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17 juillet 2017

Le temps, le temps, le temps et rien d'autre...

Chez Gilou, mon « petit » frère ...





Hey, lecteurs chéris...Je reviens de trois jours sous les étoiles. Dans un grand champ fauché de frais, luisant sous la demi-lune, emplie de tant et tant de sensations et d'émotions. Et de tant de fous-rires !
Le temps y était omniprésent. Celui qui passe, celui qu'il fait, celui que l'on prend, ou que l'on ne prend pas. Celui que l'on attend, que l'on espère, celui que l'on regrette ou que l'on redoute.
Le temps-chat qui étire ses pattes ou qui se roule en boule.
Je remercie mon ami Candide d'avoir pris le temps et l'énergie douce et bienveillante de vous répondre. 
Je remercie mon frère Gilou qui a organisé cette si belle fête avec passion. Ciel ! la logistique impressionnante !
Mon temps à moi était là-bas, dans cette campagne belle chantée par Ferrat. Dans cette distorsion particulière qui te renvoie le passé dans la tronche à chaque éclat de sourire d'enfant,  et chaque lieu te ramenant une odeur familière, cannelle, saucisson,  confitures et jeux de marmots.  Pendant que je faisais tourner au bout de mes doigts les cartes de mon petit jeu de sept familles portatif et personnel, dans la famille Musique je demande la fille, moi, Celle qui ai décroché des paillettes aux sombres et fraîches forêts d'Ardèche, et des touffes de thym sauvage et de chansons  pour m'en jeter plein les yeux et les oreilles. Et toujours, le temps...celui de vivre, d'aimer et de mourir...
Petites philosophies du matin, poésie, petit déjeuner au soleil et grandes tablées joyeuses version ami ricoré. Vous connaissez...
J'ai pris le temps de réfléchir sérieusement à ne plus confondre opiniâtreté et obstination, comme le dit très justement l'un d'entre vous, et à appuyer sur la pédale de frein, justement, question billets. Le rythme quotidien de publication ne me va décidément pas. Il est temps que je laisse du temps au temps. Que je vous offre à nouveau celui de venir et de revenir à votre guise, sans le couperet trop aiguisé de ce temps qui nous transforme en presse-semoule si l'on n'y prête pas soin. Fin de mon petit défi-perso, tsoin-tsoin, et vogue la galère. 
Je reprends ma respiration, j'ai besoin de hors-temps. Mais si vous écoutez attentivement le murmure de mes mots, vous saisirez sans doute la ritournelle qui rit sous la tonnelle : c'est celle de mon coeur qui sautille pour vous. Tranquillement. Mais très fort.



¸¸.•*¨*•

126 commentaires:

  1. Tu nous fais juste regretter de ne pas y avoir été pour sentir s'effiler le temps, ça a l'air d'avoir été tellement bien !...
    Quant au reste... fais selon ton coeur, à son rythme...

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    1. C'est vrai c'était bien, et en même temps tu le sais, parce que tu commences à me connaître, c'était terriblement bouleversant pour moi.
      Mais c'est difficile à dire, enfin à exprimer en se faisant comprendre...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. Ouf tu lèves le pied et cela me rassure parce que même si je sais que tu vis, aimes, manges, respires et nous offres ton art il ne faudrait pas qu'il te prenne dans ses bras pour ne plus te lâcher..... Je ne pense pas qu'il existe des "blogopatchs".

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    1. Héhé tu as raison. C'est une douce addiction, et un besoin de partage et d'écriture.
      Cependant c'est aussi un échange avec des lecteurs attentifs et bienveillants, et là, j'ai eu l'impression que je les bousculais...
      Or je n'aime tellement pas être bousculée moi-même que mon empathie naturelle m'a poussée à arrêter l'exercice...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  3. Ah le bon temps. Celui qui nous permet de laisser filer le temps et de prendre son temps. Je me demandais comment tu allais faire pour publier tous les jours. Et je vois que finalement, tu laisses parler tes aspirations et que tu veux prendre du temps pour toi. C'est bien. Le blog doit être une respiration, pas une contrainte. ;-) Bises alpines et bon temps pour cette semaine.

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    1. En fait, il est très facile pour moi de publier tous les jours. L'inspiration ne m'a jamais fait défaut et je suis une grande bavarde.
      Mais il me manque la dimension de l'échange et tu sais, puisque tu fonctionnes comme moi sur ce plan-là, qu'il est important de laisser du temps à ses lecteurs...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  4. Tu as récupéré ce temps qui ne compte pas... enfin je veux dire qui compte plus que tout puisqu'il ne comptabilise pas son espace ni son endroit, parce qu'il raconte et sent "le vivre l'aimer le mourir" il EST tout simplement par ce qu'il apprécie ce qu'il déploie de ses grandes ailes, celles que l'on aime plus que tout, parce qu'ainsi elles permettent d'oxygéner à nouveau notre respiration qui file si haut et si loin.... profite bien Céleste tu sais que l'on t'attend !
    bisou.
    Den

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    1. Tout est dit ainsi, et si bien, comme à ta douce habitude...Je n'aurais pas écrit mieux ce besoin de replacer dans l'espace le temps contraint, pour lui donner du souffle et le libérer...
      Bisous célestes
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  5. Là, tu nous joues un coup de flûte !
    "Dans un grand champ fauché de frais"
    J'ai fait ça, il y a longtemps.
    Je peux te dire que ça pique sévère !
    T'as des marques partout.
    Une nuit sous la lune, OK.
    Une nuit couché dans un champ fraîchement moissonné, tu peux courir !
    Frimeuse !!! ;-)
    (ou alors tu avais une couverture en kevlar)

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    1. J'ai pas dit que je m'y étais allongée...Quant à dormir...c'est une activité qui a un peu fait défaut pendant trois jours, ou alors par petites doses comme les marins solitaires...
      La soirée guitare jazz poésie a duré une grande partie de la nuit.
      Et ensuite on est allés sous les tentes quechuas pour essayer de se battre contre les mouches du matin.
      Ah...la campagne, c'est beau...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  6. Tu pouvais tenir le rythme, c'est l'été, tu préfères profiter de la chaleur, des soirées, on en reparlera à la rentrée.

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    1. Disons que je n'ai pas envie de brader. Et là j'avais 'impression de faire de l'abattage...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  7. N'a pas tort le-gout-des-autres, se vautrer dans les éteules... et la nuit, sous ta nuisette sexy, tu portes un cilice ?
    ... ou ton champ n'était qu'une prairie.

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    1. Oui c'était la prairie de mon frérot, et pis toute façon le Goût et toi z'avez aucune posésie... :-P
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Tu ne voudrais quand même pas qu'on t'écrive une ode au popotin balafré ?

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    3. Ah ben si, justement
      Ça me plairait beaucoup !
      Chiche ?

      ¸¸.•*¨*• ☆

      PS: je me demande pourquoi j'ai dû rep^cher ton com dans les spams...
      Tu crois que c'est à cause du mot «popotin» ? ;-)
      Sont puritains chez blogger...

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    4. J'avais remarqué, quand je l'ai écrit, il n'est pas apparu sur ton blog.

      Pour l'ode, j'ai heureusement écrit "on", pas "je". Et puis, pour être à nouveau censuré par Blogger...

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    5. C'est bien parce que c'est toi !

      Sur le chemin, de grand matin,
      Elle ondulait du popotin
      Quand inspirée par quelques gerbes
      Elle voulut se rouler dans l'herbe.

      Hélas, il s'agissait d'un champ
      Qu'on avait fauché récemment
      Et les éteules, oh putain,
      Lui mirent le feu au popotin

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    6. Ode au popotin balafré



      Qui dira les tourments d’un noble popotin
      Qui dira ses douleurs et ses picotements ?
      Malmené, balafré, et du soir au matin
      D’un noble popotin qui dira les tourments ?

      Ah la peau de nos fesses a besoin de douceur
      Et comme les épis de blé coupé l’agressent
      S’asseoir sur des fourmis quelle affreuse douleur
      Donnons de la douceur à la peau de nos fesses !

      Pas de clous, de galets, de cuir brûlant, de plage
      Pas de camping sauvage où le cul sacrifié
      endure mille morts sur son sac de couchage

      Mais du satin, du doux, du moelleux, du duvet
      Nos fondements méritent de vibrants hommages
      Et pour nos popotins soyons pleins de respect.

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    7. Mais c'est génial !
      Et je vois que malgré les mots lestes
      Blogger ne vous a pas molestés !
      Bravo à tous les deux !

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    8. Ah mon cher Boss, c'est vraiment trop bien.
      merci merci, t'es trop fort.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    9. T'es pas mal non plus, mais ça, je le savais déjà !

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    10. Merci, je sais que là, tu es au taquet question compliment quand tu dis ça... ;-)
      Bisous joyeux
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    11. Poètes o;))) Walrus sait donc écrire plus que moins de cent mots o;)))

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    12. Eh oui, Pivoine, Le Boss a des fulgurances parfois...

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  8. Je ne suis pas sous le chêne, trop fort, pas sous le saule, trop en larmes, mais sous le charme, de tes mots qui tordent doucement le cou au temps, et de cette musique rêvanescente. Bises Angel Baby et ATTB, from your Picard friend.

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    1. Toi en revanche t'es plain de posésie, my friend, pas comme ces fifrelins du dessus qui font rien qu'à m'embêter.
      Je tordrais bien le cou au temps mais il résiste, il est coriace...
      Je te souhaite belle journée, fatal Picard
      Kisses and all this sort of things...
      ¸¸.•*¨*• ☆
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  9. j'aimerai bien dire un truc malin ou drôle,
    pour que le monde ébahi ait une image flatteuse de ma petite cervelle
    mais je ne trouve que ça à dire :
    "- prends le temps de prendre le temps"
    :)

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    1. Tu es déjà tellement malin et drôle sur ton blog, cher dodo.
      Oui je vais essayer de prendre le temps de prendre mon temps.
      parce que de toutes façons, si je ne le prends pas, personne ne me le donnera...
      Biz
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  10. Ecoute bien, tu entends le temps qui s'écoule ? Non ? C'est normal, il coule lentement, si lentement qu'on ne le voit pas avancer... Et pourtant ! ];-D

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    1. Je sais que tu es notre maître à tous, sur ce plan-là. Et ta philosophie me plaît bien.
      C'est vrai, le temps est une rivière qui ne fait pas de bruit, et pourtant elle emporte tout sur son passage tel un torrent furieux.
      BPDA
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Je ne connais de torrent que la Seine, parfois sous le Pont des Arts elle se déchaîne, elle emporte tout le temps d'un baiser...

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    3. La Seine, un torrent ? entre le Mont Parnasse et le Mont Martre alors ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. La Seine, c'est ça qu'on traverse en sortant d'Austerlitz pour se diriger centre ville? Et il y aurait des monts? Et pourquoi pas des merveilles? Putain, Doyen, c'est l'air marin de là - haut, ou quoi?

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    5. @Andiamo
      L'air marin tourne souvent la tête, il a raison le petit Bof...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. @Bof
      Tu sais bien, les Parigots pensent qu'ils ont tout à Paris...
      Chut, ne les détrompons pas...
      Bisous de ta petite Celle (qui est si mignonne)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    7. Vire les parenthèses!

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    8. Je n'aurais pas osé...mais puisque tu m'y autorises... ;-)

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  11. Laisser le temps prendre son temps... tu étais où en Ardèche j'y suis nos temps de sont peut-être croisé !

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    1. J'étais entre Lamastre et Vernoux...dans une sorte de bout du monde qui n'est même pas sur la carte...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  12. Se lancer des défis et puis accepter que c'était un peu trop, c'est de l'intelligence ça!
    Tu sais, chère Célestine, les surprises c'est encore plus agréable que l'attendu.
    Et puis, je vais te dire : pour ma petite personne c'était trop aussi parceque j'aime lire et relire tes billets, les laisser m'interroger et là j'avais un peu de mal à profiter de chaque billet.
    Alors, merci pour ceux qui viendront, en leur temps, dans ton temps.
    Doux moments "d'ailleurs"
    Et retournes-t'en,
    plein de rires et de champs
    vivre le quotidien
    le coeur encore tout plein.
    Nicmo

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    1. Pour ce qui est des surprises encore plus agréables que l'inattendu, tu prêches une convertie...
      Tu as bien compris que mon arrêt de jeu était une façon de rendre hommage à mes lecteurs fidèles, qui ont le droit de souffler aussi.
      Je t'en remercie de tout coeur.
      Ecrire, c'est pour moi un échange terriblement important. Faut pas gâcher, comme dit mon frère.
      Bisous
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  13. Le temps... le mien a été occupé, tellement, par la fête de départ de mes amis. Il est passé tellement vite avec du rire et des larmes.

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    1. Je crois que tu n'étais pas la seule à faire la fête ce week-end...
      J'irai voir ce que tu as publié dès que possible
      Bizou
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  14. Bonjour Célestine, quel joyeux billet qui sent bon l'été, l'herbe coupée, de jolies tables où le rire est présent. Que du bonheur :-)
    Profite des belles journées
    Merci pour cette musique, mes bisous ♥

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    1. Joyeux, certes, avec juste ce petit rien de mélancolie que provoquent les grandes réunions de famille, où les bébés d'hier ont des bébés, et des barbes de trois jours...
      Bisous belle rêveuse
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  15. Il y en qui cherche à tuer le temps....Moi je préfère le respirer, lui donner de l'amplitude et donc le ralentir...Douce illusion mais ça fait du bien.

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    1. Tout n'est-il pas qu'illusion, cher maître ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  16. A oui, toi aussi, tu renonces au défi que tu t'étais lancé ? Tu le fais en toute simplicité et tu as bien raison ;)

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    1. Je l'avais fait pour toi, comme tu le sais. Mais tu ne m'as pas suivie et tu as eu raison de ne pas t'imposer quelque chose qui ne te correspond pas.
      C'est ce qui m'a fait réfléchir.
      La simplicité est une vertu que j'essaie de pratiquer avec plus ou moins de réussite, c'est selon.
      Mais je suis heureuse que tu le soulignes ici.
      Bises ravies
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. C'est intéressant cet enchainement autour de l'écriture : d'abord je me demande pourquoi j'écris, à la suite de quoi tu te lances un défi en répondant à ma question : « J'écris. Pour moi, pour vous. Pour dire les choses avant qu'elles ne s'effacent. »
      Du coup, stimulé, dopé, ragaillardi, je me lance dans le même défi que toi… mais ne tiens que quelques jours (ne surtout pas "forcer" si l'inspiration n'y est pas), et finalement tu finis toi aussi par renoncer… pour ne pas "forcer" le rythme de certains de tes lecteurs :)

      Finalement on en revient à un seul thème : le plaisir de l'écriture/lecture. D'une forme de partage, en quelque sorte.

      Pour la simplicité, je l'ai soulignée parce que pour moi ce n'est jamais simple de rompre un *engagement*, quel qu'il soit. Même le plus informel et sans conséquence aucune.

      Bises enchantées

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    3. Ah oui, le plaisir de l'écriture...et le partage. Des thèmes qui nous sont chers à tous deux.
      d'où il convient de faire régulièrement des retours sur sa pratique, s'interroger comme nous le faisons et faire éventuellement des pauses.
      Tu n'avais pas vraiment pris d'engagement. Aussi ne sois pas inquiet, je ne t'ai pas tenu rigueur de cette défection.
      C'est de toutes façons la sincérité qui prime toujours.
      bises nocturnes
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  17. Il est vrai que lorsque vous avez évoqué le fait que vous alliez écrire un billet tous les jours, je me suis dit: "oh, la, la". C'est très difficile de tenir le rythme. Je crois qu'il faut laisser le temps au temps...et à l'inspiration, qui n'est que respiration de l'âme.

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    1. J'ai participé au défi des 366 réels à prise rapide de Raymond Queneau, et cela ne m'a posé aucun problème d'écrire un billet par jour pendant un an. mais c'était sur un blog dédié (vous pouvez aller y jeter un oeil en haut dans les onglets cliquez sur "en cent mots)
      Mon blog, lui, ne supporte pas ce format contraint.
      Mon inspiration, elle, est intacte. C'est celle de mes lecteurs qui risquait de s'émousser avec un rythme quotidien...
      Bien à vous
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  18. Bah, Celle, ton défi d'un billet quotidien a été bien mené, je trouve.
    Et puis, moi, depuis que j'ai appris tant bien que mal à parler, je savais que je renoncerais. C'est d'ailleurs bien confirmé, hein, Celle, hein?

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    1. Tu es un grozamour, mon petit Bof.
      Et tu reviens quand tu veux, tu sais bien...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  19. Celui qu'on veut sien et celui des autres
    Le tien le mien celui qu'on veut notre...
    Même en cent ans,je n'aurai,tu n'auras pas le temps ,de tout faire...
    Alors basta les billets quotidiens.J'avoue que j'avais du mal à écrire un commentaire chaque jour!Bon,je sais aussi que je n'étais pas obligé,mais toi non plus!Alors,prends le temps de vivre,d'être libre...
    Bon,je sais aussi,je me répète...
    J'aime te lire,j'aime tes billets,j'aime m'imprégner de tes mots,des images qu'ils suscitent,j'aime les pensées qu'ils font naître;J'aime prendre le temps de construire mes commentaires,prendre des notes,griffonner les premières pistes,écrire un brouillon,des brouillons et quelquefois d'un premier jet.
    Alors là,tu me fais plaisir,je vais prendre le temps à nouveau de me jeter à l'eau...
    Quand à l'ami ricoré,il faut prendre garde à ce que cela ne devienne pas l'ami "déchiré":
    https://www.youtube.com/watch?v=DKiVLYI8qGE
    belle nuit à toi

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    1. Voilà tu es l'archétype du lecteur que je savais avoir bousculé un peu avec ce défi.
      Alors je suis heureuse de revenir à un rythme plus raisonnable. Et puis comme disait ma grand mère pour excuser ses revirements, il n'y a que les ânes qui ne changent pas d'avis...
      Excellente la vidéo.On ne remplacera jamais les Nuls et leurs parodies déjantées...
      la nuit fut très bonne, merci.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Mince alors! Je croyais bêtement être un brave type!Enfin "brave", pas la signification que l'on y donne dans le sud.J'espère seulement que ce n'est pas uniquement pour éviter de me "bousculer" que tu as arrêté?

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    3. Pas uniquement, mais tu n'es pas le seul qui se soit senti un peu bousculé par le rythme.
      Bien sûr que tu es un brave type, ai-je dit le contraire ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. Non ,bien sûr!Le brave archétype de lecteur que je suis est assez touché par les précautions que tu pends pour notre plus grand confort!
      Merci de cette délicatesse.

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    5. La délicatesse ... tu sais combien j'accorde de l'importance à cette qualité que je place au-dessus de toutes les autres ...
      Alors tu ne sais pas combien tu me fais plaisir...
      Bises ravies
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. C'est vrai que bousculé, je l'ai passablement été, d'autant plus que mon emploi du temps ne me laissait guère de quoi batifoler sur les blogs.....
      Alors je prends ce coup de frein comme un cadeau; même si j'avais suivi sans peine les cents mots.

      C'est pas dégueu le coin à ton frérot, mais je connais un rital qui te dirait que ça manque de bitume et de monoxyde de carbone...

      Ti bacio mia Cara

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    7. Ben oui c'est la grande leçon. Les cent mots c'était à part, un blog dédié fréquenté seulement par quelque aficionados...
      Mais là, c'est la plantade pure et simple.
      Alors oui prends-le comme un cadeau.
      Ti bacio anche
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    8. Un peu qu'il est pas dégueu mon coin !

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  20. Le principale étant que tu sois dans ton désir quand tu publies

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  21. Le temps qui passe, le temps qu'il fait, le temps qu'il faut, le temps qui fuit, le temps d'attendre, le temps de vivre, le temps de travailler, le temps qui tue, le temps de danser, le temps de chanter, le temps des merveilles, le temps passé, le temps futur, le temps des vacances, le temps de rien, le temps des folies, le temps perdu, le temps... le temps d'aimer... le temps, le temps.. il en faut tant... le temps, et rien d'autre

    https://youtu.be/KVwsLWkjrt8

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    1. J'adore cette chanson d'où mon titre en forme d'hommage.
      Merci Belle Suzame pour cette déclinaison de ce mot si omnipotent, omniprésent, omnitout...
      Bisous doux
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  22. prends ton temps mais pas trop quand même. Perso, nous partons en fin de semaine chez notre pote Hazoo le peintre multitâches. De sacrés bons moments en perspective aussi

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    1. Chouette rencontre et chouettes moments alors les Caphys ! Promis on se racontera tout quand on rentre.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  23. C'est difficile de s'imposer un rythme quotidien et d'avoir toujours des choses neuves à raconter, c'est difficile de ne pas se retrouver à bâcler un petit peu, ici ou là... Le risque est grand de glisser un peu, et, à force de glissements imperceptibles, on se retrouve à perdre de l'émotion pure, de la sincérité, au profit de l'apparence.
    Bon, c'est clair, en te parlant à toi ainsi, je me rends bien compte que je parle de moi; mais il faut bien avouer qu'un devoir, même auto-imposé, reste un devoir. Et, comme je le dis souvent, j'aime trop le désir...
    Bises d'espace temps ouvert à l'imprévu

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    1. Bien sûr, tu as raison, le désir est un moteur puissant, et je n'écris jamais forcée, même quand j'ai une contrainte. (genre contrainte de sujet d'écriture, défi, atelier) La contrainte libère, aussi paradoxal que cela puisse paraître. La preuve, c'est que lorsque l'on dit aux gens « écrivez ce que vous voulez » ils ne savent plus qu'écrire.
      je crois que j'ai simplement mal choisi mon moment pour mon petit défi. L'été, c'est l'époque de tous les dangers pour les blogs : l'imprévu fait rage et l'on ne refuse pas une aventure imprévue n'est-ce pas...
      Bises pleines d'émotion
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  24. Pareil pour moi. Outre que mon temps se fait dévorer par celui que je donne, la chaleur ralentit le corps mais aussi les neurones. L'envie reste d'aller voir ailleurs, mais X raisons pour ne pas pouvoir. Alors, comme disait l'autre "Va doucement, c'est tout bon"

    https://www.youtube.com/watch?v=iWuPpjWpMms

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    1. Chouette chanson de Nino.
      Et chouette philosophie !
      Ne donne pas tout ton temps, gardes-en un peu pour toi.
      Conseil d'amie, un peu dégoïsme ne nuit pas à la bonne marche de l'ensemble ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  25. Le temps s'en va , le temps s'en vient
    Pour le chat comme pour nous......

    C'est l'histoire d'un chat connu jadis
    Des habitants de la tour des jeunes mariés
    A Marne la Vallée, près l'École du Trésor
    Des logements mis à disposition de couples
    Venant en formation à cette école.

    Le gardien faisait la présentation du chat
    Aux nouveaux habitants :
    Un chat qui prenait son temps
    De temps en temps chez les uns
    De temps en temps chez les autres
    Dans cette tour aux nombreux étages
    Notre chat prenait l'ascenseur
    Et selon son humeur
    Descendait à l'étage pressenti par lui
    Pour y trouver nouvelle compagnie
    Avec lui des fous rires en fonction du temps
    Le temps qu'il prenait à vivre chez un tel
    Le temps s'en va , le temps s'en vient
    Mais nous , à notre étage nous restions
    Pendant que Minou, détaché, jouissait d'autrui


    Paroles de chat

    Pierre

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    1. Les chats sont les rois du temps...
      D'abord ils ont neuf vies, je me demande bien comment on pourrait lutter...
      Et puis ils ne se mettent jamais aucune contrainte.
      Dans une autre vie, je serai chat.
      Merci Petrus pour cette belle histoire.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Ce soir (et je pense que c'est à un poste français), il y a un documentaire sur les chatons... France 5? TV5 Monde? Je ne sais plus...

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    3. Ce devait être bien, ce reportage.
      Ils sont tellement mignons ces petits chatons...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  26. À ta liste de temps omniprésent, j'ajouterai volontiers : Le temps d'aimer.
    c'est probablement celui que je préfère.
    d'autant qu'il est ubiquiste

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    1. Mais je l'ai écrit, le temps d'aimer... juste entre vivre et mourir.
      Car que faire en une vie à moins que l'on ne s'aime ? ;-)
      D'ailleurs je ne fais que ça. Sans doute trop, sans doute mal, mais en vibrant de toutes mes fibres.
      Quant à ubiquiste, je n'ai pas osé le mot. Toi si.
      Merci
      Bises mon Babar chéri
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  27. Ah...le temps...
    je pourrais en écrire un roman, mais il serait insipide, et n'aurait pas ce charme indéfinissable de vos écrits.
    Alors je me contente de goûter celui que vous nous consacrez, délicieuse.
    ~L~

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    1. Un roman sur le temps...le concept est intéressant...
      Merci pour vos éloges d'une parfaite régularité.
      Je biche.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  28. Mais bien sûr, Célestine, prends ton temps, même si tes billets ne me paraissaient pas souffrir de la contrainte quotidienne. Soit opiniâtre mais pas obstinée (ou l'inverse comme bon te semble).
    Bisous,
    Mo

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    1. Opiniâtre sans être obstinée me semble la bonne formule.
      Et il est vrai que j'adore écrire, et que ce n'est pas mon écriture qui est en cause, mais plutôt les commentaires qui s'amassaient sans pouvoir obtenir la réponse qu'ils méritent.Et ça, c'est hors de question pour moi.
      bisous ma jardinière
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  29. Tu n'écris pas (un billet par jour ! et ce n'est pas grave !) mais tu chantes (?).... et si c'est toi chère Célestine, (que je crois reconnaître)... c'est superbe ! ce n'était pas toi ?
    Bisou.
    Den

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    1. J'ai publié quelques chansons de moi ça et là, mais pas récemment.
      La chanson que j'ai mise pour illustrer le billet, non ce n'est pas moi. J'aimerais bien mais non...hélas...
      Merci quand même pour ton enthousiasme.
      Si tu veux m'écouter c'est ICI (par exemple) ou
      LA
      Je t'embrasse
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Merci.... Célestine....
      Bonne journée à toi...
      bisou.
      Den

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  30. Donner du temps au temps...pour mieux se retrouver... pour mieux être soi, c'est un joli projet de vie céleste Célestine. Je t'embrasse, à bientôt. brigitte

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  31. Je profite d'un petit passage sur l'ordi pour lire quelques uns de tes billets et le plaisir de te lire est toujours là.
    Je m’aperçois aussi que chacun de nous éprouve périodiquement une envie d'éloignement. La mienne dure depuis longtemps maintenant et à vrai dire, plus le temps passe et moins l'envie de revenir se fait sentir. Et puis mes deux petits bouts m'occupent beaucoup. Difficile d'allumer un ordinateur (il y a des impératifs administratifs, sans eux le pc resterait rangé!) et d'y rester le temps d'écrire! ça, ça me manque par contre!
    Imagine que j'ai lu à ma fille de 8,5 ans un de mes romans pour ado et qu'elle a adoré. J'en étais toute chose. Par contre, moi j'étais plus critique et j'ai (encore) vu des choses à corriger/améliorer lol
    Enfin bref, tout ça pour dire que même loin, je pense toujours à toi :-)
    Je te souhaite de t'aérer pleinement et de reprendre une graaaaande bouffée d'oxygène et de poussière d'étoile :-)

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    1. Quel bonheur de voir que tu es toujours là, Stella, chère petite étoile.
      Je comprends qu'élever deux petits bouts de choux soit une occupation à plein temps.
      Quand je pense que j'en ai élevé trois, je me demande encore comment je faisais...
      Bref, je suis ravie de te savoir heureuse et en joie.
      Merci de continuer à me lire de temps en temps, cela me fait grand plaisir.
      Je t'embrasse très fort
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  32. Va droit ton chemin tout en ménageant ton rythme, telle est la recette d’une vie épanouie. On peut relever des défis mais pour le plaisir de les relever et avec un engouement certain sinon pas sous pression comme une épée de Damoclès sur ta tête. Laisse ton intuition faire, ne prends que les chemins les plus adaptés pour toi sinon fais comme la rivière qui glisse et coule et imperturbablement quand elle rencontre un obstacle, elle le contourne tout simplement. Merci pour tes mots pleins de délicatesse avec ton cœur qui sautille pour nous.
    Bises ravies

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    1. Oui je suis ton conseil, cher Bizak, et découvre avec une joie ineffable des endroits de mon cher pays que je ne connaissais pas encore.
      Ressourcement maximum.
      Je reviendrai dès que possible vous conter mes aventures contemplatives.
      Bisous émerveillés
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  33. Prends ton temps. C'est parfois stimulant de se poser des défis. C'est bien de ne pas poursuivre quand ça devient pesant. L'été, il faut se reposer.

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    1. C'est vrai, la période était sans doute très mal choisie pour se lancer ce défi-là.
      Et puis je sais que quelle que soit mes décisions, mes lecteurs me suivent avec bienveillance.
      Bisous chère collègue. Et repose-toi surtout.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  34. Sans doute peux tu écrire, heureuse Célestine "Famille je vous aime" - j'en suis heureuse pour toi... Voilà toujours une belle évocation. C'est vrai que parfois on se lance des défis... Un article par jour... Ou tous les jours ou trois jours (quelqu'un m'a dit un jour que c'était le rythme idéal pour accrocher le lecteur... Lui laisser le temps de digérer), mais bon, quand on aime on ne compte pas.

    Il m'arrive d'être inspirée pour écrire. Je poste, puis je retire, et je planifie pour le lendemain ou deux ou trois jours après, pour ne pas assommer mon petit lectorat (!) ami.

    Mais des fois, rien à faire, faut que ça sorte... Je crois qu'on peut se laisser vivre aussi, en plus, c'est l'été et c'est bien d'en profiter.

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    1. Le mieux, en effet, c'est de suivre son instinct et de n'en faire qu'à sa tête, sans régularité.
      Mais comme toi, je tiens à mon lectorat et j'essaie de ne pas le bousculer, ou pire, l'assommer.
      Bisettes ma douce
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  35. Éloigné quelques temps, je reviens à temps. :)
    J'aime beaucoup Tom Waits. L'une de ses belles chansons s'appelle Time.

    Oh it's time, time, time
    And it's time, time, time, that you love

    Et il est temps, temps, temps que tu aimes

    Bises.

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    1. Très belle chanson en effet.
      J'aime beaucoup sa voix, qui ressemblent un peu à celle de Leonard Cohen.
      Time to love, oui...
      Bises cher Patrick
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  36. Une échappée belle à la campagne, un retour aux sources, la joie de voir s'égrener le temps en compagnie de ceux que l'on aime sont des moments uniques dans une vie, car à chaque fois différents...
    Merci d'avoir partagé avec nous ces instants de bonheur que tu exprimes si bien!
    Bisous

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    1. Tu as parfaitement résumé mon état d'esprit en revenant de cette belle fête.
      Et partager ce bonheur est un plaisir subtil.
      Merci Maryline
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  37. C'est vrai que je n'arrivais plus à te suivre, mais il est vrai aussi que depuis presque deux semaines, j'avais plein de monde à la maison. :-)
    Bonne fin de journée, Célestine. Bisous.

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    1. Tout est bien alors.
      Comme si l'ordre des choses revenait doucement...
      je t'embrasse, chère Françoise
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  38. C'est vrai qu'écrire tous les jours ce n'est pas simple, surtout quand on écrit comme toi, aussi bien et sur tout... L'été nous pousse à quitter ce chez nous parfois étroit, parfois trop grand, pour aller voir ailleurs si nous y sommes. C'est qu'à coté de notre écran il y a la vie avec ses surprises, avec des gens que l'on aime. Alors, forcément, le soir tout se bouscule et l'envie de saisir le mot pause à deux mains nous vient en tête.
    J'avoue moi aussi de céder à l'abandon avec l'excuse de farniente.
    Aller, repos, et laisse toit en roue libre...
    Bises volées sous l'ombre du tilleul cet après-midi.

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    1. Oui la pause m'est salutaire, et il est vrai que si j'ai la matière foisonnante d'écrire deux ou même trois billets par jour, mes lecteurs me sont terriblement importants, sinon je n'écrirais pas un blog, mais juste un journal intime.
      Je suis heureuse de constater que si je leur laisse le temps, ils sont toujours au rendez-vous.
      Bises contentes
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  39. Ravi que tu aies lâché ce rythme d'un billet/jour, vraiment.

    Bleck

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  40. Pas facile à tenir une chronique par jour ! Certaines y arrivent mais je ne sais pas comment. Je me cale sur un article tous les 3 jours quand ça va, et tous les 4 quand je suis moins inspiré.
    Tu bois du Ricoré le matin ?? Nan pas possible ! Bon week-end !!

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    1. J'ai dit ça, moi, que je buvais du Ricoré ? j'ai juste parlé de l'ambiance...
      Je te laisse relire un peu plus haut ls raisons qui m'ont fait abandonner mon "défi"
      Bisous Mindounet
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Mais non je te taquine...t'es plutôt branchée l'ami Ricoré non ?? (pas taper non plus , c'est pour t'embêter) ! Bon retour et bisous !

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  41. comme je le comprends, ce petit coeur qui a sautillé devant cette abondance de bonheur ! Car si à la fin, il sautille pour nous, c’est qu’il avait fait le plein de tellement bonnes choses qu’il fallait les partager. Le bonheur en famille ! Ah je connais ça et ne m’en lasse pas. Surtout lorsque « les grands » oublient que j’ai 70 ans et parlent encore de moi comme si j’étais une adolescente ! :D
    Peut-être une façon déguisée de se rajeunir eux-mêmes ? Oh les petits malins !
    Un gros bisou et à bientôt de te lire . J’ai lu le billet précédent sur les petits chats, mais pas les autres. Entre deux lectures remplies de crimes et de sang…(en ce moment : Délivrance de Adler Olsen) je suis sûre que tes billets me feront retrouver un peu de sérénité ! (rires )

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    1. Je te le souhaite en tous cas. La sérénité fait du bien, même si tu adores les livres pleins de crimes et de sang...
      Je crois aussi que tu es encore au fond de toi une adolescente...
      Merci pour ta fidélité Mariejo.
      Tu es adorable
      Bisous
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  42. C'est dur d'écrire tous les jours, j'ai lâché l'affaire comme on dit. Pour "densifier" le contenu je l'espère ^^ Tu as raison d'espacer tes billets, parce que je ne sais pas pour les autres lecteurs mais je n'ai pas la possibilité de lire les blogs tous les jours. Sinon, ce billet a fait remonter des souvenirs en moi, de longues tablées. Mais c'est du passé...en Ardèche dis-tu? Juste à côté de ma Drôme des collines?

    Bises

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    1. Oui, juste à côté, chère Désirée.
      Pour l'heure, j'en suis très loin, puisque je me trouve quelque part au bord de l'océan atlantique.
      mais je reviens tout bientôt.
      Bisous salés d'embruns
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  43. J'aime bien ce "hey lecteurs chéris".
    C'est ce pluriel qui me gêne un peu...

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  44. Garder le temps suspendu comme un défi au sablier qui s'écoule, le temps prisonnier pour repeindre de vieux souvenirs, des petits échos de nos joies buissonnières; c'était si beau et ça revient d'un coup autour d'un feu de bois et du chant des guitares, dans le partage des rires et de la nuit.
    Garde ce temps précieux, c'est une embellie.
    Bises Gersoises

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    1. Ah les joies buissonnières comme c'est joliment dit Balaline
      Merci beaucoup
      Bisous retardataires
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  45. Réponses
    1. Elle fut délicieuse n'en doute pas ...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  46. un peu, beaucoup dans ça également; laisser aller les billets quand ça vient, et quand ça ne vient pas itou

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.