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28 janvier 2017

La peste























La peste ne vit que dans le dessein de vous faire du mal. Dès qu'elle vous voit, vous êtes dans son collimateur. Elle critique, elle ourdit, elle manigance sans cesse.

Elle manipule les gens comme des marionnettes, tirant leurs fils d'un coup sec, piquant parfois des épingles dans leur effigie en récitant des formules maléfiques.
Quand elle se moque, c'est méchamment. Elle est acide par nature.
Ne vous fiez pas à son ton doucereux.
Elle utilise le miel pour camoufler son venin, fulmine quand elle n'obtient pas ce qu'elle veut, trépigne comme une gamine capricieuse. Elle veut tout ce que vous avez et qu'elle n'a pas. 
La peste a le visage déformé par la haine, un affreux rictus qu'elle dissimule derrière son sourire de requin, et un regard furibond. Elle pourrait être jolie si son âme n'était pas aussi noire.
La peste vieillit mal : la rosserie, la médisance, la rancoeur  creusent les traits, accentuent les rides et jaunissent le teint.
Ce qui la rend si moche, c'est sa jalousie envers vous. Elle n'est qu'une faille abyssale, un trou béant de jalousie verdâtre. Si elle réussit à vous faire pleurer, elle éprouve une joie perfide. Elle déteste votre empathie naturelle, votre gentillesse. Vous qui seriez presque porté à l'excuser...Ou la la ! Ne vous y risquez pas !
Mais si vous l'ignorez de votre superbe, ça la rend dingue : prenez garde alors, elle décuplera son fiel. Dans les contes, elle finit aux oubliettes... « et plus personne n'entendit parler d'elle » selon la formule consacrée. 
Dans la vraie vie, c'est une autre paire de manches. Elle fait parfois beaucoup de mal avant que l'on mette à jour son manège  et qu'on la fuie comme...la peste. D'ailleurs, elle n'a pas vraiment d'amis.
Quand vous parlez d'elle, bizarrement, il ne vous vient que des noms en -asse.
Vous la reconnaissez ? Elle a sûrement croisé votre chemin, il y en a toujours une au bureau, à la compta, dans le quartier, dans l'entreprise, ou à votre club de hockey sur gazon.


¸¸.•*¨*• ☆

135 commentaires:

  1. J'en ai croisé... Ce fut bref. Je n'ai jamais laissé ce genre de personnes prendre de l'ampleur... Je les sabre en plein vol !...
    Moi, je ne les nomme pas en "...asse" mais en "...euse".
    :-)

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    1. Tu as le glaive vengeur et le bras séculier, on dirait.. ;-)
      (Citation du grand Michel Audiard)
      Je préfère les ignorer désormais si jamais j'en croise.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Disons que je laisse une voie de retrait à ces individus... Mais me chercher et une mauvaise idée...
      :-)

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    3. Je ne suis pas assez douée dans le maniement des armes...Ma meilleure attaque, c'est la non-violence, parce que c'est tout ce que je sais faire ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. Apprendre à manier une arme, c'est se mettre en sécurité.
      L'arme n'est rien en soi ; c'est celle ou celui qui l'a manie qui est dangereux...

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    5. As-tu vu le film « Le Guerrier Pacifique » ?
      Sinon, je te le conseille. Il te plaira. Enfin, je crois.
      Bises
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. Typiquement féminin, comme le suggère ton billet !!
    Je me marre !
    Quand je pense qu'il faudrait juste que le corps exulte (comme le chantait le grand Jacques) pour que tout rentre dans l'ordre... Mais bon, j'peux pas être partout !! ;)

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    1. Ah la peste oui, typiquement féminine, mais elle a son pendant masculin, je te rassure. Le roquet hargneux, le Iznogood a l'air chaffouin...Des types jaloux, y en a plein les cours de récré, surtout en politique.
      Bah, pour en revenir à ton "« je peux pas être partout »l'essentiel est d'être au bon endroit au bon moment...
      Oui mais enfin, pour que le corps exulte, encore faudrait-il que ce genre de personne se rappelle comment on peut s'en servir. Et surtout se rende un peu « aimable » pour ne pas utiliser un adjectif qui commence par B.
      Enfin,si tu es prêt à te dévouer...mais je t'assure que celles auxquelles je pense sont plutôt des remèdes contre l'exultation.
      Je dis ça je dis rien...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. C'est vrai qu'on croise de ces engins... à peine croyable, et quand tu penses qu'un mec ou qu'une fille c'est intéressée un jour (probablement uniquement un jour ou deux guère plus, tout de même...) mais qu'un jour ces engins là se sont fait grimper... t'en vois dans la rue de ces trucs, eh ben parfois même ces trucs là on découvert, ou se sont fait surprendre par ce qu'on appelle l'appel de la chair ou un truc comme ça, quasiment surréaliste !

      Bleck

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    3. Et ca n'a rien à voir avec le physique, on est bien d'accord...
      Je connais des très moches qui ont le coeur sur la main et l'amour dans le coeur.
      Cela dit oui, la méchanceté ça rend moche, on ne me l'enlèvera pas de l'idée.
      Et ça donne pas envie, c'est sûr !

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  3. Suis d’accord avec ce qui précède. Assez féminine, cette manière d’orchestrer la rivalité, rivalité saine, naturelle, au demeurant. « Tu as quelque chose que je n’ai pas et qui me fait envie ». C’est tellement banal. Il n’y aurait qu’à se servir de ce sentiment (pas forcément agréable) et l’utiliser comme levier pour partir justement à la conquête de ses envies. Et le tour serait joué. Mais, apparemment cette pauvre petite peste ne l’a pas compris et fait des misères. Pauvre chose. Laisse tomber et profite de ta jolie vie.

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    1. Ma meilleure défense reste l'humour et en général ce genre de personne, homme comme femme, n'en a aucun.
      Ce sont des gens qui ne conçoivent pas la vie sans conflit...
      Et qui n'aiment que les ambiances délétères. Des agitateurs de merde en somme.
      Mon père les appelait des bâtons merdeux, d'ailleurs.
      hihi !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  4. Ah, tu habiterais une petite maison dans une prairie ?

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    1. Bien sûr ! Comment l'as-tu deviné ?
      Dans une autre vie, j'étais Laura Ingalls ^^
      Et comment va cette chère Nellie? Toujours aussi pé(s)teuse? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  5. Je n'en connais pas. D'ailleurs je ne vois pas pourquoi on serait jaloux de moi. :)

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    1. C'est une chance sans doute.
      Moi aussi, j'ai longtemps été inconsciente de ce genre de manigance. Un jour que je disais à une de mes amies: mais enfin pourquoi Unetelle est-elle toujours si désagréable avec moi? -Comment tu ne vois pas qu'elle est jalouse de toi ?
      Je suis tombée des nues. Ce sentiment m'a paru incongru.
      En travaillant dans une école, je pensais être à l'abri de ce genre de personne...
      Eh bien que nenni. Il y a chez les profs comme partout ailleurs des gens mal dans leur peau qui passent leur temps à jalouser les autres. A dénigrer.

      Sans doute les comportements de certains élèves leur déteignent-ils dessus ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Le milieu enseignant ne m'a jamais permis de créer des liens d'amitié, c'est te dire...

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    3. Moi aussi, très peu finalement...Une seule, sur une école de presque vingt personnes, si on compte les temps partiels et les AVS, ça ne fait pas beaucoup...Plus deux ou trois autres qui datent d'il y a longtemps...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  6. Je ne sais pas quelle musique aurait pu s'accorder avec ce billet mais en n'en proposant aucune tu as fort heureusement épargné nos oreilles ;)

    Par chance je crois n'avoir jamais croisé une telle personne.

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    1. J'adore ta remarque musicale...
      ce serait amusant de faire un quizz à proposer : quelle musique illustrerait pour vous le passage de la peste dans votre champ de vision ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Je verrais bien ça:
      https://youtu.be/IfyCau4yyBk

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    3. Ah...la calomnie ! excellent choix, Kangourou !

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  7. Oui oui oui j'en connais! Et je connais son équivalent masculin aussi, le Pest (doit-on prononcer Pet?)...

    C'est vrai que c'est gai (petite revanche via un fait qui n'est pas notre faute et dont on peut se réjouir en douce) de voir qu'ils vieillissent mal, handicapés par l'acidité qu'ils produisent et flétrit leur peau, ronge leur estomac de maux multiples, et transforme leurs genoux en poudre, ce qui leur donne une démarche robotique et malhabile. Satisfaction que, de notre côté, nous avons attendu toute la vie mais, on ne le dit jamais assez, la vengeance est un plat qui se...

    Lalalère!

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    1. J'ai proposé plus haut Iznogood, le calife qui veut être calife à la place du calife...Le nabot, le roquet hargneux et vindicatif qui fomente dans l'ombre.
      Oui, il y a aussi des pestes au masculin...
      Attendre une vengeance ? Même pas...la bave du crapaud n'atteint plus la blanche colombe comme disait ma grand-mère. haha !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  8. La peste est souvent charmante, au début. Pas longtemps. Assez longtemps sour s'insinuer. Assez longtemps pour, parfois, ne plus jamais vous laisser tranquille. Peste d'elle, la bubonique! Ca me met en choléra. Je me calme et je t'embrasse, Miss W. Il est, heureusement, des fièvres plus sympathiques. ATTB.

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    1. Charmante ? comme une fleur carnivore alors ?
      Oui pris dans le sens "charmeur de serpent" ? Une sale engeance en tous cas, qui porte le pet, comme disait ma grand-mère, partout où elle passe, l'harmonie trépasse.
      Kisses and attb
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  9. Je l'ai vue, elle est passée chez moi !
    Comme je ne réponds pas aux cons et qu'elle aime qu'on râle, elle n'est pas revenue.

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    1. Ah oui, sur les blogs, c'est encore pire, parce que l'anonymat permet toutes les vacheries dans la plus parfaite lâcheté...mais c'est tellement petit qu'on dirait que c'est loin !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Serait-ce de moi, alors, qu'il s'agirait ?
      Mais quelle mouche pique donc la vieille dame retraitée de l'Education Nationale qui tient ce blog ? Je ne lui pas adressé la parole depuis des semaines.
      Besoin de faire le buzz, un peu comme on recycle ses vieux textes pour ne pas être en reste ... ;-)

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    3. "De mièvre et de fiel" vous qualifiait votre camarade blogueur. C'est assez bien vu.

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    4. J'avoue c'est un homme formidable. Un homme de goût.

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    5. Aukazou : Surtout ne changez rien, on vous aime comme vous êtes.

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    6. Ca, c'est bin vrrrré ! ;o))))

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    7. J'ai un peu l'impression d'être dans un film d'Audiard en lisant ce dialogue... :-)
      (signé) Tonton Fernand.
      Baci

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    8. Ça manque de métaphores et de périphrases...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    9. Que veux-tu, il est des fois où le temps ne fait rien à l'affaire....
      Baci

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  10. On en trouve même un paquet sur les blogs, on les appelle "les anonymes", elles crachent leur fiel, on s'en fout, elles disparaissent.

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    1. Oui, comme je le disais à ton cher et tendre, on les appelle des trolls, et il y a autant de mecs que de nanas dans cet exercice particulièrement déplaisant.
      C'est comme les hackers, les pirates informatiques, ceux qui balancent des virus, ou les pyromanes, je me demandais quel plaisir on peut avoir à foutre le bordel pour parler poliment ? Quels frustrés de la vie sont-ils pour n'avoir comme plaisir que de faire le mal...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. En tous cas, servent pas à grand-chose...

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    3. Il y en a même qui sont auto-proclamés...

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  11. Ah vaste sujet belles châsses : "l'enfer c'est les autres" Comme disait Jean Saul Partre !
    N'en est il pas de même pour la peste? comme disait Bèbert ? (je suis assez familier, c'est pas faux).

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    1. Tu sais que cette phrase de Jean-Sol Partre a toujours été mal comprise, si on l'en croit, dans cette conférence qu'il donna pour s'expliquer. Intéressant d'ailleurs, de réentendre sa voix.
      Sinon, pour Camus, il aurait sûrement brillé aussi dans son étude psychologique d'une petite peste, après avoir si bien écrit sur la grande. ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Intéressante explication de texte, effectivement je ne l'avais pas perçu comme ça.
      D'un autre côté, ne pas trop se valoriser, au risque de devenir un imbécile heureux. Mais être heureux n'est il pas le but recherché tout au long de sa vie ?
      En résumé, je préfère être con et heureux, qu'intelligent et tourmenté. Ce en quoi j'ai farpaitement réussi mpa vie ];-D

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    3. Sans doute...on t'appelle Alexandre, non ? ;-)

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  12. J'ai croisé deux vraies "asse" dans ma carrière professionnelle. A mes débuts.
    Aujourd'hui certainement, je ne me laisserais pas prendre de la même manière, dans des filets de méchanceté et de petitesse.
    J'espère en tout cas...
    Doux we

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    1. Heureusement oui, l'expérience nous apprend à déjouer certains pièges.
      C'est tout le bien que je te souhaite chère Cloudy !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  13. Tu en connais aussi ?.... de belles pestes... qu'il vaut mieux fuir.... la photo de Mademoiselle Nellie Oleson "de la petite maison dans la prairie", illustre feuilleton... est très bien choisie... on s'en souvient !
    un beau week-end à toi Célestine.
    Je t'embrasse.
    Den

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    1. Par synchronicité, j'étais chez toi au même instant...
      Oui Nellie est l'archétype, la caricature de la Peste avec un grand P.
      J'ai toujours essayé de lui trouver des excuses...sans jamais y réussir. LOL !
      Beau week-end à toi aussi
      Bises humides
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  14. Des gens (hommes et femmes confondus, ça m'épate toujours de voir qu'il s'en trouve toujours pour penser qu'il s'agit d'une spécificité féminine) avec une immense faille narcissique, et qui cherche à la combler (ou du moins à l'oublier) en accablant les autres. Sur le net ça donne les trolls, dans la vie, poussé à l'extrême, les manipulateurs(trices). Je sais que tu sais de quoi je parle. A fuir.
    Comme la peste! On ne nourrit pas les trolls, on ne donne pas prise à la manipulation. Quitte à lâcher l'ignominieux(se) du jour au lendemain. "Sans remords, sans regret, jamais!" ♫♫♫

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    1. Oh oui, c'est une spécificité humaine, la trollerie. Ni féminine ni masculine.
      Il m'a fallu du temps pour avoir cette force que tu montres.
      Sans doute en rencontrant des gens comme toi, qui savent se positionner, peu à peu, j'ai arrêté de donner prise.
      Peu à peu, je fais un cuir à ma peau de fée. Il y en a qui vont être contents...
      Bisous chère toi.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Il faut dire que j'ai beaucoup appris au contact de mon "cher" beau-père! J'ai notamment découvert que je gardais, quoiqu'il arrive une méfiance instinctive et impossible à dégommer vis-à-vis de ces gens-là. Une sorte d'instinct de vie, un truc qui fait que personne, je dis bien personne, quelque soit son âge, son rang social ou autre, ne peut s'arroger le droit de me dire ce que je dois faire, ce que je dois être. J'imagine que je dois ça essentiellement à mes parents, à l'amour inconditionnel qu'ils m'ont porté, mais aussi à mes lectures, à mes apprentissages personnels. Ça n'empêche pas les blessures, les mauvaises expériences, mais on leur laisse moins de place, et surtout moins de prise. On s'en sort indemne, et même, on acquiert chaque fois un peu plus de force. Et plus de tendresse encore pour l'humanité.
      Bises tendres, Célestine...

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    3. Une philosophie que je résumerait bien par une phrase, un de ces aphorismes qui soudain s'imposent à soi comme une lumineuse évidence:

      Les gens n'ont que le pouvoir qu'on leur donne...

      Tendresses en retour
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. "Les gens n'ont que le pouvoir qu'on leur donne..."
      C'est particulièrement flagrant en entreprise où tu prends tout le pouvoir à ta portée jusqu'à ce que quelqu'un t'arrête.
      Tu t'y prends agréablement et correctement et ça ne pose problème qu'avec les envieux ou frustrés habituels.
      Sinon, tu es rapidement arrêté parce qu'un patron de boîte déteste qu'on vienne foutre le bordel dans sa boîte, qu'on cause la démission de gens utiles et compétents, qu'on fasse régner une atmosphère détestable.
      Non qu'ils soient des bisounours mais ça plombe gravement le résultat net.
      Et ça c'est grave...

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    5. Il y a aussi des patrons qui mettent du temps à s'en rendre compte, dans leur tour de verre...
      Mais tu as raison la vérité finit toujours par éclater, avec ou sans Joséphine Ange gardien...

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  15. Bien sûr qu'il y a autant de pestes du genre masculin que féminin. J'en ai croisés moi aussi, et je ne me méfie pas toujours, trop confiante et gentille que je suis. Mon problème, c'est je leur trouve bien souvent des excuses et j'essaie de comprendre pourquoi ils agissent ainsi. C'est parfois peine perdue, car eux-mêmes (ou elles-mêmes) ne le savent pas, et certains ne sont même pas conscients du mal qu'ils font. Ou alors, et c'est pire, ils en sont conscients et ils jubilent de faire souffrir. C'est triste, je trouve. :-(
    Beau week-end à toi, belle amie. Bisous.

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    1. Peine perdue, tu l'as dit. Certes c'est bien d'essayer de comprendre; mais pas au mépris de son propre ressenti.
      certaines âmes sont trop noires pour espérer les changer en quoi que ce soit.
      C'est triste, je suis bien d'accord avec toi: la vie est tellement courte, pourquoi la remplir avec des choses mauvaises ?
      Bisous chère Françoise
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  16. J'ai une peste au boulot. Je la fuis et heureusement elle a donné sa démission. Elle part à la fin du mois de février et elle organise un pot de départ. Je n'y vais pas. 😁 Et son pendant masculin...il s'avère que ces temps-ci, c'est mon chef...Là on est mal barré. Je pense lui faire un croche patte dès lundi.

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    1. Le monde du travail en est truffé. C'est pourquoi je suis étonnée que les gens disent "je n'en ai jamais rencontré" bien que je ne remette pas leur paroles en doute: ils veulent sans doute dire qu'ils n'ont jamais eu affaire à de telles personnes de façon personnelle.
      Tu me fais rire : pour ton chef, fais gaffe quand même que ça ne te retombe pas dessus !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  17. Dans certains cas, je trouve que le mot "peste" est encore bien gentil. Et ton texte humoristique... Quand un(e) collègue devient harcelante (allant jusqu'à user des nombreux articles sur le mobbing pour mieux le pratiquer). Mais il y a des pestes "pestes", bien sûr... Peut-être que dans les écoles, il y en a parce que dans certains cas, les personnes n'ont jamais quitté l'école. Mais dans le privé et le public! Oh là là !!!

    Même dans le monde des blogues, il y a des choses que je n'ai pas encore tout à fait comprises (mais cela remonte, heureusement...) Maintenant, je n'ai plus que de chouettes lecteurs et lectrices o:))) Et je suis plus cool aussi, je dois le reconnaître, je m'énerve moins...

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    1. De toutes façons, ça ne sert à rien de s'énerver...crains comportements sont incompréhensibles, autant ne pas essayer de chercher à les comprendre...
      Que mon texte soit humoristique, j'espère bien.
      Mieux vaut en rire, et il est bien fini le temps où ca me faisait pleurer...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  18. J'ai beau faire le tour de mes relations présentes et passés, je ne vois personne de ce genre dans mon horizon. Il est vrai que j'ai une mémoire de poisson rouge est un Q.I. d'huître.
    En réalité, la peste bubonique doit percevoir chez moi que j'ai toujours une fiole de poison efficace dans la poche.
    à l'égard de ces personnes, je suis un assassin en puissance…

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    1. Tu es un plateau de fruits de mer â toi tout seul, si je comprends bien...
      C'était ça, cette bonne odeur d'iode ?
      Mais alors un poisson japonais si j'en crois ta dernière phrase...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  19. J'en ai connu dans mon travail, des têtes à claques, des petites vicieuses qui vous bousillaient la vie. Elles ont disparu de mon paysage depuis longtemps. Comment de tels êtres peuvent-ils exister ?

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    1. Je ne suis pas d'accord (tu t'en fous prodigieusement bien entendu et c'est naturel) mais je ne suis pas d'accord, que des pestes sévissent dans le monde du travail me semble être la moindre des choses. Le "monde du travail" est un monde perverti, la peste est une denrée recherchée par une certaine hiérarchie... une sorte de Kapo, Je suis tout à fait convaincu qu'une peste salariée peut très bien être quelqu'un de fréquentable en dehors des heures de service... c'est un peu comme un homme politique je suis certain qu'il y en a un certain nombre tout à fait intéressants hors des horaires de bureau...
      La vraie peste c'est autre chose (selon moi...) c'est la peste gratuite, la caguade ultime, le furoncle.
      Pardon d'avoir pollué ton commentaire Daniel, j'aurais pu contre-commenter plus haut... j'ai fait ma peste là peut-être.

      Bleck

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    2. T'es sérieux ? Je ne peux pas cautionner cette conception du monde du travail.
      Kapo? Que vient faire ce vocabulaire militaire voire dictatorial ?
      Et après on s'étonne que des gens se suicident au boulot...
      C'est grave de garder encore de nos jours le sens de tripalium.
      Pourquoi le travail devrait forcément être un supplice ? Au nom de quoi ?
      En revanche je suis d'accord. La méchanceté gratuite c'est vraiment le top de la furonclitude.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    3. Tu sais que je suis sérieux. J'ai caricaturé à peine et je ne m'étonne pas que des gens se suicident au boulot... Le résultat d'un certain système. Est que c'est grave, naturellement.

      Bleck

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    4. Ah oui, Bleck, je n'avais pas saisi le sens ironique de ton commentaire... ;-)
      Désolée.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    5. Anonyme est pas très loin de la vérité effectivement, mais en ce qui me concerne le travail est un devoir que chacun se doit à lui-même pour exister socialement mais il abrite aussi des droits. Il participe à la dignité humaine, comme cette loi a été affirmée pour la première fois en 1848 par la Troisième République. S’agissant d’un véritable axe de liberté, je n’autorisez personne à le polluer…

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    6. Et tu as bien raison. Faire du travail un supplice est complètement improductif.
      Les chefs d'entreprise qui bichonnent leurs salariés ont tout compris bien avant les autres...
      Bisous ma belle
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    7. Bien sûr que le monde du travail est parfois perverti mais il ne faut pas en faire une généralité. J'ai aussi rencontré des gens bien dans mon job. Tout n'est pas noir, ni blanc mais plutôt gris.

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    8. Gris ? cela voudrait dire que c'est uniforme ? Non tu as raison, pour les couleurs, c'est noir et blanc, il y a des jobs en or où tout le monde s'entend bien, et d'autres où les gens sont en réelle souffrance...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  20. Normal qu'avec de si beaux yeux on attire toutes les "pestes" !! :-)
    Les pôvres pestes, ont probablement dû manquer de quelque chose ?
    Et puis c'est assez commun de croire que l'herbe est plus verte chez le voisin :-)
    Belle continuation, Célestine !

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    1. En tous cas, l'herbe à l'air drôlement verte chez toi fini, si j'en crois ton avatar.
      Merci belle continuation à toi aussi
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  21. Le grand Georges aurait dit : "Une jolie fleur dans une peau de vache....une jolie vache déguisée en fleur."
    Un sage ce Georges.
    Moi, je préfère une Célestine, une jolie fleur déguisée en fée......

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    1. Le grand Georges avait le sens de la formule...
      Merci monsieur Jacques, pour cette note culturelle dont vous savez qu'elle me touche beaucoup.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  22. La peste ne peut pas (à de très rares exceptions) pâtissière ou fleuriste, tenir un manège pour enfants lui est difficile également surtout à cause des primes d'assurances... en revanche une peste peut être mère, elle peut également être grand-mère Augustine la mienne, était une peste.

    Bleck

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    1. C'est vrai que le jus de gamin ça finit par tacher et c'est dur à ravoir...
      Quant aux fleurs ou aux douceurs, évidemment, y'a hiatus.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  23. je crois que c'est du vécu non ? Tu as dû la croiser cette c..asse

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  24. A la bourre, je suis. Et à la cantonade je balance. J’en ai croisé des gisquettes du genre. Perso, ça ne traine pas : tu veux l’égalité, la voilà ! Tu veux de l’allumage, file là-haut, dans les trainées de chemtrails, tu sauras de quel air, le monde a l’air !

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    1. Ah oui, radical ...
      Et si c'est un mec ?
      Genre celui décrit juste au-dessous, par Jdissa ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  25. Je me demande si ça me rappellerait pas quelqu'un ?
    En tous cas on découvre progressivement au boulot que mon chef est un de ces personnages qui usent de la calomnie pour tenter de masquer son incompétence. Mais l'andouille, qui est arrivé dans nos locaux il y a un an tente de faire passer pour incompétente notre cheffe commune qui a la considération de la majorité la maison depuis vingt ans de présence.
    Le malfaisant va jusqu'à toucher le vie privée des gens et je suis en train de faire des recherches sur la diffamation (définition, cadre, sanctions) en vue de lui rappeler qu'il s'agit d'une infraction pénale passible du tribunal. Comme, à l'instar de tous ses congénères, il est lâche, ça devrait le ralentir un peu... J'avais déjà rencontré des gens pas faciles à vivre, mais d'une telle bêtise et d'une telle bassesse, jamais !
    Comme quoi on apprend tous les jours !...

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    1. Le goudron et les plumes ça marche toujours non ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Xoulec à bien fait de mettre la chanson de Renaud pour, fort à propos, me rappeler que derrière toute violence il y a une souffrance...

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    3. Oui, la chanson sort du cadre du personnage que je décris dans mon billet.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  26. Je ne connais pas le terme masculin pour désigner une"peste",cela ne veut pas dire que cela n’existe pas.Au premier abord,je me suis dit:"je n'en connais pas de "peste".
    C'est difficile de se souvenir,tant ils et elles ne valent pas la peine de s'encombrer la mémoire.Mais à la réflexion,J'en ai connu au moins deux!Une sorte de "peste et choléra".
    Dans les deux cas,à des époques différentes,ce fut des "pestes testostérones"
    Le premier,j'étais enfant mes parents en parlaient en ces termes:"il ferait battre deux montagnes ensemble","un emmerdeur de premier ordre",toujours prompt à semer la zizanie,distribuant fiel,mensonges, fausses vérités,jalousie maladive et manipulateur.
    Toutes les qualités d'une sale bête,comme disait ma maman...
    Une "formation" dès le plus jeune âge nous a été inculqué par nos parents.Sans forcément le savoir,ils nous ont rendu sacrément service.
    Le deuxième,je l'ai rencontré dans mon travail,je l'ai repéré du premier coup d’œil...Ce fut facile.C'était le chef!Il avait bien les mêmes qualités citées précédemment.
    Ce qu'il avait de "mauvais" à l'intérieur ,transparaissait à l'extérieur.Je ne sais pas comment on peut expliquer cela?
    Toujours est-il,qu'en"s'agglomérant"avec les collègues tels les cristaux de neige^^,Nous avons réussi"l'exploit" de se passer de chef...Sublime revanche,"adieu la teigne".

    l'était bâti comme un moineau
    qu'aurait été malade
    l'était pas bien gros l'asticot
    mais c'était un vrai boule de laine
    on y filait plein de noms d'oiseaux
    même ceux qui l'connaissait à peine
    l'app'laient la teigne. Renaud
    https://www.youtube.com/watch?v=cgrLnxsqlww

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    1. Ce que tu m'as fait rire avec ton chef ...
      Une teigne, oui, c'est le mot. Ça fait aussi bien masculin que féminin.
      Ça t'a un petit air de bestiole qui s'accroche, genre morpion ou pou...
      C'est parfait pour désigner ce genre d'individu malfaisant.

      Mes parents parlaient aussi de ces gens qui faisaient battre les montagnes...
      Quant au héros de la chanson de Renaud, il a l'air trop sympathique pour être de cette engeance-là...
      Bises du samedi soir ( on n'est pas couchés)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Ah woué, rien à voir avec le billet de la miss Célestine.
      La teigne, c'est un gars qu'a pas eu d'chance et qui cherche pas à faire le mal pour le plaisir.

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    3. En même temps, je plains sincèrement les gens qui ne savent dire que des choses méchantes à autrui...Quelle souffrance ce doit être, derrière cette violence.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. Tu as raison,la teigne de Renaud a l'air bien trop sympathique,d’ailleurs,le dernier couplet nous renseigne:

      Mais moi, qui l'ai connu un peu
      Quand parfois j'y repense
      Putain ! C'qu'il était malheureux !
      Putain ! C'qu'y cachait comme souffrance
      Sous la pâle blondeur de sa frange
      Dans ses yeux tristes, dans sa dégaine.
      Mais j'suis sûr qu'au ciel c'est un ange
      Et quand j'pense à lui mon cœur saigne.
      Adieu la teigne... Renaud

      Quant à mon ex-chef,avant d'arriver à s'en débarrasser,il en a fait baver à plus d'une personne.Il était vraiment odieux...
      Je pourrais en raconter des "pleines pages"...Depuis,je l'ai tourné (la page)!
      Je peux dire sans me tromper,que c'est le fait d'avoir le "pouvoir" qui le rendait ainsi.Il avait quand même de bonnes prédispositions.
      Bises du dimanche soir (on n'est pas couchés)?

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    5. Oh non, on n'est pas encore couchés !
      Y!a Profilages sur breizh TV
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. Ah oui,je connais...Je croyais bêtement que tu faisais une référence à cette émission de tv présentée par Laurent Ruquier,et je ne comprenais pas...

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    7. Hier soir, oui, je regardais Ruquier. C'était samedi...
      Ce soir c'est dimanche et la France est championne du monde de hand.
      ⁀) ✫ ✫ ✫.
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    8. Ils ne sont pas"les experts" pour rien!
      ⁀) ✫ ✫ ✫.
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    9. belle nuit à toi.

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    10. Heureuse es-tu d'avoir Télé Breizh ! je ne l'ai plus depuis que j'ai changé de serveur (ou de distributeur... Snif ! )

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  27. Les pestes, je les neutralise à l'humour. Elles n'y comprennent rien, mais ce n'est pas grave et ça fait rire les autres...
    Mon ex-femme en est une de première lorsque ce n'est pas elle qui est à l'honneur. Les seules fêtes de famille sans grabuge, ce sont ses anniversaires. Pour les autres, elle à toujours une vacherie à sortir.
    Au mariage de ma fille elle commençait à merder son deuxième ex. Je voyais le clash arriver, celui qui sabote la soirée et l'ensemble de la fête.
    J'interpelle l'autre ex à travers toute la tablée et je lui propose de faire l'amicale des ex-martyrs de Ch.....
    Ecrasée de rire et la peste s'est renfrognée en marmonnant qu'elle sait bien qu'elle casse tout ce qu'elle touche. Silence poli qui valait acquiescement et la soirée s'est bien terminée...
    Lorsque mon fils s'est marié, il m'a prévenu: "Je mets la mère à ta table comme ça je sais qu'elle ne foutra pas le bordel."
    Traumatiseur de pestes, voilà encore une corde à mon arc....
    Ti bacio Cara mia

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    1. Un sacré numéro dis donc...tu m'avais déjà raconté en off, mais ici ca prend un relief particulier, étant donné la publication qui lui donne une sorte de célébrité anonyme qui lui plairait, j'en suis sûre.
      C'est vrai que tu en as des talents , je suis epoustouriffee.
      Baci caro
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. ...mais du coup là aussi vient la question: "Quelle souffrance à l'origine ?"
      Cercle vicieux où elle-même s'auto-définissait: "...elle sait bien qu'elle casse tout ce qu'elle touche."
      Quand il aura fini de tenter de nous faire croire à sa méchanceté, AlainX aurait-il quelque lumière à nous apporter ?

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    3. Je laisse Alain X répondre alors, bien que j'aie ma petite idée... ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. @ Jdissa
      il y a les emmerdeuses, les emmerdantes et les emmerderesses disait Georges, elle en est des trois à la fois...
      Le côté psy de l'histoire, c'est la frustration de ne pas être la vedette du moment.
      Dali avait bien imagé ce besoin de briller, d'être reconnu. Il avait dit:"Il faut qué tout le monnnnnde parrrle de Dallli, même si c'est en biennn."

      Quelle souffrance à l'origine? Dis-tu.
      Ce n'est pas une excuse. J'en connais qui en ont tellement chié que ça leur donnerait le droit d'être des monstres et qui, tout au contraire, sont des personnes charmantes, dévouées et respectueuses.
      graffa di barbuti e baci alla padrona

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    5. Pour la souffrance, c'était une remarque par rapport à la chanson de Renaud "La teigne" , citée par Xoulec...
      Je ne suis pas sûre que Jdissa parlait de ton ex...
      Quand tu cites la chanson de Brassens, tu veux dire qu'elle récitait du Claudel ? Rhôô !
      t'as bien fait de divorcer alors...
      Baci caro
      Che felicita il tuo ritorno !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  28. Comme Xoulec ( très marrant en effet son com' ) j'ai dû voir des enfants ou des adultes comme il les décrit mais aujourd'hui je ne sais pas, ce que je ressens plus, ce sont des gens sans générosité, des gens qui disent : "Je ne sais pas, c'est pas moi", qui disent : "C'est pas mon boulot". Qui viennent en aide aux autres que sous la torture. Pour revenir à ton billet, ils ne sont pas méchants consciemment, plus par indifférence.
    Je ne parle que des gens à mon travail là parce qu'en fin de compte, j'y passe beaucoup plus de temps qu'ailleurs.
    Si j'y réfléchis il y a bien des méchants quand même, ceux qu'on peut appeler les petit délateurs du quotidien.
    Bises.

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    1. Il est vrai que la générosité n'est pas ce qui les étouffe...
      La méchanceté gratuite cache souvent des blessures, ça les rend enragés...
      mais bon, on n'est pas psy, on plus... on ne peut pas tout excuser.
      Merci pour ton témoignage
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  29. Une peste ? non, pas à mon égard dans mon entourage proche mais "un" peste, oui, je crois que dans ces cas là on dit ....un chameau. Mais, le jour où à cause de lui, (j'allais écrire grâce lui) j'ai quitté l'entreprise, Dame Probité/honnêteté était à mes côtés et m'a offert sur un plateau d'argent un beau moment de dignité, une bien belle revanche que je savoure encore....ce n'est pas moi qui ai un goût de fiel en bouche.
    Bises mon amie
    Chinou

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    1. Ah oui, un chameau, c'est encore gentil. Je pense qu'aux noms féminins en -asse, il y a des équivalents en -ard...
      Je comprends ta satisfaction de ne t'être pas laissé définir par ce genre d'individu, et d'avoir été fidèle à toi même.
      Bises en retour. Il faisait beau au Parc. J'ai pensé à toi.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  30. La peste soit de cette personne
    Peu importe comment elle se nomme
    Mais qui son plaisir trouve en somme
    En répandant une fausse rumeur qui résonne

    La vérité que vous lui dîtes
    Ne s’en soucie plus que des frites
    Le but étant de vous mettre mal à l’aise
    En susurrant quelques fadaises

    Celle là, que je connus après son forfait
    Avait mis toute sa science à médire
    Mais ce n’était pas pour rire
    Qu’elle prétendit Ô le méfait

    Que sa jeune voisine était idiote
    Simplement parce qu’elle gardait la chambre
    En réalité atteinte de RAA à ses membres
    C’était cette peste voisine qui était sotte


    Bises délivrées de la peste

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    1. Merci de m'avoir appris ce qu'était un Rhumatisme Articulaire Aigu (ou maladie de Bouillaud)
      Oui les mots peuvent faire très mal. Les mots peuvent même tuer. Ils ont une violence inouïe et les pestes et chameaux en tous genres feraient bien de se souvenir qu'en balançant leur fiel, ils peuvent toucher une personne fragile plus sûrement que coup de poignard ou un poison... Mais il faudrait pour cela avoir un peu d'humanité, ce dont ils sont dépourvus...
      Un de mes anciens élèves se faisait harceler par des petits cons qui, malgré les avertissements et les punitions des adultes, le traitaient à longueur de journée de squelette et de "dachau"parce qu'il était très maigre.
      Un jour il a écrit sur son cahier de brouillon: « je vais me tuer » heureusement je l'ai vu, il a été pris en charge psychologiquement. Qui sait ce qu'il aurait fait si je n'avais pas vu et pris au sérieux son appel au secours ?
      Cette histoire m'avait traumatisée, j'étais jeune instit.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  31. Une vraie, vraie peste? Non, je ne crois pas en avoir connue... des égoïstes, des égocentrées, des connes, oui! Plus connes que méchantes mais qui font tout de même du mal autour d'elles sans même s'en rendre compte ça je connais. C'est ma chef. bises tout plein

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    1. Je ne vois pas beaucoup de différence entre ma définition et la tienne...mais ne jouons pas sur les mots.
      Nous on s'aime, pas vrai ma Brizou ? Et la vie est chouette comme ça.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Ha ça oui ma belle. Ce que je voulais dire c'est que la mienne n'est pas jalouse/ Elle est seulement bête et méchante sans même s'en apercevoir. Elle est méchante naturellement en somme.

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    3. La jalousie est une des explications à la méchanceté...avec la souffrance et la frustration.
      c'est cela que je voulais dire. ^^
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  32. N'écoutez pas les oiseaux de mauvais augure, ma mie.
    Suivez votre chemin flamboyant et délicieux.
    Croyez m'en, rien n'est plus important.
    ~L~

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    1. Merci pour vos sages conseils, monsieur.
      Passez une belle nuit
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  33. A fuir à toutes jambes ! conseil d'amie...
    Bises
    Angela

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  34. Comme je.ai aimé détester cette sale petite peste de Nelly Olsen !!!!!

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    1. C'est vrai qu'elle était assez gratinée dans son genre !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  35. Punaise! Depuis que je suis "femme au foyer" (j'aime cette expression, j'ai l'impression qu'on me mène tous les jours au bucher :D :D :D), j'en croise moins...Ces pestes sont plus faciles à éviter en fait.
    Au travail, on n'a pas trop le choix. Ceci étant, après la lecture de ton billet, la première peste qui m'est revenue en mémoire est un homme.
    Bisous chère fée

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    1. C'est vrai que le monde du travail en regorge...
      Et d'ailleurs celle à qui je pensais en écrivant ce billet, n'en déplaise à ceux ou celles qui croient s'être reconnus, est une ancienne collègue de travail particulièrement teigneuse et rabougrie.
      Mais c'est un travers qui est loin d'être typiquement féminin...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  36. Bonjour Célestine, c'est un portrait au vitriol mais tellement réaliste : La peste intégrale a le visage du démon et l’âme noire comme du charbon de bois !

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    1. Tout à fait, cher Jerry..
      Et je suis tellement loin de tout ça, vraiment...c'est presque une souffrance de manier le vitriol...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  37. il y en a toujours une au bureau, à la compta, dans le quartier, dans l'entreprise, ou à votre club de hockey sur gazon...

    Et dans votre parti politique ? ;-)

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  38. Je suis si loin de ça aussi, et ces êtres aujourd'hui, j'essaie de les fuir comme la peste lorsque je les reconnais ! Tu en brosses bien le portrait ...
    Balzac a décrit avec tant de justesse, de talent et d'acuité les visages avides et envieux, mauvais, dont les traits deviennent encore plus marqués par leur personnalité, en vieillissant.

    Je te salue, plein de douceur ( naturelle ).

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    1. Ravie de te voir, Véronica !
      Tu te fais si rare sur la blogo.
      Tu as raison, les visages portent la couleur de l'âme, et Balzac s'y entendait pour les décrire à la perfection.
      mille bisous
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  39. Très bien tourné, et hélas, très vrai !

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    1. Fuyons-les...comme la peste !
      ;-)
      •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.