Il faut parfois s'éloigner de l'arbre
pour en voir la beauté immense
Et sa ramure agitant au vent,
ses bois, comme mains de géant.
Il faut parfois plisser les yeux
Pour mieux voir les gouttes de pluie
Bourdonner sur le chaud velours
Des prés bleus noyés de soleil
Il faut parfois savoir se taire
pour mieux s'emplir et s'enivrer
De la musique des saisons
Il faut parfois un peu attendre
sur le bord poudreux du chemin
avant de reprendre la route
qui déroulait son long brouillard
pour égarer nos pas fourbus.
Quitter la rosée du matin
Pour mieux y revenir demain
Et puis laisser le creux du lit, vide de soi,
Encore chaud du corps de la veille
Pour retrouver les mains aimées
et la suave brûlure du temps
Il me faut savoir te quitter
Pour mieux te revenir ensuite
Dormir dans le lit du hasard
Quelques nuits volées à la lune
Avant de retrouver tes bras,
Avec au coeur l'intacte joie
D'un premier tour de carousel.
❤️
Il faut savoir... mais j'ai l'impression de ne jamais savoir. L'idée même d'arrêter me fait peur.
RépondreSupprimerPar contre, lire ces mots me fait du bien.
GL
Merci cher Grand-Langue.
SupprimerIl faut savoir...peut-être un voeu pieux, un hommage à une chanson d'Aznavour que mon père aimait bien...
Pourtant, on sait...qu'on ne sait jamais comme disait un autre grand.
Bien à vous
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La chanson ICI.
Supprimer☆
chaque fois que je clique pour envoyer mon commentaire, le cadre "disparaît" et le comm bien sûr n'apparaît pas
SupprimerEh bien si, tu vois, il est apparu...
SupprimerAllez, fais moi un beau commentaire, ma dame Adrienne !
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Tu sais vraiment tout, toi !
RépondreSupprimerBisous !
Ooooh non...
SupprimerMais c'est gentil de le croire, cher Boss
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La chanson de Charles Aznavour est une sortie – ou tentative de sortie – dans la dignité.
RépondreSupprimerTon poème est une tout autre belle histoire : celle d'une délicieuse attente.
Je ne parlais que du titre de la chanson, bien sûr...
SupprimerPour le reste, dignité ou pas, je ne suis pas pressée que mon histoire s'arrête, c'est si bon quand ça commence...
Merci d'apprécier, Yves.
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c'est tellement beau de te lire au saut du lit... tellement bien écrit, ressenti...... tu sais décoder ce qui est en nous et pas toujours bien révélé..... merci chère poétesse, mais comment fais-tu ?
RépondreSupprimerJe pleure sur la beauté de tes mots, ton vécu, la vie de chacun chacune d'entre nous.
bisou et jolie semaine, mais avec toi je sais que tu sais percevoir et profiter du meilleur de chaque instant, de toute chose.
Ah ma chère Den, ravie d'être ton « saut du lit »
SupprimerNe pleure pas, c'est un poème d'amour, joyeux, confiant et plein d'énergie...celle que l'on trouve à se ressourcer un peu, à prendre du recul, afin de préserver la beauté de l'instant et de ne pas le laisser emporter par l'habitude ou le quotidien...
Bisous belle d'âme
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Merci Célestine pour ce poème qui me touche profondément... Il y a ceux hélas qui nous quittent et que l'on sait qu'ils vont passer de l'autre côté du miroir à jamais et cette pensée me navre
RépondreSupprimerBises du matin
Comment puis-je te donner espoir ce matin, Marine ?
SupprimerTes mots me bouleversent, et je tiens ta main, même si je ne te connais pas.
Je t'embrasse affectueusement
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On sait souvent qu'on devrait, mais il arrive qu'on ne s'y décide jamais, retenus par les prisons qu'on a soigneusement érigées soi-même. D'autres un jour abattent les murs, on leur dit qu'ils sont fous, qu'ils s'en repentiront, qu'ils détruisent et cassent tout... Ce sont les prisons des autres qui prennent le relève. Mais si on tient bon... on renait!
RépondreSupprimerTu sais combien tes mots me parlent.
SupprimerGardons-nous des prisons, même dorées...
Mon poème chante cette renaissance, et combien il est important de prendre soin d'une relation d'amour, pour ne pas la laisser s'abîmer dans le banal, le quotidien, et ce magma un peu mou des habitudes...
Un des moyens est de prendre un peu de distance de temps en temps, histoire d'alimenter le désir... ;-)
Baci sorellita
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Il faut savoir....
RépondreSupprimerChez Charles c'etait l'expression d'un amour désespéré, amour déçu, amour perdu auquel on ne peut renoncer en dépit de toutes les évidences de cette perte.
Tu as fait de ce douloureux cri d'amour un retournement complet : le secret du bonheur qui surmonte et franchit toutes les épreuves du chemin c'est de régulièrement prendre du recul ; oui il faut savoir sortir un instant du lit d'amour, de son havre de paix, de sa région au climat favorable pour mieux reconnaître la chance que l'on a de vivre d'amour, dans la liberté d'un don mutuel toujours renouvelé selon la météo de nos coeurs.
Je souhaite à tout être de faire la même découverte que toi.
Je t'embrasse plein de joie et de reconnaissance
Tes mots sont beaux, Petrus. Et tellement justes.
SupprimerOui, mesurer cette chance ne peut se faire que dans le secret du coeur, dans l'alcôve feutrée de l'introspection, hors des frémissements et des tempêtes.
Merci de tout coeur de si bien me comprendre. Tu en parles si bien que l'on croirait que tu parles d'expérience. peu importe, tu as tout compris au bonheur.
Je t'embrasse aussi
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Que j'aime tes mots chère Miss W. Et comme la belle attente peut être riche. Ainsi l'arbre vit, grand et fort. Juste ce qu'il faut et non pas Seems so long, ago. ATTB Angel Baby.
RépondreSupprimerLa belle attente est créatrice, inspirante, féconde de mille sensations qui s'expriment pour mieux la sublimer.
SupprimerJ'ai appris à laisser jaillir en moi cette source de joie profonde, lorsque l'on sait tisser habilement les moments d'extase et de sérénité, pour en faire une trame solide et chatoyante.
Kisses my Jules without Jim ❤️
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Sage conseil que tu donnes à tes lecteurs. En amour, la ferveur de l'impatience est parfois difficile à canaliser surtout lorsqu'on n'a pas ta sagesse. J'attends depuis si longtemps, et je vois filer tant de choses dans mon sablier.......
RépondreSupprimerAttendre n'a jamais été trop ma tasse de thé...Il ne s'agit pas pour moi d'attendre des lustres, je n'ai pas la vertu des femmes de marin comme dirait l'autre...
SupprimerMais pimenter la vie de petites absences, pour mieux revenir et être éblouie comme au premier jour, ça oui, je le conseillerais à tous les amoureux du monde.
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Il faut savoir partir, s'éloigner un peu pour revenir avec d'autres richesses à partager...
RépondreSupprimerTon poème me touche beaucoup...
Amitiés
Merci de tes derniers commentaires sur mon blog qui m'ont beaucoup émus
J'ai eu envie soudain de mieux te connaître Marie.
SupprimerTa fidélité à mes écrits me touche beaucoup, et je t'ai rajoutée à mes liens pour ne plus rien perdre de tes publications.
Je t'embrasse
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il vaut savoir en effet (mais c'est pas si facile à apprendre), comme aussi il faut savoir qu'on ne peut pas toujours écrire, ou lire, ou faire un truc ou un autre alors même qu'on a envie/besoin de le faire... des fois il faut une pause, un temps mort et puis on s'aperçoit que c'est revenu tout seul et on oublie même que ça a patiné.
RépondreSupprimer(mais j'oublie l'essentiel ; pour une qui dit chez moi que tu n'arrives pas à écrire, tu te moques, non ?? très beau poème, sensible et fin.)
Tu es la sagesse cher dodo...
SupprimerPour l'écriture, comme je te le disais chez toi, je parlais des ateliers d'écriture et autres défis...
Plus le temps, mais pour l'instant j'en suis très heureuse car cela veut dire que je ne m'ennuie pas.
Merci pour ton compliment qui me touche
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Ce n'est pas toujours sur l'instant que l'on voit la beauté des choses...
RépondreSupprimerC'est vrai. Mais il arrive aussi que la beauté des choses soit légèrement voilée par des nuages noirs.
SupprimerEt c'est là que l'introspection aide à retrouver le soleil...
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« Il me faut savoir te quitter
RépondreSupprimerPour mieux te revenir ensuite »
À mes yeux, l'essentiel est là...
[Bel arbre !]
Tes yeux voient toujours bien, et ton esprit de synthèse a su saisir la substantifique moelle de mon poème.
SupprimerRavie de voir que tu me lis toujours , cher Pierre
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Il me faut savoir te quitter
RépondreSupprimerPour mieux te revenir ensuite
Je garde aussi cela. Magnifique et probablement très vrai. Cela me fait penser à ces bessons de solitude que l'on éprouve parfois, comme pour l'arbre: pour prendre du recul et observer la relation avec un peu de distance. Pour l'admirer et mesurer sa chance. Merci pour ce poème qui me parle énormément.
Merci Val. Le besoin de solitude choisie est vital chez les êtres sensibles et qui pensent beaucoup...
SupprimerUne nécessité impérieuse de digérer les événements, loin de la foule déchaînée... ;-)
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Bonsoir Célestine,
RépondreSupprimerTon texte est très musical, d'ailleurs j'essaie d'imaginer quelle musique pourrait l'accompagner.
Bisous,
Mo
Merci Mo.
SupprimerJ'ai mis une musique qui me plaît, en bas du billet, mais elle ne correspond pas forcément au rythme de mes vers...
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C'est un beau poème. Il faut savoir prendre son temps pour déguster au mieux les moments heureux de la vie. L'appréciation des instants n'est pas dans la précipitation…...Ne pas vouloir plus mais simplement profiter pleinement de ce que l'on a.....
RépondreSupprimerParfois, l'on ne voit plus ce que l'on a et le recul permet d'en apprécier la saveur à sa juste valeur...
SupprimerMerci Daniel
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Il nous faut apprendre la patience et ainsi le plaisir de se retrouver sera toujours renouvelé.
RépondreSupprimerOui, Célestine, c'est un très beau poème.
Gros bisous, ma belle.
Exactement. La chose la plus importante à mes yeux, est de ne pas s'habituer, s'accoutumer au bonheur, mais de le rédécouvrir à chaque fois, comme on le fait d'un coucher de soleil.
SupprimerBisous belle dame
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Ton texte est magique et glisse sur mon âme comme un archer tendre pour bercer mon cœur de cette belle vérité: partir pour mieux revenir et se retrouver, il faut savoir.
RépondreSupprimerJ'aime tout particulièrement ta dernière strophe... frissons!
Bises à la Dame de lune, et merci.
Cela me réjouit, tu imagines, de sentir combien mes mots résonnent en toi, toi qui sais si bien chanter l'amour et ses frémissements...
SupprimerMerci cher poète
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C'est à cela que sert l'écriture : poursuivre le chemin. Même si, quoi qu'on fasse, il va toujours plus loin que nous !
RépondreSupprimerC'est la sagesse !
SupprimerLe chemin est parfois aride et parfois splendide.
Deux rimes qui disent bien l'ambiguïté de la vie et ses contradictions.
Comediante, tragediante...
On rit on pleure, on vit on meurt
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Quelle belle et merveilleuse déclaration d'amour! Amour de lui, amour de la vie, amour d'autrui… Merci de ces mots magiques ma belle. Prends ton temps… bises
RépondreSupprimerUn amour comme une flamme dans la tempête...
SupprimerMerci Brizou
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Savoir se poser, faire le compte de l'essentiel et se trouver pris de vertige car même en courant, je n'aurais pas le temps, pas le temps...
RépondreSupprimerTi abbraccio Bella Dona (en deux mots)
J'aime bien quand tu cites du Michel Fugain.
SupprimerÇa donne beaucoup d'humanité à ton personnage.
Heureusement que c'est en deux mots, je suis rassurée de n'être pas un poison violent...
Ti abbraccio anch'io
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Merci chère Célestine pour ton merveilleux poème et ta photo... oh oui! Il faut savoir... pour que deux coeurs se rapprochent.
RépondreSupprimerJe t'embrasse ♥
J'ai beaucoup aimé la belle prestance de cet arbre, qui se montre en entier dans son écrin de verdure.
SupprimerEt je sais que tu es sensible aux belles images comme aux mots du coeur.
Bisous ma rêveuse ♥
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Choisir sa vie avec ses joies et ses imperfections...
RépondreSupprimerSans doute le plus important, même si on ne choisit pas les événements qui surviennent...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Savoir consoler, attendre, tout est suggéré.
RépondreSupprimerMerci chère heure-bleue.
SupprimerTa lecture de mon poème me fait plaisir.
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Les éloignements choisis font toujours grand bien.
RépondreSupprimerQuitter les bien-être pour mieux les retrouver.
Comme un antidote aux attitudes anesthésiantes.
Tu dis tout cela dans un très joli poème. Et j'aime beaucoup le début : s'éloigner pour voir la beauté immense et son intensité. Éloignements physiques comme éloignements intérieurs. S'éloigner ce n'est pas se distancier.
C'est un peu comme l'artiste qui fait quelques pas en arrière pour apprécier l'œuvre qu'il accomplit.
Et puis, parfois, plus qu'un choix, c'est une nécessité.
«Un antidote aux attitudes anesthésiantes »
SupprimerC'est tellement bien dit, ainsi que l'image du peintre qui recule pour voir l'ensemble de la toile...
La vie m'a appris à ne pas trop rester longtemps le nez dans le guidon...
Bisous cher babar.
Je vais répondre à ton mail bientôt.
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Je garde toujours le meilleur pour la fin...
RépondreSupprimerC'est au pied de l'arbre qu'on le voit le moins. Proverbe Xouleccien
Il est des arbres qui cachent la forêt, celui-ci n'est pas choisi au hasard. Il ne cache rien. Il est seul au milieu d'une prairie, s'offrant à la vue de tout le monde. Même si c'est à son pied que l'on vit heureux, il faut, malgré ce que dit la chanson, de temps en temps, s'en éloigner pour se faire une idée précise du houppier qu'il déploie et donc, de son enracinement qui lui donne sa force.
Les grands arbres ont besoin d'espace pour rester debout.
Tu sais que j'aime les arbres et en voyant celui-ci, je "savais" ce que tu voulais dire, avant même de te lire.
Ton poème est beau, simplement.
bises
Le meilleur pour la fin... tu es trop mignon.
SupprimerJ'aime ton proverbe.
Il me parle.
Merci pour tes mots de coeur à coeur. Le fil qui nous relie s'appelle l'amour des arbres, et de la nature en général, grande source de joie et de consolation.
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Sais-tu que j'allais t'écrire un mail? Ben non, tu ne peux pas savoir, suis-je bête ! Je m'inquietais de ton silence bloguesque. J'espère que tout va bien?
SupprimerJe t'embrasse
Ben si en fait, je savais que je te manquais ... ;-)
SupprimerAyé, je t'ai écrit
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J'ai vu, j'ai lu, j'ai répondu. :)
Supprimer👍🏻
SupprimerQu'appelles tu "carrousel" exactement ?
RépondreSupprimerOuais, je sais, c'est mal mais que veux tu...
Je suis comme ça.
Un carousel, c'est un manège de petits chevaux...
SupprimerOuais je sais, je réponds au premier degré, mais peut-être est-ce que je ne comprends pas le sens profond de ta question... ;-)
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Décidément, ce que j'aime ton regard et tes mots ♥
RépondreSupprimerMerci chère Landrynne.
SupprimerC'est réciproque
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Quand c'est volontaire oui c'est parfait...
RépondreSupprimerLorsque cette distance est obligatoire, c'est un peu douloureux.
Il faut savoir, il faudrait savoir...
Bien sûr, je parle de prise de distance choisie, c'est évident...
SupprimerJe compatis si tu as dû subir un éloignement non décidé.
Et je t'embrasse fort
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Ton poème me ramène à mon parcours à moi, un jeu de "hide and go seek" avec le divin. L'enfant qui perd sa maman de vue, pleure ; pourtant elle n'est pas loin, ne l'a pas abandonné ! Aussi loin que je me rappelle je le cherchais partout. Ce jeu me semblait un peu cruel et encore parfois aujourd'hui. Mais comme tu dis, le recul permet de mieux apprécier. C'est à cela qu'il sert le jeu divin. kéa
RépondreSupprimerCe jeu de hide and go seek, la vie me l'a proposé plus d'une fois : tellement de questions restées sans réponses...
SupprimerMais aujourd'hui, même si je sais que ce n'est pas nous qui fixons certaines règles du jeu (et notamment la mort) j'ai acquis la certitude que l'on reste acteur de sa vie jusqu'au bout, et que l'on a toujours le choix.
Bisous kéa
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C'est beau, c'est très beau, j'ai remarqué que l'épreuve ouvrait en nous des champs et des chants de lumières insoupçonnées...
RépondreSupprimerIl faut savoir, oui, toujours prendre un peu de recul, nous avons à traverser l'épreuve mais nous ne sommes pas l'épreuve. Bises étoilées céleste Célestine, à bientôt. brigitte
C'est vraiment beau ce que tu dis, sur l'épreuve.
SupprimerEt sur ces chants de lumière qui ondulent au soleil...
Bisous ma Plume, grand merci
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Quel plaisir de retrouver ta poésie. Celle qui m'a accompagné une partie du mois de Juillet à la lecture des Alpharêves. Je prends ce billet comme un Alpharêves bonus.
RépondreSupprimerBises Célestine.
Hey, c'est un très beau compliment, Patrick.
SupprimerTu as eu de saines lectures, je vois, cet été ;-)
Bisous toi
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Merci Célestine !
RépondreSupprimerIl est des chagrins qui sont difficiles à partager, mais j'ai aimé me retrouver au pied de ton arbre où l'on espère emprunter un peu de sa force pour en retrouver, en donner et supporter la réalité des choses sur lesquelles on ne peut rien...
Je pense fort à toi dans ces moments difficiles. Et je te transmets tout mon espoir.
SupprimerBisous doux
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Voilà qui donne tout simplement envie de se remettre à la poésie (ouille, ouille, ouille, j'ai un chat qui passe par mon ordinateur et par moi, voilà qui n'est pas très romantique). C'est très beau Célestine o:)
RépondreSupprimerUn chat dans la gorge ? Ou un vrai chat qui prend ses appartements sur ton clavier, comme le faisait le mien, à l'époque ?
SupprimerMerci ma Pivoine
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Quel beau texte, de la poésie accessible et touchante !
RépondreSupprimerTrès vrai pour l'arbre ou d'autres "paysages" et du coup à méditer !
Bisous.
Ça me touche, Mindounet. Je sais que tu n'es pas très poésie, alors merci d'avoir apprécié.
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Même en le quittant un peu, je sais qu'il est toujours là, au fond de mon cœur. Aimer, c'est aussi savoir prendre du temps pour soi, pour mieux revenir, sûre de son Amour. Voilà ce que ton texte m'inspire. Bises alpines frangine amoureuse.
RépondreSupprimerTu m'as souvent fait rêver avec ton amoureux...
SupprimerEt tu as parfaitement raison, c'est un bonheur que de mieux revenir à chaque fois.
Je t'embrasse ma frangine des montagnes.
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C'est magnifique, splendide. Tes mots m'envolent.
RépondreSupprimerDe tout coeur merci
Supprimer❤️
Feu mon grand-père disait : les pauses longues et répétées sont la clé des grands succès/réussites :)
RépondreSupprimerTexte et photo en harmonie, bravo ! Bonne journée Célestine. Bises.
Merci Julie pour cette sagesse grand-paternelle ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Ta musique est toute douce. j'espère que tu vas bien.
RépondreSupprimerJe vais bien, ma Berthoise. Je reviens doucement, à mon rythme, comme à chaque fois, après chaque étape...
SupprimerBisous
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Bonjour Célestine, très belle inspiration, j'aime ta poésie !
RépondreSupprimerJean-Claude
Merci JC !
SupprimerTu es un connaisseur, je crois
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je pense bien à toi et tes mots touchent droit au coeur.
RépondreSupprimerBizzz Céleste
Merci chère bestiole du net !
SupprimerDroit au coeur aussi.
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toujours la poésie de tes mots, si douce au coeur, bises affectueuses
RépondreSupprimerHeureuse de voir que tu es toujours là, ma Sylvie.
SupprimerBisous doux
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