« A quoi bon soulever des montagnes quand il est si simple de passer par dessus ? »
Boris Vian
Et si je vous parlais de
mes vacances d'hiver idéales ?
Je sais qu’il est de bon ton, de nos jours, de s’imprégner de l’air du temps et de s'inclure dans le mouvement
général. Ce mouvement ascendant vers des altitudes déraisonnables et des bouteilles isothermes à zéro degrés à 2000 mètres au moins. Lunettes jaunes et doudoune en gore-tex.
J'aimerais bien vous dire que je me fais la malle direction les
grands espaces blancs et les cimes étincelées de givre, que je savoure à l'avance, coincée dans les bouchons de la Maurienne, mes futurs exploits sur deux planches ... et que j'ai hâte de dévaler des pistes noires en
faisant crisser mes carres sur une neige craquante et poudreuse.
Mais foin des moufles et des bonnets, fi des combis et des chaussures de cosmonautes.
Mais foin des moufles et des bonnets, fi des combis et des chaussures de cosmonautes.
Rien qu’à cette pensée, je blêmis. La couleur particulière d'une neige molle par temps gris vous donnera une idée précise de mon teint... Quelque chose de la lividité blafarde, décomposée, de Morticia Addams, ou d'Amélie Nothomb, vous voyez ?
Vous me direz : « Tu ne sais pas ce que tu manques » et vous aurez raison...
Vous me direz : « Tu ne sais pas ce que tu manques » et vous aurez raison...
Mais malgré la merveilleuse élasticité de mon
corps de rêve, je me suis toujours inventé, à cette saison, des origines vaguement
polonaises, puisque mon nom est « mademoiselle Nullenski ». J’assume parfaitement. Je n'aime pas skier. J’ai toujours skié comme un bilboquet. Je n’ai obtenu, au prix d'un effort colossal, qu’une seule misérable étoile en
toc doré véritable, qui dort dans une boîte à chaussures depuis mes dix ans.
Je sais que je loupe des spectacles grandioses, des sensations grisantes...pardon aux amateurs de sublime.
Mais qui dit neige dit froid, et présentement, ( ce n’est pas mes amis Le Goût et Blutchy qui me contrediront) j'avoue que je manque furieusement de chaleur. De printemps. De petites fleurs. Enfin de trucs humains, quoi. Au bout d’un moment, le froid, c’est inhumain. C’est cruel. C’est dur. Et très agressif pour ma superbe peau de fée en cachemire naturel. Ce n'est pas pour rien que l'on parle de la
« froidure »...
Mais qui dit neige dit froid, et présentement, ( ce n’est pas mes amis Le Goût et Blutchy qui me contrediront) j'avoue que je manque furieusement de chaleur. De printemps. De petites fleurs. Enfin de trucs humains, quoi. Au bout d’un moment, le froid, c’est inhumain. C’est cruel. C’est dur. Et très agressif pour ma superbe peau de fée en cachemire naturel. Ce n'est pas pour rien que l'on parle de la
« froidure »...
Alors, pour apaiser mon mal d’hiver, au
moindre petit début de commencement de chant d’oiseau, à la moindre petite plume
qui volette gracieusement dans l’air matinal, il me prend des désirs irréfragables
de lézarder au jardin, de me caler sur une terrasse ensoleillée, avec un bon
livre et une tasse de thé, ou de gratter ma guitare en sentant les rayons me
caresser doucement les moustaches. Oui, parce qu’avec ma lune en soleil,
ascendant chatte sur un toit brûlant, j’aime m’étirer avec volupté devant l’astre de mes jours, et
me taper des siestes indécemment longues
et lascives. Au soleil. Au bord de la mer. Eh oui, même en février. Surtout en février.
Et par-dessus tout, j’aime n’en ramer pas une. Ça me repose.
Le farniente élevé au rang d'un art majeur.
Le farniente élevé au rang d'un art majeur.
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Il fallait placer les mots LEZARDER DUR LIVRE S’IMPREGNER CORPS ELASTICITE
ENSOLEILLE APAISER PLUME GUITARE BILBOQUET MANQUE MOINS MALLE
Je n'ai jamais skier...
RépondreSupprimerMais j 'adore la montagne plus que la mer..
Ici à 15 minutes des deux (Nice)
Je vais plus vers les montagnes..
Nice, je connais bien...et Saint Martin Vésubie aussi.
SupprimerMais moi je suis montée à l'envers : j'aime la mer en hiver et la montagne en été, je ne peux jamais faire comme tout le monde !
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Ski de fond et luge, histoire d'y goûter un peu quand les sommets enneigés sont visibles depuis nos fenêtres par une journée ensoleillée, c'est bien pour prendre l'air mais j'aime bien un bon livre lu au rythme d'accords de guitare et rester au chaud ;-) et bien voilà le programme du weekend, neige samedi et faniente dimanche. Merci
RépondreSupprimerJe suis ravie que tu t'apprêtes à passer un bon weekend, cath !
SupprimerMoi ce sera la balade des mimosas dans le massif de Tanneron.
Un régal des yeux et du nez !
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ah magnifique, Mademoiselle Nullenski du Bilboquet, bravo!
RépondreSupprimerhéhé ! j'ai pris des lettres de noblesse, d'un coup !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Ah que j'aime les gens qui savent glander avec application !
RépondreSupprimerMes vacances d'hiver idéales ?
C'est au mois de juin.
Nous avons des valeurs en commun, il y a longtemps que je m'en suis aperçue :-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Skier comme un bilboquet ! J'aimerais voir ça.
RépondreSupprimerEh bien justement...ça ne skie pas, un bilboquet...
SupprimerEt il n'était pas simple à placer celui-là, tu peux m'en croire !
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Encore une fois j'ai compris qu'il y avait une consigne seulement à la fin, quand tu l'as écrit. L'intégration est parfaite. Etant fort réfractaire au ski et à la neige sauf pour la prendre en photo de loin, j'ai failli zapper ta note au vu du titre, j'aurais eu tort...
RépondreSupprimerNe jamais s'arrêter à un titre, surtout de Célestine : règle numéro 1.
SupprimerEt comment attirer un lecteur mieux qu'en l'interpelant ...
Merci d'avoir persévéré.
Bises douces
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J'ai beaucoup aimé skier et dans les années 70 c'était encore bien agréable sur les pistes là-haut, et même avant, à 18 ans j'ai skié dans les Pyrénées avec des skis en bois à deux dans les descentes et en grimpant le col skis sur l'épaule, on dormait sur un bas-flantc dans une bergerie et on cassait la glace pour avoir de l'eau...... C'était le bon temps disent les grand-mères !
RépondreSupprimerMaintenant... je sais buller moi aussi en attendant mieux...
Depuis quelques jours ici les oiseaux sont joyeux, le soleil resplendit même si il fait encore un peu froid le matin, les bourgeons s'ouvrent, les camélias sont au rendez-vous, alors patience Célestine, le printemps n'est pas loin !
Je t'embrasse
Marine
e ne me souviens pas, du plus loin que remontent mes souvenirs, avoir jamais aimé le ski...
SupprimerJ'ai toujours éprouvé beaucoup de mal à comprendre le sens de cette activité, à rager contre un froid de gueux sur les télésièges, à avoir peur de me casser quelque chose, à me sentir engoncée dans mes vêtements et surtout mes chaussures...A transpirer et à grelotter, à sentir ma peau tirer et mes yeux me faire souffrir atrocement avec la réverbération...
Aucun plaisir. ce que je préférais, dans cette activité « obligatoire » de l'époque, c'était le ski-bar, les raclettes et la boîte de nuit de la station.
Comment ai-je pu accepter de me faire aussi mal, juste pour faire comme tout le monde ?...
Vivent les fleurs et les petits oiseaux !
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Je te rejoins tout à fait. Jamais skié de ma vie, et jamais fait de vacances de neige. La montagne, c'était pour me promener, avoir la paix, pas trop de monde. Voir les choses d'en haut, et puis d'en bas. Pas de programme, c'est le mien si possible. Avec des petites étapes "si on a le temps, envie, s'il pleut, si on a trop chaud"... Si. Si :)
RépondreSupprimerBaci et tu fais bien! Nullenski...
Avoir la paix...pas trop de monde...
SupprimerOui, je crois que le ski ne va pas à mon côté contemplatif...peut-être le hors-piste, à la limite ?
Mais c'est tellement irresponsable pour moi, de déranger les secours alors que l'on est hors-la-loi...
Baci bella ragazza
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il t'a manqué un bon mentor. J'en ai eu un, mon amoureux, j'avais 22 ans et je n'aimais pas le froid, j'étais couarde, je n'ai jamais aimé les cascades et autres acrobaties qui m'auraient fait décoller du sol. Eh bien, j'ai été servie ! Des chutes, des glissades, des culs de pantalon mouillés, des larmes vite cachées, puisque je ne voulais pas déplaire à Jean qui skiait déjà comme un Dieu et qui avait laissé tomber une de ses conquêtes pour "me prendre ne main" ! :D Un apprentissage difficile qui m'a demandé beaucoup de courage, je le dis haut et fort.Mais quelle récompense lorsqu'il me regarde avec fierté le suivre sur les pistes les plus en pente de la station, quand je m'aventure derrière lui (le coeur battant la chamade, je ne le dis pas mais doit s'en douter ! lol) dans la poudreuse dans laquelle j'appréhende encore de me noyer. re lol ! Bon, cette année, je l'accompagne, un livre dans mon sac à dos et je fais comme toi, je lézarde au soleil... oui oui, on peut aussi lézarder au soleil en montagne. Mais pour le bronzage des chevilles, pas possible. Bisous et profite bien de tout.
RépondreSupprimerTu es exceptionnelle, mariejo, et ton amour pour jean force le respect et l'admiration...C'est beau d'avoir fait tout cela pour lui...
SupprimerNon, je n'ai pas eu de mentor en ski.
Mon grand amour de vingt ans ne faisait pas de ski. Il était plutôt du genre nocturne, ténébreux et musicien...
Ma vie n'est pas un long fleuve tranquille...
Je t'embrasse et je te rassure: oui, je profite de tout.
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J'ai toujours aimé le sport "sportif" pas le sport pour se faire voir ! Tu sais j'ai toujours été casse-cou et d'ailleurs je me suis "cassée" abondamment, c'est mon caractère, quand je faisais un sport, (j'en ai fait plusieurs) je voulais être au top, pas pour me faire voir mais pour les sensations !
RépondreSupprimerAu soleil des pistes on n'a pas froid, et puis quand je ne trouvais plus de plaisir je m'arrêtais !
Quand ma fille (la dernière) a ét en âge que je l'amène (en semaine) avec moi elle trouvait tout comme toi, froid, ceci, cela, et plus encore, je descendais une piste et je revenais vite auprès d'elle à l'école de ski, elle me compliquait la vie et puis elle y est allée le mercredi (depuis Toulouse) avec les jeunes accompagnateurs du Centre Hospitalier où je travaillais, ils étaient adorables et aux petits soins, du coup elle s'y est mise et ne s'est plus jamais plainte ! Et a aimé finalement !
ce qui me gêne le plus, dans le ski, c'est le côté quasi « obligatoire « qu'il prend dans certains milieux. Si on ne skie pas, on a alors l'impression d'être un inadapté, un extraterrestre...
SupprimerQuand la question principale devient : « et toi, tu pars où skier ? » il est temps de se poser des questions...
Je me demande si cela n'a pas contribué à mon désir de me démarquer...
Cependant je respecte totalement les gens qui aiment...même si moi, je préfère courir cheveux au vent avec une simple paire de baskets....
Je te remercie Marine, d'être venue nous donner ton intéressant point de vue, et ton expérience de maman.
Bisous
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J'adooooooooore ton billet!!! N'en ramer pas une, quel art du bonheur. La dernière fois que je suis allée aux sports d'hiver, j'étais "fiancée" pour la première fois ce qui remonte à... 45 ans. J'avoue avoir beaucoup aimé mais bon, on s'en passe très bien et il faudra bien qu'un jour on le comprenne, les beaux jours des sports de neige sont comptés. Moi, dès les premiers rayons de soleil une envie de gratouiller mon jardin me vient. Bon farniente ma belle
RépondreSupprimerIl est clair qu'écologiquement, le ski est une petite catastrophe : pollution des vallées, perturbation de l'écosystème, gaspillage d'énergie en canons à neige, dameuses et remontées mécaniques... etc...
SupprimerJe suis d'accord avec toi, ma Brizou, les sports de neige ne dureront pas, avec le réchauffement climatique...
Bizous
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Plus jeune j'ai pratiqué les deux: ski alpin et ski de fond. Mais du jour où j'ai découvert la si belle convivialité des pistes de fond, tous ces inconnus qui vous disent "bonjour", qui ont le sourire, j'ai complètement oublié le ski alpin. Il y a longtemps que je n'ai plus chaussé les skis et parfois les souvenirs de balades merveilleuses sous les sapins enneigés me donnent l'envie d'y revenir.
RépondreSupprimerBuller. Éloge de la paresse, de l'inaction. Il y a tant d'injonctions à l'activité (viiiite sinon vous êtes vieux, arthrose, ostéopeureuse toussa toussa) que personnellement j'ai mauvaise conscience quand je ne fais rien. Ce qui est dur aussi pour une contemplative comme moi c'est d'avoir toujours cette odieuse petite voix qui me tance et me dit que je DOIS être "productive".Zut! Mais fiche-moi la paix toi là!
Dans ce monde où nous subissons la violence extrême d'avoir été arrachés au vivant, il est bien difficile de s'arrêter. Simplement. Se poser. Etre aussi immobile que les cailloux et de trouver leur sérénité.
Bisous
Ah ma chère Désirée, quel bonheur de te lire, et de te voir parler du farniente...avec encore un peu de culpabilité, mais tu verras, à force, elle ne peut plus rien contre le bonheur de s'asseoir et de contempler
SupprimerPersonnellement, ça fait déjà un moment que la petite voix insidieuse ne fait plus la loi dans ma tête.
La vie est un équilibre entre le faire et l'être, entre l'être et le faire, dans une lumineuse et profonde harmonie, pour parodier un de mes auteurs préférés.
Je t'embrasse
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Je n'ai jamais aimé le ski. En revanche, me balader en montagne, ça oui ! J'adore cette madame Nullenski. Je me reconnais en elle !
RépondreSupprimerBises.
Nous ne devons pas être les seules dans cette grande famille !
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
32 lignes, quand même, le farniente ! ;-)
RépondreSupprimerIci les jonquilles sont sorties, zoup, je sors ! Je ressors même !
Ecrire, pour moi, c'est comme respirer. Je n'arrête pas quand je me pose...
SupprimerBisous mon Oncle Tâtillon
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Je n'aime pas non plus skier, et les sports de neige ne m'ont jamais attirée. Il fut un temps où j'allais faire du ski de fond avec mari et enfants pour leur faire plaisir, mais moi je n'ai jamais trouvé de plaisir à en faire. Par contre, le farniente, j'adore !... :-)
RépondreSupprimerBeau week-end à toi, Célestine. Bisous.
Tu exprimes toujours en quelques phrases très simples ce que je mets 32 lignes à dire...
SupprimerMais l'essentiel est que nous nous soyons comprise, belle dame.
Beau dimanche !
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Merci pour le Tanneron, je ne connaissais pas, j'ai regardé....trop beau !
RépondreSupprimerEt tu as dû avoir chaud !
Ce que j'aime, ce sont les saisons bien marquées et dans nos montagnes du sud, nous sommes gâtés.
Bises enneigées et ensoleillées.
j'étais bien aujourd'hui, enivrée, émerveillée par un ciel pur et des arbres odorants qui m'ont rappelé mon enfance.
SupprimerC'est une très belle région, oui, et ce fut une très belle journée.
Merci Monique
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La contesse russe Célestinovsky du Bilboquet est à Courch' Qu'on se le dise
RépondreSupprimerElle a lancé le mouvement des lunettes jaunes...
Quand te reverrais-je skieuse merveilleuse ?
(façon Michel Blanc)
https://www.youtube.com/watch?v=Uz9_Vsq8EkQ
Perso, côté ski, j'ai seulement les bâtons… et puis pour marcher j'ai aussi des gros chaussures orthopédiques si bien qu'à l'époque, le fils d'un ami me demanda : pourquoi tu gardes toujours tes chaussures de ski ?
;-)
Ah la fameuse séquence sur le télésiège...je l'ai revue avec plaisir...
SupprimerTon ami avait de l'humour, ça ne m'étonne pas qu'il fût ton ami...
C'est à ce niveau de dérision impertinente que l'on reconnaît les gens qui nous aiment beaucoup.
Et tu en fais partie 🖤
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Tiens donc... Comme on se rencontre... Je n'aime pas le froid non plus et je suis amoureuse du soleil aussi!
RépondreSupprimerBises Célestine!
Mo
Tu ne le sais pas encore, mais j'ai fondé un club et tu viens de signer ton adhésion... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
La montagnarde que je suis t'annonce qu'à 1660 mètres, le soleil brille généreusement et qu'il fait 12 degrés en plein soleil. Le printemps! 😊 bises alpines enneigées
RépondreSupprimerEt j'en rame pas une.
SupprimerAujourd'hui, à Tanneron, il faisait 21 degrés et l'air embaumait les mimosas.
SupprimerC'était juste divin, et j'ai dégusté mon repas au soleil avec les yeux mi-clos de bonheur.
Gros bisous ma belle montagnarde
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Je me souviens de la dernière fois où j'ai mis des skis.
RépondreSupprimerIl faisait un temps superbe. Arrivé au terminus du tire-fesses, j'allume ma pipe, les yeux sur l'horizon et la tête dans le vague. Chaque virage était l'occasion de voir une autre face de la montagne. Je me fais bien évidemment copieusement doubler et même skitiner mes lattes. A peine arrivé en bas, c'est le bal des chronomètres. "J'ai fait 2.15, et toi...."
"Oh moi, juste le temps de deux pipées" Et on se retrouve dans la file d'attente du remonte-pente à attendre son tour durant 3/4 heures...
J'ai trouvé bête de devoir attendre 45 minutes en bas de piste toutes les deux pipées (2 heures à la louche).
C'est là que je me suis dit qu'il faut être débile pour se geler les miches à attendre si longtemps pour à peine plus de deux minutes de plaisir...
Maintenant, pour reprendre le ski, il faudrait qu'on me garantisse une neige à 20°C
Ti bacio
Skitiner, j'aime beaucoup !
SupprimerTu as raison, le ski ressemble à ces plats que l'on met des plombes à préparer et qui sont dévorés en deux minutes...
C'est frustrant, voilà, c'est frustrant.
Mais fumer en faisant du sport, toi, tu cumules ! Tu veux vraiment te faire épingler par le service communication du ministère de la santé, ou bien ?
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A l'époque, ce n'était pas mal vu de fumer. J'a pu ainsi contribuer à l'assainissement de l'assurance vieillesse helvétique qui se voyait dotée d'une partie de la taxe sur le tabac, ce qu fait que j'ai l'impression de mériter ma rente... C'est aussi important de ne pas se sentir coupable :-)
SupprimerÇa t'a gardé en tout cas une grande élasticité neuronales, qui fait que tu rebondis toujours parfaitement quelle que soit la remarque que l'on te fasse ;-)
Supprimerhihihi !
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:-D
SupprimerLorsque j'ai appris à skier, je ne voulais pas faire ce fameux "chasse-neige" ! Non. Moi, je voulais être jean claude killy et faire des arrêts dans des dérapages formidables. Ce que je sais faire maintenant...
RépondreSupprimerJe ne skie pas tous les ans et seulement une journée ou deux, si l'enneigement le permet. Il faut dire que dans mon massif central, les sommets ne tutoient pas les nuages... Il n'empêche qu'aujourd'hui, je me suis régalé. Le massif du Sancy semblait "flotter" au-dessus du paysage de février. Mousseline de neige n'attendant que moi.
En partant, je subodorais la journée magnifique qui nous attendait. L'horizon rose-orangé au levé du jour, le reflet sur la neige teinté d'azur, c'était magique. Point de froidure et d'engelures, point de bonnet, de gants, d'écharpe, point d'équipement spécial, je skie depuis que je sais, simplement vêtu d'un jean, de grosses chaussettes et de ma vielle veste couleur kaki... À mille trois cent mètres d'altitude, il faisait un soleil radieux, seize degrés, selon Celsius, nous réchauffaient et je suis tout bronzé. Les amatrices (Ça se dit ça ?) de farniente n'étaient pas en reste, non plus... J'en ai vu beaucoup, d'allongées dans un transat,en solitaire, se faisant dorer la pilule.
Ce soir, elles sont sûrement moins fourbues que moi... je n'ai plus de jambes !
Demain sera un autre jour et j'en profiterai pour faire le lézard, majeur... ;)
Pas encore assez chaud pour installer mon hamac sous le tilleul, mais j'y pense...
Tu es content de toi, et tu as bien raison.
SupprimerL'essentiel, dans ce débat, c'est que les skieurs et les non-skieurs se respectent et s'apprécient.
Ce qui est mon cas. je n'ai fait qu'exprimer mon goût (ou mon dégoût) et en faire une affaire personnelle serait complètement dommage. J'aime t'écouter parler de ta région avec des étoiles de poésie dans les yeux.
J'aime lire que tu t'es régalé à dévaler les pentes en jean et veste kaki.
Je ne sais pas pourquoi, ça me fait du bien de me dire que lorsque je m'allonge sur mon transat (intestinal) tu pourrais passer devant moi à fond de ballon et le faire un petit signe de la main... je ne verrais qu'une gerbe d'étincelles poudrées, mais je saurais que tu t'éclates.
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Transat (intestinal) ? Je ne sais pas si j'aurais osé... :)
SupprimerÀ fond de ballon, ou tout schuss ! La gerbe d'étincelles poudrées, j'en faisais plein, lorsque je me cassais la margoulette dans la poudreuse... Il faut dire que j'ai appris à skier avec un excellent professeur, qui m'a appris le hors-piste, dans cinquante centimètres de poudreuse, il fallait "godiller" dure,pour ne pas s'enfoncer lamentablement.
Il faut être très "expérimenté", pour cela. Ce n'est pas mon cas, et je ne m'y risquerai pas. Je suivais mon "prof". C'était il y a trente-cinq ans et j'étais plus inconscient.
Hier, j'ai bien regardé toutes les jolies filles, mais je savais que je ne t'y verrais pas : j'avais lu ce billet avant de partir... Dans le cas où, par le plus grand des hasards, je t'aurais aperçu, j'aurais "déchaussé" immédiatement, pour te tenir compagnie. Et tant pis pour le ski !
Tu as vu, là ? Tu as vu la couleur de mes joues ? Non , ce n'est pas le soleil, et pourtant il brillait aujourd'hui dans l'arrière pays monégasque. Non, ce n'est pas la neige...
SupprimerC'est le plaisir de lire une déclaration, comme ça, là, l'air de rien...
Une belle déclaration d'amitié, mon cher Didier, et j'en suis rose d'émotion.
Pour ce qui est du transat, je me suis autoplagiée...
Bisous du soir qui a bien commencé ;-)
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Neuf juin deux mille treize ? Sans que tu ne le saches et moi non plus, j'étais en route vers "quelque chose" et je ne savais pas que ce serait chez toi que je m'arrêterais...
Supprimerje ne regrette pas mon arrêt.
Il vaut mieux rougir, ou plutôt rosir d'émotion que de honte !
Quant à l'auto-plagiat, c'est une histoire entre toi et toi.
J'avais bien senti une infime vibration de la toile de mon transat...mais je ne savais pas que c'était toi qui percutais ma constellation...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
La toile dont est fait ton transat est une toile fine, constellée de cils vibratiles, captant les vibrations les plus intimes, à la manière des appareils très sophistiqués des astrophysiciens, capable de percevoir la vibration ultime d'une étoile qui se meurt dans un dernier souffle cosmique.
SupprimerMoi non plus, je ne savais pas que ce serait ta constellation que je traverserais. Percutais , me semble un peu trop violent à mon goût.
Dans le cosmos, les objets se percutent, mais ce n'est pas négatif...cela voulait juste dire que cette rencontre a été percutante, au sens « forte »
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Merci pour la précision. Elle l'est toujours, percutante. J'en suis toujours épaté !
SupprimerPercutante...et épatante donc...
SupprimerBisous
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
C'est exactement ça...
SupprimerBelle nuit
Mince ! j'aurais pu faire un "billet", avec ce commentaire... tant pis, j'en ai un autre...
RépondreSupprimerCela aurait enfin signé mon contrat définitif de muse officielle...
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Même sans signer de contrat officiel, sans toi, je ne serai pas présent ici, n'y ailleurs...
SupprimerAlors oui, tu es ma muse.(ça me fait tout bizarre de dire ça)! je vais m'habituer. ;)
Youpi j’ai réussi mon entretien alors ?
SupprimerChampagne !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Parfaitement réussi ! Comme pour le ski, j'aime bien prendre exemple sur les meilleurs(e). J’ai déjà vu passer avec délice ton curriculum vitae... Il m'a agréablement séduit ;)
SupprimerBon là je suis regonflée à bloc pour des mois...
SupprimerL'ennui ce sont mes chevilles...elles aussi, elles gonflent ... ;-)
T'es un chou.
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Je ne crois pas avoir de remède miracle, pour les chevilles ! sinon les ballades en montagne, que tu pratiques déjà. Et garder les pieds sur terre, ça aide pas mal...
SupprimerJ'ai d'autres petites idées, mais je ne suis pas certaine que ce soit l'heure ni le lieu... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Pour le coup, c'est moi qui rosi, maintenant... Bon, depuis hier, je le suis déjà :)
SupprimerAh bon depuis hier seulement ?
SupprimerMais non je rigole !
Je vais te souhaiter une belle nuit, merci pour ce petit dialogue que j'ai beaucoup apprécié.
Bisous mon ami de la nuit
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je t'embrasse aussi, belle nuit à toi, mon amie de la nuit
SupprimerLe ski, le grand frisson... hérissant mes poils métamorphosés en mini stalactites.
RépondreSupprimerEt je frissonne, encore, à ce qui (bien prononcer ce qui, pas de contraction svp) aurait pu advenir à la fin de mon patronyme si j'étais né à Varsovie.
Comme, en outre, la vitesse est un concept qui me plonge dans des abîmes de perplexité et que le culte du travail est incompatible avec mes origines orientales -a minima méridionales-, ton billet m'a procuré une joie reconnaissante et un frisson...de plaisir.
J'aime finir sur cette note frissonnante ma session de réponses aux commentaires de ce soir.
SupprimerC'est réjouissant.
Merci Rom
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Une fois j'ai essayé le ski de fond, en Belgique, j'ai réussi à me foutre le bout du bâton dans l'œil, ça a suffi à mon bonheur.
RépondreSupprimerFais un saut jusqu'ici : c'est plein soleil et il fait 16°C
Ton histoire avec le ski c'était de l'amour-vache !
SupprimerAllez, ici il faisait plus de 20 aujourd'hui, je vais rester par là, ça améliorera mon bilan carbone...
Mais c'est gentil de me l'avoir proposé, Boss.
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Bah oui, jolies perspectives,je ne skie pas non plus mais des balades dans la neige ça peut le faire aussi. Par contre, tu m'intrigues avec tes doudounes en gore-tex... :D :D
RépondreSupprimerDu coup, tu ne dois pas avoir le teint d'Amélie Nothomb...
Bisous
Je parlais de vraies doudounes, hein...
SupprimerPas de celles auxquelles tu penses coquin, qui sont cent pour cent naturelles...
Nanméo !
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Si tu vas skier en mars, il ne fait pas du tout froid
RépondreSupprimerJ'entends bien, mais tu vois, il n'y a pas que le froid qui me rebute, c'est surtout mon niveau lamentable. J'ai peur, je ne suis pas à l'aise et je n'éprouve aucun plaisir. Alors j'ai passé l'âge de me faire mal quand je n'aime pas quelque chose...
SupprimerBisous miss
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Ah je t'avoue que je prends goût, enfin, à me remettre au rythme de ma pendule. Lentement, je désapprend la promptitude. Je déambule, pour pas une bulle, dans ma tenue de nuit, bien enveloppée dans celle "je m'en fous de l'air que j'ai". Le cheveu en bataille : ben oui quoi, coiffée avec une dent de peigne ! J'évite les visites surprises du matin. J'improvise un casse-dalle (j'ai pris rendez-vous avec le mécanicien en dents, oui oui). Je me savoure des journées sans rendez-vous, sans visite obligatoire à la grande surface mangeuse de mes sous. Sous, je les compte puisqu'à la retraite. Mais pour tout l'or du monde, je n'abandonnerai pas ce nouveau statut du temps qui passe lentement. LOU
RépondreSupprimerTu es drôle, Lou. J'aime beaucoup la façon dont tu racontes ton quotidien (le mécanicien des dents quelle chouette trouvaille)
SupprimerTu devrais écrire davantage sur ton blog...
Moi aussi, je savoure la lenteur du temps, même si j'aime les accélérations de temps en temps, et notamment celles de mon coeur...Ah...la chamade !
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Ghislaine, du blog Presque voix me répète que je devrais poser mes mots sur un parchemin ou papier de chiffon. Ça me chiffonne les neurones, p'tête bien, un jour... :)
Supprimerhttp://presquevoix.canalblog.com/
LOU
Tu vois, on est deux à te le dire... ;-)
SupprimerG.Balland s'appelle Ghislaine ? On en apprend tous les jours...
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Eh bien moi, j'adore le ski...à la télé, dans mon fauteuil.
RépondreSupprimerVivement les jeux Olympiques !
Bises
Angela
Quelle espiègle cette Angela !
SupprimerTu m'as fait sourire ... :-)))
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Hello chère fée
RépondreSupprimerAh ben oui! Effectivement! Je n’aurai pas pu tomber plus à côté! :D :D :D
Pour autant, les siestes de Mademoiselle Nullenski font envie :D
Bon, personnellement, je skie, mais il faut des conditions plus qu’idéales et comme j’ai toujours, même dans ma vie parisienne, eu un pied dans mes Alpes bien aimées, j’ai le droit de choisir mes journées de ski quand bon me semble (pour peu qu’il y ait de la neige, bien entendu)!
Je vais te dire, chère fée, la pratique du ski n’est qu’une formidable excuse pour se régaler d’une bonne fondue le soir (Comment ça tu n’aimes pas la fondue ? :D :D :D)
Bravo pour ce texte et pour le bilboquet! Je n’ai jamais vu un bilboquet skier mais l’image est parlante!
Bisous chère fée!
Ce n’est pas que je n’aime pas la fondue ...c’est plutôt elle qui ne m’aime pas...
SupprimerEn tout cas merci pour ce long commentaire ma luciole.
Tu assures les Plumes de main de maître et j’adore !
Gros bisous
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La fondue ne t'aime pas ? Comme tu nous aimes alors pour être venue quand même au symposium Blogbo !!
SupprimerBen un peu que je vous aime !
SupprimerMais c’est vrai que j’ai suspendu là surveillance de mon taux de cholestérol pendant la fondue ...
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J'admire cette abnégation... D'un autre côté, c'est si rare qu'on puisse déconner en direct...
SupprimerC'est d'autant plus apprécié...
SupprimerMais il va falloir que l'on trouve un moment quand même...
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En Pologne il y a quelques années avait été organisé un grand concours, le premier prix était soit : assister à un concert de Jean Michel Jarre, soit un séjour aux sports d'hiver, en fait c'était Jarre ou les skis ! ];-D
RépondreSupprimerAndiamo moi j'avais une copine qui s'appelait Maya mais elle habitait dans la montagne alors je ne pouvais admirer Maya qu'au ski ! Et sur le fond du billet, pareil que toi, Célestine : aux autres les pistes noires et le plâtre et le rapatriement et le congé accident, à moi le génépi au bar !
SupprimerFeux d’artifice croisés de noms polonais : vous me ravissez mes beaux !
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J'aime voir tomber la neige, assise avec un livre, regardant les flammes de la cheminée.
RépondreSupprimerOh comme je te comprends...
SupprimerEt avec une crêpe au Grand Marnier en prime... :-)
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J'adore tes vagues origines polonaises « mademoiselle Nullenski »...Bon thé, bonne lecture sous le soleil évidemment...Bisettes céleste Célestine. brigitte
RépondreSupprimerSous le soleil exactement, chère Plume !
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Bonjour Célestine, j'aime la neige et j'ai beaucoup apprécié le ski même le ski de printemps. Skier au soleil et voir aussi les premières primevères fleurir à côté des belles plaques de neige, un régal. Merci pour ton joli texte.
RépondreSupprimerGros bisous ♥
C'est ton droit le plus élémentaire, ma chère Denise.
SupprimerChacun aime ce qui lui parle, et c'est très bien ainsi...
Gros bisous et ravie de ton retour
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Oh comme je te comprends. Il y a bien longtemps que je n'ai pas mis mes skis aux sports d'hiver. Trop froid, trop glissant! Je préfère le chaud, une belle plage en plein hiver. ça existe !! Moi c'est clair : j'ai toujours aimé le sud et sa chaleur !!
RépondreSupprimerJe confirme, j'étais hier sur une belle plage, avec un soleil doux et caressant qui n'agressait pas ma peau... et la mer avait une transparence qu'elle n'a jamais en plein été.
SupprimerEt j'étais bien...tellement bien ... je méditais et je sentais l'air dans chacune de mes cellules...
Bisous Daniel
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Comme je t'envies !! Envoie moi le soleil !
SupprimerDans mes bras !
RépondreSupprimerBleck
...Vieille branche ! Comme dit Haddock à Tournesol ... :-)))
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« Lune en soleil ascendant chatte sur un toit brûlant »
RépondreSupprimerDu pur Troussecotte !
:)
On a la même étoile!!
RépondreSupprimerje chausserais plus volontiers des skis que faire une promenade à vélo...
et pourtant je suis souvent par terre...va comprendre!!
C'est que tu aimes bien la neige ! D'ailleurs tu as passé un mois au pays du froid, c'est tout dire...
SupprimerBisous ma cathy, sympa ton passage
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Le ski, je pense que ça peut être formidable.
RépondreSupprimerÇa peut être formidable avec 17 fois moins de monde sur les pistes zéro musique, aucun snowborder du soleil une neige correctement damée et non givrée, beaucoup de sous aucune attente aux remontées, un chalet en bordure de piste (évidemment) pas de scolaires, de longues descentes pas trop descendantes entre-coupées de zones boisées de sapins mais pas trop parce qu'autrement il y a de l'ombre et aucune compétition.
Ce n'est pas possible ? Je n'aime donc pas le ski.
De toute manière je préfère le soleil à l'ombre, ne rien foutre sévèrement à tout autre activité active, la fraîcheur au cagnard, l'eau au Cola, le silence a la musique des autres et le mardi après-midi au dimanche matin.
Bleck
Alors là, j'adore ta démonstration, et je plussoie des deux mains ( ça se dit, ça, je plussoie des deux mains ?)
SupprimerBref j'adore tes préférences.
Et je note que cet après-midi, on était mardi après-midi, hé hé .... !!!!
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L'unité dans la diversité : voilà à quoi me fait songer ton texte.
RépondreSupprimerHeureusement qu'existent les amoureux des extrêmes ( chaud ou froid) , sinon les 7 milliards devraient se serrer en belle 'tortue' sur la zone limitée des regions les plus tempérées....
Cela dit, rien ne vaut le contact avec la nature dans le silence de la forêt enneigée, dans le désert , au sommet d'une montagne.....
A chacun ses aspirations et c'est tres bien.
J'ai été élevé entre lac et montagne...
Je me devais d'apprendre la progression en ces deux milieux.....entre le chaud et le froid....
J'ai appris le plaisir de la glisse sur la pente enneigée, la joie de nager vers le large....
Mais je comprends la diversité des plaisirs qui relevent de l'existence particulière de chacun.
Reste que comme Jules Verne je serais bien attiré par un voyage en ballon pour enrichir mon regard des beautés de notre planète.
Bises
Un voyage en ballon ! Quelle bonne idée...mais euh ...il ne fait pas un peu froid dans les hautes couches de l'atmosphère ? ;-)
SupprimerLes amoureux des extrêmes ...là, je ne suis pas sûre qu'ils aient le choix.
mais je suis d'accord avec toi sur la belle diversité de notre terre, qu'il fait absolument protéger ...
merci pour ce beau témoignage
Bises
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Je lis ta chronique avec retard ... Je crois que pour la nullité en ski, je te dépasse largement. J'ai fait une seule expérience, totalement ratée (@ l'ucpa si ça existe encore... même pas au club med où je me serais peut être amusée ). Les deux seuls bons souvenirs que j'ai gardés, c'est un aller retour en autorail à Chamonix... dans les bois. Et une excursion sncf d'un jour à Aoste (où il faisait beau ). J'ai bu le calice jusqu'à la lie, deux ongles bleus... et la crève en chipotant dans la neige pour aider à mettre des chaînes à la voiture d'une emmerd*** eresse ;-) plus jamais ça. Même la fondue d'un soir ne m'a pas consolée...
RépondreSupprimerJe suis une fille de la mer et de l'été. De la campagne et de la verdure... :-) et tutti quanti .
Oh moi aussi, Pivoine!
Supprimerla neige et le froid ne sont pas faits pour moi...les ongles bleus, quelle horreur !
Je lis ton comm avec beaucoup de retard moi aussi...pardon.
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