C'est l' heure vénéneuse où le soir tombe sans bruit. Quel est donc ce fracas à l'intérieur d'elle?
C'est le bruit des départs, c'est le bruit sournois et mou du dimanche soir. Entre chien et loup. Le chien va dormir dans sa niche, le loup n'est pas encore sorti. Elle se sent seule, soudain, et sa solitude la transperce comme une pluie d'hiver. Elle a envie de crier, et aucun son ne sort de sa bouche.
C'est le bruit des départs, c'est le bruit sournois et mou du dimanche soir. Entre chien et loup. Le chien va dormir dans sa niche, le loup n'est pas encore sorti. Elle se sent seule, soudain, et sa solitude la transperce comme une pluie d'hiver. Elle a envie de crier, et aucun son ne sort de sa bouche.
Elle a beau cultiver les Fleurs du Bien, ce soir celles du Mal ont un goût insidieux. Elles poussent leurs tiges malsaines et s'insinuent dans ses oreilles, et s'enroulent autour de son coeur avec des souffles de hyène malade. Elle pourrait se secouer les puces et faire semblant de gambader joyeusement à travers le jardin empierré de froid, rentrer vite au bord du feu, mais ils s'en vont, elle se sent seule. Les chouette! et les youpi! se sont fait la malle, il n'y a que les snifs qui passent. Elle ne se force plus, elle ne veut plus faire semblant, elle prend la vague plutôt que de fuir.
Ça ne dure pas longtemps. Le temps d'un solo de saxo qui troue le ciel ni bleu ni gris. D'un bleu saudade, d'un bleu sans étoile, sans lune, sans ses lucioles familières.
Le temps de prendre sa guitare, de jouer un air au piano, n'importe quoi pour laisser couler, vite, dans son corps, ces larmes tièdes, tout en virant d'un coup d'éponge les miettes de gâteau, sur la table abandonnée, le gâteau de la vie qui diminue trop vite.
Et puis la vie revient, doucement comme le rose aux joues pâles d'une convalescente.
Le petit zonzon rassurant des textos qui renouent le lien.
Le chat bâille comme indifférent, à cette tempête muette.
Son monde revient, les gens qui l'aiment, les Fleurs du Bien.Elle a l'impression d'avoir été faire un tour au fond de l'eau. Elle se dit qu'elle n'aimerait pas mourir noyée.
Chaque chose reprend sa place, elle sourit timidement à son miroir, hébétée par la violence de ses émotions. Elle se connaît, pourtant.
Elle sait que c'est comme ça, à coups de dimanches soirs, à coup d'hivers, à coup de blues, à coup de riens, que viennent les rides.
Mais elle s'en fout, finalement. Tant qu'elle ressent, elle est vivante. Même si parfois, ça secoue force douze. Elle est vivante.
Oh le blues du dimanche soir... Quand s'en va un être cher, mais le départ prépare aussi le retour !
RépondreSupprimerOui c'est ce que l'on dit quand on cultive les fleurs du bien...^^
SupprimerOula, Oula: une soupe bien chaude, une bonne nuit, un lever dans le petit matin glacial, et si les symptômes persistent après la récré du matin, un kirounet.. Cela devrait aller, Mâme Célestine, au moins jusqu'à dimanche prochain.
RépondreSupprimerA Diù siatz.
Merci Docteur Bof! Je vais commencer par la soupette.
SupprimerBisettes
Si je m'étais douté, je me serais rasé...Sinon, ça va mieux?
SupprimerRude semaine mais ça va mieux...globalement...
SupprimerSi tu t'étais douté de quoi?
:-)))
hé oui c'est comme ça :-)
RépondreSupprimerbises et très bonne soirée quand même, n'oublie pas le Carpe diem :-)
Non non, je ne l'oublie pas...
SupprimerJe laisse juste s'exprimer mes coups de blues.
Nous voilà donc toutes deux ce soir dans le winter blues, ma douce sister.... Allez un coup de rhythm and ... c'est reparti...
RépondreSupprimerJe me trouvais plutôt bien ces derniers temps. Fière et sereine; bon tu sais bien, y a des hauts et des bas dans cette affaire...Merci pour tes mots qui requinquent.
Supprimermoi dans ces cas là je prescris une petite leçon de Stromae !
RépondreSupprimeralors on va commencer par la 23
http://www.youtube.com/watch?v=49qhh0o2QHw
et puis si ça persiste on enchaine sur la 24 ,
http://www.youtube.com/watch?v=zeHWMnHrH3s
à regarder sans modération !
La 24 mieux que la 23, mais c'est un avis tout ce qu'il y a de personnel...j'aime pas trop les raviolis en boite!
SupprimerTiens, un p'tit truc... C'est gratos et ça mange pas de pain...
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=rYc77MTk3cM
Bernard
Merci, c'est vraiment ce qu'il me fallait ce soir, un petit JJG de derrière les fagots de haricots...
Supprimer:-)
Pour moi c'était dans le train du dimanche soir qui m'emportait loin des miens pour une semaine de déplacement. Même si c'était la même rame, le train du vendredi était beaucoup plus serein.
RépondreSupprimerUn petit JMB c'est pas mal non plus! Bonne journée...
Supprimer
RépondreSupprimerVous faites tomber vos étoiles à travers nos cils...
C'est une bien jolie phrase que vous m'avez écrite là, cher nuage. Oui, une bien jolie phrase...
SupprimerComme tu le dis bien... oui, après on se sent vivante avec de vraies émotion, un amour qui déborde et, forcément, le manque de l'absence... mais c'est aussi ce qui fait ressentir vraiment les joies non?
RépondreSupprimerTout déborde chez moi. Tout.Les sentiments, les émotions...je suis une vraie éponge.
SupprimerMa façon a moi d'être vivante...merci Brizou pour tes mots positifs.
Quand même, c'est pas si fréquent que la princesse des étoiles soit dans le blues...
RépondreSupprimerBon d'accord, c'est juste le dimanche soir... ;-))
C'est vrai...mais la, j'ai craqué...ça fait du bien, finalement, de laisser venir le blues...
SupprimerUn blues du dimanche soir qui m'a bien secouée jusqu'à lundi, quand même...
Gros becs, ma Coum.
J'aime ta façon d'écrire, d'allégoriser,de métaphoriser( si je puis me permettre!!),, de vaquer avec les mots, de leur sourire! Aujourd'hui,c'est le "temps, l'heure"... hier, c'était "légèreté". Jamais une personne n'a tant donné de bonheur aux mots et qui en retour nous le rendent. Nul besoin Célestine d'aller chercher un sujet vaste, mirobolant, fastueux, pompeux! Non, toi tu ne vas pas loin, tu ne quittes pas ton havre, tu regardes autour de toi et tu dialogues avec les mots, tu leur retires, leur sève, leur miel, ce qu'il ont de plus sublime, d'enfoui dans leur besace...Oui, Célestine, tu donnes un bon cadeau au français(langue française!) et aux français et à moi et à nous et au monde entier....Merci!
RépondreSupprimerBizak, ton commentaire est un hymne. Tu me combles et tu me fais rougir en même temps. Tu sais que la langue française est une de mes passions et que je passe le plus clair de mon temps à en montrer toutes les richesses à mes élèves. Alors, ce que je lis ce soir sous ta plume, c'est mieux que de recevoir les palmes académiques. Il y a de merveilleux moments dans la vie, et celui la en est un.
SupprimerMerci du fond du cœur.
Si tu savais combien les tiens, tes commentaires, ont apporté comme lumière, pendant ma "cure de saudade" qui m'a tenue éloigner de la blogosphère, l'été passé, tu saurais que le poids de mes mots sont comme un petit flash comparé aux vagues de lumières de ton soleil!
SupprimerWow! très touchée d'apprendre que je t'ai apporté mon étincelle, cher ami.
SupprimerMais bon, c'est un peu mon boulot, chuis fée, quand même, en même temps...
hem hem...^_^
Il y a chez toi, Célestine, des textes de première grandeur. Celui-ci en est un. De ces textes que l'on garde, qu'on ne balaye pas d'un revers en disant : « ça ira mieux demain ». Parce qu'il en est ainsi de l'humanité profonde. Tes mots, si merveilleusement venus du fond de toi jusqu'à la surface de ton talent, tu peux nous les donner, comme on reçoit un merci. Chacun s'y retrouve lorsque tu sais toucher à l'universel qui s'origine toujours dans un quotidien. Tu puises l'extraordinaire force tirée de la faiblesse du moment et ainsi c'est un cadeau.
RépondreSupprimerEt ben, tiens, justement je l'ai enfoui son texte dans mon antre à mots....t'imagine, le laisser passer comme çà!..
Supprimerpareil !!
Supprimer
SupprimerPareil que M.AlainX, excepté le tutoiement.
Merci mes amis, de plussoyer après le commentaire magnifique d'alainX.
SupprimerAlain, je ne te cacherai pas que j'ai versé quelques larmes supplémentaires en lisant ce que tu as écrit.
Mais la gratitude est venue tout doucement remplacer la nostalgie. Et ce merci, j'ai vraiment envie de te le rendre du fond du cœur.
Depuis longtemps j'ai appris à l'apprivoiser ce temps là ..Je l'ai tellement maudit durant des années ce dimanche soir
RépondreSupprimerA une époque , j'invitais des amis , on mangeait en rigolant comme des tordus et chacun repartait léger pour la semaine
Hier soir , je le redoutais plus que de coutume ...
Et je n'étais pas la seule
alors le zifon a vibré " allez , on prolonge"
et on a fait un pied de nez à ce "chien et loup "
y'a pas d'âge , se sentir vivants , oh que oui ma Célestine !
Moi aussi, je l'ai apprivoisé doucement, ce blues-là. Mais parfois, le bon chien câlin s'efface, et le loup noir ressurgit, du tréfonds de nous même...entre chien et loup, c'est évidemment la dualité que chacun de nous abrite, le combat permanent entre le yin et le yang, la force et la faiblesse, l'ombre et la lumière.
SupprimerAlors oui, sentons nous vivantes et pour longtemps, car notre énergie vitale nous vient d'un pays étrange et merveilleux que tout le monde n'a pas la chance de connaître...
Bisous
Comme j'aime ce texte, Célestine. Bleu, blue, blues. Quelques notes de piano, je prends ma guitare, du coup elle "sniffe" un peu elle aussi. C'est l'heure blues, mais aussi le tempo saudade, le lied "soupçon de désespoir" .C'est l'heure où je me prends pour Chet, pour Cesaria ou pour Franz Schubert. C'est l'heure d'être bouleversé par Célestine. C'est l'instant magnifique, celle où c'est rudement bon d'avoir mal. Somptueux. J'aime le texte et, manifestement j'aime l'auteure.
RépondreSupprimerMerci Claude. La musique de tes mots est entrée dans mes fibres tout droit par la grande porte.
SupprimerLes mots me manquent.
aLLez, j'ose : tu me rassures Célestine. Tu es aussi fragile parfois ! Mais je suis sure que les rides qui se promènent sur ton front sont des rides de joie et de rires !
RépondreSupprimerOui, Hélène, je suis fragile. Forte et fragile a la fois. C'est ainsi. J'ai mis des années à accepter cette dualité. Et écrire sur ce blog m'a certainement beaucoup aidée à y parvenir.
SupprimerA force de faire craquer ma carapace, j'ai révélé mes failles et mes fêlures. Celles qui laissent passer la lumière.
Bonne soirée belle Hélène.
Et puis viendra le temps de l'éloignement plus loin, plus longtemps...le temps de la solitude apprivoisée avec les moments de gratitude et de bonheur intense, le temps des séparations et des larmes cachées qu'on laisse glisser plus tard dans la solitude retrouvée... que de changements dans la vie, que de surprises et de reprises!
RépondreSupprimerL'essentiel est de garder toujours la petite flamme, celle que tu laisses transparaître dans tes écrits. Celle que j'ai vu dans ton sourire et tes yeux, et qui me fait aimer les gens qui la possèdent, même s'ils m'écorchent parfois un peu sans le faire exprès.
SupprimerJe n'aime pas ton bleu saudade. J'aime le bleu et ses nuances, j'aime le blues, mais pas ce mot saudade ni pour le son ni pour le sens, et vraiment peu gracieux et un peu sordide dans ses sonorités, beurk!
RépondreSupprimerIl exprimait mes "snifs" , il a provoqué ton "beurk" ...dommage.
SupprimerCertains mots aux vilaines sonorités sont comme des êtres humains à l'apparence ingrate. On oublie qu'ils renferment peut-être des trésors.;-)
Dans la saudade, c'est toute l'âme portugaise qui suinte.
Belle preuve qu'un mot résonne différemment chez l'un ou chez l'autre ;-)
SupprimerBien sur, et c'est fort heureux...l'ennui naquit un jour de l'uniformité...
SupprimerVous savez dire madame de bien belles choses. On aime à les lire. On aime moins savoir qu'elles vous ont fait souffrir parfois pleurer. On aime à se dire que vous avez su les transcender, en faire une belle histoire et de vos perles de douleurs vous faire un beau collier. On sort ému du texte. On a envie de vous dire qu'on est la, qu'on ne vous oublie pas, que votre peine est celle de vos lecteurs comme l'est votre joie. Et s'il est permis au lecteur audacieux de vous le dire alors madame il vous embrassera.
RépondreSupprimerEn vous lisant, j'ai pensé à ce beau diaporama .
SupprimerEt ce baiser madame, ou le dépose-t-on ?
RépondreSupprimerAh qu'en termes galants ces choses-là sont mises...[...]
SupprimerJe n'ai jamais ouï de vers si bien tournés.
hou la! je te prescris l'antidote absolu : ZZ Top "Eliminator" !
RépondreSupprimerUn bon coup de Gimme all your lovin' et de Sharped dress man, termine par You got me under pressure et tu verras que le bleu saudade (belle association!) va se transformer en rouge Ford coupé 33 customisé !
SupprimerBon, je retiendrai ma respiration pour avaler l'antidote...
Ça peut pas être pire que de l'huile de foie de morue... :-D
Mais un antidote à Chet Baker, quand même...t'as pas honte? ^^
Malgré la mélancolie et les larmes vite essuyées, j'ai beaucoup aimé la musique de ton texte, et ce "bleu saudade" qui glisse comme un fado ! On a tous nos moments de blues, heureusement d'ailleurs...
RépondreSupprimerDésolée, miss, pour une fois que tu trouves le temps de venir, je ne t'accueille pas avec des mots très folichons...
SupprimerA très bientôt pour les plumes.
Superbe sujet cette semaine!
Non, même pas honte, il est bien fini le temps de se complaire dans le spleen, même si bien évoqué!
RépondreSupprimerQuand le loup pointe le bout de son museau, il prend un bon coup de talon dans sa gueule (on dit ça hein, pour un loup!) faut pas dec' quand même, on n'a pas que ça à faire ! ;)
Remarque les gros sabots c'est pratique pour mettre des mandales dans la gueule au loup... :-)
SupprimerNan, ce que j' en disais, c'était juste un chti clin d’œil, un joli souvenir qui remontait pour m'aider à chasser le spleen.
Parce que se complaire...c'est pas vraiment le mot.
Kisses
Perso j'aurais d'autres musiques à te conseiller pour ce genre de situations mais tu en connais bien plus que moi coté musique...moi je suis expert en daubes WARF mais j'assume chacun son éducation!
RépondreSupprimerTon héroïne pourrait pratiquer l'apnée...j'en suis certain !
Oh non pourquoi tu te dévalorises comme ça? J'aime bien tes choix musicaux la plupart du temps.La seule chose que je maudis chez toi, c'est overblog qui me refuse l'accès aux commentaires, comme tu le sais.Quand j'ai l'occasion d'aller sur un PC je me rattrape.
SupprimerL'apnée...hum, je crois pas non. ;-) Tu sais que je n'ai jamais réussi à regarder "Le grand bleu" jusqu'au bout?
Bises Mindounet
Je connais bien les petits nuages qui parfois voilent l'éclat de tes étoiles bleues, mais là c'était un gros orage qui est passé te voir. L'antidote était là, presque voisin et paré de ses chansons, mais tu n'as pas pu venir le prendre. Il y avait comme un voile de regrets...
RépondreSupprimerBaci bella stella
J'ai demandé le don d'ubiquité au Père Noël, tu crois qu'il va me l'apporter?
SupprimerÇa me fait quand même plaisir de t'apercevoir, étoile filante!
Molto baci anche
Il est passablement dévalorisé actuellement, tant il peut se confondre avec le don d'ubuquité, très en vogue dans certaines sphères....
SupprimerEtoile filante peut-être, mais pas Eh toi le matelas. Peut-être même pas étoile, mais surtout revenante, c'est-y pas le principal...:-)
Baci per te
J'adore "ubuquité" c'est excellent...et tellement vrai hélas.
SupprimerUne étoile revenante pour visiter un château avec revenant, ça peut être bien.
^^
Abin le voilà, le Blutch !
SupprimerY' a longtemps qu'on t'avait pas vu par ici, et pour ma part je me languissais, n'ayant plus personne à chamailler !
Espérons simplement que ton absence ne soit pas due à une mauvaise blague hivernale de la vie.
Je t'imaginerais plutôt hivernant, voire hibernant...
A moins qu'un voyage dans un pays de soleil...
Ou peut-être une jolie princesse ?...
En tous cas ça fait plaisir de te savoir vivant !
A la r'voyure, camarade !
;o)))
J'avoue que j'aime bien vous voir vous chamailler tous les deux!
SupprimerC'est...divertissant et jouissif.
biz
Devrais-je croire le poète qui disait qu'un seul être vous manque durant 4 jours, et tout est cul par dessus tête... Te te te, moi je sais que c'est ce qu'il voulait dire...
SupprimerMon dernier commentaire date d'à peine 4 jours alors ne me faites pas le coup du drame de l'acte 3...;-).
@ Candide
- Il y a en effet eu une mauvaise blague hivernale, mais elle fut pour un splendide verrat de 260 kg de barbaque.
- J'ai en effet une tendance à hiberner dès que l'eau du pastis gèle dans les verres....
- Comme le cochon avait établi son harem dans les Bouches-du-Rhône, je fis en effet une virée du côté du soleil.
- Comme le verrat, j'ai tendance à avoir moi aussi un harem d'admiratrices... Mais ne fais pas de conclusions hâtive, mauvais esprit...:-)
Conclusion:
- Soit tu fais partie des RG
- Soit tu es devin.
- Soit tu as le cul bordé de nouilles.
En bref, il me semblait bien que tu manquais de pep dans tes commentaires sans ma verve légendaire... :-D
Ciao amico et baci per té Cel.
Eh oui, pour faire un duo, faut bin êtrre deux, non ?
Supprimer"Soit tu fais partie des RG" : euh, steuplé Blutch, jusque là on s'amusait bien, alors ça c'est pas gentil !
Bon, faut que j'aille au taf,
'scusez-moi de pas parler italien.
Biz à tous les deux ! ;o)
@ Candide
SupprimerJe ne faisais que soulever une hypothèse... Je n'irais pas jusqu'à dire que ça me désole que tu ne sois pas des RG, mais bon, j'aurais pu peut-être avoir des renseignements de première bourre pour un prochain billet, dommage tout de même....
Reste le cruel dilemme de savoir si tu es devin ou avec le postérieur vautré dans les pâtes.
Ben moi aussi je dois aller au taf: la bagnole à préparer pour une nouvelle escapade...
Salut
Baci à Céleste
@ Blutch : je respecte la nourriture moi, Môssieur, et jamais l'on ne me verra dans une posture aussi indigne !
SupprimerNon mais !...
C'est vrai, coa !
Supprimer;o)
Rhoo j'adore j'adore!
Supprimer@ Candide
Supprimerpas des RG, ni le cul bordé de nouilles..... voudrais-tu donc faire courir une rumeur que tu es devin?
On t'appellera Marabout Kandidayou
Je te donne le bonsoir
@ Blutch :
SupprimerAtta, atta,atta,atta : je veux rien du tout moi. Je dis que je suis pas des RG et que je respecte la nourriture.
Après, tu t'envoles dans les phantasmes qui t'arrangent, je peux pas t'en empêcher...
"Kandida you" ne m'agrée pas trop, ça appelle un peu trop "l'albicans"...
Et puis je m'appelle déjà parfois Jdissa Jdiriren...
Vous êtes bien urbain mon cher, je vous remercie et vous en serre cinq !
J'ai cru que tu écrivais les Plumes du 14 ! As-tu remarqué que tu avais utilisé plusieurs mots de la récolte du 9 ? (lol) Mais alors, que vas-tu faire pour samedi ?
RépondreSupprimerEncore en contemplation intérieure... Tu penses trop, Célestine...
Branche la télé pour éviter de ruminer !
Quand ça prend, on peut faire du ménage aussi, ou bien se servir un petit apéro. Il suffit de penser à autre chose et hop hop hop, ça repart dans le positif ?...
Bon mercredi au soleil et gros bisous sous le soleil ♥
A choisir je préfère prendre l'apéro avec des amis que de faire le ménage...mais la télé, je ne suis pas sûre que ça me remonte le moral...
SupprimerBon pour les plumes, t'inquiète, j'ai de la réserve.
Merci de ce message incorrigiblement optimiste!
Les moments "hauts" ne sont bons que parce qu'il y a des moments "bas"... Même si c'est douloureux, l'important est que ça ne reste que passager :-)
RépondreSupprimerje t'embrasse, douce fée, tu sais que tu peux me textoter aussi quand tu as le blues :-)
Merci Étoile Oui !
Supprimerla realite des enfants qui grandissent,s'envolent du nid..laissant leur maman demunie! comme toute les mamans du monde on angoisse ces departs...mais quel bonheur de les retrouver, d'ici quelques jours autour du sapin illuminé! courage Cel, les vacances seront bien vite là!
RépondreSupprimertu vois , je suis de retour...
Merveilleux de te revoir ici, ma Châtaigne, après cette grande interruption de l'image et du son.
SupprimerOui, Noël, et sa magie malgré tout: celle de rassembler les petits morceaux de vie éparpillés...
Je viens de chez Marie-Madeleine qui nous parle de ses bonheurs de grand-mère, de Mimi du Sud qui nous partage ses jolie photos de Dury,puis de chez Edmée avec un splendide hommage à ses parents, et je termine par un tout aussi beau texte sur ton blog. Et là, je me dis que "ma" blogosphère renferme des personnalités vraiment attachantes et intéressantes. Quand je vois tout cela, j'ai de moins en moins envie de regarder la télévision. Bon week-end!
RépondreSupprimerMerci beaucoup, cher et fidèle Petit Belge!
SupprimerPas trop dure, cette fin de période?
Bises cher collègue
Plus de corrections que d'habitude, mais çà va. Personnellement, je préfère la première partie de l'année scolaire que la deuxième. Bon week-end Célestine.
RépondreSupprimerMoi c'est le contraire! La belle saison m'aide beaucoup a vaincre le blues hivernal!
SupprimerC'est l'heure vénéneuse où le soir tombe sans bruit... tout est dit!
RépondreSupprimerComme je me retrouve dans ces soirs troubles, cette heure où la nuit joue de ses premiers silences bleus, bleus de l'âme, troubles du cœur... quand tout saigne, quand tout pleure. C'est si bon quand ça s'arrête! Quand le jour nous relève en se levant à nouveau!
Trop rarement sur le net ces temps ci. La lumière vient d'ailleurs en ce moment. Tes billets sont pourtant bonheur. Bises angevines.
"La lumière vient pourtant d'ailleurs en ce moment"
SupprimerQuel bonheur de t'entendre dire cela...
Tu m'en vois ravie pour toi...
Bou bou Bou....je decouvre ce blog ....admirative .....bravo ....j'adore ........8 dec. jour particulier pour moi.....c'est pourquoi je m'y suis attardee ..merci merci....
RépondreSupprimerBonjour, anonyme admirative...et merci pour ces mots...si vous pouviez signer d'un prénom, ou d'un pseudo quelconque, pour que je puisse vous reconnaître la prochaine fois que vous passerez...si vous repassez évidemment...
SupprimerEt puis j'ai l'habitude d'ajouter à mon totem ( voir ce mot dans les onglets en haut) tous ceux qui ont laissé au moins un commentaire. A condition qu'ils se fassent reconnaître d'un mot.
Bien a vous
Oui , passé bcp de temps aujourd'hui à parcourir ce blog...Quel talent ....Quel plaisir de vous lire ...
SupprimerMeluzine? Etant fée moi-même, j'apprécie énormément cette visite, chère consoeur!
SupprimerQueques point communs...je peins , j'enseigne .....ont probablement orienté mes envies de continuer tt au long de la journée a decouvrir la richesse de vos textes...j'adore ....
RépondreSupprimerChère meluzine, Je vous laisse découvrir mon univers...passionné, serein et contemplatif.
SupprimerMerci pour votre enthousiasme qui me donne évidemment envie de continuer longtemps cette aventure...
Agréable billet agrémenté d'une superbe photo.
RépondreSupprimerdouce fin d'année
Chantal
J'ai failli balancer votre commentaire dans les indésirables.
SupprimerJe n'aime pas trop la publicité intempestive.