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17 novembre 2014

Dissipation passagère d'une brune...











































Paris est  un cendrier. 
Un cendrier d'étain, luisant de brume sale.
Les vapeurs qui s'exhalent du fond des boulevards me noient dans leur fiel. J'étouffe! 
Ça fétide, ça dioxyde, ça monoxyde, ça peroxyde. Je ne sais plus. J'ai oublié. 
Mes souvenirs s'entassent à l'entrée de mon cortex, dans un désordre indescriptible, cherchant à qui ils peuvent bien appartenir, comme des réfugiés massés dans une gare. Je ne parviens plus à les trier.
Et mon cerveau, salle des pas perdus, des pas trouvés,  résonne du frottement incessant de ces effilochements de mémoire qui s'accrochent, comme des lambeaux de peau morte, aux branches tordues de mon esprit qui divague.
Je ne sais plus où je vais, dans ce Paris sournois où  m'égarent mes pas. Sans bruit. Tout est en noir et blanc comme les cris urbains. Comme les trottoirs vides. Comme le coeur des hommes.
Et je marche au passé.Et je marche au présent. Au hasard. Sans futur. Le nez sur mes DockMart's, grise comme le ciel, grise comme ma vie.
Bleue comme ma douleur. Mais ni triste ni gaie. 
Paris est un cendrier et je suis consumée. Egarée. Ereintée. 




116 commentaires:

  1. Il faut avoir les soufflets en acier inoxydable et les portugaises ensablées pour vivre à Paris. Je ne sais pas si c'est la plus belle ville du Monde, mais probablement une des plus bruyantes... J'ai été 2 semaines à Istanbul (16 millions d'hab.), au centre ville, et je n'ai entendu qu'une sirène d'ambulance ou police. Ils conduisent comme des dingues, mais dans le calme. Ce qui n'en fait pas non plus une ville moins polluée que Paris...
    Là, je sens que mio Cugino va protester :-D
    Ti bacio Céleste

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    1. La ville la plus belle du monde, c'est celle où l'on se promène avec quelqu'un qu'on aime...
      A ce moment là on ne sent plus la pollution ni les mauvaises odeurs, tu ne crois pas ? Bon toi tu me dois toujours un château hanté, pour vérifier si avec toi j'aurais peur des fantômes.
      Je n'oublie pas, ne crois pas ça.
      Sinon, oui, je pense que tu t'es mis Andiams sur le dos...
      Molto baci

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    2. Selon ta définition, Venise n'est pas trop mal cotée...
      Toutes façons, Andy est hors course car il a les soufflets en acier inox et une jolie paire de boules quiès.
      Ceci dit, j'aime aussi Paris, mais par tranches de 4 jours entre deux services de dépollutions.
      Faut dire aussi que je suis shooté à la chlorophylle et l'odeur des bouses de vaches, alors le dépaysement est sévère...
      Pour atterrir chez moi, il faut le vouloir. Tu n'y arrives pas en suivant les flux migratoires. C'est un peu "Jour de fête", mais sans le facteur et les forains...
      Pour le château, je n'ai pas oublié non plus. Nous avons en plus le musée bombardé à visiter...
      Baci

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    3. Selon ma définition, n'importe quelle ville peut devenir la plus belle du monde...c'est vrai.
      Jour de fête, quel film culte...il faudra que je le revoie, depuis le temps que tu me Tatillonne !
      Château + musée, c'est le forfait groupé ? Chouette !
      je prépare une photo pour mon "pass" ?
      Baci

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  2. Heureusement il y a Vincennes! Et dans ce coin devinez quoi qu'y a, et dans ce coin....

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    1. Un ( grand) petit bois derrière chez toi ? Le poumon de Paris, l'oxygène pour faire oublier le monoxyde...
      Chacun voit midi a sa porte, mais derrière la tienne, il y a vraiment un beau paysage ! Je passai dernièrement une délicieuse après-midi au bord de l'étang du parc floral, avec les bernaches venues me manger dans la main. Voilà un moment que je n'oublierai pas de sitôt...
      Bises celestes

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  3. C'était un clin d'œil car j'aime Paris. Paris c'est le bruit, certes, mais c'est le mouvement, les gens, la vie. Paris est enfumé, pollué mais il y a les trouées, les allées, les musees. Paris est fou, Paris pleure et se meurt, Paris gémit et pourrit mais sourit et grandit. Paris chante, danse et balance, Paris bouillonne et m'aiguillonne.

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    1. Wouaou magnifique de poésie, Marie! Mais moi aussi, j'aime Paris, passionnément.
      J'aime Paris au mois de mai...mais aussi à Noël, au mois d'août et chaque fois que j'y monte je fais de belles rencontres.
      Et j'aime bien la nouvelle chanson de Zaz, reprise d'une

      vieille chanson
      d'après guerre.

      Bises

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    2. Il y a longtemps que j'ai quitté Paris, où je suis né à Ménilmuch' (mon dabe est né à quelques pas de chez Maurice Chevalier, ça vous pose un pedigree ça, non ?).
      Quand j'étais minot, chaque quartier était un village où tout le monde connaissait tout le monde, où, à quatre ans je pouvais descendre de notre quatrième étage sur cour pour aller chercher du pain ou des oeufs car les voisins veillaient sur moi,et quand Mimile en avait un p'tit coup dans l'nez, y;avait toujours une conspiration compatissante pour le remonter dans sa chambre et le coucher...
      Et c'était propre !
      Mais le Paris d'aujourd'hui n'est plus mon Paris, je ne m'y sens plus chez moi...

      J'aime beaucoup le poème de Marie-Madeleine.

      J'ai vécu Paris au mois d'août avec et dans les bras de la dame de mes pensées... Nous avons cheminé, visité, goûté, nous nous sommes extasiés, reposés sous le soleil du Trocadéro, nous avons ri et pleuré de tout et de rien, nous avons échangé au plus intime de nos êtres et de nos âmes...C'était une véritable bulle de hors-temps, léger et magique... Ce Paris que je ne reconnais plus avait alors un fabuleux goût de septième ciel !
      Et je confirme ce que dit not'fée : "La ville la plus belle du monde, c'est celle où l'on se promène avec quelqu'un qu'on aime..."

      :o)

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    3. Tu ne voudrais pas enlever ta quatrième phrase ? Elle semble égarée dans ce très beau texte positif. Le Paris d'aujourd'hui est toujours aussi beau, tout dépend avec qui on l'arpente, comme tu le dis, et tu en parles avec du feu dans le regard. (Je ne dis pas dans la plume, à cause de tous les esprits mal tournés qui hantent le coin et qui se feraient forts de gloser...)
      Tu es un grand romantique toi on dirait...

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    4. Vade retro, Anastasie ! ;oDDD

      Rome antique, moi ? Ca se saurait !

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    5. Anastasie moi ? Alors que je laisse s'exprimer tous mes lecteurs dans le respect le plus total ...
      Je te trouve bien sévère soudain...

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    6. La chanson de Zaz aura été mon 1er euro dépensé sur le iPhone ! ;)

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    7. Excellent choix ! Tu vas devenir un geek de première, dis donc !
      bises célestes

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  4. Fort (agréablement) surpris de me (re)trouver ici !
    La capuche de l'inconnu(e) répond à celle de la Tour et donne tout son sens à la photo... qui (en regardant de près) n'est pas un cliché noir et blanc.
    Et, à lire les (gris) mots de ton billet, ça pourrait être toi (mais ça pourrait être moi aussi)... Il reste une pointe de rouge (comme un phare dans le métro) sur le cliché comme dans tes réponses (aux commentaires)...
    Et, en précisant que Lyon m'a paru plus pollué (que Paris), je referme vite (cette parenthèse).

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    1. Ta photo est remarquable à tous points de vue. La couleur indéfinissable des dalles luisantes d'humidité est une merveille: on dirait de l'or.
      J'ai passé de longues minutes à la contempler pour me laisser pénétrer (par l'ambiance qu'elle dégage)...
      Je crois que tu as saisi quelque chose de très difficile à attraper: le souffle, l'anima au sens grec.
      Bravo.
      (Et merci. ^^)

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    2. Whôôô, merci !!
      Tiens on dirait que les captchas ont disparu...
      Tu peux m'expliquer pourquoi mon nom apparaît en vert et non pas en rose comme tous les autres??? ^^

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    3. Oh quelle bonne nouvelle tu m'apprends, cher ami !
      Pour la couleur, je ne sais pas du tout...les mystères de blogspot me bassinent un peu. Peut-être ça veut dire juste que tu n'es pas comme les autres ? ;-)
      Bises contentes

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    4. En tous cas, ça te va bien ce vert pomme!

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  5. Si je reconnais la prose et les mots, l'adjectif cendrier pour ce Paris que j'aime me déconfit. En tant que non fumeur le mot cendrier induit en moi quasiment toute la misère du monde, un vilain objet.
    Paris oh je ne vais rien écrire d'original, je l'aime même sale, même embrumé, même ses Champs envahis, même dans les tréfonds malodorants, même dans sa (relative) insécurité je l'aime, même hors de prix Paris je l'aime, simplement parce que je ne la subis pas que je n'y vais que le coeur léger en vacances et régulièrement.

    Bleck

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    1. Cher Bleck, je te rassure: j'aime Paris, et j'ai même un onglet tout en haut où je regroupe mes coups de coeur pour cette ville mythique et fascinante. La couleur très particulière de ce cliché a fait surgir l'image d'un cendrier, j'étais un peu en écriture automatique...Ne te déconfis point, j'en serais marrie !
      Mais il est vrai que la plus belle ville du monde peut devenir hostile et étouffante quand on a une peine en soi.
      Mon texte n'est qu'un exercice de style, une corresondance entre l'image, les mots et la musique. Tout ce que j'aime faire en somme.
      Bises

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    2. Bien sûr... aucun problême quand à l'opinion sur notre Capitale (ainsi que sur le cliché du Antiblues...) simplement je hais le cendrier, les cendriers ce sont des objets que je supporte pas ils m'insupportent c'est comme ça, le réveille-matin également m'indispose tout comme le four micro-ondes... insupportables !

      Bleck

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    3. Je comprends. Moi-même, j'ai du mal avec l'odeur de tabac froid...Non-fumeuse, je respecte néanmoins les fumeurs dans la mesure où ils me respectent.Tu me donnes une idée de billet. J'ai déjà le titre: "Les objets de notre ressentiment"...

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  6. Oh quel beau texte, quel vertige, quelle balade ballade! Si te de dis que les accents coltraniens n'arrangent rien ou plus exactement soulignent magnifiquement ce quasi noir et blanc urbain, mi poisseux ni somptueux, je ne te surprends pas. Me ramène au temps du Luxembourg, des westerns italiens de seconde zone en lieu et place du cours d'anatomie, du quotidien de Lariboisière et de l'Hôtel-Dieu, de la Gare du Nord, de l'intégrale des Rougon-Macquart dans les heures du train. Oh quel beau texte. Merci. ATTB.

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    1. Ah! que d'enthousiasme...
      Un beau surgissement de souvenirs grâce à mes mots, je suis ravie !
      Et si je te dis que tu es passé maître dans l'art de l'épanadiplose, me croiras-tu ?
      Ah! que d'enthousiasme...

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    2. Ca tombait bien aujourd'hui, j'avais une folle envie de chiasme ou de symploque. Et puis je me suis dit pourquoi pas une épanalepse. Finalement j'ai opté pour épanadiplose car une simple anadiplose aurait été médiocre pour exprimer mon enthousiasme.
      Ha ces figures de style, quelle poésie rien qu'à les écrire. Bises. ATTB.

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    3. Si j'osais, je tenterais bien jusques à la paragose, pour dire combien l'asyndète et l'épiphore te vont bien. Mais le dire, ce serait manier le truisme ou la lapalissade...

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  7. La Seine ne coule plus sous le pont Mirabeau, plus de vent fripon sur le pont des Arts, les ailes du Moulin Rouge ne tournent plus, et les bouquinistes ont plié boutique...
    C'est triste Paris sans les amoureux...

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    1. Dis moi qu'ils reviendront aux premiers jours du printemps, quand la Seine coule sa fièvre à l'oreille des filles et que le vent envole leurs jupes aux terrasses des cafés...

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  8. Que le vent mêle les cheveux noirs, les cheveux blancs, qu' il y aura toujours un banc public pour accueillir les amoureux en manque de bécots ?

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    1. Un Paris sans bancs publics, c'est comme un gruyère sans trou... ;-)
      (oui, je sais, c'est un truisme...) je vais encore rameuter tous les Suisses en embuscade pour me dire que le Gruyère avec trous, ça n'existe pas.

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    2. J'ai comme dans l'idée que c'est UN Suisse que tu visais :-D
      Ti bacio

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    3. J'avoue que je cherchais a te titiller la fibre patriotique...

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    4. Malgré tout ce que je raconte sur Blogbo, je n'ai pas la fibre patriotique. Je serais même plutôt classé dans les mauvais sujets helvètes, puisque n'ayant jamais voulu jouer à devenir un fier guerrier brandissant son fusil d'assaut (et non Dassault) comme un morgenstern...
      Le Gruyère à trous s'appelle Emmenthal, et c'est aussi un fromage suisse.
      Il fallait bien que Pierre Dac fit une erreur pour rester humains. C'est le Gruyère qui en fut tout marri d'en faire les frais.
      Ti bacio

      Il lui prend quoi à la captcha de revenir avec ses mots cabossés pire que le musée des confluences...

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    5. Morgen stern? ça veut pas dire étoile du matin ?
      Si c'est pas dommage...

      ;-)

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    6. C'est une arme très gaie, car avec elle on se fend la poire.
      Une chose est sûre, avec une telle arme, tu vois les étoiles, mais c'est pour ton dernier matin...
      Ti bacio

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  9. Vous avez vraiment le don de l'écriture, délicieuse. Même noirs vos écrits brillent comme de l'or.
    ~L~

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    1. Je suis la reine du pétrole en somme ? ;-)

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    2. Dois-je penser qu'une reine oasienne, là bas au Sahara, dormait sur des champs de pétrole?

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  10. Émerveillé par tant de poésie dans tes cris d'Orphée avec ton âme qui regorge de vie , je suis tout retourné des souvenirs de mes nuits inassouvies. Comme je te rejoins avec tes fantômes silencieux dans le bruit des rues de Paris. Jadis j'ai rencontré une âme au détours d'une ruelle. Les yeux dans les yeux pour l'éternité, mon cœur est têtu et ma mémoire vive garde le souvenir de ses ailes enchantées. Digne fée des Oasis, va dans le sillon des nos souvenirs et de nos cœurs endoloris répandre l’encens des rêves et déposer une brassée de marguerite au panthéon des amours éternels! Ainsi les cœurs peuvent dormirent tranquille! Je t'embrasse éternellement..

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    1. ...et une femme qui aime transforme le monde et soulage.. les cœurs!

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    2. C'est émouvant cet aveu d'un amour perdu que tu as rencontré un jour au détour d'une ruelle.
      Émouvant et terriblement romantique.
      Tu me fais penser au très beau poème d'Antoine Pol mis en musique par Brassens... Les passantes.

      A celle qu'on voit apparaître
      Une seconde à sa fenêtre
      Et qui, preste, s'évanouit
      Mais dont la svelte silhouette
      Est si gracieuse et fluette
      Qu'on en demeure épanoui


      J'aime aussi beaucoup les cris d'Orphee. C'est mignon...

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    3. Mon Dieu! si tu savais combien cette chanson a bercé ma vie!! Je suis très touché ma Muse!

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    4. Ah! j'oubliais, ce Saxo me remue mes souvenirs comme un éternel flux et reflux de vaguelettes évanescentes!

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    5. Ellea bercé et berce encore lamienne.Je me sens tellement une passante par moment...
      Quant au saxo, il me va bien au teint: je suis un peu bleue en ce moment... enfin, bluesy.

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  11. Et je marche au passé. Et je marche au présent. Sans futur. Quelle formule! Elle donne du sens à tout. Une poésie que j'aime.
    Bises.

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    1. Venant de ta part, je prend cela comme un compliment qui me touche énormément.
      Merci cher poète.

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  12. Pas possible d'utiliser le mode répondre... Débloquespot m'oblige à poser un nouveau commentaire.
    Concernant Anastasie, il faudrait savoir si Candide parle de celle de Charlot ou celle de François...
    Molto baci

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    1. Quand ça m'arrive, je ferme, et je rouvre. En général ça marche.
      Sinon, je laisse à Candide le soin de te répondre...
      baci one more time

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    2. Moi aussi, mais ça n'avait pas marché...
      Puisque chez Blogbo personne n'avait trouvé l'allusion cinématographique, j'ai clairement posé l'énigme. Tu devrais pouvoir la trouver...
      kiss encora una volte

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    3. Mission accomplie capitaine...
      mais j'avoue que j'ai repiqué au truc il y a trop peu de temps. J'ai un pote qui me fournit. Et je peux te dire que c'est de la bonne !
      Molto baci

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    4. Caporal s'il te plait, Blutch est caporal.
      Ce n'était peut-être pas ce qu'on pourrait appeler une mission impossible, mais tu l'as menée de main de maître.
      Ti bacio Sorellita

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    5. Maîtresse s'il te plaît...de main de maîtresse.
      lol
      Buona notte

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    6. Dans ta remarque, je sens que Célestoche n'est pas loin du clavier.
      "de main de Maîtresse" Aïe! ... Je n'avais pas osé en raison de certains esprits portés sur la gaudriole et qui n'auraient pas vu dans cette appellation la patte de l'institutrice. :-)
      Baci

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    7. Célestoche n'est jamais loin, elle est en moi.
      Et depuis quand tu n'oses pas la gaudriole, toi?
      Alors que, il faut quand même bien se l'avouer, il n'y a à peu de choses près que ça qui fasse vraiment triper les foules... (et je reste polie)
      ^^

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    8. Lorsque je m'invite sur un blog, je suis poli, j'essuie mes pieds, je dis bonjour à la dame (oui, j'ai un certain faible pour les blogs vénusiens). Tout bien propre sur moi et sans mettre mes doigts dans le nez (ni le mien, ni celui de la dame...)
      Lorsque je suis chez moi ou coloc chez Blogbo, c'est différent, là je débride et je ne crains pas de mettre mes doigts dans la soupe ou ailleurs.
      Pour ce qui est de faire triper les foules, entre ça et TF1 y a pas photo.
      Bacioli

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    9. Tu es un gentleman, en somme.je dirais même, rapport aux premiers commentaires que tu as posés tout en haut, et qui parlent de ta campagne profonde, que tu es un gentleman farmer. Hi hi ! tu es surtout un gentleman charmeur pour moi...

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    10. Ben tu vois, pour illustrer le propos, en d'autres lieux, j'aurais tout simplement dit que j'habite au fond du trou du cul de la France...
      Comment ça que c'est moins charmeur ? D'abord un, j'ai dit ça pour Célestoche.
      Ti bacio

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    11. Y a pas de deux (et un pas de deux, c'est joli...) parce que "d'abord un" est une expression de mon coin de pays qui veut dire que c'est comme ça et pas autrement.
      Buona notte

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    12. Oups ..voilà un ton qui n'attend pas de réplique ...

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    13. Messie... oups mais si, mais si. Venant de ta part, j'attends toujours une réplique, parce qu'on peut utiliser les répliques péremptoires au 2e degré (ou plus si affinité) :-D

      Question:
      Le webmaster de débloquespot est-il caractériel? Il revient de nouveau sur les mots cabossés :-(

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    14. Non, je ne répliquerai pas, cette fois...je n'en peux plus de cette captcha.

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  13. Emouvants et délicieux tes mots Célestine. Merci...........
    Je te souhaite une douce journée....
    Je t'en brasse de mon ciel sans fumée...
    Den

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    1. Si ton ciel est comme sur ta photo, il a l'air pur, c'est vrai...
      Et tes mots sont toujours empreints de bienveillance. Merci beaucoup Den.

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  14. Quelle noirceur ce texte que t'a inspirée une si belle photo.
    La Dame la tête dans la brume, par coquetterie sûrement, pour se faire désirer, ne pas se dévoiler trop facilement, s'envelopper d'un voile opaque pour mieux laisser imaginer celle qui se cache...
    Si j'avais le temps, j'en ferais bien tout un billet, aussi !
    Gros bisous

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    1. Oui je sais que mon texte est davantage dans la veine de ceux de Choupi que des veillées des chaumières...Mais c'était mon ressenti du moment, cela n'enlève rien à la très belle photo d'Antiblues, et je n'oublie pas qu'il te la dédiée, ce qui te donne en quelque sorte un droit de regard dessus...
      "Si j'avais le temps" est une phrase qui me laisse rêveuse de la part d'une vacancière éternelle...Lol ! ;-))))
      Tu crois que je n'aurai plus de temps, moi non plus, l'an prochain?

      je t'embrasse ma swapounette

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  15. Joli exercice de style !
    Mais moi j'aime Paris, la folle maîtresse de mes jeunes années qui m'offrait ses charmes subtils, les ors des ministères, les coulisses du pouvoir central, les quais la nuit, le parc Monceau face auquel je logeais chez une Comtesse délicieusement âgee, ... Et puis il y avait "elle " qui venait me rejoindre On allait à l'hôtel On pouvait quand même pas faire "ça " chez la comtesse ! :)

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    1. En quelques lignes, tu campes une ambiance. C'est beau comme une nouvelle de Somerset Maugham... ^^

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  16. "L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe "
    G.Flaubert.
    J'ai trouvé que cette phrase correspondait bien à ton "humeur" du moment, non ?
    Bisou de petite Marie qui est un peu "éteinte" ♥

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    1. Oui c'est exactement ça, Marie. Mais je sais que cette flottaison entre deux eaux ne dure jamais bien longtemps chez moi...
      J'espère de tout coeur que tu vas vite ranimer la petite flamme que tu as au fond de toi.
      Bises étoilées

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    2. Même si c'est passager, cela nous épuise ...
      Bisous tendres ♥

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    3. Je suis d'accord. On part en cure ? Tu viens ?
      ;-) ♥

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    4. Oh oui ... Ma maman y est depuis hier, pour 3 semaines, dans un appartement avec 4 chambres pour 2 personnes ... Nous pourrions les rejoindre ... Entre nanas, puisqu'elle est partie avec une amie :-)
      Elles sont à côté d'Angoulême ! Mais le hic, nous ne sommes pas encore en retraite :-) ♥

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    5. Ce que je donnerais pour aller me faire poupougner...mais on ira, ça c'est certain.
      Maintenant, s'il faut attendre ta retraite, ça va être chaud !
      Bisous❤️

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    6. C'est sûr on ne va pas attendre la retraite :-)
      J'espère ... Bisous ♥

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  17. Paris est une jolie ville où les gens sont courtois, souriants et agréables, où le soleil brille toujours et où la dame de fer à toujours la tête haut perché. Je suis sûr que cette photo est un montage.
    Quand j'ai lu la nuit dernière je n'ai rien trouvé à dire, là non plus d'ailleurs alors j'écris.
    Bises humides. ;-)
    Avant il m'imposait des chiffres le blogspot maintenant il me sort des mots que je vois même pas ce que c'est, je crois que je vais même plus pouvoir ecrire ici bientôt, j'enrage !!!!!

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    1. Ben je comprends pas...Antiblues disait qu'il n'y avait plus de captcha. C'est à devenir fou. Je vais changer d'hébergeur je crois...
      Je pensais que mon texte te parlerait, Choupi.
      Tout le monde peut se tromper.
      bisous désappointés sur tous les plans. ;-)

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    2. Ne sois pas désappointée Célestine, je suis toujours là où on ne m'attend pas et jamais où on m'attend. :D
      Mais je suis têtu et suis venu quand même mettre mon grain de sel ... désolé... Plein de bisous Celest'in
      toujours le chaptka... grrr ..

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    3. J'ai réagi à un peu vivement moi aussi, mais le mot captcha me fait voir rouge décidément...
      pardonne-moi ! Je pense sérieusement maintenant à émigrer vers une plateforme plus conviviale...

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    4. Le beau Mindounet a mis quelques temps à s'adapter à un autre site, pas évident quand on a des habitudes. J'utilise certainement pas la plateforme au mieux de ses capacités mais ça me va bien comme ça.

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    5. T'es vraiment cool de revenir braver tant de fois les "mots tordus" pour moi. Tu es e quelque sorte le prince des mots tordus. (référence culturelle:
      ICI)
      bises joueuses

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    6. Ben oui je brave pour tes beaux yeux (ne le répète à personne !)
      Je me fais des nœuds rien que pour toi, moi tordu un brin tu crois ?

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    7. C'est beau comme une chanson de Bashung...

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    8. osez, osez Célestine
      osez, osez Célestine
      plus rien ne s'oppose à la nuit
      rien ne justifie

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    9. J'me sens comme un pétard qu'attend plus qu'une allumette...
      ^^

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  18. T'es pessimiste et pas gaie en ce moment...faut revoir Amélie Poulain !!

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    1. C'était une fiction, Mindounet...Juste une fiction.
      Amélie c'est ma soeur de coeur.
      http://celestinetroussecotte.blogspot.fr/2011/08/etre-attentif-lautre.html
      Bises optimistes

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  19. Paris sait aussi se parer d'autres couleurs parfois même si le gris l'emporte souvent

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    1. Bienvenue parmi moi, les cafards.
      Je vous inscris sur mon totem.
      Et je suis d'accord avec vous, paris a souvent des couleurs merveilleuses.

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  20. Hé ben c'est gris tout ça. Heureusement que c'est de la fiction. ;)

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    1. Une fiction sans doute inspirée par une humeur un peu maussade...mais on ne peut pas être au top tout le temps...
      Bises les sorcières !

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  21. " Paris, je t'aime
    Même si tu n'aimes pas que moi
    Paris la ville de joie...." Reggiani....
    j"ai découvert ton blog ce matin, et même si chez moi il y a de la brume, aujourd'hui...C'est grand soleil ! Merci

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    1. Bienvenue alors sur mon totem, Chaourcinette.
      Très jolie la chanson de Reggiani.
      Et merci pour le soleil...

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  22. Coucou Célestine, j'aime toujours autant ton écriture et je n'ai toujours rien à dire d'enlevé, léger, spirituel, fin, intelligent...Donc je t'envoie plein de souvenirs très lointains de Paris. Paris qui sublime si bien les histoires d'amour mais quand on est abandonnée à Paris...:)))) Mais c'était avant, ne reste que les souvenirs romancés, contés, pimentés, et forcément...sublimes. Gros bisous lumineuse Célestine

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    1. Paris m'a donné quelques uns de mes plus beaux émois...alors je ferai un autre billet pour effacer cette triistesse...
      Bisous chère Ariane,ton enthousiasme me ravit...

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    2. "Paris m'a donné quelques uns de mes plus beaux émois..." Quelques uns ?
      J'ai pas ri.

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    3. Oui, quelques uns de ces émois ineffables, oui, parmi les plus beaux, où l'on tient une coupe de champagne en regardant la rivière de diamants au cou de la Tour, et où l'on se dit que ces moments ne reviendront plus jamais.
      Et c'est vrai. Ils ne reviennent plus jamais. Ils sont là quelque part derrière les paupières alanguies ce ceux qui savent que l'on ne réécrit pas deux fois la même histoire.

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  23. Je me souviens t'avoir une ordonnance, il y a quelques mois. Ce coup ci, j'ai mieux: demain, on a invité le Souf à midi ou à peu près, tu sais, le temps, ici, il va et vient, d'accord, mais il reste justement un certain temps. Si tu passes dans le coin, finis d'arriver.

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    1. Mais oui, je passerai, j'ai toujours rêvé du Limousin...
      Je ne doute pas que tu passeras une bonne journée avec Saouf.
      C'est gentil d'avoir pris un peu de ton précieux temps pour venir m'en parler...

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  24. fouler le macadam de Panam en doc tel un poulbot... tandis que d'autres midinettes foncent la clope au bec perchées sur d'immenses aiguilles à semelle rouge sans prendre garde à la cendre qui déborde jusqu'au périf. ainsi que la belle scintillante pointe son nez jusqu'aux cieux imbue de sa personne, elle hume et s'enivre, insouciante... ça c'est PARIS !

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    1. il faudrait lire pointant, humant et s'enivrant... (désoled)

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    2. Mamou, même avec une petite faute de syntaxe, ton commentaire est très poétique et je l'ai beaucoup apprécié !

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  25. Et dans la ville encore sombre, ayant toute la nuit marché, la longue silhouette brune arrive sur l'esplanade. Elle découvre la tour Eiffel éclairée de côté qui semble elle même sortir de la nuit embrumée.
    Elle lève les yeux. Elle suit la belle courbe de la grande dame de fer et rejoint le sommet pour voir disparaître à son tour un dernier nuage égaré.
    Et tout à coup tout s'illumine. Elle descendra sur les quais. Elle feuillètera les vieilles pages. Midi la surprendra à la terrasse d'un petit restaurant indien. Puis, elle flânera un long moment encore dans la ville. Elle sera bien : la ville magique aura séduit la belle dame brune.
    Magie. .....

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Je lis tous vos petits grains de sel. Je n'ai pas toujours le temps de répondre tout de suite. Mais je finis toujours par le faire. Vous êtes mon eau vive, mon rayon de soleil, ma force tranquille.
Merci par avance pour tout ce que vous écrirez.
Merci de faire vivre mes mots par votre écoute.