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08 janvier 2019

A quoi penses-tu ?




"Le bonheur arrive quand ce que tu penses, 
ce que tu dis et ce que tu fais sont en harmonie" (Gandhi)















A quoi penses-tu ? Allez, rentre, tu vas prendre froid !
Mais je suis bien, là, les yeux un peu vagues, lointains, nappés d'une brume de songe... 
A quoi je pense ?
A quoi je pense quand le bruit s'est retiré pour se changer en murmure, quand la nuit se fait câline et velours, quand je me retrouve avec moi-même pour un moment de vraie solitude choisie ? Mais à moi, bien sûr, en tout premier. Je m'offre un cadeau somptueux, le monde à mes pieds, le vent dans mes cheveux, la paix dans mon âme.
Et le luxe suprême de ne penser à rien de négatif. 
Et je ne rentrerai que lorsque je l'aurai décidé. Et c'est bon, de ne pas obéir aux injonctions...
Je pense que des êtres chers, m'aiment et pensent à moi, et c'est doux comme un manteau de plumes.
Je pense à mon père, dans son nid d'étoiles, qui me regarde avec son sourire de vieux cow-boy buriné, de jardinier tranquille. 
Je pense à l'amour, à la liberté, à la joie, ces trois phares qui éclairent ma route quotidienne.
Je pense qu'il y a dix ans jour pour jour, j'étais aux urgences pliée en deux de douleur, et que la vie est pleine de surprises. Rien ne va jamais pareil d'un an sur l'autre, et c'est bien.
Je pense à Bételgeuse plus lumineuse que jamais.

Et toi, au fait,  à quoi penses-tu dans ces moments-là ?
As-tu, comme moi, de ces élans de souffle renversants qui te transportent sans bouger de l'autre côté des choses ? Mille pensées te traversent-elles, ou te laisses-tu simplement bercer par l'instant, sans chercher à le retenir ? 



Musique Kevin Kern
By my side





Et pour ceux qui aiment les images qui ne bougent pas...
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128 commentaires:

  1. Dans ce genre d'instant, les pensées ne peuvent qu'être légères, amples, douces, positives, lumineuses

    Dans d'autres instants, les pensées peuvent êtres lourdes, enfermantes, éprouvantes, négatives, sombres.

    Je vacille entre les deux.Je n'ai pas beaucoup d'occasion à la contemplation.. alors...

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    1. La contemplation se provoque souvent. Il m’est arrivé de contempler une simple rue de ville et de sentir émerger en moi ses sensations de plaisir malgré les hydrocarbures et le bruit:-)
      La contemplation est plutôt un état d’esprit. Et je sais que tu l’as.
      Quant à vaciller entre les deux, tu prêches une grande cyclothymique...
      Bisous ma Suzame

      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  2. Bonjour Célestine,

    Dans ces moments là, qui arrivent comme des déchirures, je pleure, submergé par l'émotion.

    Bonne année, lumineuse étoile.

    Bises.

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    1. Qui arrivent comme des déchirures...
      C’est très bien dit !
      Et je comprends que tu puisses pleurer car tu es un être hypersensible comme moi.
      Bises émues
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  3. Autant me poser la question rituelle "À quoi penses-tu quand tu ne penses à rien ?" :-)

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    1. Dans un billet d’octobre 2013 intitulé « ne pensez à rien » tu écrivais : « pense à moi et tu seras près du but »
      Tu avais déjà une haute opinion de toi-meme...
      Alors je te pose la question: «  à quoi penses-tu quand tu ne penses à rien ? »
      Tu as quatre heures. :-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  4. Que c'est beau! C'est un luxe suprême de regarder ton image et de lire ton texte. Penser, oui, dire, oui, mais faire en harmonie, comment ? Y arriverait-on jamais ?
    Bises!

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    1. Ce qu’evoquait Gandhi dans cette phrase très profonde c’est ce que les psychologues appellent «  être congruent »
      C’est à dire aligner ses pensées, ses mots et ses actes. Un exemple de personnes pas du tout congruentes ? Les hommes politiques, qui font rarement ce qu’ils disent et encore moins disent ce qu’ils font... :-)
      Merci pour ton appréciation An
      Bises étoilées
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. 1con(non)gruent est du coup un bon xyloglotte. Philosophie du jour :D
      Bonjour Célestine, je vais y revenir :)
      Bise.

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    3. Hé hé ! Pas mal !
      Je vois que tu as le sens de l'humour, Julie !
      C'est très drôle
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  5. J'aime beaucoup ce billet, j'aime tout c'est dire, le titre l'image ton texte, j'aime beaucoup.

    (pour ce qui me concerne et dans ces moments-là, c'est la fusion d'un faisceau de mille pensées et du vide absolu qui traversent mon cerveau fatigué)

    Bleck

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    1. Ho merci grand Bleck !
      Touchée au cœur par ta sincérité que je sais totale.
      La photo m’a inspirée c’est vrai. J’aime cet endroit, ce moment et là légère brise qui soulève sa nuisette...
      Bisous celestes
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  6. ..comme toi, quand transportée au plus profond de moi, au chaud, quand mon âme, mon coeur, mon corps ne font qu'un, se mélangent si bien, que je n'ai qu'un désir : apprécier cet instant de vie harmonieux, sentir le vent léger qui m'effleure,ou goûter la pluie salvatrice.. et glisser vers toutes beautés qui m'entourent et que je ressens, vivante !
    très beau texte Céleste. Merci.
    Bisou.

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    1. Il y a cet endroit en nous, cette forteresse imprenable en effet, ce coeur de soi où il fait bon se retrouver, au chaud...cel s’appelle la joie, et il est important de savoir qu’elle est à l’etat latent au fond de soi.
      Ce qu’Alexandre Jollien exprime dans son livre « la sagesse espiègle »

      «  Cependant, faire la paix avec l’imperfection du monde, l’ambivalence des paysages intérieurs, le tragique, c’est ici et maintenant que ça se passe. La joie inconditionnelle, c’est la joie dans ces conditions, avec les boulets, les casseroles et une foule d’imprévus. Au fond, il s’agit de se faire à l’idée que ça ne va vraisemblablement pas s’arranger, que nous sommes embarqués dans une aventure dont l’issue nous échappe. C’est là que l’ego, dans sa folle volonté de maîtrise doit s’éclipser sauf à nous faire souffrir à jamais... »
      Je trouve que c’est très vrai.
      D’autres extraits chez Plumes d’ange.

      Bisous chère Den
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  7. Très beau texte en effet, mais je dois dire que tout le monde n'est pas dans cet état d'esprit. La vie fait parfois que c'est plus difficile qu'à certains moment. Mais votre prose fait plaisir à lire...comme toujours.

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    1. Chacun a au fond de soi une force, et c'est justement dans la difficulté qu'elle apparaît.
      Merci pour ta dernière phrase, JF.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  8. En ce qui me concerne... J'écoute ces cris d'effroi et de rage, j'écoute la douleur, j'écoute la noirceur de l'âme car je suis convaincu qu'en écoutant, on comprends...
    J'écoute l'abysse qui est en moi, et l'abysse m'écoute...

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    1. "... et l'abysse m'écoute..." élabismécoute, ella bismescoutes et la bise mécout... y a un truc là-dedans, je suis nul en contrepétrie charade ou mot valise ou palindrome "et l'abysse m'écoute" ... ... ... un code ? on est pas loin du virelangue...

      Bleck

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    2. @Hyôtoko
      Si c'est une façon d'avancer, et de transcender tes difficultés, c'est bien. Mais j'ai l'impression que tu n'as pas beaucoup avancé depuis le temps qu'on se connaît ;-) Je me trompe ?
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    3. @Bleck
      C'est vrai que ça ressemble à une contrepèterie ... ou à un virelangue ... lol
      Tu es espiègle !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    4. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    5. @Célestine,
      L'écoute ne peut être éphémère... Et qu'en bien même d'avancer à peine, c'est mieux que de ne pas avancer du tout.
      Il est dit : "Il suffit qu'il n'y ait ni amour ni haine pour que la compréhension apparaisse spontanément claire comme la lumière du jour dans une caverne."(Shin Jin Mei)
      J'essaie donc de me débarrasser de l'amour et de la haine pour comprendre...

      @Bleck,
      Virelangue, palindrome... Désolé je n'ai pas de culture, je ne comprends pas de tels mots... Pas envie non plus de chercher la signification...
      Il n'y a aucun code, c'est juste à une référence philosophique reprit allègrement par beaucoup...
      :-)

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    6. Oui je comprends ce que tu as voulu dire.
      Et j'apprécie que tu avances... ;-)
      Quant à Bleck, il a juste voulu mettre une touche d'humour après ton premier message qui était un peu grave...

      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    7. @ Hyötoko,
      Il ne s'agit que de jeu de mots, cette référence philosophique sonnant à mes oreilles comme un jeu de mots.
      - Comme le Shiritori, pour ne citer qu'un exemple cher à tes connaissances...
      Maintenant, sache que je suis ici, comme ailleurs, pour m'amuser (usant, certes, du poivre de l'ironie) n'écris plus que tu es dénué de culture, ce serait dommage.

      Bleck

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    8. @Bleck
      D'autant que ce n'est pas vrai : Hyôtoko est quelqu'un de très cultivé...
      mais je sais aussi que l'auto-dévalorisation est une forme d'expression d'une souffrance ancienne, qui remonte certainement à l'enfance.
      Tu manies le poivre de l'ironie mais aussi le miel de la délicatesse et je t'en sais gré.
      J'aime que mes lecteurs usent de respect les uns envers les autres.
      Merci ♥︎

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    9. Je cours me faire imprimer un tee-shirt avec l'inscription "Je manie le miel de la délicatesse" ça va avoir une de ces gueules !!!

      Bleck

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    10. Fais gaffe tu vas créer des émeutes dans les rues !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  9. Quel beau texte et quelle belle illustration!Parfois j'essaye de ne penser à rien mais des centaines de pensées me passent sous les yeux...je les regarde et les laisse passer...

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    1. C'est la base de la méditation, ne pas retenir les penser, les laisser filer comme des nuages...
      Ce n'est pas facile, mais c'est très gratifiant quand on y arrive !

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  10. Je pense à qui m'aime, qui m'a aimée, qui j'aime et j'ai aimé, et je sens la chance de ces amours qui m'enrobe et me protège de toute médiocrité. Je n'ai envie de rien car je suis.

    Baci sorellita!

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    1. C'est tellement beau ce que tu dis, Edmée. Et tellement toi en même temps...
      Baci sorellita
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  11. Tu le sais Céleste, un mot, un geste, un regard, un sourire me met en joie tout comme un mot, un geste , un regard peut m'attrister ; alors dans ce moment de solitude choisie, je ne pense qu'au bien être, au bonheur d'être là tout simplement,au sentiment de plénitude que me procure cet instant et à la chaleur des êtres qui m'aiment et ont une douce pensée pour moi. Bref, je me sens vivante, je vis et j'aime çà.

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    1. J'ai une douce pensée pour toi...tu l'as senti dans ton moment de solitude choisie ? ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  12. Ce billet me plaît bien. Et je trouve l'illustration d'une rare beauté, même si j'aurais préféré une image fixe qui aurait permis une contemplation. Malheureusement l'agitation par le vent ne permet pas de regarder longuement, enfin pour moi, ça m'énerve ! (Mais c'est un détail, l'image est très évocatrice).

    C'est toujours intéressant de lire ce qui peut se passer chez quelqu'un dans les moments de solitude choisie. Cela révèle beaucoup de la personne. De son fonctionnement et du monde qui l'habite.
    Donc, merci pour ce billet.

    Pour ma part, je suis souvent seul, et j'aime plutôt ça. De plus en plus d'ailleurs. Et pour répondre à ta question, je m'en tiendrai à ce que tu appelles « ces moments-là », c'est-à-dire les moments de solitude choisie.
    Il me semble qu'alors je ne pense pas. J'écoute ce qui se vit à l'intérieur de moi. En quelque sorte « je coupe le mental » et je laisse monter les ressentis intérieurs. Dans ceux-ci il y a des Présences qui tout à coup se font proches. Ce sont eux qui viennent à moi. Par exemple tu écris « je pense à mon père », moi ce serait plutôt « parfois mon père arrive ». Je n'ai pas l'impression de décider. L'intériorité à sa vie propre. Tout du moins en ce qui me concerne.

    L'alternative de ta dernière interrogation c'est autre chose. Je l'appellerai se laisser aller à la rêverie, en roue libre (je connais bien entendu…). Ce que j'évoque ci-dessus c'est une solitude méditative qui nécessite une forme de centration, si ce n'est une concentration.
    Disons que moi, ça me plaît, cela me fait un bien profond de demander au mental de la fermer !, Et une dilatation de mon être. Bref c'est tout bon !
    ;-)

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    1. Je plussoie pour une préférence à l'image fixe, toutefois, celle-ci est lente respecte le concept du billet et puis nous sommes chez notre Célestine...

      Bleck

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    2. @Alain

      Je te remercie pour ce commentaire qui me touche énormément. Je ne vais peut-être pas analyser en détail le pourquoi de ce qui me touche, mais en gros je suis toujours étonnée (malgré le temps et l'expérience) par le fait que mon écriture éveille des émotions chez mes lecteurs. C'est idiot sans doute, mais cela ne laisse pas de m'étonner.
      C'est surtout, d'ailleurs, avec les billets que j'ai le moins « travaillés » que cela se produit étonnamment.
      Et puis, aussi, je te remercie de parler de ce qui se passe dans tes profondeurs intimes (même si j'en ai eu quelques aperçus depuis dix ans) J'aime beaucoup la façon dont tu évoques ces présences qui viennent à toi. Et il est vrai que , quand je dis que je pense à mon père, c'est sa présence qui, soudain, s'impose à moi, comme s'il me tirait doucement par la manche...J'avais raconté comment, de temps en temps, j'avais l'impression qu'il était là, derrière moi, je sentais son souffle.
      Demander au mental de « la fermer » pour s'ouvrir à la faculté d'être c'est peut être ce que je dis quand je parle du bruit qui se retire pour se changer en murmure. Je crois qu'inconsciemment, cette phrase est une métaphore du mental qui se tait.
      Quant à l'image, désolée qu'elle chagrine tes yeux, moi j'aime sentir ce mouvement du vent dans les cheveux, je le trouve divin.
      Je t'embrasse
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    3. @Bleck

      Tu es un merveilleux avocat !
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    4. Tu peux te le faire imprimer sur une autre tee-shirt 👕 mouarf !!!
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    5. @ Céleste
      Peut-être que mon commentaire te touche parce qu'il a été écrit dans la même spontanéité que la rédaction de ton billet.
      Ce que tu dis de ton père me rejoint, vivant la même motion intérieure. Et en effet tu l'as déjà évoqué de manière comparable à ce que je vis.

      Je pense que tu as raison sur la métaphore que tu évoques. Faire taire le mental ne se fait pas en claquant des doigts. Il y a une sorte de tapage cérébral que la descente en soi fait s'éloigner peu à peu. C'est parfois quasiment physique.

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    6. Carrément physique, c'est tout à fait exact...
      Tu as bien saisi le sens de ma métaphore. Je sens physiquement le vacarme mental s'atténuer, puis s'arrêter enfin. Et c'est extrêmement réjouissant cette entrée dans le silence feutré de l'intérieur apaisé.
      Il m'arrive de plus en plus souvent d'en faire l'expérience...
      Tu as vu, je t'ai mis l'image fixe, rien que pour toi.♥︎
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  13. De mon côté, c'est la nuit qui la plus propice à ce type de pensées.
    Et crois-le ou non, hier juste avant de m'endormir, j'ai exactement pensé à quelques absents pour toujours. Je les imaginais m'aimant et me réconfortant depuis leur repaire. Ils sont comme un phare dans ma nuit étoilée............
    Merci pour ce beau billet et sa musique.
    Bisous de papier

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    1. Oui la nuit est évidemment propice à l'activité mentale, et à la méditation qui est son corollaire...
      Merci pour ce beau commentaire, eMmA
      Les absents, c'est émouvant quand ils reviennent vers nous, dans les moments d'abandon.
      Bisous de velours
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  14. L'amour ou l'amitié à mes côtés
    C'est comme ça que je vois la vie
    Avec toi Celeste, amie choisie
    Je me sens bien, plein de gaieté

    La, ce matin, à la veille de l'opération
    Ton texte résonne à mon coeur
    Comme un grand bonheur
    Le tien, le mien en répercussion

    Ce matin ma cousine, mes amis,
    Tous mes proches temoignent
    De ces sentiments premiers decrits
    Et tes mots de même s'alignent

    A bientôt
    Millier de bises

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    1. Je te souhaite beaucoup de courage et de sérénité devant cette épreuve pas très agréable.
      Mais tu vas en ressortir avec un coeur tout neuf !
      Mille bisous
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  15. Oui, tout bonheur vient à point à qui sait se l'octroyer. Dicton franc-comme moi :D
    "Dans ces moments-là"? Je pense à comment s'endormir pour ne point panser mes blessures :)
    Toi, Celestine... quoi que tu fasses, dises (ici)... c'est toujours bien :P Merci !


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    1. Tu es adorable, Julie.
      « Franc comme moi » voilà un joli jeu de mots !
      Merci de tout coeur
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  16. Je ne pense à rien, je traînasse mais c'est chouette aussi.
    Ce n'est pas vide, loin de là.

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    1. L'éloge de la flânerie, 2. Le retour... ;-)
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  17. J'aimerais, comme toi me laisser transpercer par des pensées positives mais pour cela je dois faire un effort, m'obliger à la méditation, laisser d'abord passer les pensées plus triviales… bisous à toi dans ta bulle étoilée

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    1. Oh mais je n'ai pas dit que c'était simple, ma Brizou...
      Et j'ai encore des pensées parasites, je te rassure !
      Bisous de ma bulle
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  18. J'aime être seul dans le silence du temps. Mes pensées sont des papillons qui butinent la vie . J'aimerais parfois qu'elles s'arrêtent un peu….Et quand c'est le cas ( ce qui est assez rare) j'éprouve un grand sentiment d'harmonie avec tout ce qui m'entoure...Je pourrais alors voyager dans l'Univers. Toutes mes pensées vers toi !!

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    1. Ce que j'aime en toi, c'est ton humilité. Parce qu'en tant que prof de yoga, on pourrait penser que tu maîtrises la méditation et que tu ne te laisses pas déborder par ton mental...
      Bon voyage dans l'Univers, cher Daniel.
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  19. J'essaie d'accueillir la vie telle qu'elle se présente, je me fais observatrice, je respire profondément quand une situation me semble négative. J'ai de plus en plus de mal avec la ville et la foule, je me sens sereine dans la nature... Nous avons tous nos petits "trucs", nos moyens de survie, la poésie et le cosmos sont de grands jardins où l'on peut cueillir la sérénité et j'aime profondément et depuis toujours ces jardins là. Bises céleste Célestine,à bientôt, douce douce année à toi. brigitte

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    1. J'aurais pu écrire chaque mot de ce beau commentaire, ma chère Plume.
      Se faire observatrice, c'est aussi s'observer soi-même, pour apprendre à contrôler ses ressentis, les comprendre, les analyser sans se laisser déborder.
      C'est passionnant et très gratifiant...
      Bisous ma belle
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  20. Dans la même situation, dans la même position, je penserai à tous les gens dans les immeubles au-dessous de moi. Que peuvent-ils bien faire eux alors que je regarde de cette fenêtre sur cette gigantesque cour.
    Bises.

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    1. C'est fort drôle ce que tu écris là, j'aime beaucoup !
      Et tellement vrai, finalement. j'avais écrit un jour un billet sur ces fenêtres qui s'allument et qui cachent mille vies à imaginer...
      Bises célestes
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  21. je te souhaite ma chère Celestine une très belle année 2019, pleine de rire, de joie et de partage.
    la solitude, contrairement aux idées reçues, a du bon. Lorsqu'elle est choisie et non subit, elle permet de se penche sur ses aspirations et ses valeurs et de se reconnecter à soi.C’est pourquoi il est important de trouver un équilibre entre les temps seuls et les temps avec les autres.

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    1. Belle année à toi, miss ! Merci de ta grande fidélité à mes petits écrits...
      Tu as tout dit : je parlais justement ce soir avec quelqu'un qui m'est cher, de cet équilibre entre solitude et compagnie, entre silence et musique, ce fil sur lequel je danse depuis toujours et qui s'appelle le juste milieu, la frange, la lisière, la crête...
      Se reconnecter à soi : j'aime l'expression...
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  22. Bonsoir Célestine,
    Je ne sais pas trop à quoi je pense, j'ai pensé ou je penserais dans de tels moments... J'ai oublié peut-être, si c'est trop profondément enfoui en moi...
    Bises,
    Mo

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    1. Ce serait bien que , la prochaine fois que tu es dans ton jardin, par exemple, tu écoutes ce qui se passe en toi.
      Et que tu viennes me le raconter...mais non, qui suis-je pour te demander cela ? ;-)
      Bises belle jardinière
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  23. quand je suis dans des moments que tu décris comme là, j'éprouve une vive reconnaissance d'être là en joie, quelques fois je suis au bord des larmes de tout ce bonheur que je ne soupçonnais pas… des êtres qui me sont chers ou l'ont été défilent dans me paysage.

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    1. La reconnaissance que tu éprouves, je la connais bien : je l'appelle la gratitude.
      Certains disent « rendre grâce »...
      J'éprouve simplement de la gratitude envers le simple fait d'être et de le ressentir au fond de moi.
      Et je sais que tu me comprends
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  24. Rares sont les plénitudes chez moi... Malheureusement ce sont les angoisses qui m'envahissent bien souvent. eLLES sont parfois indomptables. Il va falloir que je prenne des décisions et les bonnes. Un jour j'espère je trouverai les Plénitudes.

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    Réponses
    1. Les Plénitudes sont une constellation difficile à atteindre...
      Mais quand on les effleure, c'est de la magie ...
      Et je suis certaine que, tout comme moi, tu vas y arriver.
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  25. Je pense à ce que je voulais faire, ce que j'ai fait et n'ai pas fait...Ce que j'ai raté, ce que j'ai réussi sans vouloir le faire, ceux que j'ai perdu...Ceux que j'ai gagné...
    Bisous chère fée

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    1. Tu fais une sorte de bilan, finalement...
      C'est une façon, en effet, de se poser en restant dans l'action.
      mais est-ce que tu déconnectes, de temps en temps, de tes actions, pour plonger dans ton essence profonde ?
      Bisous ma luciole

      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  26. La jeune fille semble se questionner, se demander ce qu'elle fait là dans ce monde inutilement grand. Elle a bien raison, c'est la question la plus importante à se poser. La réponse viendra si elle n'essaie pas d'y répondre. kéa

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    1. Donner un sens à sa vie ici-bas, c'est en effet la question : la seule vraiment importante...
      Mais le monde est-il vraiment inutilement grand ?
      Ou plutôt absurdement petit par rapport au reste de l'Univers ?
      Des questions sans réponses, mais qui bousculent les neurones...
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. C'est encore le petit égo qui veut donner un sens à la vie, comme dans l'histoire de celui qui veut faire entrer l'océan dans son petit bol.
      Au sujet du monde inutilement grand, il m'arrive parfois de regarder en direction de la voie lactée et je tombe quasiment sur le dos à chaque fois tellement c'est immense. J'imagine que c'est encore le petit égo qui voit bien qu'il n'est même pas une infime poussière dans cette immensité, alors il se sent menacé d'inexistence. Toutefois, l'Être que je suis s'émerveille devant le spectacle. kéa

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    3. Oui j'ai réalisé après avoir écrit, que le Monde pouvait signifier notre petite terre, ou alors l'Univers entier...
      L'ego, oui, tu as raison, voudrait tout expliquer, tout comprendre.
      L'être se contente d'être...et je suis comme toi, je m'émerveille devant les étoiles.
      Merci de tes précisions Kéa
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    4. Au sujet du sens de la vie, si le questionnement monte de lui-même des profondeurs, la réponse doit monter elle aussi des profondeurs, sans paroles, sans pensées. Évidemment y'en a un qui tourne la question dans tous les sens dans nos petites têtes. Malheureusement y'a pas de bouton off pour le faire taire celui-là. Bien sûr il a son rôle à jouer mais il a pris pour habitude de se mêler de Cela qui ne le regarde pas... même s'il est clair depuis longtemps qu'il est complètement nul dans ce domaine. kéa

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    5. C'est bien analysé. Le mental nous torture, mais on a une vie pour lui tordre le cou et découvrir le vrai sens caché de l'existence : se sentir vivant, tout simplement.
      Le bouton off apparaît parfois, quand on se sent suffisamment fort pour méditer sans se laisser perturber pas ses angoisses...
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  27. A tous les humains qui ont fait ça avant moi, sous le même ciel vertigineux...
    A la beauté inouïe de ce charivari qui fait si bien semblant d'être serein...
    A l'oiseau de nuit qui passe en frôlant les arbres...
    Bételgeuse est là, vers 23 heures, plein sud...
    Pas à mon père, je n'ai plus ce besoin.
    L'esprit et le corps ne font qu'un, et tout est bien parce qu'il n'y a rien à attendre ou espérer.
    Je vis.

    L'illustration est de toi?

    Bises douces

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    1. J'aimerais bien, mais non, elle n'est pas de moi...Quand elles sont de moi, je mets mon nom sous les images...
      Elle vient d'un célèbre site de partage.
      J'aime bien tes pensées du soir.
      Vivre sans rien attendre ni espérer, c'est sans doute le secret de la sérénité, j'en suis très proche...
      Ce n'est plus un besoin non plus pour moi de penser à mon père. j'ai fait mon deuil (même s'il a été long et douloureux) C'est sa présence qui vient vers moi par moment, comme l'exprime si bien Alain.
      Belle journée douce et sereine
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  28. Cette image est saisissante de votre univers, chère précieuse.
    Elle est pleine de beauté, de profondeur, de sérénité, et aussi de ces interrogations sur le monde qui font votre sel.
    Quant à votre texte, il m'a permis de respirer un air plus pur au milieu de certains tracas...
    Et ça, c'est excellent pour le moral.
    Je vous embrasse, délicieuse
    ~L~

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    1. J'espère que vos tracas ne sont pas trop graves, cher ami.
      Vous connaissez mon univers par coeur, vous savez que j'aime les étoiles, les êtres libres qui méditent en solitude et les lieux surélevés qui dominent le paysage et ouvrent le champ de vision...
      Merci pour cet air pur que vous trouvez chez moi. Je suis touchée.
      Bien à vous.
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  29. Quand je suis ainsi à un balcon au dessus de la ville, je pense à tous ces gens derrière toutes ces petites lumières, et je me sens tellement dérisoire avec mes petits soucis, une parmi des milliards d'autres...

    PS : Si tu réengistres l'image en modifiant l'extension gif par jpg, elle ne bougera plus. Pour ceux qui préfèrent. :)

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    1. Ceux qui préfèrent, ne réclament pas un traitement particulier, tant qu'il y a une photographie... hein... hein !

      Bleck

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    2. Tout n'est qu'une question d'échelle et de focale (si j'ose utiliser ce terme devant une professionnelle de la photo)
      Nos petits soucis sont dérisoires, mais au moment où nous les vivons ils sont terriblement envahissants...
      Nous sommes tous des êtres à la fois dérisoires et importants...Apprendre à passer de l'un à l'autre, c'est sans doute ce qu'apporte la méditation...
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    3. @Bleck

      Allez je vais faire plaisir à ceux qui préfèrent...
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  30. Je pense au temps qui passe sans nostalgie.

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    1. C'est toi qui as raison...la nostalgie rend parfois triste...
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  31. J'essaye d'être plus présente, plus attentive. De temps en temps des pensées noires viennent me titiller, je les chasse avec d'autres pensées de confiance, de légèreté, de foi en mes anges gardien. J'essaye de me connecter avec la présence bienveillante de mon père et de suivre ma bonne étoile si fidèle...

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    1. C’est un excellent programme pour mériter ton pseudo de miss Zen !
      Suis ta bonne étoile miss elle est toujours au dessus de ta tête ...
      Bisous sincères 😘
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  32. A quoi je pense ? A rien. J'apprécie, je respire, je suis bien... :-)
    Gros bisous, Célestine.

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    1. J'en suis sûre, ma Françoise.
      Tu es zen, et c'est bien.
      Gros bisous ma belle
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  33. Bonsoir Célestine, je pense que ce que tu décris avec élégance et délicatesse ces sont les souhaits pour l'année 2019 que je t'envoie :Amour, liberté et joie .Et j'aime lorsque tu dis "je pense quand le bruit s'est retiré pour se changer en murmure, quand la nuit se fait câline et velours" 2019 démarre avec allégresse !

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    1. Oui absolument !
      Avec tendresse et amour, avec joie et liberté...
      Je t'embrasse cher musicien, et je te souhaite plein de moments velours.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. OH !! Merci beaucoup douce Célestine !

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    3. Avec plaisir, Jerry !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  34. ce sont des moments rares et si précieux, des moments de velours, où la pensée s'arrête ou bien ne fait que passer sans s'accrocher. C'est divin ! bonne année Celestine !

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    1. Oui, divin est le mot, Mel !
      Je vois que nous sommes en phase.
      Avec de doux bisous
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  35. Mais, mais, c'est exactement comme cela que je suis, quand je suis chez toi. Je dis en écrivant ce que je pense et je le fais.
    J'ai plus de facilité à contempler les étoiles lorsque je ne suis pas contrarié...
    Il m'arrive parfois de lever le nez en l'air, pour regarder ces astres (ouvre-toi),
    et de me souvenir d'un secret que je leur avais confié. Elles le garderont aussi longtemps qu'elles brilleront.
    Sinon, la tête dans les étoiles, c'est exactement ce qui est arrivé à l'instituteur de mon papa... Il les a vues de très près, un jour de cour, astronomique... ;)
    Enfin, il y a dix ans, je ne savais même pas ce qu'était internet, un mail, alors un blog ...!
    Je n'étais pas un peuplier, Cette technologie me laissait de bois.
    Avant Noël, à peine plus tôt que l'aube, la comète Wirtanen me tenait compagnie sur la route des sans-soucis, enfin juste un, j'aurais bien aimé prendre plus de temps pour la mirer, fa sol. :)

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    1. J'aime bien l'idée de confier des secrets aux étoiles...
      J'aime bien l'idée d'un instituteur qui emmène ses élèves la tête dans les étoiles...
      J'aime bien quand tu m'apprends des noms de comètes
      J'aime bien que tu ne sois plus de bois devant l'informatique
      J'aime bien que tu sois venu commenter ce soir, malgré tes contrariétés de la veille...
      Bises de la nuit
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. J'aime bien venir commenter
      J'aime bien chasser les contrariétés
      J'aime bien les conseils avisés
      Et par dessus tout, les bras de Morphée
      Même quand ils sont un peu court, les bras...
      Bises rassérénées

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    3. J'en déduis que tu es parti te jeter dans les bras de ce vieux Morphée...
      Alors bonne nuit
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    4. Merci, belle nuit à toi

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  36. Quant à moi, je ne sais...
    Ce sont de ces instants que je recherche quand je pars seul en montagne où il n'y a plus guère de balises et que je m'assieds... Il n'y a plus que moi et mon souffle... et mon coeur, qui bat... Un animal, parfois, qui, pour peut qu'il ne m'ait pas vu... ou au contraire, comme cette mère chamois suivie de son petit rencontrés sur un éboulis à la nuit tombante avec lesquels nous nous sommes observés tranquillement un long moment avant qu'elle ne tourne tranquillement ses sabots, son petit dans ses pas... Paix infinie à la frontière du départ... Depuis si longtemps que ma fin est inscrite en moi, je crois que je n'en ai pas peur... je crois...
    Mais si bien là-haut, je suis seul... partage impossible, pas d'unisson... Et là me revient la terreur d'abandon dont je finis par croire que quelques soient mes efforts, je sentirai toujours les crocs dans ma chair... Ne pas pouvoir partager, respirer ensemble !...
    J'oscille...

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    1. C'est tout toi dans ce commentaire. Oscillant, comme j'ai oscillé et comme j'oscille encore...
      Parce que je suis toujours sur mon fil de funambule, même si j'ai consolidé les poteaux qui tiennent le fil...
      L'essentiel c'est d'être bien avec toi-même, et le partage viendra.
      Je sais que je répète un peu toujours la même chose, mais c'est parce que j'y crois. Très fort.
      C'est l'espérance folle qui fait tourner le monde...
      je t'embrasse

      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  37. "C'est bon de ne pas obéir aux injonctions "...
    Alors là, je suis d'accord à cent pour cent. Marre des injonctions, vive la liberté de penser par soi-même, et de faire ce que l'on veut.
    :)

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    1. C’est vrai petite bestiole !
      Vive la liberté... quel que soit le prix à payer ça vaut le coup !
      Bises libres
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Si élevé que puisse être le prix de la liberté, il n'est rien en comparaison de ce qu'il nous en coûte de la vilipender.
      Ti bacio Cara

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    3. Je suis bien d'accord avec toi ! Et j'en goûte le fruit chaque jour !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  38. Hi, je pense à toi ce matin, ... et c'est congruent avec tout le reste...:-)
    An

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    1. Hé hé ! Tu as raison, ma foi !
      Et j'en suis toute attendrie...
      Belle journée, An !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  39. Quand je contemple le ciel chaque soir, j'admire les étoiles quand je peux les voir et je me dis que derrière certaines d'entre elles scintillent des jolies âmes des êtres précieux qui ont quitté cette terre... il leur reste l'infini pour veiller sur nous...Et quand il est noir, je m'invente des histoires que j'écris sur lui à la craie...
    Bisous

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    1. C'est très mignon ce que tu dis.
      Tu es une poétesse, ma chère conteuse de papier..
      Et tes mots me font du bien.
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  40. Bonjour Célestine
    Joli texte, feutré et délicat, doux et enveloppant comme la nuit.
    J'aime la nuit arrivée à maturité, lourde, sourde, protectrice, isolante et tout autant l'aube discrète, réservée et coquette à la fois (elle se mérite) qui débarrasse, sans jamais se plaindre, la table encore chargée de mes pensées introspectives pour y placer les premiers rayons universels et partagés du monde qui s'éveille

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    1. C'est très bien dit, ce passage de la nuit à l'aurore...
      Il est vrai que certains êtres ont des pensées complexes et multiples (j'en fais partie), oscillant en permanence et provoquant des sensations tout aussi complexes et multiples...
      La nuit est propice à cet éventail mental et seule la méditation met en action le vent libérateur qui chassera les idées noires en gardant les agréables.
      Belle journée, cher Rom
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  41. Ton image est ravissante Célestine et paisible !
    Il arrive que la vie soit lourde et pas facile, alors je m'efforce de positiver, de penser à l'odeur des roses et à ces moments où tout se tait et nous apporte un peu de douceur...
    Bonne soirée !

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    1. Oui j'ai craqué sur cette image. Le net regorge de pépites...
      Positiver, c'est une excellente thérapie pour les petits soucis quotidiens...et même les gros !
      Bisous Marine
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  42. Toutes les fois où j'entends cette question, "Et toi, au fait, à quoi penses-tu dans ces moments-là "? je pense à "à quoi tu penses du grand Léo !
    https://www.youtube.com/watch?v=Lf5it-Yyt4Y

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    1. Tu penses à quoi?
      A la langueur du soir dans les trains du tiers monde?
      A la maladie louche? Aux parfums de secours?
      A cette femme informe et qui pourtant s'inonde?
      Aux chagrins de la mer planqués au fond des cours?

      Tu penses à quoi?
      A l'avion malheureux qui cherche un champ de blé?
      A ce monde accroupi les yeux dans les étoiles?
      A ce mètre inventé pour mesurer les plaies?
      A ta joie démarrée quand je mets à la voile?

      Tu penses à quoi?
      A cette rouge gorge accrochée à ton flanc?
      Aux pierres de la mer lisses comme des cygnes?
      Au coquillage heureux et sa perle dedans
      Qui n'attend que tes yeux pour leur faire des signes?

      Tu penses à quoi?
      Aux seins exténués de la chienne maman?
      Aux hommes muselés qui tirent sur la laisse?
      Aux biches dans les bois? Au lièvre dans le vent?
      A l'aigle bienheureux? A l'azur qu'il caresse?

      Tu penses à quoi?
      A l'imagination qui part demain matin?
      A la fille égrenant son rosaire à pilules?
      A ses mains mappemonde où tremble son destin?
      A l'horizon barré où ses rêves s'annulent?

      Tu penses à quoi?
      A ma voix sur le fil quand je cherche ta voix?
      A toi qui t'enfuyais quand j'allais te connaître?
      A tout ce que je sais et à ce que tu crois?
      A ce que je connais de toi sans te connaître?

      Tu penses à quoi?
      A ce temps relatif qui blanchit mes cheveux?
      A ces larmes perdues qui s'inventent des rides?
      A ces arbres datés où traînent des aveux?
      A ton ventre rempli et à l'horreur du vide?

      Tu penses à quoi?
      A la brume baissant son compteur sur ta vie?
      A la mort qui sommeille au bord de l'autoroute?
      A tes chagrins d'enfant dans les yeux des petits?
      A ton coeur mesuré qui bat coûte que coûte?

      Tu penses à quoi?
      A ta tête de mort qui pousse sous ta peau?
      A tes dents déjà mortes et qui rient dans la tombe?
      A cette absurdité de vivre pour la peau?
      A la peur qui te tient debout lorsque tout tombe?

      Tu penses à quoi? dis,
      A moi? des fois?...

      Je t'aime.



      En effet, c'est un très beau texte, Mister K
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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    2. Ah super ! J'étais quasiment certain que tu l'ajouterais ;-)

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    3. Oui, je sis comme ça, j'aime partager les belles choses .
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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  43. Bon, ben... Bételgeuse ! Force est... !
    https://youtu.be/ic87SfqQAAM

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  44. A quoi je pense lorsque je suis seul.....
    Comme je suis d'une compagnie très prenante, je n'y arrive que rarement et je suis fort dérangé (INCOMMODE pour éviter des erreurs d'interprétation qui pourraient être funeste à ma réputation) de ne pas pouvoir retenir et mémoriser ce qui me traverse l'esprit.
    En fait, c'est l'incertitude. Est-ce une conséquence normale d'un état méditatif, ou les affres d'un Alzheimer précoce ?
    C'est le côté gaspillage de matière grise qui me gêne avec toutes ces idées qui viennent sans pouvoir les retenir alors que tant d'humains imbus d'eux-mêmes en sont dramatiquement dépourvus.
    Faut dire aussi que devoir attendre 7 heures du mat. pour que le flot se calme...
    Ti bacio Cara mia

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    1. C'est vrai que tu es d'une compagnie prenante, et que quand tu n'es pas là, ça fait un grand vide... :-)
      Merci d'être venu, malgré tous les malgrés, et tes insomnies récurrentes. Je salue l'effort, et la délicatesse du propos.
      As-tu essayé la méditation ? Ou alors la lecture du code pénal ? C'est royal pour s'endormir !
      Ti bacio caro mio
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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    2. Je ne suis pas certain que le code pénal puisse avoir l'effet escompté... Je pourrais plus facilement être tenté de l'asséner sur la tête des politocards qui le viole... Mais je vais essayer le bottin téléphonique.
      Molto baci Cara

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    3. Par exemple...si tu en trouves encore un !
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  45. Ne pas retenir l'instant où tu inventes la devise "amour, liberté, joie" pas question ! Ca mérite une inscription au tableau d'honneur !

    https://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/charles_cros/inscription

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    Réponses
    1. C'est trop d'honneur, mon cher oncle !
      je ne connaissais pas ce poème.
      Bises émues
       •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  46. Mon essence profonde est un mazout visqueux dans lequel j’évite de plonger… :D :D :D

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    1. Pour moi, c'était devenu une question de survie...les bulles d'hydrocarbures finissaient par remonter à la surface ... ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸🦋

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  47. Cette image c’est tout à fait moi « My Blue Moon » !

    J’en profite ma chère Blue pour te souhaiter mille et un sourire pour cette nouvelle année 2019.
    Des sourires d’enfants,
    Des sourires tendres et réconfortants
    Des sourires amoureux et bienveillants
    Des sourires enrichissants et sincères
    Mais surtout des sourires au quotidien qui embellissent ton chemin de vie.
    Belle année, belles lectures et au plaisir de te lire ma chère Blue. :D

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    1. Merci douce amie, pour tous ces sourires en bouquets !!!
      •.¸¸.•*`*•.¸¸✿

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.