Je suis en mode « ménagère de moins de
cinquante ans » dixit un pote à moi…
M’en fous, j’assume.
Je berce, je berce. J’interlope. Je pénélope.
Je mate des vieux films des nineties.
J’écoute Ella en boucle, et je rêvasse mi-ombre mi-soleil en suçotant
mon crayon, ma grille de mots croisés devient un lac aux songes. J’ai les
doigts qui traînent dans l’eau, de toute manière, et les neurones en crème fouettée façon Chantilly…
Quitte à être Pénélope, je choisis d’être Cruz
dans Volver. (Qui n'est pas un film des nineties, ok, mais c'est mon rêve, je fais comme je veux)
Pénélope Cruz, brûlante.
Ou Meryl Streep dans Madison. Sublime.
Voilà c'est ça. Dans mon rêve je suis brûlante et sublime. Alors que dans la réalité je me sens molle et tiéde. Ben quoi, on peut rêver, non ?
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« En
suivant ton petit
Bonhomme de bonheur
Ne berces-tu jamais
En tout bien tout honneur
De jolies pensées interlopes… »
Bonhomme de bonheur
Ne berces-tu jamais
En tout bien tout honneur
De jolies pensées interlopes… »
Brassens.
Pénélope, 1960
Ah tu prends des risques en citant GB dans Penelope, il l'a fait rimer parfois avec des noms d'oiselle ;)
RépondreSupprimerNon. Je prefère penser in petto, que j'aurais fait un excellent photographe, sur la route de Madison, tu sais bien, là, vers le petit pont couvert, où la lumière est si belle ...
Hi hi tu as raison, il y a des rimes qu'il vaut mieux éviter...
SupprimerCela dit, pourquoi dis-tu "j'aurais fait "un excellent photographe ? je crois que tu ES un excellent photographe, trop modeste ...
Et tu n'as pas choisi n'importe quel endroit...La lumière est très belle près du pont couvert.
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Nous ne pouvons pas rêver, nous devons rêver !!
RépondreSupprimerBleck
j'ai toujours pensé que le rêve était une nécessité absolue.
SupprimerVoilà un ordre auquel il est facile pour moi d'obtempérer !
:-)
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Rêver, c'est comme respirer, mais en plus absolu car tu n'entendras jamais un radiologue te dire : "Ne rêvez plus" et "Vous pouvez rêver"...
SupprimerTu te sens "molle et tiède", mais si c'est toi qui en défini la valeur, tu ne dois pas pouvoir être confondue à un paquet de guimauve tout de même....
Une ritalo-irlandaire molle et tiède, ça doit remuer davantage qu'une franco-provencale :-D
Ti bacio
Tun me fais rire, Blutchiamo
SupprimerTu as de ces comparaisons...un radiologue... j'imagine la scène. Si on me dit "ne respirez plus" déjà j'ai du mal...Alors "ne rêvez plus"...C'est un peu comme "Ne pensez à rien" j'y arrive pas !
Par contre, j'avoue qu'aujourd'hui, avec les 36 degrés celsius, je tenais davantage de la guimauve que du bâton glacé...mais tes supputations sur les mérites comparés des irlando-ritales et des franco-provençales sont-elles étayées par une base solide?
Baci per te
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J'avoue que pour les irlando-ritales, mon échantillonnage est assez restreint, mais des mieux étayés et il te serait mal-venu de dire le contraire :-). Depuis deux ans, je suis assez souvent dans le Sud à voir évoluer mes congénères du beau sexe pour évaluer les divers tempéraments... "O jord'hui peut-être ou alors demaing" , c'est bien une chanson de Provencal, puisque Fernand est né en Avignon... J'ai parfois l'impression que c'est l'hymne national de la Provence :-D
SupprimerTanto baci Ragazza
Oh alors, si tu appelles Sardou à la rescousse, je n'ai plus qu'à m'incliner devant cet argument imparable...
SupprimerBaci de ton échantillon préféré
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Ah, Ella ! "So for at least untill tomorrow, I'll never fall in love again !"
RépondreSupprimerAllez, à demain ?
Au moins !
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tu vois, tous ces messieurs te trouvent brûlante et sublime :-)
RépondreSupprimerbises et joyeux Madison, Célestine, ou bella giornata particolare (jour après jour, bien sûr)!
Ah...Ettore Scola, tu me prends par les sentiments, là.
SupprimerTu es gentille Adrienne. Merci d'entrer dans mon rêve de midinette.
Quoique...brûlante, avec la chaleur qu'il fait, je me demande si c'est bien une bonne idée ?
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Et Clint Eastwood, il est où?
RépondreSupprimerSi je le savais...Je scrute l'horizon, pas le moindre pick-up en vue.
SupprimerFaudrait pas qu'il se soit fait choper par un radar mobile, il paraît qu'il y en a partout maintenant...
Muaha !
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Je veux croire que ce n'est qu'à cause de la météo, cette tiédeur et cette mollesse.
RépondreSupprimerCar je sais que vous êtes de ces femmes passionnées et brûlantes que vous citez dans ce billet mutin.
Délicieux billet de rêverie au bord de l'eau...
~L~
J'avoue que la torpeur caniculaire m'ôte toute fougue primesautière.
SupprimerA dire vrai, j'aimerais un gros orage; un truc bien carabiné, qui rafraîchisse notablement l'atmosphère.
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- Tiède et molle!
RépondreSupprimer- Hum, hum...
- Ben oui, tiède et molle quoi!
- Oui...
- ...?
- Dites!
- Euh...
- Bien, à la semaine prochaine.
N'éprouvâtes-vous point vous-même cette molleur, cette tiédesse ?
SupprimerA la semaine prochaine, c'est ce que je pensais, justement...
les grands esprits (ni mous ni tièdes) se rencontrent... :-)
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Molle et tiède, cela me fait penser à une madeleine sortant du four et de là à Proust il n'y a qu'un pas que tu me fais franchir allègrement. Reste au frais, prend soin de toi et tiens nous au courant de l'évolution de ta douce et bénéfique léthargie. .
RépondreSupprimerUne madeleine bien dorée, douce au palais.
SupprimerJe vois que tu es une hédoniste, Chinou, même si Walrus, dit "le Boss" va encore dire
"Quoi, encore ce Marcel! "
Ma léthargie s'arrêtera avec la canicule.
Gros bisou et merci de ton passage, chère amie
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Pénélope rime avec pin-up ! Rêve rêve ma belle il en restera toujours un peu de bleu au fond de tes yeux .
RépondreSupprimerAh...c'était donc ça ! J'ai dû beaucoup rêver alors, dans ma vie...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Hello Cel. Pour le rimes à Pénélope on est prié de tourner sa langue.... sauf à tenir un commerce de e-cigarettes à doubles volutes genre stop clop.
RépondreSupprimerMoi qui suis un à ménager de plus de 50 ans (oh le grand coquet) je signale qu'un vieux film est un film des fifties. Jeunette va, ma Penelope! ATTB with coeur.
Meryl et Clint c'est parce que toi et moi n'étions pas libres. Si,si.
je n'avais pas envisagé cette rime...elle est très...poétique !
Supprimer1995...déjà vingt ans, c'est vieux pour un film. Je me souviens tellement de sa sortie...
J'adore ta dernière phrase.
Bises célestes et àttb
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Moi j'adore ton avant-dernière phrase. Bises +ATTB.
SupprimerJe t'ai envoyé un mail hier matin.
Je l'ai repêché encore une fois dans les spams...
SupprimerJe ne comprendrai jamais ma boîte mail...elle est pire qu'une duègne !
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Une très belle histoire ....
RépondreSupprimerN'est-ce pas...Même si elle ne finit pas très bien, mais vous connaissez la chanson... les histoires d'amour finissent mal etc etc...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ce n'est pas dans les mots que vous réaliserez Celestine, vous êtes comme vous êtes, l'écriture ni changera rien. On devine juste en vous lisant que derrière la midinette se trouve une femme sensuelle. C'est un des avant ages de votre age. Essayez dans profiter simplement ;) joli texte une fois de plus
RépondreSupprimerC'est très joli, un "avant âge"...
SupprimerJ'essaierai de suivre vos conseils de sage avisé.
Les mots, pourtant, m'aident grandement à me réaliser, beaucoup plus que ce que l'on croit...
Mais ma part de rêve est immense et je n'y renonce pas
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A propos nous avions échangé y'a deux ans me semble t-il quelques mots sur un de vos auteurs fétiches : Saint Exupery. Je vous avais fait part de la légende familiale comme quoi nous aurions hébergé Saint Exupery pendant la guerre à Oppéde le vieux. Le Télérama de cette semaine publie un très bel article sur le groupe Oppéde et confirme mes dires. On y parle de mon grand oncle par alliance Georges Brodovitch et de mon arrière grand père maçon (Bonnet) ;)
Supprimerhttp://www.telerama.fr/monde/oppede/
Je ne parviens pas à lire le lien.
SupprimerJe vous promets de lire l'article dès que j'aurai mis la main sur le dernier télérama...Mais celui-ci a une vie baladeuse dans la maison...
Bises curieuses
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Chère Céleste, hier, j'ai trouvé votre délicieux message « compassionnel » : je vous en remercie vivement. Comme je vous l'explique, je n'ai pu « gouverner » Tous les garçons pendant tout ce temps, pour une raison strictement technologique. J'ai un peu oublié l'internet, je me suis consacré à des plaisirs modestes et d'une « simplicité de bon aloi ». Le petit texte qui ouvre cette discussion est d'une épatante concision, il miroite, il scintille, il file entre les yeux, comme une eau vive dans une fontaine secrète. Il dit de vous des choses, qui ne sont pas déplaisantes. Je vous salue, mélancolique jeune femme aux yeux d'horizon.
RépondreSupprimerAh combien j'apprécie votre analyse très originale de mon petit billet !
SupprimerLa concision me plaît tellement que j'en ai fait un cheval de bataille quotidien sur mes "cent mots". Une façon d'exercer ma plume chaque jour sur une consigne de monsieur Queneau himself.
Mélancolique, certes...je le suis toujours un peu en écoutant Ella Fitzgerald.
Bien à vous
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Et moi je me demande ce qu'elle attend, Pénélope, avec ses jolies pensées interlopes…
RépondreSupprimer« Les soirs de vague à l'âme
Et de mélancolie
N'as tu jamais en rêve
Au ciel d'un autre lit
Compté de nouvelles étoiles »
J'ai compris ! Compter de nouvelles étoiles… les voilà les pensées interlopes !
Cette strophe de la chanson de Georges me parle, évidemment, tu connais ma passion pour ces petites choses éternelles et scintillantes...
SupprimerBises étoilées
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Volver, super film...j'aimais beaucoup Almodovar quand j'étais cinéphile, un grand cinéaste. Madison aussi, un très beau film...pour le reste je ne me prononce pas puisque je ne t'ai jamais rencontrée !
RépondreSupprimerGros bisou pas tout mou !
Le cinéma espagnol, j'adore. Almodovar entre autres, cet espèce de frémissement continuel que l'on sent comme un souffle dans tous ses films, et dans le visage de ses actrices fétiches.
SupprimerOui j'aime beaucoup.
Pourquoi dis-tu quand j'étais cinéphile ?
Bisous matinaux
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Non non non et non ! Pas de cinéma espagnol ou polonais: ils m'em... tous deux profondément :(
Supprimeril faut bien que nous ayons quelques goûts qui diffèrent dans cet océan de points communs...Moi c'est le cinéma coréen qui me saoule...
Supprimer;-)
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Cinéma coréen, mais du sud ou du nord? :-D
SupprimerLol, mdr et ptdr...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Oui ben n'empêche, le film "Poetry" du sud coreen Lee Chang-dong est tout simplement magnifique !
SupprimerJe n'en doute pas...Je suis tombée plusieurs fois sur des gros navets, ça m'a un peu dégoûtée. Peut être que tu changerais d'avis toi aussi, peut-être qu'il est bon d'élargir sa culture et de ne pas rester coincés sur nos à-priori...
SupprimerKiss
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Ella, Ella ... Certes, mais c'est Billie surtout qu'il l'a !
RépondreSupprimerQuoi de mieux qu'un tendre duo entre Billie Holiday et Ben Webster, un soir de canicule, alors que l'orage menace sur le Mercantour?
Bon d'accord, avec Coleman Hawckins, c'est great aussi...Alors quand ces trois là étaient réunis dans le mitan des années 50, c'est du velours pour les oreilles ... quelque soit la météo :)
Je m'y vois...surtout que l'orage ne fait pas que menacer sur le Mercantour, il tombe vraiment...
Supprimeralors que sur la mer, les nuages charrient une chaleur moite et que sur le theâtre de verdure, la musique résonne au bout de la nuit.
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Maintenant que tu as le vent en poupe, laisse le bateau s'envoler, tu a trop garder tes pieds sur terre. On n'a que le bon temps qu'on se donne! Il faut te laisser bercer par les rêves, ne jamais revenir en arrière, le vent en poupe comme je le disais. Comme l'a dit aussi Brassens: Par un petit matin d'été, quand on s'en va le coeur ravi , qu'elle est belle la liberté, quand il fait bon vivre sa vie au grand soleil d'Occitanie, qu'elle est belle la liberté. Allez, je t'embrasse ange aux longues ailes diaprées et te laisse friser le ciel.
RépondreSupprimerAh oui, quelle belle chanson, et quel beau film...j'avais adoré cette histoire d'homme et de cheval.
Supprimer"On n'a que le bon temps que l'on se donne" je suis tellement d'accord avec toi mon Prince.
Bisous célestes et diaprés
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Bon, au moins, ça prouve que tu n'es pas toujours la même! Bienvenue au club. La mollesse j'ai du mal mais la paresse léthargique, je sais faire.
RépondreSupprimerPS je lis rarement les commentaires de tes admirateurs mais j'aime bien celui de ce Patrick Manson, un peu plus haut. Bises et à bientôt
Ah non , je ne suis pas toujours la même, c'est vrai. C'est comme le temps...
SupprimerIl n'y a pas toujours la canicule non plus ! C'est vrai que ce temps me rend molle !
Patrick vient rarement mais il sait faire mouche.
D'une manière générale, mes lecteurs sont adorables, et je le dis sans aucune flagornerie. Et puis je suis toujours contente de constater que, pour moitié, mes "admirateurs" sont des "admiratrices".
A très bientôt, je t'écris sur FB
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mais tu sais bien que le masculin en grammaire, l'emporte encore :-)
SupprimerChienne de règle de grammaire...
Supprimermais bon, c'est comme ça !
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Imagine mon problème lorsque je parle de "mes lecteurs" alors qu'à au moins 80% il s'agit de lectrices !
SupprimerA une époque j'étais en formation : 13 femmes, et moi comme seul homme. Devant la disproportion flagrante j'avais proposé que le féminin l'emporte. Mais on ne s'affranchit pas aussi aisément des règles de grammaire et la plupart du temps le masculin était employé par les formatrices :/
Tu étais à l'avant garde une fois de plus... ;-)
SupprimerLes esprits sont formatés par des règles de syntaxe centenaires, que veux-tu, et faire bouger les lignes, là non plus ce n'est pas facile...
Bises nocturnes
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Ah du coup, je suis remonté lire le comm de Patrick car c'est assez rare les interactions entre les commentateurs célestiniens! Qu'est ce qui méritait ce coup de chapeau?
RépondreSupprimerBon, d'accord, il est stylé, ce comm. Langage soutenu, mots percutants, expressions poético-romantiques et une petite pointe de mystère allusif, juste assez pour rappeler une complicité et tenir les autres à l'écart ... Et puis le vouvoiement, c'est classe ça le vouvoiement, ça vous pose un comm! Non, vraiment, très stylé ce comm, je l'écris sincèrement, sans arrière pensée négative...ça me fait réfléchir ... Mais pas trop longtemps, il fait trop chaud !! ;)
"C'est assez rare les interactions entre les commentateurs célestiniens!"
SupprimerAlors là, tu me scies ! Que tu ne lises pas tous les commentaires, je te pardonne, car il y en a parfois beaucoup...mais que tu n'aies pas remarqué au moins une fois ou deux les joutes oratoires entre Blutchy et Jdissa, ou entre Bof et Saoul-Fifre, là j'avoue que cela m'étonne.
Sinon, j'espère bien que tu écris sans arrière pensée négative, pourquoi en aurais-tu ? ;-)
Bises célestes
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C'est vrai ça, pourquoi ? Moi l'assertif de service !
SupprimerÇa va s'en dire mais ça va mieux ... :))
"L'assertif de service" ? Ce n'est pas très joliment formulé, ça. Tu représentes bien plus que cela pour moi, tu ne crois pas ?
SupprimerBisous toujours parisiens
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Ah la route de Madison....
RépondreSupprimerEt comme tu le sais je suis photographe....
Ce film inspire beaucoup les photographes, on dirait...
SupprimerEt comme tu le sais, j'aime beaucoup ce film !
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célestine où est ton billet sur ton départ de l'éducnat? il me manque!!
RépondreSupprimerIl est
SupprimerMettre un lien
ICI
Pourquoi aurait-il changé dé place ?
Bisous rassurants
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Je viens d'ouvrir ton billet, juste après avoir regardé la wonderful Meryl dans Été à Osage County. Hum, c'est pas tout à fait pareil ;-).....
RépondreSupprimerBulle ma Célestine, bulle, c'est nul la vie sans bulles....
je n'ai pas vu le film dont tu parles. Mais je ne doute pas que Meryl y soit éblouissante comme à chaque fois...
SupprimerSinon, oui, je bulle et je pétille comme une coupe de champagne...
Bisous ma belle
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C'est bon de Pénéloper et de rêvasser à la carte. Un jour on n'en a plus envie et on dit "assez! j'ai des choses à faire, moi!" et on réalise que ce temps "inutile" a été un vrai bain de jouvence, de quiétude, de cajolerie que l'on s'offre avant de remettre les gants de boxe (et on arrive à en faire, des choses tendres encore, avec ces gros gants... incroyable!) et de sauter dans le ring!
RépondreSupprimerBaci e Pénélope bien et longtemps...
C'est amusant Edmée cette métaphore boxeuse ... il est vrai que j'aime bien alterner les périodes de rêvasserie et les périodes d'action.
SupprimerTu fais bien de mettre des guillemets à "inutile" car évidemment ce n'est pas inutile...
mais la seule façon d'affronter les coups du ring avec le sourire.
Baci la mia sorella
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Brûlante et sublime.....oh oui ! Je me sens juste grosse et molle to billet me donne envie de changer d'etat d'esprit
RépondreSupprimerOn va courir ? :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je suis également fascinée par Meryl Streep dans Sur la route de Madison....
RépondreSupprimerBonheur du jour ! Comme ça me fait plaisir de te voir ! ça fait une éternité...
SupprimerJe vois que nous avons encore les mêmes valeurs sûres.
Bises très célestes
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Tant que tu ne te lèves pas la nuit pour défaire ce que tu as fait le jour, tu peux rêver ce que tu veux ! Ou porter ta Cruz comme tu veux. (Les Portugais la portent haut !);-)
RépondreSupprimerP.S. pour l'astronome-rêveuse : Si tu navigues vers Véga, ne va surtout pas peiner Lope !
héhé mon Oncle ! Jolis jeux de mots je suis sidéralement sidérée...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆