"Un vingt-deux septembre au diable vous partîtes Et depuis chaque année à la date susdite Je mouillais mon mouchoir En souvenir de vous Or nous y revoilà mais je reste de pierre Plus une seule larme à me mettre aux paupières Le 22 septembre aujourd'hui je m'en fous." Georges Brassens Cliquez sur la flèche rouge sans toucher le bandeau
Il avait tout bien résumé le grand Georges... La lettre lue à la fin du film "la femme défendue" de Ph Harel, l 'exprime de façon plus poignante ... Finalement, nos passions ne seraient elles que le fruit de cocktail d'hormones qui font puis se défont ?
Amusant.... Je chantais ça ce matin dans ma salle de bains !! Une de celles que je connais par coeur... (quoique parfois j'inverse des couplets.... ah vieillir !!) Et la fin est... géniale. "triste de n'être plus triste sans vous"....
(j'ai la version vinyle.. sans la 2° guitare.... elle a qqch de plus "poignant"...)
Hier soir, j'ai vu ta pote Croukougnouche, je lui ai même claqué la bise. Le monde est petit, n'est-ce pas ? Et j'ai entendu "mon vieux Léon" du même Brassens.
ALEX C. Comme c'est difficile d'oublier! Et puis un jour, on se rend compte que la personne que l'on voulait oublier est enfin sortie de notre vie, de notre tête. Et l'on se sent mieux.
TANT BOURRIN Ca me rappelle une phrase célèbre: à la saint Valentin elle me prend la main, vivement la sainte Marguerite...
Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille. Merci par avance pour tout ce que vous écrirez. Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.
Il avait tout bien résumé le grand Georges...
RépondreSupprimerLa lettre lue à la fin du film "la femme défendue" de Ph Harel, l 'exprime de façon plus poignante ...
Finalement, nos passions ne seraient elles que le fruit de cocktail d'hormones qui font puis se défont ?
A la Saint-Maurice,
RépondreSupprimerMes yeux plus jamais ne pissent ! :~)
l'oubli....
RépondreSupprimerAmusant....
RépondreSupprimerJe chantais ça ce matin dans ma salle de bains !!
Une de celles que je connais par coeur... (quoique parfois j'inverse des couplets.... ah vieillir !!)
Et la fin est... géniale.
"triste de n'être plus triste sans vous"....
(j'ai la version vinyle.. sans la 2° guitare.... elle a qqch de plus "poignant"...)
J'y ai pensé "itoument" !
RépondreSupprimerHier soir, j'ai vu ta pote Croukougnouche, je lui ai même claqué la bise. Le monde est petit, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerEt j'ai entendu "mon vieux Léon" du même Brassens.
http://youtu.be/AiDZpXvHIYo
On est sûrement une palanquée à avoir fredonné ça ce matin ...
RépondreSupprimerBon dimanche, Célestine.
J'aime beaucoup ton nouvel "habillage", ce portrait sans visage, l'attitude si féminine ....Voila un commentaire "image"
RépondreSupprimerMISS ZEN merci , j'aime beaucoup cette artiste, en effet, je voulais la mettre en avant...
RépondreSupprimerPIERROT BÂTON une palanquée, je l'espère, cela voudrait dire que Brassens est éternel et qu'il y a encore beaucoup de gens qui l'aiment...
BERTHOISE Oh mais incroyable! tu as vu Croukougnouche? Mais c'était où, dis moi?
RépondreSupprimerALAINX Tu es le seul à savoir à qui s'adressait ce message...tu vois comme je suis en progrès!
ANDIAMO c'est très joli "itoument" comme adverbe régulier...je le ressortirai, si tu me le prêtes...
ALEX C. Comme c'est difficile d'oublier! Et puis un jour, on se rend compte que la personne que l'on voulait oublier est enfin sortie de notre vie, de notre tête. Et l'on se sent mieux.
RépondreSupprimerTANT BOURRIN Ca me rappelle une phrase célèbre: à la saint Valentin elle me prend la main, vivement la sainte Marguerite...
PATRIARCH tout le mondeje ne sais pas, mais beaucoup en tous cas.
RépondreSupprimerANTIBLUES Peu romantique mais certainement très vrai, ce que tu dis...