Asphodèle remet ça pour mon plus grand bonheur scriptural! Les fameuses plumes, que j'ai failli louper, tant mon acuité "bloguesque" m'a fait défaut ces temps-ci...
De la fantaisie, le thème de l'eau, et le plaisir de danser sur les mots. Et quels mots! Rien que du premier choix...
De la fantaisie, le thème de l'eau, et le plaisir de danser sur les mots. Et quels mots! Rien que du premier choix...
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A l'aube, terrasse du café de la Fontaine, à Carqueiranne.
Un débit de boissons banal, mais grand théâtre de la comédie humaine que moi, Auguste Bataille, écrivain en mal de renommée, je me plais chaque jour à observer. Les tilleuls, bonhommes, offrent leur fraîcheur odorante à la placette. (Ciel, je n'écris vraiment que du brouet!)
Mais qui est donc cette fille en robe rouge qui pleure en silence? Bon dieu, pourquoi semble-t-elle à la dérive, comme une suicidée au bord de la noyade? Sur son visage brouillé, des gouttes de pluie salée glissent en cascade de ses yeux pers, et collent par paquets ses cheveux fins et doux. Elle est sublime. Je cache mal mon trouble derrière mon journal du matin. Mon flux sanguin s'accélère et boursoufle mes extrémités...
Quelle gorge affolante! quel grain de peau! Quelle chute de reins! Je l'imagine nue sortant de la baignade, et moi lui offrant, conquérant, de la consoler du rustre qui l'a fait pleurer...
Mais soudain, me dégrisant, déboule entre ses jambes un affreux roquet noir et blanc, et voilà la belle qui s'écrie dans un sanglot mû en éclat de joie: "Trésor! Mais où étais-tu, vilain chien!" Et je les vois tous les trois, elle, son clébard et sa croupe moulée dans le nylon rouge, s'éloigner vers mon oubli.
Je me sens retomber comme un soufflé.
RépondreSupprimerMieux vaut pleurer pour un roquet que pour un mufle.
C'est dangereux parfois d'arriver au bout d'un fantasme, car la chute peut être cruelle .....
Et d'un autre côté, c'est bien fait pour sa poire. C'est discourtois et réducteur de ne s'intéresser qu'au fondement de la personne en négligeant les parties aériennes et éthérées.
Je vois là toute ta grandeur d'âme, cher blutchiamo... Eh oui bien souvent les apparences, surtout quand elles sont généreuses, empêchent certains hommes d'accéder à l'essentiel... D'oú la magie du net où l'âme se voit en premier...
SupprimerBaci
"C'est dangereux parfois d'arriver au bout d'un fantasme, car la chute peut être cruelle ....."
Supprimerté, c'est pas à moi que ça serait arrivé, un truc pareil !!!!
@ Ambre
SupprimerNormal, tu n'as pas de petit chien noir et blanc.
Bisous
C'est exactement ce que j'aurais répondu à ambre, tu me l'as ôté de la bouche!
SupprimerTrès drôle et enlevé. Oh le vilain Riquet à la houppe, euh, Roquet à la croupe. Wouah!
RépondreSupprimerExcellent! Voilà un commentaire qui s'adresse à la partie aérienne et éthérée de ma personne! Merci monsieur!
SupprimerDe ces fantasmes fugaces qui partent d'un rien! Il n'y a rien de mieux pour stimuler... L'imagination :-))
RépondreSupprimerUn rien un rien... Il y avait quand même matière à érection euh ...réflexion, apparemment! ;-)
SupprimerÉrection, réflexion, c'est parfois assez proche finalement ^^
SupprimerPhonétiquement très proches, oui... ^_^
SupprimerDisons que dans le cas de la première, la deuxième est souvent absente...;-)
SupprimerEh bien, heureusement que ce n'est pas moi qui le dis...
SupprimerJ'ai dis "souvent" et je l'ai dit d'autant plus volontiers que je ne me sens pas concerné :-)
SupprimerBaci
La aussi tu donnes matière à réflexion!
SupprimerMais c'est Hubert !
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=NPUXopC28fA
Je ne connaissais pas cette chanson! Merci d'avoir ainsi agrandi ma culture générale!
Supprimerje t'admire de réussir à écrire avec toutes ces contraintes .. j'ai jamais pu, et d'ailleurs, j'avais toujours de sales notes en rédac !!!!
RépondreSupprimerC'est parce que tu n'as pas eu une maîtresse dans mon genre... Je ne mets jamais de sales notes!
Supprimer"Je veux dédier ce poème
RépondreSupprimerA toutes les femmes qu'on aime..."
Moi je pense à ce pôv' Auguste et ses malheureuses extrémités boursouflées !
En même temps, manque un peu d'imagination le mec :
"Hé, Auguste, malin qu'tu es : suffit qu'il ait un accident, l'clébard !"
Tsss, tss, pense à rien...
Cela pourrait faire une suite intéressante effectivement... Et délicieusement macabre! J'aime ton imagination débordante. :-D
SupprimerTu excelles aussi dans l'humour et j'ai souri "aux extrémité boursouflées" ! Je reprendrais bien un chien moi ! :)
RépondreSupprimerMerci maîtresse de me mettre une si bonne note! Tu vois Ambre, comme ça encourage d'être bien appréciée!
SupprimerMDR !! La chute est belle, aussi belle que la "chute de reins".......
RépondreSupprimerBonne journée avec bises
Connaisseur et branché, Patriarch! Je ne t'avais jamais vu employer le mot "mdr"!
SupprimerLol!
Le soufflé est retombé mais qu'en est-il de l'émoi du Monsieur ?
RépondreSupprimerEcrire sous la contrainte... Nom d'un chien ];-D
L'émoi du monsieur? J'ai bien peur que ce soit le soufflé en question...
SupprimerJolie chute !
RépondreSupprimer...de reins, bien sur!
SupprimerÀ moins qu'elle ne fut alsacienne , en ce cas ce serait plutôt une chute de Rhin...
Les extrémités boursouflées...ben dis moi j'espère que ce n'est pas dû au roquet...je ne sais pas moi, ce chien ne m'aurait pas gêné à la place de ton personnage
RépondreSupprimerEh oui... Mais Auguste Bataille est un velléitaire, comme tous les écrivains ratés...
SupprimerOn le sentait dès le début que cette fille avait du chien ! :~)
RépondreSupprimerPas étonnant que les hommes aient les crocs...
SupprimerIl peut sembler hasardeux de faire parler l'autre sexe, de se mettre à sa place ...
RépondreSupprimerBon, d'accord, tu t'en tires bien, mais j'aime mieux quand tu fais parler ton chat !! ;)
Et puis Carqueiranne, j'ai toujours trouvé que ça sonnait comme un nom de prison !!
Dois-je comprendre que tu penses que je connais mieux les chats que les hommes?
SupprimerOu bien que l'on ne peut parler seulement que de soi et de son propre sexe?
En ce cas la littérature fourmillerait d'imposteurs et teuses...
Je ne suis pas sûre que mon anti-héros s'en tire si bien que ça. Mais je te rassure, il ne représente pas la gent masculine dans son ensemble, et ça et la j'ai bien senti que ces messieurs auraient su tirer autrement mieux parti de la situation que mon Auguste Bataille...qui n'est qu'un clown triste.
L'honneur des hommes est donc sauf.
Carqueiranne est très joli, cela dit, et il doit y avoir des prisons plus austères!
Bises
Mr Antiblues, je pense et j'en suis convaincue, qu'une femme connait mieux l'être masculin que lui-même ... non que nous sommes plus intelligentes que vous messieurs ... nous sommes juste un peu plus à l'écoute de votre façon d'être ou d'agir ... à bientôt ;)
SupprimerMerci Célèstine pour ce joli billet ... je t'embrasse tendrement et à bientôt
C'était Marie qui oublie toujours de signer :(
SupprimerMerci Marie pour ce commentaire tout en finesse.
SupprimerJe te reconnais entre mille...je ne sais pas pourquoi, un sixième sens.
Moi aussi je t'embrasse.
ah oui en effet, toi et moi avons eu la même idée dans le fond ! Une autre façon de l'exprimer !!!!!!
RépondreSupprimerc'est fou de se ressembler comme cela en écritures...Les mots nous ont inspiré pareillement.........
Bravo Célestine
Oui, l'écriture permet de belles rencontres...
SupprimerMerci d'être passée.
RépondreSupprimerHistoire d'eau
Demain, dès l’aube, pour la baignade elle partirait
Longtemps, elle a apaisé son trouble sous la cascade où
Sa gorge goutte et glisse à l’aune du débit de La Fontaine,
Un flux, à grand'eau dérive de sa chute de reins vers son petit grain,
Son trésor de fraîcheur!
Eviterait-elle la noyade ?...
Vous auriez dû participer au défi! Les dix-sept mots sont bien la, et en six lignes c'est un exploit.
SupprimerEt votre texte est une friandise rafraîchissante.
Te voilà déguisée en homme!Et bien vite enflammé... puis si vite dégrisé!
RépondreSupprimerParfois,oui, le dégrisement suit de bien près l'emballement...
SupprimerJ'aime bien, moi, varier le point de vue, même si je ne garantis pas totalement l'authenticité des ressentis...
MDR ! Célestine j'adore ton humour. Pauvre Auguste... Son démon du matin n'a duré que le temps d'une échappée belle de Trésor ! C'est souvent comme ça dans la vraie vie !
RépondreSupprimerBon dimanche et gros bisous d'O.
Très bien résumé, Soène! C'est une histoire d'amour éclair, et la référence que fait Candide (voir plus haut) au poème "Les Passantes" est très judicieuse, je trouve. La fille en rouge est une passante.
SupprimerBisous
Bon quatorze juillet!
Mais elle a tout pour elle cette nana! Ajoutons qu'elle aime les animaux!
RépondreSupprimerGrand-Langue
Mes héroïnes dégagent souvent une sensualité et une séduction certaines...Allez savoir pourquoi!
SupprimerToujours contente de vous voir, cher ami du Bout du Monde francophile...Comment va votre belle province?
Tout comme Auguste , j'aime bien regarder les gens , pas forcément les filles , les gens , et écrire en pensée leur histoire
RépondreSupprimerparfois , vlan ! y'a un petit détail qui casse le mythe
te revoilà dans les "plumes de l'été " et je sens que tu vas régaler tes lecteurs , Célestine , et tes nouvelles brèves sont toujours parfaitement ficelées
à siroter comme un bon cocktail ;)
À ça c'est gentil ma Jeanne...j'espère les régaler, c'est mon vœu le plus cher. Je ne crois pas que l'on puisse faire abstraction de ses lecteurs quand on écrit un blog. Mais je sais que c'est une opinion toute personnelle, et je respecte infiniment ceux qui écrivent pour eux-mêmes.
SupprimerMerci pour tes compliments, ils me touchent.
Du nylon rouge de c' temps là !!! ça craint ...........
RépondreSupprimerSi c'est du nylon que tu parles, c'est léger et transparent, et même si on transpire un peu, ça sèche vite.
SupprimerSi c'est du rouge, effectivement, la couleur n'est pas de très bon ton par les temps qui courent...
Mais moi, j'aime quand le rouge est mis. Et puis n'est ce pas la couleur de la passion?
Je parlais du nylon. As-tu déjà supporté une robe en nylon sous un soleil de plomb ? L' horreur absolue ! Mais ma mère disait comme toi : vite lavé, vite sec et pas lourd dans la valise ...
SupprimerQu' est-ce qu' on lui reproche au "rouge" de c' temps ?? J' ai loupé quelque chose ??
Ah ben je suis ravie d'apprendre que j'ai les mêmes valeurs que ta mère... Cela dit, j'ai dit nylon comme j'aurais pu dire soie. Mais je trouvais que le nylon avait un petit côté dirty dancing...
SupprimerLe rouge, euh....il est bien rose pâle de nos jours, non?
Ta robe rouge ne serait-elle pas un souvenir de la Gradisca?
SupprimerSi divinement interprétée par Magali Noël....
Baci ragazza
Amarcord, magnifica! si, si!
SupprimerHo pensato che ciò ti parlerebbe
SupprimerBaci
C'est drôle et enlevé et si bien écrit... comme toujours!Comment fait-on pour participer?? Peut-on participer? bonne semaine et beau soleil à toi
RépondreSupprimerOui oui oui, tu peux participer! Il faut que tu te rendes sur le site d'Asphodele ( j'ai mis le lien en haut) et là tu trouveras le règlement complet. Tu as jusqu'à ce soir pour proposer un mot sur le thème de la semaine.
SupprimerAu plaisir de te lire...
ah! oui! j'aime les plumes de l'été...
RépondreSupprimerl'année dernière je n'ai pu participer
Hier soir je me suis amusée à écrire sur base des mots imposés... bizarre ;-)) ça s'intitule "la femme fontaine" (rhoooooo!)
oups, je n'oserai jamais le publier ;-))
Ceci étant dit, tu excelles chère Célestine dans ce genre d'exercice...
la chute est inattendue et m'a fait sourire... bravo!
Ah ma chère très chère Coumarine...je n'oublie pas que c'est toi, il y a tout juste deux ans, qui m'a fait découvrir les plumes. J'avais écrit mon texte de la lettre B souviens-toi, et tu m'avais donné de précieux conseils d'écriture.Je ne les ai jamais oubliés.
SupprimerQuant a ton texte, je brûle évidemment de le lire, et de me rafraîchir a cette fontaine...;-)
Je t'embrasse très fort.
^_^
Oui, oui, oui Coum', la fontaine, la fontaine, la fontaine ! . . .
Supprimer;o))
Coum, c'est un plébiscite, tes lecteurs te réclament!
Supprimercoucou Célestine
RépondreSupprimerQue d'émotions de parts et d'autres ;-)
La dernière phrase m'a bien fait rire ;-)
On a utilisé gorges et chutes dans le même sens ;-)
Gorges et chutes sont des éléments de géographie particulièrement évocateurs pour moi, amatrice de randonnées multiples...
SupprimerBises
Didon ,jolie Fée, ne serait-il pas de bon ton de rendre à Jean-Sé ce qui lui appartient ?
RépondreSupprimerPasque si je comprends bien, Erik et Claude s'y sont mis à deux pour jouer ?
L'un main gauche et l'autre main droite ?
C'était l'heure de la sieste ?
;oDDD
Et mon texte alors, pas un mot? Il t'a laissé de marbre...bon tu es quand même le seul qui écoute mon programme musical...alors moi je veux bien rendre tout ce que tu veux a qui tu veux, vu que ce n'est pas moi qui ai fait cette version...il faudra poser réclamation a d**zer, c'est les ceusses qui sont responsables....
SupprimerMerci de ton passage néanmoins, cela me fait toujours plaisir...
et oui, la vie a ses surprises
RépondreSupprimeret l'imagination va bon train
c'est bien joli et plaisant
Binquoi ton texte ? Je mouille la chemise, je cite Brassens, je te propose une idée de développement avec l'accident du clébard... que puis-je faire de plus ?
RépondreSupprimerQuant à la zik, ça sent d'emblée furieusement plus le Bach que Satie ou Debussy, et ch'uis pas un grand culturé de la zik.
Mais c'est fort chouette (en même temps, Bach, hein...).
J'aime aussi d'autres versions qu'on dira plus "ensoleillées"
:o)
Et m...., j'ai pas répondu où qu'y fallait !
SupprimerBonbin t'as compris quand même !
:o§
Ouh pinaise! La boulette! Allez j'attaque la tirelire! Pouf ! Un euro pour m'excuser platement... C'est Alzheimer ou quoi? Ptin celestoche ça va pas du tout... Si j'oublie les commentaires à mesure! Pourtant les passantes quand même... Mais voilà, j'ai le cerveau enbrhumé...
SupprimerBisous confus
En compétition contre un roquet, c'était râpé d'avance ... ^^^^
RépondreSupprimerOui, un roquet m'adore à Rocamadour... Difficile de lutter, en effet!
SupprimerBienvenue sur mon totem.
Chère Célestine, je te remercie de ton passage sur mon blog "en pause", car j'ai pris la clef des champs comme je te l'avais dit.
RépondreSupprimerJe ne fais aucun commentaire sur le blog de mes amis mais je les lis quand le temps me le permet.
Je fais exception à la règle ce jour( tu es venu chez moi, je dois venir chez toi, telle est la tradition chez nous, Lol!...
Je ne pouvais pas aussi résister de "danser avec les mots":
"Le grain" (un vent violent et de courte durée) s’est levé subitement sur cette mer où je venais souvent faire une "baignade" à la fin de l’été. Ce matin à "l’aube" par la fenêtre "grand" ouverte, une "fraîcheur" "glissait" subrepticement dans la maison de mes grands parents où je venais passer quelques jours chaque année. J’aimais cette maison à proximité de la "fontaine" du village à une lieue d’une belle "cascade" qui me fascinait, tellement ses "chutes" d’eaux étaient vertigineuses et belles à voir. Ce matin donc, j’ai eu l’idée de prendre un sceau d’eau pour le remplir à la fontaine dont le "débit" s’était aminci surtout que l’été de cette année était particulièrement chaud. Aucune "goutte" de pluie n’était venue "troubler" le thermomètre qui savourait le plaisir de nous voir griller par le soleil. Mais le bonheur était dans le fait qu’aucune "noyade" n’était à signaler dans la petite crique où se baignaient les gens du village car la mer n’était pas loin.
Dans la crique le calme régnait en maître, le "flux" des estivants n’était pas élevé comme ailleurs, ce qui permettait à quelques plaisanciers de parader avec leurs bateaux magnifiques à l’intérieur de cette crique sans crainte d'une quelconque "dérive". On pouvait voir au loin pour ceux et celles qui voulaient se rincer les yeux, quelques femmes sans leur soutien-"gorge". Moi, voyant le regard de ma femme qui me suivait, je me détournais et je lui disais : « le grain va se lever, on rentre "trésor" ? »
Eh bien, quand tu sors de ton mutisme ce n'est pas pour rien! J'ai bien fait de te demander de tes nouvelles...
SupprimerEn parlant de nouvelle, la tienne est sympa. Mis dis donc, je ne sais pas si ta femme va apprécier de porter le même petit nom que le chien..,:-)
D'accord, mais qui a dit que Trésor c'est trésor?
SupprimerC'est facile pour nous, les femmes, d'imaginer ce qui se passe dans la tête des hommes , du moins on peut le croire, mais est-on jamais sûr ?
RépondreSupprimerOn n'est même pas sûr de ce qui se passe dans notre propre tête, alors...
SupprimerA vous.
SupprimerJe vois fleurir ici ou là quelques généralisations hasardeuses sur le côté primaire de la gente masculine. Certes, le côté plouk, beauf ou colon (pour les québécois) existe, mais de grâce Mesdames, n'allez pas nous faire croire que vous, si fines et si rusées, n'avez pas su les éviter :-D
En hommage à Georges, je vous embrasse toutes...
Moi, je fais fleurir des généralisations hasardeuses? Tu m'en vois marrie! au contraire, je m'attache à aller dénicher en chaque être sa substantifique moelle...mais bon, si tu parles de Georges, je fonds.
SupprimerEt pis d'abord, on dit la gent masculine. Voili voilou. Ça c'est fait.
Supprimer(mais à ta décharge, y a que les vieilles instits en fin de carrière qui le savent)
Mais ma chère, Blutch faisait une remarque d'ordre plus général; à preuve son effusion collective.
SupprimerEt pour la gent, c'est rien que la faute à l'accent vaudois qui fait prononcer des "E" qui n'existent pas.
Baci
Autoportrait?
RépondreSupprimerBien sûr, c'te question! ^ ^
Supprimertrès sympa!!
RépondreSupprimerJe cherchais ton commentaire sur mon dernier billet! Pardonne moi de ne t'avoir pas répondu plus tôt. Merci beaucoup donc pour tes mots.
SupprimerÀ bientôt.