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08 janvier 2017
Laisse couler
Dis-moi, poses-tu les armes parfois, cesses-tu le combat, panses-tu tes griffures de matelot, laisses-tu les épissures épuisantes de tes cordages contre les vents contraires ?
Fais gaffe, ne te perds pas dans cette lutte constante, elle est sans répit et sans fin. Laisse un peu les autres mesurer le fond de la mer.
Oublie un peu tout ça, les peurs, les obligations.
Prends le temps, décroche-le de ses aiguilles d'acier, délicatement mets-le sur tes genoux, caresse-le comme un gros chat qui aurait envie de filer, mais que tu apprivoises sous tes doigts, pour le sentir doucement lâcher prise, ralentir, ronronner.
Rien ne presse. Attrape tes priorités, regarde-les briller entre ton pouce et ton index, pierres précieuses translucides au fil de l'air. Rien n'est plus primordial que de les recompter comme on compte ses billes, enfant, en les serrant sur son coeur tel un trésor. Dis-moi ce que tu caches tout au fond de ton âme, rince-toi, lessive-toi comme un linge frais que l'on aère au vent, tu verras, c'est bon !
Respire. Ecoute, sens, touche, regarde, goûte. Jouis de tout. Laisse couler.
¸¸.•*¨*• ☆
Musique: Joshua Hyslop, Let it go
109 commentaires:
Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.
Faire une pause dans la recherche de soi est parfois utile, voir salutaire.
RépondreSupprimerSans prendre la philosophie méridionale pour une règle de vie, il est possible d'en faire des ré créations...
https://www.youtube.com/watch?v=f317gvBq26Q
Ti abbracio Sorellita TVB
Ah cette chanson me rappelle tellement mon père...
SupprimerJ'en ai eu les yeux mouillés. C'était sa philosophie, « dans la vie faut pas s'en faire » et toute cette sorte de choses...
baci della mattina
¸¸.•*¨*• ☆
Un texte magnifique qui tempère nos ferveurs et montre que la sagesse et la magnanimité sont des antichocs face aux fortes vibrations et secousses que la vie ne cesse de nous asséner. Je plussoie et je rêve d'un monde où l'amour est notre baume quand tout s'étiole et s'en va. Bises rêvées.
RépondreSupprimerRêver ce monde est une très belle chose, Bizak. S'emplir de pensées positives, j'y reviens toujours, c'est ma nature, ma respiration, après avoir fait sortir de moi les miasmes et les poussières qui m'empêchent de respirer, en toussant ma peur et mes blessures, je respire largement et le monde m'apparaît tel que je le pense, ni plus ni moins;
SupprimerRien ne s'étiole quand on le tient dans ses bras comme un trésor, un cadeau de la vie.
Bises apaisées
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Tu as raison, on sait comment finissent les barrages !
RépondreSupprimerC'est vrai que ça finit toujours par se fissurer, et alors le pétage de plombs est souvent grandiose...et dévastateur.
SupprimerTrop de gens se retiennent, se retiennent jusqu'à exploser. Comme disait mon père, pète un coup, ça ira mieux.
C'était un poète mon père.
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Je crois bien qu'il m'aurait plu ton poète de père !
SupprimerSi j'osais, je dirais bien que tu lui ressembles beaucoup (la barbe en moins...)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un mot de toi et je me rase !
Supprimer... Et quel mal pourrait-il y avoir à ressembler à un poète ?
C'est juste parce que tu m'intimides...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tu n'es pas la première qui me dit ça. Et ça m'épate toujours de l'entendre parce qu'étant moi-même un grand timide, je me demande bien ce qu'on peut me trouver d'intimidant :o)
SupprimerOn est pas mignons tous les deux ? ^^
Supprimerhihi !
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J'imagine que oui, puisque tu le dis :o)
Supprimer^^
SupprimerJulos Beaucarne, un autre poète, que ne doit pas dédaigner Walrus, disait:
Supprimer"Un pet retenu fait un abcès au trou du cul." J'ose le dire, puisque la parole d0un poète n'est jamais vulgaire.
Ti bacio et accolade à Walrus
Un vrai poète comme on n'en fait plus...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Oui, Julos, l'homme du front de libération des arbres fruitiers (mais ça fait une paie)
SupprimerMoins que Rutebeuf, quand même...^^
SupprimerHoulâââh, c'est fou comme ce texte me prend à partie, j'ai l'impression que c'est à moi que tu t'adresses ! 8o0
RépondreSupprimerA ceci près que c'est bien parce que je commence toujours par les récréations que j'ai plus de temps pour les choses sérieuses ! :oD
Mais tu as raison, "rien n'est plus primordial que de recompter ses priorités comme on compte ses billes, enfant, en les serrant sur son coeur tel un trésor." Rien.
Comment tu fais pour écrire un billet qui, chez moi, tombe peut-être à pic ?
Abin oui, c'est facile, j'oubliais que t'es une fée !
...'fin moi... Jdirien...
Je pense que ce texte s'adresse à tout le monde, dans le sens où le lâcher-prise est quand même une quête assez universelle. les priorités, est-ce les "récréations" ? ou simplement les choses qui nous aident à nous construire, en évitant soigneusement celles qui nous détruisent ou nous donnent un goût de fiel dans la bouche ?
SupprimerEn ce sens oui, ré-création, si cela permet de nous re-créer, de repenser le monde à l'aune de notre joie profonde et vitale ...
Est-ce être une fée que d'avoir la faculté de se connecter à cette joie ? Alors tout le monde a, au fond de lui, une baguette magique.
(Et Andiamo, pas de remarque blogborigmienne, s'il te plaît ! hihi )
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J'irais bien voir couler le torrent...
RépondreSupprimerMais doit falloir penser à mettre les mitaines, l'a pas l'air d'y faire chaud !
Purée oui, j'ai entendu dire qu'en montagne ça avoisinait les moins vingt ce matin...
SupprimerFaut mettre des préservatifs en kevlar...muahaha !
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Très simple. Très beau. Voici ce que m'inspire ce texte qu'on absorbe comme une gorgée de bon café :
RépondreSupprimerAu bout de quel détour
Une larme devient ruisseau ?
Par quel miracle
L'onde vole comme un oiseau ?
Combien d'étoiles
Dans un flocon
Que la neige cache
Sous le manteau ?
Puis vient ce souffle chaud
Arrivé dans un frisson
Se posant sur l'épaule
Comme un vol de papillons
Sur ce, je retourne à mon bug informatique qui a mis mon site sens dessus-dessous.
Les dieux de l'informatique me préservent d'un tel bug ! j'en serais catastrophée...
SupprimerCela dit, ton cerveau et ta fibre poétique ne buggent pas, eux.
C'est très beau, vraiment ce que tu écris.
Les papillons sur l'épaule me parlent à l'âme et me disent que le printemps est en gestation.
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J'aimerais bien savoir jouer comme le monsieur qui chante la zik qu'on sait pas ce que c'est. Koi c'est ?
RépondreSupprimerJ'avais mis le nom de l'artiste en bas du billet, mais apparemment Claude a de meilleures lunettes que toi... ^^
SupprimerIl est vrai que j'ai écrit petit...
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100% d'accord avec ce billet, auquel ma vie, ma vraie vie (c'est à dire quand je ne suis pas au boulot) ressemble de près. Musique superbe et de circonstance.
RépondreSupprimerMerci pour ce réveil :)
Ton boulot n'est pas ta vraie vie ? Alors là tu m'étonnes Pierre !
SupprimerMoi qui ai toujours essayé de travailler dans les meilleures conditions mentales et matérielles, considérant que ma vie se trouvait là, à cet instant (enfin un instant qui a duré presque quarante ans !) et qu'il m'était nécessaire de l'enjoliver au maximum. C'est ce que je répondais quand ons'étonnait que j'aie décoré ma classe (et plus tard mon bureau de directrice) comme s'il s'était agi de ma maison. Avec des rideaux aux fenêtres, des plantes et plein de petits détails qui rendaient les lieux agréables à l'oeil, pour moi comme pour mes élèves. je n'ai jamais compris comment on pouvait passer autant de temps dans un endroit sans l'arranger à sa sauce...
Oui mon boulot a été ma vraie vie et maintenant, ma vraie vie est ailleurs mais toujours aussi passionnante !
Quant à Joshua Hyslop, il fait partie de mes belles découvertes de ces derniers jours.
Tout à fait le genre de musique qui me soigne l'âme.
Alors heureuse de partager, comme toujours
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Ma vraie vie, c'est celle que je vis en toute liberté :)
SupprimerMon travail me plaît et j'ai pour objectif de le vivre dans les meilleures conditions mentales et émotionnelles, mais le stress y est quasi permanent. Entre les urgences immédiates, les priorités du jour, celles de la semaine, les objectifs de fin de mois, les bilans de fin d'année et prévisionnels de l'année suivante, les projets à longs terme, c'est une course permanente contre le temps. Alors enjoliver mon bureau, j'avoue que ça passe après. D'ailleurs ce n'est pas important puisque je ne lève pas le nez pour regarder ce qui m'entoure. S'il y a quelque chose que je veux "embellir" c'est la qualité relationnelle, la disponibilité, l'écoute, le bien-être de mes collaborateurs et de ceux dont ils s'occupent.
Tu disais quoi, déjà ? « Fais gaffe, ne te perds pas dans cette lutte constante, elle est sans répit et sans fin. ». Ah oui, c'est vrai… ;)
Ça je le fais, mais chez moi.
Bises givrées
Je comprends...
SupprimerLa "déco" du lieu de vie, c'était un exemple pour expliquer la façon dont j'ai vécu mon travail: comme faisant partie intégrante de ma vraie vie. Des contraintes, bien sûr, mais aussi de très bons moments où je me disais "attends, je suis payée là, pour être là, c'est formidable. "
De purs moments de bonheur. Mais j'ai eu aussi la tête dans le guidon, à certains moments, je le reconnais, et pas qu'un peu. Cependant j'ai toujours cherché à comprendre en vertu de quel principe le travail devrait-il toujours être associé à son étymologie de tripalium ... j'ai toujours revendiqué le droit d'être humaine, faillible et à énergie renouvelable mais pas illimitée.
Je suis sûre que tu fais pareil, toi qui réfléchis si intensément à la notion de paradigme à changer... ;-)
Je ne cherchais pas à juger la façon dont tu travailles, je m'étonnais juste de l'antagonisme travail/vraie vie.Où le travail serait comme une privation de liberté.
Je crois qu'au contraire, le travail m'a libérée, ne serait-ce que financièrement...
Bises titilleuses ;-)
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Je n'ai pas perçu le moindre jugement dans ta remarque :)
SupprimerEt je comprends fort bien la qualité de vie (et de déco) que tu as eu envie de mettre dans ton travail. Le paradoxe du travail, c'est qu'en effet il libère (financièrement) et qu'il contrait (parce qu'il faut respecter des objectifs). Je ne le vois d'ailleurs pas comme son étymologie le désigne, fort heureusement ! Il fait donc vraiment partie de ma vie… mais n'est pas la "vraie vie" au sens où je l'entends : celle que je me choisis en toute liberté. Bon, tu me rétorqueras que si je travaille c'est aussi parce que je le choisis et tu n'auras pas tort ;)
Bises convergentes
Ben voilà...tu me l'as ôté de la bouche. Nous sommes donc convergents !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Houlà il m'a fallu deux lectures plus la première en diagonale qui compte à peine... je suis trop primaire houlà... bon, il y a bien une phrase, quelques mots qui me parlent illico, peut-être...
RépondreSupprimersi j'avais à résumer... "... la vie ne serait-elle pas un peu comme un livre ouvert avec des pages un peu chiantes et puis des pages illustrées, de belles pages de temps en temps..." alors parfois profiter de la jolie page bien illustrée et puis laisser couler !
Bleck
J'adore quand tu fais semblant d'être un bourrin...
SupprimerAlors que tu as parfaitement saisi la substantifique moelle de mon billet.
Qu'on pourrait résumer par la phrase de mon père (tu sais le poète) « laisse pisser le mérinos »
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Chacun fait comme il peut, certain se confient... D'autres pas, certains pleurent... D'autres pas.
RépondreSupprimerEn tout cas joli texte empreint de sensibilité ];-D
Merci Andiamounet.
SupprimerBien sûr chacun fait comme il peut, ou comme son cerveau a été habitué à penser depuis si longtemps qu'il n'a même plus l'idée qu'il pourrait penser autrement...
Mais ceci est un autre débat !
Baci caro amico
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Certes, ma vie est résumée dans ta dernière phrase mais, à mon (grand) âge , ma p'tit Dame, on n'a plus le temps d'attendre et j'ai encore beaucoup de choses à découvrir. Pas plus tard qu'hier un être qui m'est cher m'a dit " je ne peux plus faire de projets à long terme" J'ai regimbé en entendant ces propos et pourtant oui, il a raison, nous ne pouvons pas nous projeter dans un avenir lointain comme nous le faisions à 20 ans . Cependant ce n'est pas un problème pour moi , la vie m'a appris à savourer le moment présent et je m'en lèche les quatre doigts et le pouce.
RépondreSupprimerBises d'une jeune fille à toi ma cadette.
Tu auras d'autant plus de temps que tu auras laissé de côté les choses pas importantes...
SupprimerC'est juste cela le sens de mon billet. Laisser couler, laisser glisser, ne pas s'arrêter à écuter les oiseaux de mauvais augure, les négatifs, les donneurs de leçons, les m'as-tu-vu, les psychorigides et tous ceux qui nous bouffent notre atmosphère, parce qu'il se bouffe le leur et qu'ils n'ont qu'un besoin : celui de voir sombrer les gens trop heureux qui les renvoient à leur sentiment d'échec ou de ratage. Je l'ai souvent remarqué. Comme si les idées pourries devaient forcément déteindre comme des moisissures...
Il n'y a pas d'âge pour se gorger des fruits sains de la joie de vivre.
Bisous grande soeur. Profite !
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Tu as raison, rien ne presse et tout arrive quand le moment est mûr. Bien des batailles se seraient conduites en simples remous très abordables, alors que nous avons choisi de foncer sabre au clair. Je l'ai constaté bien souvent. Et désormais je suis devenue meilleure à ne pas échafauder des scenarii de drames à venir "bien évidemment si ceci ou cela n'est pas fait à temps, ou pas fait tout court". La réalité sort souvent du scenario toute seule, et suit son cours. Et les rochers sur lesquels nous pensions nous fracasser n'étaient que chimères...
RépondreSupprimerLe temps nous est clément : il nous apporte tant de constatations, et si nous apprenons sa leçon, en échange oui, il s'installe comme un gros chat ronronnant...
Baci sorellita!
Rien à rajouter à ta sagesse, que je goûte depuis que je te connais comme un grand verre de vitamines régénérantes.
Supprimerbaci sorella
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Oh qu'est-ce que c'est beau! D'abord tu m'a trouvé un folkeux complètement inconnu et formidable. D'ou vient-il? Laisse couler, let it go, bravo. Parfois ça peut être Let the good times roll. Parfois aussi Let it bleed.
RépondreSupprimer"Ecoute, sens, touche, regarde, goûte. Jouis de tout."
J'essaie, tu sais, je te le promets. Mais je viens de recompter mes billes. Il en manque. Je t'embrasse Angel Baby. ATTB;
Je ne sais pas d'où vient ce Joshua Hyslop, sans doute du chapeau d'un magicien cosmique, mais c'est vraiment une très belle découverte. Je le soupçonne d'avoir des origines quelque peu irlandaises car certaines de ses sonorités ne trompent pas.
SupprimerVa sur d**zer, tu le trouveras sans problème. Il a enjolivé ma journée hier, et celle d'aujourd'hui s'annonce sous les mêmes auspices.
Même s'il te manque des billes, je te souhaite de compter avec délices celles qui sont bien présentes dans tes mains et qui roulent avec un bruit de grelot.
Les plus belles sont en toi.
Bises d'un ange
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"Joshua Hyslop is a folk singer-songwriter né à Saskatoon, Canada.
SupprimerIl a pas l'ai bien vieux, et je gage qu'il pourrait te plaire... ;o))
...et il y a un joli ballet, un peu inhabituel, sur le clic, pardon, le clip...
Supprimer...mais Jdirien...
Oh l'autre comment qu'il renverse la situation à son avantage ! A t'écouter, c'est toi qui me le fais découvrir Lol !
SupprimerDis donc, tu crois que je l'aurais proposé s'il ne me plaisait pas ?
...Ah mais tu veut dire physiquement ? Attends je cours voir à quoi il ressemble, mais s'il a le physique de sa voix, il doit pas être dégueu... ;-)
Enfin, bon je suis peut-être féline, mais pas version couguar...
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Moi j'aime bien qu'il soit de Sasakatoon, au beau milieu de la Saskatchewan, ça fait rêver d'aventures...
SupprimerBon, faut absolument que j'apprenne à arpéger, pasqu'y m'énerve le gamin ! ;o))
Très joli le ballet en effet. Il y a donc du rêve pour tout le monde, voilà le secret du succès...un chanteur charmant et de belles danseuses...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Saskatchewan...rien que le nom et hop je m'envole vers des contrées lointaines ! Mais ça doit cailler grave là-bas, en ce moment non ?...
SupprimerCe nom, je l'ai appris dans une chanson que l'ami Eeguab m'avait proposé de (massacrer) chanter...
Tumble in the wind, de Jackson C.Frank
i seem to tumble in the wind
i wait for it to begin
when i look at you
i ain't too proud to say
i once loved a girl this way
i bring trouble on my lonesome self
i see danger in each offered help
times are hard
the money just won't come through
i would be alone if not for you
they brought me in on a flatcar
down from old hong kong
tried to tell me what i was doing
was absolutely wrong
tried to make me over
into a man of steel
but i knew i would have to kneel
from the plains of alberta
with its wheat so wild and strong
i rolled over the Northlands
till i came to saskatchewan
from a hardback in my satchel
i read the words quite clear
hurry home to your loved ones now
wintertime is near
i seem to tumble in the wind
i wait for it to begin
when i look at you
i ain't too proud to say
i once loved a girl this way
Tsssssss !
SupprimerVeux-tu retirer tout-de-suite ce "massacrer" ! Pour ma part, et sans fayotage aucun (ou presque !) de ma part, j'aime autant ta version que celle de l'auteur qui est furieusement insipide !
Quant à la Saskatoon, Wikipédia dit que "Les températures extrêmes dans la ville varient de -50 °C l’hiver à 40 °C l’été." Tu supposes donc juste et il semble bien qu'il vaille mieux pas oublier les mitaines et le foin dans les bottes !
...'fin moi... Jdirien...
Saskatoon, c'est pas pire, en ce moment : -17°
SupprimerMoins dix-sept chez toi ?
SupprimerAh woué, quand même !
;-)
@jdissa
SupprimerTu es sûr que tu la connais ma version ? Tu ne confonds pas avec d'autres ?
Je ne pensais pas l'avoir publiée... ;-)
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Naaaan : -17 à Saskatoon !! (-4 chez moi)
SupprimerJ'ai un copain au K.G.B. ...
SupprimerL'espion qui venait du froid, c'est ça ?
SupprimerNon ? Tu le connais ? Mézalors il est grillé !
SupprimerCa va le réchauffer ! ;oDD
...'fin moi, hein...
^^
Supprimerque voilà une belle exhortation à faire la pause :-)
RépondreSupprimerje vais suivre ton conseil ce dimanche et ne faire que ce qui me plaît :-)
bises Célestine
Très bonne décision, Adrienne.
Supprimerl'idée, c'est de suivre cette résolution chaque jour, en fait...
Parce que rien ne nous en empêche. Même le travail douze heures par jour ne nous empêche pas de trouver la vie formidable. Et de cueillir chaque instant passé à construire, échanger avec des clients ou voir briller les yeux des élèves comme des cadeaux de la vie.
Bises Adrienne
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C'est un luxe de prendre le temps, un luxe que peut s'offrir une retraitée.
RépondreSupprimerOui c'est souvent ce que j'entends ça et là...parce que les gens courent après le temps comme asphyxiés, en oubliant de faire des pauses vitales sur leur vie. Mais je connais des gens qui avaient une vie de dingue (un ami à moi, petit chef de micro-entreprise constamment au bord du burn-out, grosse dépression et hop: changement radical de vie, du jour au lendemain, il est devenu chauffeur de car et il revit, je ne l'ai jamais vu si épanoui)
SupprimerEt donc, ma chère Heure Bleue, au risque de te contredire, (ou de te contrarier, shame on me) je ne crois pas que ce soit un luxe. Plutôt une faculté à cultiver.
Le temps, c'est comme l'argent. Il y a ceux qui n'en ont pas beaucoup, et qui pourtant parviennent à faire des choses admirables avec trois bouts de ficelle, et puis certains qui pètent dans le fric et sont éternellement insatisfaits et tournent en rond dans une vie vide et vaine.
Prendre le temps de souffler, de méditer, ça se saurait s'il n'y avait que les retraités qui le faisaient. Ça s'apprend dès le plus jeune âge.
Cela dit, on est toujours le luxe de quelqu'un en ce monde...les retraités pour les actifs, la jeunesse pour les vieux, la beauté pour les moches, la grandeur pour les petits, les fonctionnaires pour ceux du privé...
Et si chacun cultivait les fleurs de son jardin actuel, comme vous le faites si bien, le Goût et toi, sans se culpabiliser ?
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Arrête de toujours faire fonctionner ton mental, arrête un peu le flux des pensées. Pendant que tu pense tu ne vois pas la vie défiler devant tes yeux. Et surtout connecte toi à tes sens, une autre façon de percevoir, plus sensitive et moins rationnelle. Le mental est là pour comparer, trier, juger, séparer.....C'est pas très bon....Voilà ce que je me dis souvent !
RépondreSupprimerTu te dis de bonnes choses, Daniel. Mais je ne suis pas surprise de la part d'un prof de yoga. ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
On me dit assez : " toi, tu ne t'en fais jamais, t'as de la chance ! " " Tout à l'air de te passer au-dessus !" " rien ne te touche, pour toi tout est facile ... ! " etc .... J'aurais bien aimé rencontrer ton Père et si péter rend la vie plus facile, je plussoie ce qu'il dit, mon grand-père le disait aussi ..... Apprendre aux enfants à lâcher prise très tôt rendrait leur vie d'adulte certainement plus agréable. Tout s'apprend et surtout à ne jamais se prendre au sérieux.
RépondreSupprimerTu entres en résonance avec ce que je dis à Heure-Bleue un peu plus haut: les "recettes" du bonheur en tout genre font vendre, alors qu'il suffit d'interroger son coeur, sans se prendre au sérieux, pour réorienter sa vie en douceur. C'est pourquoi, effectivement, cela devrait s'apprendre dès le plus jeune âge. Cela me semble la priorité des priorités, si on veut que les choses évoluent...
SupprimerBisous joyeux
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"Respire. Ecoute, sens, touche, regarde, goûte. Jouis de tout. Laisse couler."
RépondreSupprimerEt surtout écoute regarde les gens (pour le reste faut un peu leur demander leur avis...), c'est passionnant.
Souvent drôle, parfois tragique mais même là il y a si souvent de quoi en sourire que ce serait péché de rater ça.
(et je remarque que tes commentaires sont datés du 1er août 2017, tu es pressée à ce point ? ;-) )
Hihi ! très drôle. Bien sûr que j'ai moi aussi le goût des autres, de leurs petit travers, de leurs pathétisme, de leurs secrets demi-révélés...Oui, une source de joie simple, comme se mettre à une terrasse de café et observer...
SupprimerPour les comms, c'est vrai ça paraît bizarre, c'est le format anglo-saxon, ils sont fous ces grands bretons, ils mettent le mois avant le jour...Pour le reste, oui, je demande toujours la permission. ;-)
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Ah, la, la que tout cela semble facilement couler de source et pourtant que c'est difficile à faire !
RépondreSupprimerLe plus difficile est sans doute d'inverser les choses en ce disant: "c'est facile, je vais y arriver"...
SupprimerÇa vaut vraiment le coup, j'en suis persuadée. Notre corps réagit en fonction de nos pensées, et une pensée positive produit des substances bénéfiques dans nos cellules, qui nous permettent de nous sentir plus fort.
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Je suis désormais totalement persuadée que tu es ma bonne fée. Si souvent, ton billet, tes mots font échos à mes pensées et m.apaisent, répondent à mes tourments . Ça.est un petit texte que je relirai souvent avant ma petite méditation du matin.....
RépondreSupprimerTu m'en vois ravie, ma luciole, complètement ravie.
SupprimerTant de gens ont écrit pour moi des choses d'anges, c'est bien mon tour...
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Tout à fait, ma douce, il faut laisser couler. C'est ce que j'essaie de faire le plus souvent possible. Pour mon bien, et celui de l'autre aussi.
RépondreSupprimerTrès jolie cette chanson, j'aime beaucoup.
Bel après-midi, sous la neige pour moi. Gros bisous.
Belle après-midi floconneuse, alors, chère douce Françoise, j'espère que ton rouge-gorge ne va pas mourir de froid !
SupprimerLaisse tomber la neige comme on laisse couler l'eau; sans chercher à retenir le flot ou le courant.
Tant d'étoiles se nichent dans un flocon, comme dit le poète...
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Le monde est malade et souffre si fort qu'il n'est pas toujours facile de ne pas se laisser rattraper. Mais, oui, tu as raison, il est primordial de rester soi. Rester limpide. Ne pas se diluer. Garder son rythme, ses couleurs. Garder sa tendresse. Se sentir bien. Etre bien. Aimer des êtres qui nous aiment, sourire aux autres sans les craindre, s'ouvrir aux autres sans les craindre. Se sentir beau, belle.
RépondreSupprimerBeau, belle de l'intérieur...
Qu'est-ce que c'est bien dit ! C'est exactement ça. Comme un mantra, une rengaine, répéter, se répéter cette beauté, parce qu'elle fait du bien, à soi, aux autres, au monde.
SupprimerEt la beauté intérieure rejaillit à l'extérieur comme ces fontaines dont l'âme rebondit sur la pierre en éclaboussures.
Bisous ma Baladine
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Ho oui, ho oui.... laisser couler, parfois, comme je l'ai fais cette semaine
RépondreSupprimerEt tu as parfaitement bien fait...ma Brizou.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Merci, un grand merci Célestine pour tes mots. Que c'est beau.
RépondreSupprimerIl est bon de se prendre du temps pour soi, de se dire, je vais faire ceci ou cela sans se poser de question. C'est ainsi que je conçois la vie. Merci aussi pour cette douce chanson.
J'ai vraiment aimé ton billet.
Bisous ♥
C'est drôle quand même, les méandres humains.
SupprimerJ'écris un petit billet juste comme ça, en dix minutes, et mes lecteurs me remercient.
Tu es formidable Denise.
Un grand merci du coeur.
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Beau texte, belles images, belle image, belle musique !
RépondreSupprimerJe ne te raconte pas combien de chouettes billes j'ai récupérées dans mon grenier hier ! Je suis en train de les lustrer pour les partager sur le ouèbe cette semaine. J'espère que tu me concéderas que c'est une belle priorité !
Une magnifique priorité j'ai hâte de voir ça !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Poser les armes,laisser couler, oui mais qui me soignera après, quand j'aurai posé mon bouclier,façonné depuis tant d'années...heureusement il y a des étoiles qui brillent sur la mer !
RépondreSupprimeret Célestine toujours à notre écoute
J'essaie de rester à l'écoute de mes ressentis, et parfois, ça parle aux gens.
SupprimerMerci chère poétesse.
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bon, j'ai envie de te faire rire alors, pour laisser couler, il y a aussi "laisser pisser le mérinos" que j'affectionne de temps en temps....multiples bises salées
RépondreSupprimerOui, ma belle, c'est la version Célestoche de laisse couler...
SupprimerEt tu es gentille de vouloir me faire rire.
Très gentille. :-)
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Mais c'est qu'elle va commencer à " banturler " celle-ci?
RépondreSupprimerBanturler ? ce qui veut dire ?
SupprimerToujours des mots nouveaux hein, mon Bof...
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Mais c'est pas un verbe nouveau. Va voir si tu veux sur Google. Peut- être ça te plaira?
SupprimerPas trouvé... :-(
SupprimerÇa irait plus vite que tu me le dises...
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Si tu tapes " banturle " ou " banturler " tu devrais avoir plusieurs articles qui expliquent. Cependant, en tant qu'infirme, je suis absolument incapable de mettre un lien...
Supprimerbanturle : « personne qui se comporte bêtement, qui fait preuve de manque de sérieux. Le banturle, c'est le glandeur, celui qui n'en fout pas lourd, trainasse, glandouille. »
SupprimerAh ouais, d'accord...je me suis grillé la réputaion, en fait... ;-)
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Non, là t'as trouvé une définition de Parisien. Faut aller plus loin en chercher une vraie, genre " jouir à prendre son temps ". Oublie cette mauvaise définition, ma petite Celle qui es si mignonne. òc es?
SupprimerAh d'accord, alors là je banturle tant que tu veux, mon petit Bof qui es si gentil d'être venu me rassurer...
Supprimer^^
Ah, tu vois bien. Bon, bé pour changer, et pour illustrer ce formidable verbe banturler, je vais t'annoncer que je vais voir ce qu'il reste pour le repas car figure toi que j'ai un peu banturlé ce matin, mais rien de bien méchant, hein!
SupprimerAh oui, quelle bonne idée !
SupprimerPenser à manger quand même, hein...faudrait pas tomber d'inanition !
Bon app cher petit Bof
Et moi, j'ai appris un mot, je suis contente depuis hier ...
bisous
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RépondreSupprimerJe partage +++,
Le pire est d'enfouir, ça fait le nid de toutes sortes de maladies.
Bises joie de vivre.
Je prends tes bises joie de vivre avec plaisir, Nicmo.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Holà Célestine! Attraper ses priorités!Comment faire?
RépondreSupprimerIl m'est arrivé d'en "griller" une au guidon de ma moto!Je n'avais pas la priorité,voila ce qui arrive quand on rêve!
J'ai eu très peur,j'ai respiré un grand coup.Après le crissement des pneus de l'autre véhicule,j'ai pris le temps d'écouter le silence.Je savais que j'avais fait une bêtise.
Je sentais mon cœur battre à toute vitesse.Je me suis arrêté sur le bord de la route,j'ai regardé autour de moi,il n'y avait personne.Ouf!
J'avais les jambes flageolantes,j'ai marché un peu,le temps de gouter un plaisir proche de la jouissance...J'allais continuer à profiter de la vie,et c'était cool!
Bon, plus sérieusement,Quand j'étais enfant,je l'ai décroché des aiguilles d'acier...
Mais quoi donc? le temps?
Ben non! Justement,ce n'était pas du temps que ma maman tricotait,mais bien du fil(de laine).
J'ai bien compris ou était ma priorité!
Laisser aux autres le soin d'affronter... la Mère!
Tient!Une priorité au hasard,se régaler d'écrire...Et les bonnes choses de la vie.
C'est vrai que je n'est jamais vraiment eu de priorité,et je ne crois pas en avoir encore!
Profiter du temps qui passe,et si possible quand cela vaut la peine,arrêter le temps parce qu'on est heureux... Anissa Karat(c'est comme de l'or!)
https://www.youtube.com/watch?v=jmjrN6VDDIY
Ton premier paragraphe est tellement émouvant...
SupprimerDis donc, tu es passé à deux doigts de la mort à ce que j'ai compris...
Oui bon attention aux priorités...à droite, quand même !
Surtout à moto, ça pardonne pas ;-)
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Oui bon,j'ai un peu exagéré,et enjolivé les choses!Mais ce n'était pas un commentaire type "constat amiable"!Je ne me suis rendu compte de la fragilité de la vie quand j'ai vu que l'autre conducteur a eu plus peur que moi! En moto,il faut être plus attentif à tout.Depuis,je choisis mes priorités...
SupprimerBon,tu as vu...j'ai réussi à "caser" tous tes mots!
C'est vrai, tout y est..mais j'avais été un peu subjuguée par ton histoire, alors je n'avais pas vu les autres mots...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je te rassure! Histoire à peine exagéré,mais vrai.Je suis très prudent,aucune chute depuis plus de trente ans.bon, du coup,je n'est pas vraiment commenté ton billet!
SupprimerPas au sens stricte ,je veux dire!Un billet tendre,une invitation à la déconnexion,
à la paresse aussi,à se laisser vivre tout simplement sans s’embarrasser de ce que l'on ne veut pas. Superbement écrit ,comme tu sais le faire.
Merci Xoulec.
Supprimerje prends en plein coeur !
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Ton texte me parle singulièrement ! Je suis depuis aujourd'hui en arrêt pour vraiment soigner une dépression qui me pourrit la vie. L'espoir revient...
RépondreSupprimerBisous
Je te serre dans mes bras, Eva. Prends soin de toi.
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Ta force, Célestine, c'est de parler les yeux dans les yeux, avec chacun(e) d'entre nous... c'est l'impression que l'on a en te lisant, te découvrant...laisse couler, laisse couler, tu as bien raison ! "respire, écoute, sens, touche, regarde, goûte, jouis de tout"..... et arrête le temps, respire le silence, ses beautés et ses couleurs. Merci Célestine.
RépondreSupprimerBonne soirée à toi.
Bisou.
Den
J'aurais dû lire ton billet du dimanche... Le samedi. Cela m'aurait bien aidée. Mais les choses viennent quand elles doivent venir o;) Dimanche, mon fils me "coachait", une fois de plus o;) Et aujourd'hui, je le lis encore mieux !
RépondreSupprimerMerci les filles pour vos mots encourageants.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Excellent conseil, merci Célestine!
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