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06 mai 2009

aphorisme

Rien à dire ou trop à dire se rejoignent parfois en une sorte d'apathie, de paralysie totale. J'hésite entre déballer mon sac ou le garder pour un jour meilleur où j'aurai les idées plus claires. Pour l'instant, contentons-nous de cet aphorisme des années 70 "C'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule". Et allons nous coucher, nous ferons bien.

2 commentaires:

  1. Je plussoie. Avoir trop à dire reste parfois coincé en gorge (et littéralement, ça finit par déclencher des angines à répétition...) Nous attendrons donc que tes mots veuillent bien se décanter... mais ne tarde pas trop car la saison est très propice aux aphonies...

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  2. Chère F je sais qu'on se comprend à demi mots, et même à quart de mots. J'ai une colère qui ne demande qu'à exploser, mais pas n'importe comment. Je décante, je décante...Hein? non, je n'ai pas dit je "déchante"!
    Au fait merci de m'avoir appris un nouveau verbe, je me coucherai moins bête ce soir!
    bises Célestine

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.