jour, ou presque, que le Beaujolais. C'est-y pas un beau symbole, ça ?

Photo de ma soeurette


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141 commentaires:

  1. Hello. Je me pose une question. Si je viens ici, est-ce pour tout connaître de toi? Je ne pense pas non. J'ai toujours considéré que les auteurs de blog choisissaient eux-mêmes leur ligne rédactionnelle. Du coup, si cela ne me plaît pas, je ne viens pas. Alors je ne comprends pas ceux qui disent que ça manquait de profondeur...

    Il y a toujours eu des pépites de magie dans ce que tu écrivais. Mais si tu souhaites changer qqc, j'espère que ça vient de toi et non pas pour satisfaire tes lecteurs. Alors j'attends de voir la suite. Bises alpines.

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    1. Objectivement, je reste un peu à la surface depuis quelque temps, et c'est vraiment une remise en cause personnelle qui me fait du bien. Je suis quelqu'un qui doute structurellement. Et qui ne se satisfait pas de quelque chose qui ne lui convient pas, ou plus.Toi qui as connu « l'autre espace » tu sais que j'aime écrire dans la profondeur des choses.
      Les pépites de magie, ça me fait un bien fou de l'entendre. Bien évidemment qu'il y en aura encore et toujours dans ce que j'écris. j'avais juste l'impression que je n'étais plus aussi « magique » depuis quelque temps.Peut-être que ce billet sert juste à m'auto-rassurer...
      En tout cas, tu me rassures, frangine, et je t'en remercie.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  2. J'aime te lire tout simplement...Tes mots sont souvent touchants, vrais et m'aide ... Bravo pour ton "ménage"! A très bientôt

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    1. C'était un grand ménage, le plus grand de toute ma vie.
      J'en avais écrit les prémices dans ce billet-là.
      Si en plus tu me dis que mes mots t'aident...
      Merci Manou
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  3. Tu sais, on passe parce qu'on aime ce que tu dis et la façon dont tu le dis.
    On ne passe pas pour mater ce qui ne tourne pas comme prévu, se délecter de tes maux et souffrances divers.
    Bon, il y a des voyeurs qui se délectent du malheur du monde.
    Et tu vas les perdre.
    La belle affaire...

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    1. Ah mon cher Goût...Bien sûr envisagé ainsi. Mais mon ami avait quand même raison : mon blog va moins au fond des choses depuis quelque temps...et c'est normal, j'étais occupée par ailleurs.
      Et il est vrai que les billets qui racontent la vrie vie sont souvent les plus enrichissants, pour celui qui les écrit comme pour ceux qui les lisent.
      J'avais juste besoin de me remettre en question, de ne pas me contenter de ronronner, parce que je suis comme ça. il me faut du grain à moudre.Et quand les lecteurs se détournent, j'aime comprendre pourquoi.
      Mais je n'irai pas repêcher des voyeurs avec les dents. Ni les remueurs de m...du genre de ceux que nous avons eu l'occasion de croiser, toi comme moi. ;-)
      Je t'embrasse sincèrement.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  4. "ça manquait franchement de profondeur par ici".... par exemple, je ne le crois pas...
    On t'aime comme tu es, et si tu te renouvelles ça sera bien aussi !
    Un doux week-end à toi.

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    1. Doux week-end, oui, il le sera, ma douce Den. Comme tu le sais, la douceur m'accompagne en ce moment.
      Après mon petit coup de mou éditorial, je crois que j'ai repris des forces ce matin.
      Bisous étoilés
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Un coup de mou éditorial ? mais c'est bon, ça, c'est très bon !
      Tu étais déjà excellente, tu vas être sublime.
      Allez, souris !
      :)

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    3. Ben oui, on n'est pas toujours au top...
      je sais, je pense trop. Mais j'assume complètement !
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  5. Je suis un peu admiratif, personnellement je ne sais pas me confier, difficilement avec des gens que je connais, et à bien y réfléchir ce serait même assez superficiel, alors sur un blog !!!!!
    Sans doute une éducation "à l'ancienne", ou il était de mise de "garder pour soi", un garçon ça ne pleure pas, etc...
    J'aime beaucoup la photo de P.S.V ! ];-D

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    1. PSV me manque beaucoup. En voilà un blog qui était chouette...
      mais ma soeurette préfère face de bouc...dommage !
      Tu sais, tu te confies beaucoup, malgré tout, même si tu ne dis pas les choses de manière frontale. On fait toujours passer de soi dans ce que l'on écrit...
      Les vieux clichés qu'on nous a martelés sont fait pour voler en éclat : oui un homme ça pleure, puisque ça a des sacs lacrymaux. Et c'est beau et émouvant un homme qui pleure.
      baci caro mio
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Bien sûr ça pleure un garçon !
      Et un cricket qui pleure c'est pathétique parfois. N'empêche !
      C'est bon de pleurer, Andiamo, ça lave de l'intérieur.Si si, je t'assure !
      Et Céleste, tu me fais souvent mouiller les yeux : mais de bonheur seulement !
      :)

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    3. Un cricket qui pleure, ça doit être mignon...
      Ça fait des années que je me tue à le dire à Andiamo...Mais bon... ;-)
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    4. J'aimais lire les doux délires de PSV sur mon blog!

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    5. Moi aussi, et d'ailleurs c'est comme ça que je t'ai connue.
      Il nous manque ce petit coquin de PSV...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  6. Moi je crois que je viens te lire que depuis à peine un an, aussi, même si je musarde parfois dans les notes anciennes, il me semble ne trouver que profondeur et grand intérêt à tes écrits, pensées et références.
    Si cela devien beaucoup plus "profond", je ne serai sûrement pas à la hauteur. Ce n'est pas grave, je ne manquerai pas beaucoup à l'apport des très beaux commentaires que je lis ici...
    Dis-donc, un an de thérapie, c'est super rapide, non ?
    Belle, très belle continuation à toi incroyable Céleste.
    Je t'embrasse,
    eMmA

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    1. C'était ce que l'on appelle une thérapie brève...jamais complètement fini, mais ça va mieux. j'avais besoin de comprendre certaines choses non résolues après la mort de mon père.
      Je suis, de toutes façons, une rapide...
      Jamais je ne pourrais imaginer que tu ne sois pas à la hauteur,, chère eMmA.
      Quand j'ai dit profond, ça peut être léger en même temps. Et en tout cas accessible, et jamais nébuleux.
      L'art conceptuel et les circonvolutions intellos n'ont jamais été trop ma tasse de thé...
      Rassurée ?
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Dis donc, « je ne manquerais pas beaucoup » ça ne serait pas de l'auto-dévalorisation, ça ?
      Tu me manquerais énormément, sois en persuadée. Et je ne dis pas ça en l'air.
      Tes engagements et ton activité artistique font de toi une très belle personne.
      J'ai ma petite boite magique devant moi. Elle m'a porté bonheur.
      Bisous ma belle
      ♥︎

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  7. "L'un d'entre vous me faisait remarquer tantôt que ça manquait franchement de profondeur par ici"... Euh... Ça a comme un petit goût de "quelqu'un ici n'est pas à la hauteur" (j'aurais voulu l'écrire en italique mais c'est pas possible), et pour tout dire, ce n'est pas forcément celle à qui "l'un d'entre vous" a l'air de penser.
    D'abord il me semble (évidemment je peux toujours me tromper, comme tout le monde) qu'un blog, c'est une forme de rendez-vous que l'auteur est seul à provoquer. On ne peut jamais être sûr que le désir sera réciproque. C'est d'ailleurs pour ça que c'est si jouissif quand ça fonctionne, hein!
    Ensuite, il faut (toujours à mon sens) bien faire gaffe à ne pas être frappé du syndrome de "l'image de marque" (toujours pas d'italique, flûte) aka "de quoi faut-il parler, avoir l'air pour leur plaire"? Un peu comme si les lecteurs (qui ne sont pas forcément commentateurs) étaient une armée d'examinateurs en mal d'étudiante ayant fait l'impasse sur le sujet du bac.
    Le risque, c'est de se contraindre soi-même à rectifier sans cesse ses idées en fonction de l'effet qu'elles font. Et si tu es dans un mood léger, où est le problème? Hein? Il est où? Qui a donc décrété un jour que le joli, le badin, le futile, le frivole, c'était LE MAL?
    C'est bien d'avoir des contents et des mécontents, des amusés et des séduits et puis des furieux, des d'accord et des pas d'accord, et puis des indifférents... forcément.
    Dans un blog au fond se côtoient les humeurs d'une vie, comme dans l'existence, blog qui rit blog qui pleure, blog qui vit. Et on n'a pas forcément d'aller tutoyer l'obscurité des abysses pour ça. Le soleil en surface est tout aussi primordial.
    Pouf! J'ai sorti tout ça d'une traite, sans relire, alors j'espère qu'il y a moins de fautes que la dernière fois, mais c'était juste pour dire c'est Ton blog et tu y fais ce que Tu veux, m'enfin!
    Bises mmphhh...

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    1. Et on n'a pas forcément BESOIN d'aller... Je savais bien que je louperais au moins quelque chose :-D

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    2. Comme je le disais plus haut, je ne fais pas forcément rimer « profondeur » avec « abysses »
      Loin de moi l'idée aussi de calquer mon écriture sur les « envies ou non-envies de mes lecteurs » J'ai passé ce cap depuis longtemps. Et d'ailleurs j'en ai fait (et toi aussi) l'expérience pendant un an. Ecrire ce que je voulais, comme je le voulais, et même ce que je renâclais à exprimer, parce qu'il « fallait que ça sorte »
      Je m'interrogeais juste sur la désertion de certains lecteurs, ceci dans une espèce de remise en perspective tranquille de l'acte d'écrire. De mon acte d'écrire, qui est éminemment important pour moi. En me demandant simplement quelle tournure j'allais faire prendre à cet espace. J'ai besoin de faire le point, je crois que c'est en moi, ça. J'avance par petits bonds, en tenant compte des panneaux indicateurs et des loupiotes sur le bord du chemin.
      Tes avis, par exemple, chère Baladine,me sont toujours très utiles et inspirants. Précieux. Bousculants aussi parfois, et c'est ce que j'aime.
      Et je me poserais la même question si du jour au lendemain tu ne venais plus. Sans chercher forcément à te faire revenir, mais juste pour comprendre, simplement.
      Il me semble que c'est humain d'éprouver ce genre d'interrogations. En tout cas, c'est ma façon d'être humaine.
      J'aime les gens qui doutent comme dit la chanson.
      J'aime les gens qui évoluent, qui se remettent en question, et qui sont prêts à accepter la critique et à avancer grâce à cela.
      Bien sûr que je fais ce que je veux sur mon blog. Mais c'est quand même un espace lu, et ce n'est pas comme écrire dans un cahier, pour moi seule. C'est un acte d'échange, dans le respect et l'amour comme tous les actes d'échanges constructifs.
      Peut-être que la formulation de mon dernier paragraphe laisserait entendre que je vais me glisser dans l'écriture sur commande. C'est tout le contraire. J'ai justement envie de me laisser complètement emporter par mon désir d'écrire, et pourquoi pas quotidiennement, si j'en éprouve le besoin...
      Merci de me permettre de mieux exprimer ce que j'ai voulu dire dans mon billet.
      Tu vois, c'est cela que j'appelle la profondeur. Quand on touche au fonctionnements du cerveau humain...à l'intime dicible. Et l'on ne se contente pas de voguer à la surface sans se mouiller.
      C'est ce qui fait notre force : dire légèrement des choses profondes...
      Bisous ♥︎

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    3. "Dire légèrement des choses profondes"
      J'ajouterais: "et réciproquement !"
      :)

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    4. Alors chouette!
      Et perso, si je ne venais plus chez toi, même pas lire (car il m'arrive de lire sans commenter tu le sais) c'est qu'il y aurait une raison sérieuse, et je prendrais le temps et la peine de te prévenir, sois tranquille.
      Sinon je sais je sais, j'ai un côté qui gratte... ;-)
      Mais j'ai le bisou doux ♥

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    5. Un côté qui gratte ? Comme les éponges scotch brite ?
      Méfie toi des hérissons ! :-))))
      ♥︎

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    6. Ha ha! Je me souviens très bien de cette pub! Mais j'ai remplacé la scotch machin par les éponges tawashi ;-)
      https://laissonsluciefaire.com/2017/03/26/le-jour-ou-jai-remplace-mes-eponges-par-des-tawashis/

      Et quand je parlais d'abysses, c'était celles de la pensée, pas forcément la noirceur du monde!

      Allez j'te laisse tranquille ma belle!

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    7. Entièrement d'accord avec les propos de La Baladine :)

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    8. Et donc moi aussi, du coup... ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  8. Bonjour Celeste,

    Hier soir je suis tombé sur le texte de Christiane SINGER, que j'ai bien apprécié. Et pour illustrer ma pensée du moment elle tombe a point nommé ..

    Chaque etre est unique et evolue selon son chemin, mais si en fait au plan cosmique nous faisons partie du meme tout.

    Respecter le chemin de chacun : voila la clé de l'harmonie que chacun recherche.


    "Aimer, c'est faire en secret ce serment :
    Je m'engage de toutes mes forces à defendre ta liberté, à menager autour de toi l'espace qui te sera necessaire pour croitre et fleurir ! Et meme si je dois etre surpris par l'evolution de l'autre, meme s'il ne devient pas celui que j'attendais qu'il soit un jour, je m'engage a respecter son devenir ! C'est le defi que je relève ! Que ta volonté soit faite et non la mienne ! Osons nous laisser surprendre . N'emprisonnons pas nos proches - ni nos enfants - dans la représentation que nous avons d'eux .
    Cassons les moules dans lesquels nous nous enfermons les uns les autres .
    Offrons nous la confiance meme de nous laisser errer, commettre des erreurs.....
    Que savons nous du secret de nos destinées ? En devenant garant de la liberté de celui que j'aime, je lui epargne meme de devoir fuir.
    Rester ensemble n'est pas comme au cimetière " une concession perpétuelle ".
    C'est une offrande a renouveler chaque jour. "

    Christiane Singer


    Bises aimantes

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    1. J'aime beaucoup Christiane Singer.
      J'avais adoré son best seller : « Où cours-tu, ne vois tu pas quel le ciel est en toi ? »
      Le texte que tu cites est magnifique.
      Surtout les deux dernières phrases...
      Elle me donne la pêche pour la suite de mes aventures ! ;-)
      Bisous cher Petrus
      ♥︎

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    2. Les Ritals résument ça par "Ti voglio bene" (pour celles et ceux qui seraient rebutés par la langue de Dante: "Je te veux du bien")
      Baci Cara

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    3. Ti voglio bene c'est la plus belle parole d'amour que je connaisse...
      L'amour universel, désintéressé, profond et pas enfermant...
      Ils sont fort ces Ritals...
      🖤

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    4. "ils sont forts ces Ritals..." Et encore heureux qu'ils ne soient pas tous surefficients :-D
      Ti voglio bene Cara

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  9. Il y a aussi un p'tit bois derrière chez moi... et un ruisseau...et une rivière qui coule autour du p'tit bois.. et des champs... et des chemins qui ondulent... tout ceci faisant (en partie) que je ne m'imagine pas vivre ailleurs (pour le moment)... J'ai besoin de savoir cet espace à côté de moi, cet espace de nature, de calme, de paix... Ah mais si un jour... le bord de mer... ce serait encore mieux que le p'tit bois.

    Dans les éclats de l'automne je me suis faite discrète, ma vie étant ébouriffante d'obligations dont il faut bien que je m'occupe... Mais que tu badines ou que tu écrives de tes profondeurs, je suis toujours là, petite luciole silencieuse et attentive... et je me réjouis de te lire à chaque fois.

    Bises d'ici rempli de brouillard et de douceur automnale.

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    1. Rempli ES les bises, bien évidemment !

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    2. Des chemins qui ondulent...c'est beau, ça.
      J'aime la façon dont tu parles de ton chez toi. C'est doux et apaisant.
      Oui j'ai quitté la ville pour la semi-campagne (je ne suis quand même pas loin du centre) mais il y a de grands champs, un bois, et une rivière. Et j'adore aller m'y promener le matin.
      Merci de ta fidélité, ma Suzame.
      Tu sais bien que parfois, on a des coups de mou en bloguerie...
      ♥︎Bisous célestes
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  10. Mais tu ne "nous" dois rien, sorellita. Les gens arrivent et parfois s'en vont, et on a partagé des sentiers et des ronciers, et après reste ce qui reste, mais en tout cas reste la rencontre... Il faut avancer, déposer des bagages et des contraintes, quitte à adhérer avec passion à de nouveaux bagages et contraintes, on voyage avec ce qu'on veut et les étapes qu'on choisit, les devoirs de vacances ou de check-up "suis-je encore bien moi"?

    Baci sorellita!!!

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    1. Tu as raison. j'ai écrit ce billet d'une traite. j'avais besoin de faire le point...j'étais à deux doigts d'arrêter tout (ça arrive de temps en temps, quand on blogue au long cours depuis longtemps)
      Et puis, ce matin, grâce à vos remarques, je me ressaisis.
      Mais que celui qui ne se préoccupe absolument pas de ses lecteurs me dise pourquoi il publie...Je crois quand même que l'on est tous attentifs aux commentaires, sinon on irait planter ses choux.
      Et moi, quand on ne vient plus me voir, je cherche juste à comprendre (mon côté démonteuse de réveils)
      ;-)
      baci bella ragazza
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Sur un de mes blogs, je suis celui que tu envisages. J'y écris pour moi, essentiellement pour moi, en présence d'un lectorat de passage et en faible nombre (ce que finalement je préfère).
      Pourquoi je publie sur ce blog, je l'ai plusieurs fois expliqué. Tout récemment encore j'en disais ceci :
      Ce billet est écrit en roue libre. Comme ce fut souvent le cas sur ce blog. Les textes sont d'abord écrits pour moi-même même s'ils s'adressent à un public. Comme je l'ai dit au début de ce blog, je confronte l'évolution et l'émergence de ce qui jaillit du fond de moi, « en instantané », et face au lectorat qui passe par ici. J'y trouve là une certaine rigueur personnelle.

      J'évoque le « début de ce blog » : le premier billet publié en janvier 2012 fait état de la globalité de ma démarche.
      Tu en fus d'ailleurs l'une des premières lectrices.
      J'ai précisé notamment ceci en janvier 2012 :

      Écrire pour un lecteur potentiel, quand bien même ne serait-il que moi-même au final, m'oblige à une plus grande rigueur d'analyse, tout en veillant à ne pas décoller de ma réalité, de l'expérientiel tel qu'il fût.

      http://alainx5.blogspot.com/2012/01/tentative.html#more

      Ce blog est donc une démarche volontairement égocentrique. Ce n'est pas pour moi à proprement parlé un lieu de partage, même s'il m'arrive de répondre longuement, voir très longuement, aux commentaires qui sont parfois tout aussi abondants.
      La plupart de mes lecteurs ne sont pas « fidèles ». Mais ils ont apporté chacun une pierre à mon édifice. En ce sens ils ont toute ma gratitude. D'autant que ce que j'écris « là-bas » n'est pas limpide comme de l'eau de roche…
      C'est un lieu méditatif et temporaire. (Bien qu'il dure depuis plusieurs années !…)
      Il m'a énormément aidé à approfondir ma démarche spirituelle.
      Il ne peut qu'intéresser un petit nombre de personnes. Sinon j'imagine qu'il doit être particulièrement ch.... à celui qui n'a pas d'intérêt pour la profondeur de l'être et son mystère.
      Je crois que je le continuerais même s'il n'y avait aucun lecteur. Et d'ailleurs il y en a vraiment peu.
      C'est une démarche que je ne pouvais évidemment envisager lorsqu'Internet n'offrait pas ce genre de possibles.

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    3. Je comprends tout à fait ce que tu exposes longuement dans ce commentaire. Voilà : on est exactement dans la profondeur. C'est à dire pas forcément du déballage intime, mais de la réflexion sur une démarche.
      Et c'est vrai que la légèreté ne m'a jamais empêchée d'être profonde, et de m'intéresser aux démarches spirituelles, ou intellectuelles, bref à la profondeur de l'être et de son mystère.
      L'interrogation qu'a suscitée la remarque de ce lecteur, est davantage sur les raisons qui ont poussé certains à ne plus poser de commentaires, que sur l'éventuel désagrément que cela me procure. Car à vrai dire, dans la démarche où je suis, et que tu connais bien, l'opinion d'autrui n'est plus le moteur de ma vie.
      Ayant décortiqué mon fonctionnement de dépendante affective, et désamorcé les effets pervers et pernicieux que ce fonctionnement a pu induire sur mes comportements et sur mon psychisme, je me sens davantage en capacité de mener ma barque sans me laisser influencer par le désir de plaire à tout prix.
      Comme tu le sais aussi, je suis dans une phase de ma vie où je termine un long cycle, et tu as très bien compris et analysé les raisons qui font que je cherche le nouveau souffle de ce blog.
      Celui-ci redevenant (peut-être provisoirement ?)mon seul espace d'expression, il est bon que je redéfinisse pour moi les priorités d'écriture qui se font jour en moi.
      Merci pour ce long commentaire éclairant comme toujours.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  11. T'inquiète, les profondeurs, c'est pas mon truc, je ne sors jamais de la pataugeoire, et encore, si je peux éviter...

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    1. Je sais, mon boss
      Je sais...
      Et c'est cela qui fait ton charme.
      mais même quand j'écris « profond », ici , ben tu viens quand même, et tu fais mine mais je suis sûre que ça t'intéresse quand même...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Que veux-tu, c'est ça ou la cure de désintox, alors...

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    3. Je préfère ça alors ! :::
      Cure de désintox ? Bigre ! Quelle horreur... ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  12. Moi la Celestine, même la Celestine bis, même la Celestine ter, elle sait bien que je l'aime.

    (écrit de mon banc)

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    1. Même si on le sait, ça fait toujours du bien.
      Tiens, pour toi. A regarder sur ton banc, sans arrière-pensée.Jusqu'au bout.
      ♥︎

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  13. Eh bien voilà qui promet ! Déjà que j'aimais bien comme c'était, qu'est ce que ca va être !
    Epantelant, joli ! :)

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    1. Je suis très fière de mon mot inventé...
      J'ai déposé un copyright dessus. D'ailleurs quand on le tape dans un moteur de recherche on ne tombe que sur moi...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  14. Et moi, je continuerai toujours à te lire, ma belle, même si j'ai déserté la blogosphère, et suis devenue un peu silencieuse. ;-)
    Gros bisous, Célestine.

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    1. Je suis heureuse de le savoir Françoise. Tu manques en fait...
      mais je sais que ton absence est pour la bonne cause...
      je t'embrasse fort
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  15. je ne vois pas pourquoi tu devrais changer quelque chose, en tout cas pas pour faire plaisir à un lectorat qui voudrait apprendre des trucs intimes... faut juste changer si tu en as très très envie et plein d'idées, ce dont je ne doute pas :-)

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    1. Merci Adrienne, tu as raison.
      Belle journée à toi.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  16. Bonsoir Célestine,
    je ne suis pas sûre d'avoir tout compris dans ton texte, ce qui t'es arrivé, ce que tu as fait et après tout, c'est personnel et ne nous regarde pas à priori.
    Mais tu sembles avoir la pêche!
    Bisous,
    Mo

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    1. Oh oui, j'ai la pêche, la banane et tout le verger.
      Tu n'as pas compris, mais c'est normal, c'est que je ne puis encore l'exprimer de façon claire et explicite.
      D'où ma mise au point ...ça viendra, parce que j'aime raconter des petits morceaux de ma vie, en vérité et en authenticité.
      Bisous belle jardinière
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  17. Le principal Célestine, une fois les "orages passés ", c'est que de ta vie épantelante et sensationnelle,
    naissent des mots écrits dans la joie,sur le chemin du partage et du sourire !

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    1. C'est exactement cela. La poésie jaillit de moi devant l'immense mystère de la beauté de la vie, et tu le sais, chère poétesse.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  18. Bonsoir Célestine, j'aime ce que tu livres au travers de tes mots et même ce que tu ne livres pas sans pour autant , je trouve, rester en surface . Passe un bien doux week end !

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    1. Voilà. C'est vers cela que je veux tendre.
      Doux week-end à toi beau musicien.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  19. Compte tenu de ce que tu as vécu depuis un an, je me disais bien que ton blog allait probablement avoir une certaine inflexion.
    Sans avoir d'attente… j'imagine au moins un changement d'intonation, qui correspond à tes propres changements intérieurs.
    C'est probablement ce qui compte.
    Ceux à qui ça plaît continueront à venir… ceux qui n'y trouvent pas leur compte passeront leur chemin…
    tout cela est parfaitement normal !

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    1. Voilà. Tu mets le doigt sur la réponse que je cherchais : si certains lecteurs ne viennent plus, c'est que je ne correspond plus à ce qu'ils cherchaient chez moi. Cela me conforte donc dans l'idée que j'ai changé, et tourné une page, ce qui est évidemment extrêmement positif pour moi.
      Ah décidément, j'aime tes réflexions, cher Alain.
      Je crois que tu as tout dit et bien dit.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  20. Partant du principe qu'on ne peut plaire à tous qu'avec le plus petit dénominateur commun, il n'est pas étonnant que tu perdes quelques lecteurs-commentateurs en cours de route.
    Tu as eu, durant un an, un blog explorant les profondeurs de l'âme humaine. Il est parfaitement normal que, par comparaison, celui-ci semble plus léger. Et c'est tant mieux, car ça nous permettra de pouvoir déconner un brin...:-)
    Ti abbraccio forte Carrissima

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    1. Tu le sais j'adore « déconner un brin » et j'adore aussi « être sérieuse un brin »
      Et toi, tu sais jongler entre les deux sans jamais être excessif ou vulgaire.
      Et ça, c'est ce que j'aime.
      Et je ne parle évidemment pas de toi dans ce billet. Toi mon fidèle.

      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  21. Té, je viens de me rappeler que j'en ai achetée une, fiole de Beaujolais nouveau, en passant en ville. Je me calcule maintenant et j'en arrive à une conclusion, certes hâtive, mais je viens de décider à cet instant que j'en reste à celle-ci, de conclusion: comment un vignoble si peu étendu (j'ai déjà vu la carte)peut-il produire tant de cette saloperie - à moins que la culture se fasse sur plusieurs étages, hein? - alors que la francophonie n'a produit qu'une seule Celle? Hein, Celle, comment?
    Tout ça pour dire que je suis pas d'accord avec le symbole que tu évoques.
    Cela dit, et sans attendre une réponse, je me mets en quête d'un tire-bouchon et je vais faire sa fête à ce putain de mauvais pinard, non mais...

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    1. Bon, ben heureusement pour moi que j'ai pas attendu ta réponse, que le Beaujolais nouveau ne le serait plus, maintenant.
      Prends ton temps, maintenant, Celle, si tu veux répondre: je pars à Terrasson de Dordogne pour un concours de tarot.
      A plus tard...

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    2. Désolée mon Bof, c'est vrai que la bouteille aurait eu le temps de se réchauffer et même de tourner au vinaigre...Heureusement que tu ne m'as pas attendue. Je reviens répondre, bien sûr, mais je prends aussi mon temps désormais pour vivre ma vie, et ça fait un bien fou.
      La francophonie n'a produit qu'une seule Celle, dis-tu ? Ben oui, je suis unique, le moule a été cassé à ma naissance, et j'en suis fière.
      J'espère que tu t'es bien amusé à ton concours de tarots.
      Bises

      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    3. Le beaujol nouveau est déjà tourné au vinaigre avant d'ouvrir la bouteille.
      Il n'y a que René Fallet pour en parler avec emphase. C'est même si beau que ça donnerait presque envie d'y goûter... :-P
      Mais si j'ai le choix, je pencherais plus volontiers sur le Saint-Joseph...
      Molto baci Cara

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    4. Si tu me prends par les sentiments, c'est que tu me veux du bien... comme disent les Ritals...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    5. Mais on ne s'amuse jamais dans des concours officiels: ce n'est que de la compétition et les requins professionnels, ou presque professionnels, viennent de très loin.
      Cependant, c'était quand même plus marrant qu'aujourd'hui.
      D'ailleurs, je vais te raconter un truc qui te "parleras" sûrement, même retraitée.
      Au milieu des années cinquante (j'étais pas né, mais ma sœur ((très))aînée, si), il y avait une gamine que toutes les autres embêtaient plus que méchamment. Son père avait été pris puis exécuté dans une vallée isolée par les maquisards pendant la dernière guerre, alors, forcément, tu imagines, puisque tu as connu les cours d'école, ce qu'a pu être sa jeune vie. Elle menaçait toujours: je vais appeler mon grand frère Jacques et vous allez voir comment il me défendra. Jacques s'est battu contre les gamins qui pourrissaient la vie à sa sœur et à ses autres frères, puis il s'est battu en Algérie, puis après pour gagner sa vie et une place qu'il voulait respectable, et à la fin, il s'est battu contre la maladie.
      Ce matin, j'étais à la cérémonie dans l'église.
      Jacques était mon pote: on avait fait des trucs terribles ensemble, des travaux presque dangereux, et après des apéros qui l'étaient tout autant.
      Jacques a aussi été notre voisin avant. Et on savait tous que c'était un parent à ma meuf qui l'avait exécuté dans cette noire vallée.
      Mais on était potes.
      Ce matin, j'ai revu sa petite sœur...
      Et j'ai bu un kirounet (non, plus) sur le chemin du retour.
      Sûr segur qu'il aurait pas aimé que je boive pas un coup à sa nouvelle santé.
      J'mescuse, hein, Celle, mais fallait.

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    6. C'est émouvant mon Bof, ce que tu racontes. T'as bien fait. Quand il faut, il faut. Ça soulage. Et puis mon blog il sert à ça aussi. A ouvrir la porte aux sans-blogs qui ont quand même envie de s'exprimer de temps en temps...parce que ça fait du bien.
      Je te présente mes condoléances, c'était ton ami, et je sens bien que tu déconnes pour pas montrer que tu es triste...
      Bisous de Celle
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  22. Bonsoir Célestine,

    Une "nouvelle Célestine" ? Qui respire l'air frais de la liberté et du renouveau ?

    Je suppose que le chemin pour en arriver là a dû être un peu tortueux...et que la rencontre avec l'enfant intérieur a dû s'accompagner de quelques larmes...ce n'est jamais une sinécure que de revisiter ses "parts blessées"...cela demande du courage, c'est même ça le vrai courage, je crois...
    A ce propos, un petit article qui pourrait te parler :
    https://lefildariane1234.blogspot.com/2016/07/nos-parts-blessees.html

    En passant, merci à toi, Petrus, pour la citation de Christiane Singer (qui est mon auteur préférée)...
    Et j'attends avec impatience, Célestine, la "nouvelle mouture" du blog de "derrière chez toi"...
    Y'aura quelques fleurs et quelques oiseaux ...et des odeurs de printemps...j'en suis sûre...:-)
    Bises forestières.

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    1. Il y aura tout cela, et plus encore je le pense...
      Merci beaucoup pour les liens très intéressants que tu me donnes.
      Et notamment la notion de plasticité neuronale, qui donne beaucoup d'espoir quand on est dans une démarche de combattre ses vieilles peurs d'enfance.
      J'aime beaucoup Isabelle Padovani.
      Oui le chemin a été tortueux, plein de larmes et de mal au ventre...
      Mais je sors plus forte de cette passe.
      Ces quarantièmes comme je le dis, avec mon goût des métaphores marines.
      Bisous chère Licorne.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  23. Un beau symbole, c'en est même enivrant !!!
    A propos du beaujolais, du temps où au boulot, nous buvions un coup, pour l'occasion, j'aimais beaucoup prononcer cette phrase : "Bon, et si on buvait un verre de vin, pour changer". C'était du plus bel effet ! :)

    Ben moi, c'est devant, qu'il y a un petit bois, joli. Pas de godasses, pas de peuneus, pas de n’almanach ni de charlots, non plus...
    En fait, ce n'est pas un dépôt d'ordures qu'il y a devant chez moi, mais bien un vrai bois avec de vrais animaux dedans. Chevreuils, lapins, renards, entre autres... Pour ce que j'en ai vu.
    Même pas l'ombre d'un chasseur, à dix minutes à pied du centre-ville ! Par conséquent, c'est une zone protégée et les animaux l'ont bien compris...

    Quand tu écris que ce blog que j'aime tant s'est un peu vidé de sa substance, et ben, je ne te crois pas... J'y ai écrit des bi.... heu, des commentaires qui m'ont étonné et je crois que toi aussi... Mais je ne suis probablement pas objectif... Quoi qu'il en soit, tu verras, tu te reconnaîtras... https://www.youtube.com/watch?v=oJdYotAVzAc

    Le détricotage demande beaucoup d'adresse et d'intelligence, (on ne le fait pas n'importe comment) afin de ne pas emmêler les fils dans l'écheveau, de trait ;)
    Le tissage de ton étoile de fond a pu se faire à ta façon, à la façon d'une maîtresse drapière, de taille ;) On peut s'y emmêler, s'y empêtrer, de plume ;). Dans ce cas, il faut éliminer ce qui n'est pas tricotable, de ferme ;).

    Bon, j’arrête les jeux de mots parce que... Mais que lis-je ??? Tu es/étais à deux doigts de tout arrêter !!! Grrrrrrrrrrr, cela ne me donne pas vraiment envie de me lancer... quoique ???
    Je suis quand même heureux que maintenant, tu reviennes...
    https://www.youtube.com/watch?v=2VrFrDdJB4M



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    1. Ce n'est pas la peur qui doit te guider mais l'envie, cher Didier.
      Si j'avais eu peur de me lancer, je serais toujours à trembler de froid sur mon plongeoir en me tortillant d'un pied sur l'autre.
      Mais la tentation de tout abandonner effleure le blogueur régulièrement, c'est humain, et je ne connais pas de blogueur ou blogueuse au long cours qui ne se soit pas posé la question.
      J'aime beaucoup les paroles de la chanson d'Aubert.

      Maintenant je reviens
      À ce que j'ai toujours été
      Je reviens à pieds
      Reviens en février

      Maintenant je reviens
      À ce pourquoi je suis fait
      Je reviens chanter
      Est-ce bien un métier

      Je reviens de tout
      Ce qui n'est pas moi
      Non, ce n'était pas moi
      Je reviens vers vous
      Et je n'en reviens pas
      D'être toujours là

      Maintenant je reviens
      À ce que j'ai toujours été
      Je reviens mouillé
      Et même un peu ridé

      Maintenant je reviens
      À ce pourquoi je suis fait
      Je reviens te chercher
      Je reviens chanter

      Je reviens de tout



      Ce qui n'est pas moi
      Non, ce n'était pas moi
      Je reviens vers vous
      Et je n'en reviens pas
      D'être toujours là

      Maintenant, maintenant, maintenant
      Un peu cabossé
      Mais je l'ai bien cherché

      Je reviens de tout
      Et j'ai bien appris
      J'ai appris la vie
      Je reviens vers vous
      Et je n'en reviens pas
      D'être toujours là
      Je reviens vers vous
      Non, je n'en reviens pas
      Et toi avec moi

      Maintenant je reviens
      Je reviens, reviens à pieds
      Reviens par les sentiers
      Reviens en février

      Maintenant je reviens
      À ce que j'ai toujours aimé
      Je reviens vers toi
      Je reviens te chercher


      Il revient, il est différent, mais toujours là, et certainement plus à même de connaître « ce qui est lui et ce qui n'est pas lui »
      Tes jeux de mots sont délicieux. Et ne les arrête surtout pas si cela te donne du plaisir. le mien est immense de jouer avec les mots, comme on joue avec des dentelles et des soies...
      Merci beaucoup d'être là.
      Bisous émus

      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. L'envie est plus forte que la peur... Mais je suis un gars lent... Une chose après l'autre. Je n'ai aucune envie d'arrêter les jeux de mots. Je ne saurai pas, vu que j'en ai toujours fait, des bons et des moins bons. Chez toi, j'aime bien...

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    3. Un gars lent...mouarf !
      Peut être, mais pas un cerveau lent... ;-)

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  24. Ben moi, je l'aime bien ton blog, les sujets de tes textes sont variés et de différentes humeurs... tu as une jolie plume... elle est pas belle la vie?
    Mais si une révolution s'annonce, je serais bien sûr de la fête, enfin s'il n'y a pas de têtes coupées!
    Beau dimanche et larguons les amarres flibustière! ;-)
    Bisous et bon vent!

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    1. Ce n'est pas trop mon genre de couper des têtes. ;-)
      Je serais plutôt du genre à expliquer, à analyser et toute cette sorte de chose...
      Beau dimanche à toi.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. Et merci de tout coeur bien sûr, d'aimer ma petite prose singulière...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  25. Personnellement j'aime beaucoup ce que tu écris ! En ce qui concerne la profondeur, c'est surement celle du miroir...

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    1. Tout à fait chère Sabine.
      Un miroir dans lequel se mirent les passants, trouvant parfois des réponses à leurs propres interrogations, et c'est cela qui me plaît beaucoup.
      Même si ce n'est pas l'essentiel de l'écriture, cela participe à l'épanouissement et donc c'est bon.

      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  26. New Celeste = Beaujolais nouveau ? Moi, tant qu'il y a à boire et à rire, je viens !

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    1. Tu es un soleil, mon oncle.
      Tu me fais rire souvent, et en même temps, j'apprécie ton humour pour désamorcer parfois quelques petites choses un peu lourdes qui auraient tendance à plomber ...
      Alors tant que tu viens poser ta bonne humeur et tes pépites sur les miennes, je suis heureuse.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  27. Il y a un peu plus d'un an, tu m'as écrit quelque chose, je ne me souviens pas bien des termes exacts, c'était très amical et très discret, mais j'ai senti comme : « An, tu te répètes ! ». Ca m'a fait un coup. Et j'ai arrêté d'écrire.
    En plus des choses dans ma vie réelle, assez prenantes d'ailleurs, je suis allé dessiner dans les blogs américains, écrire des textes en vietnamien sur le bouddhisme, traduire des chansons en vietnamien anglais et français.
    Et je revenais souvent lire les comms chez moi. Et lire un peu les autres ici, dont toi.
    C'est important d'arrêter de temps en temps. Si le comm de ce monsieur t'a amenée à écrire ce post, c'est qu'une certaine situation est arrivée à un état de plénitude, et que des germes ont déjà poussé chez toi, préparant à cette décision de renaître. Tu es toujours toi, mais tu as le besoin de voir toi et le monde autrement, apprendre autre chose en plus et créer autrement, et c'est très enrichissant ainsi.
    Je n'ai pas changé à mon retour sur ce blog, je retrouve des ami(e)s, mais il y a très peu de visites sur mon blog maintenant. Un peu de regret, il faut dire ...
    Ceci dit, le vie continue et il ne faut pas que demain ressemble trop à la veille...
    Reçois ma très sincère amitié...

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    1. je suis désolée que ma phrase, qui était sûrement très bienveillante, telle que je me connais, ait pu te faire arrêter momentanément ton blog.
      J'en avais perdu le chemin, mais je t'ai retrouvé avec plaisir.
      Ta vision de l'art est très personnelle et originale, tes posts sont pleins de fraîcheur et d'enthousiasme souvent, et j'aime ta façon de vivre la vie.
      Pour toutes ces raisons je vais retourner te voir avec un grand bonheur.
      Avec toute mon amitié

      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  28. Je vais demander à mon Ours Martin, mon très cher ours, s'il n'aimerait pas se joindre aux membres de cette si mignonne photo.
    Pas profonds tes mots ? Alors là, j'en ai le cul par dessus tête ! Tant de fois tes mots m'ont remuée, bousculée, remis au niveau de la mer ce qui était enfouis. Donc Célestine va prendre la jupette légère et volante de Perrette et nous virevoltera incessemment sous peu. Ah que vivement !

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    1. La photo est de ma soeur, qui tenait un blog ravissant plein de peluches mignonnes...mais elle a arrêté...
      Merci merci pour ton petit coup de gueule qui me fait un grand coup de coeur !!!
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  29. Bonjour Célestine,

    Aucun des commentaires que j'avais écrits n'est passé.

    C'est bien de changer. Surtout pour une étincelle pétillante comme toi.

    Je suis heureux de voir la suite.

    Bises.

    (Je suis en train de regarder le Journal d'une femme de chambre de Buñuel. Jeanne Moreau y joue une Célestine).

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    1. Ah...la Célestine de Bunuel me parle ...coquine et érotique à souhaits, non ?
      Merci pour l'étincelle pétillante, cher Aldor.
      Certains lecteurs ont des problèmes avec la saisie de commentaires, mais ce n'est pas de ma faute, c'est googgle qui ne les aime pas, et non moi ;-)
      En parlant de profondeur, ton blog est en quelque sorte un modèle du genre. Et j'aime tes réflexions à voix haute.
      Je t'embrasse
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  30. Comme manifestement le fait que j'aie dit à notre hôtesse que je trouvais que ce blog avait moins de profondeur qu'auparavant choque ou pose problème, je vais remettre les choses à leur place. Je faisais simplement le constat que, déposant ailleurs le contenu des ses recherches et travaux de réhabilitation, celui-ci était devenu plus léger, primesautier. Curieusement, dans sa réponse au Goût des autres, notre amie en convient. Alors ?...
    En aucun cas il ne s'agissait d'un jugement de valeur (Berk!) ni d'une quelconque exhortation !

    @ le-goût-des-autres :
    Dans la mesure où c'est moi qui suis en cause, je veux te dire que je reçois avec beaucoup de violence ton affirmation selon laquelle il y a des voyeurs qui se délecte du malheur du monde, et que tu as perdu une belle occasion d'éviter de dire une grosse connerie !
    Je te suggère de mieux employer ton temps à réviser les fondamentaux, tel le troisième accord toltèque : "Ne pas faire de suppositions".

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    1. Je suis un peu surprise (et à vrai dire, un peu déçue aussi) que tu éprouves le besoin de dire que tu étais l'auteur de la phrase. J'avais pris garde à ne pas citer la source, discrètement, et de façon à ce que les lecteurs puissent s'exprimer sans crainte de faire de la peine ou de blesser quiconque. D'autant que
      Le fait que j'aie dit dès le début que j'étais assez d'accord avec toi aurait dû te faire comprendre que je n'avais aucune envie de polémiquer, mais plutôt un besoin de comprendre et d'analyser ce qui avait provoqué la défection de certains lecteurs. La réponse à cette question m'a été donnée calmement et habilement par certains ici.
      Tu n'es absolument pas « en cause «, donc, puisque personne ne savait que c'était toi. Etant donné que cette phrase provenait, en outre, d'un échange privé.
      Je me permets donc (car je suis devenue assertive) de te dire que ton intervention n'est pas tout à fait bien placée dans ce débat. Surtout que tu en fais une affaire personnelle, ce qui est aussi un accord toltèque, si je ne m'abuse (comme dit le docteur du même nom) ;-)
      Je n'ai pas vu d'agressivité sur toi de la part du Goût, c'était une remarque générale qui portait sur une idée et non une personne.
      Je te remercie encore de m'avoir permis deux fois de m'exprimer : en me donnant le sujet du billet, et en me permettant de te répondre.
      Bises assertives de la nouvelle Célestine.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. Candide, confus...dimanche, 18 novembre, 2018

      Tu as raison, j'ai sans doute démarré un peu vite !
      Le mieux serait sans doute de faire disparaître tout ça. Je t'y invite...

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    3. Effacer ma réponse me coûterait...maintenant que je fais preuve d'assertivité, et que j'en suis fière ;-)
      Bon allez j'efface le suivant, parce que celui-là, quand même, il va un peu trop loin loin...
      Faut pas te mettre dans des états pour si peu, mon choupinet !
      (Enfin je dis ça, mais ça m'est arrivé, dans une autre vie)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  31. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  32. Bon, foin de conneries, tu les a mises où les artibuses ? Parce qu j'étais parti pour les souquer comme tu le demandais, mais j'ai eu beau chercher de la cale au grand mât,je les ai pas trouvées !
    J'voudrais pas perdre de temps pasqu'à la suite je dois encore escarteler le paltoquet, carguez les entrimonts, choquez les estinguettes, balarguez les calbutes et mastarder les brébancourts …
    Dire qu'y en a qui croivent que c'est tranquille, mousse sur un vaisseau de haute ligne, tsss !

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    Réponses
    1. La phrase n'est qu' un emprunt un peu modifié au film « Astérix et Cléopâtre contre César »
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. Candide, vraiment...lundi, 19 novembre, 2018

      Aaaaah booon ?
      Abin c'est gentil de m'expliquer, ma choupinette !
      Mais alors je suis pas obligé non plus d'escarteler le paltoquet, carguer les entrimonts, choquer les estinguettes, balarguer les calbutes et mastarder les brébancourts ?
      Ahhhh, alors je m'en vais me reposer un peu. C'est vrai, rien que d'y penser j'étais déjà fatigué !
      Et puis peut-être qu'après papa me laissera rouler doucement dans l'allée...

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  33. Lorsque on écrit, sur un blog ou ailleurs, on espère être lu mais on n'est pas obligé de tout dire et de se soucier de l'opinion de chaque lecteur.

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    Réponses
    1. Tu as bien résumé, chère Heure Bleue, avec ton pragmatisme habituel ! ;-)
      Bisous
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  34. vais être absente des réseaux sociaux quelques temps et je sais que tu me comprendras...
    Mon père vient de décéder :(
    bises

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  35. Si belle Cybèle, on ravale la façade ? J'en suis fort aise, comme le beau (tonton) Joe, l'est ;)

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    1. Le beau Joe l'est...héhé hé ! elle est excellente, mon Titi.
      Cybèle : j'aime bien le petit côté déesse grecque...Et non, je n'ai pas dit DS break... ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  36. Ben, alors , qu'est ce que ça va être parce que ton blog était déjà punchy !! La thérapie semble avoir été efficace et forcément le regard sur la vie change. Nos émotions , notre rugosité intérieure, notre élan s'adoucissent pour faire place à une vie bien plus ouverte et certainement plus riche. Les transformations peuvent être des fleurs qui s'épanouissent dans le ciel de l'existence. J'attends la suite avec impatience .

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    1. Tu as tout dit, cher Daniel. Plus qu'efficace a été cette prise de conscience de moi-même qui m'a permis de me libérer d'un certain nombre de choses qui m'entravaient.
      La suite va venir.
      Bisous
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  37. Je ne vais pas répéter ce que tout le monde t'a déjà dit, tu es chez toi ici et tu y dis ce que tu veux. C'est vrai que tu as beaucoup de lecteurs et que tu tiens un peu salon, comme au temps jadis. Les échanges ici sont toujours tellement riches. Mais il n'en reste pas moins que c'est toi qui donnes le ton et qui t'aime te suive.
    Ceci dit, tu as déménagé ? En Loire ? Ou je me méprends ? Myo la curieuse.

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    1. J'ai déménagé, oui, mais pas en Loire, où vit simplement un de mes fils, que je suis allé voir il y a quinze jours...
      Je suis restée dans la région que j'habitais, parce que j'y ai mes amis, mes activités, et quelques repères sympas.
      Mais j'ai eu besoin de rompre avec une part importante de mon passé.
      D'où ce nouveau cadre de vie plus en accord avec mes aspirations de nature et d'écologie.
      Kiss sister
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  38. Mais pourquoi toujours un accord toltèque. Pauvres Toltèque. Devons-nous mêler ces pauvres fantômes à nos rapports existentiels ? Ne peut on laisser le New Age de côté.

    Quand des blogueurs jadis parlaient de leurs blogue secrets circonscrit entre quelques lecteurs et lectrices, on pouvait se sentir exclu. On l'était.
    Je ferais un blog secret je n'en parlerais pas .
    Ça n'empêche que celui-ci plaît. Donne à débattre et ne me semble pas manquer de lecteurs commentateurs.
    Vous faites comme vous le sentez Célestine pourvu que vous soyez heureuse autant que cela est possible...

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    1. Celui-ci, cher anonyme, n'est pas un blog secret. Je n'ai pas parlé de mon blog secret avant de l'avoir clôturé.
      J'ai eu besoin de m'appuyer sur quelques lecteurs, mais au départ, tout lecteur un peu curieux aurait pu y arriver, vu que j'avais semé sur ce blog-ci le lien pour aller voir l'autre.
      Ensuite, j'ai restreint l'accès, car certains lecteurs n'avaient pas compris le sens de ma démarche.
      Quant aux Toltèques, ce n'est pas moi qui les ai cités cette fois. Je n'en fais pas des gourous, mais ils ont quand même éveillé ma réflexion sur moi-même, en me faisant prendre conscience de certaines de mes faiblesses, et notamment la susceptibilité, qui me faisait tout prendre pour moi au point d'en souffrir.
      Heureuse, je le suis, sans doute plus que jamais. Merci de votre sollicitude mais si vous me disiez un peu qui vous êtes ? J'aime bien savoir qui me lit...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. Ah! Je comprends mieux la démarche...
      Pour ce qui est des accords toltèque, on m'en avait un jour parlé... et j'avais trouvé cela étrange. Mais cela met des mots différents sur la communication et ce qui la rend difficile.
      Il y a aussi que je suis très rationaliste... trop peut être. J'ai déjà entendu parler de tant de choses étranges...
      Je suis une lectrice tout à fait bienveillante... même quand mon humeur est en berne ;-)

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    3. Bienvenue chez moi chère lectrice bienveillante.
      C'est ainsi que je vous appellerai dorénavant, et que je vous inscris sur mon totem..
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  39. Mais si, Chère Célestine,
    Il y a encore beaucoup de monde dans le « petit bois derrière chez vous ».
    Si certains s’écartent de votre blog, c’est qu’eux aussi ils prennent ou ont pris d’autres chemins. Ou qu’ils se disent que vous avez besoin d’un peu de temps et qu’il faut vous laisser tranquille. Vous êtes, vous le dites, à la fois la vous-même et nouvelle. Il faut juste qu’ils apprennent à vous reconnaître dans votre nouvelle vie..épantelante...
    Il faut du temps aux uns et aux autres à s’adapter aux changements...et ceux qui sont partis feront certainement place à d’autres...ou pas. C’est aussi ça la vie.
    Et combien même vous n’auriez plus qu’un seul lecteur, n’est-ce pas extraordinaire de se dire que quelque part dans le monde quelqu’un s’est attaché à vos mots, à votre personne juste au travers d’un écran.
    En tous cas, nombreux sont ceux qui comme moi veulent que vous racontiez ce nouveau monde...et ce petit bois derrière chez vous.
    Je vous embrasse...

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    1. Je n'ai pas dit qu'il y avait moins de monde...je me suis juste posé la question de savoir pourquoi certains lecteurs s'en sont détournés.
      Et je continuerai à écrire même si je n'ai plus qu'un seul lecteur.
      Simplement, je n'ai que les commentaires pour savoir qui m'a lu vraiment.
      Et malgré ce que certains diront, quand on écrit un blog, c'est pour avoir un échange avec des lecteurs. Sinon on prend un cahier et un stylo...
      Merci pour votre message, cher Julien? je ne doute pas que vous me lisiez toujours...
      Bises en retour
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  40. Ho! Mais comment peut-on te dire ça? Moi, j'aime tes mots, les beautés que tu nous fait goûter, les tremblements dans tes mots, tu es humaine, tu es belle, je ne comprend le désir du sensationnalisme, qu'est-ce que ça veut dire profondeur? Je sais bien que c'est ce qu'on reproche au mie, de blog. Mais il n'est pas fait pour ça et le tien je l'aime tel que tu l'écris car c'est un peu des nouvelles de toi que tu nous donnes. Un jour beau l'autre moins, la vie quoi… bises ma toute belle et talentueuse

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    1. Oh comme tout cela est bien dit et réjouissant ma douce Brizou.
      Je suis à un tournant de ma vie et je ne peux encore en parler ouvertement, c'est juste cela que je voulais exprimer...
      Bisous, amie, et merci
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  41. Moi, je ne comprends pas tout mais j'ai appris le mot "assertivité".
    ;-)

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    1. Vous savez quoi, Madame Chapeau ? Je crois que vous comprenez tout, mais que vous êtes trop modeste. Et je vous le dis de façon assertive. ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Ni Modeste, ni Pompon, mais merci pour le compliment.
      ;-)

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    3. C’en était un, croyez-le !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  42. MERCI célestine pour tous tes mots ici et ailleurs. cONTINUE SUrtout d'écrire encore et toujours . Moi , j'aime te lire dans toutes tes versions. Ce long travail que tu as fait , je l'ai fait pendant des années et depuis je murmure à l'oreille de mon cheval, entre les deux il fallait choisir m'a dit le porte-monnaie. Moi je n'ai de loin pas tout réglé: ma mère et es fragilités violentes reste un océan insondable et me laisse bcp de questions sans réponse. J'espère bien que tu en as sous la semelle car j'ai bien l'intention de te suivre encore longtemps , fidèle Célestine!

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    1. Merci pour ce cri du coeur ma belle Bulle
      Bien sûr que je vais continuer, et tu sais moi non plus je n'ai pas terminé...A-t-on jamais terminé d'explorer notre substrat ? L'âme humaine est si complexe...
      En tout cas, je suis là, et même par mail si tu as besoin de parler.
      Bisous
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  43. Comme ce post est passionnant et troublant aussi !
    Comme il me touche, il "réverbère".
    J'aime venir te lire avec ton toi du moment, quel que soit ce toi.
    Celui qui réfléchit, poétise, questionne, chante, doute...
    Ce qui compte finalement, c'est que tu sois en accord avec toi, en dehors du regard des autres, non ? Resterons ceux qui ont envie de lire sans juger, qui auront envie de t'accompagner du regard ?
    Et si toi tu manques de profondeur... alors pendant longtemps j'ai dû racler le fond...
    Tu es tout sauf cette personne là me semble t il.
    Parfois, il faut se donner la peine de lire entre les lignes, prendre ce qui est donné, juste avec plaisir.
    Douces pensées

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    1. Si j'ai eu quelques doutes, me voilà pleinement rassurée, grâce à des mots comme les tiens, et bien d'autres...
      je crois qu'en arrivant aux dix ans de blog il est normal que l'on s'interroge...
      Rien que pour les rencontres passionnantes que j'ai pu faire, et aux liens que j'ai noués, je peux dire que je n'ai pas perdu mon temps à bloguer...
      Merci d'être venue ici, Cloudy, alors que tu as décidé de partir...
      C'est vraiment gentil de ta part.
      Je t'embrasse
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  44. Moi ce qui me plait c’est que tu parles ici avec ton coeur,ton ressenti du moment, tes envies, tes peines, tes joies et c’est le plus important. Moi au contraire je trouve que tes mots sont tout en profondeur. Tes mots sont vrais, ont un sens... Et puis tu sais on ne peut plaire à tout le monde. Le tout est d’être soi et vrai, c’est pourquoi ton blog à tant de succés.
    Moi j’aime beaucoup venir m’y promener, ton blog me fait du bien, il me fait sourire, me tire une émotion, un souvenir, un regret, une joie, un rire ... Le reste n’a que peu d’importance.

    Reste telle que tu es Blue c’est comme cela que l’on t’aime :)

    Bisous ;-)

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    1. La prochaine déclaration d'amour, je fonds comme un sundae à la framboise sur la plage.
      Merci Cristina
      Big blue kisses
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Tu me fais rire mdr :D
      Tu es trop mignonne !
      Bisous givrés ;-)

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  45. Nos mots sont le reflet de notre âme, de nos états d'âme. Ils transparaissent plus ou moins à travers nos phrases parfois lisses, parfois tortueuses, à l'image des chemins que l'on suit.
    Certains écrits ont besoin de rester cachés quand d'autres sont là avec toute la sincérité que l'on peut donner.
    Ce n'est pas à nous de juger ta prose. Simplement à toi. Si ton œil commence à la regarder d'un œil trop critique, c'est parce que tu as évolué comme tu le dis. Je pense que nos besoins de changement(s) marquent les temps où des étapes sont franchis (où l'on s'affranchit de certaines choses si je regarde dans mon propre rétroviseur).
    Décidément, l'heure est-elle au changement sur la planète blogosphère ?
    J'espère que tu vas trouver l'orientation qui te plaira (à toi).

    (PS / j'adore la photo :-D)

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    1. Bon, ben voilà... je fonds comme un sundae à la framboise sur la plage.
      Et je note une idée très intéressante : tu as raison, je me critique parce que j'ai évolué.
      Et je vais trouver mon style et ma formule magique...
      Bisous belle amie
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  46. « Simplement, je n'ai que les commentaires pour savoir qui m'a lu vraiment. », as-tu répondu à Julien Sorel, un peu plus haut.

    Alors je commente ;)

    Mais je crois que, de plus en plus, je préfère les "tête à tête" (ou "mail à mail"). Bref : discrètement. Et sans doute plus... profondément (puisque c'est un peu le thème de ton billet et des commentaires qui en ont découlé). C'est donc sous cette forme que je te ferai part de mes impressions. Dès que j'aurai la disponibilité nécessaire.

    Je t'embrasse, très chère :)

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    1. C'est ton choix et je le respecte.
      Il y a même des blogueurs qui ne répondent que par mail. Mais je garde de certains débats qui ont été initiés sur ce blog (et auxquels tu avais participé, en ton temps) un souvenir éclatant, pour la qualité des échanges d'alors...
      Mais c'est le passé, certainement...
      Je t'embrasse moi aussi, cher Pierre
      ¸¸.•*¨*• 🦋

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    2. Oh mais si il y a débat - et que le sujet me touche - il est probable que j'y prenne part, n'aie crainte ;)

      Je n'ai pas dit que je n'interviendrai plus (ou alors je me suis mal exprimé) : j'ai voulu dire que par rapport à ce billet je te ferai part de mes impressions en privé. Pour d'autres billet ce pourra être différent... même si je constate une tendance à moins m'exprimer publiquement. C'est donc moins un choix qu'un constat. Et puis tu le sais bien : rien n'est jamais définitif, sauf la mort...

      Bises bien vivantes

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    3. Te voilà bien sérieux ! Bigre...heureusement que tu rajoutes « bises bien vivantes »...
      D'accord, j'avais mal compris.
      De toutes façons, quoique tu fasses, et quelle que soit la façon dont tu participeras à mon blog, je la respecterai et m'en réjouirai.
      ¸¸.•*¨*• 🦋

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    4. Sérieux, moi ? C'est parce que tu ne me vois pas :)
      Je me demande ce qui te fais me trouver "sérieux".

      Bises pas sérieuses

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  47. comme c'est tonique de lire ton billet en ce petit matin frisquet. Alors que j'avais des envies de me blottir sous la couette, tu me donnes des envies de liberté, de courage, de galopades. Quel superbe texte, j'aimerais un jour pouvoir écrire la même chose.
    et tu aiguises ma curiosité avec tes projets …. Belle journée Célestine

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    1. Je te le souhaite, ma Miss. Quand tu auras tout le temps d'écrire, je suis sûre que tu le pourras, si tu en as le désir.
      J'écris bien, parce que je m'entraîne tous les jours...
      Bisous
      ¸¸.•*¨*• 🦋

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.